Annonces Telfer
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À l’occasion du Mois de l’histoire des Noirs, nous rendons hommage à toutes les personnes de couleur qui ont réalisé de grandes choses et ont contribué à l’édification d’un Canada plus prospère, plus diversifié et plus inclusif. Le thème de cette année, En février et en tout temps : Célébrons l’histoire des communautés noires aujourd’hui et tous les jours, met l’accent sur la reconnaissance des contributions quotidiennes qu’apportent les Canadiennes et Canadiens noirs à notre pays.
À l’École de gestion Telfer, l’équité, la diversité et l’inclusion sont au cœur de nos programmes, de nos initiatives et de la vie étudiante. Nous tenons donc à célébrer, tout au long de février, l’héritage des personnes noires, et nous profitons de l’occasion pour présenter quelques ressources qui leur sont destinées.
Le Mois de l’histoire des Noirs au Canada
Les communautés noires façonnent l’histoire du Canada depuis que le navigateur et interprète Mathieu Da Costa y mit pied pour la première fois, dans les années 1600. Il faudra attendre les années 1920 pour que le pays célèbre leur histoire, en y consacrant d’abord une semaine. En 1995, la Chambre des communes a officiellement adopté le Mois de l’histoire des Noirs, à l’initiative de l’honorable Jean Augustine, première femme afro-canadienne à siéger au Parlement. Ce n’est qu’en 2008 que le Sénat a approuvé à l’unanimité la Motion visant à reconnaître les contributions de la population noire canadienne et le mois de février comme le Mois de l’histoire des Noirs, présentée par Donald Oliver, premier sénateur noir.
Parmi les premiers gens d’affaires et chefs d’entreprise noirs canadiens, mentionnons Thornton Blackburn, fondateur de la première entreprise de taxi de Toronto, dans les années 1830; Mary Ann Shadd Cary, première éditrice noire, fondatrice d’un hebdomadaire anti-esclavagiste appelé The Provincial Freeman; et Carrie Best, fondatrice du premier journal appartenant à des personnes noires en Nouvelle-Écosse, The Clarion.
Des ressources pour vous aider à atteindre vos objectifs
L’École de gestion Telfer fait siennes les valeurs traditionnelles canadiennes et promeut un environnement propice à l’épanouissement professionnel et personnel de toutes et tous. Ces valeurs contribuent à tisser une communauté qui est le reflet fidèle de notre identité. L’École poursuit son évolution et s’efforce d’améliorer la vie des membres de sa communauté, dans le cadre d’initiatives et de partenariats.
L’importance des bourses d’étude
Soucieux de pouvoir accueillir en nos murs les leaders les plus prometteurs, nous offrons de l’aide financière sous diverses formes, notamment des bourses d’excellence. En effet, sans soutien extérieur, certaines personnes pourraient difficilement se payer des études supérieures. Les bénéficiaires de ces bourses ont ainsi plus de temps à consacrer à leurs études, n’étant pas obligés de prendre un emploi à temps partiel qui peut les occuper jusqu’à 15 heures par semaine et compromettre leur réussite.
Heureusement, les membres de la communauté étudiante de Telfer peuvent compter sur la générosité de donatrices et donateurs pour réduire leur endettement et le nombre de prêts nécessaires pour terminer leurs études et, ainsi, travailler sereinement à redéfinir les pratiques d’affaires. Parmi les différentes bourses offertes à notre population étudiante, vous pouvez en trouver beaucoup qui sont attribuées aux étudiants qui font partie d’une communauté noire, autochtone ou racisée. Par exemple, les bourses KPMG pour les étudiants en comptabilité, créées par KPMG LLP, sont offertes chaque année à des étudiants de deuxième année du programme de B.Com. en comptabilité qui ont fait preuve d'excellence académique. La bourse d'admission Marlene King Patrick, généreusement créée par Markene King Patrick, est une autre bourse exclusive aux étudiantes de Telfer et est attribuée à une femme issue d’une communauté noire, autochtone ou racisée qui vient d'être admise dans un programme de premier cycle.
Pour en savoir plus sur ces bourses et voir si vous êtes admissible, le moteur de recherche Bourses en ligne est un outil qui vous donne accès au répertoire des bourses d'études offertes à l'Université d'Ottawa.
L’initiative Onyx
Les écoles de gestion sont depuis toujours de puissants pôles de réseautage reliant le monde universitaire au monde des affaires, unis par l’objectif de former les leaders de demain. Or, bien que le nombre de personnes noires siégeant aux conseils d’administration des 100 plus grandes sociétés cotées à la Bourse de Toronto (TSX) ait plus que triplé en un an, celui-ci ne représentait pas plus de 2,35 % de ce groupe en janvier 2021. Sur le marché du travail canadien, parmi les personnes noires de 25 à 54 ans, on recense plus de titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme supérieur (42,8 %) que dans la population du même groupe d’âge n’appartenant pas à une minorité visible (33,6 %). Ironiquement, le taux d’emploi est plus faible dans le premier groupe (86,1 %) que dans le second (91,1 %).
L’écart systémique relatif à l’embauche de stagiaires et de jeunes diplômées et diplômés noirs est difficile à combler. L’initiative Onyx s’attaque à ce problème. Elle se veut un catalyseur de croissance et de développement professionnels des Noires et Noirs qui démarrent leur carrière à leur sortie de l’université, les aidant à obtenir des stages, du mentorat, de l’encadrement et du perfectionnement.
En intervenant tôt, elle facilite sensiblement l’accès des personnes noires aux stages et aux emplois dans leur domaine d’études, tout en répondant aux besoins de main-d’œuvre qualifiée et diversifiée des entreprises. Comment? D’abord, en créant un bassin de talents par le recrutement, la préparation et la mise en valeur de membres de la communauté noire, notamment en leur offrant un accompagnement professionnel et du perfectionnement en ligne et, surtout, du mentorat, afin de les munir des outils essentiels pour se faire connaître et promouvoir leurs compétences auprès d’employeurs.
Le deuxième mandat de l’initiative consiste à stimuler la demande de talents noirs de la part du monde des affaires. Onyx entretient des liens avec diverses organisations, dont l’apport dépasse le simple cadre financier. En effet, ses partenaires échangent des idées et lui offrent du soutien en nature pour favoriser sa croissance.
Si vous souhaitez intégrer ce groupe pour profiter vous aussi d’un tremplin pour votre carrière, présentez une demande de scholar 2022 avant le 1er avril.
Programme d’entrepreneuriat noir
L’École de gestion Telfer se fait un point d’honneur d’aider celles et ceux qui ont la fibre de l’entrepreneuriat à développer les aptitudes essentielles pour se lancer en affaires, participer au succès d’une entreprise à forte croissance ou stimuler l’innovation au sein d’une organisation bien établie. Nous préparons les étudiantes et étudiants à réaliser leur projet, qu’il s’agisse de créer son entreprise, de prendre la relève de l’entreprise familiale ou de gérer la croissance d’une société. Nous offrons un large éventail de programmes et de cours sur l’entrepreneuriat (notamment l’option complémentaire en entrepreneuriat, le cours Fusion entrepreneuriale, le Club d’entrepreneurs de Telfer, Enactus), de même que le Carrefour de l’entrepreneuriat de l’Université d’Ottawa, qui a pour mission de propulser les carrières des aspirantes et aspirants entrepreneurs.
Des programmes financés par le gouvernement offrent aussi des possibilités intéressantes. Dans le cadre d’un partenariat entre le gouvernement du Canada, des organisations dirigées par des personnes noires et des institutions financières, le Programme pour l’entrepreneuriat des communautés noires (PECN) aide les membres de cette communauté à faire croître leur entreprise et à réaliser leurs objectifs d’affaires. Sous la direction d’Innovation, Sciences et Développement économique Canada, ce programme a récolté 265 millions de dollars d’investissements par l’intermédiaire du Fonds de prêts pour l’entrepreneuriat des communautés noires de la Fédération africaine canadienne économique (FACE), du Fonds pour l’écosystème national et du Carrefour du savoir pour l’entrepreneuriat des communautés noires. Ces fonds aideront des milliers de gens d’affaires noirs en leur donnant accès à diverses ressources, comme du financement, du mentorat, des services de planification financière et des formations professionnelles.
Groupes de soutien en santé mentale à l’Université d’Ottawa
L’Université d’Ottawa a mis sur pied différents groupes de soutien, notamment pour les personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC), les étudiantes et étudiants noirs et les étudiantes et étudiants internationaux, qui leur offrent un espace sûr où gagner en force, lier des amitiés et s’exprimer sans filtre devant des pairs. Chacun de ces groupes vise à créer une communauté, à discuter des problèmes de ses membres et à établir un réseau de soutien.
Groupes d’entraide
Outre ces ressources, Telfer offre l’occasion de vivre des expériences enrichissantes en dehors du cadre scolaire, au sein d’une communauté étudiante tissée serrée. Parmi les multiples associations et clubs étudiants de Telfer et de l’Université d’Ottawa, l’Association des leaders étudiants noirs (ALEN) s’intéresse aux aspects scolaires, sociaux et philanthropiques de la vie des étudiantes et étudiants noirs sur le campus. Elle représente ses membres de manière à refléter fidèlement leur identité et à stimuler leur potentiel de leaders. L’ALEN accueille à bras ouverts tous les membres de la population étudiante et du corps professoral qui partagent ses valeurs.
« Comptez-moi »
Après un long processus de recherche, de consultation et d’analyse, le Comité sur l’équité, la diversité et l’inclusion (CEDI) de l’Université d’Ottawa a déployé un volet crucial de ses efforts dans le but d’inventorier les obstacles à l’inclusion et de proposer des initiatives pour intégrer les personnes traditionnellement marginalisées aux communautés de recherche, d’enseignement et d’administration de l’Université. La devise de l’initiative, « Count me in / Comptez-moi », invite les membres de la communauté étudiante, du corps professoral et du personnel à s’auto-identifier (dans l’anonymat et en toute confidentialité) quant à leur genre, leur race, leur appartenance à des groupes autochtones, leurs limitations et les mesures d’adaptation dont ils ont besoin, leur identité LGBTQIA2S+, leur langue de préférence et leur connaissance des deux langues officielles. Leurs réponses permettront à l’Université de déceler et d’abattre les obstacles systémiques à l’équité, à l’inclusion et à la diversité. Lorsque vous demandez à être du compte, vous montrez l’exemple à d’autres qui vous emboîteront peut-être le pas.
Le questionnaire se trouve dans uoZone. Le Bureau des droits de la personne protégera la confidentialité des données et veillera à ce que seules les données ventilées servent à orienter et à hiérarchiser les initiatives d’EDI à l’échelle du campus, et à en créer de nouvelles.
S’auto-identifier, c’est aussi faire un pas vers l’inclusion. C’est pourquoi, pour chaque questionnaire rempli, le Cabinet de la provost et vice-rectrice aux affaires académiques versera 1 $ à un fonds de bourse pour les étudiantes et étudiants qui intègrent les principes d’EDI à leurs projets d’études et de recherche.
Telfer et l’Université d’Ottawa célèbrent le Mois de l’histoire des Noirs
Le Mois de l’histoire des Noirs, c’est l’occasion de prendre conscience du rôle important des personnes noires dans la colonisation, l’expansion et le développement du Canada, mais aussi dans l’histoire de l’École de gestion Telfer. Suivez-nous sur les médias sociaux pour connaître les activités virtuelles et sur le campus organisées afin de célébrer la contribution de la communauté noire, durant tout le mois de février – et tout le reste de l’année.
Si vous estimez qu’une personne à Telfer mérite de la reconnaissance pour ce qu’elle a accompli, ou si vous dirigez une initiative à l’intention des personnes noires, nous vous invitons à nous en faire part.
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À l'École de gestion Telfer, nous avons officiellement nommé sept éminents chefs d'entreprise canadiens au sein du Cabinet de leadership stratégique de l'École afin de travailler avec le doyen Stéphane Brutus à la mise en œuvre de la vision de Telfer pour un meilleur Canada. Tous les membres du cabinet mettent à profit leurs années d'expérience à la tête de certaines des entreprises les plus importantes et les plus influentes du Canada. La réunion inaugurale a lieu aujourd'hui, le 6 octobre, au pavillon Desmarais.
Ce cabinet a pour mandat de conseiller l'École Telfer sur ses choix stratégiques et de fournir des informations permettant d'évaluer la pertinence, la qualité et l'efficacité de ses programmes actuels et futurs. Le Cabinet contribue également à identifier les moyens par lesquels le monde des affaires et le secteur public peuvent contribuer au développement de l'École.
Rencontrez le Cabinet de leadership stratégique
Rob Ashe (Telfer BCom ‘82), Président du Cabinet de leadership stratégique, est le fondateur de la firme Cognos, une entreprise reconnue mondialement pour ses produits d’informatique décisionnelle. Créée à Ottawa en 1984, elle deviendrait la toute première société logicielle milliardaire au Canada. Président et chef de la direction de l’entreprise de 2004 à 2012, Rob Ashe est demeuré à la barre de l’informatique décisionnelle de Cognos après son acquisition par IBM en 2008. Il occupe depuis mai 2015 le rôle de directeur indépendant principal chez Shopify, où il continue de faire progresser l’industrie informatique dans la région. L’Ottawa Business Journal et la Chambre de commerce d’Ottawa lui ont conjointement décerné, en 2020, un Prix d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations. Fellow de l’Institut des comptables agréés de l’Ontario, Rob Ashe est également partenaire en chef à Bridge Growth Partners, directeur principal de MSCI et directeur de ServiceSource International; il a été directeur principal chez Halogen jusqu’à sa vente à Saba Software en 2017.
Louis Gagnon (Telfer MBA ‘97) travaille au sein d’Intact Financial Corporation, le plus important fournisseur d’assurance dommages au Canada depuis 2007. M. Gagnon a occupé de nombreux postes de direction clés, en commençant par celui de vice-président principal, Québec, puis en passant par ceux de président, Intact Assurance; président et chef de l'exploitation; président, Service et Distribution; et président, Opérations canadiennes. En juin 2021, M. Gagnon a été nommé chef de la direction, Canada. Dans son rôle actuel, M. Gagnon est responsable de toutes les entités et opérations d'affaires basées au Canada, y compris Intact Assurance, belairdirect, BrokerLink et Johnson Insurance. Avant de se joindre à Intact, M. Gagnon a dirigé un courtier d'assurance prospère avec des bureaux au Québec et en Ontario et a été très actif dans les associations de courtiers provinciales et nationales. M. Gagnon est membre du conseil d'administration du Bureau d'assurance du Canada et de l'Institut C.D. Howe, membre du Cabinet de leadership stratégique du doyen de l'École de gestion Telfer et membre du Comité consultatif international du recteur de l'Université de Montréal. Il a été un membre actif de conseils d'administrations et un bénévole pour de nombreuses organisations caritatives et il est particulièrement fier d'avoir été impliqué dans Centraide pendant plus de 30 ans.
Justine Hendricks (Telfer MBA ‘04) a fait ses preuves dans le secteur des services financiers et est une membre essentielle de la communauté canadienne des exportateurs depuis ses débuts à Exportation et développement Canada (EDC) en 2006. Nommée première vice-présidente du commerce durable et de la facilitation des affaires en 2019, elle est également devenue la toute première chef du développement durable d’EDC en mai 2021. Au fil des ans, elle a travaillé de près avec les partenaires bancaires de l’organisation et joué un rôle prédominant au sein du groupe de développement des affaires. L’École de gestion Telfer lui a décerné en 2017 une médaille Trudeau en reconnaissance de son leadership, de son sens de l’initiative et de ses apports au monde des affaires.
Patricia Saputo est la cofondatrice et présidente exécutive de CRYSALIA, une entreprise qui accompagne les entreprises familiales dans leur réussite multigénérationnelle en créant et en proposant des parcours d'apprentissage délibérés aux membres de leur famille. Elle est un modèle pour les femmes leaders dans les industries à prédominance masculine, le monde des affaires et la communauté à plus grande échelle. Après avoir fait carrière en fiscalité chez Deloitte, elle a été invitée à se joindre au conseil d’administration de Saputo à son entrée en bourse, en 1997. Adhérente au principe de l’éducation à vie, elle partage volontiers ses connaissances, convaincue qu’on ne doit jamais cesser d’apprendre pour mieux s’améliorer, contribuer à sa famille et renforcer sa communauté.
Macky Tall (Telfer MBA ‘92) est coprésident du groupe Carlyle Infrastructure, un acteur des milieux du transport, des énergies renouvelables, de l’eau, des eaux usées et du numérique. Avant de se joindre au groupe, il a occupé différents postes d’administration à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), l’un des plus grands investisseurs mondiaux en infrastructures et la deuxième caisse de retraite en importance au Canada. Il a préalablement siégé au comité de direction et au comité investissement-risques de la CDPQ, en plus d’avoir assuré la présidence du conseil d’administration d’Ivanhoé Cambridge.
Ian Telfer (Telfer MBA ’76), de qui notre école tient son nom, est un administrateur et philanthrope canadien reconnu pour ses stratégies d’affaires dans le secteur de l’exploitation minière et des ressources naturelles. Il a assuré la direction de Goldcorp Inc., une société aurifère de Vancouver, et présidé le conseil d’administration du World Gold Council. Nommé d’abord président et chef de la direction de Goldcorp en 2005, il a pris les rênes de son conseil d’administration en 2006. Son génie pour la valorisation des sociétés minières lui a valu la réputation de visionnaire de l’entrepreneuriat minier. Ses 30 années de succès dans le secteur des ressources peuvent être attribuées à une aptitude intrinsèque pour les acquisitions stratégiques et les fusions axées sur la plus-value. En reconnaissance de ses maintes réalisations, Ian Telfer a été intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien en 2015, de même qu’au Canadian Mining Hall of Fame en 2018. Il s’est également vu décerner un doctorat honorifique de l’Université d’Ottawa.
Kathryn Tremblay (Telfer BCom ‘95) est présidente directrice générale et cofondatrice d’excelHR, Altis Recruitment, Altis Technology et excelITR. Elle se spécialise depuis plus de 30 ans dans le volet humain des RH. À 21 ans, elle a fondé une petite boîte de recrutement en Outaouais; depuis, elle a consacré l’ensemble de sa carrière à l’amélioration des processus de dotation. Ce faisant, elle a proposé aux employeurs de nouvelles façons de recruter des cadres ainsi que de la main-d’oeuvre qualifiée. Excel HR et ses entreprises affiliées sont aujourd’hui reconnues comme chefs de file dans la prestation de services de recrutement et de dotation au Canada. Mentore engagée auprès des femmes sur le marché du travail, Kathryn Tremblay ne manque jamais d’encourager les jeunes à faire carrière en entrepreneuriat. Elle a également été nommée PDG de l'année 2021 par l'Ottawa Business Journal et l'Ottawa Board of Trade.
Stéphane Brutus, Doyen, est actuellement le doyen de l’École de gestion Telfer. Entre 2006 et 2017, professeur Brutus a été doyen (par intérim), doyen associé des programmes professionnels de deuxième cycle, directeur du Département de gestion et directeur du Centre de recherche Bell en innovation des processus de gestion à l’École d’affaires John Molson, Université de Concordia. Dans le passé, professeur Brutus a été un professeur invité à l’Université fédérale de Bahia, au Brésil, et à l’Université Pablo de Olavide et à l’École de gestion Instituto de Empresa, en Espagne.
James Price, Secrétaire du Cabinet de leadership stratégique, est directeur général du développement et de l’engagement communautaire à l’École de gestion Telfer, où il est responsable de la réalisation de la vision externe de l'école, du développement et des initiatives d'engagement communautaire. Soucieux d’avoir un impact positif sur les collectivités, il se fait un point d’honneur de créer des rapports et des partenariats durables au profit de l’enseignement supérieur, de la recherche, de l’innovation et du développement économique. Avant de se joindre à l’École de gestion Telfer en 2019, il était président et chef de la direction de la Fondation canadienne de cellules souches, où il pilotait les efforts de promotion et de financement stratégique du secteur au Canada.
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Le 23 juin dernier, l’École de gestion Telfer a tenu son Assemblée annuelle de reconnaissance de l’excellence. Organisée pour la première fois par le doyen Stéphane Brutus, cette assemblée annuelle estivale est l’occasion de souligner les efforts et le travail exceptionnel du corps professoral et des membres du personnel de Telfer en les récompensant avec des prix attribués par vote de leurs collègues et de leurs pairs.
Prix d’excellence Telfer remaniés
Les lauréates et lauréats des Prix d’excellence Telfer (« Telfie »)sont des membres du personnel et du corps professoral qui se sont distingués par l’excellence de leur service et de leur dévouement à leur travail, tout en faisant preuve de leadership et d’initiative qui ont grandement bénéficié à la communauté de Telfer. Pour la première fois depuis sa création, les membres du corps professoral à temps partiel pouvaient également prendre part au vote, créant ainsi trois prix supplémentaires en reconnaissance à la contribution des professeur.e.s à temps partiel. Les gagnant.e.s des Prix d’excellence Telfer 2021 sont :
Membres du personnel administratif
- Marielle Brabant, analyste financière
- Rania Nasrallah-Massaad, conseillère à la recherche
- Nathalie Paré, spécialiste du succès scolaire et de l’expérience étudiante
Membres du corps professoral à temps plein
- Wojtek Michalowski, professeur titulaire en informatique de la santé et aide à la décision, et ancien doyen intérimaire
- Jane O’Reilly, professeure agrégée et boursière Telfer sur le bien-être au travail
- Shantanu Dutta, vice-doyen (recherche) et boursier Telfer en finance internationale
Membres du corps professoral à temps partiel
- Jasmin Manseau, professeur à temps partiel sous nomination à long terme, candidat au Ph. D.
- Marc Tassé, expert en éthique des entreprises et en crimes financiers et professeur à temps partiel
- Dorra Jlouli, fondatrice et PDG de Green & Smart Alternatives et professeure à temps partiel
Prix d’excellence en service Patricia Ann O’Rourke
Introduit en 2014, ce prix rend hommage à Patricia Ann O’Rourke, une personne qui a rendu des services exceptionnels tout au long de sa carrière, au profit de l’École Telfer et de ses partenaires. Elle personnifiait l’excellence en service et était une source d’inspiration pour chacun de ses collègues, qu’ils soient membres du corps professoral ou du personnel administratif. Patricia a pris sa retraite cette même année, après 32 ans de service.
Ce prix annuel reconnaît les employé.e.s (du corps professoral ou du personnel administratif) qui ont démontré une forte volonté et une capacité d’aider les autres et, ce faisant, de promouvoir les intérêts de l’École Telfer et de contribuer au développement d’une culture d’excellence en service.
Le gagnant du Prix d’excellence en service Patricia Ann O’Rourke 2021 est :
- Jeff Lanthier, gestionnaire principal du support informatique
Félicitations à tou.te.s les gagnant.e.s de 2021 qui, à leur façon et de manière unique, adhèrent à la vision de Telfer pour bâtir un meilleur Canada grâce à leur travail et à leur dévouement envers notre École!
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Principles for Responsible Management Education (PRME) est une initiative soutenue par l’ONU dont la mission est de transformer la formation en gestion, la recherche et le leadership de l’éducation intellectuelle à l’échelle mondiale en fournissant le programme PRME, en développant des communautés d’apprentissage et en promouvant la sensibilisation aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.
En 2020, l’École de gestion Telfer a rejoint plus de 800 grandes écoles de commerce du monde entier qui se sont engagées à bâtir un avenir plus durable, en mettant en œuvre les six principes et en s’efforçant d’atteindre les ODD.
Ultimement, la vision du PRME est de faire en sorte que les objectifs de développement durable des Nations Unies soient atteints grâce à une éducation en gestion responsable. Les six principes du PRME sont fondés sur des valeurs reconnues internationalement par les États membres des Nations unies et fournissent un cadre d’engagement permettant aux établissements d’enseignement supérieur d’intégrer la responsabilité et la durabilité dans les pratiques en éducation, en recherche et sur le campus grâce à un processus d’amélioration continue. Les établissements d’enseignement supérieur qui deviennent signataires du PRME prennent un engagement public à l’égard de la création du savoir et de l’éducation qui soutient et forme des dirigeants capables de gérer les défis complexes auxquels font face les entreprises et la société au XXIe siècle. Le PRME est une plateforme multi-acteurs dotée d’un réseau dynamique de communautés d’apprentissage locales et mondiales, y compris des groupes de travail thématiques et des sections régionales, qui collaborent sur des projets et des événements. Depuis son lancement officiel en 2007 par Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations unies de l’époque, l’initiative PRME compte maintenant plus de 800 écoles de commerce de premier plan dans plus de 80 pays à travers le monde.
En tant que signataire du PRME, Telfer s’engage à investir dans l’avenir de notre monde et à faire tout ce qui est en son pouvoir pour garantir la pérennité de la planète. Figurant au sein du pôle stratégique d’impact sur la mondialisation, la gouvernance et le développement durable, l’Institut pour le développement durable en entreprise de Telfer place la durabilité au centre de la prise de décision, influençant une nouvelle ère de la pensée commerciale.
La planification stratégique axée sur la durabilité, les pratiques commerciales renouvelables et les valeurs plus écologiques ont un impact positif sur notre environnement mondial et nous permettent de bâtir un meilleur Canada. Afin d'établir des bases solides pour notre avenir, il faut complètement repenser et réorienter les pratiques d’affaires à la base de notre économie. Si les entreprises canadiennes investissent dans des technologies et des pratiques qui favorisent une économie écoresponsable, il sera possible, au fil du temps, de progresser vers un monde durable.
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Le 18 janvier 2021, la Telfer Nation a célébré une étape importante dans la jeune histoire de son programme de doctorat en gestion lorsque Vusal Babashov a soutenu sa thèse avec succès et est devenu le premier diplômé du doctorat de l’École. À l’instar des défis du parcours doctoral d’un candidat, les célébrations étaient de mise, car il a fallu beaucoup d’effort, de recherche et le travail de la part de toute une équipe de professeurs et de membres du personnel pour finalement créer ce qui est maintenant le célèbre programme de doctorat de l’École de gestion Telfer.
L'histoire du doctorat de Telfer
L’élaboration d’un nouveau programme d'études, en particulier un programme de doctorat, est un long processus et un défi stimulant pour toute équipe universitaire. L’équipe de direction de Telfer, les membres du corps professoral et le Bureau des études supérieures se sont réunis pour créer un programme qui reflète la vision de l’École, la valeur d’un doctorat et des expériences d’apprentissage inestimables et de pointe pour les étudiants. L’évolution du programme illustre également le leadership des professeures et du personnel féminin à toutes les étapes du développement, y compris la création, la conception, la mise en œuvre et l’évaluation.
L'École était en discussion sur la création d'un programme de doctorat depuis près de 40 ans.
L’ancien doyen de Telfer, François Julien, a fait part des défis qui accompagnent la création d’un nouveau programme : « Les programmes de doctorat les plus crédibles et les plus réputés reposent sur l’excellence en recherche. La condition préalable à la création d’un programme de doctorat était d'instaurer une culture de recherche au sein de l’École et de former des membres du corps professoral en supervision de diplômés. La culture de recherche à l’École s’est développée au cours des vingt dernières années grâce à divers incitatifs visant à stimuler la productivité et l’excellence de la recherche, et grâce au recrutement de professeurs qui étaient non seulement d'excellents éducateurs et professeurs, mais qui étaient aussi activement engagés dans des programmes de recherche influents et ayant un impact. »
Au moins quatre tentatives précédentes d’élaboration et de lancement du programme de doctorat de Telfer ont été entreprises en 1995, en 1999 et en 2004 avec l’Université Clarkson, puis en 2008 avec le Babson College. La mise sur pied d’un programme de doctorat est vraiment une longue épreuve, car de nombreux aspects importants doivent être mis en place avant que quoi que ce soit d’officiel puisse se produire.
Les progrès en vue d'élever l'excellence de la recherche à l'École dans l'espoir de lancer un jour le doctorat étaient déjà bien engagés lorsque l'École a créé deux programmes de maîtrise en sciences fondés sur la recherche. La création de la maîtrise ès sciences en gestion en 2007 a été manœuvrée par le professeur Ajax Persaud, qui a dirigé des collègues dans les domaines de l’innovation et de l’entrepreneuriat. La maîtrise ès sciences en systèmes de santé a été créée en 2008 avec le professeur Wojtek Michalowski, qui a dirigé des collègues dans le domaine de la gestion des systèmes de santé.
Le doyen Julien a réfléchi à sa participation à ces programmes à titre de doyen associé des programmes et de vice-doyen de l’École entre 2005 et 2010 : « J’ai eu le plaisir de participer au recrutement des professeurs et de travailler avec des collègues à la création des premiers programmes axés sur la recherche de l’École. Par la suite, en tant que doyen, j’ai appuyé la professeure Barbara Orser dans l’élaboration du programme de doctorat, ainsi que les professeures Silvia Bonaccio, Mirou Jaana et Samia Chreim, qui sont successivement devenues les directrices du programme de doctorat. »
En 2009, Telfer a mis sur pied un groupe de travail portant sur les études supérieures chargé de considérer la possibilité d’un doctorat « intégré à Telfer », et en 2010, le Comité de doctorat de Telfer a été créé pour établir des normes pour le programme et mener des recherches sur les doctorats canadiens et internationaux existants.
Par la suite, 2011 et 2012 ont été les années où les détails du programme, tels que les cursus, les disciplines et la structure, ont été établis. Ces décisions ont été prises en collaboration, par le biais de consultations avec les membres du corps professoral et divers partenaires, d’analyses comparatives et d’études de marché de programmes concurrents. De nombreuses propositions volumineuses ont été rédigées, y compris des plans pour de nouveaux postes de professeurs. La professeure Barbara Orser a présidé le Comité de doctorat de Telfer de 2010 à 2013 et a travaillé à la mise en place de ces détails de programme aux côtés de Danielle Bennett, la gestionnaire en chef aux études supérieures de Telfer à l’époque.
En 2013, des approbations ont été obtenues auprès du Sénat de l’Université d’Ottawa et d’un certain nombre de ses comités, du ministère des Collèges et Universités de l’Ontario et du Conseil d’assurance de la qualité des universités de l’Ontario.
Cela a ensuite conduit à une discussion évolutive sur les études interdisciplinaires, et à l'embauche de nouveaux étudiants au doctorat. Cinq domaines d’études clés ont été créés dans le cadre du programme : comptabilité et contrôle, entrepreneuriat, finance, systèmes de santé et gestion des ressources humaines et comportements organisationnels. Chaque doctorant choisirait l’un de ces domaines dans lequel il se spécialiserait grâce à des recherches et des séminaires.
Avant 2016, Telfer offrait déjà plusieurs programmes ciblant différents publics : un baccalauréat pour les candidats qui débutent leur parcours professionnel, des programmes de maîtrise professionnelle pour les gestionnaires en début ou en milieu de carrière et les leaders émergents, des programmes de maîtrise axés sur la recherche pour les analystes, les chercheurs et les consultants en gestion, ainsi que des programmes pour cadres destinés aux professionnels chevronnés.
En 2016, le programme a officiellement ouvert ses portes lorsque la professeure Silvia Bonaccio a dirigé le programme en tant que première directrice du programme de doctorat. Elle était contente de l’ajout du programme de doctorat à notre offre : « C’était la prochaine étape dans la croissance de Telfer nous avions une liste de professeurs de renommée mondiale qui étaient impatients de travailler aux côtés de doctorants et de former la prochaine génération de chercheurs. J'ai été ravie de me voir attribuer la responsabilité d'être la première directrice. »
L’ancien vice-doyen de la recherche et ancien doyen par intérim, Wojtek Michalowski, a exprimé que le programme était vraiment le fruit d’un effort soutenu : « Le programme a été créé grâce au leadership du doyen François Julien, et au travail acharné et au dévouement de la professeure Barbara Orser. »
Le doyen Julien parle de la valeur ajoutée à Telfer une fois que les portes ont été ouvertes aux étudiants du doctorat en gestion : « L’ajout d’un programme de doctorat à notre offre nous a permis de compléter notre portfolio de programmes. Ce programme place Telfer à un tout autre niveau. Il témoigne de la rigueur et de l’excellence académique de ses membres et nous permet d’attirer et de recruter des professeurs et des étudiants talentueux. »
Une fois le programme paré pour le succès, il n’a fallu que le bon leader pour diriger le navire qu'est le doctorat de Telfer. La professeure Silvia Bonaccio s'est montrée à la hauteur de la situation.
Lancement du programme
Silvia Bonaccio, professeure Ian Telfer en psychologie du travail et des organisations, a été nommée la première directrice du programme de doctorat et a joué un rôle déterminant dans la création de ce programme. Elle y a été à la tête pendant cinq ans, de 2013 à 2018, et a travaillé dans les coulisses pendant plus de deux ans à l’élaboration du programme avant son lancement officiel en 2016. Avoir enfin la chance d’accueillir la première cohorte d’étudiants au doctorat de Telfer est encore un souvenir frais dans la mémoire de la professeure Bonaccio : « Les premières semaines ont été parmi les plus palpitantes de mes presque 15 ans à Telfer. Ma plus grande réalisation en tant que directrice a été d'accueillir la première cohorte afin qu’elle puisse travailler avec nos professeurs sur des recherches essentielles, percutantes et passionnantes. »
L'ajout du doctorat à notre portfolio de programmes d’études supérieures axés sur la recherche est le changement le plus important à Telfer depuis la dernière décennie, selon la professeure Bonaccio : « Cet ajout nous a permis de faire partie d'un nouveau groupe de pairs institutionnels, puisque les établissements qui octroient des doctorats sont un groupe restreint. »
Grâce à son leadership, le programme a continué d'évoluer et de s’améliorer depuis son lancement. Le nombre de candidats et d'admissions augmentant chaque année, l'École a pu maintenir les normes les plus élevées pour son groupe diversifié d'étudiants admis.
Lorsque la professeure Mirou Jaana, actuelle directrice du programme de MGSS Telfer, a pris la direction du programme de doctorat, Telfer avait également accueilli un grand nombre de nouveaux professeurs qui étaient des chercheurs actifs de divers domaines en gestion.
Cette croissance, ainsi que la réussite des étudiants de Telfer en matière de recherche (p. ex., les publications, les présentations dans le cadre de conférences ou de réunions, les récipiendaires de prix ou de subventions), témoignent de l'évolution et de la maturité du programme. « Depuis son lancement, le doctorat a acquis une visibilité croissante et une solide réputation, ce qui lui a permis d’attirer un nombre de plus en plus important de candidats de partout à travers le monde », a indiqué la professeure Jaana.
Selon cette dernière, le succès du programme repose avant tout sur le soutien offert aux étudiants tout au long de leur programme d’études et sur la qualité de l’expérience d’enseignement. « Le programme offre un financement et un soutien avantageux aux étudiants sur une période de quatre ans », a-t-elle ajouté. « Au cours de leurs études, les doctorants peuvent se spécialiser dans ce qui est maintenant devenu six champs d’études dirigés par des professeurs expérimentés, dévoués et de renommée mondiale. »
Le mandat de la professeure Jaana en tant que directrice a été marqué par une révision du programme. « La plus grande réalisation pendant mon mandat a été le lancement de la première révision du programme de doctorat, qui a entraîné, parmi d'autres changements, l’ajout d'un nouveau champ d'études nommé organisation et stratégie », souligne-t-elle. « Ce nouveau champ offrira des possibilités de recherche aux doctorants qui souhaitent se spécialiser dans ce domaine. La révision du programme a également mené à des améliorations et à des changements, ce qui a renforcé l’expérience des étudiants et a permis plus de flexibilité en ce qui a trait à la prestation du programme. »
La troisième et actuelle directrice du programme de doctorat depuis juillet 2020, la professeure Samia Chreim, professeure Ian Telfer en études des organisations, partage le même enthousiasme que son prédécesseur à l’égard de ces changements : « Nous avons récemment effectué une révision du programme en fonction des commentaires que nous avons reçus au cours des quatre premières années du programme de la part de divers groupes, y compris les étudiants et les professeurs. Dans le cadre de cette révision, nous avons accordé plus de flexibilité aux étudiants dans le choix de leurs cours. L’ajout d’un sixième domaine de spécialisation donne plus de choix aux étudiants qui s’intéressent à notre programme de doctorat. »
La professeure Chreim a également voulu célébrer les efforts de ses prédécesseurs et de toutes les personnes impliquées dans la création du programme de doctorat de Telfer. « Le lancement du programme de doctorat en 2016 a été le résultat du dévouement de nombreuses personnes qui ont été largement consultées, tant à l’interne qu’à l’externe », a-t-elle ajouté. « Le programme a évolué au fil des ans et est maintenant le programme de choix pour près de 40 doctorants qui travaillent avec des chercheurs accomplis à titre de superviseurs. Les étudiants ont développé un fort sentiment d’appartenance à la communauté. Ils ont aussi été très impliqués dans la recherche, participant activement à des présentations de conférences et à des publications d'article de revue. »
Selon la professeure Chreim, le concours de thèse, que les étudiants au doctorat et à la maîtrise ès sciences organisent et animent chaque année avec l’aide de la direction de la recherche de Telfer, témoigne de l'esprit de communauté et d'engagement en recherche.
Les échos du programme
Alors doyen par intérim, le professeur Michalowski a été l’un des premiers à féliciter Vusal et à célébrer cette étape importante du programme. « Ce fut un grand privilège et un honneur pour moi d’annoncer notre premier diplômé au doctorat. Ce programme était en préparation depuis longtemps, et avoir enfin un diplômé donne l'impression qu'on est enfin “arrivé à destination”. » Il poursuit : « Le doctorat de Telfer est notre programme, et j’aimerais remercier tous mes collègues du corps professoral et le personnel du Bureau des études supérieures et de la direction de la recherche pour leur bon travail et leur dévouement. Pour conclure, je suis très fier de nos étudiants au doctorat. Ils seront les ambassadeurs de Telfer et nous feront honneur. »
Le professeur Michalowski souligne que le travail n’est pas encore terminé. « Nous devons travailler fort pour nous assurer que la qualité du programme répond aux attentes des étudiants, afin d’attirer les meilleurs et les plus brillants, et de veiller à ce que le programme contribue à des activités de recherche à Telfer. Le lancement du programme a favorisé notre cheminement vers l’excellence en recherche - un catalyseur des débats universitaires et intellectuels à Telfer », a-t-il conclu.
Pour le doyen Julien, le succès du programme de doctorat est indéniable : « Il ne fait aucun doute que le programme nous a permis de recruter d’excellents membres du corps professoral très actifs en recherche qui ont été attirés par la chance de travailler avec nos chercheurs et de superviser des doctorants. La qualité des étudiants que nous avons recrutés pour le doctorat, ainsi que pour nos programmes de maîtrise de recherche, est excellent. »
Selon lui, ce n'est que le début : « Avec le temps, je m’attends à ce que la réputation du diplôme de doctorat et, par conséquent, celle de l’École soient confirmées par l’excellence et la réputation des organisations où les diplômés de ce programme seront embauchés et par l’impact de leur travail. Nous suivrons et encouragerons la carrière de nos diplômés du doctorat avec grand intérêt! »
Ayant été impliquée dans la création du programme, la professeure Barbara Orser fait part de ce qu'elle espère voir au doctorat à l’avenir : « Il serait bien d'avoir plus de disciplines au doctorat, une intégration plus poussée des candidats au doctorat dans les portfolios de recherche multidisciplinaires, la création de centres pour appuyer les doctorants et de voir Telfer devenir l’école ‘incontournable’ pour les candidats potentiels. »
Le programme de doctorat sera lié à jamais à l'héritage du doyen Julien, longtemps après qu'il aura mis fin à son mandat de dix ans en 2020. Le point le plus important à retenir pour lui est que l’institution en tirera plusieurs avantages dans les années à venir. « Je suis heureux d’avoir participé d’une façon ou d’une autre au processus depuis le début », a-t-il ajouté avec humilité.
« Je crois sincèrement que ce programme porte Telfer à un nouveau niveau d’excellence et que ce programme et ses diplômés contribueront de façon importante à renforcer la réputation de Telfer en tant qu’école de gestion de premier plan au Canada et dans le monde! » a-t-il fièrement conclu.
Puisque Telfer est engagée et unie par une conviction commune selon laquelle de meilleures affaires mènent à un meilleur Canada, le programme de doctorat et sa contribution au monde universitaire favoriseront plus que jamais un Canada plus vert, plus en santé, plus heureux et plus prospère pour toutes et tous.
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En ce Mois de la francophonie, Telfer souligne l’inclusion de la langue française et de la culture francophone dans notre communauté.
À l’École de gestion Telfer, le Centre des services aux étudiants de Telfer (CSE) est au cœur de l’expérience étudiante. Son rôle est de guider les étudiants tout au long de leurs études à Telfer, de l’admission jusqu’à l’obtention du diplôme. Comme la communauté francophone représente près de 30 % de notre population étudiante et après avoir reçu 2 500 candidatures pour le programme en français du B.Com. cette année seulement, les services en français sont une composante importante de l’offre du Centre.
Depuis ses débuts en 1969, notre École offre des services dans les deux langues officielles à nos étudiants. En plus de cette accessibilité au bilinguisme, le Centre offre des services et programmes qui sont adaptés aux membres locaux et internationaux de notre communauté francophone par le biais du Bureau des études du premier cycle, des Programmes d’échanges internationaux et des bourses, puis du Centre des carrières de Telfer.
Un des principaux objectifs du Centre est de s’assurer que les étudiants se sentent à l’aise dès le début de leur parcours à Telfer; et c’est exactement ce que fait le programme de mentorat par les pairs.
Programmes de mentorat pour les étudiants
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Programme de mentorat par les pairs
Le but principal du programme de mentorat par les pairs à Telfer est de faciliter l’intégration d’étudiants de première année au B.Com. en s’assurant que ceux-ci soient accompagnés par un mentor, pour les étudiants canadiens ou par un guide international, pour les étudiants internationaux. « Chaque étudiant est jumelé à un étudiant mentor ou un guide, selon une série de critères de priorité, le premier étant la langue de correspondance », explique Marilou Charbonneau, adjointe à l’expérience étudiante et aux événements du Centre des carrières de Telfer. « De cette façon, nous nous assurons que chaque étudiant francophone en première année soit jumelé avec un mentor ou un guide francophone, pour poser leurs questions et obtenir une variété de ressources en français », ajoute-t-elle.
De ce fait, être francophone ou bilingue est un critère des plus importants dans le processus de sélection annuel des guides et des mentors. Il est primordial que la majorité des membres de l’équipe soit en mesure d’appuyer les étudiants francophones.
Priyesh Sarju, étudiant de quatrième année en comptabilité, est un des guides internationaux du programme. Originaire de l’Île Maurice, Priyesh représente bien la diversité francophone présente à Telfer : « Le français est certes l’un de mes principaux atouts, en tant que guide international à l’École de gestion Telfer », dit-il. « Cela dit, un grand nombre d’étudiants internationaux qui rentrent à l’université proviennent de pays francophones du monde entier, et pouvoir interagir efficacement en français avec eux est essentiel pour leur bonne expérience étudiante », ajoute-t-il.
De plus, en tant que guide, Priyesh peut non seulement aider les étudiants internationaux avec leurs études en offrant de nombreuses séances de révision, mais il peut aussi animer divers évènements de Telfer en français.
Camély Gendron est une autre mentore étudiante de quatrième année à Telfer et elle termine bientôt son baccalauréat en sciences commerciales et Juris Doctor. Elle a fait part de son expérience en tant que guide pour les membres de la communauté francophone de Telfer : « Lorsque je pense à mon expérience en tant que mentore francophone, je pense immédiatement au mot communauté », dit-elle fièrement. « Les étudiants que je côtoie sont heureux de pouvoir parler en français à quelqu’un qui a eu un parcours similaire. Il est aussi agréable de voir à quel point les mentors francophones sont unis et s’entraident au quotidien! »
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Programme de mentorat par les cadres
Une autre possibilité de mentorat offerte par le CSE est le programme de mentorat par les cadres. Ce dernier met en contact des étudiants de troisième et quatrième année avec des cadres et des entrepreneurs de l’industrie afin qu’ils puissent partager leurs idées, fournir une orientation informelle et accroître leur réseau. C'est une façon pour un étudiant d'apprendre dans un cadre individuel avec un professionnel du monde des affaires.
Isabelle Décarie, gestionnaire de l’expérience étudiante au Centre des services aux étudiants explique à quel point cette expérience peut être unique pour un étudiant francophone à Telfer : « Les étudiants peuvent être jumelés à différents leaders francophones de la communauté. Par exemple, un de nos étudiants au B.Com./J.D. est jumelé avec le président du Regroupement des gens d’affaires (RGA). » C’est également une expérience unique pour les mentors, car ils ont l’occasion de rencontrer des étudiants qui s’intéressent à leur domaine, d’avoir des conversations agréables et d’en découvrir plus sur ce qui se passe à Telfer.
Aller au-delà avec la communauté francophone
Cette année, Telfer a reçu 2 500 demandes d’inscriptions à son programme en français du B.Com. L'une des principales raisons de ce succès est la liberté de choix offerte par le programme. « Nous voulons que les étudiants sachent qu’ils peuvent faire leurs études dans la langue de leur choix, que ce soit en français, en anglais ou dans les deux langues », explique Émilie Desrosiers, coordonnatrice de marketing et liaison des programmes de premier cycle de Telfer. « Nous sommes vraiment fiers du fait que l’Université d’Ottawa soit une institution bilingue », ajoute-t-elle.
La communauté francophone de Telfer compte également parmi ses rangs les étudiants anglophones qui parlent aussi le français comme langue seconde ou qui s’efforcent de pratiquer leur français grâce aux diverses possibilités offertes à Telfer. Cela comprend le Régime d’immersion en français, qui est admissible à la Bourse d’accès aux études en français.
Les étudiants étrangers provenant de pays francophones peuvent aussi profiter de l’environnement bilingue offert à l’Université et dans la ville d’Ottawa. « Notre population étudiante internationale apprécie le fait qu’elle puisse étudier en français, vivre dans une ville canadienne et que nous lui offrons une bourse généreuse », explique Émilie. Un autre facteur clé qui intéresse nos étudiants internationaux et les autres aussi est le programme coop. « Les étudiants peuvent acquérir une véritable expérience de travail et recevoir un salaire pendant leur stage coop », conclut-elle.
Plusieurs bourses d’études sont offertes aux étudiants francophones, à ceux qui font leurs études dans le cadre du Régime d’immersion en français et aux étudiants internationaux :
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La bourse d’études Bernard et Valérie Marcil est offerte aux étudiants du B.Com. option comptabilité qui démontrent un besoin d’aide financière. Cette bourse porte le nom de Bernard Marcil, diplômé de Telfer et cofondateur de Marcil Lavallée.
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La Bourse Legico-CHP Fleur de Lys est offerte à un étudiant francophone de Telfer, originaire du Québec, qui a un excellent dossier scolaire, mais qui ne peut pas assumer les frais de scolarité. La bourse porte le nom de Legico-CHP, une organisation issue de la fusion de deux entreprises qui étaient des acteurs majeurs dans les projets de construction internationaux et locaux.
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La Bourse d’admission Fleur de lys de l’École de gestion Telfer a été créée afin de fournir une assistance financière aux étudiants francophones qui veulent s’inscrire au B.Com. à Telfer, mais qui ne peuvent pas assumer les frais de scolarité. La bourse a été créée grâce à un don généreux de monsieur Ian Telfer, à qui l’École doit son nom, et elle est conçue afin d’aider les étudiants venant étudier en Ontario et faisant face à des frais de scolarité beaucoup plus élevés.
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La Bourse Marcil Lavallée en comptabilité est décernée à un étudiant inscrit au programme de comptabilité et qui fait preuve d’engagement envers sa communauté. Cette bourse a été généreusement créée par le cabinet comptable d’Ottawa Marcil Lavallée.
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La Bourse d’accès aux études en français est une bourse d’admission de 1 000 $ décernée aux étudiants inscrits à temps plein au Régime d’immersion en français qui suivent, chaque trimestre, au moins 2 cours (6 unités) donnés en français (y compris les cours de français langue seconde). Cette bourse peut être renouvelée pour les trois prochaines années et atteindre jusqu’à 4 000 $ au total.
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La bourse d’exonération partielle des droits de scolarité est offerte à un étudiant international francophone et francophile admis au baccalauréat ou à la maîtrise à compter de septembre 2021. Cette contribution importante au financement de leur projet d’études permet de réduire les droits de scolarité à un niveau avoisinant ceux payés par les citoyennes et citoyens canadiens.
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Le 9 mars a marqué la première journée du parcours du doyen Brutus à l’École de gestion Telfer. Bien que tous les cours aient lieu en ligne, le nouveau doyen était très enthousiaste à l’idée de découvrir son nouvel environnement : « J’étais à Montréal lorsque j’ai signé le contrat et quelque chose n’allait pas. La première chose que j’ai faite lors de mon premier jour a été de me rendre à Ottawa, d’obtenir les clés de mon bureau et de travailler à partir de là », a avoué le doyen Brutus. « Il était important pour moi d’être présent et de “rentrer en contact” avec Telfer et de vraiment me mettre dans le rôle dès le premier jour. La prochaine étape est d’avoir tout le monde sur le campus pour que je me fasse une vraie idée et que je puisse sympathiser avec eux quand ce sera permis. Mais c’est un début! », ajoute-t-il.
Depuis le début de son mandat il y a une semaine, le doyen Stéphane Brutus était impatient de rencontrer les étudiants lors de la conversation informelle : « J’ai apprécié l’opportunité de discuter avec les étudiants », dit-il. « Avec le confinement, c’est difficile pour moi de prendre le pouls de l’École et l’événement de ce matin m’a permis de le faire. Certaines questions étaient directes et j’apprécie le fait que les étudiants ont eu le courage de me les poser. »
La conversation s’est déroulée lundi matin, le 15 mars, sur Zoom en compagnie d’étudiants de divers programmes et des membres de notre personnel.
Connaissez-vous votre doyen?
Animé par Isabelle Décarie, gestionnaire de l’expérience étudiante au Centre des services aux étudiants, la conversation informelle était une bonne occasion pour tous les étudiants de poser des questions au doyen et d’obtenir son opinion sincère sur d’importants sujets relatifs à Telfer.
Pour commencer l’événement, Stéphane Brutus avait préparé une vidéo spéciale intitulée « Connaissez-vous votre doyen? » où il a été mis à l’épreuve et a répondu à des questions générales sur sa vision en ce qui concerne l’École, et même à quelques questions anecdotiques sur Telfer et l'Université d'Ottawa. Sa performance dans cette dernière section n'a pas manqué d'impressionner. Il a également eu l’occasion de nous en dire un peu plus sur lui en répondant à une série de questions rapides sur ses passe-temps et ses intérêts.
Découvrez la vision du doyen Brutus
Avant la période de questions-réponses avec les étudiants, le doyen Brutus a eu l’occasion de parler un peu plus de ses objectifs à court et à long terme pour Telfer : « Je veux augmenter la visibilité de l’École en renforçant les piliers d’un meilleur Canada comme mentionné dans la vidéo (NDLR : plus vert, plus en santé, plus heureux et plus prospère) grâce à un soutien continu de notre recherche », a-t-il déclaré. « Je veux améliorer l’expérience étudiante, qui est déjà excellente, et mettre l’accent sur l’engagement avec les diplômés, car leur participation est vraiment importante, comme pour toute école de gestion. »
Le doyen Brutus a eu la chance de parler davantage de son plan en ce qui concerne l’expérience étudiante : « Les compétitions de cas sont vraiment importantes pour l’expérience globale des étudiants. Ayant travaillé pendant 23 ans à l'École de gestion John Molson (EGJM), ces compétitions étaient un élément important de l’expérience étudiante et je suis un grand fan. » Il en a dit plus sur le sujet en décrivant l’avantage « gagnant-gagnant » de ce genre de compétition : « Cela permet aux étudiants de se surpasser quand ils sont “mis dans le feu de l’action”. La faculté bénéficie également de cette visibilité en participant, mais aussi en l’organisant. La communauté de Telfer en bénéficie aussi en participant en tant que juges et commanditaires. C’est une bonne façon de faire participer tout le monde », explique-t-il.
Les questions des étudiants de la Telfer Nation
Dans le dernier tiers de l’événement, le doyen Brutus a eu l’occasion de répondre aux questions reçues par le biais du formulaire d’inscription et à d’autres questions posées directement au cours de la séance de clavardage.
De nombreux sujets ont été abordés par les étudiants participants, notamment la reconnaissance mondiale de notre École, l’enseignement en ligne, la présence de l’équité, de la diversité et de l’inclusion (EDI) dans la vision du doyen, ainsi que l’avenir des possibilités de recherche pour les étudiants de l’École.
Le doyen Brutus a rapidement montré qu’il est à l’écoute de toutes rétroactions, toutes suggestions et tous commentaires de la population étudiante. « Le doyen semble très motivé et excité de se joindre à Telfer », a remarqué Saida Sambour, étudiante de troisième année en marketing au B.Com. « Ses réponses étaient toujours bien pensées et ça paraît qu’il a fait ses recherches sur l’école! En entendant ces expériences à l’EGJM et ses compétences, le doyen me semble plus que prêt à entreprendre son rôle au sein de Telfer. Pendant la conversation, il n’avait pas de difficulté à répondre aux questions. Il y en avait des plus difficiles que d’autres, mais il trouvait toujours une manière de répondre honnêtement et de manière consciencieuse », a-t-elle conclu.
Nous nous réjouissons à l’idée des prochaines années avec le doyen Brutus et de son développement de notre vision pour un meilleur Canada.
Il est toujours possible de regarder la séance enregistrée de la « Conversation informelle avec le doyen ». (Veuillez noter que les liens MS Streams sont uniquement accessibles aux membres de la communauté d'uOttawa)
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En tant que partie intégrante de l’Université d’Ottawa, l’École de gestion Telfer est fière d’offrir de multiples opportunités de bilinguisme au sein de la plus grande université francophone et anglophone au monde. Neuf des onze programmes de baccalauréat en commerce sont offerts en français, ce qui signifie qu’un étudiant qui maîtrise l’anglais et le français peut choisir d’étudier en anglais et en français, ou dans l’une de ces deux langues.
D’autres possibilités et incitatifs sont offerts aux étudiants pour qu’ils perfectionnent leurs compétences en langue seconde. Les anglophones qui souhaitent améliorer leurs compétences en français, mais qui suivent quand même la plupart de leurs cours en anglais, peuvent profiter du Régime d'immersion en français. Ce régime permet aux étudiants de suivre certains de leurs cours réguliers en français, tout en ayant la chance de bénéficier d’une bourse de 1 000 $ pour chaque année qu’ils y participent, s’ils répondent aux critères d’admissibilité. Au cours de leurs deux premières années, les étudiants ont la possibilité de suivre des cours d’encadrement linguistique afin d'acquérir une base solide en français. En troisième et quatrième années, les étudiants passent à des cours plus avancés liés à la communication orale et écrite.
En ce Mois de la francophonie, Telfer met en valeur quatre clubs et comités qui valorisent l’inclusion de la langue française et de la culture francophone dans la communauté Telfer.
Le Comité des compétitions Telfer
Chaque année, des étudiants de premier cycle de Telfer participent à plusieurs compétitions de cas où les francophones peuvent s’exprimer dans leur langue maternelle, dont les Jeux du commerce (JDC), le Happening Marketing (HM), le Symposium GRH et l’Omnium Financier (OF). Le Comité des compétitions Telfer (CCT) recrute et organise les équipes de Telfer qui représenteront l’École à ces compétitions. « Le Comité des compétitions Telfer permet aux étudiants d’utiliser ce qu’ils ont appris en classe dans une situation de consultation réelle », mentionne le président du CCT, Elias Azzi. Les participants du CCT peuvent développer leurs compétences en matière d’analyse, de résolution de problèmes et de communication en français et en anglais en apportant des solutions à des problèmes d’affaires réels lors d’une étude de cas.
Les JDC sont une grande compétition pour les étudiants offerte aux Canadiens dans le cadre de leurs études de premier cycle dans l’Est du Canada, qui attire habituellement 1 300 participants de 13 écoles différentes chaque année. La compétition se déroule principalement en français, bien que les études de cas puissent être présentées dans la langue de choix de chacun des groupes. Par ailleurs, Happening Marketing est la plus importante compétition de marketing interuniversitaire dans l’Est du Canada, avec 10 universités concurrentes. Le HM comprend 6 cas universitaires, 1 quiz et 3 volets : sociale, participation et sports. Enfin, Omnium Financier est la plus grande compétition universitaire en finance et en comptabilité dans l’Est du Canada. L’événement vise à promouvoir les carrières dans ces deux domaines, à regrouper les étudiants de différentes universités et à leur permettre de réseauter avec des experts de l’industrie.
Ces compétitions, supervisées par le Regroupement étudiant des facultés d’administration de l’Est du Canada (RÉFAEC), sont entièrement bilingues, mais se déroulent majoritairement en français en raison de la démographie des universités concurrentes. « Une bonne maîtrise du français permet aux étudiants de mieux interagir avec les commanditaires et les délégués des autres universités », déclare Elias. Ce dernier aime aussi ces compétitions parce qu’elles lui permettent d’élargir son réseau : « En tant qu’étudiant bilingue, c’est agréable de participer à un événement où le français prévaut. C’est agréable également de rencontrer de nouvelles personnes et de réseauter dans la langue de son choix. »
Les membres francophones du club contribuent largement à l’avancement du Comité des compétitions Telfer. « Les dirigeants francophones apportent énormément. », exprime Elias. Certaines compétitions sont organisées en français dans différentes régions du Canada et du Québec. Par conséquent, l’équipe doit avoir des représentants qui peuvent communiquer en français avec d’autres comités. « Nous avons vraiment besoin d’une équipe de direction bilingue pour bien juger et servir chaque étudiant sur un pied d’égalité », dit Elias. La langue française occupe également une place importante dans le processus de recrutement pour les compétitions.
En tant qu’ancien élève du Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE), Elias a choisi d’étudier principalement en français à Telfer. « C’était près de chez moi, mais plus important encore, c’était complètement bilingue », raconte Elias. En 2020, il est devenu président du Comité des compétitions Telfer et il est fier d’en faire partie, « Je crois que CCT est le club/comité le plus bilingue que Telfer ait à offrir, car la plupart de nos compétitions ont lieu au Québec. Le CCT est entièrement inclusif et attire des étudiants unilingues et bilingues qui participent à ses compétitions et à son comité exécutif. »
Place à la jeunesse
Les Jeux du commerce ont également fondé l’initiative Place à la jeunesse (PALJ) en 2004. Cet événement francophone consiste en une compétition de cas de niveau universitaire offert uniquement aux élèves franco-ontariens du secondaire. En plus de promouvoir la langue française, PALJ permet aux élèves de se familiariser avec le monde des affaires et d’obtenir des bourses d’études à l’Université d’Ottawa. « Nous croyons aussi qu’il est important d’avoir la possibilité d’étudier dans sa langue maternelle dans le cadre d’études postsecondaires », mentionne Émilie Desrosiers, coordonnatrice pour Place à la jeunesse. La compétition est l’occasion idéale de rencontrer de nouvelles personnes : « Tu peux aussi tisser des liens et améliorer tes compétences en réseautage avec des membres d’autres écoles, des étudiants de l’Université d’Ottawa et nos juges invités. »
La compétition commence par une ronde préliminaire au cours de laquelle plus de 90 élèves franco-ontariens du secondaire résoudent des cas dans trois matières universitaires, soit le marketing, l’entrepreneuriat et la comptabilité. Le comité principal choisit ensuite 24 équipes, huit par sujet, pour le dernier tour. De même, pour les JDC, les équipes de chacune des trois catégories universitaires reçoivent le même cas à étudier. Même si l’événement se déroule entièrement en français, les équipes peuvent présenter dans la langue de leur choix. Un groupe d’universitaires et d’experts en affaires évalue le travail de chaque équipe pour déterminer le gagnant.
Place à la jeunesse est l’un des rares clubs sur le campus où le français est prédominant au sein du comité organisateur. Catherine Gringas, présidente de Place à la Jeunesse, a partagé son expérience et ses motivations à participer à ce club : « Je suis vraiment fière de dire que chaque année, notre comité organisateur est composé d’étudiants qui étudient en français, apprécient la langue et croient en l’importance de l’éducation postsecondaire en français. » Catherine travaille à PALJ depuis 2019 et est devenue présidente en 2021. « J'ai commencé à m'impliquer dans Place à la jeunesse en tant que bénévole en 2019 et j'ai adoré le concept de la compétition, le mandat du club et les personnes qui en font partie. »
Malgré le défi inévitable d'un environnement virtuel cette année, il était important pour le groupe de s'assurer que PALJ ait quand même lieu pour que les élèves aient l'occasion de se dépasser. « Nous sommes tous très fiers d’accueillir cette compétition tous les ans, même si nous devons l’adapter », mentionne Émilie. Place à la jeunesse organisera deux compétions cette année, en avril et en novembre, et commencera le recrutement pour son comité au cours de l’été. « Nous sommes toujours à la recherche de personnes passionnées qui ont à cœur l’éducation, l’entrepreneuriat et le français pour nous aider à organiser l’événement. », a déclaré Catherine.
L'organisation caritative CASCO
Tous les ans, l’organisation caritative étudiante de Telfer CASCO recueille des fonds pour le Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) et met en valeur les étudiants et leurs talents lors du gala annuel. L’événement comprend différentes formes d’art, comme la danse, la musique et la mode. CASCO réunit des étudiants, des membres de la communauté d’affaires et des résidents d’Ottawa autour de la cause commune de la collecte de fonds pour le CHEO. L’an dernier, l’organisme a réussi à recueillir plus de 53 000 $ pour le programme de thérapie récréative du CHEO.
L’équipe de CASCO recrute des membres sur les plateformes de médias sociaux comme Instagram et Facebook. Au sein de son équipe, l’organisation encourage les membres à parler la langue de leur choix : « Ce qui, espérons-le, permettra à nos membres francophones de se sentir plus à l’aise tout en posant des questions et en sachant qu’ils peuvent s’exprimer dans la langue avec laquelle ils sont le plus confortables. », mentionne Danika Dumoulin, v.-p. du développement de CASCO. L’équipe communique également avec son public francophone au moyen de questions et réponses sur Instagram, où les réponses sont données en anglais et en français afin que tous les étudiants se sentent à l’aise de participer.
Les étudiants impliqués dans l'organisation caritative CASCO peuvent s’attendre à « développer des compétences interpersonnelles en travaillant en équipe et en collaborant avec les autres. » En effet, le club travaille ensemble dans le but commun d’aider ceux qui sont dans le besoin. « CASCO enseigne aussi aux étudiants l’importance d’aider les autres et de démontrer que n’importe qui peut faire une différence s’il le veut », explique Danika. En tant que vice-présidente et étudiante francophone, Danika a rejoint CASCO avec l’objectif d’en faire un club bilingue : « En rejoignant CASCO et en rencontrant tous ces autres étudiants en gestion, j'avais l'impression que le programme en français était un peu une bulle fermée. »
Les étudiants qui se joignent à CASCO ont l’occasion de rencontrer des gens en dehors de leur programme et d’établir des liens qui peuvent durer toute une vie. Danika a fait part de son conseil aux futurs étudiants qui souhaitent se joindre au club, « J’encourage certainement les étudiants francophones à se joindre à CASCO, c’est une excellente façon de rencontrer de nouvelles personnes qui étudient dans le même domaine que vous. Le programme en français n’inclut pas tous les étudiants de Telfer, et je pense qu’il est très important de s’en rappeler! Je ne pourrais imaginer une meilleure façon de me souvenir de mon expérience universitaire. Non seulement j’y ai rencontré certains de mes meilleurs amis, mais ils m’ont donné une deuxième famille sur laquelle je pouvais compter. »
Conseil étudiant Telfer
Le Conseil étudiant Telfer (CéTSC) représente plus de 4 000 étudiants de premier cycle inscrits au baccalauréat en sciences commerciales de Telfer. L’équipe, composée d’environ 25 représentants de milieux différents, organise des événements annuels dédiés à la communauté Telfer et aide d’autres clubs de Telfer à financer et à gérer leurs différents événements. Ils accueillent à l’école chaque nouvelle cohorte d’étudiants de première année du B.Com., organisent une célébration pour chaque classe de finissants et organisent un événement reconnaissant les innombrables réalisations de la communauté des clubs de Telfer.
Le CéTSC accorde de l’importance aux communautés francophones et anglophones, mais s'efforce de mettre en place des initiatives davantage axées sur le français au sein du club : « Nous avons la responsabilité de veiller à ce que notre matériel et nos services de communication soient offerts dans les deux langues officielles. », explique Nick Gratton, v.-p. marketing au CéTSC. Il ajoute également qu’il espère voir plus de francophones s’impliquer au sein du conseil étudiant à l’avenir : « Les étudiants qui cherchent à pousser de l'avant la culture francophone et la fierté francophone à Telfer devraient sans aucun doute s’impliquer auprès du CéTSC. Si quelque chose vous passionne, qu’il s’agisse d’un changement général, d’un sujet ou d’une cause en particulier, joignez-vous au CéTSC et participez aux clubs de Telfer. C’est vraiment la meilleure façon de contribuer à la culture étudiante et à l’expérience étudiante à Telfer. »
Chaque année, les étudiants peuvent poser leur candidature pour participer à l'élection annuelle, puis, une fois la campagne terminée, les étudiants de Telfer votent pour les personnes qu’ils souhaitent voir assumer chaque rôle au sein du CéTSC. Certains rôles exigent le bilinguisme comme les postes de v.-p. marketing et v.-p. académique, qui exigent la réussite d’une évaluation des compétences linguistiques pour assurer la maîtrise du français et de l’anglais, afin qu’ils puissent s’assurer de communiquer avec le corps étudiant dans les deux langues officielles.
De nombreux clubs de Telfer s'assurent de donner aux étudiants francophones l'opportunité de s'impliquer dans des activités académiques, professionnelles et sociales. La diversité apportée par les étudiants qui maîtrisent le français permet aux clubs de participer à des compétitions à plus grande échelle, d’organiser des événements en français, de réseauter en anglais et en français, et de recruter des étudiants dont la langue maternelle est le français. Nous nous réjouissons de continuer à voir des initiatives centrées sur le français et des opportunités pour les étudiants francophones de s'impliquer dans l'expérience étudiante à Telfer.
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Félicitations à Vusal Babashov, maintenant diplômé au doctorat de Telfer, pour avoir terminé avec succès son programme de doctorat. Il a soutenu sa thèse sur les problèmes pratiques de l'analyse des soins de santé il y a tout juste quelques semaines.
Premier d'une longue série de doctorants
Vusal a présenté un récapitulatif de sa thèse et a défendu celle-ci à la suite de deux séries de questions pointues posées par les membres du jury. Satisfaits de ses réponses, ils ont unanimement reconnu qu'il avait soutenu sa thèse avec succès. Il sera donc le tout premier étudiant à avoir officiellement complété son doctorat à l'École de gestion Telfer.
Vusal a commencé ses recherches sur les systèmes de santé en 2016 lors de la création du doctorat en gestion de Telfer. « Ces quatre années de doctorat ont été incroyables, stimulantes et parfois même stressantes. », a déclaré Vusal en faisant le point sur son parcours à Telfer. « C'est une aventure longue et unique par laquelle vous devenez non seulement un expert dans votre domaine de recherche, mais aussi une meilleure personne, plus motivée et dotée de compétences en matière de résolution de problèmes et de leadership. Il y a certainement beaucoup à apprendre de cette expérience. Je suis profondément reconnaissant à tous, y compris à mes superviseurs, pour le soutien et les conseils qu'ils m'ont apportés tout au long de ce parcours. Je suis heureux d'avoir pu enfin atteindre la ligne d'arrivée de ce marathon, et je souhaite bonne chance aux autres candidats au doctorat. »
La ligne d’arrivée
Vusal a travaillé en étroite collaboration avec ses codirecteurs de thèse, Jonathan Patrick, professeur titulaire et vice-doyen (faculté) à Telfer, et le professeur adjoint Antoine Sauré, tout au long de son parcours de thèse. Le professeur Patrick a fait part de ses réflexions sur sa collaboration avec son étudiant : « Ce fut pour moi une grande satisfaction de voir Vusal soutenir sa thèse. L'élaboration d'une thèse digne d'être défendue est un processus long et difficile. Chaque recherche comporte ses obstacles - des pistes prometteuses qui ne mènent nulle part, des éléments déroutants qui prennent des mois à comprendre - et je sais qu'à de nombreuses reprises, Vusal a été tenté d'abandonner. Le fait qu'il ait persévéré et qu'il soit maintenant capable de récolter les fruits de cette détermination témoigne de son caractère. Alors, félicitations à Vusal d’être le premier diplômé du programme de doctorat de Telfer! »
Le professeur Sauré a également témoigné de son sentiment de fierté envers ce fait d’arme : « L’expérience que Vusal a acquise, son dévouement, sa détermination à maîtriser de nouveaux concepts et son désir de faire une différence positive dans son travail sont des atouts qui feront de lui un excellent professionnel peu importe le cheminement de carrière qu'il choisira. J'attends de lui qu'il continue à enrichir notre domaine de différentes manières, car sa contribution est très précieuse ».
Vusal a jusqu'au 18 février pour compléter la révision suite aux commentaires reçues lors de la présentation de sa thèse, qui sera ensuite approuvée par ses directeurs de thèse avant d'être officiellement soumise à la bibliothèque de l'Université d'Ottawa.
Sujet de la thèse :
Trois problèmes pratiques dans l'analyse des soins de santé
Jury/examinateurs :
Gilles Reinhardt, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Jonathan Li, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Onur Ozturk, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Peter Vanberkel, professeur associé à l'Université de Dalhousie
Codirecteurs de thèse :
Jonathan Patrick, professeur titulaire à l'Université d'Ottawa
Antoine Sauré, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Présidente du jury :
Samia Chreim, professeure titulaire à l'Université d'Ottawa
Date de la soutenance :
Le lundi 18 janvier de 9 h à 12 h (HNE)
Vusal est le premier des nombreux étudiants qui termineront leur doctorat cette année à Telfer. Nous sommes extrêmement fiers de tous nos candidats au doctorat et nous nous réjouissons de leur succès.
Restez à l'écoute pour en savoir plus sur cet important jalon pour Telfer. Félicitations à tous les professeurs, membres du personnel et étudiants qui ont aidé Vusal tout au long de son parcours et ont rendu cet exploit possible.
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Par Dorra Jlouli, Ing, Agr, MBA
Professeure à temps partiel à l'École de gestion Telfer, uOttawa
Nos étudiants du MBA de l'École de gestion Telfer dans le cours Leadership et gestion (MBA5636) se sont sentis fiers ce semestre de faire l'expérience d'une simulation en ligne interactive pour acquérir des compétences en leadership les préparant à mener avec succès le processus de gestion du changement dans leur organisation!
« Nous sommes très fiers d'avoir fait partie du premier groupe en Amérique du Nord à réaliser la simulation en ligne de Wallbreakers Leadership ! », ont déclaré Vickie L., Mireille N., Cherlande R et Charlotte K., candidates au MBA 2022 à l'École de gestion Telfer.
« Je remercie chaleureusement l'Université d'Ottawa et la professeure Dorra Jlouli de nous avoir fourni cette riche expérience dans le cadre de notre parcours MBA », a ajouté Mireille N.
Qui n'aurait pas rencontré de défis lors de la gestion de la résistance de son équipe causée par un processus majeur de changement d'organisation? Notre contexte récent du COVID-19 est le meilleur exemple partagé.
Des méthodes d'enseignement innovantes
Notre récent passage à la formation en ligne dans notre Université d'Ottawa est en soi un changement important qui a eu un impact majeur sur nos méthodes d'enseignement que nous utilisons. Cela dit, ce contexte a également été une belle opportunité nous obligeant à être à l'avant-garde avec des méthodes d'enseignement innovantes. «Le Programme de financement de l'innovation pédagogique de l'École de gestion Telfer a appuyé nos initiatives visant à innover dans notre façon d'enseigner», a déclaré Dorra Jlouli. Ma certification pour l'utilisation et l'animation d'un atelier avec la simulation de leadership Wallbreakers a été soutenue par ce fonds d'innovation », a-t-elle ajouté. C'est un excellent exemple prouvant l'efficacité de l'apprentissage par l'action où les élèves apprécient le jeu tout en apprenant des compétences de leadership.
“Honnêtement, je classerais cette méthode en tête de liste pour apprendre la gestion du changement et le leadership en général! » ”, a déclaré Arlette G., candidate au MBA 2022.
Durant la classe du cours précédant celle de l'atelier de simulation de deux jours, les étudiants ont appris les différentes théories liées au leadership et à la gestion du changement qu'ils doivent pratiquer pendant la simulation, essentiellement les styles de leadership Gauleman, les dimensions disc® 8 du leadership, les types de personnalité inspirés des Ungiens, l'approche Rick Maurer de la gestion du changement, ainsi que les huit accélérateurs de Jand Ohn Kotter.
Comment cela fonctionne?
Au cours de l'atelier, les étudiants sont répartis en 4 équipes où chaque équipe représente le gestionnaire de l'un des quatre grands départements de l'entreprise qui doit conduire le changement et surmonter la résistance de leurs 10 employés qui ont récemment entendu parler d'une fusion entre leurs entreprise et une organisation inconnue.
Les autobus, métaphore du jeu pour le département, sont présentés ci-dessous avec différentes couleurs (vert, rouge, jaune et violet). Les étudiants sont en compétition et chaque équipe voit simultanément la façon dont les autres équipes gèrent leur département pour réussir leur processus de changement. Les étudiants doivent prendre les bonnes decisions afin de faire avancer leur autobus “département” de la première phase du processus de changement (la phase de démarrage) vers la dernière phase du celui-ci (celle de l’ancrage).
Ils sont mis au défi de garder autant d'employés à l'intérieur de l'autobus tout au long du processus de changement.
C'est un défi permanent, car «l'employé virtuel» résiste tout au long des trois phases du processus de changement.
Les étudiants doivent gérer à la fois la vitesse avec laquelle ils décident de mener le changement pour faire avancer les autobus (la vitesse de gestion du changement) et doivent également prendre les actions de leadership appropriées pour gérer la résistance de leurs employés. Ils voient immédiatement l'effet de leur décision en termes de résistance des employés comme La seule façon de surmonter la résistance de leurs employés est de choisir la décision de leadership appropriée pour ramener leur employé dans l'autobus «leur service».
«À travers un cas pratique sur la gestion d'une fusion de deux entreprises, je me suis amusé à utiliser l'outil Wallbreakers. Cela a permis à notre équipe d'avoir un retour en temps réel des collaborateurs sur nos différentes décisions et d'ajuster régulièrement nos actions afin de rallier tout le monde », a rapporté Pierre C.H.
La séance de débriefing qui suit la simulation est aussi importante, sinon plus importante que la simulation elle-même, car les étudiants synthétisent sur leur expérience, partagent les leçons apprises, réalisent et comprennent les conséquences de leurs décisions de leadership et commentent leur propre style de leadership et comment cela affecte la dynamique de l'équipe. Ils font le lien entre la théorie et leur expérience d'apprentissage actif.
“La simulation Wallbreakers nous a permis d'exercer nos différents styles de leadership et de comprendre que le leadership situationnel était celui qui convenait le mieux à la mobilisation d'équipe et à l'atteinte des objectifs”, a déclaré Charlotte K., candidate au MBA 2022.
Quels sont les avantages pour les étudiants du MBA?
Pour les étudiants en MBA, qui ont déjà une expérience en gestion, les méthodes d'apprentissage actif telles que l'utilisation de simulations, conviennent parfaitement. En effet, cela leur offre un environnement similaire à une situation professionnelle réelle qu'ils auraient pu vivre. Cela stimule leur capacité d'apprentissage en les aidant à établir des liens avec leur propre expérience. Ils apprennent de leurs erreurs et capitalisent sur leurs succès.
« L’expérience Wallbreakers m’a permis de mettre en action les notions théoriques apprises dans le cours, immédiatement. Nous avons eu l'occasion d'avoir plusieurs discussions importantes en équipe sur la gestion du changement et le leadership qui me seront utiles dans mon cheminement professionnel. » Justin Thibault, candidat au MBA 2022.
«La simulation Wallbreaker nous donne l'opportunité de mettre en pratique les concepts appris en classe. Nous l'avons vraiment vécu comme une vraie situation d'affaires, oubliant parfois qu'il ne s'agissait que d'une simulation, tant les débats étaient enflammés pour parvenir à une décision consensuelle au sein du groupe! », a ajouté Arlette G.
Pour en apprendre davantage, une séquence enregistrée de la session de débriefing sur la simulation du cours MBA5636 est disponible ici.