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Faire du jumelage c’est déjà bien, mais en l’honneur du 50e anniversaire de Telfer, nous avons pensé qu’il serait encore plus amusant de faire un stage d’observation inversée, alors qu’une diplômée s’est prêtée au jeu en se mettant dans la peau d’une étudiante en 2019 le temps d’une journée.
Au début de l’année, Marlene Patrick, une diplômée de la promotion de 1980 du programme de comptabilité à l’École Telfer, a passé une journée avec Nourhan Mohamed qui étudie en finance. À cette occasion, toutes deux ont pu constater à quel point l’École avait changé en 43 ans, depuis que Marlene avait décroché son diplôme.
En pénétrant dans le pavillon Desmarais, Marlene avait tout de suite aimé ce lieu baigné de lumière naturelle grâce aux larges baies vitrées du hall d’entrée. Aucune comparaison avec l’édifice historique de la rue Wilbrod où elle avait étudié à la Faculté de commerce.
Les deux consœurs d’un jour ont d’abord assisté à un cours sur la gestion des opérations, inscrit au programme de Nourhan. Marlene a alors constaté que, si la plupart des cours avaient changé de nom par rapport aux années 1970 – on parlait alors de gestion de la production plutôt que des opérations – l’École offrait toujours les mêmes cours de première et de deuxième année. Elle a aussi remarqué que les étudiantes constituent plus de la moitié de la classe. Sa promotion, elle, n’avait compté que 17 femmes sur 57 diplômés.
Après le cours, Marlene a ressenti une poussée de nostalgie en cheminant à hauteur des anciens pavillons de l’Université d’Ottawa, comme Morisset et Montpetit, où les étudiants de Telfer ont d’ailleurs encore des cours aujourd’hui. En revanche son sentiment fut tout autre en découvrant les nouveaux édifices STEM et CRX inaugurés en 2018. Elle a trouvé particulièrement invitantes les couleurs vives et le design novateur, mais elle surtout été impressionnée par le Makerspace Richard L’Abbé du pavillon STEM, où les étudiants peuvent concevoir en 3D.
À la fin de cette journée de jumelage pas comme les autres, Marlene a montré à Nourhan quelques-unes de ses photos de l’époque, quand elle vivait à la résidence Thompson de l’Université d’Ottawa, en plein campus, et de la remise des diplômes. Toutes deux ont alors conclu qu’une chose n’avait pas changé à Telfer en 43 ans, malgré les progrès technologiques, un nouveau look et même le changement de nom de l’École : sa communauté. Une communauté novatrice composée d’étudiantes et d’étudiants qui contribuent quotidiennement à #TelferNation.
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Les Gee-Gees ont célébré le groupe d’étoiles académiques canadiennes 2018-2019 ce mercredi 20 novembre. La réception annuelle met en vedette des étudiants-athlètes d’équipes et de clubs interuniversitaires ainsi que des clubs compétitifs qui ont représenté l’Université d’Ottawa qui ont maintenu une moyenne d’au moins 8 ou qui sont aux études supérieures.
En 2018-2019, plus de 220 étudiants-athlètes ont reçu cette mention. Chacun était une figure d’engagement, de dévouement et de passion pour le succès scolaire et sportif. L’histoire de Brendan Jacome, étudiant en finance membre de l’équipe de hockey masculin, raconte la persévérance et la reconnaissance des forces.
Originaire de Caledon (Ontario), Brendan Jacome est un étudiant de 24 ans en quatrième année à l’Université d’Ottawa. Sur la glace, il est un joueur clé pour le Gris et Grenat, et il amène son esprit combatif jusque dans ses cours.
« Environ la moitié de cours relèvent des mathématiques et c’est une de mes forces. Si je ne comprends pas une question, j’ai la volonté et le besoin de trouver la bonne réponse. Je vais m’asseoir et travailler dessus jusqu’à ce que je la trouve, » explique-t-il. « Je dois m’assurer de bien comprendre avant de passer à autre chose. Tu ne le vois pas comme une tâche, mais comme quelque chose qui te permettra de t’améliorer. »
S’améliorer est un processus qui prend place autant sur la glace qu’en classe. « Si tu travailles vraiment fort sur quelque chose et que tu as un objectif d’établi, tu as de bonnes chances de l’atteindre. Je pense que c’est une perspective précieuse qui s’emploie dans de nombreuses situations. »
Brendan aime côtoyer ses collègues de Telfer tout en ayant ses coéquipiers de l’équipe de hockey qui le soutiennent. « Dans mon groupe, il y a des gens qui viennent de partout dans le monde. C’est intéressant d’observer nos façons de faire les choses qui sont parfois différentes, mais en fin de compte, chacun est concentré et souhaite faire de son mieux. J’ai aussi de bons professeurs qui ont de l’expérience sur le terrain et qui sont très intéressants. »
« Beaucoup de gars dans l’équipe travaillent vraiment fort à l’école et plusieurs de mes colocataires sont en finance aussi. Nos entraîneurs veulent aussi s’assurer qu’on réussisse. Si on doit manquer quelque chose à cause d’un conflit d’horaire avec l’école, ils sont compréhensifs. » Huit joueurs de l’équipe de hockey masculin ont obtenu le titre d’étoile académique canadienne en 2018-2019.
Sur la glace, Brendan a acquis quelques statistiques intéressantes lors de la dernière saison : il n’a reçu aucune pénalité. Il a obtenu le titre national du joueur de hockey masculin au meilleur esprit sportif en partie pour ses statistiques, mais aussi en reconnaissance de sa qualité de jeu générale ; il était classé quatrième des Gee-Gees pour le nombre de points et troisième pour le nombre de buts comptés, et il est un excellent défenseur.
« Mon rôle est d’arriver et de compter des buts, pas de faire bouger les autres. Je suis plus utile pour mon équipe sur la glace qu’au banc des pénalités ! Mais j’aime travailler fort et m’assurer de bien jouer un match sous toutes ses facettes. »
Cette capacité d’être polyvalent a aussi été reconnue sur le campus. Il a remporté le Prix du recteur pour les Gee-Gees grâce à son dévouement exceptionnel dans ses études et sa communauté ainsi que pour sa performance comme athlète. En plus de sa MPC de 8,38, il participe activement aux efforts de l’équipe dans la communauté locale avec des ateliers. Il soutient aussi physiquement Movember, Hockey Gives Blood, Do It For Daron et les activités pour la fierté auxquelles les Gee-Gees participent.
Brendan attend la fin de ses études à l’Université d’Ottawa ce printemps. Autant le monde du hockey que celui des finances ont leurs portes ouvertes.
« J’aimerais continuer et jouer au hockey professionnel l’année prochaine. Je veux cependant plus que tout aider l’équipe à gagner cette année. J’y vais une année à la fois pour le moment et je verrai ce que ça donne. J’ai obtenu de bons stages lors des derniers étés auprès de bonnes firmes dans le secteur immobilier commercial. Je suis parti en bons termes et j’ai de bonnes relations, donc ce sont assurément des possibilités pour l’avenir. »
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Le 9 novembre 2019, 90 étudiants des écoles secondaires francophones de l’Ontario sont venus à Ottawa pour participer à la compétition d’études de cas Place à la jeunesse de l’École de gestion Telfer.
Chaque année, Place à la jeunesse est organisée par des étudiants de Telfer pour initier les élèves du secondaire au monde des affaires et les préparer à l’université. Dans le cadre de la 16e compétition qui s’est tenue cette année, 30 équipes de 90 écoles ont été sélectionnées pour tester leurs compétences en études de cas. Les étudiants ont participé à l’un des quatre volets suivants de la compétition : marketing, comptabilité, entrepreneuriat ou débat oratoire.
L’événement a commencé le soir précédant la compétition et les étudiants de Telfer ont animé des ateliers sur les techniques de PowerPoint, de résolution de problèmes et de présentation, afin d’encadrer les élèves du secondaire qui n’avaient jamais participé à ce type d’activité auparavant. Le lendemain, les équipes ont reçu leurs études de cas, ont élaboré des solutions et les ont présentées aux juges. Les lauréats ont reçu des commanditaires des bourses d’études à l’Université d’Ottawa totalisant 82 500 $.
L’École de gestion Telfer souhaite féliciter les gagnants de chaque catégorie :
Marketing
1re place: Emma Iusan, Vanessa St-Denis et Julianne Lacelle de l’ÉSC L’Escale
2e place: Ashley Edouard, Elyse-Anne Bordeleau et Saïma Altimo du CC Samuel-Genest
3e place: Kara D’Arcangelo, Chloé Emery et Christian Ricard de l’ÉSC Thériault
Comptabilité
1re place: Marika Brunet, Emma Phillips et Annabel Clément de l’ÉSC L’Escale
2e place: Mélodie Chartrand, Jade Poirier et Julien Lemieux de l’ÉSCR de Hawkesbury
3e place: Alexa Caron, Keenan Roy et Emma Bertrand de l’ÉSC Thériault
Concurrente remarquable: Marika Brunet
Entrepreneuriat
1re place: Lyra Sheldon, Cameron Chevalier et Mathias Lazure de l’ÉSC E.J. Lajenesse
2e place: Alexis Jeaurond, Laurie Boucher et Maxim Sauvé-Rozon de l’ÉSP Le Sommet
3e place: Patrick Ibrahim, Simon Willemsma et Cyril Fayek de l’ÉS Père-René-De-Galinée
Débat oratoire
1re place: Lia Charleois, Cassandra Joly et Catherine Vaillant de l’ÉSCR de Hawkesbury
2e place: Nathalie Shuh, Sarah Clouston amd Anne-Sophie Autale de l’ÉSP Le Sommet
3e place: Delhia Mainville, Kassandra Marleau et Marie Luciani-Grimaldi de l’ÉSC de Plantagenet
Meilleurs présentateurs
Marketing: Kara D’Arcangelo
Comptabilité: Mélodie Chartrand
Entrepreneuriat: Maxim Sauvé-Rozon
Débat oratoire: Marie Luciani-Grimaldi
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Du lundi 18 novembre au vendredi 22 novembre, l’Université d’Ottawa célébrera la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat par des activités et des ateliers uniques organisés par le Carrefour de l’entrepreneuriat de l’Université d’Ottawa.
Que vous établissiez des liens utiles au Salon de l’emploi: Entreprises en démarrage du Centre des carrières Telfer, que vous appreniez des notions de base en HTML à l’atelier Coding with Legacy, que vous soyez inspiré par de nouvelles idées d’affaires au compétition « Elevator Pitch » ou que vous assistiez à n’importe quel autre événement, n’oubliez pas de profiter des possibilités incroyables sur le campus pendant la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat. Consultez l’horaire et inscrivez-vous ici.
L’entrepreneuriat, va au-delà du simple démarrage d’une entreprise. L’esprit d’entreprise est aussi un état d’esprit et un mode de vie. Même avant que ne débute la Semaine mondiale, il n’est pas besoin d’aller très loin pour trouver l’esprit d’entreprise dans notre communauté! Notre université regorge d’innovateurs en herbe. Voici quelques conseils que certains étudiants entrepreneurs veulent communiquer à des étudiants intéressés par l’entrepreneuriat:
Alina Jahani, PDG et cofondatrice de HireFast
Après avoir obtenu son diplôme en systèmes d’information de gestion et en analyse (maintenant renommé Gestion des technologies de gestion) à Telfer, Alina a lancé HireFast, une entreprise SaaS qui lit des millions de points de données sur Github pour trouver des développeurs talentueux pour les recruteurs en quelques secondes.
Alina dit: « lancer sa propre entreprise est un processus passionnant qui vous laisse empêtré dans des tonnes d’informations quant à la meilleure piste à suivre pour votre entreprise. Cela étant, nombre de grands entrepreneurs s’enlisent dans des sables mouvants, ceux de la paralysie de l’analyse. La meilleure façon de ne pas s’enfoncer davantage est de sortir de son immeuble pour aller parler à vos utilisateurs de votre idée et de vos concurrents. »
Logan MacPherson, Co-Founder of Point3D Commercial Imaging
Il y a deux ans, Logan, étudiant en gestion et en entrepreneuriat, a lancé son entreprise en démarrage, Point3D Commercial, une entreprise interentreprises qui crée des expériences médiatiques pour permettre aux auditoires de naviguer numériquement dans un espace comme s’ils y étaient réellement.
Logan ajoute: « tout le monde veut réussir, mais seulement quelques-uns sont prêts à faire ce qu’il faut pour y arriver. D’après mon expérience, l’échec est un élément clé du processus, mais plus important encore, c’est la façon dont on apprend de l’échec qui détermine le succès. »
Andres Tovar, cofondateur de Noetic Marketer
Ancien spécialiste du marketing, Andres a lancé sa propre agence numérique spécialisée en marketing payant ,pendant qu’il étudiait le marketing à Telfer. Il dirige maintenant son entreprise à partir de Toronto.
Andres est de bon conseil, pour lui: « L’entrepreneuriat vise à ajouter de la valeur dans la vie des gens par le truchement d’une entreprise ou d’une organisation. Votre entreprise facilite-t-elle la vie des gens, la rend-elle plus agréable, plus abordable ou plus rentable? Vous n’avez pas besoin d’avoir une idée révolutionnaire ni beaucoup d’argent pour réussir, il vous suffit d’y croire, de réfléchir à cette question de façon critique et de continuer à travailler pour aboutir. N’imaginez pas qu’être entrepreneur est compliqué; cultivez plutôt votre esprit d’entreprise et cherchez à acquérir de nouvelles compétences. Plus vous serez passionné par le lancement de votre entreprise et plus vous y verrez clair. »
Consultez le calendrier de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat de l’Université d’Ottawa pour vous inscrire et pour communiquer avec certaines des personnes les plus brillantes et les plus créatives d’Ottawa!
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L'impact Telfer va au-delà de la salle de classe. Au cours des six dernières semaines, nous vous avons fait découvrir des expériences incroyables d'étudiants et de diplômés qui ont fait une réelle différence par leur implication, leur engagement communautaire, leur vision entrepreneuriale et leur dur labeur. Jetez un coup d'œil à nos capsules d'impact Telfer pour vous inspirer de la formidable contribution de #TelferNation sur notre campus, dans notre communauté et dans le monde.
L'impact du CASCO
Il y a 20 ans, deux étudiants Telfer motivés ont fondé l'organisme sans but lucratif CASCO. Chaque année, les étudiants de Telfer se réunissent pour organiser des événements spectaculaires qui permettent de recueillir des fonds pour les familles du Centre hospitalier pour enfants de l'est de l'Ontario (CHEO). Depuis, CASCO a contribué plus de 560 000 $ à cette cause.
L'impact Growcer
Après avoir visité des collectivités aux prises avec l'insécurité alimentaire dans le Nord du Canada, deux anciens élèves du B.Com. à Telfer, Alida Burke et Corey Ellis, ont créé un système hydroponique qui cultive les produits dans des conteneurs d'expédition remaniés. De là est née l'entreprise, The Growcer Inc. Aujourd'hui, l'entreprise fait partie du programme d'accélérateur d'Investissement Ottawa, et ses systèmes sont vendus partout au Canada, ce qui permet aux collectivités du monde entier de cultiver leurs propres produits.
L'impact du doctorat
Alex Chung, candidat au doctorat Telfer, fait des recherches sur la conception des technologies portables qui influencent le changement de comportement humain. Grâce au programme équilibré du doctorat, Alex peut mener une vie active et épanouie, tout en ayant un impact sur l'avenir des technologies portables.
L'impact de l'entreprise sans odeur
Anie Rouleau, une diplômée du baccalauréat en commerce de Telfer, vit son rêve en dirigeant sa propre entreprise de produits de nettoyage écoresponsables et certifiés B Corp, The Unscented Company (TUC). Grâce à son modèle d'affaires novateur, Anie a attiré l'attention du public grâce à son entente avec Dragons' Den pour vendre des produits TUC dans plus de 500 magasins Canadian Tire au Canada.
L’impact du MBA
Après avoir découvert le monde de l'administration alors qu'elle travaillait à l'Hôpital Montfort, Mélanie Potvin a décidé de renforcer son expérience avec un MBA en français à Telfer. Elle dispose désormais des connaissances et de la confiance essentielles dans son rôle de direction en tant que gestionnaire de projet pour le carrefour de santé d'Orléans à l'hôpital.
Ce ne sont là que quelques exemples du changement significatif créé par les étudiants Telfer. Et vous, quel sera VOTRE impact?
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Le MBA francophone de Telfer a été un énorme catalyseur de changement dans la carrière de notre diplômé Mélanie Potvin qui est aujourd’hui, la directrice du projet du Carrefour santé d’Orléan à l’Hôpital Montfort.
Ayant fait ses études au baccalauréat en physiothérapie à l’université d’Ottawa, Mélanie a débutée sa carrière dans le système de la santé. Après plusieurs années de services cliniques à l'Hôpital Montfort et dans la communauté d’Ottawa, elle a décroché un poste en santé et sécurité au travail. Dans ce poste, non seulement Mélanie a-t-elle été exposé à la sphère administrative du systèm de santé, mais cela a développé en elle un intérêt qui l’a pousser à vouloir en connaître d’avantage sur le monde de la gestion. C’est là qu’elle a décidé qu’un MBA était ce qui lui fallait pour accélérer sa carrière.
Lors de son application, Mélanie fut contacté par l’École de Gestion Telfer, afin de sonder son intérêt pour suivre l'entièreté de son MBA en français. La possibilité d’obtenir des bourses spécifiques à ce programme, mais surtout d’utiliser sa langue maternelle ont grandement charmés Mélanie, qui a sauté sur l’occasion de poursuivre un diplôme d’étude supérieures en français.
Après avoir travaillé dans le système de santé, Mélanie à appris, grâce au MBA de Telfer, conjointement avec ses cours du MSSG (Maîtrise en Gestion des services de santé) comment travailler sur le système même et les divers défis qu’il représente. Ses expériences éducatives et pratiques lui ont donc permis d’acquérir les compétence nécessaire en gestion de projets complexes.
Au delà de la gestion de projet, Mélanie a aussi développé ses habiletés en présentations orales, leadership, ressources humaines et autres outils de gestion importants dans ses nouvelles fonctions.
Mélanie peut maintenant dire qu’elle à ce qu’il faut pour créer un impact au travail et dans sa vie quotidienne.
En savoir plus sur le programme de MBA Telfer.
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Le monde des affaires a besoin d’un monde, et ça, c’est ce qu’a compris l’entrepreneure diplômée du programme B.Com. de Telfer, Anie Rouleau, lorsqu’elle a décidé de se lancer en affaires avec son entreprise écoresponsable et certifié B Corp, The Unscented Company. (TUC).
Bien plus qu’une simple compagnie de produits corporels et ménagers sans fragrance, TUC tente de redéfinir le concept même de la propreté en misant sur l’innovation et l’écoconception.
Pour Anie, le développement durable est non seulement une valeur fondamentale, c’est dans l’ADN même d’Unscented Co. En partant de la recherche et développement, à l’emballage minimaliste, recyclable et sans plastique, aux stations de remplissage chez des partenaires locaux, jusqu’au mobilier même de ses bureaux conçu à partir de matériaux recyclés, chaque décision est guidée par cette philosophie écoresponsable d’entreprise.
Sa redéfinition novatrice du modèle de consommation n'a pas été un succès immédiat, mais sa patience et ses fortes convictions auront finalement porté fruit dans un marché ou jusqu’à tout récemment, l’environnement n’était pas considéré en enjeu. Ça aura pris la vidéo d’une tortue avec une paille coincée dans le nez pour que les gens se réveillent” nous a-t-elle confié en entrevue. “Maintenant, on voit une réelle volonté de la part des gens à modifier leurs habitudes de consommations, et les affaires commencent à bouger.”
Et pour bouger, ça bouge. En date du 10 octobre 2019, Canadian Tire a annoncé lors d’une émission spéciale de Dragon’s Den sur les ondes de CBC, qu’ils allaient faire rentrer les produits TUC dans leurs 500 magasins au Canada. Bien qu’Anie voyait déjà un certain engouement autour de ses produits dans des marchés locaux, un distributeur national tel que Canadian Tire lui permettra d'amplifier son message, et ensemble, ils auront une réelle opportunité pour changer les habitudes de consommations du pays en entier.
Une inspiration pour la communauté d’affaires qui prouve que lorsque l’on a de fortes convictions, on peut réaliser nos rêves. Encore une fois Anie, félicitations, et nous sommes très fiers d’avoir parmi les nôtres, une diplômée qui a un si bel impact sur notre monde! #TELFERNATION
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Le Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance Telfer, installé dans l’édifice Desmarais à l’Université d’Ottawa, est un outil de premier plan qui renseigne les étudiants sur les marchés financiers.
Le laboratoire se caractérise par sa bande de cotations boursières en temps réel, par ses nombreux téléviseurs où s’affichent les nouvelles du monde entier et par ses 11 terminaux Bloomberg mis à la disposition des étudiants. Il est ouvert à tous les étudiants de l’Université d’Ottawa, tous les jours de 8 heures à 22 heures.
Chaque étudiant de premier cycle en commerce avec spécialisation en finances est appelé à se servir de la technologie Bloomberg dans ses cours de finances obligatoires et de base, ainsi que dans des programmes parascolaires, des ateliers et des concours.
Les terminaux Bloomberg permettent de dresser un historique des cours en bourse, d’examiner les états financiers antérieurs de sociétés publiques, d’effectuer des analyses approfondies de différentes industries et de suivre les tendances macroéconomiques.
Les étudiants peuvent aussi ajouter une corde à leur arc grâce à la certification Bloomberg Market Concepts décernée au terme d’un cours en ligne individualisé de huit heures qui donne un survol des marchés financiers. Il porte sur l’économie, les devises, les titres à revenu fixe et les actions. Normalement vendu au prix de 249 $ US, il est GRATUIT pour tous les étudiants détenteurs d’une carte d’identité valide de l’Université d’Ottawa.
De plus, le laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance est le premier du genre au Canada à être reconnu comme partenaire d’apprentissage Bloomberg (ELP). Cela signifie que le laboratoire organise un certain nombre d’ateliers, comme en littératie financière, sur les fonctions clés de Bloomberg, sur FactSet et sur l’introduction aux marchés des capitaux. Il s’agit d’une série en quatre parties qui aide les étudiants à acquérir et à mettre en pratique des compétences techniques en finance.
Récemment, le laboratoire a été inscrit sur la liste des programmes d’affiliation universitaires (PAU) de l’Institut des analystes financiers agréés (CFA). L’institut est en fait une association mondiale de professionnels en placements qui octroie le titre de CFA, la certification en mesure du rendement des placements et le certificat de la Fondation du placement.
Grâce à cette inscription au PAU, 10 nouvelles bourses seront accordées cette année à des étudiants de Telfer. Le gestionnaire du Laboratoire de recherche et d’apprentissage financiers a indiqué que « la bourse d’études pour le titre de CFA sera décernée à des étudiants obtenant d’excellents résultats scolaires, qui sont passionnés par la finance et qui aspirent véritablement à faire carrière sur les marchés financiers ». Les étudiants intéressés par le titre de CFA et qui aimeraient recevoir une bourse, sont invités à communiquer avec le gestionnaire du laboratoire s’ils ont des questions ou s’ils ressentent un grand intérêt pour les outils que le laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance a à offrir.
L’accès au laboratoire ouvre sur toute une diversité de possibilités et permet d’obtenir des bourses, mais aussi de participer à une variété d’ateliers offerts tout au long de l’année, ateliers que dispensent des professionnels de l’industrie comme des vice-présidents, des administrateurs de portefeuille et des professionnels de la gestion des biens appartenant à des firmes de premier plan.
Le laboratoire est aussi l’occasion pour les étudiants de participer au concours annuel de simulation de l’École Telfer. Les concurrents qui se classent en tête sont ensuite invités à prendre part au Rotman International Trading Competition (RITC) à Toronto, où ils se mesurent aux écoles du monde entier. La simulation est efficace pour fournir aux étudiants une expérience concrète dans un environnement de négociation financière. L’an dernier, l’équipe de Telfer s’est classée troisième au RITC.
Visitez dès aujourd’hui le laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance de Telfer afin d’améliorer vos compétences en analyse financière et d’en apprendre davantage sur les diverses possibilités dont nous venons de parler. Enfin, suivez ce qui se passe au laboratoire sur Facebook pour être au fait de ce qui s’y passe.
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Alexander est doctorant à l’École de gestion Telfer où il se spécialise dans les systèmes de santé. Il s’intéresse à l’application des méthodes d’analyse et de systèmes d’information de gestion aux enjeux liés à la santé, et plus particulièrement dans le secteur de la technologie mobile appliquée à la santé.
Il est titulaire d’une maîtrise ès sciences en systèmes de la santé avec une spécialisation en durabilité de l’environnement de l’Université d’Ottawa, et d’un diplôme de premier cycle en biologie de l’Université Carleton. Son mémoire de maîtrise portait sur la définition officielle, la mesure et la simulation de l’état de préparation des communautés côtières aux événements environnementaux catastrophiques.
Après avoir obtenu sa maîtrise, Alex a travaillé comme chercheur et expert-conseil indépendant en gestion tout en enseignant à temps partiel à l’École de gestion Telfer. Il a eu l’occasion de travailler sur divers sujets, notamment l’application de l’analyse d’options réelles et de la modélisation financière à l’industrie de l’énergie solaire en Ontario, ou encore la modélisation de la manière dont les organisations utilisent les médias sociaux pour prévoir les problèmes susceptibles de survenir. Alex s’intéresse aussi à la gestion des pêches et a participé, avec le gouvernement et le secteur privé, à plusieurs projets concernant la gestion des pêches et des zones côtières canadiennes.
Alex est membre de la Canadian Association of Management Consultants (Eastern Ontario Chapter Council) où il est responsable du marketing et des médias sociaux. Pendant son temps libre, il aime voyager, jouer au volleyball et faire du vélo ainsi que réparer ses nombreuses bicyclettes.
Alex est le récipiendaire de la bourse doctorale Lilian et Swee Chua Goh, la première bourse d’admission créé par des donateurs pour des candidats au doctorat à l’École de gestion Telfer.
Pour en savoir plus sur le doctorat en gestion.
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À l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa, nous croyons que c'est grâce aux expériences d'apprentissage pratique et au soutien des membres de la communauté que nous pouvons aider nos étudiants à atteindre leurs objectifs, accélérer leur carrière et avoir un impact positif sur notre avenir collectif.
C'est le cas de "The Growcer Inc." une entreprise sociale d'Ottawa co-fondée par Corey Ellis et Alida Burke, deux diplômés du programme du baccalauréat en commerce de Telfer. Le duo a eu l'idée de créer un système de culture hydroponique modulaire après avoir visité des communautés éloignées qui font face à l'insécurité alimentaire dans le Grand Nord canadien.
Le système hydroponique donne aux plantes tout ce dont elles ont besoin pour pousser dans un environnement contrôlé. Construits dans des conteneurs d'expédition rétro-équipés, les systèmes permettent aux collectivités nordiques, aux écoles, aux gouvernements autochtones et régionaux, ainsi qu'à d'autres entreprises et organismes sans but lucratif de développer des réseaux alimentaires locaux plus autonomes et durables.
Grâce aux cours spécialisés comme celui de fusion entrepreunariale et aux activités parascolaires tel qu'Enactus, Corey et Alida ont pu parcourir le monde, comprendre les défis auxquels font face les communautés et du même coup, bâtir leur entreprise.
Enactus est un organisme étudiant qui utilise le pouvoir de l'entrepreneuriat pour aider à résoudre des problèmes sociaux. En 2017, l'Université d'Ottawa est devenue l'un des premiers clients de "The Growcer" et a fait l'acquisition de l'un des modules pour cultiver des aliments locaux qui sont maintenant servis dans notre propre cafétéria.
Aujourd'hui, "The Growcer" compte plus de 15 employés et ses opérations se déroulent dans le cadre du programme d'accélérateur d'Investissement Ottawa au Cours Bayview.
Pour en savoir plus sur The Growcer Inc.
Pour en savoir plus sur l'entrepreneuriat à Telfer.
Pour en savoir plus sur la Branche Enactus de l'Université d'Ottawa.