Blogue de carrière
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« Pendant ma troisième année d’université, la plupart de mes pairs en comptabilité avaient accepté des placements coop au sein de divers cabinets de la région. Comme je n’étais pas étudiante coop, je commençais à me sentir désavantagée par rapport aux autres et je voulais faire quelque chose pour me distinguer. Je me suis jointe au Centre des carrières de Telfer à titre d’ambassadrice étudiante. En faisant du bénévolat pour de nombreux événements de Telfer, j’ai vite compris à quelque mois le réseautage peut être gênant. Comment faire pour aborder quelqu’un ou lancer une conversation? Comment tenir une conversation anodine tout en essayant de me démarquer des autres étudiants?
Je me suis donc inscrite à des événements de réseautage autres que ceux qui s’adressent aux étudiants en comptabilité et je me suis exercée sans la pression de chercher à obtenir un emploi. À la fin de mes quatre ans, j’ai commencé un poste à temps plein à KPMG directement à la suite de ma participation à des événements de réseautage à Telfer. Cinq ans plus tard, je travaille encore à KPMG et je peux vous dire que le réseautage est une aptitude qui s’acquière avec la pratique et qui continue à servir encore longtemps après la fin de vos études. »
- Leah Swanstrom, CPA
Gestionnaire aux services-conseils transactionnels, KPMG
B.Com. en comptabilité (2013)
Ancienne ambassadrice du Centre des carrières
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Dès notre naissance, nous sommes élevés pour aller à l’école, nous faire des amis, participer à des activités et avoir des loisirs à nous. Nous passons par la maternelle, le primaire, le secondaire pour faire ensuite des études postsecondaires puis, pour certains d’entre nous, des études supérieures. La question qui se pose est « pourquoi faites-nous donc toute cette scolarité? » Pour la plupart d’entre nous, c’est pour obtenir un emploi. Nous avons à l’idée qu’une fois diplômés, nous aurons un emploi. Mais il faut une certaine réflexion pour se rendre compte que rien n’est en réalité coulé dans le béton. Nous n’avons pas de garantie que le simple fait d’obtenir un diplôme nous décrochera un emploi. En fait, s’il y a un élément clé qui nous relie au monde du travail, ce sont les compétences que nous développons tout au long de notre vie.
Même dans nos tous débuts, nous apprenons et développons des compétences qui nous serons transférables plus tard en tant qu’adultes, comme la communication, la sympathie, l’empathie et l’honnêteté. À mesure que nous prenons de la maturité et continuons notre primaire ou entrons au secondaire, nous commençons à consacrer plus de temps à l’école et aux travaux, en plus des clubs, du bénévolat, etc. C’est à ce moment-là que nous commençons à découvrir notre identité, à développer notre intelligence émotionnelle, à voir dans quelles matières nous excellons et celles qui ne sont pas notre point fort. C’est aussi pendant ce temps que nous développons un esprit d’équipe et la capacité de travailler de façon autonome.
C’est pendant nos études postsecondaires que nous commençons en réalité à voir l’utilité de toutes ces compétences. En tant qu’étudiante en gestion, j’ai assisté à plusieurs ateliers organisés par le Centre des carrières de Telfer ou donnés par divers employeurs et j’ai vu à quel point on insiste sur le développement des compétences. C’est la partie que nous devons mettre en relief sur notre CV, notre profil LinkedIn et même en entrevue d’embauche. Dans nos entrevues, que ce soit pour des placements coop ou des emplois que nous avons trouvé nous-mêmes ou par le réseautage, il faut comprendre qu’il y a beaucoup de gens dans notre situation. Autrement dit, vous n’êtes souvent qu’un poisson parmi tant d’autres. C’est que les autres, comme vous, sont vraisemblablement en train d’obtenir leur diplôme ou l’ont déjà. Ainsi, les diplômes ne sont plus un facteur de différenciation (mais ne vous méprenez pas, c’est quand même très utile d’avoir un diplôme). Ce qui peut nous servir, par contre, ce sont nos compétences, celles qui feront de nous le gros poisson dans l’étang. Les employeurs veulent voir que nous pouvons utiliser ces compétences pour exceller dans nos fonctions et être un employé idéal.
Cela étant dit, même si bon nombre de nos compétences se développent au fil de nos études, de nombreuses autres s’acquièrent à l’extérieur de l’école. Pour ceux et celles d’entre nous qui travaillent à temps partiel, nous pouvons développer diverses compétences, notamment le service à la clientèle, la tolérance, le souci du détail, le sens de l’analyse, lesquelles sont toutes applicables à notre vie professionnelle. Même en passant du temps avec nos familles ou nos colocataires, nous pouvons améliorer notre capacité d’adaptation, nos aptitudes sociales et notre gestion du temps.
Au bout du compte, ces compétences ― celles que nous avons développées tout au long de votre vie, que ce soit dans notre vie personnelle ou à l’école ― nous façonnent et nous aident à exceller dans nos carrières. Et n’oubliez pas que même si « diplôme » et « emploi » peuvent être utilisés dans la même phrase, ce sont les « compétences » qui assurent un lien entre les deux.
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« Pendant ma première année, j’ai trouvé tout super facile, je réussissais bien à l’école et j’étais capable de me faire des amis facilement. Mon expérience a donc été formidable au départ. Rendue à ma deuxième année, c’était plus ardu à l’école, les cours devenaient difficiles et j’ai commencé en même temps à avoir deux emplois et à me joindre à des clubs. Toutefois, comme je ne maîtrisais pas encore ma gestion du temps, je n’étais pas aussi heureuse que j’aurais pu l’être.
Je suis tombée du haut de tout ce que j’ai bâti en deuxième année, mais j’ai aussi beaucoup beaucoup appris sur moi-même pendant que je me relevais. J’ai fini par trouver le moment de la journée qui me convenait le mieux et où j’étais le plus efficace. J’ai commencé à me réveiller plus tôt et à choisir mes cours en fonction des heures où j’arrivais le mieux à me concentrer. J’ai appris qu’il est préférable pour moi de tout noter et de consacrer beaucoup de temps à ma vie personnelle, en dehors de l’école et du travail. Si difficile qu’a été cette période, je suis reconnaissante de cette expérience et de ce qu’elle m’a appris! »
- Daniya
Étudiante de 3e année en gestion des ressources humaines
Ambassadrice du Centre des carrières
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Les entrevues d’embauche peuvent être intimidantes et il est souvent difficile de s’y préparer. Si une chose est sûre, c’est que vous serez vraisemblablement appelé à répondre à la fameuse question « Parlez-moi de vous ». Alors qu’elle semble si simple, cette question est souvent la plus redoutée. Les employeurs la posent généralement en premier pour apprendre à mieux vous connaître et avoir un meilleur aperçu de vos compétences. Voici trois éléments à inclure dans votre réponse pour faire une bonne impression dès les premières minutes de votre entrevue.
1) Qui êtes-vous?
Cet aspect devrait être séparé en deux parties. D’abord, discutez de votre parcours scolaire et professionnel. Expliquez pourquoi vous avez choisi votre domaine d’étude et pourquoi vous voulez y travailler. Mentionnez des aspects clés du domaine que vous aimez. Ensuite, essayez de montrer votre personnalité en ajoutant une phrase ou deux sur l’un de vos passe-temps ou sur une activité parascolaire à laquelle vous participez.
2) Quelles compétences ou expériences avez-vous acquises?
Pour répondre à cette question, il est important de se rappeler que l’employeur a votre CV en main. Faites preuve de concision et de confiance dans votre réponse, et ne vous lancez pas dans une longue tirade sur l’ensemble de votre parcours. Choisissez 2 ou 3 compétences ou expériences passées que vous jugez utiles pour le poste et approfondissez-les un peu. Assurez-vous de faire preuve d’enthousiasme et de laisser transparaître votre personnalité. C’est ce que l’employeur veut voir.
3) En quoi êtes-vous le meilleur candidat pour le poste?
C’est le moment d’établir un lien entre le poste pour lequel vous postulez et vos compétences et votre formation. Expliquez pourquoi vous voulez avoir le poste et en quoi vous êtes un bon choix pour l’entreprise. C’est un bon moment pour montrer que vous avez fait des recherches sur la compagnie en établissant des liens entre votre parcours et leurs besoins.
Pensez à la question « Parlez-moi de vous » comme à un « discours d’ascenseur » où vous faites valoir ce que vous avez à offrir. Votre réponse ne devrait pas être plus longue qu’une ou deux minutes. Maintenant que vous savez que cette question reviendra encore et encore et que vous savez comment y répondre le mieux possible, exercez-vous à y répondre encore et encore!
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Quand un mentor m’a dit pour la première fois de « créer mes propres possibilités », j’ai pris son conseil à la légère en me disant que toutes les perspectives qui s’offriraient à moi seraient trouvées par l’intermédiaire d’amis, de collègues, de membres de ma famille ou encore en ligne. Je n’arrivais pas à réellement saisir le concept de ces quatre mots. J’avais toujours utilisé et suivi des processus bien établis pour redonner de mon temps à des organismes de bénévolat, rencontrer de nouveaux gens et présenter des demandes de stage. Jusqu’à présent en 2018, j’ai eu la chance de me créer quelques perspectives intéressantes, notamment de décrocher un poste dans une entreprise de logiciels haute technologie, et de développer le Réseau de femmes en gestion (WMN) de Telfer et d’y occuper des postes de plus en plus importants.
J’ai ainsi appris que l’important n’est pas ce que vous dites, mais comment vous le dites. L’un des éléments les plus importants de la formule « Créez vos propres possibilités » est de pouvoir communiquer votre valeur de manière à faire valoir vos compétences et vos différentes réalisations. Par exemple, ma décision de faire le saut en gestion des ressources humaines dans ma dernière année me permet d’acquérir des compétences liées au capital humain, en complément de la formation en finance et en comptabilité que j’ai reçue ces quatre dernières années. Avec ces connaissances en main, je sais maintenant que je serai une femme d’affaires bien polyvalente à la fin de mes études et à mon arrivée sur le marché du travail. En lien avec ce concept, il y a celui de la connaissance de soi : apprenez à connaître vos compétences, vos intérêts et vos passions et ce que vous pouvez apporter à ceux autour de vous. Si vous savez ce que vous aimez faire et vous l’alignez sur vos valeurs personnelles et professionnelles, vous seriez mieux en mesure de choisir les possibilités qui vous conviennent.
Une autre partie importante de la formule se rapporte à votre volonté de sortir de votre zone de confort. C’est là que le changement se produit! Connectez avec les bonnes personnes et situations. Une fois que vous avez déterminé l’industrie dans laquelle vous aimeriez travailler, prenez des mesures concrètes et cherchez les situations de réseautage qui rassemblent des professionnels qui y travaillent. Saviez-vous que seulement 20 % des emplois sont affichés en ligne? Le 80 % restant des postes est pourvu par des recommandations de bouche à oreille et par des personnes qui créent ou recherchent activement ces possibilités. En assistant à des événements de réseautage, en rencontrant des gens aux vues similaires et en communiquant votre valeur (même en tant qu’étudiant), vous vous faites connaître et vous permettez aux gens de trouver facilement quelqu’un qui possède vos compétences et qui apporte une nouvelle perspective. Au lieu de chercher quelqu’un comme vous, ils vous voient apparaître juste devant eux!
La dernière chose que je voudrais mentionner est de garder l’esprit ouvert. Bon nombre d’entre nous ont déjà créé l’emploi ou le poste de bénévolat idéal dans notre tête. Toutefois, il est rare que nos plans se déroulent exactement comme nous l’aurions souhaité. Au lieu de vous concentrer sur ce que vous voulez exactement, soyez ouvert aux différentes façons dont votre plan pourrait se dérouler. En abordant votre plan avec flexibilité (par exemple, en sachant le quoi, mais en étant ouvert au comment), vous pouvez repérer des possibilités que vous n’aviez pas vues auparavant.
Créer vos propres possibilités peut sembler intimidant, mais lorsque vous l’aurez fait, il sera beaucoup plus facile de le refaire. Assurez-vous de bien vous connaître, communiquez votre valeur, établissez des liens avec les bonnes personnes et gardez l’esprit ouvert. En suivant ces conseils et en gardant une attitude positive et reconnaissante tout au long de votre processus, vous deviendrez plus conscient de tout le bien qui vous arrive!
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« Être présidente de CASCO a enrichi mon expérience à Telfer en me donnant l’occasion de diriger une équipe qui cherche à atteindre les objectifs de nos clubs en tant qu’étudiants en gestion, mais aussi à contribuer au plus grand bien de la communauté d’Ottawa.
J’ai aussi pu mettre en pratique la matière apprise dans la plupart de mes cours à Telfer, que ce soit en ressources humaines, en comptabilité de gestion ou en gestion stratégique. Pour être en mesure de diriger un groupe de plus de 100 étudiants au total, j’en ai appris davantage sur moi, sur mon style de travail et sur les aspects que je peux améliorer en une seule année que pendant toutes mes autres années universitaires combinées.
Que vous vous impliquiez au sein de CASCO, d’autres associations étudiantes, d’une équipe sportive ou que vous fassiez quoi que ce soit d’autre qui vous intéresse, ne limitez pas votre expérience universitaire à vos cours, parce qu’il y a tellement d’autres avenues pour votre apprentissage et votre développement. »
Eh Oh CASCO! ♥
- Chelsea
Présidente, Organisation caritative CASCO
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Le réseautage est l’une des activités que de nombreuses personnes trouvent stressante et que personnellement, je trouve enrichissante.
En tant que personne extravertie, j’aime échanger des histoires et expériences avec de nouvelles connaissances, je suis énergisée par la socialisation, et je me montre rapidement ouverte, amicale et accessible. Bien sûr, ces qualités facilitent le réseautage pour moi, car je suis naturellement attirée par les foules et je trouve facile de tenir une conversation avec les gens. Cependant, il y a d’autres aspects du réseautage qui sont tout aussi importants.
Voici mes conseils pour rendre le réseautage agréable, au lieu d’en faire une source de stress :
Ajustez votre perspective.
Changez vos idées sur ce que le réseautage est censé être. Beaucoup de gens considèrent ces événements comme des situations très stressantes alors que le réseautage consiste en réalité à rencontrer des gens, tout simplement. Il s’agit d’établir des liens avec d’autres et de se développer en tant que professionnel. Au lieu d’aller à l’événement avec comme objectif d’obtenir un emploi, vous devriez profiter de l’occasion pour poser des questions aux recruteurs ou aux professionnels sur le rôle, le domaine, les responsabilités, etc. Essayez de déterminer si c’est vraiment un bon choix pour vous. Vous montrerez ainsi non seulement votre intérêt et vous créerez un lien avec les bonnes personnes, mais elles se souviendront également de vous, ce qui aide à décrocher le poste au bout du compte. Personnellement, j’aime assister à ce genre d’événements pour me renseigner davantage sur diverses perspectives de carrière, pour faire la connaissance de gens qui pourraient me donner des conseils ou m’aider à un moment ou un autre de ma carrière, et pour en savoir plus sur de nouvelles ouvertures dans ma communauté.
Préparez-vous.
Faites vos recherches sur les personnes présentes à l’événement de réseautage. Utilisez LinkedIn pour voir qui parle de tel ou tel événement. Vous pourrez ainsi mieux cibler les bonnes personnes et tirer parti au maximum de votre temps à l’événement de réseautage. Pensez à des questions pertinentes à votre étape de préparation si vous craignez de perdre vos mots en parlant à un recruteur charismatique ou au PDG d’une grande entreprise! Se préparer à l’avance est tout aussi important que d’être physiquement présent à l’événement.
Allez de l’avant.
Pendant l’événement de réseautage, posez les bonnes questions aux gens que vous rencontrez. Voici quelques-unes de mes questions standard préférées (sans ordre particulier) : Qu’est-ce qui vous motive? Quelle est la partie de votre travail que vous préférez et pourquoi? Comment avez-vous obtenu votre actuel? Depuis combien de temps travaillez-vous au sein de votre organisation? Êtes-vous membre d’une association professionnelle? Selon vous, quelle est la compétence la plus importante requise pour faire carrière dans votre domaine? Quels conseils auriez-vous aimé recevoir au début de votre carrière? Si vous avez pris le temps de vous préparer, vous devriez avoir une idée des personnes qui seront présentes à l’événement et vous sentir plus à l’aise d’y aller. Demandez-leur aussi carte d’affaires avant de mettre fin à la conversation avec tact et assurez-vous de les remercier de leur temps et de leurs conseils. Une fois votre conversation terminée, prenez une minute pour noter quelques messages clés retenus de votre discussion avec le professionnel.
Faites un suivi.
N’oubliez pas de le faire dans les 24 heures suivant la rencontre. C’est aussi simple que d’envoyer un courriel (l’adresse devrait figurer sur leur carte d’affaires) pour les remercier encore une fois de leur temps, en résumant brièvement ce que vous avez noté et en leur transmettant toute information quelconque que vous aviez promis de leur envoyer, par exemple, des renseignements sur le club dont vous êtes membre à l’école.
En réalité, le réseautage est une compétence essentielle avec laquelle tous les étudiants en sciences commerciales devraient être à l’aise. Vous contribuerez non seulement à vous ouvrir des portes à l’avenir, mais vous deviendrez aussi plus à l’aise de parler de vous, de vos compétences et de vos objectifs de carrière, ce qui peut être une pratique particulièrement efficace pour vos futures entrevues d’embauche!
Pour faciliter le processus de réseautage, je recommande deux ateliers formidables : l’atelier Parlons « réseautage » (en anglais) et l’atelier S’initier à LinkedIn (en anglais), organisés par le Centre de carrières Telfer.
J’espère que ces conseils vous aideront à vous retrouver dans le monde (pas si ardu) du réseautage et à alléger votre stress avant d’assister à votre prochain événement de réseautage.
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Lorsque j’entends le mot « Telfer » la première chose qui me vient à l’esprit est le fait de s’engager dans la communauté de l’École. Eh bien devinez quoi! Ce n’est pas la première chose que j’ai faite durant ma première année.
Je savais que j’avais besoin de faire quelque chose de mon année scolaire, mais je ne savais pas quoi. Avant même la première journée d’université, mon but était de faire partie de la liste d’honneur du doyen. Avoir de bonnes notes aux examens allait m’aider à faire partie de cette liste, mais cela n’allait pas faire de moi une personne plus instruite professionnellement. J’ai donc commencé par faire partie d’une équipe intra murale de volleyball, mais ce n’était pas assez. Alors, vers la fin de ma première année, j’ai commencé à postuler pour des postes au sein de divers clubs de Telfer.
Mes diverses demandes ne portaient toujours pas fruit, mais cela ne m’a pas empêché de continuer à postuler. Gardant mon objectif en tête (de m’impliquer), j’ai fini par obtenir le poste de guide pour la Semaine 101 ainsi que le poste d’ambassadrice du Centre des carrières de Telfer. Quel exploit! Faire partie de la Semaine 101 était toute une aventure pour moi. J’ai eu l’occasion de rencontrer des personnes dans des années supérieures à moi qui m’ont parlé de leurs expériences en ce qui concerne le programme coop, la participation aux jeux du commerce, la gestion du stress et plus encore...
J’ai toujours été une personne très ouverte d’esprit, Alors les histoires des autres m’intéressent. Je peux vous garantir que maintenant, si vous me croisez dans un événement de réseautage, je vous demanderai « Quelles expériences avez-vous vécues? Qu’est-ce que cela vous a apporté? »
Le fait de s’engager dans la communauté Telfer ne devrait pas être vu comme une corvée. Je sais que cela est stressant, mais nous devrions voir cela comme une façon de s’ouvrir au monde et d’élargir son réseau, car les premières personnes avec lesquelles vous allez travailler dans le futur vont être vos collègues de classe. Alors pourquoi ne pas les rencontrer dans une ambiance décontractée? M’impliquer en tant que guide pour la Semaine 101 m’a permis non seulement de rencontrer des gens avec qui j’ai créé des liens d’amitié et de m’amuser énormément, mais aussi d’acquérir des compétences professionnelles qui me serviront pour le restant de ma vie. Mais le plus important pour moi durant cette semaine de folie était le fait que j’ai eu la chance de parler de MON expérience aux étudiants de première année que j’ai rencontrés. Je n’étais donc plus une auditrice, mais j’étais devenue une narratrice. Être guide de la Semaine 101 a été une expérience incroyable, mais j’ai hâte de voir les surprises que mon poste d’ambassadrice du Centre des carrières me réserve.
Sur cette note, si vous me croisez dans les corridors n’hésitez pas à me saluer. Ça me ferait plaisir de vous parler de mon expérience étudiante.
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« Telfer a été une réelle révélation, lorsque j’ai assisté aux portes ouvertes. J’ai été agréablement surpris par la proximité entre les professeurs et les étudiants. Moi qui venais d’un petit cégep, ce critère était très important. Ensuite, le fait que l’Université soit bilingue a véritablement confirmé mon choix.
Jusqu'à présent, mon expérience à Telfer a été très enrichissante. Être à Telfer, c’est être au cœur du monde. Dans notre faculté, nous avons la possibilité de côtoyer une multitude de cultures ce qui, présentement, demeure un grand avantage dans notre monde actuel. Ensuite, les séances de réseautage, les ateliers du Centre des carrières et les conférences m’ont permis de développer une attitude professionnelle et de rester au contact de la vie active.
Après Telfer, le plus important pour moi serait d’exercer le métier de comptable et pourquoi pas de monter un cabinet qui offre des services dans ce domaine. »
- Karl Franck
Étudiant de 3e année en comptabilité
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Je pense que nous pouvons tous comprendre en tant qu'étudiants, que nous soyons en première année ou à la veille d’obtenir notre diplôme, les difficultés que nous éprouvons parfois à choisir le bon cheminement de carrière. Me voici donc aujourd'hui pour vous faire part de conseils qui vous aideront à éviter autant que possible certaines de ces difficultés.
1. Choisissez une carrière que vous aimez
Vous voulez vraiment vous assurer que votre trajectoire vous plaira à long terme. Autrement dit, demandez-vous si vous pourriez vous voir encore aimer travailler dans un certain domaine dans 10 ou 20 ans d’ici. Si la réponse est oui, alors vous avez vraisemblablement pris la bonne décision. Sinon, vous avez encore le temps d’y remédier!
2. Faites-en l’expérience
Idéalement, vous avez besoin d’une expérience réelle dans votre domaine d’intérêt pour vous familiariser avec celui-ci et déterminer comment vos compétences cadrent avec votre domaine de travail souhaité. Vous pouvez généralement obtenir cette expérience précieuse par le biais du régime coop ou d’un stage. Vous apprendrez du même coup à mieux connaître vos forces et vos faiblesses et votre place dans le milieu du travail.
3. Faites du réseautage
Même si vous n’arrivez pas à acquérir de l’expérience pratique pendant vos études, c’est correct! Je vous recommanderais alors de saisir autant d’occasions que possible pour assister à des événements de réseautage et des ateliers organisés par le Centre des carrières. Parce qu’à part l’expérience pratique, il n’y a pas de meilleur moyen de se faire une idée plus complète d’un milieu de travail et des perspectives d’emploi qu’en apprenant en connaître des professionnels du domaine et en discutant avec eux. En janvier le trimestre prochain se déroulera RéseauT, le plus grand événement de réseautage pour tous les étudiants de Telfer. J’espère vous y voir!
