Blogue de carrière
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« Depuis que je me suis jointe à Legacy, je me suis découvert une passion, celle d’être pleinement impliquée au sein d’une communauté pleine de gens impressionnants et inspirants, de comprendre ce qui se passe en coulisses et les applications pratiques de mon programme, ainsi que les différentes activités du domaine des affaires, et tout cela m’a vraiment changée. »
- Isabel Gan
Directrice de la conférence Legacy
Étudiant en systèmes d’information de gestion et analytique d’affaires
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Dernièrement, j’ai réfléchi à mon premier stage de travail dans le cadre du programme co-op. J’ai tant appris dans ma deuxième année d’université, c’est fou. Cet été, en particulier, a été une période d’apprentissage continu et je vais vous en parler ici.
Avant
Lorsque j’ai commencé mon processus de recherche de placement cet hiver, je ne savais pas du tout si je voulais garder l’emploi que j’avais déjà et l’occuper à temps plein pendant l’été ou si je voulais me soumettre au processus de sélection pour trouver un autre emploi. Cette période a été plutôt stressante pour moi parce que je me disais, littéralement : « Cette décision définira la prochaine année de ma vie! ». Ça peut sembler extrême, mais je pense que nous nous sommes tous une fois ou l’autre retrouvé dans des situations comme celle-ci.
Le personnel du bureau co-op comprenait bien ma situation. J’ai quand même regardé les emplois sur le navigateur et j’ai même passé des entrevues pour certains d’entre eux. Bien que l’expérience ait été utile, j’ai finalement décidé de garder mon poste pour l’été. Si vous avez trouvé votre propre placement, c’est génial, bravo! Une telle autonomie signifie que vous êtes capable de trouver votre propre emploi, ce qui vous sera très utile à l’avenir.
Pendant
J’ai commencé à travailler en décembre chez seoplus+, une agence de marketing numérique établie à Ottawa, et quand l’été est arrivé, je m’y sentais à l’aise et bien accueillie. Au début du stage, j’ai commencé à assumer mes nouvelles fonctions, celles de spécialiste subalterne du marketing numérique. En quoi consistait mon poste? Eh bien, j’étais chargée des campagnes de médias sociaux pour plusieurs clients différents, j’ai travaillé sur les listes de Google My Business, et j’étais responsable du téléchargement d’articles de blogue sur les sites Web WordPress.
Tout au long de mon stage, j’ai pu affiner non seulement mes compétences techniques en marketing numérique, mais aussi ma capacité à travailler au sein d’une équipe au quotidien et à temps plein. S’adapter à une semaine de 40 heures comparativement à un trimestre de cours réguliers à l’université n’est pas chose facile, mais j’ai aimé avoir une routine fixe et j’arrivais mieux à planifier mon temps. Entendons-nous bien, il me reste encore à régler mon horaire de sommeil et à apprendre à bien planifier la préparation de mes repas.
Après
Dans l’ensemble, la période avant le début de ce premier stage n’a pas été de tout repos, mais une fois la logistique réglée, j’étais heureuse d’aller travailler chaque jour. Avec le recul, ce qui a fait de mon stage co-op une expérience mémorable, c’est précisément parce que je voulais y être. J’ai tâché de me lier d’amitié avec mes collègues de travail, de participer à des dîners d’équipe et d’assister à des webinaires, tout en cherchant à assumer de nouvelles tâches si l’occasion se présentait. Par ailleurs, n’importe quel emploi comportera des trucs qui vous plaisent et d’autres qui vous plaisent moins, et c’est normal! Efforcez-vous de trouver quelque chose que vous aimez et cherchez à l’intégrer autant que possible dans votre journée de travail.
Avec le recul, voici ce que je retiens de mon premier stage :
- Il n’y a rien de mal à choisir une démarche non traditionnelle.
- Assurez-vous de prendre une décision qui fera votre bonheur.
- Envisagez toutes les possibilités, ainsi que les avantages et inconvénients de chacune d’elles, pour éviter de prendre des décisions subjectives.
- Faites des efforts dans le cadre de votre stage.
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Sonya Gankina
Étudiante de 3e année, marketing |
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J’avais besoin d’un emploi. Cette pensée me trottait constamment dans la tête pendant mon deuxième trimestre. Je me disais que c’était parce que je voulais de l’expérience ainsi qu’un peu d’argent de poche. Mais en fait, j’étais surtout motivé parce que le domaine de la finance m’intriguait. Je ne savais honnêtement pas où commencer.
Un jour où je n’avais pas de cours, j’ai décidé d’aller voir toutes les grandes banques à Ottawa. Je me suis vêtu professionnellement (pantalon, veston et chaussures propres) et j’ai apporté une chemise qui contenait tous mes CV d’une page, rédigés à l’école secondaire. Alors, je me suis rendu à chacun des banques à ma proximité, dans ma tenue professionnelle.
Je me rappelle spécifiquement que je demandais aux représentants du service à la clientèle s’il y avait au sein de leur banque des ouvertures de postes ou des stages, et ils me répondaient simplement de vérifier le site Web. Rendu à ma troisième banque, je trouvais cela très frustrant à entendre. À l’occasion, ils acceptaient mon CV, mais je n’avais jamais aucune nouvelle de leur part. Après m’être déplacé à 9 différentes succursales bancaires, j’en avais assez et je suis retourné vers ma résidence, le moral dans les talons.
La semaine suivante, j’ai décidé d’aborder cette fâcheuse situation sous un angle différent. Je suis allé au Centre des carrières et j’ai fait examiner mon CV par quelques-uns de leurs ambassadeurs. Ils ont mis mon CV en pièces, mais c’était tellement utile en même temps parce que je l’ai ainsi beaucoup amélioré. J’ai ensuite modifié ma stratégie. Au lieu de me rendre physiquement à la banque en veston, j’ai plutôt décidé de les appeler. Les représentants du service à la clientèle me bloquaient encore le passage. Mais je me suis rendu compte que je pouvais élargir mes résultats de recherche pour inclure non seulement les banques, mais aussi des « sociétés d’investissement » et des « entreprises de gestion de patrimoine ». C’est ainsi que j’ai commencé à avoir plus de succès. Quelques personnes m’ont contacté, me demandant de leur envoyer mon CV par courriel, et deux mois plus tard, j’ai commencé mon stage à Exponent Investment Management.
J’espère que vous retiendrez certaines leçons de cette expérience et que vous les mettrez en pratique dans votre vie. D’abord, vous ne devriez pas juste postuler au sein de grandes entreprises ou banques parce qu’elles reçoivent une multitude de demandes d’emploi alors d’un point de vue statistique seulement, vous avez moins de chances d’être sélectionné. Essayez plutôt de postuler au sein de compagnies plus petites ou d’entreprises en démarrage. Ensuite, vous devez y mettre l’effort.
Comme le dit toujours mon ami lorsqu’il essaie de trouver l’amour de sa vie « c’est surtout une question de chiffres ». Vos chances d’être convoqué à une entrevue sont plus minces si vous avez postulé pour 3 emplois plutôt que pour 50. Alors, qu’attendez-vous?
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Justin Abraham
Étudiant en 2e année |
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Chers étudiants, je vous souhaite bon retour! J’espère que vous avez passé un bel été et que vous n’avez pas trop de difficulté à reprendre de bonnes habitudes de sommeil. Le retour en classe est aussi excitant qu’angoissant, mais n’ayez pas de souci. Vous trouverez vos cours et vous vous ajusterez bien vite à la routine. Nous savons que les premières semaines peuvent être complexes et nous sommes ici pour vous aider.
D’abord, vous faites des études pour vous scolariser et pour trouver un emploi au bout du compte, c’est ça? Eh bien, vous pouvez commencer dès maintenant! Chaque automne, par exemple, des organismes viennent sur le campus pour embaucher des étudiants de Telfer dans le cadre de leurs campagnes de recrutement universitaire. Cette année, nous attendons de nombreux représentants d’entreprises comme les quatre grands cabinets comptables, Accenture, Telus, la Banque du Canada, RBC, BDO (et de nombreux autres!), qui donneront des séances d’information, animeront des ateliers de carrière et participeront à diverses activités spéciales du Centre des carrières.
Pour tirer le maximum de ces événements, suivez les étapes suivantes :
1re étape : Préparation
Comme vous l’entendrez à de nombreuses reprises pendant vos années à Telfer, le réseautage est p-r-i-m-o-r-d-i-a-l. Pourtant, il n’est pas dans votre intérêt à long terme de simplement vous présenter aux événements sans bien vous y préparer. Pour bâtir des relations, vous devez faire certaines choses à l’avance.
D’abord, vous devez avoir un profil LinkedIn complet avec des descriptions de vos emplois et de vos expériences de bénévolat, une bonne photo de profil que vous pouvez obtenir à l’un des événements du Centre des carrières et un nombre respectable de relations.
Ensuite, si la plupart des professionnels utilisent LinkedIn, un certain nombre ne le fait pas alors il est utile d’avoir en main des cartes professionnelles avec votre nom, votre programme d’étude, vos coordonnées et un titre de fonction, possiblement au travail ou au sein d’un club. Assurez-vous d’avoir un CV à jour et des lettres de présentation prêtes à être utilisés (nous pouvons vous aider à en créer).
2e étape : Recherche d’information
Maintenant que vous êtes prêts à faire du réseautage, il n’est pas suffisant de choisir un événement et de vous y présenter. Je vous donne un point pour l’effort, mais vous devez viser un résultat à long terme. Pour ce faire, la planification est cruciale. Si vous voulez, vous pouvez choisir quelques entreprises qui vous intéressent et au sein desquelles vous aimeriez travailler à l’avenir. Sinon, vous pouvez vous concentrer sur le type d’expériences que vous aimeriez avoir, par exemple, développer des compétences en marketing numérique à une agence, puis travailler ailleurs en publicité et en relations publiques.
Une fois vos intérêts déterminés, vous pouvez commencer par vous renseigner sur les possibilités offertes. Consultez le Calendrier des événements du Centre des carrières de Telfer et voyez quels événements vous intéressent! C’est aussi une bonne idée de vous impliquer au sein de clubs et d’organismes qui se rapportent à votre programme d’étude, comme le Réseau de femmes en gestion, pour élargir vos perspectives et vous bâtir un réseau. Si vous vous intéressez à certains organismes, assurez-vous de les suivre sur les médias sociaux puisqu’ils organisent souvent des événements de recrutement hors campus pour les étudiants ou offrent des visites de leurs locaux, une excellente façon d’en savoir plus sur leur entreprise!
Lorsque vous avez fait toute la planification voulue et trouvé les événements auxquels vous aimeriez assister sur le campus, n’hésitez pas à élargir votre champ d’activités à celles qui ont lieu dans la région. Un événement auquel j’aime assister est Creative Mornings, une série de déjeuners mensuels (gratuits!) avec des conférenciers d’Ottawa, qui se déroule à différents endroits dans la ville. Vous pouvez y rencontrer tellement de gens intéressants, surtout si vous êtes dans un domaine créatif.
3e étape : Réseautage et résultats de vos efforts
Voyez où vous en êtes rendu! Vous vous êtes préparé, vous vous êtes renseigné et vous avez planifié votre démarche. Ce qu’il vous reste à faire maintenant est d’aller aux événements que vous avez choisis! Non seulement pour y faire une impression marquante, mais aussi pour en retirer quelque chose à long terme. Et comment y parvenir? Lorsque vous entrez dans la pièce, regardez rapidement autour de la salle pour voir quelles entreprises ou quels professionnels s’y trouvent, faites un tour de la salle et souriez poliment aux gens qui croisent votre regard. Buvez un peu d’eau ou de café pour vous donner du courage et abordez la personne (de préférence sans une assiette de nourriture en main). Serrez leur main avec confiance et présentez-vous.
Après une conversation plaisante où vous en avez appris plus sur la personne en question et sur la compagnie (ne demandez pas « Que faites-vous? », faites des recherches à l’avance), demandez poliment si vous pouvez connecter avec eux sur LinkedIn. Puis, mettez adroitement fin à la conversation si vous voulez réseauter avec quelqu’un d’autre (nous avons un article de blogue à ce sujet!). Après l’événement, attendez un peu, puis envoyez une invitation personnalisée au professionnel rencontré :
« Bonjour M. Smith, j’ai été ravie de faire votre connaissance aujourd’hui à ConnecT et de discuter avec vous des innovations dans le domaine du marketing. J’aimerais vous ajouter à mon réseau pour garder le contact avec vous et demeurer au courant de ce qui se fait en marketing au gouvernement. »
Votre invitation devrait être personnelle et faire référence à un élément intéressant de votre conversation avec le professionnel afin qu’il se souvienne de vous. Si vous écrivez uniquement « J’étais l’étudiant de marketing qui commençait sa troisième année », la personne risque de ne pas se souvenir de vous puisqu’elle aura parlé à beaucoup d’étudiants en marketing lors de l’événement!
En conclusion, suivez cette liste de choses à faire pour vous préparer au recrutement cet automne et pour planifier votre démarche de réseautage en général. Bonne chance!
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Sonya Gankina
Étudiante de 3e année, en marketing |
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Bonjour à tous et bon retour à l’école! Il y a un grand nombre d’activités, de séances d’information et autres événements qui se déroulent au mois de septembre, et il est facile de se sentir dépassé.
À Telfer, vous entendrez très souvent dire que vous devez faire du réseautage, ce qui est vrai. LinkedIn est un outil très puissant qui peut vous aider dans ce domaine, mais il doit être utilisé correctement. C’est grâce à lui que j’ai obtenu mon premier emploi de « grande fille ». Mais comment établir un profil solide? Ce n’est pas si difficile.
Expérience de travail et de bénévolat
Avant de pouvoir aller ajouter tous vos amis, vous devez d’abord créer votre profil. Remplissez toutes les sections mises à votre disposition dans LinkedIn. Si vous n’avez pas encore d’expérience de travail, il n’y a pas de problème. Remplissez les sections sur votre expérience de bénévolat et sur vos études, afin que les employeurs voient ce que vous avez fait ces dernières années. Même si votre expérience de bénévolat vient de l’école secondaire, vous pouvez quand même l’ajouter, que ce soit pour le Club des petits-déjeuners ou simplement pour le Club de l’album des finissants.
Important : lorsque vous décrivez vos expériences, ne vous contentez pas de copier-coller les responsabilités qui figurent sur votre curriculum vitæ. Vos descriptions sur LinkedIn devraient plutôt prendre la forme d’une « histoire », par exemple : « Lorsque je travaillais chez McDonald’s, je faisais partie d’une équipe de plus de 5 personnes à chaque quart de travail. » Cela ajoute une touche plus personnelle et facilite la lecture.
Ajout d’une belle photo
D’accord, vous avez rempli les sections de votre profil et ajouté toutes vos précieuses expériences. Beau travail! Maintenant, on va mettre un visage sur votre nom.
Photos à NE PAS utiliser
Je suis ravie que vous ayez passé une excellente soirée avec vos amis à faire le tour des boîtes de nuit à Ottawa. N’utilisez pas ces images pour votre photo de profil. Les employeurs ne sont pas impressionnés par votre trépidante vie sociale. Et règle générale, n’utilisez pas non plus d’autoportraits ni de photos à l’allure non professionnelle.
Photos à utiliser
Idéalement, vous voulez utiliser une photo professionnelle avec un plan de votre visage à partir des épaules ou de la taille, comme celle prise lors d’un événement du Centre des carrières de Telfer. Mais si vous n’avez pas encore eu la chance d’aller à l’un de ces événements, demandez à l’un de vos amis de prendre votre photo. Quand j’ai commencé à travailler sur mon profil, je me suis vêtue en habits professionnels et j’ai demandé à mon amie de prendre une photo avec en arrière-plan l’un des murs de Desmarais. Conseil de pro : ne croisez pas les bras, ça donne un air agressif et peu sympathique. Il y a d’autres façons de paraître confiant tout en projetant une image positive.
Ajoutez toutes vos relations
Vous avez maintenant votre photo! Très bien. Et vous avez ajouté votre expérience, wow! Il est temps de montrer votre profil aux autres. Rendez-vous dans l’onglet « Réseau » et ajoutez tous vos amis. Ajoutez des gens que vous connaissez sur le plan professionnel comme vos superviseurs du secondaire ou votre coordonnateur au temps de votre bénévolat. Conseil de pro : n’ajoutez pas de personnes au hasard que vous ne connaissez pas, cela n’a aucune valeur et n’augmentera pas vos interactions sur la plateforme. Si vous n’avez pas beaucoup de relations, ne paniquez pas. Nous y travaillerons. C’est le but de la mise au point de votre profil!
Que faire maintenant?
Votre profil a été peaufiné et est fin prêt. Que faire maintenant? Eh bien, l’utiliser! Chaque fois que vous allez à des activités de réseautage, que ce soit à Telfer ou dans la communauté, et que vous rencontrez des gens, n’oubliez pas qui ils sont! Si vous avez rencontré quelqu’un et que vous n’avez pas obtenu sa carte de visite, mais que vous avez eu une bonne conversation, vous pouvez leur envoyer un message d’invitation personnalisé sur LinkedIn. Voici comment procéder :
- Présentez-vous
- Indiquez le lieu de votre rencontre
- Mentionnez un fait à votre sujet dont la personne se souviendrait
- Finissez sur une belle note
« Bonjour Bob! Nous nous sommes rencontrés hier à l’événement ConnecT de Telfer et nous avons parlé du changement dans l’industrie du marketing. J’étais l’étudiant de Telfer originaire de la Russie! J’aimerais vous ajouter à mon réseau pour garder le contact avec vous. »
À quoi LinkedIn me servira-t-il?
Bon, vous avez maintenant un beau réseau et un profil solide. Que gagnez-vous, concrètement? Pour ma part, j’ai obtenu un emploi. D’autres gens peuvent diffuser les messages qu’ils rédigent à un grand public. Mon ami et diplômé de Telfer, Tanveer Mostafa, a fondé la Société des ventes uOttawa l’an dernier et utilise activement LinkedIn pour promouvoir cette association et ses autres initiatives, comme ses vidéos et ses baladodiffusions. Voici ce qu’il a à dire à ce sujet :
« LinkedIn m’a aidé à trouver le public cible pour MA voix, que j’exprime à travers des articles de blogue, des vidéos ou en faisant part de conseils professionnels sur mon fil. Cela m’a permis d’entrer en contact et d’échanger avec des gens avec qui je n’aurais pas eu la chance d’interagir autrement. »
Dans l’ensemble, LinkedIn est un site génial et vous devriez tous l’utiliser. Je viens de vous dire comment, alors vous n’avez plus cette excuse! Bon réseautage!
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Sonya Gankina
Étudiante de 3e année |
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Voici Ashley.
Elle s'est récemment jointe à l'équipe du Centre des carrières de l'École de gestion Telfer à titre de Gestionnaire du réseau des relations. Ashley vient de Timmins et a obtenu un B.Com. à Telfer en 2016.
Son rôle principale est d’aider les étudiants à établir des liens avec des employeurs par l’entremise d’occasions de réseautage et de recrutement, en plus de leur apprendre comment faire valoir leurs compétences.
Ashley a de l’expérience de travail en gestion dans le domaine de la santé et possède une passion le bénévolat. Elle donne de son temps à chaque semaine au « Boys and Girls Club of Ottawa », ainsi que dans le cadre du programme Jeunes Entreprises.
Ses principaux champs de spécialisation à Telfer sont le marketing, le management, la gestion internationale, la gestion des ressources humaines, et l’entrepreneuriat. Si vous cherchez plus d'informations sur ces industries, venez la voir!
Communiquez avec Ashley Foster sur LinkedIn, par courriel à
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« Comme je ne venais pas de la région, j’ai initialement eu peur de ne pas avoir les mêmes avantages ou contacts que les autres pour me trouver un emploi dans le régime coop ou pour me joindre aux clubs sur le campus. Heureusement, je me trompais du tout au tout. Grâce aux événements de réseautage organisés par Telfer, y compris certains événements du Club de comptabilité de Telfer, j’ai pu rencontrer tant de gens, cultiver des amitiés à long terme et me trouver un poste coop formidable chez Deloitte. Je suis convaincue que d’alterner le travail et les études pendant mon baccalauréat a été bénéfique de multiples façons. Le fait d’appliquer des concepts concrets tirés de mon travail dans le cadre de mes cours et de mettre en pratique au travail la théorie apprise en classe m’a permis de croître en tant qu’étudiante et professionnelle. »
- Sarah S.
Étudiante de 4e année en comptabilité
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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« Trouvez quelque chose qui vous passionne vraiment. Vous amplifierez votre valeur si vous aimez réellement votre travail. Soyez authentique et fidèle à vous-même. Pensez à ce que vous voulez vraiment faire au lieu d’écouter ce que disent les autres. N’ayez pas peur de faire des erreurs. Vous êtes encore jeunes et vous avez le temps de vivre toutes sortes de choses différentes. Pourtant, je veux que vous planifiiez dès maintenant votre carrière pour vous éviter des regrets au beau milieu de votre vie professionnelle. »
- Sheldon Weatherstone
Professeur adjoint à Telfer
Directeur intérimaire (Programme CPA)
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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À quand remonte la dernière fois où vous avez vraiment pris le temps de réfléchir pendant dix bonnes minutes ― non pas à ce que vous étiez en train de faire, à ce qui vous rendrait riche le plus vite ou à vos prochains achats de vêtements, mais plutôt à ce que vous aimez, à ce qui vous passionne et à ce qui vous rend heureux? (Et dites-vous que les moments où vous voyez sur Instagram une personne à qui tout réussit et remettez soudainement votre vie en question ne comptent pas.)
Qui es-tu?
D’où viens-tu?
Pourquoi existes-tu?
Qu’est-ce que tu peux faire?
Quelle est ta destinée?
Ces cinq questions ont changé et façonné la vie de Sephora Kodjo, jeune leader en Côte d’Ivoire qui dirige SEPHIS, une fondation florissante qui a pour cause l’éducation des filles (Afrique Femme, 2018).
Vous trouvez peut-être que ces questions sont vastes, théoriques ou qu’il est difficile d’y répondre, tout simplement. Mais elles semblent avoir un (sinon plusieurs) bienfait : elles servent à lancer et orienter une autoréflexion.
L’autoréflexion est un processus méticuleux qui demande temps et énergie, surtout lorsque vous vivez la transition d’un stade de votre vie à un autre. J’ai récemment terminé mes études à Telfer et je vis une autoréflexion comme je ne l’ai jamais fait auparavant. Je n’ai pas trouvé les réponses à toutes mes questions, mais déjà, le fait d’y réfléchir change mon point de vue sur les différents événements survenus dans ma vie.
Quelle est ta définition du bonheur?
Où veux-tu habiter?
Quels sont tes deux principaux intérêts dans la vie?
Quelles sont les choses que tu n’aimes pas faire?
Pour quoi veux-tu qu’on se souvienne de toi?
Voici certaines des questions que je me pose dans mon processus d’autoréflexion. Il ne s’agit pas d’avoir toutes les réponses, mais simplement d’oser se poser ces questions difficiles et accepter de chercher les réponses. Il s’agit de se développer et de devenir une meilleure personne qu’hier.
Je vous souhaite de trouver votre voie dans la vie et d’être heureux. :)
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Bonjour et bienvenue au blogue! Je suis en ce moment au beau milieu de mes examens finaux et je me suis rendu compte que je suis profondément affectée par le syndrome de la 2e année. Ce syndrome se caractérise par une « désillusion en lien avec l’université au cours de la 2e année d’étude », alors que la fébrilité de la première année s’est dissipée et que la fin est encore loin. Ce syndrome est courant chez les étudiants, et je suis ici pour vous venir en aide. Vous trouverez dans le présent article les leçons que j’ai tirées de la première moitié de mon baccalauréat, ainsi que des trucs et des conseils généraux (qui vous seront, je l’espère, utiles). [Bien entendu, il s’agit de mon expérience personnelle, hautement subjective, alors si vous n’êtes pas d’accord avec un élément ou si ça ne s’applique pas à vous, c’est tout à fait correct.]
D’abord, essayez d’éviter les cours de 8 h 30. Vous êtes peut-être du type matinal, et si oui, c’est super, mais ce n’est pas du tout mon cas. Lorsque j’ai un cours si tôt, je ne déjeune habituellement pas afin de me réveiller le plus tard possible. Par contre, si j’ai un cours à 10 h, j’ai le temps de me réveiller à mon aise, de me faire du café et de déjeuner (10 h, c’est tout de même tôt, d’accord?) avant de me rendre à mon cours, où je réussis à me concentrer parce que je n’ai pas l’esprit totalement occupé par la nourriture (rien de plus distrayant que de penser à des crêpes pendant une heure et demie).
Deuxièmement, choisissez judicieusement vos professeurs. Nous avons tous des styles d’apprentissage différents, alors avoir un professeur dont le style d’enseignement nous correspond se révèle crucial. Sinon, vous aurez de la difficulté à apprendre quoi que ce soit et vous peinerez à vous débrouiller seul. Pour choisir un professeur, consultez leur biographie sur le site de Telfer, demandez à vos amis dans votre cohorte s’ils ont déjà eu ce professeur et consultez des étudiants d’années supérieures au sujet de leur expérience. Il est aussi utile d’assister à différentes sections au début du trimestre pour « faire l’essai » du style d’enseignement de différents professeurs. Vous pouvez par la suite facilement faire un changement de section sur uOzone en toute connaissance de cause.
Ensuite, pour apaiser le malaise lié au syndrome de la 2e année, cherchez à participer à la vie étudiante, mais faites-le judicieusement. Je traite de ce sujet plus en détail dans mon article Participer à la vie étudiante : comment et pourquoi? En bref, évitez de remplir complètement votre emploi du temps avec des activités et des événements parce qu’il est très facile de perdre de vue ce qui est important – l’école! Concentrez-vous plutôt sur 2-3 choses qui sont les plus importantes pour vous et gardez-vous suffisamment de temps pour vos études, en prenant en compte votre participation aux activités étudiantes.
Alors, c’est bien beau tout ça, mais que faire pour échapper au syndrome mentalement? Eh bien, selon mon expérience, le meilleur est vraiment à venir. La deuxième année est plus amusante que la première puisque vous connaissez tout le monde, mais n’oubliez pas que c’est aussi l’année la plus difficile. Par contre, vos dernières années iront mieux. Vous en aurez fini avec vos cours techniques et mathématiques comme Analytique de gestion et Statistiques à la fin de votre 2e année, et vous pourrez enfin vous spécialiser et faire ce qui vous intéresse vraiment. Personnellement, j’ai très hâte de suivre mes cours en marketing pour mieux cerner mes champs d’intérêt et apprendre sur cette industrie qui me passionne. Alors, voyez vos deux premières années comme le moment de développer votre éthique de travail, ce qui vous donnera une bonne base pour réussir dans ces années plus agréables que seront la 3e et la 4e année.
Pour rendre mes dernières années à Telfer plus plaisantes, j’ai aussi évité de suivre des cours optionnels (le nombre de cours au choix varie selon la spécialisation) dans ma 2e année. J’ai plutôt suivi mes cours du code ADM2000 prévus pour la 3e année comme Gestion des ressources humaines et Systèmes d’information de gestion. De cette façon, j’ai une année plus difficile en ce moment, mais j’aurai l’occasion de suivre un plus grand nombre de cours au choix par la suite et de varier mes apprentissages.
En résumé, faites de votre santé physique et mentale une priorité, prenez de sages décisions, obtenez des conseils au besoin et sachez que le meilleur est vraiment à venir, vous devez juste vous y rendre. Je crois qu’il convient maintenant de signaler une initiative qui circule dernièrement, c’est-à-dire « Project Lets » (letserasethestigma.com), qui rappelle: « qu’il n’y a rien de cool, utile ou héroïque à ne pas dormir ni manger. Ce n’est ni sain ni acceptable. » Cette initiative encourage les étudiants à prendre soin d’eux pendant la période des examens de fin de trimestre et à ne pas idéaliser la culture du surmenage qui mène à l’épuisement. Ne l’oubliez pas et utilisez sagement votre temps pour avoir le temps de manger, de dormir et de faire le point avec vos amis pour voir comment ils vont.
En conclusion, je sais que les examens finaux ne sont pas une partie de plaisir. Mais vous savez ce qui l’est? L’été. Il reste à peine plus d’une semaine avant la fin de la période d’examen. Bonne chance!
