Blogue de carrière

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Être aux études, ça prend beaucoup de temps. Entre la préparation des examens de mi-session, la participation aux activités parascolaires et à des événements de réseautage pour faire progresser nos plans de carrière, sans parler du besoin de sortir et de voir du monde, on peut vite avoir le sentiment d’être débordé.
Mais il y a des trucs pour mater ce débordement. Je les appelle les « secrets de la gestion du temps. »
1. Coupez-vous des réseaux sociaux
C’est ce que je fais toujours en période d’examen. Supprimez tous les médias sociaux de votre téléphone jusqu’à ce que le dernier de vos examens soit terminé. On pense moins à une chose quand on ne la voit pas, c’est un principe tout simple mais éprouvé. Au début, vous trouverez ça difficile, et vous aurez tendance à chercher machinalement vos applis sociales, mais bien vite vous oublierez jusqu’à leur existence.
2. Utilisez Google Agenda
Après avoir essayé aussi bien l’agenda papier au design hyper tendance que le tableau blanc accroché au mur, je peux témoigner de l’efficacité supérieure de Google Agenda. Il permet d’établir un code de couleur pour distinguer nos différentes obligations, d’obtenir des rappels de nos rendez-vous sur notre téléphone et de coordonner nos invitations. Si avez du mal à vous ménager assez de temps pour respecter tous vos engagements, je vous encourage vivement à recruter Google Agenda!
3. N’essayez pas de faire du multitâche
Travailler en mode multitâche est un mythe. La vérité scientifique, c’est que le cerveau humain est incapable d’accomplir plus d’une tâche à la fois. Quand vous faites du multitâche, vous ne faites en réalité qu’effectuer un rapide va-et-vient entre deux activités, tout en réduisant de manière importante votre productivité dans l’une et l’autre. Il vaut beaucoup mieux mener à bien une seule tâche avant de s’attaquer à la suivante.
4. Établissez une liste quotidienne de choses à faire
La veille avant de vous coucher ou le matin en vous levant, dressez la liste de tout ce que vous devez accomplir au cours de la journée. À mesure que vous cocherez les différentes tâches, vous ressentirez une grande satisfaction, et cela vous aidera à garder le cap sur vos objectifs.
5. Rappelez-vous pourquoi vous êtes là
Quand on se sent dépassé ou impuissant, il est bon de se poser les questions suivantes :
- Pourquoi êtes-vous à l’université?
- Pourquoi êtes-vous membre de clubs?
- Pourquoi vous inscrivez-vous au régime coop?
- Pourquoi travaillerez-vous?
- Pourquoi visez-vous une MPC de 10,0?
- Pourquoi lisez-vous ce blogue?
Chacune de ces choses correspond à un objectif. Il s’agit de faire progresser votre carrière. Tout ce que vous faites et tous les efforts que vous investissez rapporteront. Les années que vous passez à l’université auront un impact sur le reste de votre vie, il importe donc d’en tirer le maximum. Gardez en tête que votre vie ne sera pas toujours aussi stressante. Travaillez fort maintenant pour être en mesure de vous relaxer plus tard. Le fait de vous poser ces questions quand vous vous sentirez vulnérable devrait vous aider à voir les choses dans une perspective plus large et vous motiver à fournir un effort soutenu.

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« Je donne le cours de premier cycle sur le comportement organisationnel (en anglais) depuis maintenant plusieurs années. Si j’enseigne à différents cycles au sein de l’École de gestion Telfer, ce cours me tient tout particulièrement à cœur. C’est un cours obligatoire, ce qui veut dire que, bien que certains étudiants soient ultra-enthousiasmés par la matière enseignée, d’autres assistent au cours simplement parce qu’ils sont contraints de le faire. Quoi qu’il en soit, c’est pour moi un bonheur de communiquer ma passion pour le comportement organisationnel (CO) à tous mes étudiants.
Il est motivant de montrer aux étudiants la pertinence du CO, quel que soit leur domaine de spécialisation. Plusieurs notions relatives au CO ont des applications bien au-delà du cadre professionnel, notamment dans la sphère familiale et dans les amitiés, ou simplement dans la vie en général. J’aime intégrer ce genre d’exemples dans mes cours. Je trouve qu’ils sont utiles pour les étudiants qui n’ont pas forcément beaucoup d’expérience. Cela leur permet d’ancrer les notions abordées dans le cours dans une réalité qu’ils connaissent. Ils constatent ainsi qu’elles s’appliquent au monde des affaires.
L’une des plus grandes joies que me procure ce cours, c’est d’entendre des étudiants me dire qu’initialement, ils ne pensaient pas vraiment trouver ce cours utile, mais qu’ils constatent maintenant l’applicabilité du CO au secteur dans lequel ils entendent évoluer plus tard dans la vie. En tant que pédagogue, je trouve toujours ça gratifiant. »
- Silvia Bonaccio, Ph.D.
Professeure sur le comportement organisationnel
NB: La Pre Bonaccio adore assister au gala annuel du CASCO, l’organisme de bienfaisance de l’École Telfer, pour soutenir les organisateurs dans leurs formidables efforts de financement à l’appui de la Fondation du CHEO. Sa collection d’oursons en peluche du CHEO s’agrandit d’ailleurs d’année en année.
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

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Composer avec l’incertitude ou le rejet lorsqu’on est convaincu d’avoir fait bonne impression auprès d’un employeur
Vous avez peaufiné votre CV. Vous avez relu quatre fois votre lettre de motivation. Vous vous êtes assuré de montrer en quoi vos compétences et votre expérience satisfont aux attentes liées au poste, le tout en instillant votre marque et votre ton propres dans votre candidature. Vous avez pris soin de vous renseigner sur la culture organisationnelle et d’exprimer la manière dont vous pourriez vous y intégrer et y exceller. Vous avez donné le meilleur de vous-même et… plus de nouvelles. Aïe! Ça fait mal.
Au grand désarroi de nombreux chercheurs d’emploi motivés, les recruteurs emploient très souvent la fameuse phrase « Nous communiquerons uniquement avec les candidats retenus pour une entrevue. » C’est compréhensible. Cela dit, personnellement, j’aimerais bien que l’on me dise franchement « Non » afin que je puisse cesser de me ronger les ongles et de vérifier incessamment mes courriels.
Vous avez peut-être eu la chance d’être convoqué en entrevue. Si c’est le cas, félicitations ! Vous avez agi en amont en préparant vos réponses aux questions les plus couramment posées en entrevue. Vous avez aussi pris la peine de planifier une répétition d’entrevue auprès du Centre des carrières de l’École Telfer, et vous avez noté les rétroactions et les recommandations du conseiller au sujet des meilleures pratiques. Le grand jour arrive, et les étoiles sont alignées; vous livrez la meilleure entrevue de votre vie. Vous offrez des réponses éloquentes et bien construites, vous manifestez un réel intérêt pour le poste, posez des questions pointues et parvenez même à faire rire vos interviewers ! Au fur et à mesure que le temps passe et que le retour se fait attendre, votre optimisme et votre satisfaction font place à la confusion et à la déception. Qu’est-ce qui s’est passé ? Relancez-vous l’employeur ? Combien de temps devriez-vous attendre ? Si vous avez déjà fait un suivi sans recevoir de réponse, que pouvez-vous faire ?
Chaque fois que l’on soumet sa candidature, il faut malheureusement s’attendre à la possibilité d’essuyer un rejet. Voici quelques leçons qui aideront les chercheurs d’emploi à composer avec la déception en cas de démarches infructueuses.
Chaque expérience compte.
- Concentrez-vous sur ce que vous pouvez retirer de positif de cette expérience. Il se peut que ce soit très simple, comme ce que vous avez appris de vos interviewers. Il y a peut‑être un segment de l’entrevue dont vous êtes particulièrement fier et que vous aimeriez reproduire dans le futur, ou encore un moment de disfluence gênant que vous tâcherez d’éviter la prochaine fois. Essayez toujours de souligner les bons côtés de chaque éventualité. Cela vous aidera non seulement à surmonter la déception, mais aussi à conserver l’enthousiasme et la persévérance voulus pour réessayer.
Tout arrive pour une raison.
- Consolez-vous en vous disant que cette déception est en fait de bon augure pour vous. Oui, même si c’est une immense déception, dites-vous que grâce à ce refus, vous avez peut-être évité le pire et demeurez disposé à saisir une occasion encore plus intéressante dans l’avenir.
On récolte ce que l’on sème.
- Dans le monde hypercompétitif actuel, se faire recruter est une question essentiellement mathématique. Plus vous soumettez votre candidature, meilleures seront vos chances d’obtenir un emploi. Naturellement, il est très décevant de ne pas décrocher le poste de ses rêves. Cela dit, si vous y mettez les efforts et la détermination nécessaires, le monde vous appartiendra. N’abandonnez pas.
(Ne ratez pas mon prochain billet, qui portera sur le suivi post-entrevue.)

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Quand on est étudiant étranger au Canada, il n’est pas toujours facile de poser les bases d’une illustre carrière. En effet, les étudiants internationaux font face à de multiples obstacles sur le marché du travail. C’est ce dont traite cet article, qui sera suivi d’un message pour tous les étudiants internationaux.
Le manque d’expérience canadienne
Le manque d’expérience canadienne fait que les entreprises des secteurs privé et public sont réticentes à faire confiance à l’expertise internationale. Je recommande donc à tous mes camarades de s’impliquer activement au sein de l’Université (bénévolat, événements de réseautage, Régime travail-études, etc.) et pendant l’été pour acquérir cette précieuse expérience canadienne. Il ne faut pas forcément travailler dans un bureau ou s’attendre à avoir un travail prestigieux au début; le but est d’acquérir de l’expérience dans n’importe quel domaine. Les compétences développées dans chaque emploi peuvent se transférer à un autre domaine d’activités. De plus, le Centre des carrières de Telfer organise beaucoup d’ateliers et d’événements (par exemple, ConnecT et RéseauT), créant ainsi l’environnement idéal pour perfectionner vos compétences et trouver les outils qui mènent au succès.
Le statut d’étudiant international
Ottawa et Gatineau sont des villes gouvernementales : la plupart des emplois y sont offerts par le gouvernement, qui constitue l’un des plus grands employeurs de la région. Or le statut d’étudiant international limite grandement l’accès à certains postes, dont ceux au gouvernement et dans les entreprises privées qui ont des contrats avec le gouvernement. J’en ai moi-même fait l’expérience quand la conseillère coop m’a informé que ça ne serait probablement pas possible que je fasse un stage au gouvernement, même si je suis résident permanent.
C’est bien de réseauter, de rencontrer du monde, de s’impliquer et de bien réussir dans son domaine, mais certaines choses resteront toujours hors de portée au Canada sans la citoyenneté canadienne. Quand on entend : « Tu es vraiment compétent, c’est toi qu’on veut, mais malheureusement, tu n’es pas Canadien », on se rend compte que le statut d’étudiant international est un réel handicap et ferme plusieurs portes.
Message aux étudiants internationaux
Le message que je voudrais transmettre dans cet article, c’est que même si on n’a pas un grand réseau dans notre pays d’accueil – en l’occurrence le Canada –, on ne doit pas se laisser abattre. Il faut juste accepter qu’en tant qu’étudiant étranger, il faut travailler deux à trois fois plus fort pour atteindre ses objectifs. C’est cette attitude qui peut faire pencher la balance, et en sachant à quoi s’attendre, on peut mieux se préparer en conséquence. J’ai été étudiant étranger et je sais mieux que quiconque ce que nous traversons au Canada, et même si aujourd’hui, je suis résident permanent, il y a des portes qui demeurent toujours fermées pour moi.
Pour conclure, le Canada est un beau pays rempli de possibilités; c’est le nouvel eldorado. Il y a beaucoup de diversité grâce au nombre grandissant d’immigrants. Ce phénomène est en train de changer le point de vue et la manière de vivre des Canadiens. Il faut juste travailler dur et garder espoir en l’avenir. Comme on le dit souvent : il y a une lumière au bout du tunnel.

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« Autrefois connu sous le nom Telfer Capital Fund (TCF), le Programme sur les marchés financiers (CMP) permet aux étudiants d’acquérir une expérience concrète dans le milieu des services financiers au cours de leurs études. Grâce aux ateliers animés par divers conférenciers venus nous parler de leur travail, je comprends mieux aujourd’hui ce à quoi ressemble une carrière dans le secteur des marchés de capitaux. Je suis reconnaissante pour l’expérience que j’ai vécue jusqu’ici grâce au CMP. J’ai appris énormément, et il me reste encore beaucoup à apprendre. Non seulement ai-je acquis des compétences en évaluation, mais j’ai aussi pu appliquer mes nouvelles connaissances à des situations de la vie courante. En tant qu’étudiante, j’ai l’impression d’être passée à une vitesse supérieure ! Si les marchés de capitaux vous passionnent, présentez votre candidature au CMP. Si vous êtes encore en exploration, je vous recommande d’assister à des ateliers offerts par le programme pour avoir une meilleure idée de ce que c’est et pour poser des questions. »
- Nourhan Mohamed
Étudiante de 3e année en finance
Pour en savoir plus sur le Programme des marchés financiers (CMP), communiquez avec Tarek Kassem, gestionnaire du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance, à
Ne ratez pas la séance d’information sur le CMP qui aura lieu le mercredi 13 février 2019 à 17 h 30. Inscrivez-vous en ligne !
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

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Personnellement, j’étais une personne qui pensait qu’une entrevue d’embauche se limitait à se préparer pour l’entrevue, à arriver à l’heure et à donner le meilleur de soi avant de s’en aller. Je n’avais pas encore la notion de ce qu’il y avait au-delà de l’entrevue. Lors de l’un des ateliers offerts par le Centre des carrières, j’ai obtenu de précieuses informations qui m’ont aidé et m’aideront tout au long de ma carrière. J’ai appris que je pouvais me démarquer autrement que par mes connaissances liées à mon domaine de prédilection.
Voici trois bonnes pratiques à adopter et à mettre en œuvre après une entrevue. Ces pratiques ont été essentielles dans le développement de ma carrière.
Demander la carte de visite de l’interviewer
Demander une carte de visite de l’interviewer permet d’avoir ses coordonnées (nom, courriel, titre de poste, etc.) et d’avoir la possibilité de lui envoyer une lettre de remerciement. Avoir ces informations peut s’avérer très utile pour l’ajouter sur LinkedIn, réseauter et tisser des liens durables avec lui. Qui sait, il pensera peut-être à toi dès qu’il y aura une prochaine ouverture de poste.
Envoyer une lettre de remerciement
Envoyer une lettre de remerciement dans les 48 heures suivant l’entrevue est très utile, car en plus de démontrer ton intérêt pour le poste, c’est ta chance de revenir sur certains points et de rappeler à l’employeur pourquoi il devrait te choisir. Par exemple, après avoir effectué mon entrevue pour le poste d’ambassadeur pour le Centre des carrières, j’ai envoyé une lettre à Amanda pour la remercier de m’avoir accordé cette entrevue et pour insister sur les qualités que je pourrais apporter en tant qu’ambassadeur du Centre des carrières. Je ne sais pas si cela a eu un impact sur sa décision, mais aujourd’hui, j’occupe cette fonction. Personnellement, je n’envoie des lettres de remerciement que pour les postes que je veux absolument.
Faire un suivi
Tu peux aussi faire un suivi après l’entrevue si le délai prescrit par l’employeur pour donner des nouvelles du processus de recrutement est dépassé. Je sais que ça peut paraitre anodin, mais cela démontre ton vif intérêt et ton enthousiasme par rapport au poste. Je tiens également à mentionner qu’à mon humble avis, le fait de ne pas faire un suivi ne va pas forcément te pénaliser ou te nuire. Si un employeur t’a choisi, que tu fasses un suivi ou non, il va t’embaucher.

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« La concentration et la détermination ». Voilà les clés d’un avenir et d’une vie meilleurs. La vie, c’est comme une partie de golf : pour réussir, il faut savoir se concentrer. Si votre esprit s’égare, la balle n’ira pas là où vous le souhaitez. Votre coup doit montrer votre détermination. Le golf et la comptabilité de gestion ont plusieurs points en commun. Dans ces deux disciplines, la qualité d’une décision influe directement sur la qualité des retombées obtenues. Dans la vie, il nous arrive de planifier, mais parfois, il vaut mieux laisser le hasard faire son œuvre et suivre la voie qui s’ouvre à nous.
J’ai décidé de me consacrer à l’enseignement à la suite d’un événement tout à fait inattendu. J’étais jeune et je venais tout juste d’achever mes études lorsqu’on m’a demandé, pour la première fois de ma vie, de donner un cours. À la fin, les étudiants m’ont ovationné. Ce fut une expérience incroyablement émouvante, et j’ai ressenti un profond sentiment d’humilité. C’est à ce moment déterminant que j’ai pris ma décision, et je ne l’ai jamais regrettée depuis.
En tant que professeurs, nous avons le privilège de nous présenter devant des centaines d’étudiants venus écouter, apprendre et s’améliorer. Participer à ce cheminement constitue à mes yeux le meilleur dividende qui soit ! Tout au long de votre parcours scolaire, rappelez-vous ces deux clés : demeurez concentrés et déterminés. »
- Fodil Adjaoud, Ph.D., FCPA, FCGA, CMA, professeur titulaire
Professeur de comptabilité de gestion
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

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Il n’est jamais trop tard pour commencer à planifier sa carrière! Que vous en soyez à votre premier ou à votre dernier trimestre, il est important de commencer à réfléchir à ce que vous ferez une fois votre diplôme en poche.
Déterminez d’abord vos objectifs et les moyens pour les atteindre. Évaluez vos compétences, vos intérêts et vos valeurs et associez-les aux perspectives d’emploi qui existent. Même si on néglige souvent de le faire, il est crucial de planifier sa carrière avant de terminer son programme d’études, puisque cela permet de se fixer des objectifs clairs et de ne pas les perdre de vue.
La planification de carrière est importante, mais par où commencer? Voici quelques astuces.
Déterminez ce qui vous plaît et ce qui vous déplaît : Il est d’abord important de savoir ce qu’on préfère. Dresser la liste de ce qui vous importe dans un emploi vous aidera à déterminer le type de carrière qui vous convient.
Explorez vos options : Après avoir réfléchi à vos préférences, explorez vos options. Pour ce faire, entrez en contact avec des gens du milieu durant des événements de réseautage ou communiquez avec eux sur LinkedIn. Faites vos recherches!
Établissez des objectifs de carrière : Une fois la recherche complétée, fixez-vous des objectifs à court et à long terme. Pour vous engager plus fermement envers ces objectifs, vous pouvez les mettre sur papier ou en parler à un ami!
Cherchez des occasions d’apprentissage et de formation : Après vous être fixé des objectifs, donnez-vous les outils pour les atteindre. Habituellement, cela signifie développer certaines compétences. En tenant compte de celles que vous possédez déjà ainsi que de celles que vous désirez acquérir, partez à la recherche d’occasions d’apprentissage ou de formation comme des ateliers, des cours en ligne ou des activités de développement professionnel.
Visitez le Centre des carrières : Le Centre des carrières offre de nombreuses ressources pour vous aider. On y trouve notamment des ateliers, un service de révision de CV et des tests de carrière. Ces ressources sont facilement accessibles, profitez-en!

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LinkedIn possède de nombreuses fonctionnalités qui permettent aux utilisateurs d’accéder à des informations nouvelles et différentes et c’est un excellent point de départ pour votre recherche d’emploi puisque cette plate-forme a été créée pour élargir le réseau professionnel des utilisateurs. Les 3 conseils suivants vous permettront d’utiliser pleinement votre compte LinkedIn dans votre recherche d’emploi.
1. Assurez-vous de garder votre profil à jour et pertinent
De nombreux recruteurs utilisent LinkedIn comme outil pour trouver de nouveaux candidats dans leur industrie, en effectuant des recherches à partir de mots-clés, d’expériences, de compétences et plus encore. En gardant votre profil à jour et en y ajoutant toutes vos connaissances, expériences et compétences pertinentes, vous vous rendez plus visible aux recruteurs de l’industrie dans laquelle vous voulez travailler.
Garder votre profil à jour vous permet également de postuler rapidement et facilement à des offres d’emploi sans avoir à vous soucier d’informations obsolètes ou manquantes. Lorsque vous trouvez l’emploi idéal et que la date limite est serrée pour poser votre candidature, vous êtes prêt et pouvez postuler en quelques minutes.
2. Utilisez la fonctionnalité de recherche d’emploi
C’est un excellent outil parce que cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de personnaliser leur recherche ou de faire une recherche aussi élargie qu’ils le souhaitent. Recherchez des emplois sur LinkedIn en cliquant sur l’onglet « Emplois » en indiquant les mots-clés adéquats et le lieu de travail. Ensuite, vous pouvez personnaliser davantage votre recherche à l’aide des options de recherche avancée et effectuer une recherche par date d’affichage, niveau d’expérience, lieu spécifique, fonction, entreprise et industrie. Vous pouvez ensuite sauvegarder vos recherches et recevoir des avis par courriel lorsque des offres d’emploi sont affichées qui répondent à vos critères de recherche, de façon à ne jamais rater le poste idéal!
3. Utilisez les pages de profil des entreprises pour vous renseigner et trouver un emploi
De nombreuses entreprises ont leur propre profil sur LinkedIn, où figurent des renseignements sur leur mission et leur vision, ainsi que des nouvelles, des mises à jour et plus encore. Vous pouvez également voir un grand nombre des employés qui y travaillent, ainsi qu’une liste des postes vacants affichés. Vous pouvez vous en servir dans votre recherche d’emploi pour cibler des entreprises spécifiques qui pourraient vous intéresser et recevoir des notifications lorsqu’elles affichent de nouvelles offres d’emploi.

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« Le choix de Telfer s’est imposé de lui-même pour moi. Après avoir assisté à une séance d’information offerte par l’Université d’Ottawa, j’ai pu obtenir des renseignements précieux sur son programme coop. Il me donnera entre autres la chance de rencontrer et d’interagir avec des employeurs potentiels, ce qui me sera très utile, surtout quand j’entrerai sur le marché du travail. C’est une des nombreuses raisons qui m’ont fait opter pour Telfer et je crois que c’en est une qui devrait faire pencher la balance pour vous aussi. »
- Ryan
Étudiant de première année en finance