Blogue de carrière

Le test de carrière Myers-Briggs

L’évaluation de soi et la croissance personnelle constituent des étapes fondamentales qui vous offrent une meilleure compréhension de votre personnalité et du type de carrière qui vous convient. Elles vous aident à mieux définir votre personnalité et vos intérêts au moyen d’outils tels que l’indicateur de types psychologiques Myers-Briggs (Myers-Briggs Personality Type Indicator ou MBTI) et l’inventaire des intérêts professionnels Strong.

L’atelier Qui suis-je : connaissance de soi et tests de carrière (en anglais) se déroule en deux temps. Au cours de la première rencontre, vous vous familiarisez avec les outils d’évaluation, découvrez ce à quoi vous devriez vous attendre tout au long du processus et effectuez des activités d’auto-évaluation et de définition de vos objectifs de carrière. Au cours de la seconde rencontre, la semaine suivante, vous recevez vos résultats aux tests de personnalité et d’intérêts ainsi que leur interprétation.

Vos réponses au test MBTI indiquent votre préférence pour chacune des paires d’opposés suivantes : introversion-extraversion, sensation-intuition, pensée-sentiment et jugement-perception. Chaque préférence est indiquée par une lettre, et un type formé de quatre lettres est établi et accompagné d’une description. Il existe 16 types de personnalité, et chacun d’entre eux offre de précieuses indications sur le caractère d’une personne.

Extraversion-introversion

Cette dichotomie a trait à la source et à l’orientation de l’énergie. Où préférez‑vous concentrer votre attention ? Où puisez-vous votre énergie ? Les personnes extroverties peuvent être décrites comme étant enthousiastes, actives et sociables. Les personnes introverties, en revanche, sont plus calmes, réservées et tranquilles.

Sensation-intuition

Cette paire d’opposés décrit la façon de percevoir ou d’absorber l’information. Les personnes qui préfèrent s’en remettre à leurs sensations tendent à être pragmatiques et assimilent l’information concrète, notamment les faits et les détails. Les personnes intuitives envisagent plutôt les choses dans leur ensemble et font habituellement preuve d’imagination.

Pensée-sentiment

Cette paire concerne la manière dont vous tirez des conclusions. Comment prenez‑vous des décisions ? Les personnes qui s’appuient davantage sur la pensée se concentrent sur la tâche à accomplir. Elles sont analytiques et soupèsent les avantages et les inconvénients de chaque situation. Les personnes qui se fient davantage à leurs sentiments se concentrent quant à elles sur le processus et prennent en compte leurs valeurs personnelles et les valeurs sociales lorsqu’elles prennent des décisions.

Jugement-perception

La dernière paire d’opposés répond à la question suivante : Comment interagissez-vous avec le monde extérieur ? Les personnes plus enclines au jugement tirent des conclusions rapidement et adoptent une approche planifiée et organisée. Les personnes qui privilégient la perception recueillent plus de renseignements avant de tirer une conclusion et accordent de l’importance à la souplesse.

Il est probable que vous vous intéressiez à des carrières qui vous permettront de tirer parti des préférences naturelles associées à votre type psychologique. Cette combinaison de quatre lettres influera sur le type de carrière qui vous attire et orientera votre cheminement professionnel.

 

Cherchez l’atelier Qui suis-je : connaissance de soi et tests de carrière (en anglais) dans Destination carrière et inscrivez-vous pour avoir une meilleure compréhension de vous-même et de votre type de personnalité ! Pour en savoir plus sur les tests de carrière ou pour obtenir vos résultats et en discuter, prenez rendez‑vous pour une consultation individuelle avec la conseillère en carrière.

Les gens de Telfer – Ryan

« En vous mobilisant, vous pourrez vivre des expériences que vous n’auriez jamais crues possibles. »

En tant qu’étudiant de 2e année, je serai éternellement reconnaissant d’avoir pu me joindre à l'organisme de charité CASCO dès ma toute première année à Telfer. Cela a considérablement enrichi ma carrière universitaire à de nombreux égards en me permettant de tisser des amitiés durables et de réaliser des choses dont je ne me serais jamais cru capable. Avec l’aide de leaders étudiants motivés, j’ai gagné une expérience précieuse, notamment en explorant ma créativité et en grandissant sur le plan personnel. Cette expérience m’a permis d’approfondir ma connaissance des affaires et du marketing de façon très concrète, ce que je n’aurais pas pu faire en salle de classe.

Le fait de travailler à l’organisation d’un gala annuel de bienfaisance procure un incroyable sentiment de satisfaction et d’humilité, car on peut voir l’ensemble des efforts déployés pendant toute une année se concrétiser en deux spectacles incroyables. Cette année, à l’occasion du 20e gala annuel de CASCO, nous avons amassé la somme inspirante de 62 000 $ à l’appui du CHEO!

Me joindre à cet organisme m’a apporté d’innombrables occasions de grandir et d’entraîner des retombées concrètes sur la communauté, le tout en collaboration avec une équipe exceptionnelle d’étudiants passionnés. » #EhOhCASCO

– Ryan Tu
Étudiant de 2e année (Marketing)
et directeur du marketing et danseur, Organisme de charité CASCO

 

Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

Trois astuces pour concilier habilement les études et le travail

Trouver un juste équilibre entre les études et le travail constitue un défi majeur et courant dans la vie des étudiants. J’aimerais vous faire part de mes trois astuces pour y arriver.

1. Apprenez à bien gérer votre temps.

Cette compétence est absolument cruciale, car elle vous donne plus de temps à consacrer à vos loisirs. Un bon conseil : commencez vos travaux dès que possible; n’attendez pas à la dernière minute. Le fait d’allouer un temps précis à chaque activité (étude, travail, sommeil, loisirs, etc.) permet de quantifier le nombre exact d’heures que vous y consacrez. Naturellement, une bonne gestion du temps exige une grande discipline.

2. Arrêtez-vous avant d’en arriver au surmenage.

Le surmenage génère du beaucoup stress et touche une grande proportion d’étudiants. Pourquoi ? Parce que nous voulons à la fois : obtenir les meilleures notes, suivre le plus grand nombre de cours possible au cours d’un trimestre, travailler pour subvenir à nos besoins, maintenir une vie sociale riche, etc. Forcément, le désir de combiner tous ces éléments fait en sorte que les étudiants tombent dans l’épuisement. Pour éviter une telle situation, je vous conseille de revoir vos priorités et de faire des choix. Vous éliminerez ainsi le superflu et vous concentrerez sur ce qui compte vraiment. En définitive, le plus important est de garder du temps pour vous et de savoir décompresser… souvent !

3. Maintenir le cap sur vos objectifs.

Pour demeurer motivé dans la poursuite de ses objectifs, il est crucial de garder ses objectifs bien en vue. Faire le point sur vos objectifs vous permettra de consacrer plus de temps et d’énergie aux choses qui vous apportent de la valeur. Un bon incitatif pour maintenir sa motivation tout au long de ses études est de travailler pour payer ses études, pour autant que cela soit possible, car l’on prend ainsi ses études très au sérieux.

Les gens de Telfer – Mira

En quoi votre rôle de coordonnatrice pour les Jeux du Commerce a-t-il influé sur votre expérience à Telfer et sur votre vie personnelle ?

« Le poste de coordonnateur(trice) pour les JDC englobe plus de tâches que je n’aurais pu l’imaginer. C’est un rôle colossal qui comporte tant de responsabilités qu’il permet de gagner une expérience multifacette.

Par exemple, vous êtes responsable de quelque 80 étudiants. Vous devez répartir toutes ces personnes dans des équipes, assurer leur inscription aux jeux, les préparer à la compétition, etc. Vous assurez aussi la liaison avec le comité organisateur, présidez les réunions de la délégation, tenez votre groupe informé, organisez divers événements de bienfaisance et redonnez à la communauté dans le cadre de projets variés.

Compte tenu de la nature de ce rôle, en plus d’acquérir BEAUCOUP d’expérience, j’ai été en mesure d’étendre mon réseau en rencontrant mes homologues d’autres universités ainsi que les membres du comité organisateur de la compétition. Vous apprenez donc à connaître des étudiants de partout dans l’Est du Canada (Québec, Nouveau-Brunswick, etc.)

Ça peut parfois sembler très imposant comme rôle, car vous avez beaucoup de personnes à votre charge. Vous devez accomplir votre travail au mieux de vos capacités afin qu’en janvier, tous les compétiteurs puissent à leur tour concourir au mieux de leurs capacités et obtenir les scores les plus élevés qui soient dans l’espoir de remporter le titre de « meilleure école de commerce de l’année ».

En plus de devoir préparer une délégation en vue des JDC et pour cette compétition, plus particulièrement, j’ai le privilège de travailler à divers projets en dehors de ce contexte, comme des activités de bienfaisance au profit de la Maison Ronald McDonald et une collecte d’aliments d’une durée d’une semaine à l’appui de la Banque alimentaire d’Ottawa. Je suis très fière d’avoir participé à l’organisation de ces événements.

Ayant pris part aux Jeux du Commerce à compter de ma première année à Telfer, je suis honorée de pouvoir maintenant transmettre mes connaissances aux nouveaux étudiants qui vivent cette expérience pour la première fois. »

 

– Mira Azzi
Étudiante de 5e année au B. Com. (Juris Doctor)
et coordonnatrice pour les Jeux du Commerce (Comité compétitions Telfer)

 

Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

Comment mon travail avec les enfants m’a-t-il aidée dans le monde des affaires ?

J’ai commencé à travailler avec les enfants pendant ma dernière année du secondaire pour gagner un peu d’argent de poche, et c’est l’une des meilleures décisions que j’aie prises. J’ai occupé toute une variété de postes au cours des trois dernières années, y compris dans un programme parascolaire, comme instructrice d’art dramatique et de danse ainsi que dans des camps de vacances en juillet et en août.

J’ai toujours plutôt hésité à indiquer « instructrice de danse » sur mon CV, puisque, eh bien, qu’est-ce que ça peut bien à voir avec le travail dans le milieu des affaires ? J’ai toutefois réalisé que c’est justement en travaillant avec des enfants ces dernières années que j’ai acquis une variété de compétences transférables qui s’avèrent en effet cruciales sur le marché du travail. Voici trois des nombreuses compétences précieuses que vous avez pu acquérir en travaillant avec des enfants et pourquoi vous devriez les mettre en relief sur votre CV.

1. Leadership

Lorsque vous travaillez avec un vaste groupe d’enfants, que ce soit dans un camp de vacances ou dans un cours de danse, vous devez être un excellent modèle et superviser les jeunes toute la journée durant, depuis le réfectoire jusqu’au gymnase ou du début à la fin d’une chorégraphie complète. En plus de diriger des enfants, vous agissez peut-être aussi comme chef de file auprès des employés, surtout les personnes qui se joignent au personnel chaque année et à qui vous montrez les dessous du métier.

2. Adaptabilité

À l’instar du monde des affaires, les enfants peuvent être imprévisibles. Même si vous planifiez toutes vos activités à la minute près, vous apprenez rapidement que la majorité des enfants peinent à se conformer à un horaire strict (surtout par une journée torride de juillet !) Vous devez vous adapter assez vite afin que les enfants ne s’ennuient pas et de ne pas perdre le contrôle de votre groupe. Vous devez continuellement modifier votre plan de match au fur et à mesure que les circonstances évoluent.

3. Aptitudes à l’organisation

Naturellement, il est possible que les enfants ne suivent pas votre horaire et les plans que vous avez établis, mais avoir en main un plan A et un plan B au moment d’entreprendre sa journée est très important, que l’on travaille dans un camp de vacances, dans un studio de danse… ou dans un bureau ! Si vous manquez d’organisation et omettez d’établir un plan de contingence, les enfants en profiteront, et ce sera le chaos complet (l’expérience me l’a appris, et ce n’est pas une sinécure !)

Si j’ai parfait ces trois aptitudes dans le cadre de mon travail avec les enfants, celles-ci m’ont aidée sur le plan professionnel à de nombreux égards : quand j’ai eu à diriger une équipe tout au long d’un projet, à modifier mon emploi du temps ou à organiser une réunion. En résumé, ne sous-estimez pas la valeur de votre expérience professionnelle simplement parce qu’il ne s’agit pas d’un travail de bureau conventionnel de type « 9 à 5 ». Je vous l’assure : tous vos emplois non liés aux affaires vous ont permis de gagner des aptitudes très importantes que les employeurs recherchent chez les candidats idéaux.

 

Pour obtenir des conseils additionnels sur la façon de tirer pleinement parti de toute votre expérience et de la mettre en valeur le mieux possible dans vos futures candidatures, prenez rendez-vous pour une critique de CV sur Destination carrière.

Les gens de Telfer – Yassine

« Une fois que l’on s’est lancé dans les études, il est difficile de savoir si l’on a fait le bon choix. La théorie et la pratique sont souvent deux choses très différentes !

Voilà pourquoi mon conseil serait d’essayer le plus tôt possible d’accumuler de l’expérience dans le domaine d’étude choisi pour se familiariser avec lui. Les employeurs que vous rencontrerez pourront percevoir cette expérience ! Aussi, n’ayez pas peur de participer aux événements de réseautage offerts à Telfer. C’est une ressource formidable qui est mise à notre disposition gratuitement : il n’en tient qu’à nous d’en tirer pleinement parti ! »

– Yassine Tahiri
Étudiant de 4e année en finance, École de gestion Telfer

 

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Conservez votre motivation en créant votre propre tableau d’inspiration professionnelle

À quand remonte la dernière fois que vous avez réfléchi à la carrière de vos rêves ? Au salaire de vos rêves ? Au train de vie de vos rêves ? Avec nos vies très occupées, une fois que la nouvelle année scolaire est amorcée, nous n’avons plus tellement le temps de penser à nos grands objectifs professionnels. Un tableau d’inspiration constitue peut-être la solution.

Qu’est-ce qu’un tableau d’inspiration ?

Comme le nom l’indique, un tableau d’inspiration est un collage d’images, de photos et d’affirmations inspirantes que l’on réalise pour représenter ses désirs, ses rêves et sa vision. Ce collage constitue une source d’inspiration et de motivation. On peut l’utiliser pour visualiser non seulement ses objectifs de vie, mais aussi, plus précisément, ses objectifs professionnels. L’idée est de créer une représentation visuelle constituée d’images qui évoquent la carrière de vos rêves et qui vous donne de la motivation dans la poursuite de vos objectifs. Votre tableau d’inspiration donne vie à vos rêves grâce au pouvoir de la visualisation.

Voici les étapes à suivre pour créer votre propre tableau d’inspiration de carrière :

  1. Posez‑vous les questions importantes

    1. Avant de recueillir des photos et de constituer votre collage, vous devez établir vos objectifs de carrière. Si ces derniers ne sont pas clairs, posez-vous les questions suivantes : « Quels objectifs aimerais-je atteindre au cours de ma carrière ? »; « Où me vois-je dans trois, cinq ou dix ans ? »; « Quelles valeurs institutionnelles sont importantes à mes yeux ? ». Vous pourriez mettre quelques jours à trouver les réponses, mais cela vous aidera à définir à quoi ressemblerait la carrière idéale.

  2. Recueillez des images

    1. Recueillez des images qui vous rappellent votre objectif : le logo d’une entreprise, le titre d’un poste que vous aimeriez occuper, des photos du bureau idéal, des photos de villes que vous aimeriez visiter dans le cadre de votre travail, etc. Les possibilités sont vraiment infinies. Vous pouvez même y ajouter des citations ou de magnifiques photos qui vous inspirent. Ce que vous voulez créer, c’est une représentation qui vous motivera chaque fois que vous la verrez.

  3. Créez votre vision

    1. Vous pouvez choisir de créer un tableau conventionnel ou encore un tableau virtuel. Habituellement, un tableau d’inspiration ressemble beaucoup à un collage, mais le but est que vous puissiez le voir tous les jours. Si vous passez beaucoup de temps à votre ordinateur et peu de temps dans votre chambre à coucher, vous pouvez choisir de créer un tableau d’inspiration professionnelle virtuel et le définir comme arrière‑plan de votre bureau. Vous pouvez toujours le modifier ou y ajouter des éléments.

Une fois que vous aurez créé votre tableau d’inspiration professionnelle, utilisez‑le pour vous motiver à atteindre vos objectifs de carrière et à prendre des décisions d’ordre professionnel.

Les Gens de Telfer – Aman

« Le moment le plus mémorable, selon moi, est celui où je me suis jointe aux Jeux du Commerce (JDC) au début de ma première année. Initialement, j’étais un peu nerveuse – très nerveuse, en fait –, car je connaissais peu de choses sur les concours de cas et parce que l’idée de livrer une présentation devant de vraies entreprises m’intimidait énormément. Cela dit, j’ai sauté sur l’occasion, et les JDC se sont avérés une formidable expérience. Le plus génial, c’est que j’ai pu rencontrer de nouvelles personnes et apprendre d’elles. J’ai découvert les différents types de problèmes auxquels les entreprises sont confrontées concrètement. J’ai tellement aimé l’expérience dans son ensemble que j’y participerai à nouveau cette année.

Ce qui nourrit ma motivation, c’est ma famille et son soutien indéfectible. Les membres de mon entourage, surtout mes amis, constituent aussi une source de motivation. J’aime penser que nous sommes tous dans le même bateau, alors si je suis stressée, je sais que mes pairs le sont aussi. C’est réconfortant, je présume, de savoir que nous sommes tous dans la même situation et que nous pouvons donc nous encourager et nous soutenir les uns les autres et, surtout, sortir ensemble à la moindre occasion pour boire un thé aux bulles ! Je trouve qu’avoir un horaire chargé et stimulant me donne de l’énergie, car je sens que je contribue à quelque chose de plus grand, que ce soit ma croissance personnelle, les JDCC ou mon rendement scolaire.

Le fait de me joindre aux JDC et au Comité compétitions Telfer (TCCT) a décidément amélioré mon expérience universitaire. Cela a transformé ma vision à beaucoup d’égards, et j’ai acquis de nombreuses compétences, notamment en communication. Lorsque vous vous joignez à un club, votre équipe prend toutes les décisions, alors vous acquérez les habiletés qui assureront le succès de votre club – ça ressemble un peu à de la direction d’entreprise. Vous avez aussi l’occasion de faire des rencontres et d’élargir votre réseau, ce qui peut vous être très utile à long terme.

Mon conseil aux étudiants de 1re année est probablement quelque chose qu’ils entendent tout le temps : c’est de se mobiliser sur le campus et d’utiliser toutes les ressources mises à leur disposition à Telfer. Assistez aux événements de réseautage et ne vous laissez pas intimider par ces derniers : personne ne s’attend à ce que vous soyez un pro du réseautage en première année d’université. Profitez de ces occasions pour vous exercer. »

– Aman Sidhu
Étudiante de 2e année en comptabilité et vice-président, Affaires internes, TCCT

 

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Attaquez-vous dès maintenant à votre perfectionnement professionnel !

La période d’étude est maintenant terminée, et vous en avez passé une bonne partie à étudier en vue de vos examens. Vous manquez de sommeil et n’avez qu’une chose en tête : les travaux et les examens de mi-trimestre. Une fois tout cela terminé, vous referez le plein d’énergie (et récupérerez vos heures de sommeil). La vie universitaire n’est‑elle pas merveilleuse ?

Pendant que vous vous remettez de cette période stressante, pourquoi ne pas prendre un moment pour réfléchir à votre avenir ? Que vous commenciez à peine vos études ou que vous en soyez au dernier droit avant la collation des grades, vous vous demandez probablement ce que vous souhaitez retirer de vos études. Et la réponse la plus évidente à cette question est la suivante : UN EMPLOI. Il est naturel que vous souhaitiez démarrer votre carrière, mais que voulez‑vous faire exactement ?

Vous avez peut-être besoin de vous bâtir un plan constitué d’étapes concrètes. Avez-vous déjà pensé à préparer un plan de développement personnel (PDP) ? Un PDP peut vous aider à propulser et à structurer votre apprentissage ainsi qu’à définir vos objectifs et à tirer pleinement parti de toutes les occasions qui s’offrent à vous. Que vous entamiez votre développement ou que vous soyez en train de le réévaluer, un PDP est une excellente façon de circonscrire vos progrès.

Naturellement, formuler un tel plan exige une excellente connaissance de soi et devrait être un exercice itératif, car chaque décision que vous prendrez influera sur votre plan. Voici les trois étapes à suivre pour créer un excellent PDP qui donnera des résultats.

  1. Définissez votre situation actuelle

Réfléchissez non seulement à vos capacités actuelles, mais à tout ce que vous avez accompli à ce jour aux fins de votre perfectionnement. Avez-vous suivi des ateliers organisés par le Centre des carrières ou tout autre cours particulier ? Ces activités devraient apparaître sur votre PDP, tout comme vos objectifs de départ. Demandez-vous si vous êtes là où vous aimeriez être à ce stade‑ci de votre vie. Vous devriez en outre évaluer vos habiletés et compétences actuelles. Vous êtes un pro de l’informatique ? Un chef de file naturel ? Un magicien des présentations ? Notez vos points forts et vos points faibles.

  1. Déterminez votre destination

Formulez vos objectifs à court et à long terme selon la méthode SMART : vos objectifs devraient être S (specific –› précis), M (measurable –› mesurables), A (attainable –› atteignables), R (realistic –› réalistes) et T (timely –› à propos/pertinents). Cette étape vous aidera à suivre vos progrès et à redéfinir votre PDP en conséquence. Vous devriez en outre : réunir des données sur les diverses solutions qui s’offrent à vous; cerner les compétences dont vous avez besoin pour atteindre vos objectifs; et déterminer comment évaluer ces compétences. N’oubliez pas que le Centre des carrières peut vous aider dans un vaste éventail d’activités.

  1. Mettez en œuvre votre PDP et réévaluez‑le régulièrement

Maintenant que vous savez où vous voulez aller, c’est le moment de mettre votre plan à exécution. Conservez les responsabilités liées à votre poste actuel : envisager l’avenir ne devrait pas signifier négliger le présent. Continuez de travailler avec ardeur maintenant en vue de vos aspirations futures. Vous devriez en outre conserver un bilan de vos progrès et revoir ou ajuster vos objectifs occasionnellement. Travailler en étroite collaboration avec un conseiller du Centre des carrières est une excellente manière d’atteindre les objectifs énoncés dans votre plan.

Maintenant que vous avez en main un PDP solide, vous pouvez commencer à travailler à l’atteinte de vos objectifs de carrière à long terme. Où que vous trouviez dans votre vie professionnelle, élaborer un tel plan peut s’avérer un exercice productif. Vous pouvez prendre le contrôle de votre avenir en établissant des objectifs clairs et en les divisant en plusieurs étapes plus petites et plus gérables. N’oubliez pas : lorsque vous omettez d’établir un plan, vous planifiez un échec !

Les Gens de Telfer – Patrick

« Que souhaitez-vous accomplir au cours de vos études ? Cette question ne porte pas uniquement sur vos réalisations scolaires, mais aussi sur les retombées que vous pouvez avoir sur votre établissement et sur vos pairs. Les liens que nous tissons au cours de notre passage à Telfer peuvent souvent s’avérer cruciaux dans notre de carrière.

Je ne me suis jamais posé cette question au cours de ma première année, et l’on pouvait s’en rendre compte. De nombreux étudiants débarquent à Telfer sans avoir la moindre idée de ce qu’ils veulent accomplir au terme de leurs études. C’est tout à fait normal ! Pour être franc, je ne le sais toujours pas ! Le meilleur conseil que je puisse donner aux étudiants de première année est de demeurer ouverts au changement, aux nouvelles idées, aux nouvelles disciplines et aux nouvelles expériences. Essayez autant de nouvelles choses que possible au cours de vos études et explorez vos champs d’intérêt. Nous sommes continuellement en apprentissage et nous le demeurerons tout au long de notre carrière.

Je conseille en outre aux étudiants de se mobiliser sur le campus, car cela leur permet d’établir des relations et de se faire remarquer. Il est beaucoup plus facile de demeurer passif et de se limiter à son cercle d’amis, mais pour obtenir de bons résultats, il faut faire des efforts. Je suis présentement vice‑président, Affaires extérieures, pour Telfer International, et responsable d’affaires chez UOE Racing. J’ai mis trois ans à comprendre qu’il vaut la peine de se joindre à un club étudiant, et j’aurais aimé m’en rendre compte plus tôt.

En fin de compte, je dirais aux étudiants de première année de tirer pleinement parti de leur temps passé ici. Travaillez – et fêtez – avec ardeur, amusez-vous et impliquez‑vous. Demeurez ouverts à la perspective de changer pour le mieux et de rencontrer des personnes dont le point de vue diffère du vôtre. Aller à l’université, ce n’est pas uniquement avoir de bonnes notes : c’est commettre des erreurs et grandir sur le plan personnel. Donnez tout ce que vous avez et commencez à explorer ! »

– Patrick Munro
Étudiant de 3e année en systèmes d’information de gestion et en analytique d’affaires,
et vice-président, Affaires externes, Telfer International

 

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