Blogue de carrière
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Q : Qu’est-ce qui vous plaît le plus à Telfer?
R : « Ce qu’il y a de mieux à Telfer, ce sont les gens. La communauté de Telfer est ouverte à tous, et les gens veulent sincèrement vous aider à réussir et font de leur mieux pour y parvenir. Mon conseil à tout étudiant de Telfer serait celui-ci : mobilisez-vous et laissez l’École s’occuper de vous. »
Q : Quel serait votre emploi idéal?
R : « Le poste de mes rêves serait de travailler comme expert-conseil en gestion dans l’une des trois principales sociétés d’expertise-conseil. »
– Teehreem Nasir, étudiant de 3e année (gestion des technologies d’affaires; coop), directeur, Événements, Société de finance Telfer, participant au PMCP
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous ne recevez aucune invitation à des entretiens d’embauche ? C’est peut-être parce que vous utilisez un modèle de CV que vous avez trouvé en une minute grâce à votre navigateur Web préféré. Saviez-vous que 70 % des CV ne sont pas vus par les employeurs ? Ce qui veut dire ? La probabilité que vous vous distinguiez est faible, surtout si vous utilisez les « meilleurs modèles de CV » communément suggérés par le « navigateur-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le nom ». Voici pourquoi.
1. Ils sont souvent trop formatés
Trouver un format approprié pour votre CV constitue une étape essentielle dans votre recherche d’emploi. Un CV bien formaté est simple, propre, facile à lire et comprend un contenu précis et pertinent. Trop souvent, les modèles de CV trouvés au moyen d’une recherche rapide sur Internet comportent plusieurs caractéristiques de formatage, telles que des zones de texte et des tableaux, qui risquent de compromettre la lisibilité de votre CV par les humains comme par les robots.
2. Ils sont souvent pleins d’espace vide
La frontière entre trop et trop peu d’espace blanc est délicate. Lorsqu’il n’y a pas assez d’espace blanc sur votre CV, ce dernier peut sembler chargé et difficile à lire et à suivre pour les recruteurs. En revanche, trop d’espace blanc donne l’impression que votre CV est vide et dépourvu de renseignements, comme c’est le cas pour de nombreux modèles très formatés que l’on trouve couramment sur le Web.
3. Ils contiennent souvent des éléments problématiques ou non pertinents
Photographies. État civil. Infographies mignonnes. Colonnes multiples. Polices de caractères élaborées. Diagrammes circulaires de l’emploi du temps. Diagrammes à barres des compétences. Énoncés de compétence de quatre lignes, etc. Ce ne sont là que quelques exemples des nombreux éléments que l’on trouve dans ces « meilleurs » modèles de CV que l’on trouve en ligne et qui n’ajoutent pratiquement aucune valeur à votre CV. Utilisez l’espace dont vous disposez judicieusement : si on ne peut pas savoir en moins de 10 secondes si vous êtes qualifié(e) pour le poste, retournez à la planche à dessin.
Choisir un modèle de CV qui vous convient pour obtenir le poste que vous souhaitez (ou n’importe quel poste, en fait) peut être ardu. J’espère que ces points vous ont aidés à comprendre pourquoi vous ne devriez pas utiliser n’importe quel modèle de CV trouvé en ligne. Consultez plutôt l’équipe du Centre des carrières : leurs professionnels peuvent vous aider à rédiger un CV percutant qui sera vu et remarqué. Prenez rendez-vous pour une critique de CV avec la coordonnatrice de développement professionnel du Centre des carrières dès maintenant à partir de Destination carrière.
Référence : https://getfive.com/blog/eye-opening-facts-must-know-applicant-tracking-systems-ats/
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Q. Quel est votre meilleur souvenir de Telfer ?
R. « Les compétitions de cas, sans aucun doute. Au cours de ma première année, j’ai eu l’occasion de participer au Happening Marketing, puis aux Jeux du Commerce (JDC). Cette année, je suis d’ailleurs co-coordonnateur des JDC et j’amène plus de 85 délégués à la plus grande compétition de cas de l’Est du Canada. Ce rôle me permet non seulement de superviser la délégation, mais aussi de réaliser des projets connexes extraordinaires, comme une collecte de fonds pour la Fondation David Suzuki ou encore un vidéo de sensibilisation pour la Société canadienne du sang. Pour moi, aller à l’université, c’est bien plus qu’aller en classe : c’est aussi mettre la théorie en pratique dans des contextes bien concrets, rencontrer des collègues d’autres universités et s’épanouir sur le plan professionnel. »
Q. Comment Telfer vous a-t-elle transformé comme étudiant en sciences commerciales ?
R. « Telfer a eu un grand impact sur mon parcours universitaire grâce à sa perspective globale, enrichie par ses actions locales. L’image de marque que Telfer a adoptée n’est pas seulement une façade : au cours de mes quatre années à Telfer, j’ai pu saisir toute une variété d’occasions qui n’auraient pas été disponibles à une autre école de commerce. Je crois en effet que les nombreuses expériences d’apprentissage expérientielles offertes aux étudiants aident ces derniers à se préparer au monde du travail et à bâtir le Canada de demain. Que ce soit au sein des clubs, aux compétitions de cas ou encore grâce aux services de développement de carrière, il y en a pour tous les goûts ici ! »
Q. Qu’aimeriez-vous faire au terme de vos études ?
R. « Dans l’optique d’avoir un impact concret sur le Canada dans lequel nous vivons, je compte entreprendre ma carrière comme consultant en transformation des opérations numériques dans le secteur public. Mon expérience à Telfer me permettra de mieux comprendre les problèmes auxquels les entités gouvernementales sont confrontées et à mieux les aider dans l’élaboration de solutions logicielles. Je suis très heureux d’avoir pu m’aventurer sur plusieurs avenues professionnelles au cours de mes stages d’été : je suis enfin arrivé à un domaine qui me passionne et dans lequel j’ai très hâte d’exercer une influence mesurable. »
– Charles Doray, étudiant de 4e année en marketing, coordonnateur, JDC, Comité compétitions Telfer, adjoint d’enseignement
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Depuis l’éclosion de la pandémie de COVID-19, nous avons tous dû nous adapter à de nouvelles réalités qui constituent désormais la norme, depuis les cours virtuels jusqu’aux réunions de travail en ligne, en passant par les entretiens et les événements de réseautage sur plateforme numérique. S’il peut être pratique d’éteindre sa caméra lorsque l’on est allongé ou que l’on prépare des spaghettis, certaines réunions exigent simplement que vous soyez présent(e), ce qui implique d’activer votre caméra. Et la gestuelle s’avère aussi importante dans un contexte virtuel qu’en personne. Voici trois astuces qui vous aideront à maîtriser l’art du non verbal dans les réunions virtuelles.
1. Maintenez une bonne posture
Vous ne voudriez pas vous avachir pendant un entretien d’embauche ou une réunion en personne. Il importe que vous conserviez cette bonne posture dans un cadre virtuel. Évitez donc de vous asseoir dans votre lit ou sur un canapé, car vous commencerez à vous courber beaucoup plus vite que vous ne le pensez. Lorsque vous vous tenez droit(e), non seulement paraissez-vous plus sûr(e) de vous, mais vous vous sentez également plus sûr(e) de vous. Vous porterez aussi davantage attention à votre réunion.
2. Ne vous regardez pas sans cesse
Beaucoup de personnes se regardent à l’écran lorsque c’est leur tour de parler ou même lorsqu’elles écoutent la réunion. Cela peut causer une perte de concentration, et il est facile d’être distrait lorsque l’on est plus préoccupé par l’image que l’on donne aux autres. Au lieu de cela, regardez directement dans la caméra lorsque vous parlez. En personne, vous regardez les gens dans les yeux quand vous leur parlez. Toutefois, si vous vous regardez à l’écran, vous pourriez donner l’impression d’être déconcentré(e) et de ne pas prêter attention à vos interlocuteurs.
3. Souriez ! :)
Le fait de commencer votre réunion en souriant peut donner le ton au reste de la réunion. Vous montrez ainsi que vous êtes une personne heureuse et positive. Vous mettez également les autres personnes à l’aise. Cela pourrait aussi vous mettre plus à l’aise. Un sourire authentique vous fait paraître sympathique et accessible.
Grâce à ces trois conseils, votre gestuelle en réunion virtuelle sera beaucoup plus efficace. Ce sera non seulement plus utile pour vous, mais cela aidera aussi les autres participants à se sentir plus à l’aise.
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Q : En quoi le fait de vous être mobilisée sur le campus a-t-il rehaussé votre expérience à Telfer ?
R : « En toute honnêteté, j’aurais aimé le faire plus tôt ! J’ai rencontré une foule de gens et tissé une multitude d’amitiés formidables. Grâce à mes différents postes au sein de clubs étudiants, j’ai pu bâtir des rapports de confiance avec les membres et mettre en application tout ce que j’ai appris dans mes cours, ce qui a renforcé mon expérience d’apprentissage. »
Q : Pourquoi avez-vous décidé d’étudier à Telfer ?
R : « J’ai vu le programme coop et le nombre de clubs étudiants. Le programme coop est extraordinaire, surtout pour les étudiants en finance. Bien qu’il soit compétitif, il offre tant de possibilités. Je connais tellement de personnes qui ont étudié à Telfer et qui m’ont parlé de leur expérience. Et que dire des ressources ? Il y en a tellement, comme le Centre des carrières de Telfer et le Centre d’écriture. Tout ce que l’on m’a dit au sujet de Telfer est vrai, et je suis très heureuse de ma décision. »
Q : Si vous pouviez décrire Telfer en un mot, quel serait-il ?
« Précieux. Parce que tout à Telfer est si précieux. Les gens, les cours, les programmes. Tout à Telfer contribue à l’expérience étudiante. Au cours des trois dernières années, j’ai énormément grandi grâce à tout ce qui est offert à Telfer. »
– Natalie Abo Setta, étudiante de 3e année en finance, vice-présidente, Telfer International, généraliste en marketing, Association des ressources humaines de Telfer
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« Le fait d’étudier presque exclusivement en français, alors que je suis anglophone, et de suivre mes cours dans un milieu principalement virtuel a été une expérience éprouvante et souvent stressante. C’est pourtant ce que j’aime le plus de mon programme. Pour réussir, je dois continuellement élargir ma zone de confort, ce qui peut être effrayant. Malgré tout, mes professeurs sont souvent allés bien au-delà de leur devoir pour s’assurer que je me sentais soutenue, même dans les périodes où j’avais l’impression de ne pas être à la hauteur. Les diamants sont formés sous pression, et je ne serais pas la même personne aujourd’hui si j’avais choisi un autre programme d’étude.
Depuis le début de mes études, ce sont les gens merveilleux que j’ai rencontrés en classe et dans mes activités parascolaires qui constituent ma plus grande source d’inspiration. J’ai l’impression d’être constamment entourée d’une foule de personnes qui multiplient les talents et qui me poussent à me mobiliser et à devenir la meilleure version de moi-même. Je n’aurais jamais pu imaginer devenir aussi à l’aise comme chef de file au sein de deux groupes étudiants, mais toutes les personnes que j’ai rencontrées se sont montrées extrêmement encourageantes, et ce, même lorsque je doutais de moi.
Dans le futur, j’espère exercer en droit des entreprises ou en règlement des litiges relatifs aux réclamations d’assurance. »
– Veronica Fusco Hitchlock, étudiante de 3e année, B.Com. et J.D.
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Le stress lié à la recherche d’emploi est bien réel et peut miner significativement notre bien-être physique et psychologique. Souvent, la pression que nous subissons au travail (ou lorsque nous cherchons du travail) devient insoutenable, si bien que nous en perdons tous nos moyens. Pour retrouver une impression de contrôle, nous devons réunir tous les outils à notre disposition afin de gérer efficacement notre stress. Voici comment vous pouvez faire de la pleine conscience votre outil de gestion du stress le plus puissant.
Qu’est-ce que la pleine conscience ?
Examinons d’abord en quoi consiste la pleine conscience, exactement. L’Oxford Mindfulness Centre la définit comme une « conscience du moment présent que l’on éprouve dans sans aucun jugement » [traduction libre]. Elle implique de se concentrer exclusivement sur le présent, de recanaliser son attention et d’éviter les distractions. L’état de pleine conscience vous amène à remarquer vos pensées, vos émotions et vos actions, mais sans vous y perdre. Voici quatre exercices de pleine conscience que vous pouvez mettre à l’essai pour apprendre à mieux gérer votre stress.
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Trouvez une position confortable !
Trouvez un lieu silencieux et confortable. Profitez de ce moment pour vous concentrer sur votre respiration, recanaliser votre attention et éviter les distractions. Ce faisant, vous renforcez le lien esprit‑corps, ce qui vous aidera, en fin de compte, à réduire votre stress, à réguler vos réactions physiques et à rehausser votre niveau général de conscience.
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Observez vos pensées, vos sentiments et votre milieu
Une fois que vous vous serez installé(e) confortablement, vous deviendrez de plus en plus conscient(e) de vos pensées, de vos sentiments et de votre milieu. Faites preuve de patience et prenez le temps de cerner vos facteurs de stress (carrière, situation personnelle, examens à venir, etc.) Au fur et à mesure que vous en prenez acte, redirigez tranquillement votre attention vers le moment présent. Vous prendrez conscience de la vaste quantité d’information que vous pouvez recueillir pour vous guider plus avant.
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Acceptez vos sentiments
Au fur et à mesure que vous poursuivez votre cheminement vers la pleine conscience, apprenez à accepter vos sentiments et à les faire vôtres. N’oubliez pas que pratiquer la pleine conscience consiste notamment à ne pas se juger. Ces sentiments ne vous définissent pas, et tant et aussi longtemps que vous demeurez conscient(e) de ces sentiments, vous pouvez décider de la manière dont vous agissez.
Bien que cela puisse paraître simple, il importe de noter qu’intégrer la pleine conscience à sa routine demande du temps. Avec de la pratique, vous en viendrez à en récolter les bienfaits à long terme. Pour en savoir plus sur la manière de faire de la pleine conscience votre outil le plus puissant, examinez les ressources suivantes :
Recherche d’emploi : Méditer pour appuyer sur pause
Le potentiel de la mindfulness en développement de carrière
Référence : www.mindtools.com/pages/article/mindfulness.htm
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Vous avez l’impression que tout le monde a un emploi, sauf vous ?
Tous vos amis ont déjà obtenu des stages et des placements coop ?
Vous vous êtes entièrement consacré(e) à la recherche d’un emploi, mais sans résultat ?
Nous nous posons souvent ces questions dans les périodes de recherche d’emploi difficiles, lorsque nos nombreuses demandes d’emploi demeurent sans réponse. Cette situation peut s’avérer frustrante et décourageante... Mais il doit bien y avoir une raison, non ? Après tout, à nos yeux, nous sommes tous des candidats qualifiés, solides et talentueux. Quoi qu’il en soit, voici quelques raisons pouvant expliquer le silence des employeurs...
Raison n°1 : Votre candidature n’est pas adaptée à la description du poste.
Utilisez-vous la même lettre de motivation et le même CV pour toutes vos candidatures ? Qu’il s’agisse de votre candidature globale, de votre lettre de motivation ou de votre curriculum vitae, vous devez les adapter au poste en question. Aujourd’hui, les candidatures sont souvent examinées par des systèmes de suivi des candidats (ATS). Ces systèmes examinent votre candidature au regard de mots-clés précis tirés de la description du poste. Si elle est repérée par un ATS, votre candidature est ensuite examinée par un responsable du recrutement. En bref, évitez l’approche « copier-coller » : soumettez plutôt des candidatures sur mesure, optimisées en fonction des mots clés.
Raison n° 2 : Vous n’êtes pas proactif(ve).
Avez-vous « téléversé » passivement des candidatures ? Ou bien avez-vous 1) publié sur LinkedIn votre récit professionnel et vos succès; 2) effectué un suivi prompt auprès de vos relations; 3) tissé des liens stratégiques avec des employeurs en participant à leurs événements ou en interagissant avec leurs médias sociaux pour demeurer au courant des tendances du secteur ? Ce ne sont là que quelques exemples de ce que vous devriez faire pour renforcer votre visibilité auprès des employeurs potentiels et obtenir un avantage concurrentiel sur les autres centaines de candidats.
Raison n° 3 : « Ce n’est pas vous. Ce sont eux. »
Communément entendu dans les relations amoureuses, le « Ce n’est pas toi. C’est moi. » s’applique également à la recherche d’emploi. Très souvent, le rejet n’a aucun rapport avec vous, en particulier. Ce sont les affaires. Compte tenu de la multitude de candidats et du nombre limité de postes, vous ne pouvez pas vous attendre à obtenir le premier emploi que vous avez postulé. Il peut toujours y avoir un candidat plus qualifié; il se peut que votre candidature soit tombée entre de mauvaises mains; des préjugés inconscients ont pu se manifester à l’embauche. Quelle que soit la raison de votre rejet, rappelez‑vous que vous n’êtes pas l’unique composante du processus et que vous devez apprendre de vos erreurs et tenter à nouveau votre chance.
Nous sommes tous d’accord : chercher un emploi, c’est apprendre continuellement à composer avec le rejet et à faire de son mieux pour ne pas le prendre personnellement. Toutefois, si vous n’avez pas de nouvelles des employeurs, n’oubliez pas de personnaliser vos candidatures, adoptez une démarche proactive et ne vous torturez pas pour chaque refus !
Vous avez besoin d’un soutien additionnel ? Les professionnels du Centre des carrières de Telfer peuvent vous aider à chercher du travail, à rédiger votre CV, à affiner vos techniques d’entretien, et à faire bien d’autres choses encore. Réservez votre rendez-vous individuel dès maintenant sur Destination carrière.
Maintenant, lancez-vous et allez impressionner les employeurs !
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Q. Pourquoi avez-vous choisi Telfer ?
R. J’ai choisi Telfer plutôt que d’autres écoles de commerce en Ontario, car c’était la seule des deux à offrir des cours bilingues. L’Université Laurentienne était beaucoup plus éloignée de chez moi qu’uOttawa. Compte tenu de l’importance d’Ottawa comme marché du travail, les occasions de stages coop sont également meilleures et plus intéressantes dans la capitale. J’espère que mon expérience à Telfer continuera d’être formidable.
Q. Qu’est-ce qui vous plaît le plus chez Telfer ?
R. Ce que j’aime le plus à propos de Telfer, c’est le fait qu’il s’agit d’une faculté de l’Université d’Ottawa, donc des cours bilingues sont disponibles. J’aime beaucoup que cette option soit offerte, car j’aime suivre des cours dans les deux langues afin de préserver et d’aiguiser mes compétences linguistiques.
– James Ferguson, étudiant de 2e année en finance
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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LinkedIn. C’est quoi au juste ?
LinkedIn est un réseau social (un peu comme Facebook, Instagram et Twitter), mais qui sert au réseautage professionnel. Selon Techno-Science, ce service en ligne constitue un réseau de connaissances qui facilite le dialogue entre professionnels.
Quel que soit notre programme, nous devons un jour ou l’autre chercher un emploi qui correspond à notre profil ou, mieux encore, qui est lié à notre programme d’études. Tout au long de notre parcours universitaire, nous voulons bâtir un réseau qui nous ouvrira des portes. Pour y arriver, nous devons nous doter des meilleurs outils. Et voilà pourquoi nous devons investir dans LinkedIn. Voici, en gros, l’ABCD d’une solide page LinkedIn !
A comme dans apparence : votre photo de profil
L’apparence générale de votre profil est dictée par votre photo de profil. Pas d’égoportrait, surtout ! Une photo de collation des grades, peut-être. Mais encore. Il vous faut une EXCELLENTE photo de profil : un portrait bien cadré, net, dans lequel vous souriez. N’oubliez pas que vous voulez inciter les gens à consulter le reste de votre page.
B comme dans base : votre intitulé
Votre intitulé, c’est LA composante sur laquelle se basent les usagers de LinkedIn pour déterminer si votre résumé et le reste de votre profil valent le détour. Assurez-vous que votre intitulé attire l’attention sur votre potentiel. Il peut comporter plusieurs composantes : le titre du poste que vous occupez, votre statut d’étudiant, votre principal domaine d’expertise, etc.
C comme dans copier-coller : votre expérience
Un truc simple pour bâtir rapidement votre section « Expérience » : « récupérez » le contenu de votre CV (pour autant que ce dernier soit complet). Un conseil au sujet du bénévolat : si vous en faites, mentionnez-le dans votre expérience, car les employeurs apprécient cet atout. Si vous n’avez aucune expérience bénévole ou parascolaire, tâchez d’en acquérir : vous me remercierez plus tard !
D comme dans détails : vos compétences
Sur une page LinkedIn, les détails comptent. Et ça commence par vos compétences. Ajoutez-en au moins 10 qui sont pertinentes et que les membres de votre réseau pourront entériner.
BONUS : N’hésitez pas à « aimer » et à commenter des publications, voire à les relayer si elles sont en lien avec vos valeurs. Cela renforcera votre visibilité !
Voilà donc l’ABCD du profil LinkedIn ! Pour faire passer votre profil au niveau supérieur, ne manquez pas de prendre rendez-vous avec notre coordonnatrice de développement professionnel pour une critique individuelle à partir de Destination carrière.
Référence : https://bit.ly/3BdSaJz
