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Adaptez-vous toujours votre candidature avant de postuler? Obtenez-vous toujours une réponse positive de l’employeur? Si vous avez répondu « non », « rarement » ou encore « jamais » à ces questions, ne paniquez pas et poursuivez votre lecture. Dans cet article, je vous fais part de mon expérience des critiques de CV offertes au Centre des carrières de Telfer.
Portez. Attention. Aux détails.
La qualité de la langue utilisée dans votre CV reflète votre qualité en tant que candidat(e). Pensez-y : les compétences les plus souvent citées par les candidats sont : 1) l’attention aux détails; et 2) les compétences en communication écrite. Malheureusement, de nombreux étudiants contredisent leurs propres affirmations en laissant dans leur CV une tonne d’erreurs grammaticales, de fautes de frappe évitables et d’incohérences de formatage. Après ma première critique de CV, mon CV était COUVERT d’encre rouge à cause de ces petites erreurs. Des erreurs mineures qui auraient pu me coûter des offres d’emploi! J’ai alors compris à quel point ces détails en apparence mineurs sont cruciaux du point de vue d’un employeur. De plus, il existe tellement d’outils qui peuvent vous aider! Assurez-vous simplement de les utiliser ! Et les critiques de CV offertes au Centre des carrières de Telfer abordent cette question.
Faites preuve de précision
De nombreux candidats décrivent leurs réalisations et leur expérience professionnelle en termes très génériques ou se contentent de fournir une liste de leurs principales responsabilités sans mettre en relief leurs compétences précises. « Aider des clients » n’est pas très convaincant. « Pratiquer l’écoute active et aider plus d’une centaine de clients par jour dans les deux langues officielles en leur fournissant des solutions appropriées et personnalisées » est beaucoup mieux. Les critiques de CV vous apprendront à créer du contenu convaincant comme celui-là.
Adaptez. Adaptez. Adaptez.
N’oubliez pas que chaque poste comporte ses propres exigences. Votre CV peut très bien décrire vos compétences, mais si vous ne répondez pas aux qualifications précises énumérées dans l’offre d’emploi, vous risquez d’essuyer un rejet, et ce, même si vous êtes le/la candidat(e) idéal(e). Tentez d’abord de comprendre les qualifications exigées, puis adaptez votre CV en conséquence. Le Centre des carrières de Telfer propose d’ailleurs un type de rendez-vous particulier pour vous aider en ce sens : Adaptation du CV à une offre d’emploi précise.
Fournissez des preuves
En tant qu’étudiants, nous avons souvent tendance à décrire nos compétences en termes vagues : ambitieux, esprit d’équipe, sens du détail, ponctualité, etc. Les employeurs peuvent-ils nous croire sur parole sans autre preuve? Bien sûr que non ! Ajouter de telles affirmations sur votre CV sans les justifier est un gaspillage d’espace... et une occasion ratée! Étayez vos affirmations d’exemples concrets. Si vous ne le faites pas, vos concurrents le feront (et seront embauchés à votre place). Vous voulez vous présenter comme un(e) chef d’équipe? Merveilleux! Utilisez des verbes d’action tels que diriger, conduire, encadrer, former, superviser et initier, et assurez-vous de fournir du contexte et des détails (par exemple, le nombre de stagiaires que vous deviez superviser). Les critiques de CV offertes au Centre des carrières de Telfer portent également sur ces techniques de rédaction.
Tirez parti de votre Centre des carrières
Malheureusement, certains étudiants de Telfer ne tirent pas parti des critiques de CV offertes par leur Centre des carrières. Il y a un poste que vous souhaitez vraiment postuler? Prenez rendez-vous pour une critique de CV avec la coordonnatrice de développement professionnel du Centre des carrières de Telfer à partir de Destination carrière. Croyez-moi : cela changera à jamais (et pour le mieux) la façon dont vous postulez des emplois, maintenant et dans le futur.
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« Ne pourchassez pas les gens. Soyez vous-même, faites vos propres trucs
et travaillez avec ardeur. Les bonnes personnes – celles qui ont vraiment leur place
dans votre vie – viendront à vous. Et resteront. »
– Will Smith [traduction libre]
Qu’est-ce qui vous plaît le plus à Telfer ?
« Ce que j’aime à Telfer, c’est qu’il se passe toujours quelque chose. Depuis ma première année, je constate qu’il y a toujours une foire des clubs étudiants, un gala ou un événement de réseautage au calendrier. J’aime Telfer parce que j’ai l’occasion d’apprendre et de me faire de nouveaux amis et de nouvelles relations. J’apprécie le fait de pouvoir m’améliorer constamment en tant que personne. »
Comment avez-vous trouvé la carrière qui vous intéressait ?
« La première fois que j’ai ressenti le désir de faire de carrière en comptabilité, c’est lorsque j’ai assisté à une conférence de CPA Ontario à l’école secondaire. J’ai eu l’occasion d’échanger avec des professionnels de l’organisation, et j’ai compris alors que la comptabilité n’est pas forcément un travail de bureau de 9 à 5. En tant que CPA, vous avez l’occasion de voyager pour parler à divers clients et la possibilité de travailler où vous voulez, quand vous voulez. »
Quel est le plus grand défi que vous ayez eu à relever jusqu’à présent ?
« Le plus grand défi que j’aie eu à relever jusqu’ici dans ma carrière universitaire a été de devoir gérer toutes mes tâches. Je suis aujourd’hui vice-présidente, Événements, pour le Club de comptabilité Telfer et coordonnatrice des conférenciers pour Legacy Canada, un projet relevant d’Enactus uOttawa. Combiner un rôle de chef de file dans deux clubs étudiants, l’école à temps plein et un emploi à temps partiel, ça devient parfois lourd. Mais je ne pourrais rien laisser tomber pour réduire ma charge de travail. Les deux clubs auxquels je participe sont extraordinaires, et je les aime tous les deux. C’est l’un des grands avantages de Telfer : il y a tellement d’activités parascolaires parmi lesquelles choisir qu’il est difficile de les quitter une fois qu’on s’est investi. »
– Rivetha Kandeepan, étudiante de 2e année en comptabilité
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Ici, au Centre des carrières de Telfer, nous parlons beaucoup de la façon dont nous pouvons devenir les meilleurs candidats possibles et perfectionner notre CV pour décrocher le poste que nous convoitons. Néanmoins, il arrive parfois que l’on ne soit pas choisi même si l’on a tout fait dans les règles de l’art. Bien que cela fasse partie du jeu, beaucoup d’entre nous peuvent être pris au dépourvu, surtout la première fois. Aujourd’hui, nous allons parler du syndrome de l’imposteur, de la façon de composer avec le rejet, de la résilience et de mes conseils préférés pour une recherche d’emploi en pleine conscience.
Le syndrome de l’imposteur : dompter la bête
Souffrir du syndrome de l’imposteur, c’est éprouver un sentiment envahissant d’imposture et douter indûment de ses capacités. C’est craindre d’être découvert comme un imposteur et croire que l’on ne doit son succès qu’à un coup de chance. Bien que ce syndrome ne soit pas formellement considéré comme une maladie mentale, la recherche indique qu’au moins 80 % des adultes en ont souffert en 2020. Le rejet d’un employeur peut aggraver ce sentiment en vous faisant croire que vous ne méritiez pas vraiment votre diplôme.
Voici quelques mesures que vous pouvez prendre pour atténuer votre anxiété :
1. Sachez que vous n’êtes pas seul(e). C’est banal, je sais, mais néanmoins vrai. Tout le monde se sent un jour ou l’autre comme un imposteur : vous n’êtes PAS le maillon faible. Vous seriez surpris(e) de savoir qui a également souffert du syndrome de l’imposteur – même la célèbre poétesse américaine et militante des droits civiques Maya Angelou a évoqué son combat contre ce syndrome.
2. Suivez et mesurez vos progrès. Bien définir et suivre vos objectifs de carrière peut transformer positivement votre productivité et votre degré d’assurance. Un examen régulier de vos objectifs vous aidera à mieux définir vos principales compétences et faiblesses. Ainsi, au lieu d’avoir l’impression d’être mauvais(e) en tout, faites le bilan de vos réussites et faites preuve de bienveillance envers vous-même en vous disant : « Je n’ai peut-être pas encore accompli X, mais j’ai accompli Y et Z et c’est plutôt chouette. »
3. Dites « Oui! » aux nouvelles occasions. Lorsqu’on est en proie au syndrome de l’imposteur, il est facile de renoncer à de nouvelles occasions professionnelles, éducatives et parascolaires, simplement par peur. En disant « oui » plus souvent, vous allez : tisser des réseaux, créer des débouchés et renforcer vos compétences. Toutes ces choses viendront atténuer votre sentiment d’imposture.
Renforcer sa résilience en se relevant d’un rejet
Pensez-y : dans le monde professionnel, la majorité des personnes qui osent se mettre en avant sont rejetées, et non choisies. Le fait de savoir cela ne rendra pas l’expérience plus agréable, mais cela mettra les choses en perspective. Heureusement, vous pouvez apprendre beaucoup d’une candidature rejetée... et renforcer votre résilience par la même occasion. D’abord, n’hésitez pas à demander des rétroactions aux recruteurs : ils vous donneront peut-être une réponse générique, mais vous pouvez toujours leur demander poliment vous fournir des détails additionnels. Vous avez investi beaucoup de travail dans le processus et vous méritez une explication.
Vrai : certains employeurs ne fournissent tout simplement aucun retour d’information. Dans ce cas, je me dis l’avoir échappé belle, car le refus de fournir des rétroactions peut signaler un milieu de travail hostile.
Si toutefois vous recevez des rétroactions, profitez-en pour intégrer ces détails à votre plan de développement personnel. Il est également possible – surtout après une longue série de refus – que vous deviez préciser votre recherche d’emploi, adapter votre CV ou ajouter des certifications à votre profil. Demandez-vous si ce que vous dites en entretien correspond à ce qui figure sur votre CV, si vous incluez les bons mots-clés et si vous pourriez suivre un cours supplémentaire pour vous distinguer davantage de la concurrence.
Chercher un emploi en pleine conscience
Pour conclure, voici quelques-uns de mes meilleurs conseils pour demeurer attentif tout au long de sa recherche d’emploi (et dans la vie de tous les jours) :
- Cernez votre « pourquoi » : En circonscrivant votre intention et votre objectif, vous aurez plus de chances d’obtenir des entretiens d’embauche pertinents. Ne vous contentez pas de dire « J’ai besoin d’un emploi pour gagner de l’argent », mais tâchez plutôt de relever les secteurs qui vous intéressent, de définir les retombées que vous souhaitez avoir, etc.
- Demeurez dans le présent : Une fois que vous avez reçu des rétroactions, ne pensez plus au passé et concentrez-vous sur le présent et l’avenir. Vous pouvez vous ressentir de la frustration, certes, mais ajustez votre langage : la question n’est pas de savoir si vous obtiendrez un emploi, mais de savoir quand.
- Évitez de vous surmener : Si l’on n’y prend pas garde, la recherche d’emploi peut facilement devenir un travail à plein temps. Au lieu d’essayer de postuler massivement 30 postes à la fois, trouvez votre propre cadence et fixez‑vous de petits objectifs mesurables.
Si vous doutez de vous et que vous cherchiez des moyens de surmonter les refus passés et d’éviter les rejets futurs, ne cherchez pas plus loin : prenez rendez-vous avec les professionnels du Centre des carrières de Telfer à partir de Destination carrière.
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Shirley Mach est étudiante de 4e année en finance, ambassadrice du Centre des carrières de Telfer et directrice des commandites pour CASCO.
Mon expérience à Telfer :
« Je termine actuellement mon dernier trimestre. Dans l’ensemble, je décrirais mon expérience comme très intéressante et productive. À l’école, je suis ambassadrice du Centre des carrières de Telfer; j’ai aussi participé à CASCO comme directrice des commandites. »
Pourquoi c’est génial/Ce que j’aime :
« Telfer dispose d’un formidable réseau. Au fil des ans, j’ai tissé beaucoup de relations fructueuses dans le cadre de projets d’équipe, d’activités parascolaires, d’événements de réseautage, etc. »
À propos de mon programme :
« Pourquoi la finance ? J’ai pensé que le programme me conviendrait, car j’aime travailler avec les chiffres et intégrer des concepts liés aux affaires. À Telfer, j’ai pu explorer pleinement mon programme, depuis ses défis professionnels jusqu’à ses possibilités d’avancement. De plus, mon programme m’a certainement aidée à maîtriser les principes fondamentaux de la finance ainsi que son cadre théorique. »
Mes astuces ou conseils :
« Sachez que vous n’êtes pas seuls, et assurez-vous de profiter du système de soutien disponible. Une infinité de ressources s’offrent à vous, et elles sont là pour vous aider à vous orienter dans votre parcours universitaire. »
« Dans l’ensemble, j’ai aimé mon passage à Telfer et je suis reconnaissante des nombreuses occasions qui m’ont été offertes. Je prépare actuellement mes prochaines étapes après l’obtention de mon diplôme, et j’ai hâte d’explorer davantage ce que mon domaine d’études a à offrir. N’hésitez pas à communiquer avec moi sur LinkedIn, car je suis toujours ouverte au réseautage et aux nouvelles rencontres ! »
– Shirley Mach est étudiante de 4e année gestion internationale et marketing, ambassadrice du Centre des carrières de Telfer et directrice des commandites pour CASCO.
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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L’École de gestion Telfer est reconnue pour son large éventail d’activités parascolaires, depuis ses clubs étudiants jusqu’à ses programmes de perfectionnement, en passant par ses concours de cas. De nombreux étudiants de Telfer se demandent peut-être ce qu’ils peuvent tirer de telles occasions. Vous trouverez ci-dessous plusieurs raisons pour lesquelles je pense que vous devriez vous mobiliser dans des activités parascolaires.
Raison n° 1 : Pour améliorer votre rendement scolaire
En vous mobilisant dans des activités parascolaires, vous pouvez mettre en application les connaissances et les compétences acquises en classe à des situations de la vie réelle, comme le lancement de campagnes (en utilisant ce que vous avez appris dans vos cours de marketing) ou la gestion du budget d’une organisation étudiante (en utilisant les connaissances tirées de vos cours de comptabilité et de finance). Vous pouvez également développer de nombreuses compétences relationnelles telles que la résolution de problèmes et la pensée critique, qui sont essentielles à votre réussite future dans le monde des affaires.
Raison n° 2 : Pour explorer de nouveaux centres d’intérêt
Vous ne savez toujours pas quelle carrière vous aimeriez poursuivre à l’avenir? Pas de problème! Les activités parascolaires offertes à Telfer couvrent de nombreux secteurs différents et offrent d’innombrables possibilités d’apprentissage aux étudiants. En vous mobilisant, vous pouvez interagir avec des professionnels de l’industrie, jouir d’un accompagnement en développement de carrière et recevoir des rétroactions personnalisées.
Raison n° 3 : Pour développer vos relations
Vous l’avez déjà entendu. Le réseautage est l’un des moyens les plus efficaces que vous puissiez employer comme étudiants en sciences commerciales pour stimuler votre carrière. La recherche a montré que les personnes disposant d’un réseau solide tendent à mieux réussir professionnellement. Se faire de nouveaux amis et élargir son réseau s’est peut-être avéré difficile en pleine pandémie mondiale, et c’est une raison additionnelle pour se mobiliser. Grâce à vos activités parascolaires, vous pourriez rencontrer de nombreuses personnes d’horizons différents, mais animés de la même passion que vous. Nombre de ces relations pourraient déboucher sur des amitiés durables et/ou des occasions d’emploi futures.
Vous souhaitez en savoir plus sur la façon de donner un coup de fouet à votre carrière? Inscrivez-vous aux ateliers de développement de carrière et prenez rendez-vous avec les professionnels du Centre des carrières à partir de Destination carrière.
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« J’ai été exposée à des occasions qui ont changé ma vie, et je me suis intégrée à une communauté remplie de personnes dévouées et ambitieuses. Dans l’ensemble, j’ai vécu une expérience fantastique, et je suis si fière d’être membre de cette école extraordinaire ! »
« Mes quatre années d’études à Telfer ont été phénoménales ! Je termine actuellement mon dernier trimestre, et au cours des quatre dernières années, on m’a offert une grande variété d’occasions d’acquérir une expérience concrète qui sera bénéfique pour ma future carrière au terme de mes études. Je pense que j’aurais pu avoir une meilleure expérience si la pandémie n’avait pas touché les activités parascolaires. Mais j’ai été impressionnée par la manière dont Telfer a réussi à soutenir ses étudiants durant ces moments difficiles. Telfer n’est pas seulement une école. C’est une communauté qui aide les étudiants et leur permet d’atteindre leur potentiel en leur donnant la possibilité de se mobiliser et de s’épanouir. J’ai été exposée à des occasions qui ont changé ma vie, et je me suis intégrée à une communauté remplie de personnes dévouées et ambitieuses. Dans l’ensemble, j’ai vécu une expérience fantastique, et je suis si fière d’être membre de cette école extraordinaire ! »
– Dina Khakbaz, étudiante de 4e année en gestion internationale
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
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Seriez-vous en mesure de courir un marathon dès que vous en prend l’envie? Si vous n’avez jamais suivi un plan d’entraînement en ce sens auparavant, votre réponse sera très probablement « non ». Il faut en effet de huit à 10 semaines en moyenne pour se préparer physiquement à une telle épreuve. Il en va de même pour les objectifs de carrière. Briguer un poste au sein d’un grand cabinet sans prendre en compte les qualifications exigées et en se fondant exclusivement sur ses rêves, c’est comme s’inscrire à un prestigieux marathon sans jamais avoir couru cinq kilomètres. Dans cette perspective, examinons quelques étapes qui vous aideront à poursuivre vos objectifs ambitieux de façon réfléchie.
1re étape : bien se préparer
C’est en réunissant toutes les conditions gagnantes que vous pourrez réaliser vos rêves les plus ambitieux. Visualisez votre objectif et rendez-le moins « général » en le divisant en sous-objectifs : ce sont ces petits jalons qui vous permettront, un à un, de franchir la ligne d’arrivée. Comme dans un entraînement au marathon, fixez-vous des cibles modestes, mais mesurables, selon un échéancier réaliste. En établissant des objectifs S.M.A.R.T. et en gardant à l’esprit votre objectif ambitieux de départ, vous optimiserez vos chances de réussite. Il est donc possible, voire probable, qu’avant de faire votre entrée dans un grand cabinet, vous deviez faire vos preuves au sein d’autres organisations pendant quelque temps. Votre premier « 5 km » pourrait être un rôle au sein d’une association étudiante ou un poste bénévole dans un organisme de bienfaisance.
Pour cerner les sous-objectifs qui serviront de tremplins vers votre objectif ambitieux, prenez rendez‑vous avec la conseillère en carrière du Centre des carrières de Telfer à partir de Destination carrière.
2e étape : viser un objectif à la fois
Vous l’aurez compris, se précipiter et prendre des décisions à la légère n’est peut-être pas la meilleure solution. Les sous-objectifs que vous vous êtes fixés ne sont que des paliers menant à votre objectif final. À chaque étape où vous devez prendre une décision, faites un bilan de vos progrès et mettez à jour vos sous‑objectifs en fonction des nouveaux paramètres à prendre en compte. Il est possible que vous deviez modifier votre plan d’entraînement pour maintenir votre trajectoire. Ce n’est pas une perte de temps, bien au contraire. Cela vous apportera un équilibre émotionnel et professionnel. Votre premier « 10 km » pourrait être un emploi d’été au sein d’un cabinet de taille moyenne. Il se pourrait aussi que vous viviez des rejets (tout coureur subit des blessures) ou que vous développiez de nouveaux intérêts (certains coureurs se mettent au triathlon!) Il est également probable que vous deviez acquérir certaines qualifications ou connaissances précises (les bons coureurs perfectionnent leur technique et s’éduquent en matière de nutrition et de récupération).
Pour adapter votre candidature à votre prochain sous-objectif d’emploi, prenez rendez‑vous avec la coordonnatrice de développement professionnel du Centre des carrières de Telfer à partir de Destination carrière.
Étape 3 : franchir la ligne d’arrivée
Avec de la patience, de la détermination et des efforts soutenus, vous atteindrez votre objectif. Le chemin sera peut-être semé d’embûches, mais ce qui compte, c’est que vous les surmontiez et, surtout, que vous n’abandonniez jamais vos rêves. Franchir la ligne d’arrivée n’en sera que plus satisfaisant!
Même les marathoniens aguerris ont appris à marcher avant de se mettre à la course. Si votre objectif est de travailler pour l’une des entreprises les plus prestigieuses de votre industrie, dotez‑vous d’abord d’une feuille de route claire composée de jalons S.M.A.R.T.
Les coureurs d’élite s’entourent de gens compétents : nutritionniste, massothérapeute, coach, etc. Si vous visez des postes d’élite, faites de même sans tarder! N’hésitez pas à consulter Destination carrière pour prendre un rendez-vous avec la conseillère en carrière ou un spécialiste du Centre des carrières de Telfer!
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Telfer est beaucoup plus qu’une école de gestion : c’est une communauté de personnes engagées, ouvertes au monde et solidaires. Je suis extrêmement fier d’en faire partie.
Q. Qu’aimez-vous le plus à Telfer et pourquoi avez-vous choisi cette faculté?
R. Cela fait presque un an que je suis doyen de l’École de gestion de Telfer, étant entré en fonction le 9 mars 2021. Je peux vous confirmer que Telfer est une communauté composée d’étudiants, de professeurs, d’employés de soutien et de diplômés tout simplement magnifiques. Elle à la fois authentique et dynamique et incarne très bien cette nature et cette culture propres au Canada que forment la diversité et le bilinguisme. Ce sont ces qualités qui m’ont le plus attiré à Telfer. Qui plus est, notre école jouit en ce moment d’un énorme élan : elle est mouvement et offre beaucoup d’occasions de croissance et de développement en matière de recherche et de programmes.
Q. Quel a été le moment le plus heureux que vous ayez vécu jusqu’ici à Telfer?
R. Comme je l’ai dit, Telfer est une communauté dynamique où la joie abonde. J’ai vécu de nombreux bons moments à Telfer jusqu’ici, mais pour l’instant, j’aimerais en citer deux. D’abord, la révision du B.Com., qui était très attendue, a été approuvée l’an passé. Ce processus avait été entamé cinq ans auparavant et s’est prolongé pour plusieurs raisons. L’approbation du nouveau programme a été pour moi un moment inoubliable et rempli d’émotions qui demeurera gravé à jamais dans ma mémoire. La joie qui régnait dans la salle à ce moment-là était inexplicable et merveilleuse. Il importe de rappeler que nous parlons ici d’un programme d’études de premier cycle qui touche et transforme directement le présent et l’avenir d’un grand nombre d’étudiants. Cette révision a débouché sur un programme plus agile et plus souple pour nos étudiants. Cela leur permet de suivre des cours d’autres facultés et d’adapter le programme à leurs goûts et à leurs aspirations. C’est l’une des choses que les étudiants revendiquaient depuis très longtemps, car auparavant, la grande majorité des cours au choix étaient prédéterminés. Le programme était plus rigide. Ensuite, qui dit « révision de programme » dit « nouveaux professeurs ». C’est une joie pour moi de savoir que nous sommes en voie d’embaucher de nouveaux professeurs, et pas n’importe lesquels : des professeurs de très haut calibre qui contribueront de manière TRÈS positive à l’avenir de Telfer.
Q. Quel a été le plus grand défi que vous avez eu jusqu’à présent?
A. Il est certain que comme tout être humain, j’ai trouvé que la pandémie n’a pas été une partie de plaisir. Mon entrée en poste en mode virtuel en 2021 n’a pas été facile, car j’avais très peu de contact avec les étudiants et les professeurs. Une université, c’est une organisation humaine, ce n’est pas un simple immeuble ni un arsenal technologique : c’est avant tout une communauté de professeurs, d’étudiants et d’employés. C’est une boule d’énergie 100 % humaine. La pandémie nous a privés d’une grande part de cette humanité, et gérer une organisation fondamentalement humaine en pleine pandémie comporte son lot de défis. Mais cette pandémie a aussi apporté quelque chose à Telfer : elle nous a appris repousser les limites des technologies pédagogiques, par exemple.
J’encourage fortement nos étudiants à s’intéresser aux services et aux ressources du Centre des carrières le plus tôt possible dans leur parcours à Telfer, et à ne pas attendre à la dernière année ou au dernier trimestre pour chercher conseil auprès de ses professionnels.
Q. Que pensez-vous du Centre des carrières de Telfer? Si vous deviez offrir un conseil aux étudiants de Telfer pour les inviter à tirer parti de cette ressource, quel serait-il?
R. Il est très important que Telfer ait son propre centre de carrière, et le Centre des carrières de Telfer offre un service extraordinaire aux étudiants. L’un des défis les plus importants à relever est l’engagement tardif de certains étudiants qui commencent à s’intéresser aux services du Centre des carrières vers la fin de leur cheminement universitaire. Ils commencent à réfléchir au marché du travail et se rendent compte qu’ils ont besoin d’aide pour préparer leur CV, apprendre comment se comporter en entrevue, etc. J’encourage fortement les étudiants à s’intéresser aux services et aux ressources du Centre des carrières le plus tôt possible dans leur parcours à Telfer, et à ne pas attendre à la dernière année ou au dernier trimestre pour chercher conseil auprès de ses professionnels.
– Le doyen Stéphane Brutus est titulaire d’un B.A. de l’Université Simon Fraser, d’une M.A. et d’un doctorat de l’Université d’État de Bowling Green, en Ohio, ainsi que d’une bourse postdoctorale du Center for Creative Leadership.
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Le Centre des carrières de Telfer recèle de merveilleuses personnes dont le rôle consiste à soutenir, à outiller et à accompagner les étudiants de premier cycle et du MBA ainsi que les récents diplômés dans leur développement de carrière et leur préparation au monde du travail. Marion Lajoie est l’une de ces perles !
Marion Lajoie est titulaire d’un baccalauréat ès arts en psychologie de l’Université d’Ottawa ainsi que d’une maîtrise en conseil pédagogique. Que ce soit en tant que professeure de danse, coordonnatrice de camp ou conseillère en carrière au Centre des carrières de Telfer, Marion a toujours aimé jouer un rôle significatif dans la vie des autres. Sa passion pour l’aide aux personnes l’a d’ailleurs conduite à mener une carrière intéressante au Centre des carrières, où elle aide les chefs de file de demain à transformer leurs divers intérêts professionnels en possibilités professionnelles.
En qualité de spécialiste en carrière, Marion joue un rôle important dans la vie des étudiants en orientant ces derniers dans leur choix de carrière et en façonnant leur développement personnel et professionnel. Elle aime le milieu dynamique, créatif et innovant que constitue la communauté de Telfer, qui offre tant d’occasions pour les étudiants d’apprendre et de grandir.
Comme chaque étudiant, Marion a vécu cette période clé de la vie durant laquelle nous nous posons tant de questions sur ce que nous sommes, sur nos compétences personnelles et professionnelles, sur ce que nous allons faire dans la vie, etc. Après avoir longuement réfléchi par suite de ses études en psychologie, elle a compris que ce qu’elle aimait et souhaitait faire le plus dans sa vie et dans sa carrière, c’était d’aider les autres. Pour s’acquitter de cette mission de vie, elle a entrepris une maîtrise en conseil pédagogique à l’Université d’Ottawa, au cours de laquelle elle a effectué un stage au Centre de développement de carrière d’uOttawa.
C’est en cherchant du travail au terme de sa maîtrise qu’elle a entendu parler d’une excellente occasion d’emploi qu’elle ne pouvait pas laisser passer. Telfer était effectivement à la recherche d’un conseiller en carrière pour se joindre à son nouveau Centre des carrières. Depuis son entrée dans notre belle communauté, Marion est fière d’aider chaque jour les étudiants à s’épanouir.
– Marion Lajoie, conseillère en carrière au Centre des carrières de Telfer
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« Dès mon premier jour en tant qu’étudiante de Telfer, j’ai su que mon programme me permettrait non seulement de m’épanouir et de grandir dans un milieu sûr, mais aussi de repousser mes limites. Chaque cours offert à Telfer vous enseigne non seulement des compétences théoriques, mais aussi des compétences transférables au monde professionnel. J’encourage les autres étudiants à choisir Telfer : en plus d’offrir un programme d’études diversifié, cette faculté nous permet de gagner des compétences relationnelles et de bâtir un réseau.
Initialement, j’étais intimidée par le prérequis en calcul. Étonnamment, cette discipline s’est avérée ma plus grande force, et j’ai choisi de passer de la gestion internationale à la finance. J’aime vraiment tous mes cours de finance, car ils offrent un mélange intéressant de situations réelles et d’applications mathématiques. J’alterne entre le travail et les études, et je travaille maintenant dans un cabinet d’avocats canadien spécialisé dans la propriété intellectuelle.
Telfer m’a appris l’importance de nouer des relations. Après une année de réseautage, je compte de nombreux pairs dans différents lieux de travail partout dans le monde. Cela me permet de comprendre comment m’adapter à un milieu professionnel en pleine expansion et de m’assurer que je développe mon portfolio en conséquence.
Du point de vue social, je me rends rapidement compte que je présente des traits de personnalité et des intérêts similaires à ceux d’autres étudiants de Telfer. Telfer a organisé une incroyable semaine 101. Cette dernière m’a permis de rencontrer un grand nombre de mes camarades. J’ai pu me faire des amis qui me stimulent sur les plans scolaire et social. Alors, ne laissez pas vos peurs vous empêcher d’atteindre votre plein potentiel. Avec le recul, je suis extrêmement reconnaissante de ne pas avoir laissé un cours de calcul m’empêcher d’intégrer l’une des meilleures écoles de commerce qui soient, et m’être plutôt exposée à une matière que j’aime et dans laquelle je m’épanouis. »
– Jessica Roe, étudiante de 3e année (finance), analyste financière junior chez Smart & Biggar (coop)
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