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Par Dorra Jlouli, Ing, Agr, MBA
Professeure à temps partiel à l'École de gestion Telfer, uOttawa
L'innovation ne se limite pas uniquement à la création de nouveaux produits ou services, mais surtout dans notre façon d'enseigner « des cerveaux verts », leaders de la prochaine génération!
Je suis heureuse que mes élèves aient apprécié la simulation World Climate en novembre, une belle réussite! Nous innovons à l'École de gestion Telfer de l’Université d'Ottawa en utilisant des outils interactifs pour enseigner à nos étudiants des sujets complexes grâce à des simulations simples.
Certes, le changement climatique est une affaire de tous. Ceci étant dit, comment « démystifier » le système climatique complexe, dans notre environnement actuel virtuel d'apprentissage en ligne? Les simulations innovantes telles que En-Roads et World Climate, en sont la solution par excellence!
Au cours de ma dernière classe du cours Leadership, stratégie et durabilité, pour les étudiants de 4e année en management, ils ont eu la chance mémorable d'avoir joué un jeu de rôle où ils épousent « la casquette » des diplomates lors d'un sommet virtuel urgent de l'ONU sur le climat. Après avoir joué à la simulation World Climate le mois dernier (C Road Simulation), en se concentrant sur l'élaboration d'une stratégie pour définir quand et dans quelle mesure les nations doivent réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour atteindre les objectifs climatiques internationaux (réduire l'augmentation de la temperature du globe à moins de 2 degrés Celsius d’ici 2100), cette semaine les étudiants ont appris comment il est possible d'atteindre cet objectif en jouant à la simulation En-Roads. Ils ont appris comment des secteurs d'activité comme l'approvisionnement en énergie, l'utilisation de l'énergie et l'utilisation des terres affectent le changement climatique.
Je crois au pouvoir de l’apprentissage par l'action. La simulation En-Roads est un outil interactif efficace pour engager mes étudiants par l'action à expérimenter ce que nous entendons quand on parle de l'interconnectivité dans le « système climatique ».
Dans un atelier de 3 heures, les étudiants ont l'opportunité de voir ce qui se passe dans le monde et comment chaque action est importante pour contribuer à réduire les problèmes de changement climatique afin d'atteindre l'objectif ultime de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique à Paris.
Les étudiants étaient divisés en six équipes représentant différentes parties prenantes mondiales des entreprises, des gouvernements et de la société civile qui peuvent influencer les solutions climatiques : énergie propre, énergie conventionnelle, industrie et commerce, terre, agriculture et foresterie, gouvernements mondiaux et les faucons de la justice climatique. Leurs décisions sont analysées en temps réel avec le simulateur En-Roads pour déterminer leurs effets sur le climat.
Chaque équipe a été invitée à présenter son scénario du point de vue de son rôle de partie prenante et à donner les arguments au public, où le secrétaire général de l'ONU prend des notes et anime le débat.
Tout en utilisant des modes interactifs, comme la simulation En-Roads et la simulation World Climate, il est plus facile d'expliquer aux « étudiants en commerce » qui n'ont pas de formation scientifique en système climatique et environnement, les problèmes environnementaux de théorie complexe comme le système climatique.
En agissant, les étudiants comprennent non seulement la corrélation entre les différents facteurs du système climatique mais aussi, ils deviennent des « ambassadeurs du climat » avec la conviction qu'il n'est pas trop tard pour résoudre les problèmes du changement climatique si chaque partie prenante contribue à l'effort mondial pour atteindre notre objectif commun.
Visionnez la présentation dans son intégralité pour en apprendre plus.
Un grand merci à Climate interactive et à MIT Sloan pour leur fabuleux efforts investis pour mettre à notre disposition des outils si innovants.
#EnROADS #ClimateAction
- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiante au B.Com. à Telfer, je me rappelle très bien chaque année passée à l’Université d’Ottawa, plus précisément à Telfer. La majorité des étudiants ne savent pas à quoi s’attendre lorsqu’ils arrivent en première année d’université, car, quel que soit l’endroit où ils ont fait leur secondaire, le milieu universitaire est très différent de la routine habituelle du secondaire.
Au fil des ans, je remarque que des connaissances essentielles, des conseils et de l’information m’auraient été bien utiles en première année, où tout change et devient déroutant. C’est pourquoi j’ai fait une liste de trois conseils qui pourraient aider les étudiants de première année avant qu’ils commencent leur carrière universitaire. J’espère que cette information te sera utile comme elle me l’aurait été lors de ma première année.
Conseil no 1 : Sois prêt à ajuster tes stratégies d’étude
La première année est la plus ambiguë, car elle est généralement différente pour la plupart des étudiants. Cependant, la majorité peut attester se sentir choquée, confuse, et comme si elle essayait de réapprendre à marcher. La plupart d’entre nous avons une bonne idée de comment étudier grâce à nos cours du secondaire, cependant, il y a beaucoup plus de matière à apprendre sur une courte durée à l’université.
Par ailleurs, tu remarqueras que selon les cours ou même selon les professeurs, ta méthode d’étude sera différente. Par exemple, un cours qui comprend beaucoup de lectures te demandera de lire tes manuels chaque semaine. Si tu écris tes notes de cours sur un ordinateur, tu voudras aussi le faire pour toutes tes notes de lecture; cela facilitera ta session d’étude en vue des examens. Dans tes cours plus pratiques, tels que comptabilité générale et comptabilité de gestion, il vaudra mieux que tu écrives tes notes à la main, car au lieu de faire des lectures hebdomadaires, tu feras des exercices sur du papier. Par conséquent, tu devras envisager d’adapter ta stratégie d’étude pour chacun de tes cours. D’ailleurs, il est possible que ta stratégie soit différente de tes amis, ce qui est très normal.
Si possible, trouve une méthode de prise de notes pour tous tes cours dès la première semaine. Plus tôt tu t’y prends, plus facile ce sera d’étudier pour tes examens de mi et de fin de session. Ça peut paraître tout simple, mais c’est essentiel pour ne pas être trop débordé pendant la période d’examen de mi-session et avoir à trop travailler pour organiser tes notes, alors que tu devrais étudier. Bref, ne manque pas l’explication du plan de cours!
Conseil no 2 : Sois à l’affût des opportunités à ta disposition
Outre les cours et les études, la première année est consacrée à l’exploration et à l’apprentissage de soi-même. Tu entres dans un tout nouveau monde, où des occasions s’offrent à toi en permanence : être membre ou même délégué de première année d’un club à Telfer, faire du bénévolat pour des clubs en dehors de Telfer, trouver un emploi sur le campus, ou participer à des événements et des ateliers organisés par le Centre des services aux étudiants de Telfer, comme le programme de mentorat ou le Centre des carrières de Telfer.
Ne te laisse pas abattre! Selon le type de personne que tu es, tu voudras peut-être attendre l’année suivante pour t’inscrire à des activités parascolaires, ou tu voudras en rejoindre autant que possible le jour de ton arrivée. Il n’existe pas de mauvaise stratégie, tant que tu ne te limites pas dans ton exploration de nouvelles opportunités pendant trop longtemps, qu’il s’agisse d’activités parascolaires ou simplement de participer aux événements sur le campus. Tu apprendras assez vite que Telfer regorge d’opportunités à t’offrir, et donc, pour tirer le meilleur parti de ton expérience universitaire avant que tu obtiennes ton diplôme, participer à des événements qui t’intéressent ou à des activités parascolaires contribuera grandement à ton épanouissement personnel et professionnel.
Conseil no 3 : Le mauvais stress n’est pas inévitable
C’est bien connu, l’université c’est stressant. La plupart d’entre nous suivront quatre ou cinq cours par trimestre, chacun demandant beaucoup de temps et d’énergie. Il peut être extrêmement difficile de maintenir un équilibre entre les cours, les activités parascolaires, la vie sociale, les tâches ménagères, cuisiner et préparer des repas, le sport, les déplacements et tout le reste. Il est important de réaliser qu’il est irréaliste de pouvoir atteindre l’équilibre parfait, que ce soit en tant qu’étudiant, adulte actif, parent, etc. Par conséquent, au lieu de stresser sur ton manque d’organisation, consacre plus ce temps à créer une routine qui correspond à ton mode de vie et à tes priorités. Plus tu seras conscient de ta situation, plus tu seras proche d’un parfait équilibre (mais souviens-toi que notre vie ne pourra jamais être parfaitement méthodique et que c’est normal!).
Un autre élément important à considérer est que l’université, bien que stressante, ne doit pas être un fardeau pour ta santé mentale et physique. La « culture du stress » est malheureusement souvent acceptée à l’université avec que la souffrance est dite normale. Il n’est pas nécessaire de souffrir pour être un bon étudiant.
Je classe souvent le stress en deux catégories : le stress négatif et le stress positif. Le stress positif est inévitable, car l’université est un environnement angoissant, trépidant et très chargé, et il est BON de vivre un stress qui te pousse à travailler efficacement, à être organisé et à prendre de bonnes décisions sur la façon dont tu passes ton temps. Le stress négatif, en revanche, est un stress éprouvant qui nuit à ta santé mentale et physique. Il survient lorsque nous ne prenons pas les mesures nécessaires, donc il n’est PAS inévitable. Tu peux réussir tes études universitaires sans avoir à nuire à ta santé physique et mentale. Tu n’as pas à passer des nuits blanches à étudier pour tes examens et à compromettre ta vie sociale pour réussir.
En première année, nous apprenons encore à gérer notre temps, à déterminer quelle routine nous convient le mieux et à prendre conscience de nos priorités et de nos limites. Par conséquent, attends-toi à vivre du stress, mais pas à en souffrir négativement. Sois patient avec toi-même, sois auto-veillant et tire le meilleur parti de ton stress positif.
Lorsque j’étais en première année, et même en deuxième année, j’étais constamment stressée, dépassée et anxieuse, car je ne savais pas quelle était ma méthode d’étude ou mes priorités, et comment gérer mon temps. Tous les étudiants passent par là quand ils commencent l’université. Cependant, j’aurais pu réduire ce mauvais stress en étant plus réaliste avec moi-même et en me disant que je suis encore en train d’apprendre qui je suis, quelles sont mes priorités et quel genre d’étudiante je suis.
Ce qui a aggravé mon niveau de stress, d’ailleurs, était le fait que je n’avais aucune idée des trois conseils mentionnés ci-dessus. J’ai compris trop tard que je devais créer une stratégie d’étude pour chaque cours dès la première semaine de cours, que je ne devais pas comparer mes méthodes et ma routine à celles de mes amis, et quelle était la différence entre le bon et le mauvais stress. Par conséquent, j’espère qu’en lisant ces conseils, tu seras mieux préparé mentalement et plus informé sur ce à quoi t’attendre et quoi faire lors de ta première année universitaire.
Bonne chance et n’hésite pas à me contacter ou à contacter le Centre des services aux étudiants de Telfer si tu as besoin de trucs, de conseils et d’aide!
- Catégorie : La voix des étudiants
Vous êtes un étudiant international qui doit choisir sa prochaine université partenaire? L’École de gestion Telfer vous fait de l’œil et vous voulez connaître mon avis en tant qu’étudiante Française sur mon expérience de quatre trimestres ici? Alors ne vous inquiétez plus, vous êtes au bon endroit pour avoir vos réponses.
Dans ce blog, je vais couvrir l’ensemble des questions que m’ont posées les étudiants de KEDGE Business School (mon école de commerce en France) qui devaient choisir leur université partenaire parmi une quinzaine proposée.
Je suis moi-même passée par là et je sais à quel point il peut être stressant de choisir l’endroit où vous allez passer les prochaines années de vos études, surtout quand cela peut être de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada, dans une université reconnue.
LA VIE SCOLAIRE
À Telfer, il y a le trimestre d’hiver, celui d’été et celui d’automne. Pour ma part, j'ai participé à ceux d’hiver et d’automne. Un trimestre équivaut à environ 3 mois de cours. Les cours commencent début janvier, se terminent début avril, et les examens commencent à la mi-avril jusqu’à la fin avril. Vous avez une semaine de vacances mi-février que vous pouvez utiliser comme semaine de révision pour vos partiels de mi-session qui sont juste après. Pour le trimestre d’automne, c’est pareil : les cours commencent début septembre, et se terminent début décembre pour faire place aux partiels à partir de la mi-décembre, jusqu’au dernier vendredi avant les vacances de Noël. La semaine d’étude est à la mi-octobre. Sachez donc que vos vacances d’été durent 4 mois. Profitez-en pour faire des stages, prendre un emploi étudiant (ou bien juste vous reposer 4 mois au bord de la piscine 😉).
Chacun des 5 cours sont enseignés en 30 h sur le trimestre. Il y a 15 h de cours par semaine, cela vous donne des semaines assez légères en termes de temps passés en cours, ce qui peut vous permettre d’avoir un job étudiant à côté. Le travail personnel est selon moi assez conséquent.
Le partenariat entre mon école et Telfer comprend le fait d’avoir 60% des cours en français et 40% en anglais car Telfer souhaite garder cet esprit bilingue français-anglais, propre à la culture canadienne. Sachez que de mon point de vue, cela n’a que très peu affecté mon niveau d’anglais, car je l’ai plutôt amélioré grâce à mes rencontres avec des étudiants internationaux, et la vie de tous les jours en général.
Concernant les cours, lors des deux premiers trimestres, les 5 cours sont obligatoires et non sélectionnés par l’étudiant, puis pour les deux derniers trimestres, vous avez deux cours obligatoires et 3 cours que vous choisissez vous-même. Dans l’ensemble j’ai trouvé les professeurs intéressants, passionnés, et à l’écoute.
Si vous avez peur de ne pas passer un cours lors des examens de mi ou de fin de session, ne vous inquiétez pas; vous ne redoublerez pas. Vous allez simplement reprendre le cours le trimestre suivant afin de le retravailler, et d’obtenir la note de passage.
MES CONSEILS POUR LES LOGEMENTS
Concernant les logements, vous pouvez aller en résidence étudiante sur le campus pour le premier trimestre (plus d’informations sur les résidences étudiantes). C’est ce que j’ai fait et selon moi, c’est la meilleure façon d’être au cœur de la vie étudiante et de vivre avec des étudiants internationaux. J’étais dans la résidence Marchand. Vous pouvez avoir une chambre seul ou à deux. Certes, les chambres sont petites et les salles de bain sont à partager, mais vous vivrez une véritable expérience d’étudiant en échange universitaire au Canada. J’ai beaucoup amélioré mon anglais durant ce trimestre et j’ai fait de superbes rencontres.
Pour les trimestres suivants, vous connaîtrez mieux la ville, donc si l’expérience de résidence étudiante ne vous a pas plu, ou que vous souhaitez changer, vous pouvez louer une maison avec plusieurs autres étudiants (c’est toujours mieux d’être avec des étudiants internationaux pour améliorer votre anglais). Je vous conseille de regarder sur Kijiji pour rechercher des maisons à louer, ou bien d’aller sur les groupes Facebook « Apartment Rentals OTTAWA » ou « Ottawa Housing, Rooms, Flats, Apartments, Sublets ».
Les prix des loyers varient mais globalement, pour un appartement en plein centre, vous en aurez pour environ 600€ ou USD $690. J’étais dans une colocation à 5 dans le quartier « Golden triangle », à 15/20 minutes de l’Université à pieds et je payais 500€. La vie est en moyenne similaire au coût de la vie en France concernant les courses. Je ne prenais jamais les transports (même l’hiver à -20°C, il faut être vaillant 😉). Concernant les quartiers où chercher un appartement, je vous conseille Golden Triangle, Sandy Hill, ou encore Lower Town.
LA VILLE D’OTTAWA ET SA VIE ÉTUDIANTE
Ottawa est peut-être la capitale du Canada, mais la ville reste très tranquille, et familiale. Tout est concentré dans le centre-ville. Vous trouverez différents musées, le Marché By - qui est un endroit avec des cafés, des bars/boîtes de nuits, et des petits commerçants (et surtout des bonnes queues de castor de BeaverTails!). Tout près de l’université, il y a un très grand centre commercial, le Centre Rideau. Ottawa est aussi et surtout connu pour le canal Rideau qui gèle en hiver et devient la plus grande patinoire extérieure au monde. Il y a aussi le parc de la Gatineau, de l’autre côté de la rivière à Gatineau au nord de la ville, qui est un endroit splendide que j’ai eu la chance de découvrir avec les magnifiques couleurs automnales et qui est rempli de lacs et de balades. De plus, Montréal se trouve à seulement deux heures de bus. Enfin, je vous conseille vivement le Parc Oméga, une réserve naturelle où vous pouvez voir des animaux tels que des ours, loups, bisons, renards…
La vie à Ottawa en tant qu’étudiant ne sera pas aussi mouvementée que celle à Montréal ou Toronto par exemple, mais il suffit d’être bien entouré (avec plus de 40 000 étudiants sur le campus, vous pouvez facilement faire des rencontres) et de participer aux soirées organisées par l’Université pour la vivre pleinement.
L’Université d’Ottawa propose de multiples sorties organisées à faire entre étudiants (lorsque possible), comme un week-end prolongé à New York, à Chicago, ou autre.
Enfin, ce qui ne manque pas sur le campus ce sont les installations sportives et en tant que passionnée de sport, cela m’a ravie : deux salles de sports immenses, une piscine olympique, un terrain de hockey, de football américain (soccer), plusieurs gymnases, etc.
COMMENT PALLIER AVEC LE FROID CANADIEN? (Vu sous l’œil d’une dépendante à la chaleur)
En hiver, à Ottawa, il fait froid, très froid! Les températures varient entre 0°C et -20°C (pour les plus chanceux, vous pouvez même tomber sur des tempêtes hivernales et vivre sous les 30°C). Mon meilleur conseil est de vous fournir en vêtement d’hiver en arrivant au Canada, surtout en ce qui concerne les manteaux d’hiver et les pulls. J’ai acheté mon manteau d’hiver chez Aritzia (regardez aussi chez SportCheck ou Canada Goose, pour les gros budgets, au Centre Rideau), les prix sont plus bas que si vous l’achetez en France et surtout, les magasins canadiens proposent des produits bien plus adaptés. En ce qui concerne les sous-pulls thermiques, les collants à mettre sous les pantalons, les gants, les bonnets et autres je vous conseille UNIQLO. Pour les chaussures, vous en trouverez beaucoup sur place qui font l’affaire, mais personnellement j’ai choisi les Timberland montantes et j’en étais très satisfaite.
VOUS ÊTES EN AMÉRIQUE, VOYAGEZ!
Beaucoup me demandent si j’ai eu l’opportunité de voyager pendant mon séjour canadien. Je pense que ces gens n’ont pas consulté mon blog voyage 😉! Je suis une amoureuse du voyage et vivre à Ottawa vous permet de vous rendre à pleins d’endroits sympas pour beaucoup moins cher que si vous partiez d’Europe. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais en un an, j’ai eu la chance d’aller à Montréal, à Toronto, aux chutes du Niagara, à New York (7/8h de bus depuis Montréal), au Mexique (Tulum, Cancún), à Miami et Orlando. Mon périple s’est arrêté là, à cause de la COVID-19 (ce n’est que partie remise!).
J’espère sincèrement que toutes ces informations vous seront utiles si vous êtes un futur étudiant international en échange universitaire au Canada, et que j’aurai répondu à la majorité des questions que vous vous posez. Si vous désirez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter! Mon mail est
- Catégorie : Futurs diplômés
Du 13 au 15 novembre, les étudiants de 4e année du B.Com. ont participé à la simulation de stratégie Intopia, une compétition qui fait partie du cours de gestion stratégique de 4e année (ADM 4711). Cette simulation vise à ce que les étudiants puissent mettre en pratiques des concepts de gestion stratégique dans un univers en ligne, où ils sont tenus de prendre des décisions rapides tout en négociant avec leurs paires dans le but de faire croître leur compagnie pendant la fin de semaine.
Cet automne, la compétition se'est déroulée offerte en mode virtuel, ce qui a posé plusieurs défis aux concurrents. « Mon plus grand défi lors de la compétition était d’avoir à tout faire de manière virtuelle. Au lieu de se parler face à face, tu dois surveiller ta boîte de message et tenter de répondre à tes coéquipiers le plus rapidement possible. Cela devient plus facile à la fin du weekend puisqu’on finit par s’habituer au rythme des choses » dit Madison Woo, membre de l’équipe gagnante.
Le défi ultime
L’équipe a aussi fait face à un défi au moment où l’administrateur de la simulation a modifié les dynamiques du marché, ce qui força l’équipe à changer en deux jours une stratégie leur ayant pris trois mois à mettre au point. « Le défi était de faire les bons changements de manière proactive, avant qu’il ne soit trop tard (…) Pour ce faire, nous avons analysé les enjeux stratégiques en avance, déterminé comment nous devions modifier nos modèles et stratégies, pour ensuite rapidement exécuter notre plan » dit Howard Feng, membre de l’équipe gagnante.
Félicitations à l’équipe gagnante et aux meilleurs fournisseurs de services : Emily de Witte, Howard Feng, Nic Renaud, Rebecca Stiletto et Madison Woo.
Félicitations aux gagnants des autres catégories:
Meilleure productrice de composants : équipe 41 |
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- Catégorie : La voix des étudiants
Comme beaucoup d’étudiants, les diplômés du programme intensif du MBA Telfer font face à des défis et à des opportunités sans précédent alors qu’ils réintègrent le monde du travail lors d’une pandémie mondiale. En tant que diplômé du programme de MBA pour cadres de l’École de gestion Telfer et mentor au MBA, Brad Smith, directeur du cabinet 96 West Consulting, comprend la transition à laquelle font face les étudiants. Il a donc voulu aider les nouveaux gradués et autres diplômés en créant et animant un atelier post-MBA.
À titre de formateur en matière de carrière et mentor, Brad est un leader en accompagnement de professionnels en transition de carrière, en exercices d’autoréflexion et en développement de plans d’action. Le 6 octobre 2020, il est revenu virtuellement à Telfer afin de partager son expertise dans le cadre d’un atelier post-MBA qui portait sur deux objectifs : reconnaître et respecter les transitions, et réfléchir aux ambitions professionnelles et à l’élaboration de plans d’action pour réaliser ses objectifs.
Au cours de l’atelier virtuel, Brad a établi un lien avec les participants en parlant de son expérience de transition suite au programme de MBA pour cadres. Il a insisté sur l’importance de tenir compte et de respecter la zone neutre entre la fin du programme du MBA et un nouveau départ à venir. Les participants sont impatients de poursuivre leur réflexion avec Brad dans les semaines à venir, en prenant le temps de revenir sur les exercices de l’atelier et en développant leur plan d’action personnel.
« L’atelier avec Brad fut une formidable expérience qui m’a aidé à justifier et à normaliser les émotions que je ressentais depuis la fin de mon MBA en août. Les transitions sont déjà difficiles en temps normal, mais encore plus lors d’une pandémie mondiale; Brad nous a fourni les outils pour faciliter notre transition d’étudiant à professionnel. J’ai hâte de mettre en pratique ces connaissances pour mon développement personnel et professionnel. », a déclaré un diplômé qui a participé à l’atelier.
L’année 2020 a apporté son lot de défis, mais avec l’aide de la Telfer Nation, les participants à l’atelier sont en mesure de se concentrer sur leurs objectifs avec une grande agilité et résilience, tout en frayant un chemin à une nouvelle réalité en constante évolution.
Brad Smith a obtenu son diplôme du MBA pour cadres en 2004 et est très impliqué au sein de l’École de gestion Telfer en tant que diplômé et mentor au MBA. Après une brillante carrière à Postes Canada, il a fondé 96 West Consulting inc. avec pour mandat de faire part de ses expériences afin d’aider les entreprises à évoluer plus rapidement et les dirigeants à se développer. Son intérêt pour le développement professionnel et l’accompagnement en matière de carrière a permis à ses mentorés et aux récents diplômés du MBA intensif de vivre une expérience inestimable.
- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiant à l’université, il y a de nombreuses possibilités d’emplois à ta disposition. Cependant, les étudiants ont beaucoup à faire, notamment étudier, découvrir leurs préférences, se faire des amis et souvent, travailler à temps partiel. Avoir un emploi tout en étant aux études présente un avantage rémunéré évident, mais il offre aussi aux étudiants l’occasion d’acquérir des compétences utiles et d’ajouter des choses à leurs CV.
Est-ce que tu es intéressé à travailler pendant tes études? Tu devrais prendre en considération les emplois formidables offerts sur le campus! Ils sont très variés, donc il est certain que tu trouveras un poste à ton goût, et qui pourrait même être connecté à ton programme universitaire. Ces emplois sont une bonne source de revenus et offrent un horaire flexible en ce qui concerne les horaires des examens et des cours. Ils sont également intéressants pour les étudiants internationaux qui ont moins d’options hors campus.
Mon expérience
J’ai occupé plusieurs postes sur le campus pendant mes études. J’ai travaillé au Centre d’aide à la rédaction des travaux universitaires de l’Université d’Ottawa où j’ai aidé les étudiants à améliorer leurs compétences en rédaction (un service gratuit que je vous encourage à utiliser). Cet emploi m’a beaucoup appris sur la grammaire, sur les bonnes structures de rédaction, sur la façon de trouver de bonnes ressources et sur comment bien citer des sources. J’ai eu l’occasion d’enseigner à des étudiants avec des expériences variées.
J’ai aussi occupé le poste d’assistante à l’enseignement, correctrice et surveillante d’examen pour l’École de gestion Telfer. J’ai beaucoup appris de ces postes. Par exemple, en aidant à diriger des groupes de discussion et à expliquer le matériel d’un cours de comptabilité, j’ai vraiment amélioré ma propre compréhension des concepts et du cours en général. Je suis sûr que ces compétences me seront utiles à l’avenir comme la comptabilité est mon domaine d’étude.
J’ai également été une guide pour les étudiants internationaux pour le programme de mentorat de Telfer, qui aide les étudiants de première année dans leur passage du secondaire à l’université. J’ai adoré faire partie de ce programme! L’équipe est formidable, et les étudiants avec lesquels nous travaillons viennent du monde entier. De plus, j’ai vraiment aimé aider les étudiants et faire part de ma propre expérience universitaire.
Où trouver ces emplois
- Régime travail-études : J’ai trouvé le poste de conseiller en rédaction à travers le régime travail-études, qui a un portail dans uoZone où l’on trouve toutes sortes de postes, d’assistant-bibliothécaire à technicien de laboratoire.
- Portail pour assistant à l’enseignement/correcteur/surveillant : On retrouve ces emplois dans le portail virtuel. Le lien est envoyé par courriel à tout le monde peu de temps avant le début de chaque session (moment où l’on peut poser notre candidature).
- Sites de recherche d’emploi Telfer : La demande d’emploi pour le programme de mentorat de Telfer se trouve sur le site web du Centre des carrières, ainsi que d’autres postes.
En ce qui concerne les activités sur le campus, les gens pensent souvent à des activités bénévoles ou des clubs et négligent les nombreux postes rémunérés offerts par l’université. Si tu souhaites gagner un peu d’argent tout en démarrant ta carrière, je t’invite à profiter des possibilités d’emploi à ta disposition!
Photo de couverture par Julia M Cameron provenant de Pexels
- Catégorie : Annonces Telfer
Vous recherchez une nouvelle perspective sur un projet d’affaires récent ou spécial, ou souhaitez tout simplement travailler avec des étudiants au MBA qui sont passionnés et qualifiés? L’École de gestion Telfer est à la recherche d’organisations qui mettront nos étudiants du MBA au défi dans le cadre d’une situation professionnelle concrète.
Les étudiants au MBA Telfer possèdent en moyenne de 6 à 7 ans d’expérience professionnelle à temps plein, ce qui garantit qu’ils ont une base théorique de qualité et des compétences techniques pour mener à bien leur stage. Tous nos étudiants au MBA sont supervisés par un membre de la faculté et ils ont accès à des données de pointe qui les aideront à résoudre les problèmes les plus complexes de votre entreprise.
Il ne fait aucun doute que l’expérience sera enrichissante tant pour vous que pour nos étudiants. Le programme de stage MBA offre aux entreprises la possibilité de recruter des personnes qualifiées et d’évaluer leur capacité à s’intégrer au sein de leur milieu de travail sans avoir à passer par le long processus d’embauche traditionnel.
L’expérience du programme de stage MBA
Au cours des années précédentes, nos organisations partenaires qui ont embauché des étudiants au MBA dans leur équipe ont été satisfaites de ce que cela leur a apporté.
« Le programme de stages MBA a aidé à remplir avec succès un rôle pour projet niché au sein de notre département des finances. Au final, nous avons embauché notre stagiaire dans un poste à temps plein, ce qui en dit long sur la qualité du programme et de ses étudiants » - Paul Richards, Directeur du développement des affaires et intérêt à L'Hôpital d’Ottawa
« Happy Goat Coffee Company est un grand fan du programme de stage MBA de Telfer ! Ce projet nous aide à trouver des réponses et des solutions à des problèmes pour lesquels nous n'avons généralement pas les ressources ou le personnel - ou les deux - afin de les traiter. La qualification des participants et la qualité des résultats des projets réalisés jusqu'à présent sont évidentes. Happy Goat Coffee Company ne peut que recommander vivement ce projet! » - Dr. Hans-Juergen Langenbahn, Maître torréfacteur à Happy Goat Coffee Company.
« Je tiens à apporter tout mon soutien au programme de stage proposé par l'École de gestion Telfer. Il s'agit d'une formidable opportunité pour les étudiants d'acquérir des connaissances de nature plus pratique qui les aideront dans leur recherche d'emploi. L'organisation elle-même en bénéficie également, non seulement du point de vue du mentorat, mais aussi en acquérant des conseils et des avis d'experts additionnelles. » - Elizabeth Kingston, présidente du Conseil International du Canada, chapitre de la Capitale nationale
Voici comment vous pouvez bénéficier de notre programme :
En quoi consiste un stage acceptable?
Il s’agit d’un projet ambitieux qui vous apporte des résultats significatifs. Par exemple, les stages actuels incluent des projets de développement des marchés, d’amélioration des processus, et la revue des processus stratégiques.
Combien d'heures les stagiaires peuvent-ils travailler?
Il existe deux options de prestation : les stages à temps partiel et les stages à temps plein. Le stage à temps partiel représente de 15 à 20 heures par semaine pour une période de 6 mois (de janvier à juillet). Celui à temps plein consiste en 40 heures de travail par semaine (de septembre à décembre). Le nombre exact d'heures varie selon si le stage est commandité par Mitacs* ou OCE**, ou s’il est financé directement par l’organisation.
Combien cela coûtera-t-il à mon organisation?
Le salaire moyen d’un stagiaire au MBA varie entre 20 et 25 $ de l’heure. Vous pouvez faire une demande d’appui financier pour embaucher le stagiaire par Mitacs ou OCE, ou vous pouvez offrir un salaire payé entièrement par votre organisation. Il est possible d’offrir un stage non rémunéré, cependant, offrir un salaire à l’étudiant augmente vos chances qu’il ou elle vous choisisse pour son stage.
Que dois-je fournir au stagiaire?
- Un projet motivant et stimulant.
- Un parcours d’intégration technique et organisationnel.
- Le temps de discuter des problématiques avec l’étudiant et de fournir une rétroaction sur les rapports de progrès.
Trouvez le bon stagiaire au MBA Telfer pour votre organisation
Contactez l’équipe du succès scolaire et de l’expérience étudiante
Le programme de stage MBA Telfer
Téléphone : (613) 562-5884
Courriel :
Visitez la page du programme de stage MBA sur notre site.
* Mitacs est un organisme sans but lucratif qui fournit la contrepartie du financement aux organismes qui embauchent des étudiants à temps plein pour un stage.
** Le programme AvantageTALENT des Centres d’excellence de l’Ontario fournit la contrepartie du financement aux compagnies qui embauchent des étudiants aux études supérieures.
- Catégorie : Futurs diplômés
Curieuse motivée et créative, Joy Xu est une brillante élève du programme de B.Com. de Telfer en spécialisation comptabilité.
Passionnée par la santé mentale au travail, elle s’inspire des dirigeants et organisations qui mettent en avant et priorisent la culture du bien-être des employés.
Comprenant l'importance cruciale de l'engagement communautaire, Joy a décidé de s'impliquer auprès de l'École en s'engageant dans le programme hautement compétitif des marchés financiers de Telfer. Cela l’a conduite à intégrer un stage en banque d’investissement pour l’été 2020 à travers le programme des Marchés financiers de RBC. En parallèle, Joy s’est également démarquée pour avoir été la gestionnaire de portefeuille leader du programme cette année-là. Au cours des dernières années, elle a participé à de nombreux concours de cas dont le concours national de la diversité et de l’inclusion organisé par l'École Telfer, ou encore les Jeux de Commerce Central où elle s’est vu attribuer la première place avec l'équipe de gestion des ressources humaines.
Joy s’est également impliquée au sein du Club de comptabilité de Telfer, dont elle a été la présidente pour l’année scolaire 2019-2020. Dans le cadre de ce rôle, elle a dirigé l'équipe pour l'organisation de leur événement annuel de réseautage avec des sociétés comptables et a créé une initiative axée sur la santé mentale dans le domaine de la comptabilité.
Selon elle, les nombreuses activités parascolaires proposées par l'École lui ont ouvert d'innombrables opportunités et lui ont permis de s'impliquer davantage tout en appliquant ses connaissances acquises en classe. Elle déclare : « Dans l'ensemble, j'ai eu la chance d'explorer de nouveaux intérêts, d'assister à des conférences de leaders inspirants et de développer mes compétences tant sur le plan professionnel que personnel. »
Bien qu’elle soit bientôt diplômée, Joy prévoit rester active au sein de la communauté de Telfer.
- Catégorie : La voix des étudiants
Qu’il s’agisse des clubs étudiants, de la qualité de l’enseignement ou du développement personnel et professionnel, étudier à l’École de gestion Telfer est une expérience unique.
Les étudiants en parlent avec fierté et il est évident qu’être membre de la Telfer Nation signifie avant tout faire partie d’une communauté exceptionnelle au sein de la grande famille de l’Université d’Ottawa.
Voici les 3 raisons qui, selon moi, font de Telfer une faculté si spéciale :
1- Étudier en anglais, en français ou dans les deux langues officielles
L’Université d’Ottawa est considérée comme étant la plus grande université bilingue (anglais-français) du monde. En tant qu’étudiant international et originaire d’un pays francophone, venir étudier à Telfer dans la ville d’Ottawa était la meilleure manière pour moi d’améliorer mon anglais, tout en étudiant en français. La plupart des cours sont offerts dans les deux langues, ce qui constitue un avantage considérable en terme de bilinguisme.
2- Développement personnel et professionnel
Au-delà de la formation universitaire, je pense qu’une université doit être en mesure de contribuer au développement personnel et professionnel de ses étudiants. Ce critère en a été un de choix lorsque j’étais au secondaire et que j’ai fait mon choix d’université.
Ainsi, en plus de pouvoir s’inscrire au programme d’enseignement coopératif, l’École de gestion Telfer offre également différentes options intéressantes comme le Programme sur les marchés financiers (CMP) pour les étudiants en finances, le Programme de mentorat ou encore le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) pour les étudiants intéressés par la consultation, pour ne citer que ceux-là.
De plus, grâce au Centre des carrière de l’École de Gestion qui organise une multitude d'événements avec des employeurs et qui accompagne les étudiants de Telfer pour tout ce qui relève du développement professionnel (CV, lettre de motivation, entrevue, etc.) on se sent bien outillé à entrer sur le marché du travail et à tirer profit de nos connaissances académiques.
Enfin, les associations et clubs étudiants sont les éléments qui forgent le plus l’identité de l’École de gestion Telfer. Les étudiants impliqués dans la dizaine de clubs à Telfer organisent chaque année une multitude d’activités sociales et d’évènements de réseautage, participent à des compétitions et contribuent au rayonnement de notre faculté sur le plan national. C’est aussi une bonne manière pour les étudiants de rencontrer d’autres personnes avec des intérêts communs et de se bâtir un réseau pour l’avenir.
3- Le RTE (Le régime travail-étude)
Bien qu’il ne soit pas exclusif à l’École de gestion Telfer, le Régime travail-études offert par l’Université d’Ottawa constitue selon moi l’une des meilleures opportunités offertes aux étudiants. En tant qu’étudiants, il est souvent difficile de concilier nos études et notre vie personnelle, mais cela devient encore plus difficile quand il faut trouver un emploi. De ce fait, le RTE permet aux étudiants de trouver un emploi rémunéré, administratif ou non, sur le campus et à seulement quelques minutes de leurs salles de cours.
- Catégorie : La voix des étudiants
Lorsqu'on est au lycée, il est difficile pour tous, et particulièrement pour les étudiants internationaux, de trouver le programme d'étude universitaire qui nous convient le plus. Face à la multitude de possibilités qui s'offrent à nous, aussi bien en terme de programme d'étude que du choix de la ville et de l'université, cette tâche s'avère stressante et éprouvante. Pour ma part, je viens de la Côte d'Ivoire en Afrique de l'ouest, et je suis venu au Canada pour la première fois en 2017 pour y faire mes études.
À ce moment – et je pense que c’est le cas pour beaucoup d’étudiants – je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard, que ce soit pour ma future carrière ou pour mes études universitaires. Je me contentais d’avoir de bonnes notes sans vraiment me rendre compte que seulement quelques années me séparaient de l’université. Arrivé en dernière année de lycée, j’ai commencé à ressentir la pression lorsqu’il a fallu que je choisisse une université et un programme d’étude, et cela n’a pas été de tout repos.
Trouver mon programme
Au départ, le choix de l’université s’est fait assez facilement. Mon frère était déjà étudiant à l’Université d’Ottawa, alors c’était le choix évident pour moi également. Cependant, le plus grand défi a été de me trouver un programme d’étude. Pendant mes recherches, je me suis rendu compte que l’une des choses que j’aimais le plus faire pendant mon temps libre était de lire et de me renseigner sur les entreprises et leurs fondateurs, non pas pour les activités et les services qu’elles offraient, mais surtout pour leur histoire et le processus ayant conduit au succès de ces entreprises.
La seule option qui, selon moi, se rapprochait de cet intérêt était de faire des études en gestion. Je me suis donc inscrit à Telfer en management en ayant à l’esprit d’être un jour mon propre patron. Au bout d’une année d’étude, j’ai appris qu’il y avait une option complémentaire en entrepreneuriat dans ma faculté. C’était une option parfaite pour moi, d’autant plus que les choix de cours étaient liés à mes champs d'intérêt et qu’elle me permettait de finir mon bac dans le même temps. J’ai donc complété mon inscription et ça a été pour moi un pas de plus dans mon parcours universitaire vers la carrière que je souhaite bâtir.
Aujourd’hui, en 3e année du bac, après avoir débuté mes cours de l’option, je peux affirmer que mon ambition d’entrepreneuriat se confirme de jour en jour. L’aspect pratique de ces cours était ce qui me manquait dans la plupart de mes cours théoriques. J’ai eu l’occasion, par exemple, d’analyser un film relatant la vie d’un entrepreneur, de participer à une conférence sur l’entrepreneuriat, et même de rencontrer un entrepreneur avec qui j’ai discuté de son parcours dans le but de rédiger un rapport.
D’une passion à une carrière
Toutes ces activités étaient des choses que j’avais l’habitude de faire ou que j’ai toujours voulu faire et j’estime que cela me permettra de développer des compétences importantes comme le travail d’équipe, la créativité ou l’esprit d’initiative qui, à la longue, me seront très utiles lorsque je me lancerai en affaires.
Pour le moment, bien que je n’aie pas encore trouvé mon idée d’entreprise, je suis déterminé et je sais qu’un jour j’atteindrai mes objectifs. On s'en reparlera un jour!
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