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- Catégorie : Annonces Telfer
Cette année marque le 10e anniversaire du Programme de mentorat par les cadres à l’École de gestion Telfer. Ce programme permet à nos diplômés de tisser des liens avec les étudiants de troisième et quatrième année du baccalauréat en sciences commerciales.
Ces derniers ont la possibilité de recevoir des conseils de la part de cadres et d’entrepreneurs de l’industrie lors de rencontres sur le programme et ainsi d’obtenir un mentor pendant leurs études. Les étudiants créent un lien avec un professionnel qui leur fournit une orientation informelle, l’accès à des opportunités de réseautage et l’occasion de partager des idées. C’est une façon pour les étudiants d’apprendre individuellement avec un professionnel qui était aussi à Telfer avant de démarrer sa carrière.
Pour les mentors, le Programme de mentorat par les cadres est une excellente occasion de rencontrer des étudiants qui s’intéressent à leur domaine, d’avoir une conversation agréable avec la prochaine génération de professionnels du monde des affaires, et de s’informer sur les événements intéressants qui se déroulent tout au long de l’année à l’École de gestion Telfer.
Après avoir reçu les demandes d’admission cet été, 38 étudiants participent au programme pendant l’année de la 10e édition. Le 1er octobre, le groupe de la cohorte 2020-2021 s’est réuni en ligne sur Zoom, permettant à tout le monde de voir autant de visages que possible à l’écran afin de respecter la distanciation sociale. Mark Farrell, un des mentors qui en est à sa cinquième année avec le programme, a mentionné qu’il attendait avec impatience cette année; il dit que c’est une « bouffée d’air frais » de pouvoir entendre la nouvelle génération d’étudiants en gestion.
Pour en savoir plus sur le programme et la date limite pour présenter une demande d’admission pour l’année prochaine, contactez Isabelle Décarie, gestionnaire de l’expérience étudiante au Centre des services aux étudiants.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer.
Nous sommes tous deux reconnaissants d’avoir grandi, d’avoir fait nos études et de vivre dans un pays bilingue et multiculturel au riche patrimoine autochtone. C'est pourquoi nous croyons depuis longtemps que nous avons le devoir de contribuer à notre tour à la société. Dan a été profondément marqué, à l’époque de ses études à l’École Telfer, au début des années 1980, par le concept de responsabilité sociale d’entreprise. Plus tard, nous avons bâti notre vie sur un principe de la philosophie juive, le tikkun olam, qui signifie « réparer le monde ».
Le tikkun olam vise à faire de petits gestes chaque jour pour réparer les dommages qu’on voit autour de soi. Bien que nous ayons, comme couple, la chance de pouvoir contribuer financièrement aux causes qui nous sont chères, nous croyons que la société fait parfois trop de cas des dons d’envergure. Un don d’un million peut faire les manchettes, mais on devrait se réjouir tout autant des dons que des millions de travailleurs et travailleuses font à la sueur de leur front pour appuyer des causes et des organismes qui leur tiennent à cœur.
Nous pensons par exemple à cette femme qui a gagné, il y a quelques années, un prix Inspiration du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Après avoir elle-même été traitée au Royal, cette nouvelle Canadienne, une femme de ménage, avait tenu à faire sa propre contribution. Elle a réussi à donner 500 $ par année à l’établissement tout en s’y impliquant comme bénévole. Le plus important, comme l’illustre magnifiquement cette histoire, ce n’est pas de donner beaucoup, mais bien de donner de la façon la plus significative et appropriée possible compte tenu de nos circonstances.
Cette conception de la bienfaisance est particulièrement importante pour les étudiants et les diplômés récents de l’École Telfer. Oui, vous êtes en début de carrière et oui, la pandémie a bouleversé l’économie, mais il demeure possible de faire votre contribution, même si vous n’avez pas beaucoup d’argent. La pandémie a brisé beaucoup de choses dans le monde. Les dommages — légers ou importants, symboliques ou concrets — ont besoin d’être réparés.
Commencez maintenant et simplement par prendre le temps chaque jour de faire des actes de bonté. S’il y a plusieurs façons de régler une situation difficile, choisissez la plus charitable. Maintenez cette attitude en faisant votre chemin dans le milieu des affaires. Laissez vos plus belles qualités — équité, générosité, empathie — s’exprimer au travail. Servez-vous-en pour bâtir un milieu de travail inclusif, cultiver des relations gratifiantes avec vos clients et vos partenaires, et adopter des pratiques d’affaires durables et socialement responsables. Tikkun olam.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Dan Greenberg et Barbara Crook.
- Catégorie : Futurs diplômés
Depuis 2010, le projet F.L.Y. (Future Leaders in Youth) est géré par Enactus uOttawa en tant que programme de leadership qui a pour mission de responsabiliser les jeunes. Ces étudiants universitaires enseignent aux jeunes certaines des compétences les plus importantes de la vie à travers des ateliers stimulants qui leur fourniront l’occasion de s’épanouir sur le plan personnel et professionnel.
La semaine dernière, le projet F.L.Y. a été mentionné dans un article publié par The Star à Toronto, qui soulignait l'habileté de l’équipe à aider les étudiants à mieux comprendre le bien-être mental : un sujet qui devient de plus en plus important, surtout avec les restrictions misent en place à cause de la COVID-19.
Avec l’aide de Jack.org, les représentants du projet F.L.Y. ont créé un programme de santé mentale dans l’ensemble des écoles de la région, des groupes communautaires et des communautés rurales afin d’éduquer les jeunes de tous âges sur le bien-être mental, tout en renforçant leur habileté à demander de l'aide et du soutien en cas de besoin. Les sujets abordés dans le programme d'enseignement élémentaire comprennent le discours intérieur positif, les activités de soins et l’enseignement de la pleine conscience.
Au cours de la dernière année, Enactus uOttawa a pris énormément d'ampleur en collaborant avec huit (8) nouvelles écoles partenaires et suscitant l’intérêt de 500 participants à ses ateliers.
Apprenez-en davantage sur les nombreuses initiatives orchestrées dans le cadre du projet F.L.Y. dans l’article publié dans The Star. (Article disponible en anglais seulement)
*Photos d'archive (2019)
- Catégorie : La voix des étudiants
Le terme le plus redouté par la communauté des écoles de management. Tout le monde en parle, tous vos professeurs l'évoquent en classe, chaque événement en comprend une partie. Mais en réalité, qu'est-ce que le réseautage?
Qu’est-ce que le réseautage?
Je n'ai pas aimé l'idée du réseautage pendant mes deux premières années d'école de gestion. C’était intimidant, pas naturel et ne valait vraiment pas l’anxiété sociale qui l’accompagnait.
Mais de quoi s'agit-il? Techniquement, tu connais la réponse. On te dit que c'est d’aller à la rencontre de nouveaux amis, de professionnels et d'autres adultes dans le but de bâtir un réseau qui t’ouvrira les portes à des opportunités d'emploi quand tu seras diplômé, ou quelque chose de ce genre. La vérité est que le réseautage est bien plus que ça.
Tu penses que le réseautage ressemble à ça :
En vérité, il ressemble plus à ça :
Les opportunités sont nombreuses
Le réseautage est une activité aléatoire, mais qui fait partie de notre vie quotidienne. Ça consiste simplement à établir une connexion avec quelqu'un. N'importe qui. C'est dire "Bonjour" à la personne qui se trouve à côté de toi en classe; c’est engager des conversations avec tes coéquipiers de projets de classe; c’est aller voir ton professeur à ses heures de bureau. Vraiment, c'est aussi simple que ça. Alors, pourquoi on s’en préoccupe autant?
Je le vois comme une expérience d’apprentissage, que ce soit lors d’activités de réseautage, de rencontres fortuites ou en conversation en ligne. Je tisse des liens avec des personnes qui pourront m’apprendre quelque chose : sur comment ils ont obtenu leur emploi actuel, sur leur parcours professionnel, sur comment ils se sentent par rapport à l’association étudiante dont ils font partie, ou quels sont les outils qu’ils utilisent pour réussir à tout accomplir tout en étant aux études à temps plein.
Comme tu peux le constater, les gens peuvent nous apprendre beaucoup de choses et la plupart d’entre eux veulent aider, faire part de leur expérience et te donner l’occasion d’apprendre d’eux.
Sois toi-même
Ce que je préfère, c’est que ça n’a pas besoin d’être intimidant ou artificiel. L’essentiel, c’est de souhaiter créer une véritable connexion avec une personne en particulier. De cette façon, la conversation est plus honnête, intéressante et naturelle. À la fin, tu auras appris quelque chose de nouveau, tu auras tissé des liens, et encore mieux, tu l’auras fait sans te rendre compte que tu réseautais.
Des connexions pour ton avenir
Alors, comment réseauter? J’en fais en contactant des personnes sur LinkedIn qui ont actuellement le travail de mes rêves, qui travaillent pour une compagnie où j’espère travailler un jour, ou qui poursuivent actuellement des études que je voudrais faire dans le futur. Je communique avec cette personne tout en me présentant et en donnant la raison pour laquelle je la contacte. Habituellement, ils acceptent toujours ma demande et sont ravis de prendre un café ou de parler au téléphone.
Par conséquent, le réseautage n’est pas aussi intimidant qu’on le pense. Sois toi-même, essaie de converser avec des personnes que tu ne connais pas pour apprendre quelque chose de nouveau, et ainsi tu auras élargi ton réseau. C’est magique!
Tu ne sais jamais ce qui t’attend avec ces rencontres. Un jour lorsque tu auras besoin d’un emploi ou voudras participer à une activité ou un événement, tu pourras demander l’aide d’une personne que tu as rencontrée en faisant du réseautage et ils seront surement ravis de t’aider à accomplir tes objectifs.
Tout le monde fait partie d'un réseau, qu'il le sache ou non. La différence, cependant, est que lorsque les gens saisissent toutes les occasions qui leur sont offertes d'apprendre et d'entrer en contact avec de nouvelles personnes, ils peuvent alors manifester les opportunités qui se présentent à eux.
- Catégorie : La voix des étudiants
Les entrevues sont souvent angoissantes, surtout pour un étudiant coop qui espère se démarquer. La question que nous redoutons souvent lors d’une entrevue est : « Parlez-moi de vous ». Lors de ma dernière ronde d’entrevues pour mon stage coop, j’ai décidé de demander aux employeurs ce qui rendait les étudiants mémorables, et pour la plupart c’était la personnalité.
Un employeur a indiqué : « les notes sont importantes pour définir les compétences, mais nous recherchons une connexion. Cela signifie parfois qu’il faut sacrifier la MPC pour la personnalité et l’engagement parascolaire ». Plus facile à dire qu’à faire, pas vrai? J’ai souvent essayé d’être la candidate idéale pour le poste, mais en fait c’est l’inverse. Voici une liste de conseils pour t’aider à te détendre et à être toi-même :
1. Écoute bien la question et répond sans réciter un scénario
Commençons par la façon dont nous répondons aux questions. Selon plusieurs employeurs, les étudiants négligent souvent de répondre à la question parce qu’ils sont trop concentrés à réciter un scénario qu’ils ont mémorisé. Écoute plutôt attentivement ce que le recruteur te demande exactement (prends-en note si tu peux). Prends un moment pour formuler une réponse concrète avec un exemple pertinent. Il est suggéré d’avoir une liste de plusieurs histoires professionnelles en tête. Tu auras ainsi la possibilité de répondre aux questions honnêtement.
2. Ajoute des anecdotes personnelles pertinentes quand tu le peux
Rassembler tes idées pour préparer une réponse peut déclencher un souvenir connexe. Par exemple, tu pourrais mentionner que lors de ton voyage en France, tu t’es forcé à ne parler qu’en français avec les locaux, même si cela te mettait mal à l’aise. Non seulement cela mettra en évidence ton bilinguisme, mais cela pourrait aussi amener une conversation révélant d’éventuels intérêts communs. Toutefois, n’oublie pas de réorienter la conversation si tu vois que vous divaguez. N’oublie pas d’utiliser ton temps à bon escient pour établir un lien mémorable avec l’employeur.
3. Effectue des recherches sur la compagnie
Pour démontrer ta passion pour le poste, fais des recherches sur l’entreprise. Démontre subtilement comment tes valeurs correspondent à celles de l’entreprise, et comment tu peux contribuer à sa vision ou à ses objectifs. Bien sûr, si cela ne vient pas naturellement, ne le force pas! Cependant, si l’employeur mentionne des objectifs de l’entreprise dont tu te rappelles, tu peux dire : « Oh, quand j’ai fait des recherches sur les plans de votre division, j’ai un peu lu sur ce projet. Pourriez-vous m’en dire plus? » De petits ajouts à la conversation montrent à l’employeur que tu es intéressé. Cela finit par démontrer ton désir de faire partie de l’équipe!
N’oublie pas que les recruteurs sont simplement des personnes qui essaient de trouver un candidat dont la personnalité et les compétences viendront enrichir leur équipe. N’essaie pas d’être ce qu’ils recherchent et soi plutôt authentique. Quoi qu’il en soit, ta véritable personnalité fera surface, donc mieux vaut que cela se passe pendant l’entrevue et non le premier jour de l’emploi.
Bonne recherche d’emploi!
- Catégorie : La voix des étudiants
Beaucoup d’étudiants au premier cycle ne savent pas exactement ce qu’ils désirent obtenir de leur diplôme en gestion, malgré leur intérêt pour le domaine. Cela a été la même chose pour moi lors de ma première année. En ce qui me concerne, faire un stage dès le début m’a permis de mieux comprendre le monde des affaires dans lequel je me lançais et de me faire une idée plus précise de mon plan de carrière.
Alors, comment ai-je réussi à obtenir un stage lors de ma première année universitaire? Je crois que c’est grâce à un mélange d’initiative et de chance. Voici les trois principaux facteurs qui, selon moi, m’ont permis d’obtenir un stage en début de bac :
1. S’instruire
Avant même de commencer ma première session, je savais que je voulais profiter au maximum de mon expérience à l’École de gestion Telfer. Je pouvais y parvenir de différentes manières, que ce soit en utilisant les ressources de l'école pour des projets liés à l'entrepreneuriat ou en recherchant de nouvelles opportunités, telles que l'obtention d'un emploi bien rémunéré.
J’avais déjà suivi des cours sur le commerce au secondaire, mais j’ai aussi lu des livres sur le sujet et sur la psychologie humaine. Ces connaissances m'ont donné confiance pour le moment où je commencerais à rencontrer des gens à l'université et dans le monde des affaires.
2. S’impliquer
Lors de mon premier trimestre, à la recherche de possibilités, je me suis tourné vers les clubs étudiants de Telfer. Lors d’un événement de réseautage, j’ai rencontré le président du Club des entrepreneurs (TECDE) de l’époque, Ned Tighe, et la vice-présidente du marketing, Aveen Habib et ils m’ont présenté le club. J’ai ensuite eu la chance d’être choisi comme leur représentant de première année dans l’équipe de direction du club.
En rejoignant TECDE, j’ai pu mieux comprendre la totalité des événements ouverts aux étudiants à Telfer, et me rapprocher d’étudiants plus expérimentés que moi. Je pense que cela a également joué un rôle important dans l'établissement de ma crédibilité lorsque j'ai postulé pour un emploi par la suite.
3. Réseauter
Tout au long de l'année scolaire, j’ai fait du réseautage. J’ai eu la chance de rencontrer de nouvelles personnes lors de plusieurs événements au courant de l’année scolaire, notamment aux salons de l’emploi de l’école, aux ateliers du Centre des Carrières de Telfer et aux événements organisés par les clubs, comme des visites de bureaux au centre-ville.
C’est lors d’une visite chez Klipfolio, une entreprise de technologie située à Ottawa, que j’ai rencontré Robert Shapiro, leur gestionnaire des ressources humaines. À la fin de la visite, je lui ai demandé s’il voulait bien me rencontrer pour un café, et il a accepté. J’étais vraiment content qu’il accepte de me parler de lui et de la compagnie. Il m'a rapidement parlé d'une ouverture qui n'avait pas encore été publiée sur leur site web. Après avoir préparé un projet d’analyse de données, j’ai obtenu une entrevue et j’ai obtenu ce que je désirais : un poste de stagiaire.
Alors, voilà ma recette : si tu t'instruis à l'avance, que tu t'impliques à l'université et que tu profites des possibilités de réseautage, tu pourrais toi aussi être sur le point d'obtenir un poste de stagiaire. Ces démarches te donneront une chance et un avantage lors de déterminer le parcours professionnel que tu désires.
- Catégorie : La voix des étudiants
La procrastination est un problème assez récurrent dans plusieurs aspects de nos vies. Que ce soit dans notre environnement professionnel ou académique, plusieurs parmi nous y sont confrontés. Vous avez peut-être déjà lu des articles ou regardé des vidéos sur comment vous en débarrasser, mais malheureusement vous êtes toujours au même stade.
La procrastination est essentiellement l’habitude de remettre à plus tard, provoquée par un blocage mental. Cela vous retient d’accéder à une liberté émotionnelle, une plus grande force mentale, une meilleure gestion de soi et un succès professionnel et/ou académique.
Voici 3 points essentiels que j’ai appris sur la procrastination au cours de mes années universitaires :
1. Les excuses sont des catalyseurs :
Comme disait Serita Jakes, « les excuses sont des outils d'incompétence utilisés pour construire des ponts vers nulle part et des monuments de néant ». Prenez une minute pour digérer cette citation… Les excuses sont des affirmations qui déclenchent la nonchalance et le relâchement dans l’effort chez plusieurs d’entre nous. Ultimement, elles ont un effet sur notre disposition à travailler et à atteindre nos objectifs.
Comme j’aime me le répéter, s’ouvrir à la possibilité de remettre une tâche à plus tard retire le sens de la priorité et s’en suit la paresse et la procrastination. Par conséquent, nous devons développer une maîtrise de soi et discipliner notre cerveau afin d’exclure les excuses. Dès le départ, les excuses ne sont pas une option.
2. La procrastination est une conséquence :
Lorsqu’on pense aux causes de nos échecs, de notre inaptitude à bien gérer notre temps, à notre statu quo professionnel et académique, nous les relions souvent à la procrastination. En d’autres termes, la procrastination est la raison pour laquelle nous n’arrivons pas à atteindre nos objectifs. Ainsi, en nous débarrassant de ce défaut, nous sommes en bonne voie vers le succès.
Nous basons notre bataille contre la procrastination sur notre discipline personnelle sans réellement en chercher les causes. Cependant, en allant en profondeur dans cet aspect, nous voyons que la procrastination en elle-même est la conséquence de notre état émotionnel, d’un concours de circonstances parfois imprévisible qui nous prédispose à nous fermer à toute sorte de productivité. La première chose à faire est donc d’identifier les causes de notre procrastination.
3. Santé mentale et procrastination :
Notre état mental, émotionnel et physique a un impact sur les activités que nous menons au quotidien. Un désir de ne rien vouloir accomplir peut avoir une racine autre que la paresse physique que l’on cherche à surmonter. Certaines situations nous affectent de diverses façons, dépendamment de l’individu.
Ainsi, la procrastination peut être la conséquence d’un malaise existentiel ou d’un mal être psychologique. Dans tous les cas, un diagnostic n’est pas toujours facile à poser. Il est donc important de s’informer sur la santé mentale et de demander de l’aide. Plusieurs ressources sont disponibles sur le campus à cet effet :
- Le service de santé mentale
- L’Association Canadienne pour la santé mentale
- La clinique de counseling sans rendez-vous
Au final, je crois qu’il est possible de vaincre la procrastination si, dès le début, on arrive à en repérer les causes, à éviter les catalyseurs ou éléments déclencheurs, et à utiliser les ressources disponibles. Il faut du temps et de l’espace pour grandir et développer de saines habitudes. Ainsi, soyez patients envers vous-même et envers le processus.
Photo en bannière : crédit @magnetme
- Catégorie : Annonces aux étudiants
En tant que nouvel étudiant à Telfer, vous avez beaucoup à apprendre en ce qui concerne les caractéristiques du programme et des cours. Si vous souhaitez en savoir plus sur la création de votre horaire de cours, le choix des options de votre programme, les études en français et en anglais et les échanges internationaux, jetez un œil à cette discussion entre étudiants d'Université d'Ottawa.
Conversation en direct sur Instagram
Au printemps dernier, uOttawa Future a animé des séances de questions-réponses en direct sur Instagram avec des étudiants actuels de chacune des facultés de premier cycle de l’Université d’Ottawa.
Fiona Doomasia, une étudiante de quatrième année en marketing, a discuté avec la représentante d’uOttawa Future et étudiante de troisième année en sciences sociales, Narimane Ait Hamou, au sujet de l’expérience étudiante tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des salles de classe. Elles ont notamment parlé de comment bien établir un horaire de cours et comment apporter des modifications à son programme, ainsi que des clubs et emplois offerts sur le campus.
Voici les principaux sujets dont elles ont discuté :
Cours
1. Choix de cours :
Certaines personnes se questionnaient sur les cours à prendre en première année et sur la meilleure façon de les choisirent. Le conseil que Nari et Fiona leur ont fourni pour établir le meilleur horaire de cours est essentiellement : faire ce qui vous convient le mieux!
Fiona a suggéré de mettre les cours et les créneaux horaires disponibles sur l’outil de recherche de cours de l’uoCampus afin de voir quels sont vos choix, puis de sélectionner les cours qui correspondent le mieux à votre emploi du temps. Les cours ont lieu entre 8 h 30 et 22 h et durent généralement 1 h 30 ou 3 heures. Elle a ajouté que si une journée complète d’environ six heures de cours vous convient et que vous prenez le transport en commun pour vous rendre au centre-ville d’Ottawa, vous pouvez programmer plusieurs cours en une journée. Cela peut vous aider à avoir un jour de congé ou une journée plus courte avec beaucoup de temps libre pour les devoirs, les projets de groupe, une association étudiante ou vos autres engagements.
Nari a également recommandé de rencontrer un conseiller pédagogique qui peut vous aider à établir votre horaire de cours, à vous assurer que vous suivez la séquence de cours dont vous avez besoin pour obtenir votre diplôme, à choisir des cours à option, et plus encore. Nos conseillers pédagogiques sont disponibles à tout moment pendant vos études de premier cycle, donc si vous avez besoin d’aide après la première année, vous pouvez toujours les contacter.
Consultez la séquence de cours de votre programme pour l’ensemble de votre parcours universitaire de premier cycle ici, en cliquant sur l’option ou la spécialisation de votre programme, puis cliquez sur « Séquence de cours PDF » sous « Liens utiles ».
2. Taille des classes :
Fiona et Nari ont également parlé de la taille d’une classe typique des différentes années du bac. Selon le cours, la plupart de vos classes de première année peuvent compter entre 150 et 400 étudiants. Un cours comme Introduction à la microéconomie (ECO 1504) est requis dans plusieurs programmes et sera donc rempli d’étudiants de différentes facultés, ce qui donne une classe plus nombreuse pouvant aller jusqu’à environ 400 étudiants. Vous pouvez également choisir de suivre un cours à option à la Faculté des sciences sociales qui, par exemple, est plus proche de 250 étudiants s’il s’agit d’un cours de première ou deuxième année (commençant par 1000 ou 2000 dans le code du cours). Un cours comme Introduction à la gestion des affaires (ADM 1700) serait plus proche de 150 à 200 étudiants dans une salle de classe, car tous les étudiants Telfer en première année sont tenus de suivre ce cours. Au fil des années, vous remarquerez que la taille des classes diminue et compte entre 60 et 80 étudiants, ce qui est courant en quatrième année pour des cours spécifiques à votre spécialisation, comme marketing et technologies numériques (ADM 4726).
Modifications au programme d’étude et langues
1. Changer d’option de programme ou de spécialisation :
À l’École de gestion Telfer, vous choisissez l’option que vous souhaitez parmi celles proposées, mais tous les étudiants au baccalauréat en sciences commerciales suivent les mêmes cours en première et deuxième année. Cela vous donne le temps, au cours de vos deux premières années d’études, de décider du domaine en commerce qui vous intéresse le plus et vous pouvez, au besoin, changer de programme. Si vous avez commencé en marketing, mais devenez intéressé par la comptabilité, vous pouvez passer à la comptabilité avant de commencer votre troisième année, où les cours deviennent plus spécifiques. Vous pouvez le faire en troisième ou en quatrième année, mais vous devrez probablement poursuivre vos études un peu plus longtemps, car ce ne sont pas tous les cours qui permettent un transfert de crédits. Vous devrez suivre tous les cours obligatoires identifiés dans la nouvelle séquence de cours afin d’obtenir le diplôme souhaité. Pour toute question à ce sujet, vous pouvez contacter votre conseiller pédagogique au Centre des services aux étudiants de Telfer.
2. Étudier dans la langue de votre choix :
Vous pouvez choisir d’étudier dans la ou les langues de votre choix : entièrement en français, entièrement en anglais ou un mélange de français et d’anglais. Vous pouvez vous inscrire au Régime d’immersion en français qui exige qu’un certain nombre de cours soient suivis en français.
Programme d’échange international
Tous les étudiants de Telfer peuvent participer à un échange international au courant de leurs études. Que vous soyez en gestion internationale et devez faire un échange obligatoire ou dans un autre programme à Telfer, vous pouvez prendre rendez-vous avec l’un de nos conseillers pédagogiques pour discuter de vos options.
Si vous envisagez de participer à un échange, ils peuvent vous aider à choisir la meilleure session pour faire un échange en fonction des cours que vous devez suivre à l’Université d’Ottawa et de ceux que vous pouvez suivre à l’étranger. Si vous êtes dans le programme coop, ils peuvent également vous aider à déterminer si vous remplissez toutes les conditions requises pour l’enseignement coop et vos cours.
- Catégorie : Annonces Telfer
C’est avec une grande tristesse que la famille du professeur William (Bill) Rentz a annoncé son récent décès.
Membre de la famille Telfer depuis le 1er juillet 1975, Bill a marqué 3 différentes générations de jeunes esprits, notamment par le biais de ses cours de finance et de gestion de portefeuille; il a également été le coordonnateur de la section comptabilité et finance de l’École. Au fil des ans, il a accueilli et aidé de nombreux professeurs en finance au moment de leur intégration à Telfer, et il était considéré comme un mentor par ses étudiants.
« Bill a beaucoup contribué à l’Université et surtout à la section comptabilité et finance. Il a siégé au comité de pension de l’université pendant plusieurs années et nous avons pu tirer profit de son expertise. Il posait toujours les vraies questions lors des comités et des conseils de l’École. Il avait un merveilleux sens de l’humour qui nous manquera beaucoup. Quand je suis arrivé à Telfer, Bill était toujours disponible et souriant pour me donner des conseils, que je le veuille ou non. Sa porte était toujours ouverte si l’on voulait simplement jaser ou discuter de quelque chose de plus urgent. Le bureau 7106 paraîtra bien vide dans les mois à venir. La communauté de Telfer a perdu un cher collègue dont l’âme compatissante et la personnalité attachante nous manqueront beaucoup. » - Professeur Philip McIlkenny
« Bill était un collègue respectueux et bienveillant qui était toujours prêt à donner de son temps, à apporter sa contribution et ses idées. Ses connaissances en matière de recherche et son expertise pédagogique ont permis à beaucoup d’entre nous d’aborder notre travail d’une nouvelle façon. Même si Bill n’était pas toujours d’accord avec nous, il nous écoutait toujours et terminait la conversation sur une note positive. Ses conseils et son opinion nous manqueront beaucoup. » - Professeur Samir Saadi
« Partager le couloir du 7e étage avec Bill a donné place à de nombreuses discussions de fin d’après-midi. Sa porte était toujours ouverte pour lui demander son opinion, échanger des nouvelles sur la recherche et l’enseignement, parler de politique et découvrir son amour de la famille. Les étudiants de Bill appréciaient grandement ses cours; les longues files d’attente devant sa porte témoignaient de ses rapports avec eux. Travailler avec Bill au Conseil de l’École et à l’APUO nous a permis d’observer son talent enviable pour dire à la fois peu et beaucoup. Bill était un collègue gentil et cher qui comprenait et encourageait la communauté et la collégialité. Nous avons eu de la chance de le connaître. » - Professeure Cheryl S. McWatters
Bill nous manquera à tous. Compte tenu des mesures de santé publique actuelles, sa famille a annoncé qu’il n’y aura pas de funérailles publiques. Une cérémonie privée avec les proches parents sera organisée en sa mémoire.
Tout détail supplémentaire concernant les condoléances sera communiqué, le cas échéant.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
En raison de la « nouvelle normalité » à laquelle on doit s’adapter depuis six mois, cette année est une nouvelle expérience pour tout le monde. La pandémie de la COVID-19 a entraîné de nombreux changements, apprentissages, défis et même opportunités.
En mars dernier, après avoir dû repousser son événement prévu en présentiel, l’équipe de la Conférence Legacy s’est engagée à offrir, lorsque possible, une conférence mémorable encore cette année, même si cela implique de le faire virtuellement. De plus, cette édition est particulièrement spéciale pour l'équipe, puisqu’il s’agit du 10e anniversaire de la Conférence Legacy à Ottawa, la plus grande conférence organisée par des étudiants au Canada. C’est en 2010 qu’un étudiant de l'Université d'Ottawa a saisi l'occasion d'inspirer la prochaine génération de leaders étudiants par l'entrepreneuriat, et ainsi de créer la Conférence Legacy.
La Conférence Legacy est conçue pour les personnes désireuses d’apprendre et de passer à l’action. Les conférenciers ont une attitude décontractée et offrent une expérience personnelle, souvent en portant des vêtements plutôt informels comme des t-shirts et des jeans. « Legacy vise à partager des moments authentiques et réels de l’esprit entrepreneurial. Nous donnons à la prochaine génération de leaders des moyens d’action lors de nos ateliers, de nos séances de mentorat, de nos salons de l’emploi et d’autres événements », comme l’explique leur site web.
Conférence Legacy 2020
Comme toujours, la conférence est ouverte à tous les étudiants et étudiantes de l’Université d’Ottawa qui s'intéressent au leadership et à l'entrepreneuriat. Elle vise à « fournir à la prochaine génération de dirigeants les ressources nécessaires pour les aider à cultiver de nouvelles idées, à lancer des entreprises ou à développer des entreprises existantes ». L’équipe de Legacy et la directrice de cette année, Sally Adam, sont heureux de présenter leur toute première édition virtuelle de l’événement, ayant indiqué que ce sera la même expérience phénoménale, mais « cette fois-ci dans nos joggings ».
Cette dernière nous parle de ses motivations à rejoindre et à diriger le mouvement de la Conférence Legacy cette année : « J’ai découvert Legacy par hasard et depuis, je suis passionnée par notre mission. Nous nous concentrons avant tout sur le partage de moments forts liés à la passion, à l'échec et à la persévérance qui définissent souvent l'entrepreneuriat. Malheureusement, c'est souvent à l'université que les étudiants laissent la peur les pousser à prendre des décisions qui changent leur vie sur les chemins qui valent la peine d'être parcourus. Legacy change cela pour beaucoup de jeunes, dont moi-même ».
La liste des conférenciers de cette année comprend :
- Jason Fried, fondateur et PDG de Basecamp
- Rob Villeneuve, PDG de Rebel
- Brian Scudamore, fondateur et PDG de 1-800-GOT-JUNK?
- Anne De Aragon, vice-présidente et directrice nationale chez GoDaddy Canada
- Shawn Kanungo, conférencier principal et stratège en matière de perturbations
- Emily Anne Epstein, rédactrice en chef chez Narcity Media
- Mike Smith, fondateur de Skate4Change et de The Bay
- Travis Rosbach, cofondateur d’HydroFlask
- Seth Godin, entrepreneur et auteur à succès
- Izzy Camilleri, designer chez IZ Adaptive
Vous souhaitez vous joindre au plaisir et apprendre de cette lignée de dirigeants pour cultiver de nouvelles idées, démarrer des entreprises ou donner un coup de main à celles existantes? Réservez votre billet pour assister à la conférence virtuelle Legacy, le vendredi 2 octobre 2020.
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez