Actualités
- Catégorie : Actualités
Cet article a été écrit par Stephanie Thompson, agente de programme des Programmes pour cadres Telfer. Elle gère la logistique et l’administration d’une gamme de programmes, assure un service à la clientèle de qualité supérieure et maintient les standards d’excellence dans la prestation des programmes. Elle gère, entre autres, le programme Leadership sans limites : un programme pour femmes.
La Journée internationale de la femme a une longue histoire et tout comme d’autres journées liées à des mouvements sociaux, elle s’est en partie éloignée de sa signification politique d’origine. Alors que j’obtenais mon diplôme en études de genre de l’université Queen’s, la Journée internationale de la femme était un jour de manifestation mettant en avant les injustices que vivaient encore les femmes, en particulier les femmes pauvres, de classe ouvrière, racialisées, immigrantes, trans et autochtones. Aujourd’hui, mon expérience de spécialiste des sciences sociales me permet de revendiquer la justice sociale à travers mon travail au sein des Programmes pour cadres Telfer et de maintenir une opinion et une perspective balancées.
À titre d’agente de programme des Programmes pour cadres Telfer, j’ai eu l’occasion de gérer Leadership sans limites : un programme pour femmes, un programme conçu tout particulièrement pour répondre aux besoins et questions des femmes leaders actuelles et émergentes. Ce fut une très belle expérience que de participer à un programme où j’étais entourée de femmes accomplies, de qui j’ai pu apprendre et qui m’ont motivée à développer mes compétences en leadership.
Dans le cadre de mon rôle, j’appuie la prestation du programme, ce qui me permet d’assister aux séances du programme. Il y a quelques semaines, lors d’une des séances, une de nos conférencières a utilisé une phrase à laquelle je continue à penser : la « tyrannie du quotidien ».
Ce message semble avoir trouvé appui chez les participantes du programme et continue de toucher cette cohorte. Je pense que c’est parce qu’il pointe vers une vérité profonde que nous vivons toutes actuellement. Nous travaillons de plus longues heures, avons plus de réunions, écrivons plus de courriels, cuisinons plus de repas, et passons plus de temps et d’énergie mentale à nous garder, ainsi que notre famille, à l’abri du virus… Nous n’avons pas le temps de faire le point et de réfléchir. Nous n’avons pas non plus le temps de considérer les difficultés que nous subissons tous, si nous allons dans la bonne direction, ou si nous façonnons le monde pour les générations futures comme nous le voudrions.
J’espère que cette année, pour la Journée internationale de la femme, nous pouvons prendre un moment pour nous sortir de la tyrannie du quotidien pour réfléchir. Réfléchir aux progrès que nous avons faits, et au travail qu’il reste à faire. Je fais partie de l’union du Personnel de soutien de l’Université d’Ottawa, qui compte plus de 75 % de femmes, et je vois le travail inestimable que nous faisons pour appuyer une institution massive telle que l’Université. À titre d’agente de programme des Programmes pour cadres Telfer, j’ai eu la chance de pouvoir échanger avec de nombreuses femmes occupant des postes de direction, de pouvoir apprendre de leur cheminement de carrière, et même de les voir progresser vers des rôles plus élevés. J’ai eu l’occasion de voir des femmes comme la docteure Virginia Roth obtenir un MBA pour cadres Telfer et devenir la première femme chef de personnel de l’Hôpital d’Ottawa. Je vois tellement de réalisations à célébrer, sur lesquelles nous pouvons faire le point avant de respirer profondément et de faire face au travail qu’il reste à faire.
Ne manquez pas les dernières nouvelles sur les Programmes pour cadres Telfer. Suivez-nous sur LinkedIn ou Facebook!
- Catégorie : La voix des étudiants
Force est de constater que l’entrepreneuriat s’est imposé au fil de l’évolution de la société comme étant un moteur de nos économies modernes. Suivant les différents progrès réalisés en matière de droits et d’émancipation de la femme dans le monde, ce n’était qu’une question de temps avant que la femme se lance à la conquête du monde entrepreneurial.
Alors que nous célébrons en mars la Journée internationale des droits des femmes et faisons le bilan sur la place qu’elle occupe au sein de nos sociétés, laissez-moi vous partager ma pensée d’étudiante en business sur l’entrepreneuriat féminin.
L’entrepreneuriat féminin : qu’est-ce que c’est?
L'entrepreneuriat, il me semble, est l’un de ces termes que l’on entend à tout bout de champ sans réellement savoir comment le définir. Pour ceux et celles qui s'identifient à ce que je viens de dire, laissez-moi vous filer un petit coup de main. L’entrepreneuriat se définit comme la création d’une activité économique pour atteindre un objectif et dont la conséquence première est la création de valeur.
Maintenant que nous comprenons mieux la notion, qu’en est-il de l’entrepreneuriat féminin? Cela se définit comme étant la création et le développement d’activités économiques, mais tout simplement par des femmes. Que ce soit pour des raisons personnelles et professionnelles telles que l’accomplissement de soi, la recherche d’un meilleur équilibre travail-vie personnelle, ou encore des motivations économiques comme la hausse des revenus, de plus en plus de femmes décident d’échanger leur 9 à 5 pour la vie d’entrepreneure.
Selon les données de la Banque mondiale, il est admis qu’à l’échelle globale, une entreprise sur trois est détenue par une femme. Au Canada, plusieurs entreprises appartenant à des femmes opèrent majoritairement dans les secteurs du service tels que l’hébergement, le commerce de détail et les services de restauration et de tourisme.
À la découverte de l’entrepreneuriat
D’aussi loin que je me souvienne, entreprendre a toujours été une chose à laquelle j’aspirais avant même d’être en mesure de définir la notion. Ayant été élevée par une mère multitâche et à la tête de plusieurs petites entreprises, j’ai développé ma personnalité avec ce modèle de femme entreprenante et indépendante, ce qui explique probablement mon choix aujourd’hui d’étudier dans une école de gestion.
À l’adolescence, lorsque j’ai eu mes premières idées de projets, bien que j’étais alors loin de m’imaginer les enjeux de l’entrepreneuriat féminin, j’étais rassurée à l’idée de vivre dans un monde en constante évolution. C’est en grandissant, et en rencontrant sur mon chemin des femmes entrepreneures, dont certaines amies qui ont choisi cette voie, que j’ai réellement pris conscience de la réalité de l’entrepreneuriat féminin. Cela m’a permis de :
- Découvrir un milieu en développement marqué par des enjeux importants. C’est le cas par exemple du financement, qui est encore difficile d’accès pour les femmes entrepreneures. En effet, sur la base de stéréotypes socioculturels, elles manquent de crédibilité, ce qui nuit bien sûr à leur productivité.
- Comprendre l’importance de l’entrepreneuriat féminin non seulement pour son impact dans le combat des femmes, mais aussi pour les perspectives de croissance économique que cela représente pour les nations.
Que signifie l’entrepreneuriat féminin pour moi aujourd’hui?
Tout d’abord, étant moi-même une fervente partisane du leadership féminin, je vois en l’entrepreneuriat une manière pour les femmes d’affirmer leur position de leader, de prouver leurs capacités managériales et ainsi de détruire tous les clichés et stéréotypes qui ont longtemps influencé la société.
De plus, désormais en dernière année de mon programme de B.Com., je sens le monde du travail se rapprocher de moi à grands pas, d’où ma sensibilité grandissante à la lutte de la cause féminine dans le milieu, et surtout dans le domaine de l’entrepreneuriat vers lequel je compte me diriger un jour.
Tout étudiant diplômé aimerait être en mesure d’obtenir la chance d’appliquer ce qu’il a appris et de réussir dans ce qu’il entreprendra. Il est important que ces chances demeurent égales pour chacun et chacune d’entre nous.
Je vois donc en l’entrepreneuriat féminin une source d’opportunités que les femmes peuvent largement exploiter si on leur remet les clés nécessaires pour le faire. Il s’agit d’un secteur en développement où les femmes sont encore confrontées à des inégalités qu’il faut combattre afin de leur permettre d’atteindre leur plein potentiel. La prise de conscience mondiale pour changer les choses, et le développement de plus en plus nombreux de groupes associatifs apportant leur soutien aux femmes entrepreneures présagent peut-être le début d’un changement prometteur. Du moins, c’est ce qu’on espère!
- Catégorie : Gestion des systèmes de santé
Nos étudiants à la maîtrise en gestion des services de santé (MGSS) orientent un débat plus sain avec leur travail final dans le cadre du cours Health Care in Canada (MHA6360). Ce cours, dirigé par la professeure adjointe Agnes Grudniewicz, consiste en un projet intéressant à titre de travail final qui implique la possibilité d’être publié en ligne. Les étudiants devaient préparer un article d’opinion sur un sujet d’intérêt choisi dans le but ultime d’être publié dans Healthy Debate, une revue canadienne en ligne qui vise à fournir de l’information facile à comprendre sur le système de santé.
L’occasion d’avoir un impact au-delà de la salle de classe
La professeure Grudniewicz a dit : « C’était la première fois que je donnais le cours, alors j’ai dû créer un programme à partir de rien. Je voulais faire un travail final où les étudiants pouvaient appliquer les connaissances et les compétences acquises en classe à un sujet qui les intéressait. Je voulais aussi quelque chose qui pourrait aller au-delà de la salle de classe, qui pourrait être utilisé pour améliorer leur CV et les aider dans leur carrière. »
La professeure Grudniewicz a découvert la plateforme en ligne Healthy Debate pour la première fois lors de ses études de doctorat, car leur bureau de rédaction était situé à l’hôpital St. Michael’s de Toronto, où elle effectuait ses recherches.
« L’idée d’inclure Healthy Debate comme plateforme d’apprentissage appliqué m’est venue cet été, tout en planifiant la première prestation en ligne du cours en raison de la pandémie. J’ai simplement décidé de communiquer avec eux. », a-t-elle ajouté. « Ils étaient très enthousiasmés par l’idée, car ça s’alignait avec leur nouvel objectif d’utiliser leur plateforme comme une opportunité d'apprentissage. »
L’expérience d’écrire pour Healthy Debate
Pour ce travail, les étudiants devaient suivre toutes les consignes pour rédiger un article d’opinion tel que décrit sur le site web de Healthy Debate. Les étudiants avaient l’occasion de lire des articles d’opinion déjà publiés sur la plateforme pour comprendre le ton et le style de ce genre d’articles courts.
Allant de 650 à 900 mots, les articles d’opinion sont beaucoup plus difficiles à rédiger que les plus longs documents de recherche habituels, car les idées, le contenu factuel et l’information argumentative doivent être concis. « C’était un exercice difficile puiqu’ils devaient s’adapter au style de Healthy Debate, qui est très différent de la rédaction académique à laquelle ils sont habitués. C’est percutant et court. Les étudiants ont dû réfléchir à des façons d’écrire sur un sujet spécialisé pour un public plus vaste, en utilisant des termes courants et en expliquant des concepts. », a expliqué la professeure Grudniewicz.
Les étudiants ont eu l’occasion de consulter les rédacteurs du Healthy Debate concernant leur sujet et de travailler avec eux afin de soumettre l’article pour publication. Cette consultation et la soumission au Health Debate étaient des éléments facultatifs du projet, mais les étudiant étaient fortement encouragés à profiter de cette fantastique opportunité pour étoffer leurs travaux, car ceux-ci devaient être de qualité suffisante pour être publiés dans Healthy Debate après avoir été notés.
« Le travail pour Healthy Debate a été une excellente expérience d’apprentissage, car nous avons pu choisir un sujet de notre choix sur la santé. Nous étions fiers de partager notre opinion avec un vaste public et de sensibiliser les gens à la santé mentale en cette période de COVID-19 », ont exprimé Mohcene Abdessemed et Sandra Blais-Amyot, étudiants de la maîtrise en système de santé et coauteurs de l’article d’opinion maintenant publié, Pandemic, winter taking toll on Canadians’ mental health. « Nous avons eu l’occasion d’interviewer un professionnel en santé mentale afin de recueillir son point de vue sur la situation actuelle. Nous avons trouvé que la professeure du cours et les rédacteurs du Healthy Debate nous ont énormément aidé avec leurs commentaires constructifs qui ont guidé et renforcé notre article. »
Pour le travail, il était également demandé de créer un balado de 10 minutes où un étudiant discute avec un autre sur le sujet de son article dans Healthy Debate. « Les étudiants ont obtenu d’excellents résultats dans ce volet. Ils m’ont surpris par leur créativité et leur enthousiasme », s’est exclamée la professeure Grudniewicz.
Leçons tirées
« Publier dans Healthy Debate a été une excellente occasion de collaborer avec un collègue et d’ajouter notre expertise à un sujet qui nous passionne tous les deux. Cela nous a permis non seulement d’appliquer ce qu’on avait appris en cours à une question de politique concrète, mais aussi d’utiliser nos antécédents professionnels respectifs pour apporter nos points de vue différents sur la question. », explique Joey Taylor, étudiant à la MGSS et coauteur de It’s time to get moving, Canada.
« Je pense que cela a été une expérience formidable pour ces étudiants car ils ont pu choisir un sujet qui était important pour eux, soit en raison de leur expérience personnelle ou parce qu’un sujet que nous avons couvert en classe a suscité un nouvel intérêt », exprime la professeure Grudniewicz. Elle a conclu : « La MGSS forme nos futurs chefs de file dans le domaine des soins de santé. Dans le cadre de ce projet, je voulais donner à nos étudiants l’occasion de participer à la conversation et de se faire entendre sur des sujets qui leur tiennent beaucoup à cœur. J’espère que la publication de leurs travaux les incitera à continuer de participer activement aux discussions sur les politiques de santé afin d’améliorer nos systèmes de soins de santé. »
Lisez les articles de nos étudiants au MGSS publiés par Healthy Debate :
‘Cure sometimes, treat often, comfort always’: The importance of support networks, par Brent Leonard
Addressing racism in Indigenous health – Moving beyond systemic reassurance, par Amanda Larocque et Maddie Venables
Fighting fire with fire: Managed Alcohol Programs need to be widely implemented, par Steven Parker et Erin Tighe
It’s time to get moving, Canada, par Joey Taylor et Talia Ignacy
CANZUK: A cure for our healthcare challenges?, par Anna Wu et Priyank Tyagi
Pandemic, winter taking toll on Canadians’ mental health, par Mohcene Abdessemed et Sandra Blais-Amyot
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Diplômé d’une maîtrise en science des systèmes (uOttawa, 2012) et analyste de données chez Baker Tilly Ottawa LLP, Abtin Shakiba a récemment reçu le prix Ottawa Award 2021 du magazine Faces pour le meilleur analyste de données à Ottawa. Abtin, très heureux, a fait part de son succès sur LinkedIn et son fier employeur l’a félicité.
Abtin se spécialise dans l’intégration et la mobilisation des clients en vue de leur croissance et de leur expansion. Il aime aider les clients à résoudre efficacement leurs problèmes tout en offrant des services de consultation qui permettent de gagner du temps et de l’argent grâce à l’utilisation de données et d’analyses.
Abtin travaille sur plusieurs projets en appliquant des analyses avancées de données, des technologies, des renseignements sur les données, l’exploration de données, la modélisation de données, des algorithmes, l’automatisation et des outils de visualisation. Il se passionne pour l’établissement de la confiance de ses clients à l’égard de produits et de services de données complets, tout en mettant l’accent sur l’éducation et en développant des outils plus sophistiqués et évolutifs pour s’attaquer aux problèmes de données complexes au sein de l’industrie.
Le parcours du meilleur analyste de données d’Ottawa
Après avoir obtenu un baccalauréat avec spécialisation en commerce électronique en Malaisie, il a obtenu une maîtrise en génie des systèmes en 2012, un programme conjoint de la Faculté de génie de l’Université d’Ottawa et de l’École de gestion Telfer. Pendant sa maîtrise, il a travaillé en étroite collaboration avec son directeur de thèse, la professeure de Telfer Sandra Schillo. Abtin a dit : « J’ai toujours aimé les chiffres et leurs relations entre eux. Cependant, le parcours a commencé à l’Université d’Ottawa lorsque je préparais ma thèse de maîtrise sous la supervision de la professeure Sandra Schillo. Nous recueillons et analysons les chiffres pour trouver des questions et des solutions à des problèmes réels. » Il a également ajouté qu’il avait acquis la capacité d’examiner des questions sous différents angles : « J’ai appris à regarder les questions sous différents angles, à sortir des sentiers battus, à apprendre des leçons de vie, à développer et à perfectionner mes compétences. »
Après avoir réfléchi à son parcours jusqu’à la remise de son prix d’Ottawa Award, Abtin a noté : « J’ai commencé à travailler dans quelques entreprises en démarrage (je le suggère fortement à tout le monde), ce qui m’a aidé à établir mon réseau professionnel et à progresser lentement dans ma vie personnelle et professionnelle. J’ai gardé contact avec des amis de l’université, des collègues de classe, des professeurs, des experts en la matière et quiconque m’a appris quelque chose de nouveau. Ce sont ces personnes qui ont proposé ma candidature et qui m’appuient, et je serai là pour elles lorsqu’elles auront besoin de moi. »
Abtin a continué de travailler avec la professeure Schillo lorsqu’elle l’a entraîné dans un projet de recherche dans le domaine des biocarburants sur lequel elle travaillait. La professeure Schilo s’est exprimé sur son expérience de travail avec Abtin sur le projet : « les données que nous cherchions étaient difficiles à trouver. Abtin a dû creuser beaucoup pour trouver les données que nous cherchions. » En 2017, la prof. Schillo, Abtin et la prof. Diane Isabelle de l’école de commerce de l’Université Carleton ont vu leur article, intitulée « Linking advanced biofuels policies with stakeholder interests: A method building on Qualty Function Deployment », publiée dans la revue scientifique Energy Policy d’Elsevier. L’article traite des biocarburants avancés et de leur incidence sur les décideurs canadiens dans l’industrie de l’énergie renouvelable.
La professeure Schillo était ravie de voir Abtin gagner : « Je suis très fier des réalisations d’Abtin. Il travaille extrêmement fort, et c’est la raison pour laquelle il aurait reçu un tel prix. Il a un bon esprit d’équipe et il a toujours aimé apprendre de nouvelles choses, et j’ai beaucoup de respect pour lui après avoir travaillé ensemble au fil des ans pendant sa thèse, sur notre article et lorsqu’il était assistant à l’enseignement pour l’un de mes cours. »
En conclusion, Abtin a fait part de ce qu’il a retenu en matière de perfectionnement professionnel : « Peu importe où vous travaillez, quand vous commencez et où vous en êtes dans votre vie, le dévouement, le professionnalisme et le travail acharné se manifesteront toujours lorsque vous vous y attendez le moins. »
Félicitations à Abtin pour ses réalisations exceptionnelles, et nous lui souhaitons beaucoup de succès dans sa carrière.
- Catégorie : Annonces Telfer
Félicitations à Vusal Babashov, maintenant diplômé au doctorat de Telfer, pour avoir terminé avec succès son programme de doctorat. Il a soutenu sa thèse sur les problèmes pratiques de l'analyse des soins de santé il y a tout juste quelques semaines.
Premier d'une longue série de doctorants
Vusal a présenté un récapitulatif de sa thèse et a défendu celle-ci à la suite de deux séries de questions pointues posées par les membres du jury. Satisfaits de ses réponses, ils ont unanimement reconnu qu'il avait soutenu sa thèse avec succès. Il sera donc le tout premier étudiant à avoir officiellement complété son doctorat à l'École de gestion Telfer.
Vusal a commencé ses recherches sur les systèmes de santé en 2016 lors de la création du doctorat en gestion de Telfer. « Ces quatre années de doctorat ont été incroyables, stimulantes et parfois même stressantes. », a déclaré Vusal en faisant le point sur son parcours à Telfer. « C'est une aventure longue et unique par laquelle vous devenez non seulement un expert dans votre domaine de recherche, mais aussi une meilleure personne, plus motivée et dotée de compétences en matière de résolution de problèmes et de leadership. Il y a certainement beaucoup à apprendre de cette expérience. Je suis profondément reconnaissant à tous, y compris à mes superviseurs, pour le soutien et les conseils qu'ils m'ont apportés tout au long de ce parcours. Je suis heureux d'avoir pu enfin atteindre la ligne d'arrivée de ce marathon, et je souhaite bonne chance aux autres candidats au doctorat. »
La ligne d’arrivée
Vusal a travaillé en étroite collaboration avec ses codirecteurs de thèse, Jonathan Patrick, professeur titulaire et vice-doyen (faculté) à Telfer, et le professeur adjoint Antoine Sauré, tout au long de son parcours de thèse. Le professeur Patrick a fait part de ses réflexions sur sa collaboration avec son étudiant : « Ce fut pour moi une grande satisfaction de voir Vusal soutenir sa thèse. L'élaboration d'une thèse digne d'être défendue est un processus long et difficile. Chaque recherche comporte ses obstacles - des pistes prometteuses qui ne mènent nulle part, des éléments déroutants qui prennent des mois à comprendre - et je sais qu'à de nombreuses reprises, Vusal a été tenté d'abandonner. Le fait qu'il ait persévéré et qu'il soit maintenant capable de récolter les fruits de cette détermination témoigne de son caractère. Alors, félicitations à Vusal d’être le premier diplômé du programme de doctorat de Telfer! »
Le professeur Sauré a également témoigné de son sentiment de fierté envers ce fait d’arme : « L’expérience que Vusal a acquise, son dévouement, sa détermination à maîtriser de nouveaux concepts et son désir de faire une différence positive dans son travail sont des atouts qui feront de lui un excellent professionnel peu importe le cheminement de carrière qu'il choisira. J'attends de lui qu'il continue à enrichir notre domaine de différentes manières, car sa contribution est très précieuse ».
Vusal a jusqu'au 18 février pour compléter la révision suite aux commentaires reçues lors de la présentation de sa thèse, qui sera ensuite approuvée par ses directeurs de thèse avant d'être officiellement soumise à la bibliothèque de l'Université d'Ottawa.
Sujet de la thèse :
Trois problèmes pratiques dans l'analyse des soins de santé
Jury/examinateurs :
Gilles Reinhardt, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Jonathan Li, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Onur Ozturk, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Peter Vanberkel, professeur associé à l'Université de Dalhousie
Codirecteurs de thèse :
Jonathan Patrick, professeur titulaire à l'Université d'Ottawa
Antoine Sauré, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Présidente du jury :
Samia Chreim, professeure titulaire à l'Université d'Ottawa
Date de la soutenance :
Le lundi 18 janvier de 9 h à 12 h (HNE)
Vusal est le premier des nombreux étudiants qui termineront leur doctorat cette année à Telfer. Nous sommes extrêmement fiers de tous nos candidats au doctorat et nous nous réjouissons de leur succès.
Restez à l'écoute pour en savoir plus sur cet important jalon pour Telfer. Félicitations à tous les professeurs, membres du personnel et étudiants qui ont aidé Vusal tout au long de son parcours et ont rendu cet exploit possible.
- Catégorie : Actualités
Gaëlle Faye fait partie intégrante du personnel du Centre des carrières de Telfer depuis le début de 2019 à titre de coordonnatrice de l’engagement de carrière. Son engagement envers les étudiants rayonne par ses discussions individuelles avec ces derniers, par ses apparitions sur Instagram en direct sur le compte de Telfer et par ses nombreuses réalisations pendant ses études et en tant que membre du personnel.
En tant que diplômée de Telfer, elle utilise son expérience personnelle pour donner des conseils et discuter des occasions avec les étudiants actuels, en particulier ceux qui sont de groupes marginalisés comme les étudiants internationaux et les francophones. En tant que francophone et femme de couleur elle-même, elle est en relation avec plusieurs étudiants ayant ces éléments en commun, et elle s'assure avec passion qu'ils sont non seulement conscients des nombreuses opportunités qui sont disponibles à Telfer et à l'Université d'Ottawa, mais qu'ils en profitent et s'impliquent.
À titre de personne-ressource du programme Connexions et du programme des ambassadeurs du Centre des carrières, Gaëlle a travaillé en étroite collaboration avec plusieurs étudiants, dont bon nombre ont choisi de venir étudier au Canada depuis un autre pays. Ces étudiants sont souvent confrontés à des défis tels que la recherche d'un emploi dans un nouveau pays, l'apprentissage du réseautage avec des employeurs potentiels, la recherche d'un stage ou d'une autre expérience professionnelle pertinente à ajouter à leur curriculum vitae. « J’ai récemment rencontré une étudiante qui était extrêmement nerveuse de faire du réseautage et qui ne savait pas par où commencer. Je lui ai dit que moi aussi j’ai été une étudiante internationale et lui ai proposé de parler à l’un de nos gestionnaires du réseau des relations et à notre coordonnatrice du développement professionnel qui est chargée d’aider les étudiants étrangers afin de l’orienter dans la bonne direction. On ne reste pas un “étudiant étranger” pour toujours. Vous pouvez acquérir de l’expérience pour ensuite vous plonger dans le marché du travail canadien et profiter de plusieurs occasions à l’école. »
Pendant ses études, Gaëlle a été très impliquée, passant quatre ans au sein de la Société de finance Telfer, représentant les étudiants de premier cycle aux réunions mensuelles du Conseil de l’École de gestion Telfer durant sa troisième année et en tant qu’ambassadrice étudiante de l’Université d’Ottawa pendant trois ans. Elle a aussi été membre du Model African Union de l’Université d’Ottawa pendant deux ans, avant de devenir conseillère pour l’organisation, et membre du comité ad hoc pour l’équité et la diversité du recteur Frémont de l’Université d’Ottawa. Elle estimait qu’il était important que les étudiants de tous les milieux participent davantage aux clubs, aux comités d’organisation et aux activités scolaires. Elle a suivi la plupart de ses cours en français, car c’est une partie importante de son identité, mais aussi pour lui donner l’occasion de défendre avec ardeur les intérêts et l’implication de ses collègues de classe francophones aux activités sur le campus.
Elle est actuellement conseillère auprès de l’International Model African Union de l’Université d’Ottawa. Pendant son mandat de déléguée et vice-présidente, elle a non seulement représenté l’Université d’Ottawa sur la scène mondiale, mais elle a également été active au sein de la vie étudiante de l’uOttawa pour veiller à ce que ce programme se déroule chaque année (il n’a pas toujours été offert lors des années précédentes) puisqu’il fait la promotion de la diversité sur le campus. Elle milite également pour qu’il soit ouvert à un plus grand nombre d’étudiants à l’uOttawa, avec le soutien de l’université. Avec ses collègues conseillers, elle collabore avec l’Université d’Ottawa pour inclure cette possibilité dans le cadre de la nouvelle mineure en études africaines.
En plus de toutes ces réalisations remarquables qui l’ont amenée à devenir un modèle exceptionnel pour les étudiants avec lesquels elle interagit au Centre des carrières, l’une de ses plus grandes réalisations jusqu’à maintenant a été de représenter l’Université d’Ottawa en Égypte au Forum mondial des jeunes en décembre 2019. Elle a été choisie par le gouvernement égyptien, parmi 300 000 candidats. Gaëlle a représenté le Canada et son pays natal, le Sénégal, lors de ce forum international de 7 000 personnes provenant de 150 pays différents. Cette occasion, entièrement financée par le gouvernement égyptien, lui a permis de se rendre en Égypte pendant deux semaines, où elle a pu réseauter avec d’autres participants et assister à des séances sur les dernières avancées en matière d’innovation, de technologie, de développement et plus encore.
Gaëlle continue avec passion de faire preuve de leadership, motivée par sa conviction envers la mission de Telfer visant à bâtir un meilleur Canada. « Telfer est une communauté où tous ceux qui y entrent ressentent un sentiment d’appartenance. C’est une petite collectivité au sein du Canada qui reflète la culture canadienne d’inclusion et un lieu d’égalité ouvert à tous. »
- Catégorie : Annonces Telfer
Par Dorra Jlouli, Ing, Agr, MBA
Professeure à temps partiel à l'École de gestion Telfer, uOttawa
Nos étudiants du MBA de l'École de gestion Telfer dans le cours Leadership et gestion (MBA5636) se sont sentis fiers ce semestre de faire l'expérience d'une simulation en ligne interactive pour acquérir des compétences en leadership les préparant à mener avec succès le processus de gestion du changement dans leur organisation!
« Nous sommes très fiers d'avoir fait partie du premier groupe en Amérique du Nord à réaliser la simulation en ligne de Wallbreakers Leadership ! », ont déclaré Vickie L., Mireille N., Cherlande R et Charlotte K., candidates au MBA 2022 à l'École de gestion Telfer.
« Je remercie chaleureusement l'Université d'Ottawa et la professeure Dorra Jlouli de nous avoir fourni cette riche expérience dans le cadre de notre parcours MBA », a ajouté Mireille N.
Qui n'aurait pas rencontré de défis lors de la gestion de la résistance de son équipe causée par un processus majeur de changement d'organisation? Notre contexte récent du COVID-19 est le meilleur exemple partagé.
Des méthodes d'enseignement innovantes
Notre récent passage à la formation en ligne dans notre Université d'Ottawa est en soi un changement important qui a eu un impact majeur sur nos méthodes d'enseignement que nous utilisons. Cela dit, ce contexte a également été une belle opportunité nous obligeant à être à l'avant-garde avec des méthodes d'enseignement innovantes. «Le Programme de financement de l'innovation pédagogique de l'École de gestion Telfer a appuyé nos initiatives visant à innover dans notre façon d'enseigner», a déclaré Dorra Jlouli. Ma certification pour l'utilisation et l'animation d'un atelier avec la simulation de leadership Wallbreakers a été soutenue par ce fonds d'innovation », a-t-elle ajouté. C'est un excellent exemple prouvant l'efficacité de l'apprentissage par l'action où les élèves apprécient le jeu tout en apprenant des compétences de leadership.
“Honnêtement, je classerais cette méthode en tête de liste pour apprendre la gestion du changement et le leadership en général! » ”, a déclaré Arlette G., candidate au MBA 2022.
Durant la classe du cours précédant celle de l'atelier de simulation de deux jours, les étudiants ont appris les différentes théories liées au leadership et à la gestion du changement qu'ils doivent pratiquer pendant la simulation, essentiellement les styles de leadership Gauleman, les dimensions disc® 8 du leadership, les types de personnalité inspirés des Ungiens, l'approche Rick Maurer de la gestion du changement, ainsi que les huit accélérateurs de Jand Ohn Kotter.
Comment cela fonctionne?
Au cours de l'atelier, les étudiants sont répartis en 4 équipes où chaque équipe représente le gestionnaire de l'un des quatre grands départements de l'entreprise qui doit conduire le changement et surmonter la résistance de leurs 10 employés qui ont récemment entendu parler d'une fusion entre leurs entreprise et une organisation inconnue.
Les autobus, métaphore du jeu pour le département, sont présentés ci-dessous avec différentes couleurs (vert, rouge, jaune et violet). Les étudiants sont en compétition et chaque équipe voit simultanément la façon dont les autres équipes gèrent leur département pour réussir leur processus de changement. Les étudiants doivent prendre les bonnes decisions afin de faire avancer leur autobus “département” de la première phase du processus de changement (la phase de démarrage) vers la dernière phase du celui-ci (celle de l’ancrage).
Ils sont mis au défi de garder autant d'employés à l'intérieur de l'autobus tout au long du processus de changement.
C'est un défi permanent, car «l'employé virtuel» résiste tout au long des trois phases du processus de changement.
Les étudiants doivent gérer à la fois la vitesse avec laquelle ils décident de mener le changement pour faire avancer les autobus (la vitesse de gestion du changement) et doivent également prendre les actions de leadership appropriées pour gérer la résistance de leurs employés. Ils voient immédiatement l'effet de leur décision en termes de résistance des employés comme La seule façon de surmonter la résistance de leurs employés est de choisir la décision de leadership appropriée pour ramener leur employé dans l'autobus «leur service».
«À travers un cas pratique sur la gestion d'une fusion de deux entreprises, je me suis amusé à utiliser l'outil Wallbreakers. Cela a permis à notre équipe d'avoir un retour en temps réel des collaborateurs sur nos différentes décisions et d'ajuster régulièrement nos actions afin de rallier tout le monde », a rapporté Pierre C.H.
La séance de débriefing qui suit la simulation est aussi importante, sinon plus importante que la simulation elle-même, car les étudiants synthétisent sur leur expérience, partagent les leçons apprises, réalisent et comprennent les conséquences de leurs décisions de leadership et commentent leur propre style de leadership et comment cela affecte la dynamique de l'équipe. Ils font le lien entre la théorie et leur expérience d'apprentissage actif.
“La simulation Wallbreakers nous a permis d'exercer nos différents styles de leadership et de comprendre que le leadership situationnel était celui qui convenait le mieux à la mobilisation d'équipe et à l'atteinte des objectifs”, a déclaré Charlotte K., candidate au MBA 2022.
Quels sont les avantages pour les étudiants du MBA?
Pour les étudiants en MBA, qui ont déjà une expérience en gestion, les méthodes d'apprentissage actif telles que l'utilisation de simulations, conviennent parfaitement. En effet, cela leur offre un environnement similaire à une situation professionnelle réelle qu'ils auraient pu vivre. Cela stimule leur capacité d'apprentissage en les aidant à établir des liens avec leur propre expérience. Ils apprennent de leurs erreurs et capitalisent sur leurs succès.
« L’expérience Wallbreakers m’a permis de mettre en action les notions théoriques apprises dans le cours, immédiatement. Nous avons eu l'occasion d'avoir plusieurs discussions importantes en équipe sur la gestion du changement et le leadership qui me seront utiles dans mon cheminement professionnel. » Justin Thibault, candidat au MBA 2022.
«La simulation Wallbreaker nous donne l'opportunité de mettre en pratique les concepts appris en classe. Nous l'avons vraiment vécu comme une vraie situation d'affaires, oubliant parfois qu'il ne s'agissait que d'une simulation, tant les débats étaient enflammés pour parvenir à une décision consensuelle au sein du groupe! », a ajouté Arlette G.
Pour en apprendre davantage, une séquence enregistrée de la session de débriefing sur la simulation du cours MBA5636 est disponible ici.
- Catégorie : Annonces Telfer
Les diplômés du MBA de l’École de gestion Telfer, Soumi Sarkar, Anjaney Agashe et Arun Subramanian se sont distingués lors de la 8e édition de la compétition de cas Schlesinger Global Family Enterprise (SG-FECC), en remportant la deuxième place du podium dans la catégorie des études supérieures. SG-FECC est une compétition de cas organisée par l’Université du Vermont qui a pour but de mettre les participants face à des questions uniques et des problématiques liées à l’entreprise familiale. Les participants doivent résoudre des cas complexes et présenter leurs solutions dans le cadre de quatre rondes pendant la compétition. Cette année, exceptionnellement, l’ensemble des épreuves ont eu lieu en ligne.
Selon Peter Jaskiewicz, mentor de l’équipe et professeur titulaire à Telfer en entrepreneuriat et entreprise familiale, bien que ce fut la première fois que Telfer participait à la SG-FECC, les organisateurs de l’événement leur ont accordé une grande reconnaissance. M. Jaskiewicz déclare que « notre équipe a assuré, même si nous n’avions pas d’expérience préalable aux compétitions SG-FECC et des antécédents d’un programme de formation en entreprise familiale de longue date à Telfer. »
De plus, les chefs d’entreprise et les consultants qui ont travaillé en tant que juges à la SG-FECC ont souligné à maintes reprises la prouesse des étudiants de Telfer, ce qui, selon le professeur Jaskiewicz, est une bonne indication du bon fonctionnement du programme MBA.
« J’ai trouvé cela très gratifiant d’épauler ces trois individus, car ils sont brillants, travaillants et sympathiques », a exprimé M. Jaskiewicz. « J’ai aimé les voir réussir haut la main leur analyse de problèmes complexes en entreprise familiale tout en offrant des solutions surprenantes pour régler ces problèmes. »
« De plus, ils ont fait preuve d’un grand esprit d’équipe depuis leurs débuts dans mon cours Advising Family Business jusqu’à leur présentation finale à la compétition de cas ; ils ont toujours travaillé en équipe, se sont comportés de façon très professionnelle, se sont appuyés mutuellement et ont eu beaucoup de plaisir tout le long. Bravo! », a ajouté le professeur Jaskiewicz.
Visionnez l’enregistrement intégral de la remise des prix, ici. (lien en anglais seulement)
Cliquez ici pour obtenir plus d’information sur la compétition de cas Schlesinger Global Family Enterprise. (lien en anglais seulement)
- Catégorie : Annonces Telfer
La délégation étudiante de Telfer représentée par 60 étudiants du B.Com. ont remporté de nombreux prix à la 33e édition des Jeux du Commerce, qui a eu lieu du 8 au 10 janvier dernier.
Cette compétition annuelle à plusieurs volets rassemble plus de 1000 étudiants provenant de 13 universités, formant ainsi la plus grande compétition interuniversitaire de l'est du pays.
Félicitations à toutes les équipes qui ont su se démarquer avec brio!
Cartes VIP
Les détenteurs de cartes VIP sont ceux s’étant distingués tout au long de la fin de semaine :
- Catherine Gingras
- Alex Dalcourt
- Ayaan Virani
- Rosemary Ashlie
- Charles Doray
- Aman Sidhu
- Marie-Madeleine Kabupu
- Emily Chiazza
- Emma Rankin
Résultats des compétitions académiques
Gestion des ressources humaines
Première place : Emily Chiazza, Marie Madeleine Kabupu et Robyn Moke
Débat oratoire
Première place : Ayaan Virani, Justin Abraham, Alex Dalcourt et Martina On
GOL (Gestion des opérations et de la logistique)
Deuxième place : Aadi Koundal, Vicky Laliberté et Emma Rankin
Innovation entrepreneuriale
Deuxième place : Aman Sidhu, Kristelle Rivard et Daniela Diaz
Course de Formule 1
Deuxième place : Rajeev Chansingh et Abderrahmane El Bakkali
Marketing
Troisième place : Liz Tran, Charles Doray et Nicole Sauvé
Interactif
Troisième place : Jean-Simon Lavoie-Albert, Clarissa Tremblay-Filion et Catherine Gingras.
Comptabilité
Troisième place : Haya Alshaer, Ali Hassan et Rosemary Ashlie
L’École de gestion Telfer a aussi remporté la deuxième place pour la Coupe académique ainsi que la première place pour la Meilleure amélioration.
Les étudiant(e)s ayant participé aux Jeux du Commerce cette année ont de quoi être fier(ère)s après avoir si bien représenté leur école avec une récolte de pas moins de 10 podiums!
- Catégorie : Annonces Telfer
Les étudiants de 4e année du B.Com. ont complété leur projet final respectif dans le cadre de leur cours intégrateur du trimestre d'automne 2020. En équipe, les étudiants ont dû mener et présenter un projet qui visait à cibler un problème précis liée à une véritable entreprise. Ce semestre, les finalistes de chaque discipline ont présenté leur travail de manière virtuelle, en utilisant des vidéoconférences pour présenter leur travail devant un panel composé de professionnels et de professeurs.
Compétition de marketing Michel Cloutier
Le 8 décembre dernier, l'École de gestion Telfer présentait la compétition de marketing Michel Cloutier, une compétition de cas où les étudiants de marketing de 4e année présentent un plan de marketing qui vise à résoudre un problème d'affaires réel pour une entreprise existante. Cette année, l'organisation étudiée était le Rideau Canoe Club.
Félicitations à l'équipe gagnante : Aleksandra Romanowski, Amanda Lanteigne, Laura Tran, Maria Sokolov, Marianne Couture-Benitez et Reema Radia.
Compétition du cours intégrateur en finance
Tous les étudiants de finance doivent suivre le cours d'Évaluation d’entreprises dans lequel ils effectueront une analyse de cas qui consiste à évaluer la valeur d’une entreprise pour ensuite proposer des mesures visant à améliorer son rendement économique. Le 9 décembre, 5 équipes ont dû présenter virtuellement leurs résultats concernant l'évaluation d'Aritzia devant un panel de juges de Fiera Capital et de BMO Capital Markets, ainsi que devant l' enquêteur privé et ancien professeur Allan Riding, le fondateur du cours. Les juges ont été très impressionnés : « La qualité des présentations des étudiants était extrêmement impressionnante! J’ai eu de la difficulté à établir mon classement, » a mentionné l’un des juges invités.
Félicitations aux gagnants : Justin Abraham, Julia Magahey, Liam Woodside.
Compétition du cours intégrateur en comptabilité (section en français)
Le 25 novembre dernier, les équipes finalistes de la section en français de la compétition de cas de comptabilité ont présenté leur analyse d'une entreprise et leur rapport sur les questions comptables devant un panel de professionnels et leurs pairs. Cette année, le cas était basé sur une société fictive, et le concours était commandité par CPA Ontario et Logan Katz.
Félicitations à l’équipe gagnante de la section en français de la compétition de cas de comptabilité : Gabriel Baril-Lavoie, Guillaume Forget, Julien Lafleur, Mike Sirhan, Kevin Wilson.
Sous-catégories
La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez