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- Catégorie : Diplômés aux commandes
Pouya safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa, Récipiendaire de le prix Jeune Phénix
Le prix Jeune Phénix, créé à l'occasion du 30e anniversaire de l'École de gestion Telfer, reconnaît l'excellence de jeunes diplômés (moins de 40 ans) ayant relevé d'importants défis dans une courte période de temps.
On me fait l’honneur de me remettre le prix Jeune Phénix, et j’en suis reconnaissant. Je dois toutefois dire que toutes mes réalisations sont le fruit des occasions qui m’ont été offertes, en particulier à l’École de gestion Telfer. Je n’en reviens pas de la confiance qu’on m’y a manifestée.
Peu après la fin de mon MBA à Telfer, on m’a offert d’aider à améliorer le volet d’apprentissage expérientiel des cours de finance du B.Com. pour mieux préparer les diplômés à assumer divers rôles dans le monde de la finance. L’École Telfer m’a aussi accueilli comme chargé de cours et professeur à temps partiel. Les connaissances et l’expérience que j’ai acquises m’ont ensuite permis de décrocher le poste de directeur associé de l’Institut de développement professionnel de l’Université d’Ottawa.
Les cours que je donne au premier cycle portent sur l’éthique, la durabilité et la responsabilité sociale, des choses d’une importance vitale en finance et en innovation. L’innovation est autant le produit de l’égalité des chances que du savoir-faire technologique et de l’excellence scientifique. Je crois que le Canada peut atteindre à la fois l’excellence et l’égalité des chances en s’appuyant sur ses fondements multiculturels.
En fait, notre pays peut devenir un chef de file de l’innovation en veillant à ce que les nouveaux Canadiens aient la chance de bien s’intégrer, à ce que tous les Canadiens aient la possibilité d’ajouter des cordes à leur arc par la formation continue et à ce que les jeunes Canadiens n’aient pas à s’exiler pour poursuivre leurs objectifs professionnels et leurs projets d’entreprise.
La pandémie de coronavirus est un type particulier d’ouverture. Personne ne l’a voulue et, pourtant, elle provoque beaucoup de changements rapides, entre autres dans nos méthodes de travail. Très bientôt, de nombreuses occasions d’améliorer les choses se présenteront. Le Canada doit les saisir pour devenir plus juste, plus équitable et plus vert. J’encourage les étudiants et étudiantes de Telfer à prendre part au mouvement.
Pour ce faire, voici cinq leçons que j’ai apprises : premièrement, visez le bonheur, et non la richesse. Le bonheur fait ressortir nos meilleures qualités. L’argent suivra. Deuxièmement, ne vous comparez pas aux autres : vous aurez plus de succès en suivant votre propre chemin. Troisièmement, lorsque ce sera de nouveau possible, voyagez pour élargir vos horizons. Quatrièmement, continuez à apprendre après avoir eu votre diplôme. Enfin, cinquièmement, trouvez une cause qui vous tient à cœur et à qui vos connaissances pourraient être utiles. Votre chance vous attend. Ne la laissez pas filer.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Pouya Safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada passe par un partage plus équitable des ressources de notre pays entre les Canadiens eux-mêmes et avec les pays pauvres. Au Canada, le partage est une attitude, fondée sur l’inclusion et la tolérance. C’est aussi une action : régler nos désaccords de façon pacifique et réunir les contributions de toutes sortes de gens pour résoudre nos problèmes.
À l’étranger, les possibilités de partage sont infinies. J’ai géré des hôpitaux à Thunder Bay, Hamilton, Wingham et Pembroke. À ma retraite, ma femme et moi avons commencé à diriger des équipes de bénévoles canadiens pour améliorer les infrastructures hospitalières en Tanzanie. Au cours des 15 dernières années, en collaboration avec l’Alliance de santé communautaire Canada-Afrique (organisme affilié à l’Université d’Ottawa), nous avons supervisé 16 missions réunissant 120 bénévoles canadiens. Ces bénévoles ont travaillé 500 semaines à 25 projets d’amélioration des hôpitaux totalisant plus de 300 000 $ en dons.
Aider les autres est une source de satisfaction personnelle et professionnelle. C’est le genre de travail qu’on se sent bien de faire comme Canadien. C’est aussi ce qui nous rend meilleurs comme pays. Le Canada est vu comme un pays pacifique qui aborde les problèmes de façon non partisane. Cette approche impartiale, fondée sur le partage de nos connaissances avec les personnes les plus affectées et vulnérables, et une denrée rare aujourd’hui.
Cette approche est sans doute plus nécessaire que jamais. La pandémie de coronavirus a montré à quel point le monde est interconnecté et donc à quel point nous sommes vulnérables et dépendons les uns des autres. Comme Canadiens, nous avons bâti un système de santé universel conçu pour permettre à tous de vivre en meilleure santé. Nous devons continuer de soutenir et d’améliorer ce système.
La maîtrise en gestion des services de santé de Telfer a beaucoup contribué à la valorisation de la profession. C’était vrai quand j’ai obtenu mon diplôme en 1973, et ce l’est encore aujourd’hui. En 50 ans de carrière en santé, certains de mes outils et méthodes ont évolué, mais les principes fondamentaux demeurent : l’utilisation des données et la planification stratégique, le leadership et le travail d’équipe, la bienveillance et le partage.
L’École Telfer m’a aussi donné des camarades de classe à qui j’ai pu demander de l’aide et des conseils. J’encourage les étudiants et étudiantes de la maîtrise en gestion des services de santé de Telfer à garder le contact avec leurs camarades de classe. En faisant votre chemin dans le système de santé, vous en viendrez à comprendre que vous et votre organisation avez besoin des autres. En tant que dirigeant, vous devez vous mettre au centre d’un environnement organisationnel fondé sur le partage : le partage entre votre organisation et les autres, et entre le système de santé et les gens qu’il sert.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke.
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Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Le Canada est un pays de plus en plus marqué par la diversité. Plus que jamais, des gens nous
arrivent de partout, riches de parcours variés et de vastes bagages d’expériences et de
connaissances. C’est beau à voir et il faut que ça continue. Toutefois, la diversité elle-même
ne représente qu’une partie de l’équation.
Il faut aussi travailler sur l’inclusion. Un Canada véritablement équitable, c’est un pays où des
gens de tous les horizons et de toutes les couleurs participent activement aux actions et aux
décisions à tous les niveaux de la hiérarchie de nos entreprises, de nos organismes et de nos
institutions publiques.
La fonction publique, en particulier, se doit d’être plus inclusive. Une fonction publique
vraiment représentative de sa clientèle créera des politiques plus éclairées, offrira un meilleur
service et gagnera durablement la confiance des Canadiens et Canadiennes par son efficacité
et son ingéniosité. La diversité et l’inclusion sont bonnes pour les affaires, un point c’est
tout, car elles vont souvent de pair avec le succès et la résilience.
Pour moi, l’inclusion dans la fonction publique est aussi une conviction personnelle. Je suis
la fille d’immigrants haïtiens et la première personne noire à atteindre le rang de sous-
ministre dans la fonction publique fédérale. J’ai commencé comme étudiante dans un poste
de ressources humaines il y a plus de 30 ans. Je suis depuis peu sous-ministre déléguée à
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ce dont je suis extrêmement fière. Pourtant, je
me pose la question : pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps?
Tout le monde se pose ce genre de question ces temps-ci. La pandémie de coronavirus —
qui a affecté tant de gens, et en particulier les populations vulnérables — et les appels
pressants à la justice sociale ont provoqué un examen de conscience au Canada et dans la
fonction publique. Mes collègues et moi tenons à ce que la représentation, les politiques, les
programmes, les services et les organisations au fédéral reflètent la diversité de la population
et répondent à ses besoins les plus pressants, et nous travaillons en ce sens. J’ai moi-même le
devoir et le privilège de veiller à ce que les portes restent grandes ouvertes pour les
personnes comme moi.
Mon B.Com. de Telfer m’a appris à tirer parti des occasions qui se présentent, surtout dans
les moments difficiles. Pendant mon congé parental en 1995, j’ai utilisé mes connaissances et
mes compétences entrepreneuriales pour cofonder The Bagel Run, inc. — la première
fabrique de bagels montréalais cuits au four à bois d’Orléans (Ontario) —, toujours en
activité 25 ans plus tard. Aujourd’hui plus que jamais, il est important que les étudiants et
étudiantes de Telfer mettent leurs connaissances et leurs compétences au service de leurs
communautés. Prenez acte de la nouvelle réalité. Repérez les possibilités. Puis faites-vous un
plan et agissez pour bâtir un meilleur Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada, c'est un Canada plus empathique. Mon entreprise, QMR Consulting
and Professional Staffing, cultive l’empathie pour offrir un milieu de travail agréable à ses
employés et entretenir des relations fructueuses avec ses clients. Premièrement, chez nous,
l’empathie est une exigence à l’embauche. Lorsque nous avons un poste à pourvoir, nous
cherchons des candidats qui manifestent une volonté d’écouter les autres et d’apprendre de
leurs points de vue et expériences.
Deuxièmement, l’empathie est une chose que nous pratiquons au quotidien, ce qui
commence par prendre le temps d’écouter nos collègues et nos clients pour bien
comprendre leurs problèmes, leur réalité et leurs circonstances. J’ai découvert qu’écouter
attentivement au lieu de se borner à réagir est une marque de respect, de compassion et de
bienveillance, autant de valeurs au cœur de l’empathie.
Nous encourageons aussi nos employés à savourer les bons moments de leurs journées.
Lorsqu’ils font quelque chose de bien pour un client, leurs collègues ou eux-mêmes, nous
voulons qu’ils prennent le temps d’en ressentir la satisfaction au lieu de passer tout de suite à
la prochaine tâche. Et aussi qu’ils expriment leur gratitude pour les petites ou grandes
réalisations des autres.
L’expression efficace des émotions est une autre qualité empathique que nous prisons. Au
travail, on ne s’emporte pas : tout problème, quelle que soit sa gravité, a sa solution. Chacun
d’entre nous s’attend à ce que les autres assument leurs responsabilités et apprennent de
leurs erreurs, mais il est toujours intéressant de constater à quel point les conversations et les
relations s’améliorent dans une entreprise lorsqu’on donne la chance aux employés
d’exprimer leurs émotions de façon constructive.
La pandémie de coronavirus a renforcé mon appréciation de l’empathie. Elle a mis en relief
notre obligation commune de nous mettre à l’écoute des plus vulnérables d’entre nous et
d’apprendre d’eux si on veut faire avancer le Canada plutôt que retourner à l’ancienne
« normale ».
Ma relation avec l’École de gestion Telfer m’a aussi donné une meilleure compréhension de
cette qualité essentielle. L’École m’a non seulement permis d’acquérir des connaissances
indispensables au programme de MBA, mais m’a aussi offert des expériences enrichissantes
comme PDG en résidence, président du conseil consultatif du doyen et, surtout, mentor
auprès des étudiants. J’encourage les étudiants à profiter des avantages sur le plan personnel
et professionnel que procure le fait de prendre son temps et d’écouter attentivement, de faire
preuve de gratitude et de bienveillance, et de cultiver l’empathie pour bâtir un meilleur
Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 7 août 2020 avec Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing.
- Catégorie : Actualités
Le temps est arrivé pour une autre session d’automne, mais celle-là sera sans pareil, car elle sera 100 % virtuelle. Nous voulons que cette session se passe à merveille et sans problèmes pour vous, donc nous avons compilé une liste d’outils et de ressources clés dont vous aurez besoin pour l’apprentissage en ligne.
La liste des indispensables pour l’école en ligne
Vous aurez besoin de tous les éléments suivants afin de commencer votre session d’automne virtuelle.
- Ordinateur et système d’exploitation : un ordinateur personnel fonctionnant avec Windows 7 ou une version plus récente, ou un ordinateur Mac d’Apple fonctionnant avec macOS 10.12 ou une version plus récente.
- Espace de mémoire : vous aurez besoin d’au moins 2 Go de mémoire vive disponible sur votre ordinateur.
- Connexion internet : vous devez avoir accès à une connexion internet avec une force de signal d’au moins 2 Mbit/s (5 Mbit/s ou plus recommandé). Vous pouvez faire un test de connectivité, ici.
- Microphone et caméra : vous en aurez besoin sur votre ordinateur afin de parler et d’être vue durant les téléconférences et les classes en ligne.
- Suite bureautique Microsoft Office : le logiciel Office 365 est offert à tou.te. s les étudiant. e. s de l’université comme faisant partie de leurs droits de scolarité. Cela inclut, Microsoft Word, PowerPoint, Excel et Teams. Vous pouvez y accéder, ici pour le télécharger.
- Microsoft Teams (MS Teams) est un hub numérique qui rassemble les conversations, le contenu et les applications en un seul endroit. Au sein de MS Teams, les étudiants peuvent dialoguer rapidement avec les professeurs et avec d’autres étudiants, partager des fichiers, créer un bloc-notes OneNote pour la classe, voir leurs devoirs et leurs notes. Ce service peut être intégré à la suite Office 365 et des extensions de fonctions permettent de l’intégrer à des produits non Microsoft.
- Adobe Connect : Adobe Connect permet à vos invités d’assister facilement à vos réunions ou vos cours sans la nécessité de télécharger un client et offre une collaboration complète sur les appareils mobiles. Il sera utile pour certains de vos cours. Il y a même une application mobile téléchargeable sur votre téléphone ou tablette. Plus d’info sur comment y accéder, ici.
- Adobe Acrobat Reader : ce logiciel permet d’ouvrir, d’afficher, de commenter et d’imprimer des documents PDF, et il est offert par Adobe gratuitement, ici.
- Logiciel antivirus : Sophos Endpoint Protection est un antivirus recommandé et offert gratuitement par l’université, accessible ici.
- Accès à uoZone : vous pouvez facilement accéder au portail des étudiants de l’université et à plus d’outils en ligne à travers uOZone. Vous avez accès à vos données personnelles, à vos finances, vos infos scolaires, les dates importantes et mises à jour et bien plus encore.
- Accès à Brightspace : Brightspace est notre campus virtuel que vous pouvez accéder via uOZone. Ce portail vous permet de consulter tous vos cours et les mises à jour, les notes de cours, le plan du cours et d’autres documents importants partagés par les professeurs.
Si vous avez des questions ou besoin de soutien technique, vous pouvez contacter uOttawa soutien TI ici ou Telfer soutien TI ici.
Outils supplémentaires gratuits
Nous vous recommandons quelques outils utiles supplémentaires qui peuvent vous aider à augmenter votre productivité, à gérer vos travaux scolaires, à faciliter vos projets d’équipe et à organiser vos notes de cours.
- Mural : Mural est un outil visuel collaboratif en ligne qui est utilisé pour le remue-méninges, pour prioriser des tâches ou concevoir un projet. Vous pouvez commencer avec un tableau blanc où vous pouvez glisser-déposer vos idées à l’aide des icônes et autres outils disponibles, ou utiliser un de leurs gabarits.
- Canva : Canva est une plateforme de conception visuelle utilisée pour créer facilement des supports visuels, des arrière-plans pour MS Teams, des simulations d’annonces publicitaires, des logos et bien plus encore. Sa fonction glisser-déposer, ses images gratuites et icônes et sa collection illimitée de gabarits vous feront gagner du temps et stimuleront votre créativité.
- Otter : Otter est une application qu’on peut utiliser individuellement ou avec Teams pour transcrire et conserver des notes de réunion, retranscrire des discussions de classe en notes et configurer des rappels sur votre calendrier. Il peut aussi être intégré à d’autres plateformes telles que Dropbox, Google et Microsoft.
À l’aide de tous ces outils et ressources, vous serez sur la bonne voie pour une expérience d’apprentissage à distance productive et efficace.
- Catégorie : La voix des étudiants
Choisir une université peut sembler très facile, mais ceux qui y sont passés savent que c’est une décision extrêmement difficile à prendre. Ce qu’offre une école sur le plan académique est important, mais tu dois aussi tenir compte des éléments parascolaires dans ta décision. Cela te permet de t’inscrire à une école qui s’harmonise à ta personnalité et ton style de vie.
Étant donné que choisir une université est une grande décision, tu dois prendre ton temps pour bien chercher et comparer tes options. Ça tombe bien, car j’ai fait une liste pour te conseiller sur comment choisir une université. Lors de tes recherches, n’oublie pas de prendre en compte non seulement tes besoins à court terme (première année), mais aussi tes objectifs à long terme (deuxième, troisième et quatrième année).
1. Informe-toi sur le programme
La chose la plus importante à faire lors du choix d’une université est le programme. Après avoir trouvé ton programme, il est important de comparer les différentes universités. Par exemple, l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa offre une séquence de cours différente de l’Université de Guelph dans son programme de baccalauréat en sciences commerciales. De plus, tu dois tenir compte des possibilités de stage que les écoles peuvent t’offrir et de la possibilité de participer à un programme coopératif, si cela t’intéresse. Il est essentiel lorsque tu prends ta décision que tu sois informé des différences entre les programmes de ton choix dans toutes les universités que tu envisages de fréquenter.
2. Utilise les classements des universités pour te guider
Après avoir fait des recherches sur le programme, il est important que tu te renseignes sur la réputation des universités que tu as sélectionnées. Pour ce faire, tu dois d’abord choisir les facteurs qui sont les plus importants pour toi. Que ce soit pour classer la réputation nationale, l’expérience étudiante ou les activités parascolaires, l’outil de classement « Build Your Own Ranking » de Maclean’s est le meilleur moyen de comparer les classements des universités.
3. Informe-toi sur le mode de vie
Un autre facteur important à prendre en compte lors du choix d’une université est le mode de vie, notamment les activités parascolaires telles que les sports, les clubs et les activités proposées sur le campus. Pour certains étudiants, ces activités parascolaires façonnent leur expérience universitaire. Si c’est ton cas, il est extrêmement important de faire des recherches sur ce sujet avant de prendre une décision. La plupart des universités disposent d’une page consacrée aux activités parascolaires proposées sur leur campus. Le style de vie comprend également l’ambiance de la vie hors campus. Il peut être difficile de s’informer sur la vie hors campus, mais la meilleure façon d’en apprendre davantage sur le sujet est d’en discuter à un ami ou à une personne avec qui tu communiques et qui fréquente ou a fréquenté l’université.
4. Informe-toi sur le campus et les installations et ressources offertes
L’atmosphère du campus est extrêmement importante, car tu vas y passer au moins les quatre prochaines années. La première chose à faire est de décider si tu veux fréquenter une petite université ou une plus grande université. Une fois que tu as pris ta décision, tu devrais faire de petites recherches sur chaque campus. Surtout sur les bâtiments (en particulier celui qui est propre à ta faculté) ainsi que sur les installations telles que les gymnases, les bibliothèques, les résidences, les services de restauration, etc. Parallèlement, il est important de te familiariser avec les ressources offertes sur le campus. Notamment les services d’orientation, les services d’aide scolaire, les services de santé, etc.
Faire tout ça peut sembler énorme, mais te familiariser avec le campus t’aidera à prendre la bonne décision pour toi. La meilleure façon de faire des recherches est de découvrir le campus et de participer à une visite organisée par l’université. Si tu n’es pas en mesure de le faire, assure-toi de faire des recherches approfondies. Plusieurs universités proposent même des visites virtuelles de leur campus!
5. Informe-toi sur la ville où se trouve l’université
Une fois que tu auras choisi une université, tu vivras dans cette ville pendant au moins quatre ans. Il est donc important de t’informer sur ce qu’elle offre! Oui, y compris des choses à faire avec des amis, comme des endroits pour manger. Cela comprend aussi des choses essentielles comme les épiceries, les transports en commun et d’autres services importants. Réfléchis à tes besoins et détermine si la ville y répond. Voici deux sites web qui pourront t’aider dans tes recherches : Tripadvisor et Yelp.
6. Informe-toi sur les bourses d’études offertes par tes universités de choix
Obtenir de l’aide financière pour les études postsecondaires peut être long, donc fais-le le plus tôt possible. Lis « six conseils pour recevoir des bourses d’études », cela en vaut la peine. Il existe plusieurs voies de financement, notamment les subventions, les bourses et les prêts étudiants, entre autres. En général, les subventions et les bourses n’ont pas à être remboursées tant que tu remplis les exigences requises pour en bénéficier. Les prêts étudiants doivent être remboursés. Des outils d’aide financière pour les étudiants canadiens se trouvent dans le guide Smart Student Guide to Financial Aid ; cette source comprend des programmes d’aide financés par les provinces. Scholarships Canada est une base de données consultable contenant des milliers de bourses d’études et de prix pour les étudiants qui entament leur première année d’études postsecondaires au Canada.
Choisir une université est extrêmement difficile. En faisant tout ce qu’il y a sur la liste ci-dessus, tu seras suffisamment préparé pour prendre une décision quand viendra le temps. En tenant compte de ces facteurs, je suis sûre que tu trouveras l’université qui te convient le mieux.
Après avoir lu cet article, j’espère que tu auras un peu plus d’indications pour faire tes recherches. Si tu ne sais pas par où commencer, je te suggère de commencer par consulter le carrefour de Maclean’s Education, où tu trouveras toute une série d’information concernant les études, l’argent, la vie étudiante et les classements.
- Catégorie : La voix des étudiants
Si tu es un étudiant en gestion ou un étudiant à l’Université d’Ottawa, tu as sûrement entendu parler des JDCC (Jeux du Commerce Central).
Certains de tes amis t’ont probablement raconté le plaisir des jeux sportifs, des compétitions ou de la cérémonie dansante de leur séjour aux JDCC.
Alors, que sont les JDCC?
Les Jeux du Commerce Central (JDCC) sont une compétition de cas régional où des écoles de gestion canadiennes se disputent la victoire. Elle est organisée par l’Association des écoles de gestion du Canada (AEGC), l’organisation mère qui travaille avec les associations étudiantes de chaque école de gestion au Canada.
Pour ce genre de compétition, chaque école membre de l’AEGC réunit des candidats pour coordonner une délégation. Lors des JDCC, l’École de gestion Telfer se mesure à plus de 11 écoles en Ontario, notamment la Lazaridis School of Business and Economics de l’Université Wilfrid Laurier, la Lang School of Business and Economics de l’Université de Guelph, la Sprott School of Business de l’Université Carleton, et bien d’autres encore. Tous les ans, la compétition a lieu dans une des écoles membres, ce qui permet aux participants de visiter des campus universitaires à travers le Canada. Les étudiants peuvent participer à plusieurs disciplines soit dans le volet académique, sportif ou social.
Le déroulement de la compétition
Pour les épreuves du volet académique, les écoles participantes envoient une équipe de trois étudiants se mesurer à d’autres équipes dans des catégories spécifiques en gestion telles que le marketing, la comptabilité, la stratégie, la gestion des ressources humaines, l’innovation entrepreneuriale, etc. Les équipes disposent de trois heures pour procéder à une résolution de cas, qu’elles présentent ensuite à un groupe de juges. La présentation dure 20 minutes et la période de questions dure 15 autres minutes.
Lorsque toutes les présentations sont finies, les juges (généralement un commanditaire) déclarent qui a remporté la première, la seconde et la troisième place pour chaque catégorie. Pendant la cérémonie de remise des prix, l’AEGC nomme les gagnants de chaque catégorie et distribue des prix individuels et d’équipes.
Pour les épreuves du volet sportif, des équipes de huit personnes s’affrontent à plusieurs sports comme le basketball et le spikeball. On donne des points aux délégués pour leur performance, et aux délégations sur les bancs qui les encouragent.
Pour les épreuves du volet social, des équipes de quatre participent à des défis aléatoires au courant de la journée. Par exemple, de l’improvisation, de la danse, des débats oratoires, des résolutions de cas surprises, etc. Pour ces défis, on accorde des points pour l'enthousiasme, l’esprit d’équipe et la qualité artistique des costumes.
La compétition a lieu à chaque année en janvier et dure quatre jours. Les dernières compétitions ont eu lieu à l’Université de Guelph (Guelph, Ontario) et à l’Université de Brock (Saint Catherines, Ontario). Lors des derniers jeux, l’équipe de Telfer comptait 46 étudiants et a remporté trois prix : un en gestion des ressources humaines, un en débat oratoire et le dernier pour le cas wildcard.
Les cartes VIP sont des prix de reconnaissance individuelle qui sont attribués aux meilleurs présentateurs. Les bénéficiaires de ces cartes sont souvent choisis par les juges; et ceux qui en possèdent une participent à un événement de réseautage exclusif.
En dehors des épreuves, les écoles participent également à d'autres activités récréatives telles que des événements sociaux et des danses.
À l’École de gestion Telfer, la délégation des JDCC est gérée par le Comité compétitions Telfer (CCT). Le CCT recrute les étudiants, rend possibles les entraînements, le coaching et commande des produits pour l’équipe. Le CCT organise également la compétition de cas interne de Telfer, qui est une bonne occasion pour recruter de nouveaux membres pour le volet académique des JDCC.
Si développer tes techniques de présentation, te faire de nouveaux amis et participer à des épreuves t’intéresse, tu ne voudras pas manquer la chance de participer aux JDCC!
Tu peux consulter les résultats de Telfer aux derniers JDCC, ici.
N’hésite pas à me contacter si tu as des questions sur mon expérience aux JDCC.
- Catégorie : La voix des étudiants
L’Université d’Ottawa est réputée pour être la plus grande université bilingue au monde. Le régime d’immersion en français de Telfer t’offrira d’innombrables possibilités. Faire partie de ce régime m’a permis d’acquérir une expérience unique.
La raison première de poursuivre ses études dans le cadre du programme d’immersion en français de Telfer est la mise à disposition de plusieurs bourses. Deuxièmement, cette option offre une variété de cours qui lui est particulière. Pour finir, faire ses études en immersion française permet d’accéder à de nombreuses perspectives d’emplois dans le monde entier.
Bourses et concours
Imagine être payé pour étudier! Non seulement tu approfondis tes connaissances du français grâce au programme d’immersion, mais tu peux aussi recevoir des bourses de 1000 $ annuellement. Cette bourse est offerte à tous ceux qui répondent aux exigences de base. De plus, l’Université d’Ottawa organise de nombreux concours pour encourager la participation des étudiants du secondaire, qui ont la chance de recevoir une bourse pour faire leurs études en immersion française. En 4e secondaire, j’ai eu la chance de participer au concours de vidéoclip de l’Association canadienne des professionnels de l’immersion sur « Comment le français a changé ma vie » organisé par l’Université d’Ottawa. J’ai fini deuxième au Canada avec une bourse de 8 000 $. Gagner cette bourse a largement influencé ma décision de m’inscrire au programme d’immersion en français du baccalauréat en sciences commerciales/Juris Doctor. Je suis très fière d’être bilingue.
Des cours uniques
Un deuxième avantage du régime d’immersion en français est le fait qu’il offre la possibilité de suivre un cours supplémentaire qui complète un cours obligatoire en administration (affaires). Les étudiants qui sont inscrits à un cours en administration obligatoire peuvent choisir de suivre un cours de français équivalent pour les aider à acquérir de solides compétences en français. Ce cours supplémentaire d’immersion en français donne droit à 3 crédits qui comptent comme un cours au choix hors faculté. C’est une excellente façon de permettre aux étudiants de Telfer de suivre certains cours à option tout en améliorant leurs compétences en français.
Perspectives de carrières
Le troisième avantage d’étudier dans le programme d’immersion en français de Telfer est la possibilité des nombreuses perspectives de carrière qui s’offrent aux étudiants. La région de la capital nationale dispose d’une abondance de possibilités d’emplois au gouvernement du Canada. Les employeurs potentiels recherchent souvent des étudiants qui parlent français. Les étudiants qui parlent français sont plus attrayants et ont des options de carrières infinies. La maîtrise du français facilite les chances de travailler à l’international et de créer un réseau de contacts professionnels à travers le monde.
Résumé
Participer au programme d’immersion en français de Telfer est un atout précieux qui engendre des possibilités illimitées pour les étudiants. Poursuivre ses études en français offre plusieurs options aux étudiants dans le monde des affaires d’aujourd’hui. Faire l’apprentissage du français apporte de nombreux avantages tels que des options de bourses variées, une sélection unique de cours, et enfin, les étudiants seront plus attrayants aux yeux des employeurs potentiels. Maintenant que tu connais les avantages de faire tes études en immersion française, fait le saut et inscris-toi au programme d’immersion en français à Telfer pour de meilleures perspectives de carrières. Le Canada est un pays bilingue, donc pourquoi ne pas suivre la voie de la réussite en allant de l’avant avec des études en français?
- Catégorie : La voix des étudiants
Tu en as assez d’étudier aux mêmes endroits sur le campus? Tu cherches un nouvel endroit plus classe où étudier? Un endroit où tu peux savourer un espresso onctueux, déguster un bagel frais, manger une tarte faite-maison ou même à un buffet végétarien? Ne cherche plus.
Ce qui suit est l’ultime liste des neuf meilleurs endroits où étudier à Ottawa. Elle a été conçue pour inciter même l’étudiant le moins motivé à étudier.
The Green Door
198, rue Main
The Green Door est l’endroit parfait pour manger de la nourriture végétarienne de bonne qualité quand tu étudies. On en trouve seulement un à Ottawa et il est tout près de Sandy hill, donc facile d’accès pour la plupart des étudiants de l’Université. Bien qu’il s’agisse principalement d’un buffet où l’on doit payer au poids et où tu trouveras des aliments essentiellement sans gluten, végétaliens et biologiques, c’est aussi un lieu très décontracté avec beaucoup d’espace pour étudier. Il y a beaucoup de bruit et de gens aux heures de pointe, alors pour éviter d’être distrait, apporte des écouteurs et écoute ta musique préférée pour étudier.
Photo sur : https://www.happycow.net/reviews/green-door-ottawa-1326/images?sortby=date-desc
Les Moulins Lafayette
1000, rue Wellington Ouest
Les Moulins Lafayette est une nouvelle boulangerie qui vient d’ouvrir en 2018 à Hintonburg et pourtant c’est un des meilleurs cafés où je suis allé. Non seulement ils jouent de la bonne musique et offrent un bel environnement de travail, ils ont aussi le meilleur café et les pâtisseries les plus haut de gamme que j’ai jamais dégustées. C’est une boulangerie, donc elle offre une meilleure variété de croissants, muffins et biscuits qu’un café habituel et elle est située en face d’une brasserie artisanale et d’un LCBO pour quand tu as terminé d’étudier.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/les-moulins-la-fayette-ottawa
Kettleman’s
912, rue Bank, 1365, av. Woodroffe, 6-197, promenade Trainyards
Cette boulangerie à bagel est très réputée, car elle est situé au même endroit, dans le Glebe, depuis 25 ans. Elle se trouve sur cette liste parce que c’est un endroit silencieux et calme pour étudier, qui est ouvert 24 h/24, 7 j/7 et offre du remplissage de café gratuit. C’est pour ces deux raisons que cet endroit est la meilleure option pour une longue et intense séance d’étude. Le magnifiques fenêtres laissent passer la lumière naturelle du soleil et on peut y voir clairement le processus de création des bagels et le tohu-bohu sur la rue Bank. Il dispose également d’un personnel sympathique. Le seul inconvénient est que la musique y est très forte, alors assure-toi d’apporter des écouteurs de qualité afin de pouvoir être en paix.
Photo sur : http://jvlphoto.com/ottawa-commercial-photography-kettlemans/jvlphoto-photographer-kettlemans-34-edit/
Morning Owl
229, rue Armstrong, 538, rue Rochester, 219, av. Laurier Est et autres
Morning Owl est une chaîne de café local situé ici à Ottawa. On compte 7 emplacements à travers Ottawa, et ils ont des boissons et des bouchées délicieuses et uniques, comme le latte « white rabbit ». On peut toujours compter sur Morning Owl pour un environnement d’étude formidable, avec sa déco chic et confortable. Une autre chose qui fait du Morning Owl une bonne place pour étudier est le fait que chacun des cafés a une ambiance différente qui correspond au quartier dans lequel ils se trouvent, alors assure-toi de visiter les différents endroits en ville.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/morning-owl-coffee-house-ottawa-2
Life of Pie
1134, rue Bank
Au lieu de te contenter du flot incessant de gens au Starbucks de Desmarais ou dans tout autre café du campus, fais-toi plaisir avec un café et une tarte maison. Life of Pie est une adorable boulangerie familiale où l’on peut trouver des tartes maison (qui sont à tomber par terre) de plusieurs saveurs ainsi que des quiches, des soupes et des salades. Je te recommande d’étudier ici, car bien qu’elle soit petite, on y est très à l’aise, le personnel est sympathique et l’odeur fantastique des tartes fraîchement sorties du four te donne envie d’y rester toute la journée.
Photo sur : http://lifeofpie.ca/about-us/
L’Art House Café
555, rue Somerset Ouest
L’Art House Café est un café agréable, rempli d’art, qui offre des espressos, des plats légers, des pâtisseries, ainsi que des places assises dehors. C’est un endroit qui te donnera courage et un sens d’appartenance dans les moments difficiles. La saison des examens est difficile? Détends-toi et admire de l’art local. Si tu te sens particulièrement épuisé (ce qui arrive souvent), l’Art House Café te propose du café à 5 $ jour et nuit. Leur menu comporte également une variété séduisante de cocktails au café chaud comme leur Chai corsé, le Amaretto Latte et le Chocolat chaud au Bourbon.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/the-art-house-cafe-ottawa
La Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank, et autres
Besoin de silence absolu pour étudier? La Bibliothèque publique d’Ottawa est l’endroit qu’il te faut. Il y a une connexion Wi-Fi gratuite et de nombreuses succursales dans toute la ville. Si c’est une séance d’étude où tu as besoin de réfléchir et de bien comprendre, à l’opposé de copier des notes sur PowerPoint, c’est un choix judicieux, car il n’y aura absolument rien pour te distraire.
Equator Coffee
1, rue Elgin
Tu as besoin d’un endroit pour travailler qui est plus spacieux que les cafés traditionnels? Le Equator Coffee du Centre national des Arts est l’endroit qu’il te faut. Le personnel est très sympathique, l’atmosphère est chaleureuse, mais demeure plein de vivacité et il y a de délicieuses boissons et gâteries. Il ferme à 16 h, mais le CNA a beaucoup d’espace qui reste ouvert au public de 6 h à minuit avec du Wi-Fi gratuit! Situé dans l’un des plus beaux et plus esthétiques quartiers du centre-ville d’Ottawa, tu as vraiment l’impression d’étudier pour un but précis. Le café et le CNA ont une grande variété de sièges, donc si tu es inconfortable où tu te trouves, il y a des tonnes d’options pour t’aider à étudier.
Suzy Q’s Doughnuts
969, rue Wellington Ouest
Cet endroit est l’un de mes coups de cœur. Bien qu’il soit déjà très populaire, je me dois de recommander ce café, à l’odeur enivrante de beignets fraîchement préparés, pour étudier. Je trouve que cet endroit est chaleureux, tant par la température que par le tempérament du personnel. Leur sélection de nourriture et de boissons est fantastique et leur eau en libre-service rend les choses un peu moins gênantes si tu prévois y rester longtemps. C’est un endroit très fréquenté, mais on s’y sent bien et il est idéal pour étudier si tu peux tolérer des bavardages inaudibles ou si tu as des écouteurs.
Photo sur : https://www.pinterest.ca/pin/72339137740303531/
Les endroits mentionnés ci-dessus sont parmi mes endroits préférés pour étudier et j’espère que tu auras la chance d’en visiter quelques uns. Maintenant que tu as une liste des neuf meilleurs endroits pour étudier à Ottawa, va les découvrir, profites-en et termine tes études avec classe!
- Catégorie : La voix des étudiants
Est-ce que le programme coop est fait pour toi? Si oui, pour quelle entreprise devrais-tu travailler? Pour quel type de poste devrais-tu postuler? Que dois-tu faire pour tirer le maximum de ton expérience de travail?
Bien qu’il n’y ait pas de bonnes ou mauvaises réponses à ces questions, les tiennes pourraient avoir une incidence importante sur ton futur. De ce fait, prendre des décisions reliées à ton expérience de travail dans les études commerciales peut être intimidant et stressant.
En tant qu’étudiant en marketing qui entame son troisième stage coop, j’ai dû répondre à ces questions à plusieurs reprises. Chaque fois, ne sachant pas trop quoi faire, j’ai demandé de l’aide à des amis, aux conseillers du Bureau coop, à mes parents et à d’autres personnes qui ont participé au programme coop ou qui y participe présentement. À l’aide de ces expériences et des conseils qu’ils m’ont donnés, j’ai créé une liste de six choses à faire et à ne pas faire qui m’a aidé, et qui vous aidera à prendre les bonnes décisions en ce qui concerne le programme coop à Telfer.
1. Participe au programme coop
Ce n’est pas toujours facile d’acquérir de l’expérience de travail enrichissante en même temps que ses études, surtout quand la majorité des étudiants ont peu de choses à mettre dans leur CV. Selon le taux de placement de 97 % du programme coop de l’Université d’Ottawa en 2018, participer au programme t’offre de très bonnes chances de trouver un stage dans ton domaine. Non seulement le stage pourra t’aider à payer tes factures, il t’aidera à te démarquer de la concurrence dans le monde des affaires. Si tu n’es toujours pas convaincu que le programme coop à Telfer est fait pour toi, va faire un tour sur ce blogue. Il énumère de nombreuses autres raisons pourquoi les étudiants de Telfer devraient s’inscrirent au programme coop.
2. N’aie pas peur d’essayer quelque chose de nouveau
Lorsqu’il s’agit d’essayer de nouvelles choses et de découvrir ce que tu veux faire plus tard, il n’y a pas de meilleur moment pour le faire que lorsque tu es en coop. La plupart des séquences travail/études du programme coop à Telfer ont quatre stages de quatre mois chacun. Tu as donc la chance d’expérimenter sans avoir à t’engager comme tu le fais avec un emploi régulier hors de coop. Le pire qui puisse arriver est que tu réalises qu’un des stages n’est pas fait pour toi. Dans ce cas-là, tu peux aller de l’avant plus rapidement, car le stage est d’une courte durée et il te reste encore 3 autres stages pour trouver celui qui te convient le mieux. D’un autre côté, en explorant de nouveaux horizons, tu pourrais tomber sur un emploi auquel tu n’avais pas pensé. D’ailleurs, de mon expérience, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui n’avait pas tiré profit d’un de ses stages. Par conséquent, si tu veux tenter autre chose avec coop, fais-le!
3. Profite du Centre des carrières de Telfer et des services coop
Le Centre des carrières et le Bureau coop offrent tous les deux plusieurs services et ateliers qui te donnent un avantage lorsque tu postules à un stage. Ils peuvent t’aider à rédiger ton CV, te donner de bonnes techniques d’entrevue, des conseils pour t’habiller en conséquence, une orientation professionnelle et bien plus. Dans mon cas, j’ai recouru à leurs services pour perfectionner mon CV et demander de l’aide pour mon choix de stage. Tirer parti de ces services peut faire la différence entre obtenir ton premier choix de stage plutôt que le deuxième.
4. Ne postule pas à tous les postes
Si tu postules à tout, tu risques d’avoir trop d’entrevues, ou de te retrouver dans une position difficile. De ce fait, tu pourrais passer à côté d’un stage que tu aurais préféré dans la deuxième ronde. Je sais que l’incertitude d’être jumelé à un employeur peut être stressante et qu’il peut être difficile de trouver un juste milieu entre le fait de postuler à trop d’emplois et pas assez, surtout à la première ronde. Cependant, avant de poser ta candidature partout, respire et tiens compte de ce qui suit : le taux de placement du Bureau coop est de 97 % (les chances sont de ton côté); donc si tu n’es pas jumelé à la première ronde, tu peux toujours te reprendre à la seconde, et l’équipe du Bureau coop est là pour t’aider dans tes démarches.
5. Prends plusieurs opinions en considération
Lorsque tu essaies de prendre des décisions et de répondre aux questions énumérées au début de ce blogue, il est important de tenir compte de plusieurs points de vue, et de prendre les choses avec un grain de sel. Bref, il y a toujours des gens qui jurent que travailler au gouvernement c’est la meilleure chose à faire, alors que d’autres préfèrent les entreprises en démarrage ou les grosses compagnies. Les opinions sont multiples, mais il n’existe pas de solution qui convienne à tout le monde. Quand vient le temps de prendre des décisions, prends en compte les opinions et les expériences des autres, comparent-les à tes objectifs de carrière et n’est pas peur de tester tes idées.
6. N’oublie pas de profiter au maximum de ton expérience de travail
Peu importe si tu as une très bonne ou une moins bonne expérience coop et tombe sur un poste qui ne t’intéresse pas, tu devrais quand même en tirer le meilleur parti. Profite de chaque occasion qui se présente, et si aucune ne se présente, crée-les toi-même. Même si le Bureau coop t’aide à trouver un stage, c’est à toi d’apprendre de nouvelles compétences, de relever des défis et de te démarquer.
En résumé, prendre des décisions liées à ton expérience de travail dans le monde des affaires peut être stressant. Cela dit, si tu prends ton temps et profites des ressources, des possibilités et des conseils à ta disposition, ton expérience coop à Telfer ira à merveille!
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L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez