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- Catégorie : La voix des étudiants
Comment as-tu payé tes études universitaires? Que répondre à cette question? Il se peut que de généreux parents les aient financées, qu’on ait bénéficié du RAFEO, ou qu’on ait reçu un prêt bancaire. Pour plusieurs, ce n’est pas une situation très positive… eh bien! dans mon cas, oui.
Le coût des études universitaires est souvent un sujet de préoccupation pour les parents et les étudiants. L’université coûte plus cher que le collège et la plupart des diplômé(e)s du secondaire se demandent si le jeu en vaut la chandelle. Je suis étudiante de quatrième année à l’École de gestion Telfer et je vais vous expliquer comment j’ai pu y arriver seule, même sans le RAFEO, et quels avantages j’en ai tirés.
Travailler à temps partiel
C’est à 17 ans, en 11e année, que j’ai commencé à travailler au Mcdonald’s de ma ville natale. J’y travaillais les après-midis, les samedis matin et parfois les nuits pour un quinzaine d’heures par semaine en tout. Bien franchement, j’ai eu beaucoup de plaisir à côtoyer nombre de mes ami(e)s du secondaire qui y travaillaient aussi, sans compter que nous étions nourris gratuitement. Et puis, j’ai appris à traiter avec des clients de tous genres : ceux qui se fâchaient de n’avoir pas eu leur plateau à breuvages ou leurs sachets de ketchup, et ceux qui, adorables, attendaient patiemment que le prochain pot de café frais soit enfin prêt. En fait, j’ai rédigé tout un article sur mon travail dans ce Mcdonald’s et sur la façon dont cette expérience m’a préparée au monde réel, ici. Je recommanderais sans hésiter à n’importe quel élève du secondaire de faire la même chose. J’ai même travaillé à temps partiel dans un McDo d’Ottawa après mon entrée à l’École Telfer, puis de nouveau dans la succursale de chez moi où j’allais passer mes étés, mais à temps plein cette fois. C’est grâce à cette formule du travail à temps partiel tout au long de mes études secondaires et universitaires, puis à temps plein durant l’été que j’ai pu économiser suffisamment pour me payer mes deux premières années d’université.
Obtenir des bourses
Jusqu’ici, je n’ai pas présenté de demande au RAFEO. Dès la première année, je me suis inscrite pour obtenir des bourses tout en continuant de travailler. J’ai toujours visé et obtenu de bonnes notes parce que je voulais plus de bourses et parce que je suis naturellement studieuse (et que j’ai une peur bleue de l’échec). Je me suis aussi engagée socialement parce qu’on m’avait dit que c’était la chose à faire. C’est ainsi que j’ai co-fondé le Réseau de femmes en gestion et que j’ai été ambassadrice du Centre des carrières, puis chargée de projet pour le souper d’affaires de TECDE (Club des entrepreneurs). De bonnes notes et une participation à la vie de la faculté sont de bons moyens d’obtenir des bourses. J’en ai reçu quelques-unes par année scolaire, qui m’ont permis de couvrir mes frais pour la majeure partie du semestre, d’où leur utilité. Il est facile de présenter une demande en passant par uOzone et, même si le processus d’approbation est long, cela en vaut vraiment la peine. On trouve aussi beaucoup de bourses dans la communauté qui nécessitent un peu plus de temps de recherche et de préparation, puisque certaines exigent une dissertation, mais consacrer une semaine à cet exercice pour obtenir à terme des milliers de dollars est un très bon investissement. Je suis étudiante en administration des affaires, alors crois-moi!
Placements
Bon, un peu plus haut, j’ai affirmé n’avoir pas bénéficié du RAFEO. En vérité, en quatrième année, j’ai accidentellement fait payer mes frais de scolarité par le Régime après avoir oublié de cocher la case « Je ne veux pas de prêt » dans ma demande de subvention. Résultat : le paiement est tombé automatiquement. Comme j’avais déjà réuni la somme nécessaire pour le semestre, je l’ai investie dans un certificat de placement garanti (CPG) de ma banque, me disant qu’au bout d’un an, je pourrais rembourser le RAFEO après avoir encaissé des intérêts sur mon placement. Je ne dis pas que c’est ce que tu devrais faire, mais c’est ce que j’ai fait pour tirer le meilleur de la situation, puisqu’il ne m’avait pas été possible d’annuler ma demande de RAFEO sur le champ. Un conseil donc : n’oublie pas de cocher la case indiquant que tu ne veux pas de prêt. Par contre, dépose une demande de subvention.
Pourquoi ai-je financé moi-même mes études universitaires?
Si tes parents sont prêts à payer tes frais de scolarité, c'est tant mieux! Personnellement, j’ai trouvé extrêmement gratifiant de financer mes propres études parce que j’en suis venue à les apprécier encore plus. Les fois où j’ai envisagé de sauter un cours (ce qui n’est jamais arrivé, bien sûr…), j’ai toujours pensé à ce que ça me coûterait. Cela m’a motivée à ne jamais lâcher. Même quand c’était difficile, je savais que j’investissais dans mon avenir (du moins, je l’espère). C’est aussi bien d’être indépendante et de savoir que je n’ai pas de dette réelle. Mon seul conseil est donc : trouve-toi un travail. Je sais que ça peut sembler basique et évident, mais honnêtement, c’est vraiment la seule chose qu’on puisse faire, surtout si l’on doit se débrouiller par soi-même. Et si tu as des réserves sur l’idée de travailler tout en étudiant, laisse-moi te dire que c’est tout à fait faisable. Je ne saurais même pas quoi faire de mon temps si j’étudiais à temps plein sans travailler en parallèle. Évidemment, chacun a sa manière d’apprendre et certains doivent consacrer plus de temps que d’autres à leurs études. Personnellement, j’ai trouvé préférable de me tenir occupée, de travailler tout en allant à l’université, cela pour mieux encadrer mon temps et avancer, histoire d’avoir moins l’occasion de me perdre en procrastination (ce qui m’arrive encore, cependant). De plus, c’est tout de même assez chouette d’être indépendante quand on vit seule. On peut manger du gâteau à la place du souper et il n’y a personne pour essayer de t’en empêcher!
Comment ai-je payé mes études universitaires?
J’aurai donc entièrement payé mes études universitaires en travaillant parfois à temps plein, le plus souvent à temps partiel, en plus de mes bourses… sans oublier mes placements. Cela a fait de moi une meilleure personne et ce n’est pas fini. J’ai appris à équilibrer beaucoup de choses dans ma vie, à obtenir de bonnes notes et à trouver quand même du temps pour me détendre, pour avoir du plaisir et une vie sociale. Si j’ai pu le faire, toi aussi tu le peux certainement.
Instagram : @sonyagankina
- Catégorie : La voix des étudiants
L’étudiante de quatrième année en marketing que je suis n’aurait jamais pu imaginer que, vers la fin de son trimestre, elle passerait soudainement des salles de classe au téléapprentissage. Bien qu’elle nous ait imposé une adaptation stressante au départ, la mesure d’éloignement était inévitable… distanciation sociale oblige!
Après deux semaines d’apprentissage à distance, je pense avoir enfin réussi à équilibrer productivité et vie personnelle grâce à un horaire productif que j’essaie de respecter. Voici donc comment se déroulent mes études à la maison :
9 h :
J’essaie de ne pas me lever plus tard que 9 heures pour éviter de me sentir engourdie. Je commence par quelques étirements au son de mes chansons préférés. Puis, je me prépare un thé que je prends avec du gruau pour déjeuner.9 h 45 :
Avant d’entamer ma journée d’étude, je prends un quart d’heure de détente que je consacre aux médias sociaux et à texter avec des amis et ma famille. J’en profite pour passer en revue mes listes de lecture et décider du type de musique que je vais écouter dans la journée. Je trouve qu’un bon choix musical favorise la concentration et la motivation. Je vous recommande fortement la sélection musicale Brain Food sur Spotify, conçue spécialement pour étudier.10 h :
Lorsque j’allume mon portable, je vérifie avec mes collègues de classe où nous en sommes dans nos divers projets d’équipe. Il est important de rester au courant des progrès de chacun pour que les membres du groupe se sentent appuyés et gardent le cap afin de respecter les échéanciers. Dans un de mes groupes, nous avons récemment commencé à utiliser Google Hangouts, qui est un excellent outil pour les appels vidéo et le travail avec partage d’écrans.11 h :
Selon les priorités du moment, je consacre la fin de la matinée à des travaux, tels que ma dissertation sur l’éthique commerciale, quand je ne regarde pas une conférence en ligne. Hier, par exemple, j’ai étudié la question de la publicité payée grâce à une présentation en ligne donnée dans le cadre de mon cours de marketing numérique.
13 h :
Après ces quelques heures d’étude, c’est le moment de passer à table et de veiller à manger des aliments nutritifs et riches en vitamines pour se maintenir en santé. Je consulte parfois des sites Web tels que Ricardo cuisine pour trouver des recettes santé, faciles à faire. J’essaie même d’égayer mes repas en organisant des « dîners vidéo » avec des amis et des collègues de travail. On peut ainsi manger et discuter ensemble (bien que virtuellement), histoire d’éviter de se sentir seul.
14 h :
Pour les trois prochaines heures, je m’efforce d’être la plus productive possible, sachant qu’après 17 heures, je me laisse facilement distraire. Cela étant dit, être productif ne veut pas dire travailler sans arrêt. J’essaie de prendre des pauses de 10 minutes à chaque heure pour reprendre mon souffle, pour bouger ou pour sortir prendre l’air. J’adore faire de petites séances de méditation guidées grâce à l’application gratuite Smiling Mind, qui propose des centaines de programmes de méditation.17 h 30 :
Selon mes échéances, il m’arrive de devoir travailler plus tard en soirée, mais je veille toujours à faire une promenade dans le quartier avant la tombée du jour. Que ce soit seul, en compagnie d’une bonne musique ou d’amis et parents au téléphone, l’air frais ne peut qu’illuminer votre esprit.Quant au reste de la soirée, j’essaie de communiquer avec mes amis et ma famille par appel vidéo, de planifier mon horaire du lendemain et, bien sûr, de regarder un peu de télévision. Netflix Party est un fantastique outil qui permet de regarder des films « avec » ses amis, où qu’ils soient dans le monde.
Quelle que soit notre horaire d’apprentissage à distance, l’important est d’avoir une routine qui aide à se sentir normal et à s’organiser pour le reste de ce trimestre sans précédent. À ton calendrier, tu devrais prévoir du temps pour communiquer avec tes proches et du temps pour toi-même afin de pouvoir tirer le maximum de tes périodes d’étude, et ainsi d’exceller pour le reste de la session. Ce n’est pas grave si tu déroges un peu de ton horaire, et si cela t’arrive, essaie de te ressaisir dès que tu te sens décrocher, et ne te mets pas trop de pression sur les épaules. L’Université d’Ottawa et l’école Telfer sont là pour t’aider à traverser cette période hors norme.
Tu peux toujours prendre rendez-vous par téléphone avec notre Centre des carrières, communiquer avec le bureau du programme coop à
- Catégorie : Engagement communautaire
L'Université d'Ottawa a mis en place des mesures visant à maintenir une "distanciation sociale", afin de préserver la santé de la communauté d'Ottawa et d'empêcher la propagation rapide du coronavirus (COVID-19).
La période actuelle est difficile pour tous, et nous pouvons déjà constater les répercussions économiques sur les entreprises, en particulier les plus petits commerces de quartier. Ceux-ci peuvent souffrir pendant cette période, mais nombre d'entre eux ont également trouvé des moyens ingénieux afin de soutenir la communauté d'Ottawa, tout en maintenant leurs activités courantes. Plusieurs entreprises d'Ottawa modifient leurs pratiques commerciales, allant du rationnement des articles recherchés jusqu’au refus de manipuler de l'argent liquide ou encore limiter le nombre de clients autorisés dans les magasins.
1. Rendre l’offre alimentaire accessible
Le restaurant d'Ottawa, Dreamland Cafe, situé sur la rue Preston dans la Petite Italie, a choisi de fermer son restaurant au public. Cependant, il reste ouvert selon un horaire spécial pour préparer de délicieux repas prêts à être livrés ou récupérés. Dreamland Cafe a élargi son menu en ligne (incluant leur sauce maison pour pâtes) et a baissé ses prix pendant cette période financièrement difficile. Vous pouvez commander de leurs repas en utilisant les services d’UberEATS qui, pour sa part, a décidé de retirer ses frais de livraison temporairement pour aider la communauté durant cette période.
Luxe Bistro, situé dans le Marché By, a adopté une approche similaire. Ils seront fermés au public, mais restent ouverts pour prendre les commandes à emporter (grâce à UberEATS et DoorDash), offrir un « service au volant » et livrer à domicile. Ils proposent même quelques produits de base aux clients afin d'éviter que les épiceries ne soient trop occupées.
Bien que de nombreux détaillants alimentaires et restaurants aient pris la délicate décision de fermer, La Bottega Nicastro a fait ce qu'elle a pu avant de faire de même. Ils ont fait don de plus de 1 000 $ de nourriture à l'Opération Ramzieh, une équipe de secours en cas de crise qui s'est réunie pour aider les personnes âgées et autres Canadiens vulnérables pendant la crise de la COVID-19.
Parmi les nombreux autres restaurants qui font un effort pour mettre leur nourriture au servir de la communauté, on compte :
- Lexington Smokehouse and Bar
- Sushi Umi
- Happy Goat Coffee Company
- Pure Kitchen
- OCCO Kitchen
- JOEY Rideau and JOEY Landsdowne
- Freshii Westboro
- Two Six Ate
2. Rester actif
Puisqu’il est conseillé de rester à l'intérieur, de nombreuses salles de conditionnement physique et studios d’entraînement ont fermé leur portes pour aider à réduire la propagation du virus. Un studio de danse d'Ottawa a eu l'idée d'aider ses membres à rester actifs en proposant des cours de danse diffusés en direct et offerts en ligne. Dance Fusion Studio a envoyé un courriel à tous ses danseurs afin de leur proposer des cours virtuels via Zoom afin de les encourager à "danser dans le confort de leur salon".
Par ailleurs, le populaire studio de yoga d'Ottawa, Pure Yoga, dirigé par les co-entrepreneurs Amber et Jen, organise des séances de yoga sur sa plateforme en ligne, où plus de 150 cours sont disponibles. Pendant cette période, ils offrent les deux premières semaines gratuitement, et un prix réduit en utilisant un code promotionnel spécifique.
Parmi les autres entreprises de remise en forme et de bien-être d'Ottawa qui s'adaptent à ces nouvelles circonstances, citons :
3. Soutenir les loisirs
Wallack's Art Supplies, situé au coin de la rue Bank, offre du matériel d'art pour ceux d'entre vous qui désirent peindre, dessiner et faire différents projets. Ils ont eux aussi fermé leur magasin suite aux conseils des responsables en santé publique, mais leur boutique en ligne reste ouverte et offre des options de ramassage et de livraison.
La librairie locale de la rue Bank, Black Squirrel Books, rassemble et livre des commandes de livres mystères pour ses clients. Selon le Ottawa Citizen, "les clients peuvent choisir n'importe quel genre qui les intéresse : mystère, fiction, historique, développement personnel, livres pour enfants, etc. - ou simplement commander une boîte à surprises. Avec l'une ou l'autre de ces options, les clients n'ont aucune idée des titres spécifiques qu'ils recevront".
De nombreuses autres entreprises locales ont modifié leur modèle d'entreprise pour répondre aux nombreux besoins et intérêts de la communauté d'Ottawa, comme par exemple :
- West End Kids
- Ottawa Food Bank
- Masters n' Dogs pet shop
- Henry’s Camera
- Eliquo Training and Development Incorporated
4. Nous garder en bonne santé et nous protéger contre le virus
Plusieurs entreprises locales prennent des mesures pour rester en bonne santé en utilisant leurs ressources existantes. Par exemple, la distillerie de Perth, Top Shelf Distillers, produit du désinfectant pour les mains pour lutter contre l'épuisement des stocks dans les magasins. Ils ont lancé une "campagne de financement participatif pour financer la production, l'achat et la distribution de lots de désinfectant pour les mains, alors que la demande déjà énorme continue d'augmenter", qui a connu un grand succès puisqu'ils ont dépassé leur objectif de collecte de fonds en une seule journée, en partageant leur histoire sur CTV News.
Un autre distillerie qui contribue aux efforts sanitaires est Dairy Distillery à Almonte, située à environ une heure d'Ottawa. L'entreprise crée deux produits : un désinfectant de surface et un désinfectant pour les mains grand format avec pompe. Elle souhaitait partager ces produits avec les membres de la communauté, notamment les cliniques de santé, les hôpitaux, les hôpitaux vétérinaires et les organisations caritatives.
De plus, des membres de l'Université d'Ottawa trouvent un moyen d'aider directement les travailleurs de la santé à se protéger du virus. Chez Makerspace, sur le campus, Midia Shikh Hassan, responsable du Centre en génie entrepreneurial de la conception (CGEC) de l'université, utilise des imprimantes 3D et des découpeuses laser pour fabriquer des équipements de protection individuelle essentiels. Le CGEC peut créer 10 à 20 écrans faciaux toutes les deux heures, et prévoit de fabriquer encore plus d'équipements nécessaires grâce aux conseils des médecins de l'hôpital d'Ottawa.
Vous pouvez soutenir nos entreprises locales en achetant des cartes-cadeaux, en faisant des achats en ligne ou en commandant des articles à emporter ou à livrer.
Avez-vous remarqué des initiatives prises par des commerces locaux pour s’adapter à la situation actuelle? Faites-nous part de vos histoires favorites et de ce que font ces commerçants pour soutenir la communauté d'Ottawa.
- Catégorie : Actualités
À compter du mercredi 18 mars 2020, tous les cours et laboratoires qui devaient avoir lieu en personne ce trimestre (hiver 2020) seront offerts à distance et en ligne, et ce jusqu’à la fin du trimestre. Nous comprenons que cela peut accroître le stress et l'anxiété, c'est pourquoi nous avons établi une liste de conseils pour vous aider à gérer vos études depuis chez vous.
- Prenez soin de vous : Avant tout, prendre soin de soi vous permettra de réussir tout au long de cette période. Adoptez une routine qui vous convient, mangez et dormez correctement, prenez des pauses si nécessaire et essayez des exercices à la maison, comme le yoga, des exercices de musculation ou d'étirement.
- Créez un espace de travail dédié : Vous n'avez peut-être pas l'habitude d’assister à vos cours en ligne ou de prendre des notes de la maison. Il est donc important de vous créer un espace de travail confortable pour vous permettre de maximiser votre productivité. Essayez de vous éloigner de votre lit (ce qui ne favorise pas la concentration), et de travailler à une table avec une chaise confortable comme si vous étiez à l'école. Vous pouvez même décorer l'espace avec des plantes et des accessoires que vous avez déjà à la maison.
- Planifiez votre temps : Il est facile de se laisser distraire et de perdre de vue les échéances lorsque l’on travaille de la maison. Commencez par établir un calendrier avec toutes les dates importantes, puis dressez une liste de choses à faire classées par ordre de priorité, par date et/ou par importance. Avoir un plan visuel et clair que vous pouvez suivre quand vous vous sentez perdu vous aidera à garder le cap.
- Utilisez des outils de communication de groupe : Rester à la maison peut être isolant, alors assurez-vous de rester en contact avec les membres de vos différents groupes, vos collègues de classe et vos amis par le biais d’applications et d'outils numériques, de conversations de groupe et de messages directs. Cela vous aidera à vous sentir mieux entouré.
- Assurez-vous d'avoir accès à tout ce dont vous avez besoin : Afin de rester concentré sur votre travail, assurez-vous que vous avez un accès fiable au Wi-Fi. Parfois, les connexions peuvent être interrompues et des problèmes techniques peuvent survenir. Assurez-vous de sauvegarder fréquemment votre travail et vos fichiers importants. Vous pouvez également partager vos documents en ligne dans un nuage informatique, afin de pouvoir y accéder de n'importe où grâce au Wi-Fi. Nous vous suggérons de sauvegarder les coordonnées de vos professeurs et collègues de classe au cas où vous auriez besoin de les rejoindre si vous avez besoin d'informations ou si vous éprouvez des difficultés techniques.
Enfin, n'ayez pas peur de demander de l'aide. Nous entrons tous en territoire inconnu et nous devons nous soutenir les uns les autres. Restez en contact et restez en bonne santé - nous vous reverrons bientôt, #TelferNation!
- Catégorie : Annonces aux étudiants
Les représentantes du programme de premier cycle de l’École de gestion Telfer Joy Xu, Leah Salzman, Lina Salama et Madison Woo, mieux connues lors de la compétition sous leur pseudonyme d’équipe Employees of the month, ont fait honneur à celui-ci en remportant les grands honneurs lors du 5e concours annuel d’études de cas sur la diversité et l’inclusion. Elles ont offert un 5e triomphe à Telfer, en autant d’années d'existence de cette compétition. Celle-ci a eu lieu samedi dernier à Exportation et Développement Canada (EDC), l’un des deux partenaires fondateurs de l’événement.
Les gagnantes se partageront une bourse de 5000 $ grâce à leurs idées rafraîchissantes qui s’ancrent dans la réalité d’aujourd’hui, selon les commentaires des juges émis lors du gala de remise des prix en soirée. C’était d’ailleurs la première édition ouverte autant aux étudiants du MBA qu’à ceux de 3e et 4e année du baccalauréat. Ces derniers n’auront pas déçu alors que deux des quatre équipes finalistes provenaient du programme de premier cycle de leurs universités respectives.
C’était sous une ère de renouveau que cette 5e édition avait été lancée en grande pompe la veille, aux Cours Bayview lors d’une soirée de réseautage. Une activité interactive animée par Deloitte, le deuxième partenaire-fondateur, fut sans équivoque le clou de la soirée, selon les différents participants interrogés à ce sujet. L’équipe de Deloitte Greenhouse a su rassembler les étudiants présents avec 4 ateliers permettant aux étudiants d’échanger sur les véritables enjeux concernant la diversité et l’inclusion en milieu de travail et dans la vie de tous les jours.
La compétition, qui a compté sur l’appui de la Banque Royale du Canada (RBC) pour la première fois cette année, a fait peau neuve en proposant une étude de cas à analyser lors des deux semaines précédant la compétition. Les équipes de 10 différentes universités devaient développer une stratégie pour recruter, retenir et développer les employés. Elles devaient identifier les obstacles à l'égalité d'accès ainsi que les groupes des minorités visibles pour le compte de la Banque du Canada, l’auteur officiel de l’étude de cas.
Ce nouveau format a permis aux équipes de se présenter avec des analyses et des dossiers plus étoffés lors des présentations en première ronde, selon Catherine Elliott, directrice du MBA à l’École de gestion Telfer.« La barre est de plus en plus haute! », a déclaré Catherine, « la diversité et l'inclusion font désormais partie du vocabulaire des PDG, ce qui donne plus de visibilité à ce sujet. Par conséquent, nous pouvons nous attendre à accueillir davantage d'équipes et compter sur l’implication de plus d’entreprises, pour les années à venir. »
La compétition
La première partie du cas a servi à départager 4 équipes pour la finale, présentée devant public pour la première fois cette année. Alors que les équipes n’avaient que 75 minutes de préparation pour s’attaquer à une proposition de la Banque du Canada concernant des données recueillies sur l’équité en matière d’emploi, l’équipe de Joy Xu a su démontrer son savoir-faire.
« Notre expertise en résolution de cas fut vraiment bénéfique alors que nous avons su mettre nos ressources en commun afin de déterminer exactement ce dont les employé(e)s avaient besoin en matière de tactiques en ressources humaines offertes par l’employeur », nous a révélé Joy quelques instants suivants la victoire des Employees of the month. Par ailleurs, deux membres de l’équipe ont dû se greffer à l’équipe à peine quelques semaines avant le début de la compétition. Le quatuor était donc très fier de ce dénouement heureux.
Une autre équipe représentant Telfer, composée de Aditya Bhatkal, Allison Caverly, Camille Sigouin ainsi que Lisa Filter, 4 étudiant(e)s au MBA cette fois-ci, a aussi fait bonne impression en première ronde, mais n’a pu se qualifier pour la ronde finale. Ils étaient tout de même contents de leur expérience et de la présentation offerte aux juges.
Sur le podium :
École de gestion Telfer, uOttawa, B.Com. - 1re position
Schulich School of Business, York University, MBA - 2e position
Memorial University of Newfoundland, baccalauréat - 3e position, ex-aequo
DeGroote School of Business, McMaster University, MBA - 3e position, ex-aequo
Le comité organisateur regarde déjà de l’avant pour la 6e édition de l’événement qui aura lieu en 2021. Toutes organisations qui auraient un intérêt en matière de diversité et d’inclusion sont invitées à entrer en communication avec le bureau des études supérieures de Telfer pour discuter d’une implication possible à cette prochaine édition :
- Catégorie : Actualités
Nominez un(e) diplomé(e) pour un prix de reconnaissance
Si vous connaissez un(e) diplômé(e) dont leurs contributions méritent de se faire reconnaître, nominez-les pour un prix.
Ce ne sont pas des diplômés remarquables qui manquent à l’École de gestion Telfer. En 2019, Mari Teitelbaum (MGSS 1992), Marc Tassé (MBA 1997) et Luc Fortin (B.Com. 1993), ont été les récipiendaires de la médaille Trudeau en reconnaissance de leurs contributions exceptionnelles au monde des affaires et de la santé, à la communauté et à leur alma mater. De plus, Derek D. Ricci (B.Com. 2007) s'est mérité le prix Jeune Phénix pour avoir relevé d'importants défis dans une courte période de temps.
Connaissez-vous un(e) diplômé(e) qui mérite un de nos prix pour les diplômés ? Les détails des deux catégories de prix, ainsi que le formulaire de mise en candidature, se trouvent ci-dessous.
Les candidatures seront acceptées dès le 30 janvier 2020. Ces prix sont remis lors du prochain Gala de l'excellence, qui aura lieu à Ottawa le 17 octobre 2020.
La date limite pour les nominations est le 15 juin 2020 à 12 h.
Si vous avez des questions au sujet du processus de mise en candidature, ou pour avoir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :
Anne-Marie Roy
613-562-5800 poste 2934
- Catégorie : Annonces aux étudiants
Quatre étudiants du programme de baccalauréat en sciences commerciales de Telfer ont accédé à l’étape des demi‑finales du programme CEOx1Jour 2020, organisé par Odgers Berndtson. Les candidats sont soumis à un processus de sélection et les gagnants passeront une journée en compagnie d’un PDG participant au programme. Après avoir franchi avec succès les diverses étapes du processus de sélection, une étudiante de Telfer a réussi à se classer parmi les deux finalistes d’Ottawa.
Toutes nos félicitations aux étudiants du programme de baccalauréat en sciences commerciales qui ont accédé aux demi‑finales :
- Ciara Carey : 4e année, Gestion internationale
- Farah Osman : 3e année, Marketing
- Joy Xu : 4e année, Comptabilité
- Rylan Williams : 4e année, Gestion internationale
Ciara Carey, étudiante de 4e année au programme de baccalauréat en sciences commerciales, a réussi à se classer parmi les finalistes. Elle passera donc la journée du 26 février en compagnie de Sasha Suda, directrice et chef de la direction du Musée des beaux‑arts du Canada.
Le défi CEOx1Jour
Odgers Berndtson, une firme mondiale de recrutement de cadres, est l’initiatrice de ce programme mondial de jumelage d’étudiants de troisième et quatrième année avec des présidents et chefs de direction bien connus. Pour dénicher la prochaine génération de dirigeants d’entreprise canadiens, Odgers Berndtson a sélectionné 20 étudiants qui seront jumelés avec des PDG canadiens de renom.
Les étudiants découvrent le fonctionnement interne qui fait le succès d’une entreprise, par exemple l’instauration d’une culture de collaboration et d’innovation.
Pour sa 7e édition, le programme CEOx1Jour a accueilli de nouvelles entreprises intéressées à participer au programme de jumelage avec des étudiants, notamment :
- Capital One Canada
- Facebook et Instagram Canada
- Sephora Canada
- Absolute Software
- Total E&P Canada
- Musée des beaux‑arts du Canada
- Toronto Zoo
Odgers Berndtson offre à sa vaste gamme de clients des solutions intégrées de recrutement de talents. Le programme CEOx1Jour est la façon que l’organisation a imaginée pour investir dans la formation des dirigeants canadiens de demain.
Une finaliste de l’Université d’Ottawa au programme de cette année
Ciara Carey, la finaliste de cette année, a bien voulu raconter le chemin parcouru entre la présentation de sa candidature jusqu’à l’obtention de son emploi. Elle décrit notamment les diverses expériences qui lui ont permis d’être mieux préparée à franchir les diverses étapes du concours :
« Je me trouve très chanceuse d’avoir vécu différentes expériences et d’avoir fait partie de diverses équipes tout au long de mes études de premier cycle à Telfer (BSA, JDCC et autres associations). Ces expériences m’ont permis d’acquérir de nombreuses compétences très pointues, mais celles qui m’ont été les plus précieuses, ce sont les compétences générales que j’ai acquises.
En arrivant à l’université après avoir fait partie d’une équipe de basketball de compétition, je pensais avoir une bonne idée de l’éthique professionnelle et du travail d’équipe, mais ces activités parascolaires m’ont finalement appris ce que cela veut dire de faire partie de quelque chose de plus grand que soi. Elles m’ont appris à réfléchir, à examiner une situation dans son ensemble et à agir avec humilité. Mais surtout, elles m’ont appris à être une meilleure coéquipière.
Mes activités parascolaires m’ont permis de vivre une foule d’expériences que je peux mettre à profit pour démontrer mes capacités de leader, ce que je n’aurais pu faire autrement. »
Processus de candidature
Le processus de présentation des candidatures a été lancé au début d’octobre 2019, une exigence que la Canadian Association of Business Schools (CABS) a ajouté pour tous les délégués des Jeux Du Commerce Central (JDCC). Après avoir déposé leur candidature, les étudiants ont répondu à un questionnaire d’évaluation Hogan en ligne. Ensuite, les candidats retenus ont été invités à une entrevue téléphonique avec un recruteur professionnel de cadres d’Odgers Berndtson. La dernière étape a été l’évaluation des demi‑finalistes aux bureaux de Odgers Berndtson, un exercice d’une demi‑journée. Les recruteurs ont eu recours à des défis, des ateliers et des exercices pour évaluer les compétences en relations interpersonnelles et en communication des candidats, ainsi que leurs habiletés à travailler en équipe et leur potentiel en matière de leadership.
Motivation à présenter sa candidature
À titre de déléguée des JDCC et de coordonnatrice des jeux de cette année, Ciara a décidé de présenter sa candidature parce qu’elle était persuadée que « ce serait extraordinaire de pouvoir ccompagner un PDG durant toute une journée. Après avoir lu le profil des PDG de ma région qui participaient au programme, j’étais vraiment enthousiaste à l’idée que j’allais passer une journée avec Sasha Suda et en apprendre davantage sur son parcours. Je suis particulièrement curieuse de connaître le fonctionnement général du Musée des beaux‑arts du Canada et les compétences en leadership que doit posséder un PDG. Je suis aussi curieuse de connaître les objectifs stratégiques de l’organisation et le rôle que joue Mme Suda dans leur réalisation. J’aimerais beaucoup en savoir plus sur son parcours personnel et connaître son opinion sur l’incidence de l’art sur la communauté. »
Conseils aux futurs candidats
Poser sa candidature à un programme de cette ampleur peut sembler intimidant au début, mais cela vaut vraiment la peine. Grâce à des conseils judicieux, vous pouvez essayer de vous classer parmi les finalistes. Voici les conseils que Ciara prodigue aux étudiants qui envisagent de poser leur candidature dans le cadre du programme CEOx1Jour de l’an prochain :
« Le conflit intérieur que vous vivez pour décider si vous allez présenter votre candidature ou non peut vous empêcher d’aller de l’avant. Quand des étudiants me demandent s’ils doivent ou non s’inscrire à Telfer, le meilleur conseil que je leur donne est le même que celui que je donnerais aux étudiants intéressés à participer à CEOx1Jour : N’hésitez pas, foncez. N’ayez pas peur de l’échec (toute expérience est une occasion d’apprentissage). Pour participer au programme CEOx1Jour, je pense vraiment qu’il faut être honnête et authentique, surtout à l’étape de l’évaluation Hogan du processus de sélection. »
Ciara a aussi dit qu’elle se fait un plaisir de conseiller les étudiants qui la consultent au sujet de leur future candidature!
Nous souhaitons à Ciara une journée enrichissante au Musée des beaux‑arts du Canada et nous espérons en savoir davantage sur son expérience.
- Catégorie : La voix des étudiants
Rédigé par : Alexander Campbell, candidat au MBA Telfer
Du 3 au 6 janvier, un groupe de 17 étudiants doués inscrits au programme de maîtrise en administration des affaires de l’École de gestion Telfer se sont rendus à Hamilton (Ontario) pour participer aux Jeux du MBA de 2020. Ces jeux sont parmi les plus importantes compétitions dirigées par des étudiants au Canada et les délégués d’écoles des quatre coins du pays s’y donnent rendez-vous pour se mesurer dans trois domaines : Perspicacité théorique, Sports et Esprit d’équipe.
Dans le domaine de la perspicacité théorique, notre équipe, c’est-à-dire celle qui avait accumulé le plus de points lors du tournoi à la ronde, a présenté un exposé sur la responsabilité sociale des entreprises, ce qui lui a permis de se classer pour la finale, parmi les quatre meilleures équipes de tous les programmes d’administration des affaires au pays. L’équipe se composait de Candyce Yue Sun, Jason Tsang et Matt Gibbons. Nous avons également eu des équipes dans les catégories Finances, Marketing et Stratégie.
Le domaine de la perspicacité théorique
Dans le domaine de la perspicacité théorique, notre équipe, c’est-à-dire celle qui avait accumulé le plus de points lors du tournoi à la ronde, a présenté un exposé sur la responsabilité sociale des entreprises, ce qui lui a permis de se classer pour la finale, parmi les quatre meilleures équipes de tous les programmes d’administration des affaires au pays. L’équipe se composait de Candyce Yue Sun, Jason Tsang et Matt Gibbons. Nous avons également eu des équipes dans les catégories Finances, Marketing et Stratégie.
Côté sports, notre équipe de volley-ball a participé à quatre matchs durement disputés, sans qu’elle n’ait réussi à se classer au-delà du tournoi à la ronde. Notre équipe de basket a remporté une victoire contre la Haskayne School of Business (Calgary), mais elle n’a pas pu avancer plus loin.
Quant à l’esprit d’équipe, nous avons effectué des mouvements de danse assez impressionnants lors de la cérémonie d’ouverture, trouvé une façon originale de casser un œuf à l’aide de notre machine Rube Goldberg, et il ne nous aurait fallu qu’une petite seconde en moins pour éliminer notre hôte, la DeGroote School of Business, lors de l’épreuve « une minute pour gagner ».
Enfin et surtout, notre équipe a pu recueillir un total de 870 $ pour l’organisme de bienfaisance Empowerment Squared, partenaire des Jeux du MBA qui s’occupe d’aider les jeunes à s’émanciper et à réaliser leur plein potentiel et leurs rêves en leur proposant du mentorat, l’accès à l’éducation post-secondaire, une culture informationnelle, ainsi que des activités sportives et des loisirs.
Les réussites de notre équipe au cours de cette fin de semaine n’ont été possibles que grâce aux généreuses contributions de nos commanditaires : l’école de gestion Telfer, QMR Consulting et Welch LLP.
- Catégorie : La voix des étudiants
J’ai presque manqué ma première classe du trimestre, j’ai attrapé la grippe et j’ai des cernes qui ont engouffré mes yeux. Pourquoi suis-je donc quand même muni d’un sourire indéfectible? Parce que tout ça, c’est un sacrifice bienvenu puisque j’ai eu le privilège de passer la première fin de semaine de l’année à Montréal aux Jeux du commerce parmi 82 étudiants de Telfer. Le slogan de cette édition des Jeux était de mise : #expérienceJDC – et wow, ce fût toute une expérience!
J’ai fait partie de l’équipe de débat oratoire de la faculté, et bien que nous ne sommes pas ressorti vainqueurs (nous nous sommes inclinés en quart de finale), je suis fier de nous néanmoins. Nous avons pratiqué de manière hebdomadaire depuis le début de l’année académique et nous nous sommes tous améliorés énormément sous la tutelle de notre extraordinaire entraîneuse.
De même, les présentations des autres équipes de la faculté que j’ai vues (marketing, entrepreneuriat et le cas surprise) étaient toutes formidables. C’est évident que chacun a appris beaucoup de notions pratiques qui seront utiles dans leur carrière future.
Des souvenirs qui valent beaucoup plus qu’un trophée
« Alors Alex », me demandent mes amis, « pourquoi est-ce que cette fin de semaine a été un si grand succès pour toi si tu n’as pas gagné? ». C’est simple : parce que j’ai des souvenirs qui valent beaucoup plus qu’un trophée. (Oui oui, le trophée aurait été un bel ajout, mais bon.)
Cette compétition universitaire est un catalyseur puissant pour des amitiés intra-facultaires, forgées pendant les voyages d’autobus, l’attente dans les chambres d’hôtel, les repas et galas, le manque de sommeil, les blagues qui sont juste drôles à cause dudit manque de sommeil, et j’en passe. Je ressors de cette fin de semaine avec 81 nouveaux amis que j’aurai le plaisir de rencontrer durant et entre mes classes à Desmarais. Je reviens également à la maison avec des chansons comme House Party de Sam Hunt prises dans la tête parce qu’elles ont joué dans l’autobus sans arrêt, avec une connaissance accrue sur l’horoscope grâce à ma nouvelle amie, et avec une meilleure idée d’où se situent les différentes écoles UQuébec dans la fameuse Belle Province.
D’autre part, l’atmosphère de cette compétition, où l’on préconise l’entraide et la collégialité entre les universités participantes, m’a offert l’opportunité unique de tisser des liens avec des gens d’un peu partout dans l’Est canadien – que ce soit à l’UMoncton, à l’École de commerce John Molson, ou encore à ULaval. J’ai eu le privilège de passer le temps avec eux lors des nombreuses heures que nous avons passé en isolation à jouer au loup-garou, au bonhomme pendu, ou encore à un jeu de cartes.
Une compétition, après tout
Je garderai toujours en tête les débats que j’ai faits avec mon équipe – après tout, cette compétition a un but académique!
Les sujets étaient parfois un peu obscurs - par exemple un débat sur l’entente entre le Canada et les États-Unis sur les tiers pays sûrs alors que nous n’avions pas d’accès internet pour en découvrir son contenu précis - mais, somme toute, nous nous en sommes sortis pas si mal et j’en suis bien fier. Avec l’analyse critique et les connaissances générales qui ont été gravées en nous pendant notre temps de pratique, nous étions prêts à attaquer presque toutes les résolutions qui risquaient de nous être lancées avec une tête froide et un esprit d’équipe ferré.
Bref, cette compétition d’une grandeur impressionnante (c’est-à-dire qu’environ 1300 personnes y participent, et c’est organisé par des étudiants comme vous et moi) a été un vrai succès d’après moi, autant pour mon équipe que pour la délégation en son entièreté. Alors, suis-je fatigué? En effet! Mais suis-je heureux d’avoir participé aux Jeux du commerce 2020? Ça, c’est certain. La fatigue partira, mais les souvenirs de cette #expérience resteront à jamais.
À propos de l’auteur :
Nom : Alex Dalcourt
Adresse courriel :
LinkedIn
Instagram : @alex.dalcourt
Natif de Hearst, Ontario, Alex Dalcourt est un étudiant en 4e année à l'École de gestion Telfer à l'Université d'Ottawa en sciences commerciales et Juris Docteur. Il travaille présentement en tant que mentor à l'École Telfer ainsi que tuteur à la Faculté de droit de l'Université. D'autre part, il a été co-président de la 16e édition de Place à la jeunesse, une compétition académique gérée à l'École Telfer.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
Nos étudiants au baccalauréat en commerce de Telfer ont commencé 2020 en participant aux Jeux du Commerce (JDC) et aux Jeux du Commerce Central (JDCC), ce qui leur a permis de remporter neuf prix individuels et d’équipe.
Après des mois et des mois de formation, d’encadrement, de pratique et de simulation, notre équipe aux JDCC a été trois fois victorieuse!
Du 3 au 7 janvier 2020, près de 130 étudiants ont représenté l’École de gestion Telfer aux deux plus grandes compétitions d’études de cas de premier cycle au Canada. Ces compétitions regroupent plus de 10 universités et permettent aux étudiants de se mesurer dans des disciplines académiques, sportives ou sociales.
Les étudiants en gestion et en administration des affaires de partout au Canada passent des mois à chercher les meilleurs candidats et à constituer des équipes dans des catégories définies (comme le marketing ou les finances), ainsi qu’à les aider à mettre en pratique leurs aptitudes à la compétition pour faire concurrence aux meilleurs étudiants au pays. Pour ce qui est du volet académique, des équipes de trois personnes disposent de trois heures pour procéder à une résolution de cas qu’elles présentent ensuite à un groupe de juges au cours d’un exposé de 20 minutes. Seules les trois meilleures équipes reçoivent une reconnaissance et des prix à la cérémonie de clôture.
Jeux Du Commerce
Cette année, les JDC ont eu lieu à HEC Montréal, au Québec, où les étudiants de Telfer étaient en concurrence avec ceux de 13 autres établissements d’enseignement du Québec. Avec une équipe de 82 étudiants, Telfer a remporté :
2 prix VIP
- Andre Caissie – Comptabilité
- Charles Doray – Cas surprise
1 prix d’équipe MVP (4 personnes)
- Quinn St. Pierre
- Sammy Najm
- Olivia Yap
- Angela Monfleury
Les gagnants des prix VIP sont choisis par des juges représentant le personnel enseignant parmi les étudiants qui se démarquent dans leur catégorie et par leur présentation.
Les prix MVP ne sont attribués qu’à une personne par catégorie, mais dans ce cas‑ci, ils ont été remis à une équipe : l’équipe sociale.
Jeux Du Commerce Central
Dans le cadre des JDCC, des étudiants de Telfer se sont rendus à St. Catherines, en Ontario, pour participer aux compétitions à l’Université Brock, où ils ont rivalisé avec ceux de 11 autres établissements d’enseignement de l’Ontario. Grâce à son équipe de 46 élèves, Telfer a remporté :
3 podiums
- 1re place – Cas de RH (Joy Xu, Aman Sidhu, Soumaya Esanhaji)
- 3e place – Débat oratoire (Samuel Benhamou, Aadi Koundal, Joseph Salem, Omar Al Salaq)
- 3e place – Cas wildcard (Bobby Wong, Dylan Budimir-Hussey, Soumaya Esanhaji)
2 prix VIP
- Bobby Wong – Cas d’entrepreneuriat
- Dylan Budimir Hussey – Cas de finances
1 prix MVP
- Amede Fontaine – Équipe sportive
Le Comité compétitions Telfer (CCT) est l’association étudiante qui sélectionne et prépare les délégations de premier cycle pour les JDC et les JDCC. C’est lui qui recrute tous les entraîneurs, ce qui a une incidence importante sur le succès de l’équipe. Le comité fournit également tous les cas de pratique et exécute les simulations de cas.
Selon Leah Salzman, présidente du CCT :
"Je tiens à saluer le travail acharné de tous les délégués qui ont participé aux Jeux cette année. J'aimerais également souligner le travail exceptionnel des coordonnateurs du JDC, ainsi que des capitaines des JDCC. Sans eux et les délégués, rien de tout cela ne serait possible. Enfin, j'aimerais remercier la faculté de Telfer pour son soutien continu".
Nous sommes impatients d’encourager à nouveau nos étudiants de Telfer lors des compétitions des JDC et des JDCC de l’an prochain! Le CCT se prépare maintenant à la prochaine compétition, Happening Marketing, qui aura lieu au printemps 2020.
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La voix des étudiants
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