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- Catégorie : La voix des étudiants
Permets-moi de te donner quelques conseils d’étude inspirés de ce que j’ai fait à Telfer pour décrocher des bourses valant des milliers de dollars.
Si tu réussis à te faire inscrire sur la liste d’honneur du doyen à Telfer, l'université te remettra 1 000 $ par trimestre complété. Il n’y a que deux choses à faire pour figurer sur la liste du doyen :
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Être organisé
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Être efficace
Pour que ce billet te soit plus utile, je l’ai divisé en deux sections.
Section A : Mes meilleurs conseils pour être efficace sur le plan de l’organisation.
Section B : Mes meilleurs conseils pour obtenir des bourses.
SECTION A : CONSEILS POUR ORGANISER SES ÉTUDES
Conseil d’étude no 1 : Organisation, organisation, organisation
Commençons par le conseil ultime, par le plus important de tous les conseils que je pourrais te donner pour bien réviser en vue d’un examen. Plus de la moitié du combat consiste à s’organiser. Bien sûr, on peut toujours s’en sortir sans préparation, mais personne n’a jamais excellé dans quoi que ce soit d’utile en se présentant les mains dans les poches. N’oublie pas cela chaque fois que tu voudras exceller dans la vie.
Conseil d’étude no 2 : Savoir quels sont les livrables du cours (autrement dit, ce qu’il faut faire pour réussir le cours)
Si tu devais n’accomplir qu’une seule chose dans la première semaine du semestre, ce serait de télécharger les plans de cours et d’en prendre connaissance. Vois comment tes professeurs vont t’évaluer, quand tes livrables devront être remis, quelle est la valeur de chaque livrable? Le temps est limité. Investis davantage dans ce qui rapporte le plus.
Conseil d’étude no 3 : Noter les dates de remise de tes livrables là où tu les auras toujours sous les yeux
Maintenant que tu sais ce que tu dois faire et quand tu devras le faire, prends-les en note à un endroit que tu consultes régulièrement. Personnellement, je préfère avoir un aperçu de tout mon semestre. J’ai créé une feuille de calcul Excel de base avec toutes mes dates d’échéance importantes et les pondérations par projet. Voici un exemple de ce à quoi cela peut ressembler :
Conseil d’étude no 4 : Te fixer des échéances pour réduire ton niveau de stress plus tard
Ce n’est pas parce que le plan de cours indique que le dernier projet doit être remis le 5 novembre que tu dois le remettre à cette date, à 23 heures. Nous en sommes au début du semestre et, jusqu’ici, tu as merveilleusement planifié ton semestre en sachant exactement quoi livrer et quand. Par exemple, si tu constates qu’il y a deux examens de mi-session et un projet à remettre le même week-end, tu devrais t’arranger pour que ce dernier soit terminé des semaines à l’avance. Ainsi, tu pourras te concentrer durant toute la semaine sur la préparation de tes examens de mi-session.
Conseil d’étude no 5 : Te fixer des objectifs et planifier ton temps en conséquence
Tous les dimanches, note tes objectifs de la semaine suivante. Quelles sont les échéances à venir? Établis ce que tu devras accomplir chaque jour de la semaine. Comme tes attentes changeront en cours de route, tous les soirs, tu devrais en plus revoir tes objectifs du lendemain pour t’assurer de pouvoir atteindre tes objectifs hebdomadaires.
Conseil d’étude no 6 : Créer un groupe Facebook pour y inviter tes camarades de classe
Le pire sentiment à l’université est la solitude, comme si on était l’exception, le cas unique qui se débat avec la question 5-C depuis trois heures, mais… ça pourrait être autrement. J’ai écrit un billet de blogue sur mon site, intitulé How to Start a Conversation in 4 Steps. Voici une façon parfaite de briser la glace et de mieux connaître tes camarades de classe. Un message suffit : « Salut! Comment tu t’appelles? Voici… Je lance un groupe Facebook pour notre classe où nous pourrons nous entraider pour résoudre les questions difficiles. Veux-tu en faire partie? Tu pourras aussi inviter des amis si tu veux. » Boum! pas besoin d’en faire plus et, comme ça, tu auras ton premier ami ou ta première amie Facebook de la classe!
SECTION B : CONSEILS POUR DES ÉTUDEs EFFICIENTES
Conseil d'étude no 7 : Faire attention à ce sur quoi ton professeur insiste en classe
En général, si ton professeur passe beaucoup de temps sur un chapitre ou une sous-section, ce n’est pas pour rien, c’est parce que ce sont les aspects les plus importants à ses yeux. Tu devras donc consacrer plus de temps à ces aspects lors de la préparation de tes examens.
Conseil d'étude no 8 : Dénicher au plus vite d’anciens examens de mi- et de fin de session
La meilleure chose que tu puisses faire (de façon éthique) est de mettre la main sur d’anciens examens pour voir ce qui a déjà été testé. À l’expérience, j’ai constaté qu’un très grand nombre d’examens ressemblent aux précédents. D’anciens examens pourront t’aider à déterminer, dès le début du semestre, ce qu’il te faudra vraiment savoir et ce qui sera simplement intéressant de savoir.
Conseil d’étude no 9 : Te bâtir un examen de simulation à partir de sa propre analyse
Bâtis-toi un examen de simulation en formulant des questions qui, selon toi, ont des chances de figurer dans l’examen réel. Demande-toi quels types de questions ont été posées dans les examens précédents que tu auras dénichés? Quelle forme prendra l’examen final, d’après la description du cours? Sur quel(s) sujet(s) ton professeur a-t-il passé le plus de temps en classe? Voilà autant d’éléments qui t’aideront à définir les questions à poser dans ta pratique. N’hésite surtout pas à te renseigner auprès de ton professeur à propos des sujets apparaissant dans ton examen de simulation, car il pourrait te donner des conseils utiles. Continue d’alimenter cet examen tout au long du semestre. Ainsi, à l’étape de la préparation de l’examen, tu pourras te concentrer sur les réponses à donner à ton propre examen.
Conseil d’étude no 10 : Te créer un aide-mémoire évolutif
Même si l’examen ne permet pas d’utiliser de fiche aide-mémoire (cheat sheet), cet outil t’aidera énormément à donner forme à ton examen de simulation (voir le conseil d’étude no 9). Sur cette feuille, note les renseignements que tu juges essentiels. Quelles sont les principales formules? Quelles étapes faut-il absolument suivre pour résoudre des problèmes complexes? Quelles sont les principales définitions à mémoriser? Voilà autant d’exemples d’éléments convenant parfaitement à un aide-mémoire.
Conseil d’étude no 11 : Lire les diapositives des Powerpoint plutôt que des pages entières de manuel
Oh combien d’heures ai-je perdu à lire des manuels complets! Selon le cours, ce n’est pas toujours la façon la plus efficace d’utiliser son temps. Les Powerpoint fournis par les professeurs couvrent l’essentiel du contenu à connaître pour un examen. Pour la plupart des cours, il vaut tout de même mieux acheter un exemplaire du manuel dont tu pourras te servir pour chercher tout ce qui n’est pas dit dans les Powerpoint, en plus de faire des recherches sur Google.
Conseil d’étude no 12 : Parcourir les Powerpoint au préalable
Habituellement, les professeurs mettent leurs Powerpoint en ligne avant chaque cours. Étudies-en le contenu au préalable pour mûrir les questions à te poser et rentabiliser au maximum ta présence en classe. Tu comprendras mieux ce qui se passe et tu vivras une expérience d’apprentissage plus profonde et plus mémorable.
Conseil d’étude no 13 : Noter tes micro-objectifs
Au cours de tes révisions, il t’arrivera souvent d’aller chercher des réponses en ligne. Comme nous le savons, il est très facile de se laisser distraire par Internet et d’oublier ce qu’on est venu y chercher. Avant d’aller sur la toile pour trouver une réponse, écris sur une feuille, que tu auras à portée de la main, la question pour laquelle tu veux une réponse. Une fois en ligne, demande-toi toutes les 10 minutes environ si ce que tu fais est lié à la réponse qui t’intéresse. Sinon, remets-toi sur les rails et dès que tu auras trouvé ta réponse, raye la question de ta liste.
Conseil d’étude no 14 : Prendre conscience que ta capacité de concentration est limitée dans le temps
Voici le conseil que je préfère entre tous et que tu dois bien comprendre. Notre cerveau ne nous permet de nous concentrer que pendant un certain temps avant de perdre en efficacité, disons au bout de 40 minutes. Donc, tu commences à travailler avec un cerveau frais et dispo. Si tu passes les 15 premières minutes à regarder des vidéos en ligne, il ne te restera que 25 minutes de pleine capacité, puis tu rendement diminuera.
Conseil d’étude no 15 : Étudier par intervalles et ne pas rester assis trop longtemps
Ce conseil et le précédent allant de pair, je les traite en série. Tu serais surpris(e) de voir combien il est possible de gagner en productivité en prenant de courtes pauses fréquentes. Travaille 30 à 40 minutes (selon ta préférence), puis prends une pause de 5 à 10 minutes. Si tu suis le conseil no 14, il est important de te lever et de te déplacer pendant ta pause. Fais quelques accroupissements, des redressement debout au mur ou d’autres exercices pour activer la circulation sanguine. Regarder son téléphone n’est pas une bonne façon de prendre une pause, parce que les neurones demeurent mobilisés et qu’on ne donne pas au cerveau la chance de se reposer.
Conseil d’étude no 16 : Tenir un suivi de ton temps
Ce n’est pas parce qu’on est assis à un poste de travail, à l’ordinateur, qu’on fait un travail de qualité. Il existe de nombreuses applications de suivi du temps, mais la fonction chronomètre du téléphone et un bout de papier suffisent. Démarre la minuterie quand tu commences à travailler. Quand tu as terminé, note ton temps, puis redémarre la minuterie au début de la pause. Enregistre de nouveau le temps avant de recommencer à étudier. Continue ainsi toute la journée et additionne tes temps de productivité d’un côté et le temps perdu de l’autre. Je te garantis que cela va te responsabiliser davantage!
Conseil d’étude no 17 : S'éloigner de son téléphone et des autres sources de distraction quand tu étudies
As-tu entendu parler de « l’état de réceptivité » aussi appelé « état de transe ». Pour l’atteindre, il faut se débarrasser de toutes les sources de distraction possibles et s’immerger complètement dans ce que l’on fait. Au bout d’un temps très court, on oublie son environnement et on ne considère plus que ce que la concentration nous permet de faire. L’état de réceptivité peut être difficile à atteindre, voire impossible si les perturbations continuent. Prends soin de mettre ton téléphone hors de vue, de préférence et si possible en mode silencieux. Sinon, chaque fois qu’il sonnera, ton rythme s’en trouvera perturbé et tu devras recommencer à zéro.
Conseil d’étude no 18 : Demeurer positive/positif
Te consacres-tu pleinement à la tâche? Si ton esprit est habité d’émotions négatives, cela nuira à ta capacité à te concentrer et à atteindre tes objectifs. Jette un coup d’œil sur mon autre article sur les trois étapes éprouvées pour sortir instantanément de sa mauvaise humeur (3 Proven Steps to Instantly Get Out of a Bad Mood) et parvenir à maintenir un état d’esprit positif dans les pires moments.
Conseil d’étude no 19 : Mobiliser le plus grand nombre de sens possible
J’ai gardé pour la fin l’un de mes meilleurs conseils d’étude afin de récompenser ton engagement. Plus on mobilise de sens pour apprendre et plus on a de chance de se souvenir de ce qu’on a appris. Idéalement, tu devrais trouver une façon de lire, d’écrire, d’entendre, de dire, de ressentir, de goûter, d’enseigner et d’appliquer tout ce que tu apprends. Bien sûr, ce n’est en général pas possible, alors il faut s’imprégner du savoir sous toutes les formes possibles.
Félicitations! Tu es arrivé au bout de ma liste exhaustive de conseils d’étude que j’ai utilisée lors de mon passage à l’École de gestion Telfer. Je suis convaincu que tu as la discipline et la volonté nécessaires pour mettre ces conseils en pratique! Je suis convaincu que, lorsque tu le feras, tu recevras des milliers de dollars en bourses et que ta moyenne pondérée cumulative grimpera en flèche!
Si tu veux en apprendre davantage sur l’intelligence émotionnelle, sur la communication efficace ou sur la façon d’améliorer son état d’esprit, rends-toi sur mon blogue personnel à jdsterne.com.
Bonne chance dans tes études et au plaisir de te croiser!
- Catégorie : Engagement communautaire
La pandémie COVID-19 crée un fardeau financier pour plusieurs étudiants de l’Université d’Ottawa, et les étudiants à faibles revenus sont particulièrement vulnérables. Un fonds d’urgence spécial a été mis en place par l’Université pour offrir un soutien essentiel immédiat. Nous demandons aux diplômés – si vous le pouvez – d’appuyer financièrement le fonds d’urgence aux étudiants, ou l’un de nos deux fonds spécifiques à Telfer qui soutiendront nos efforts de gestion de cette crise COVID-19.
Fonds d'aide d'urgence en lien avec la COVID-19 pour les étudiants et étudiantes de l'Université d'Ottawa
Créé pour aider les étudiants qui connaissent des difficultés émotionnelles et financières en raison de la pandémie COVID-19. Les étudiants sont confrontés à des perturbations sans précédent dans leur vie académique alors qu'ils passent à l'apprentissage à distance, voient leurs emplois locaux et d'été supprimés et la plupart ont dû quitter leur résidence sur le campus pour minimiser les risques pour la santé publique. Vos contributions financières d'urgence aident les étudiants de toute l'université à surmonter des situations financières pénibles et contribuent à atténuer les problèmes de santé mentale. Les étudiants ont un besoin urgent de votre soutien pour rester concentrés sur la réussite scolaire maintenant et en préparation du semestre d'automne.
Fonds de l’École de gestion Telfer pour le bien-être
Le bien-être physique, l’intelligence émotionnelle et la santé mentale de nos étudiants sont prioritaires pour nous ici à Telfer. Aujourd’hui, les étudiants doivent gérer des situations stressantes dans leur vie qui affectent leur bien-être physique et mental. De la sensibilisation à la prestation de services de counseling et de formation, votre soutien à ce fonds aidera les étudiants de Telfer à faire face, avec succès, à leur besoin immédiat et futur.
Fonds des priorités stratégiques du doyen de L'École de gestion Telfer
Des fonds immédiats et accessibles sur lesquels notre doyen peut rapidement puiser et faire face à des crises comme celle de la COVID-19. Ici à Telfer, cela signifie de donner à nos chercheurs les moyens de développer des modèles analytiques qui aideront le système de santé à mieux planifier et gérer ses capacités. Ceci veut également dire qu'il faut soutenir la recherche afin de nous aider à naviguer sur les terrains inconnus de notre nouvelle réalité de travail et de vie privée : le travail à domicile, l'adaptation aux nouvelles tâches professionnelles ou au manque de services de garde d'enfants, et l'impact que cela peut avoir sur la santé mentale des employés ainsi que les moyens pour lesquels les organisations peuvent soutenir leurs employés en ces temps difficiles.
Cliquez ici, si vous désirez contribuer à un autre fonds prioritaire de l’École Telfer.
Pour effectuer votre don par téléphone, nous vous invitons à communiquer avec Joella Gencher, agente de développement, campagne annuelle à
Merci pour votre générosité !
- Catégorie : La voix des étudiants
Après mes études secondaires dans la région du Grand Toronto, j’ai choisi de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, ici, à Ottawa. Je suis maintenant étudiant de troisième année au baccalauréat en commerce, avec spécialisation en gestion des technologies d’affaires et en marketing. Pour un élève de Markham, dans la région du Grand Toronto, les choix pour aller étudier dans le centre de l’Ontario ne manquent pas.
À l’école Telfer, l’une des choses que j’apprécie le plus, c’est le sentiment d’appartenance à la collectivité, mais je ne me doutais pas qu’il serait aussi fort. Ici, la collectivité reconnaît les étudiants très performants et les soutient en faisant appel à eux, tandis que mes amis d’autres écoles ont l’impression d’être de simples numéros dans le système.
Je suis très heureux du choix que j’ai fait, mais comment ai-je abouti à l’Université d’Ottawa pour étudier en gestion?
Trois raisons expliquent pourquoi j’ai choisi de quitter le confort de ma maison et de m’aventurer dans la capitale nationale :
1. Découvrir une nouvelle ville
Quand j’ai commencé à envoyer des demandes d’inscription à des programmes et des écoles, je pensais étudier en science, idéalement dans un endroit loin de chez moi, comme au Royaume-Uni ou en Colombie-Britannique. Après avoir poussé mes recherches, je me suis rendu compte que les programmes scientifiques à l’extérieur de l’Ontario sont trop onéreux pour être envisageables, et j’ai réorienté mes efforts vers des options d'éducation d’un meilleur rapport qualité-prix dans la province.
La question qui s’est alors posée à moi est la suivante : où devrais-je aller en Ontario, sachant que je ne voulais pas rester près de chez moi?
2. Recommandations d’amis, d’enseignants et d’entraîneurs
Un de mes amis, qui était mon modèle, avait été accepté par des institutions prestigieuses comme Stanford et Wharton, mais il a fini par choisir l’École Telfer. Il m’a parlé du programme de baccalauréat en commerce, m’a dit que Telfer était située dans une ville de taille moyenne offrant de nombreuses possibilités d’emploi et m’a garanti que le coût y était abordable.
Dès lors, j’ai commencé à penser à Telfer.
Après avoir recueilli l’opinion de quelques amis, de membres de ma famille et d’enseignants – en ce moment charnière de ma vie –, j’ai surtout conclu des réponses de ceux à qui j’avais posé la question que le monde des affaires était mieux adapté à ma personnalité. Et puis, cela m’a paru être une option plus sûre, car en sciences, seuls les résultats scolaires comptent. À peine 3 % des mieux notés passent la barre et sont admis en médecine.
Même si je ne doutais pas de mes résultats scolaires, pour avoir eu une bonne moyenne, j’ai découvert que les entreprises tiennent davantage compte des valeurs que j’avais à offrir. En affaires, ce n’est pas seulement une question de notes, mais de réseau établi en tant que membre du monde des affaires, de participation à des activités hors programmes qui démontre des compétences en leadership, et de motivation à en faire plus.
À l’époque, j’avais déjà suivi deux cours de comptabilité et un cours sur les valeurs financières. De plus, j’ai eu des fonctions de responsabilité au sein de plusieurs organismes communautaires et j’ai été président d’un organisme de mon école.
*Groupe du programme Jeunes entreprises en visite dans les bureaux de Mastercard
Grâce à toutes ces expériences, j’ai pu aiguiser mes compétences en marketing, en gestion des relations avec la clientèle, en photographie, en vidéographie, en conception graphique et en entrepreneuriat. Compte tenu de tout cela, si je m’étais lancé en sciences, je n’aurais rien récupéré de ces investissements, mais en commerce, la moitié au moins de mes réalisations allait me rapporter. Dès cet instant, je n’ai plus douté que j’allais faire des études en commerce, et que l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa était l’un des meilleurs choix.
3. Abordabilité et avantages
Trouver une institution abordable dans une autre ville n’était pas facile. J’ai écouté quelques balados et lu quelques articles pour m’apercevoir, en fin de compte, que ce n’est pas l’établissement qui fait la carrière, mais ce que l’étudiant ou l’étudiante choisit de faire pour sa carrière.
L’Université d’Ottawa était abordable et le programme concurrentiel. J’étais déjà vendu quand mon ami m’a aussi parlé de la réalité du bilinguisme dans cette ville. Il m’a expliqué que j’allais donc pouvoir apprendre l’administration des affaires dans les quatre prochaines années et, de surcroît, acquérir une nouvelle langue uniquement grâce à mon nouvel environnement.
Quand j’ai finalement dû faire mon choix, j’ai retenu l’Université d’Ottawa parce qu’elle était dans une autre ville, qu’elle était abordable, que je pourrais y apprendre le français et qu’une personne que je respectais s’en portait garant.
Quand j’ai commencé à m’intéresser davantage à Ottawa, j’ai voulu en savoir plus sur la vie estudiantine me suis rendu compte qu’elle allait aussi peser dans mon choix. Je savais que l’équipe d’Enactus était excellente et que j’aurais accès à des compétitions de cas grâce à la participation de l’École Telfer aux activités du RÉFAEC et du CABS.
En fin de compte, je crois avoir fait le meilleur choix et, chose intéressante, ce n’est pas un choix auquel j’avais pensé en partant. L’administration des affaires a fini par être le meilleur programme pour moi, Ottawa est une ville incroyable, qui a une superbe personnalité, et les relations que j’ai établies au sein de l’École Telfer ont rendu mon expérience universitaire encore plus fantastique. Après avoir bien réfléchi avec des amis de ma ville d’origine, je suis heureux de dire que l’Université d’Ottawa est mon équipe.
Tout au long de mes études, je n’ai cessé d’améliorer mon curriculum vitae grâce à des ateliers du Centre des carrières Telfer, je me suis découvert un intérêt pour le travail de consultant dans le cadre du Programme de la profession de consultant en gestion et, plus important encore, j’ai pu me faire quelques-uns de mes meilleurs amis dans les clubs de Telfer. J’ai la chance d’étudier et de travailler pour et avec une collectivité où tout le monde lutte au coude à coude.
Si tu lis ces lignes, que tu te sens, comme je l’ai été, indécis ou indécise, avec plusieurs cordes à ton arc, et que tu n’as aucune idée de ce que tu devrais faire dans les cinq prochaines années, je dirais que l’administration des affaires est un bon point de départ. Si tu veux vivre l’expérience que j’ai vécue, tu dois commencer par cliquer sur « accepter » dans ta demande d’admission au programme Bcom de Telfer, sur le portail OUAC.
- Catégorie : La voix des étudiants
Comme le définit l’organisme Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail Canada (ECAMT Canada), « l’enseignement coopératif coop comporte des stages qui offrent une expérience de travail rémunérée dans un milieu de travail lié au domaine d’études de l’étudiant ». Avec un taux de placement de 97 %, le bureau coop de l’Université d’Ottawa offre à des milliers d’étudiants une vaste expérience de travail auprès de milliers d’employeurs au Canada et à l’étranger.
J’ai eu l’occasion de faire l’expérience de trois stages en tant qu’étudiante stagiaire à l’École de gestion Telfer et je peux affirmer sans hésiter que l’expérience a dépassé toutes mes attentes.
La formule coop est la meilleure façon de faciliter la transition des études au monde du travail. De plus, elle permet d’acquérir les connaissances et l’expérience recherchées par le marché du travail, de déterminer quelle option de carrière nous semble la mieux adaptée, d’améliorer son réseau de contacts et d’avoir un avantage concurrentiel au moment d’aller chercher un emploi. C’est aussi une excellente occasion de faire de l’argent qu’on placera pour plus tard ou qu’on utilisera pour rembourser des prêts étudiants.
Voilà les raisons pour lesquelles, selon moi, le fait de s’inscrire au programme de coop peut faciliter la transition vers le marché du travail après l’obtention du diplôme.
1. Acquérir des connaissances et de l’expérience dans son domaine d’études
Le programme coop de l’École de gestion Telfer est un excellent moyen d’aller chercher jusqu’à 16 mois d’expérience dans son domaine d’études.
À Telfer, les stages coop permettent :
- de mettre en pratique ce que l’on apprend en classe;
- d’améliorer ses compétences;
- de se fixer des objectifs d’apprentissage, de rendement et de perfectionnement en leadership au début de chaque mandat, sous la direction constante de l’employeur et du bureau coop;
- de découvrir les différentes options de carrière s’offrant à chacun(e) sur le marché du travail;
- de tester différents milieux de travail (au gouvernement, dans le secteur privé, dans des ONG, etc.);
- de déterminer le cheminement de carrière paraissant le plus inspirant et le plus adapté.
2. Améliorer son réseau de contact et établir des relations significatives
Parmi les employeurs pour lesquels les étudiantes et étudiants de Telfer peuvent aller travailler, mentionnons le gouvernement du Canada, Nokia, le Canafe, The Growcer et PricewaterhouseCoopers.
En participant à un programme coopératif chez Telfer, tu auras l’occasion :
- de t’engager auprès de personnes inspirantes dans ton domaine d’études;
- d’établir des liens avec des mentors et des conseillers de différents milieux et de tirer des enseignements de leur expérience.
Ces liens précieux t’aideront plus tard dans ta recherche d’emploi grâce aux recommandations de tes contacts. Si tu es recommandé(e) par un employé à un poste pour lequel tu auras posé ta candidature, tes chances d’obtenir une entrevue seront de 50 %, et tes chances d’être embauché(e) de 20 %. Sans recommandation, les chances de décrocher une entrevue tombent à seulement 3 % et celles d’être embauché(e) à 1,2 %.
3. Gagner un avantage concurrentiel et se distinguer des autres
Si tu veux être en mesure de donner à un employeur potentiel une bonne raison de t’embaucher, alors choisis le programme coopératif. De nos jours, même pour des postes de niveau débutant, les employeurs exigent que les chercheurs d’emploi aient au moins quelques mois d’expérience dans leur secteur d’activité.
Le programme coop de l’École Telfer est aussi l’occasion :
- d’acquérir plus d’une année d’expérience à temps plein dans son domaine d’études avant la fin d’un programme de baccalauréat;
- d’explorer différentes possibilités en travaillant à temps partiel pour élargir ses horizons, et d’être davantage exposé au milieu de travail.
4. Acquérir une précieuse expérience de travail tout en étant rémunéré(e)
Que tu cherches à rembourser tes prêts étudiants, à financer ton trimestre ou même à économiser de l’argent pour l’investir plus tard dans ton entreprise, l’option coop de l’École Telfer te donnera toutes ces possibilités. Tu acquerras la visibilité dont tu as besoin et tu te développeras sur les plans personnel et professionnel. Les employeurs participant à un programme coopératif sont tenus de verser aux étudiants au moins le salaire minimum pendant leurs périodes de travail, mais les salaires des étudiants participant au programme Telfer peuvent atteindre 30 $ de l’heure, ce qui représente plus de 15 000 $ pour une période de quatre mois, et 60 000 $ en tout pour les quatre périodes de travail.
À chacun de mes stages du programme coopératif, mes superviseurs ont fait des pieds et des mains pour m’aider à atteindre mes objectifs d’apprentissage, de rendement et de leadership. J’ai eu la chance de sortir de ma zone de confort, d’aider à organiser un événement Tedx, d’apprendre le codage, d’établir des liens qui m’ont permis d’aller chercher d’autres possibilités d’alternance travail-études, de mettre en pratique mes compétences en expression orale, de travailler pour le gouvernement du Canada (ce qui ne me semblait pas possible en tant qu’étudiante étrangère) et, par-dessus tout, de pratiquer ce que j’aime le plus : la gestion des ressources humaines.
Si tu n’as pas déjà soumis de demande d’inscription à un programme coopératif, c’est le moment de le faire. Si tu es déjà inscrit(e), alors tire le maximum de tes stages et fais profiter les autres du meilleur conseil qu’un employeur te donnera.
- Catégorie : La voix des étudiants
Ressens-tu le besoin d’aller étudier ailleurs que sur le campus? Tu cherches un endroit différent et nouveau? Tu aimerais un bon latté, une petite collation, un repas simple et pourquoi pas un smoothie santé tant qu’on y est? Ne cherche pas plus loin.
Voici les neuf meilleurs lieux où aller étudier à Ottawa, parfaits pour améliorer ta productivité!
Happy Goat Coffee Co.
229, rue Rideau; 317, rue Wilbrod; 326, rue Elgin; 1091, rue Bank; 35, rue Laurel et 145, rue Main.Photos de : https://www.facebook.com/HappyGoatCoffee/photos/rideaucumberland-our-new-cafe-is-now-open-on-229-rideau-street-were-very-excited/2199349310088007/
Tu peux toujours miser sur Happy Goat Coffee Co. si tu recherches un endroit confortable où te plonger sérieusement dans le travail. Cette chaîne a plusieurs emplacements à Ottawa, dont deux tout près du campus, qui sont parfaits pour celles et ceux en quête d’un bon café pas loin et facile d’accès. Les cafés de cette chaînes sont parfois bruyants et occupés, alors assure-toi d’apporter tes écouteurs pour t’immerger dans ta musique favorite et pouvoir te concentrer sur ton travail. Dans mon cas, ce sont des morceaux avec le son de la pluie, le café jazz et Tropical House.
The Ministry of Coffee
274, rue Elgin, 18, avenue Beechwood; 200, chemin Tremblay et 1013, rue Wellington OuestPhotos de : https://www.instagram.com/theministryofcoffee/?hl=en
The Ministry of Coffee est l’un des meilleurs cafés que j’ai visités à Ottawa. Non seulement il est parfait pour y faire des photos à mettre sur Instagram, mais on y trouve les meilleurs cafés et boissons que j’ai jamais vus. Et puis, ils font un latté au Nutella… que tu mérites bien, nous sommes d’accord.
Eve Café
50, rue Rideau (Centre Rideau)
Photo de : http://brookemolly.weebly.com/blog/coffee-with-a-view
Ce café extrêmement discret constitue l’endroit parfait pour une séance d’étude en solo ou avec des amis. Il est baigné de lumière naturelle grâce à de grandes baies vitrées qui procurent une vue absolument incroyable sur le centre-ville d’Ottawa. Ce petit café est niché au quatrième étage du magasin Simons, au Centre Rideau, et le personnel y est très amical. Le seul inconvénient, c’est qu’il n’y a pas de prises électriques, alors prends soin de charger ton portable et ton téléphone avant de t’y rendre.
Bridgehead
50, rue Rideau, 224, rue Dalhousie; 265, avenue Laurier Ouest; 96, rue Sparks; 109, rue Bank et bien d’autres
Photos de : https://www.bridgehead.ca/pages/366-bank-st-at-gilmour-st et https://www.instagram.com/bridgeheadcoffee/?hl=fr
Bridgehead est une chaîne locale d’Ottawa qui vend du café équitable dans une vingtaine d’emplacements à Ottawa, ainsi que des breuvages et des bouchées. Dans un Bridgehead, je suis toujours sûre de trouver une excellente ambiance d’étude et un chai latté exquis, ainsi qu’une barre énergétique pour me mettre dans le rythme du travail.
Le Centre national des Arts
1, rue ElginTu recherches un endroit différent qui n'est pas un café et qui ne se trouve pas sur le campus? Alors ta solution s’appelle le Centre national des Arts. On y trouve un vaste espace public ouvert de 6 heures à minuit, avec Wi-Fi gratuit, situé au cœur du centre-ville. Tu pourras y prendre tes aises et t’installer dans n’importe quelle zone libre d’accès chaque fois que tu devras faire un marathon d’étude. Et puis, tu y trouveras aussi un café à l’intérieur, au cas où tu aurais besoin de caféine ou de manger une bouchée.
Lollo Salads
60, rue GeorgePhotos de : https://www.instagram.com/p/BvzuKU3lMzB/ et https://www.instagram.com/lollosalads/?hl=fr
Lollo Salads, qui a ouvert ses portes récemment, est rapidement devenu l’un de mes endroits préférés pour étudier. Situé dans le marché By, ce café douillet à l’ambiance excellente propose des salades fantastiques. Le lieu est également idéal pour prendre une pause du campus et déguster un repas santé avec un ami ou une amie.
Jackson Café
10, avenue Daly
Photo de : https://westofmaindesign.com/pages/bar-jackson-jackson-cafe-2
Ce chic café est situé dans la Galerie d’art d’Ottawa, juste en face de l’édifice Desmarais. Jackson Café arrive en tête du palmarès pour ce qui est de la qualité, du service et de l’atmosphère, et il ne te décevra pas, crois-moi! C’est là où tu dois aller si tu as envie de te faire une petite séance d’étude en plein milieu de journée, dans un café chic à l’ambiance agréable, situé à deux enjambées du campus.
Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank et plusSi tu veux un endroit hyper tranquille où tu pourras vraiment te concentrer, songe à une des succursales de la Bibliothèque publique d’Ottawa. L’accès Wi-Fi y est gratuit dans les divers emplacements aux quatre coins de la ville. C’est un choix gagnant!
Pure Kitchen
340, rue Elgin; 345A, rue Preston; 357, chemin Richmond et 499, promenade Terry Fox
Photos de : https://www.instagram.com/purekitchenottawa/
Nous savons tous que tu pourrais profiter d'une pause d'étude et de cappuccino glacé au bruyant Tim Hortons de CRX pour déguster un smoothie santé. Pure Kitchen est un restaurant végétalien et végétarien offrant des produits sains et réconfortants. On y trouve des breuvages fouettés et des jus avec injections d’élixir santé incroyables. Je te recommande d’aller à celui d’Elgin et de t’installer au bar qui est un coin tranquille pour étudier. J’y vais quand j’ai des lectures à faire et que j’ai besoin d’un coup de pouce santé. Ah, et aussi : excellente ambiance musicale!
Voilà, j’ai énuméré quelques-uns de mes lieux préférés où étudier à Ottawa et j’espère que l’un d’eux deviendra le tien également!
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Il peut être a priori intimidant de choisir une université où poursuivre ses études. Pour certains, il suffit de consulter le classement des établissements et de choisir le meilleur programme qui soit. Pour d’autres, la proximité du domicile et le coût peuvent être des facteurs déterminants. Après avoir décidé de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, j’ai découvert que celle-ci avait beaucoup plus de choses à offrir qui auraient pu influer sur ma décision, au-delà du fait que Telfer est reconnue comme une école de commerce de premier rang dans le monde.
Durant mes quatre années passées à l’École de gestion Telfer, j’ai trouvé sept grandes raisons expliquant le côté unique et enrichissant de l’expérience Telfer.
Voici donc sept bonnes raisons pour lesquelles aller à Telfer :
1. Un diplôme de grande valeur
Alors que j’étais encore au secondaire, j’ai fait des recherches sur les différentes universités envisageables pour moi en m’intéressant premièrement à l’aspect financier et à la valeur du diplôme de chaque université.
L’École de gestion Telfer fait partie du 1 % des premières écoles de commerce au monde, au titre de trois niveaux d’agrément. Cette réputation mondiale d’excellence a beaucoup joué dans ma décision de me tourner vers Telfer. De plus les droits de scolarité y sont raisonnable au vue de la valeur d’un diplôme délivré par ce qui est une excellente université. Pour moi, cette combinaison signifiait que Telfer m’offrait le meilleur rapport qualité-prix, autrement dit, qu’elle allait m’en donner pour mon argent.
2. L’emplacement d’abord et avant tout
L’École Telfer est située au cœur du centre-ville d’Ottawa. On a l’impression d’être dans une grande ville, mais sans le brouhaha (ni les prix) caractéristique d’autres grandes villes universitaires. Ce qui est bien avec cet emplacement, c’est que tout se trouve à proximité. Qu’il s’agisse de musées, de sites historiques comme la Colline du Parlement et le canal Rideau, d’épiceries, de restaurants, de boutiques, de la vie nocturne et d’à peu près tout ce à quoi on peut penser : tout est à 10 ou 15 minutes de marche de Telfer.
3. Un programme d’enseignement coopératif
Ottawa a la réputation d’être une ville gouvernementale, ce que je ne contesterai pas. Toutefois, Ottawa a aussi un secteur privé en pleine ébullition qui offre de nombreuses possibilités d’emploi. Ce qu’il y a de bien avec le programme coop de l’École Telfer, c’est qu’il est vraiment facile de postuler pour différents emplois et que l’on peut choisir entre le secteur public et le secteur privé pour se faire une idée de ce qu’on pourrait aimer dans une future carrière. L’emploi que j’ai occupé tout au long de mes études a été celui que m’a procuré le programme d’enseignement coopératif. Je ne l’aurais jamais décroché sans ce programme et, surtout, si je n’avais pas pris la décision de m’inscrire à Telfer.
4. L’immersion en français
Bien que je n’aie pas personnellement choisi le régime d’immersion en français, je connais bien des gens qui s’y sont inscrits et je me suis renseigné sur leurs expériences. Le régime d’immersion en français de Telfer permet aux étudiants de suivre une partie de leurs cours dans cette langue. Si tu es anglophone et que tu souhaites renforcer ton français, ou si tu es francophone et que tu désires améliorer ton anglais, tu auras l’occasion unique de fréquenter l’une des rares universités à offrir un programme d’immersion en français à Telfer. De plus, tu recevras une bourse de 1 000 $ simplement parce que tu suivras le régime d’immersion en français!
5. La collaboration
À Telfer, tu auras l’occasion de travailler avec un grand nombre de personnes venant de tous les horizons et d’apprendre d’elles. Si tu étudies à Telfer, sache qu’environ 20 % des étudiants sont étrangers, et j’ai personnellement eu l’occasion de travailler avec des étudiants d’Allemagne, d’Inde, de Chine, de Corée du Sud, du Kenya et d’autres parties du monde. Une communauté aussi diversifiée permet de se faire de nouveaux amis et de tisser des liens dans de nombreux endroits de la planète. Je peux honnêtement dire que tous mes projets de groupe à Telfer ont été une expérience positive.
6. Des projets uniques
À Telfer, j’ai eu l’occasion de participer à de nombreux projets uniques auxquels je ne m’attendais pas. Le cours de management stratégique de quatrième année donne la possibilité de participer à ce qu’on appelle la simulation de stratégie Intopia, où les étudiants se plongent dans toute une série d’activités, un week-end durant, à la barre de leur propre entreprise. Ils doivent négocier, prendre des décisions et essayer de maximiser leurs résultats pour enfin gagner la compétition. Intopia est reconnue comme une simulation de stratégie commerciale de premier plan, et Telfer est l’une des seules écoles à l’offrir.
De plus, les étudiants peuvent acquérir une expérience concrète en travaillant pour des entreprises réelles dans le cadre de projets de classe. Pour ma part, j’ai eu l’occasion de travailler pour Badminton Canada et pour le Musée canadien de la nature à l’élaboration de campagnes de marketing et de stratégies promotionnelles. J’ai non seulement trouvé cette expérience gratifiante, mais il s’est aussi avéré qu’elle était idéale pour mon curriculum vitae… Tout cela fait partie de votre programme à l’École Telfer.
7. Le Centre des carrières
Le Centre des carrières offre divers ateliers aux étudiants, notamment sur la façon de préparer un curriculum vitæ, de réussir une entrevue en plus de nombreux autres types d’ateliers. De plus, tu auras la possibilité de rencontrer des conseillers en orientation qui pourront t’aider à mettre le cap sur ton objectif. Le fait de pouvoir compter sur une ressource qui t’accompagne dans ton perfectionnement personnel et professionnel est très utile au moment d’entrer sur le milieu de travail.
Le Centre des carrières organise également des événements de réseautage à Telfer. Ce genre d’activités attirent tout un éventail d’entreprises avec lesquelles on peut s’entretenir et établir des liens susceptibles de se transformer en débouchés d’emploi. De plus, les ateliers susmentionnés et les activités de réseautage vont de pair à Telfer, car ces dernières sont l’occasion de mettre en pratique les connaissances acquises lors des ateliers.
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À cause de la politique de distanciation sociale en vigueur pendant la pandémie de COVID-19, les étudiants sont maintenant confrontés au défi de devoir passer des examens en ligne. Bien que ce changement puisse être effrayant pour certains, moyennant une préparation suffisante, tout un chacun peut apprendre à tirer le meilleur parti de cette nouvelle réalité.
Voici quatre conseils pour te préparer aux examens en ligne :
1. Élaborer des stratégies sur ce qu’il faut étudier
Afin de bien étudier pour les examens finaux, une liste des principaux sujets de cours et chapitres du manuel à réviser peut s’avérer utile pour ne pas s’égarer en route. Fais attention à ce que les professeurs disent du format et des sujets de l’examen. Ils peuvent laisser entendre qu’il faut accorder davantage d’importance à tels chapitres plutôt qu’à tels autres. Si tel est le cas, note les chapitres les plus importants en tête de ta liste de priorités pour bien répartir ton temps de révision.
Tu peux diviser cette liste en différentes tâches comme : « lire le chapitre 8 », « faire les problèmes pratiques du chapitre 11 » ou « examiner les notes du chapitre 5 », que tu pourras cocher au fur et à mesure que tu les auras terminées. Cette manière de procéder t’aidera à te sentir productif ou productive, puisque tu verras sur la liste ce qui a été coché et ce qu’il te reste à faire.
2. Organiser un coin travail
Au moment de passer tes examens, il te sera peut être utile d’organiser un coin travail qui contribuera à te mettre dans le bon état d’esprit et qui t’offrira un poste de travail exempt de distractions. De petites tactiques comme un bureau dégagé et une pièce propre peuvent aider à réduire le stress associé à l’examen.
De plus, tu devras veiller à disposer de tous les éléments nécessaires pour passer l’examen en ligne dont une bonne connexion Internet et tes identifiants de connexion à portée de main. Vérifie ta connexion Internet avant ton examen. Tu peux aussi penser à redémarrer ton modem pour t’assurer que le réseau ne lâche pas en plein milieu de l'examen.Tu devras également t’assurer d’avoir sur ton poste de travail du papier et tout ce qu’il faut pour écrire afin de pouvoir réfléchir rapidement à propos des idées que tu devras peut-être noter.
3. Se préparer au format de l’examen
Les examens peuvent comprendre des questions à choix multiples, à réponse courte et à réponse longue. Il y a une grande différence entre un examen en salle et un examen en ligne : dans le dernier cas, on peut écrire et modifier plus rapidement son texte que par écrit. Autrement dit, tu auras peut-être plus de temps pour formuler tes réponses, à condition de taper plus vite que tu n’écris.
De plus, si tes examens se font à livre ouvert, une autre bonne tactique consiste à se familiariser avec ses manuels et à revoir ses notes. Tu pourrais être encore plus efficace à l’aide d’un manuel en ligne ou de notes numériques, car tu pourrais alors utiliser la fonction CTRL-F pour chercher rapidement un sujet précis. Tu peux également copier toutes les diapositives de la conférence dans un seul fichier afin de faciliter la navigation.
4. Visionner des vidéos en ligne pour comprendre des concepts difficiles
Si tu trouves que certains concepts sont difficiles à comprendre, tu pourras trouver en ligne d’excellentes vidéos susceptibles de t’apporter une explication supplémentaire sur un sujet déroutant. Internet regorge de vidéos éducatives expliquant les théories d’un point de vue différent.
Un exemple de source en ligne utile est KhanAcademy, qui permet de mieux comprendre des sujets complexes comme les statistiques et les mathématiques. Plutôt que de participer à des groupes de discussion sur le campus, ces vidéos en ligne peuvent t’aider à explorer un sujet donné ou à te faire une idée plus claire de ce dont traite l’exercice à résoudre.
Prends aussi connaissance des conseils de Camély Gendron, étudiante de deuxième année au BCom, sur le blogue du Centre des carrières Telfer. Bonne chance pour tes examens de la Telfer Nation!
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Avoir un passe-temps est une excellente façon d'occuper son temps libre et de se détendre après une journée passée à étudier et en cours. Se consacrer à une activité que l’on aime peut améliorer la santé mentale et réduire le niveau de stress.
Voici quelques idées de passe-temps qui t’inciteront à abandonner ta routine et à te concentrer sur une activité sans lien avec tes études pendant quelques heures. Il s’agit d’activités à faire seul, avec un ami ou en groupe. Tous ces passe-temps peuvent être l’occasion d’acquérir de nouvelles compétences, de simplement soulager son stress ou de partir à la découverte de ce qui pourrait devenir une nouvelle passion!
1. Apprendre la poterie à la Hintonburg Pottery
Tu pourras y suivre un atelier ou t’inscrire à une série de cours. La Hintonburg Pottery propose une vaste sélection d’ateliers dirigés s’adressant à des débutants, où chacun peut créer de magnifiques pièces de poterie à rapporter à la maison! Le coût des ateliers uniques débute à 75 $.
2. Suivre un cours d’art à la Ville d’Ottawa
Est-ce que le théâtre, la musique, la danse, la peinture, le dessin ou à peu près n’importe quelle autre forme d’art t’intéresse? Eh bien, la Ville d’Ottawa a sûrement un cours pour toi. Découvre une nouvelle technique et apprends à connaître les gens de ta communauté. Le prix des cours commence à 24 $, et chacun peut en trouver un à la mesure de son budget.
3. Suivre un cours de menuiserie au Ottawa City Woodshop
Le Ottawa City Woodshop propose une grande variété de cours pour tous les niveaux de compétence. Tu pourras apprendre à y fabriquer n’importe quoi, du toboggan à la table basse. Les cours commencent à 150 $, mais la qualité de l’apprentissage est inestimable, en plus de rapporter un beau produit chez soi. De plus, si tu aimes travailler le bois, tu pourras fabriquer tes propres créations en prenant une adhésion mensuelle.
4. Peindre sur céramique au Mud Oven
Tu peux choisir parmi une vaste sélection de figurines, de tasses, de vases et de pots préfabriqués et faire ensuite preuve de créativité en les peignant à ton goût. Les articles glacés et cuits peuvent être ramassés une semaine plus tard. Les céramiques commencent à 17 $ l’article.
5. Apprendre l’escalade au Coyote Rock Gym
Le Coyote Rock Gym a été le premier centre d’escalade à Ottawa. Il offre cinq murs d’escalade de difficulté variable, ce qui en fait un excellent endroit pour apprendre les rudiments. La leçon d’initiation pour nouveaux grimpeurs est gratuite, et pour seulement 40 $, tu pourras suivre un cours de deux heures portant sur les techniques d’escalade de base, la terminologie et plus encore.
6. Apprendre la boxe aux Beaver Boxing Club
Le Beaver Boxing Club est l’un des clubs sportifs les moins chers d’Ottawa. Il s’agit en fait d’un organisme sans but lucratif qui offre des frais d’adhésion incroyablement bas aux étudiants. Tu pourras y suivre un cours de technique de boxe pour seulement 12 $, ou joindre le club pour tout un mois pour 42,22 $ grâce au rabais étudiant.
7. Suivre un cours de yoga à Elevate Yoga
Pourquoi pas une classe de yoga à Elevate Yoga pour 20 $ moins le rabais de 20 % pour étudiant. Elevate Yoga offre des cours pour tous les niveaux de compétence, ce qui en fait un excellent endroit où apprendre. De plus, Elevate a un programme de bénévolat où, moyennant 3 h 30 de travail par semaine on a droit, en échange, à une participation illimitée aux classes de yoga. Quelle aubaine pour étudiants cassés!
8. Cours de cuisine à La Bottega Nicastro
Tu aimes la cuisine italienne? La Bottega Nicastro propose une grande variété de cours de cuisine et de dégustation de vins. Découvre tout sur les aliments provenant des différentes régions d’Italie et déguste ensuite un repas trois services. Les prix pour ce voyage des saveurs commencent à 60 $.
9. Donne de ton temps à Bénévoles Ottawa
Il peut être extrêmement gratifiant de rendre à la collectivité ce qu’elle nous a donné. Le bénévolat est un excellent moyen de sortir de sa routine, de faire de nouvelles connaissances et d’aider celles et ceux qui en ont besoin. Trouve donc une cause qui te parle!
10. Apprends une nouvelle compétence en ligne
Tout le monde n’est pas en moyen de se payer des cours structurés. Sur Internet, tu trouveras des milliers de ressources en ligne sur tous les hobbies susceptibles de t’intéresser. Voici quelques idées à explorer :
Comme tu peux voir, les possibilités de hobbies ne manquent pas. Un passe-temps est l’occasion de faire preuve de créativité et de se détendre pendant un semestre scolaire exigeant. J’espère que cet article t’a inspiré et, si c’est le cas, n’oublie pas de le répercuter à tes amis! Si tu veux plus de contenu sur ce qu’il y a à faire à Ottawa, visite https://www.rebeccastiletto.com/.
- Catégorie : La voix des étudiants
La décision de faire ou pas des études en commerce peut être difficile à prendre pour un diplômé du secondaire ou un passionné d’affaires qui aspire à lancer sa propre entreprise. Et cela, c’est sans compter l’influence des nombreux récits populaires de décrocheurs universitaires qui ont fini par devenir des magnats du monde des affaires.
Tu te demandes peut-être s’il vaut la peine d’aller à l’école de commerce avant de te lancer en affaire à ton compte.
Eh bien, moi, je peux te dire qu'y faire des études m’a effectivement aidé à lancer ma propre entreprise.
En 2019, après avoir été pigiste et consultant pendant des années, j’ai fondé à Ottawa une agence de marketing numérique que j’ai appelée myMarketing.io. Je lui ai donné pour mission d’offrir un service marketing numérique de grande qualité à prix abordable aux entreprises en démarrage et aux PME.
Je l’ai en fait lancée tandis que je faisais mes études. Aujourd’hui, six mois plus tard, myMarketing est une équipe de trois personnes qui a déjà une bonne clientèle. Bien que d’autres facteurs aient joué un rôle dans le succès de l’entreprise, comme notre expérience professionnelle à tous, un réseau solide et des ressources suffisantes, la fréquentation d’une école de commerce a sans aucun doute été très utile dans mon cas.
Voici les 10 principales façons dont l’école de commerce m’a aidé à démarrer mon entreprise :
1. Réseau de connexions étendu
Le plus grand avantage que peut apporter une école de commerce est son réseau de contacts étendu. En gestion d’entreprise, le réseautage est l’une des clés du succès. Il peut même arriver qu’une seule relation précieuse fasse toute la différence entre la faillite et la prospérité.
La fréquentation d’une école de gestion permet donc de se bâtir un réseau et d’établir des liens avec des personnes aux vues similaires, qui ont des intérêts commerciaux semblables. De telles relations peuvent être autant de passerelles vers des occasions d’affaires lucratives pour l’entreprise future. Elles sont un atout pour le reste d’une carrière. C’est peut-être difficile à imaginer, mais une relation établie à l’université peut devenir plus tard un client, un partenaire, un collègue, un mentor ou un investisseur.
Voici un simple exemple qui remonte à l’époque où j’ai lancé ma propre entreprise. Quand j’ai commencé à chercher des employés pour ma nouvelle entreprise, les premières personnes à qui j’ai pensé ont été mes collègues d’université. Comme je les connaissais déjà et que j’avais déjà travaillé avec eux, j’ai pu embaucher des personnes dont le profil convenait le mieux à mon entreprise.
Quel que soit le secteur d’activité, il faut absolument pouvoir compter sur des employés de qualité si l’on veut faire croître son entreprise. C’est en prenant le temps d’investir dans la création de réseaux qu’on parvient à trouver des candidats qualifiés. Il s’agit aussi d’une méthode très efficace pour découvrir la capacité de chacun à faire le travail.
2. Expérience coopérative précieuse
L’autre avantage des écoles de commerce tient à la possibilité qu’elles donnent de s’inscrire dans un programme travail-étude. Dans le cadre d’un tel programme, les entreprises embauchent des étudiants à titre temporaire en vertu d’une entente mutuellement avantageuse entre l’étudiant, l’employeur et l’établissement d’enseignement.
Les étudiants qui participent à des stages coopératifs dans des écoles de commerce acquièrent une expérience pratique précieuse. Il est, certes, important d’étudier et de suivre les cours, mais les programmes coopératifs aident énormément les gens à développer leurs compétences professionnelles. Ils leur permettent de « mettre un pied dans la porte » et de commencer leur carrière dans leur domaine d’études.
Mon expérience du programme coop m’a aidé à mieux définir mes intérêts, à acquérir des compétences dans mon domaine et, surtout, à établir de précieux liens d’affaires.
Découvrir ce qui m’intéressait : Mon expérience de stage coopératif m’a permis d’explorer davantage mes domaines d’intérêt et de découvrir lesquels m’intéressaient et lesquels n’étaient pas faits pour moi. Cela m’a aussi donné l’occasion de tester mes forces et mes faiblesses et de voir dans quels pans de mon domaine je pouvais exceller.
Développer mes compétences : Les cours de commerce portent surtout sur l’aspect théorique des affaires, mais le côté pratique fait défaut. Heureusement, le programme coopératif m’a permis d’aller chercher une expérience pratique grâce à laquelle j’ai pu aiguiser mes compétences et lancer mon entreprise.
Élargir mon réseau : Mon expérience de stage a joué un rôle déterminant dans l’orientation de ma carrière professionnelle. Les liens que j’ai établis dans le cadre de mes stages coopératifs sont encore très pertinents pour ma carrière aujourd’hui. Certains de mes contacts sont devenus des collègues, d’autres sont des clients et d’autres encore des promoteurs de mon entreprise.
Qu’on en soit conscient ou pas, une chose est certaine : tout programme coopératif qui procure une expérience professionnelle dans son domaine de prédilection joue un rôle très important dans une carrière.
3. Savoir-faire général en affaires
Beaucoup de jeunes entreprises échouent en raison du manque de connaissances professionnelles de base de leur fondateur. C’est là qu’une école de commerce peut faire une grande différence. Elles donnent l’occasion aux étudiants de comprendre le fonctionnement de base d’une entreprise en démarrage ainsi qu’un aperçu de chaque grand secteur d’activité.
Tout entrepreneur peut être appelé à assumer la responsabilité de nombreux volets de son entreprise. Il est donc essentiel, pour cette raison même, de comprendre les bases de chaque secteur d’activité, comme la gestion des finances, le suivi des opérations, la commercialisation des produits et les nombreuses autres tâches administratives générales. Les diplômés en administration des affaires ont beaucoup plus de chance de réussir dans la gestion des opérations que ceux qui n’ont pas suivi de formation théorique.
Il ne fait aucun doute que les connaissances générales en affaires que j’ai acquises au cours de mes études ont été d’une très grande valeur quand j’ai lancé mon entreprise. Bien que j’aie toujours été très intéressé par le marketing, mes études en commerce m’ont permis de me familiariser avec les activités quotidiennes essentielles de mon entreprise.
4. Compétences en communications et en présentation
Pour un propriétaire d’entreprise, la communication peut être une des clés du succès. Qu’il s’agisse de diriger des réunions ou de parler en public, il est très important d’avoir de solides compétences en communication et en présentation. Mieux l’on sait communiquer et plus grandes sont les chances que son message influence le public cible.
Pendant tes études en gestion des affaires, tu seras exposé à plusieurs pratiques de communication comme l’art de parler en public, les présentations formelles, le réseautage et ainsi de suite. Pour celles et ceux qui n’ont pas d’expérience ou qui ne sont pas à l’aise à communiquer ou à faire des présentations, la fréquentation d’une école de commerce est l’occasion d’acquérir la pratique tant nécessaire à l’amélioration de ces compétences.
Au cours de mes études, j’ai fait des dizaines de présentations et j’ai communiqué professionnellement avec des centaines de personnes. Cela m’a aidé à améliorer mes compétences de communicateur, notamment pour ce qui est du langage corporel, mais par-dessus tout, cela m’a aidé à gagner en confiance. En tant que propriétaire d’entreprise, je dois donner des exposés à de petits groupes et m’entretenir quotidiennement avec d’autres professionnels du milieu des affaires. Je peux vous dire en toute confiance que je ne serais pas aussi à l’aise ni aussi bien renseigné que je le suis maintenant si ce n’avait été de mes cours en gestion des affaires.
5. Inspiration et orientation
L’école de commerce que j’ai fréquentée m’a beaucoup inspiré et m’a orienté dans le lancement de mon entreprise. Pendant des études en gestion des affaires, on apprend à connaître de nombreux professeurs et collègues de classe qui peuvent se révéler autant de sources non négligeables d’inspiration en matière de perfectionnement professionnel.
Les conseils de mentors et les encouragements de pairs peuvent être un puissant catalyseur dans la vie d’un entrepreneur. Tous ces gens peuvent nous transmettre de précieux enseignements et nous donner une idée de ce qu’il convient de faire et de ne pas faire dans l’administration de sa propre entreprise.
Au cours de mes études, de nombreux étudiants et professeurs m’ont inspiré dans mon parcours, jusqu’à ce que j’en arrive à ce que je suis aujourd’hui. Qu’il s’agisse de professeurs devenus propriétaires d’entreprises prospères ou d’étudiants ayant une entreprise sur le côté, je ne crains pas d’affirmer que tous ces gens-là ont eu un impact sur mon entreprise.
6. Activités hors programme
Une école de commerce permet d’aller au-delà des connaissances théoriques. Elle permet de découvrir d’autres domaines d’intérêt grâce aux activités hors programme, donc en dehors de la salle de classe. Ces activités aident à nouer plus de liens encore et à acquérir de nouvelles compétences ainsi qu’une plus grande expérience professionnelle.
L’adhésion à des clubs universitaires permet de travailler aux côtés d’autres étudiants pour atteindre un objectif commun. On y apprend à gérer ses responsabilités, à travailler en groupe et à acquérir de nombreuses autres compétences importantes qui s’avéreront utiles par la suite dans la direction de sa propre entreprise.
Personnellement, j’ai fait partie de l'Association Marketing de Telfer. Dans ce club, j’ai eu l’occasion de travailler à différents projets et d’établir ainsi des liens vraiment formidables. En plus de ces activités à l’École de gestion Telfer, j’ai pris part à différents concours qui m’ont permis d’acquérir de l’expérience en affaires et d’améliorer mon rendement professionnel global.
7. Accès aux ressources
La plupart des écoles de commerce offrent un soutien complémentaire pendant les études et après l’obtention du diplôme. La réussite d’une entreprise dépend de la qualité des ressources dont elle dispose et, pour un étudiant, une école de commerce donne accès à un grand nombre de ressources appréciables. De la recherche de mentors aux possibilités de financement, l’université donne accès à des ressources qui pourraient autrement être difficiles à trouver.
Pour lancer et faire croître une entreprise, il est important de pouvoir compter sur du financement. Heureusement, les écoles de commerce donnent accès à diverses subventions et possibilités de financement. Nombreuses sont celles qui administrent un fonds spécial pour les entrepreneurs en herbe et qui ont des réseaux solides permettant de présenter ses idées d’affaires à des investisseurs. Par exemple, afin de favoriser et de soutenir l’entrepreneuriat, le Carrefour de l’Université d’Ottawa a un programme de montée en puissance étalé sur quatre mois appelé le Garage Démarrage. La mission de ce programme est de fournir aux jeunes entrepreneurs le mentorat, l’environnement et le financement appropriés pour lancer une nouvelle entreprise.
L’École de gestion Telfer donne également accès à des entrepreneurs et à des mentors expérimentés. En entrepreneuriat, l’expérience est considérée comme l’un des atouts les plus importants. Trouver le bon mentor pour vous aider à mettre votre entreprise sur les rails est l’une des meilleures façons d’acquérir de l’expérience. Un mentor peut apporter les connaissances nécessaires à l’amélioration de la prise de décisions d’affaires et à l’augmentation des chances de réussite.
Pendant mes études, l’Université d’Ottawa m’a donné accès à de précieuses ressources comme un réseau solide de relations, des mentors, des bases de données et ainsi de suite. Ces ressources seront un atout pour mon entreprise pendant longtemps encore. J’ai déjà pu profiter des ressources offertes à l’université et j’ai l’intention de continuer à en tirer parti pour faire croître mon entreprise.
8. Esprit d’équipe et leadership
Devenir un bon leader n’est pas facile; il faut posséder de l’expérience, des connaissances et tout un ensemble de qualités importantes. Cependant, une seule chose peut permettre à quiconque d’améliorer ses compétences en leadership : la pratique! À l’École de gestion Telfer, les étudiants ont l’occasion de mettre leurs compétences en pratique en participant à des projets d’équipe et à des présentations. Le fait de pouvoir évoluer au sein de nombreux groupes différents pendant ses études permet de développer et de perfectionner ses compétences globales en leadership.
En marge des études théoriques, la participation à des activités parascolaires peut permettre d’acquérir des compétences en leadership et d’améliorer sa capacité à travailler en équipe. Gérer les activités quotidiennes des clubs universitaires et travailler avec ses coéquipiers pour atteindre un objectif commun sont d’excellentes façons de développer ses capacités de leadership.
À Telfer, j’ai participé à de nombreuses activités qui exigeaient un travail d’équipe. Les précieuses leçons que j’ai tirées de ce mode de collaboration et du leadership démontré dans le cadre des études, du programme d’enseignement coopératif et des activités hors programme se sont transformées en autant de compétences précieuses pour ma carrière. Ce sont des compétences que j’utilise quotidiennement dans ma gestion et qui sont d’une valeur inestimable dans la réussite de mon entreprise.
9. Travailler sur son projet d’entreprise
Les étudiants qui ont récemment lancé une entreprise ou qui aimeraient le faire pendant leurs études, peuvent demander à travailler sur leur projet dans le cadre de leurs études. Tu constateras que les mandats confiés dans de nombreux cours peuvent être pertinents à ton entreprise et tu pourras donc les reprendre à ton compte. L’occasion est excellente, car chacun a ainsi la possibilité de recevoir des commentaires pertinents de ses professeurs et d’appliquer les apprentissages théoriques à son entreprise.
Pendant mes études, certains de mes cours ont contribué à la réalisation du projet que j’avais en tête. Par exemple, certains des services qu’offre maintenant mon entreprise ont été envisagés dans mon cours « Création d’une nouvelle entreprise ». On m’a aussi confié des projets qui m’ont permis de travailler au lancement de mon entreprise, comme le site Web myMarketing.io qui a été conçu dans le cadre d’un projet de mon cours « Les technologies de marketing numérique ».
10. Amélioration de la crédibilité
Il est indéniable qu’un dirigeant ou une dirigeante d’entreprise qui détient un diplôme d’une école de commerce confère davantage de crédibilité à sa firme. Tu sais déjà qu’un diplôme aide à trouver un emploi, mais tu ne te rends peut-être pas compte qu’un diplôme aide aussi le ou la propriétaire d’entreprise à attirer des clients, des investisseurs et des partenaires.
Pour le succès de l’entreprise, la crédibilité est primordiale et celle-ci dépend de l’acquisition de clients, de la confiance des investisseurs, de la confiance des fournisseurs, de la réputation de l’entreprise et de bien d’autres choses. Un étudiant qui réussit à se bâtir une solide réputation pendant ses études en administration des affaires aura probablement beaucoup plus de succès dans son entreprise.
Tout au long de mes études universitaires à l’École de gestion Telfer, j’ai travaillé fort pour essayer de me démarquer dans chacun de mes cours. Mon travail acharné m’a permis de terminer mon programme avec l’une des meilleures notes de ma cohorte. Ce faisant, j’ai prouvé que j’étais crédible au sein de mon réseau. La crédibilité que j’ai acquise à l’école de commerce sera un atout pour moi pour le reste de ma carrière. Par-dessus tout, le diplôme que je vais recevoir lors de la remise des grades confirmera ma crédibilité de professionnel et la crédibilité de mon entreprise.
Quelques dernières réflexions
Après tout, l’école de commerce a joué un rôle important dans le lancement de ma propre entreprise de marketing numérique. Aujourd’hui, avec tant de concurrents dans cette industrie, je considère que mon expérience à l’école de commerce aura été un atout très précieux pour mon entreprise.
Je suis heureux d’avoir consacré du temps et des efforts précieux à mes études universitaires. Elles ont vraiment porté fruit et seront sans aucun doute avantageuses pour ma carrière et pour myMarketing.io pour les années à venir.
- Catégorie : La voix des étudiants
Chaque trimestre, la simulation de stratégie Intopia donne la possibilité aux étudiants de Management stratégique (ADM4711) de s’affronter sur un marché virtuel où ils doivent vendre deux produits qui leur sont désignés. Les équipes doivent prendre des centaines de décisions qui font appel à des compétences en comptabilité, en finances, en marketing et en gestion. Je me propose donc de te donner des trucs et des conseils utiles pour t’aider à te préparer à la simulation et à élaborer ta stratégie de jeu.
PRÉPARATION
1. Lire le manuel et regarder TOUTES les vidéos de préparation
Même si ça semble aller de soi, les meilleures équipes sont celles qui ont acquis une excellente compréhension du fonctionnement de la simulation, ainsi que de la façon dont leurs décisions influeront sur leurs résultats à chaque période. Le manuel explique comment sont calculés les chiffres du bilan et des états financiers, ce qui est extrêmement important pour calculer ses flux de trésorerie à chaque période.
2. Considérer que chaque ronde d’entraînement est le vrai jeu
Il existe deux façons possibles d’appréhender ce que la simulation appelle les « essais de marché » (terme sophistiqué pour parler des rondes de pratique). La première consiste à essayer autant de stratégies différentes que possible pour, finalement, déterminer les aspects dans lesquels l’équipe pourra exceller, et aussi pour en apprendre davantage sur les différentes facettes du jeu. La deuxième façon de faire consiste à décider d’abord de la stratégie à employer en équipe et à se servir des essais de marché pour la mettre en œuvre et se préparer à la simulation réelle. Les deux approches sont aussi valables l’une que l’autre, l’important étant de prendre les essais au sérieux. À ce stade, il faut veiller à rencontrer les autres membres de l’équipe avant de prendre une quelconque décision, tout comme pendant la simulation elle-même, cela pour essayer de terminer en haut du tableau des meneurs. Une équipe qui se bâtit une bonne réputation au début du jeu ne peut qu’être en meilleure posture pour décrocher des prêts et des contrats à long terme, car les autres équipes ont alors plus confiance dans sa capacité à être rentable.
LE JEU LUI-MÊME
3. Établir des relations le plus tôt possible
S’il est un conseil à retenir entre tous pour espérer remporter la compétition Intopia, c’est qu’il faut établir de bonnes relations avec les autres équipes. Quelle que soit la stratégie choisie, il faut travailler avec différents types d’entreprises (équipes). La signature de contrats couvrant de multiples périodes non seulement te permettra d’atténuer le stress de l’équipe, mais te placera aussi dans une bien meilleure posture pour les périodes suivantes, quand viendra le temps d’acheter ou de vendre plus de stocks en raison de l’augmentation de ta capacité de production et de la demande.
4. Tirer parti de sa position dès le début de la simulation
Cette stratégie ne s’applique pas nécessairement à tous les types d’entreprises, mais si tu es un producteur cherchant à étendre ses activités le plus rapidement possible, il pourrait t’être utile de négocier un prêt auprès d’une autre équipe dès l’amorce de la simulation. Mon équipe, par exemple, un fabriquant du produit X, avait le capital nécessaire pour construire quatre usines au cours de la première période. Or, nous avons décidé de tirer parti de cette capacité pour construire une cinquième usine qui nous a finalement permis de disposer de plus de stocks que tous les autres fabricants du même produit X, et cela pendant une grande partie de la simulation. Dans la simulation de stratégie Intopia, les récompenses vont aux équipes qui savent se montrer entreprenantes, parce que toutes les équipes, ou du moins la plupart d’entre elles, sont rentables. Par conséquent, les équipes qui prennent de l’expansion plus vite que les autres obtiennent un avantage sur la concurrence uniquement en raison de l’importance de leurs stocks.
5. Verser des dividendes le plus tôt possible
L’essentiel de la note accordée au titre de la composante Intopia de l’ADM4711 provient de la « valeur ajoutée » comparative qui est attribuable à la stratégie de l’équipe. Le fait de verser des dividendes d’entrée de jeu permet justement d’accroître cette valeur ajoutée et, éventuellement, de favoriser le réinvestissement dans l’entreprise. Il faut chercher à devenir rentable à partir de la quatrième période pour commencer à mobiliser les gains provenant des différents secteurs d’activité et pouvoir verser des dividendes. Voici d’ailleurs un autre bon conseil à suivre pour gagner Intopia : les dividendes versés doivent augmenter de période en période jusqu’à atteindre le montant maximal (99 999 999 $). Inversement, on doit veiller à ne jamais réduire les dividendes d’une période à l’autre, au risque de voir les actionnaires perdre confiance.
6. Maîtriser sa trésorerie
On en revient à la préparation, car il est extrêmement important de bien comprendre ses flux de trésorerie. Une fois qu’on a une bonne idée des liquidités disponibles pour chaque période, on peut commencer à envisager la construction d’usines ou de bureaux de vente. Ton équipe devrait tenir des tableurs détaillés indiquant, entre autres, le seuil de rentabilité et les prévisions en termes de flux de trésorerie et de chiffre d’affaires (CA). Quand, à chaque période, on constate que les extrants correspondent aux projections, non seulement on se sent moins stressés, mais en plus on se place dans une excellente position pour les rondes suivantes.
7. Ne pas perdre de vue la dimension fiscale
Comme les taux d’imposition ne sont pas les mêmes partout, le déplacement de sommes d’un endroit à l’autre peut permettre d’amenuiser l’imputation des gains par l’impôt. De plus, il peut être avantageux de moduler sa stratégie de vente en fonction des taux d’imposition en vigueur localement (on vendra les produits les plus chers là où les taux d’imposition sont les plus bas), afin, à chaque période, d’attribuer une plus grande partie des bénéfices bruts aux bénéfices non répartis.
J'espère que ces conseils t’aident durant la simulation de la stratégie Intopia et qu’ils te permettent de gagner cette compétition. Si tu as d’autres questions, n’hésite pas à communiquer avec moi sur LinkedIn.
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