Actualités
- Catégorie : La voix des étudiants
Ce qu’il faut savoir à mon sujet, c’est que je suis un grand amateur de compétition de cas. J’ai participé à plus de sept d’entre elles au cours de mes quatre années à Telfer, et je pense quand même que ce n’est pas assez.
J’apprécie particulièrement les Jeux du Commerce (JDC), car c’est la première compétition à laquelle j’ai participé, et c’est celle que je préfère le plus. J’ai tellement aimé mon expérience que j’ai décidé d’être l’un des deux coordonnateurs pour l’édition 2021, avec mon bon ami Scott Dowell. Ensemble, nous avons pour objectif de faire de 2021 l’année de Telfer!
Pour ceux et celles d’entre vous qui n’ont jamais participé à une compétition de cas, en voici la présentation. Vous arrivez à l’hôtel avec 50 à 100 autres étudiants de Telfer, portant tous les mêmes vêtements exclusifs pour représenter fièrement l’école. Il y a une cérémonie d’ouverture, une célébration, puis tu te reposes avant le début de la compétition le lendemain. Il y a trois grands volets auxquels tu peux participer :
- Social : une occasion de mettre en valeur ta créativité et ton esprit d’équipe dans le cadre de divers défis;
- Sport : où tu peux participer à une compétition sportive choisie par le comité organisateur;
- Académique : ton équipe doit résoudre une étude de cas réelle présentée par un commanditaire.
Tout au long de la fin de semaine, lorsque tu ne participes pas à une compétition, tu encourages les autres équipes, fais du réseautage avec les commanditaires et te lies d’amitié avec les étudiants des autres universités participantes. Enfin, l’événement se termine par un gala où les commanditaires et les organisateurs annoncent les gagnants de chaque catégorie.
Regarde la vidéo récapitulative pour découvrir ce qu’il en est!
Participe à une compétition de cas
Maintenant que tu as une idée générale de ce qu’est une compétition de cas, pourquoi y participer à Telfer? Bien qu’il y ait plusieurs raisons, je les ai résumées en trois catégories :
1. Pour réseauter
Participer à une compétition de cas est une occasion unique de réseauter, et en tant qu’étudiant en gestion, tu devrais déjà savoir que le réseautage est l’une des choses les plus importantes que tu peux faire à l’université. Je crois sincèrement que je n’aurais pas eu autant de chance de trouver un emploi si ça n’avait pas été des contacts que j’ai établis dès le début à Telfer. Bon nombre de ces relations sont nées lors des compétitions de cas.
Premièrement, une délégation c’est comme une famille, et grâce aux pratiques, aux événements sociaux, aux réunions et à la compétition elle-même, tu peux créer des liens avec les autres étudiants. Ceux-ci peuvent facilement devenir tes meilleurs amis et même agir à titre de références pour un futur emploi.
Deuxièmement, beaucoup d’entreprises parrainent des compétitions de cas pour réseauter avec les étudiants et les embaucher. Que tu fasses partie de l’équipe du volet social, sport ou académique, cet événement te donne la chance de tisser des liens avec ces recruteurs et de donner ton CV. Si les commanditaires te voient à l’œuvre en train de résoudre un cas, ils pourraient t’inviter à un événement cocktail V.I.P. pour apprendre à mieux te connaître. Plusieurs fois, des étudiants ont trouvé un emploi lors de ces compétitions. Tu pourrais être le prochain!
2. Pour développer des compétences
En participant à une compétition de cas, tu as un entraîneur et tu pratiques fréquemment avec ton équipe. Ce sont d’excellentes occasions pour améliorer tes compétences en matière de résolutions de cas, qui sont extrêmement importantes lorsque tu tentes d’obtenir un emploi dans des domaines concurrentiels comme la consultation. De nombreux cabinets comme Deloitte et Accenture ont une étude de cas dans le cadre de leur processus d’entrevue; le fait d’avoir fait des semaines de pratique et reçu des commentaires d’un coach expérimenté te donnera un avantage concurrentiel.
Les autres compétences que tu développeras et qui sont encore plus importantes, à mon avis, sont les techniques de présentation, la gestion du temps et le travail d’équipe. Ces trois compétences sont essentielles pour postuler à un emploi. Ainsi, participer à cette compétition peut t’aider à trouver le travail de tes rêves.
3. Pour s’amuser
Bien que les deux raisons mentionnées ci-dessus soient bonnes et essentielles à la réussite de tes études en gestion, je n’aurais pas participé à sept compétitions si elles n’avaient pas été amusantes. Certains des meilleurs souvenirs de ma carrière universitaire proviennent de ces diverses compétitions de cas. Que ce soit en regardant l’équipe de l’ultimate frisbee de Telfer remporter la finale de bronze aux JDC 2019, quitter la salle de présentation avec mes coéquipiers Josh et Nafim après avoir présenté notre solution aux JDC 2020, ou voir mon ami Bobby gagner le prix MVP au Happening Marketing 2019, ce sont tous des moments que je chérirai pendant très longtemps.
Cela dit, mes expériences n’ont pas toutes été agréables. Malheureusement, aux JDC 2019, j’ai disloqué mon genou et déchiré mon ligament latéral interne (LLI) dans les 30 minutes suivant le début du premier match de soccer que nous avons joué. Cela signifiait que mon tournoi était terminé et que je devais passer le reste de la journée à l’hôpital. Je pense que le fait que j’adore encore les compétitions de cas après avoir vécu cela prouve à quel point elles sont amusantes!
Dans l’ensemble, je t’ai donné trois bonnes raisons pour lesquelles tu devrais t’inscrire à une compétition de cas à Telfer. D’après moi, le simple fait de recevoir des trucs sympas devrait suffire à te convaincre, mais sinon, cet article devrait le faire.
Je suis actuellement le V.-p. des technologies de l’information et du marketing au comité organisateur des JDC 2022 et je peux te dire que nous planifions quelque chose d’énorme pour tout le monde. Après une année très difficile, nous allons allumer la flamme chez tous les délégués, et tu ne voudras pas le manquer!
Suis le Comité compétitions Telfer et les Jeux du Commerce sur les réseaux sociaux pour plus d’information et d’autres nouvelles.
*Avertissement : toutes les compétitions sont différentes, mais je partage mon expérience d'un format traditionnel, en personne, pour garder les choses simples.
- Catégorie : La voix des étudiants
Après avoir écrit plusieurs examens, j’ai mis au point trois méthodes clés pour préparer mes notes de cours. C’est pénible d’étudier pendant des heures et des heures et d’avoir l’impression que ce n’est toujours pas assez. Si c’est le cas pour vous, sachez que vous n’êtes pas seul.
La première méthode consiste à prendre vos notes et à les transformer en cartes visuelles, ainsi qu’à créer des exercices où vous devez compléter les phrases. La deuxième méthode regroupe les outils qui peuvent être utilisés pour prendre vos notes ou les modifier. La dernière méthode consiste à utiliser vos notes pour créer des cartes-éclair à l’aide de Quizlet et Anki.
Au fil des ans, je me suis rendu compte que certaines méthodes d’étude étaient bonnes pour certains types d’examens en particulier. Par exemple, vous pouvez utiliser la première méthode mentionnée pour les examens à choix multiples ou les questions de type vrai ou faux. Il est utile d’intégrer la technologie dans votre prise de notes, car cela pourrait vous faire gagner du temps et vous épargner du stress. Il n’y a rien de plus énervant que d’avoir à trier des centaines de feuilles de notes. Même si vous êtes organisé, il est très fastidieux de relire toutes vos notes écrites. Maintenant, gagnez du temps et épargnez du stress avec ces trois conseils d’étude!
1. Donnez vie à vos notes
Lors des cours, beaucoup d’étudiants prennent des notes en écrivant mot pour mot ce que dit le professeur. Il ne s’agit pas nécessairement de la méthode la plus efficace pour prendre des notes. Vous avez peut-être l’impression d’être productif et de réussir vos examens, mais ce style « d’étude » est loin d’être le bon. Commencez par prendre vos notes de cours et rendez-les visuellement plus attrayantes. Par exemple, lorsque vous devez mémoriser ou comprendre un diagramme, simplifiez-vous la tâche en l’organisant en petites parties. Faites un code de couleur pour chaque petite partie pour qu’ainsi certains éléments se démarquent du reste de l’information. En plus d’ajouter de la couleur et du design à vos notes, vous pouvez créer des exercices de phrases à trous. Selon le Center for Teaching de l’Université Vanderbilt, la récupération répétée aide les étudiants à améliorer la rétention d’information à long terme. La méthode de phrases à trous vous aide également à obtenir un retour instantané de vos mauvaises réponses. Autrement dit, lorsque vous étudiez au moyen de cette méthode, vous vous souvenez encore plus de certains concepts en recevant une rétroaction rapide des bonnes et mauvaises réponses.
2. Faites de la technologie votre ami, et non votre ennemi
Chaque étudiant veut le plus récent ordinateur portable ou la nouvelle tablette pour ses cours. D’autres ne jurent que par le papier et crayon pour prendre des notes. Et si nous combinions le meilleur des deux mondes? La première chose à faire en tant qu’étudiant est de s’acheter un appareil pour prendre des notes. Il peut s’agir d’un ordinateur portable ou d’une tablette. Si vous avez de la chance, l’achat d’une tablette et d’un laptop peut être la meilleure combinaison d’outils pour prendre des notes. Une fois que vous avez au moins un des appareils mentionnés, commencez à utiliser OneNote ou Notability. Ces deux applications vous permettent de convertir des notes écrites à la main en texte numérique, d’organiser toutes vos notes par cours, de stocker vos notes dans le nuage et de transférer ces notes entre appareils. L’avantage d’utiliser OneNote par rapport à Notability est que tous vos documents Word peuvent être modifiés. Comme je disais plus haut, il faut donner vie à vos notes et c’est encore plus facile à faire avec une tablette. Ne craignez plus les longues équations mathématiques avec un accès sans fin à du “papier” sur une tablette. Enfin, surlignez vos notes avec une couleur, ce qui rend vos notes plus amusantes et intéressantes. N’oubliez pas que nous essayons d’améliorer vos notes tout en ayant du plaisir!
3. Les programmes de cartes-éclair et leur efficacité
Les cartes-éclair sont utilisées depuis des années lors d’allocutions en public, alors pourquoi pas pour étudier? Il y a deux programmes de cartes-éclair très utiles que beaucoup d’étudiants ne connaissent pas. Le premier s’appelle Quizlet. Ce programme est gratuit et vous permet de créer vos propres cartes-éclair ou de chercher des cartes-éclair identiques à la matière de vos cours. La configuration est simple : nommez votre paquet de cartes-éclairs et commencez à ajouter des cartes pour étudier. Pendant que vous répondez aux cartes-éclair, vous pouvez indiquer dans quelle mesure vous connaissez bien une carte-éclair, ce qui a une incidence sur la fréquence à laquelle elle apparaît. L’avantage d’utiliser Quizlet est de pouvoir créer et d’avoir accès à vos cartes sur n’importe quel appareil.
Anki est un autre programme intéressant à découvrir; la version pour PC est même gratuite. Tout comme pour Quizlet, vous pouvez répondre à chaque carte-éclair en indiquant si vous connaissez bien le sujet, et à partir de là, il retournera dans le jeu de cartes ou dans un autre paquet pour être étudié plus tard. Le seul inconvénient de Anki, c’est qu’on doit payer pour la version mobile. Il existe de nombreux autres programmes de cartes-éclair gratuits qui offrent les mêmes fonctionnalités que Anki, mais qui permettent de partager des cartes sur n’importe quel appareil. L’efficacité de ces programmes change d’année en année. Une étude récente a démontré que les étudiants qui utilisaient des cartes-éclair pour étudier obtenaient des résultats plus élevés que les étudiants qui étudiaient seulement leurs notes de cours.
À ce stade, soit vous vous dîtes « J’adore ces conseils! » ou « Je ne vais pas les essayer. », mais avant, récapitulons le tout. Commencez par rendre vos notes visuellement plus attrayantes pour vous, pas pour votre professeur. C’est vous qui les lisez, pas votre professeur. Assurez-vous de bien comprendre ce que vous avez dans vos notes, de cette façon, lorsque vous faites un plan de travail, vous pouvez relier les idées secondaires à l’idée principale. N’ayez pas peur de la technologie, je vous promets qu’elle est là pour vous faciliter la vie! La capacité et le luxe d’organiser toutes vos notes en un seul endroit simplifieront votre préparation à l’examen. Enfin, essayez différentes méthodes d’étude comme les phrases à trous ou les programmes de cartes-éclair. N’étudiez pas à la dernière minute, et prenez l’habitude de garder votre mémoire aiguisée et à l’affût!
- Catégorie : La voix des étudiants
Dès le début de mes études de premier cycle, j’ai été absorbé par les activités d’entrepreneuriat à l’Université d’Ottawa et, au fil des ans, j’ai été ravi de voir la culture entrepreneuriale prendre de l’ampleur sur le campus. Après avoir fait partie de la cohorte de l’été 2018 du programme de Garage Démarrage au Carrefour de l’entrepreneuriat de l’uOttawa (eHub), j’ai été impressionné par le nombre d’idées novatrices produites sur le campus et j’ai été davantage motivé à collaborer avec les étudiants et les diplômés de l’uOttawa.
Les programmes eHub et Garage Démarrage de l’Université d’Ottawa ont été d’excellents outils pour m’aider à développer mon esprit entrepreneurial et à faire croître mes entreprises en démarrage antérieures et actuelles. L’Atelier Makerspace et eHub dans le complexe STEM offrent un espace où les futurs entrepreneurs peuvent collaborer et réseauter avec d’autres étudiants sur le campus.
Tout au long de mon baccalauréat, j'ai eu la chance de bénéficier d'un large éventail d'opportunités de création d'entreprise, notamment en travaillant dans une entreprise axée sur l'intelligence artificielle et en lançant une plateforme de commerce électronique.
Mon expérience la plus récente dans une entreprise en démarrage
Je travaille actuellement sur une startup en technologie de l’éducation appelée The GlobalPass. C’est une application web qui permet aux étudiants de découvrir des universités à travers le monde et de s’y inscrire facilement. Nous les aidons à trouver des écoles qui répondent à leurs besoins, à leurs objectifs financiers et à leurs intérêts scolaires. De plus, le GlobalPass offre aux étudiants des centaines de bourses d’études et donne à ceux qui sont marginalisés accès à des options de financement.
Venir étudier au Canada (ou dans n’importe quel autre pays) peut être intimidant, et le GlobalPass vise à faciliter les choses en offrant un soutien professionnel concernant le visa et en cherchant des logements étudiants abordables.
Dans l’ensemble, le GlobalPass permet aux étudiants d’accéder à des débouchés internationaux et de s’établir dans le nouveau pays qu’ils exploreront en leur fournissant des informations sur les visas, la communauté et le mentorat.
Les possibilités offertes sur le campus
Selon mon expérience, j’ai remarqué que les entrepreneurs peuvent grandement bénéficier de la collaboration avec des pairs dans la communauté des entreprises en démarrage. Si vous voulez lancer une entreprise, je vous recommande donc fortement d’explorer et de profiter de toutes les ressources que vous offre l’Université d’Ottawa pendant vos études. L’École de gestion Telfer et le Carrefour de l’entrepreneuriat de l’uOttawa ont beaucoup de mentors et de fondateurs qui sont prêts à échanger des idées et à vous aider à démarrer votre projet.
Si vous vous intéressez à GlobalPass ou à la technologie de l’éducation, ou si vous souhaitez voir comment votre institution peut tirer profit de notre technologie, n’hésitez pas à me contacter.
- Catégorie : Futurs diplômés
Les étudiants en finance de 4e année à Telfer suivent leur cours intégrateur (Évaluation d’entreprises, ADM 4750) à la fin de leur baccalauréat. C’est l’occasion pour les étudiants de prendre tout ce qu’ils ont appris au cours de leurs études et de l’appliquer à une situation réelle. Ils effectuent une analyse de cas pour évaluer la valeur d’une entreprise donnée et proposent ensuite un plan d’action visant à améliorer son rendement économique.
Ce trimestre, une autre grande compétition du cours intégrateur a eu lieu le 9 avril quand les étudiants du cours d’Évaluation d’entreprises ont travaillé sur une étude de cas visant à évaluer Clearwater Seafoods Inc., le plus grand producteur de fruits de mer en Amérique du Nord. Située à Bedford en Nouvelle-Écosse, l’entreprise a récemment été achetée par Premium Brands Holdings et une coalition de Premières Nations Mi’kmaq, le 25 janvier 2021.
Après une compétition acharnée, les finalistes ont présenté leur travail à distance devant un panel de juges afin de découvrir l’équipe gagnante avec la meilleure stratégie.
Félicitations aux membres de l’équipe gagnante :
- Griffin Brown;
- Fawad Hedjran;
- Harley K. Hubbard;
- Melissa Reyes Chinchilla
L’expérience de l’équipe gagnante
Nous avons parlé aux gagnants et au panel de juges pour en apprendre davantage sur la compétition de ce trimestre. Hubbard a fait part des moments forts de son expérience : « Notre aspect préféré de la compétition était de pouvoir entendre les commentaires de neuf juges distingués. Ken Paul, directeur des pêches à l’Assemblée des Premières Nations, a été très instructif, tout comme Alexander Comeau de Fiera Capital. Dans l’ensemble, ce fut une très belle expérience, rendue possible grâce au soutien du professeur Michael Reynolds. »
Lorsqu’on lui a demandé quels étaient les plus grands défis auxquels a dû faire face son équipe, la charge de travail est la première chose qui lui est venue à l’esprit : « Notre plus grand défi a été au niveau du temps et de la charge de travail requise. Chacun d’entre nous devait trouver un équilibre entre une charge de cours à temps plein, nos activités parascolaires, et nos stages. Nous sommes parvenus au succès en tirant parti de nos forces respectives et en travaillant en équipe », a-t-il conclu.
De plus, Ken Paul a partagé des commentaires très informatifs de la perspective autochtone. Il a affirmé que l’évaluation et la fusion-acquisition de l’entreprise Clearwater ont donné aux étudiants la chance de réfléchir à d’importantes considérations éthiques autochtones : « Une des plus grandes différences entre les pêcheurs autochtones et les pêcheurs non autochtones est le fait que dans notre société canadienne, nous tenons toujours à maximiser le profit. Dans le milieu autochtone, il est essentiel de laisser une partie des ressources aux générations futures. Des notions telles que la responsabilité sociale des entreprises et la durabilité environnementale sont extrêmement importantes et sont au cœur des valeurs des peuples des Premières Nations. »
Paul a insisté sur le fait qu’il fallait « s’assurer que les communautés des Premières Nations abordent cette fusion-acquisition sur une base commerciale afin qu’ils en bénéficient sur le plan économique. » Il a souligné que l'acquisition de Clearwater était commerciale et n’était pas liée aux questions relatives aux traités, comme la question de la pêche autochtone au homard maritime qui a fait la une de l'actualité nationale durant l'automne 2020.
Félicitations encore une fois à l’équipe gagnante pour leur travail et leur excellente présentation!
- Catégorie : La voix des étudiants
Cette dernière année a été pour le moins inhabituelle, mais la section régionale de DECA à l’Université d’Ottawa en a tiré le meilleur parti. Plus la vie quotidienne changeait, plus les cours et les activités des clubs se donnaient en ligne, plus nous comprenions que nos événements annuels se dérouleraient quelque peu différemment. Néanmoins, les deux co‑présidents de notre club, Ethan Koloditzky et moi-même, Sydney Hutchison, étions déterminés à offrir aux délégués une expérience authentique de DECA.
Le club DECA uOttawa accueille les étudiants de premier cycle de toutes les facultés. Il se spécialise dans les compétitions de cas d’affaires, offrant aux délégués un choix de plus de 10 catégories pour résoudre des cas basés sur des problèmes d'affaires réels, en équipe ou en solo. Les étudiants acquièrent une expérience précieuse en matière de résolution de problèmes et de raisonnement, et peuvent se faire des amis formidables en cours de route.
Cette année, malgré les défis que posait le déroulement des compétitions en ligne, DECA uOttawa a accueilli plus de délégués que jamais. Notre équipe a organisé plusieurs activités sociales avec des jeux et des prix pour permettre aux délégués de se rencontrer. Les dirigeants du club ont travaillé très fort pour organiser le concours de cas interne annuel en ligne. Pour la première fois, le club a accueilli des concurrents de l’Université Trent, de l’Université Tech Ontario et de l’Université de Toronto à St. George. L’événement était parrainé par Ross Video et Celtic House Venture Partners. Des conférenciers de Ross Video ainsi que Pete Grieve, PMP, et Elizabeth Audette-Bourdeau, diplômée de l’Université d’Ottawa, ont également participé au concours.
Chaque année en janvier, les délégués des sections régionales de DECA venant de partout au pays se réunissent à Toronto pour participer à la compétition nationale. Cette année, pour la première fois, l'événement s'est déroulé en ligne. De leur chambre à coucher et de leur bureau à domicile, les délégués se sont branchés à Internet pour se mesurer dans l’une des nombreuses catégories proposées. La section régionale de l’Université d’Ottawa a réussi au‑delà de toute attente. Cinq de ses délégués se sont classés dans leurs catégories respectives et se sont qualifiés pour les concours internationaux.
Pour son dernier événement de l’année, la section régionale de l’Université d’Ottawa a décidé d’organiser son propre concours Quizbowl, ce qu’elle n’avait jamais fait auparavant. Le Quizbowl est un événement habituellement tenu lors du volet national que DECA a dû annuler à cause de la COVID. Habituellement, des équipes de quatre participants se mesurent dans le cadre d’un jeu-questionnaire de type Jeopardy. Pour reproduire cette expérience, un tournoi à la ronde a été organisé sur Microsoft Teams, ce qui permettait aux membres des équipes de lever la main pour répondre aux questions.
L'année touchant à sa fin, DECA uOttawa est fière de célébrer son succès et d’encourager ses quatre délégués qui participeront à la compétition internationale de DECA ce printemps : Parker O’Neill, Hussain Kapadia, Antonia Romanisin et Megan Brink.
Nous laissons maintenant la section régionale DECA uOttawa entre les bonnes mains de ses nouvelles co‑présidentes, Geneviève Marquis et Camille Pélet, qui feront de l’année 2021‑2022 une nouvelle réussite.
- Catégorie : Futurs diplômés
Le 6 avril dernier, l'École de gestion Telfer présentait la compétition de marketing Michel Cloutier, une compétition de cas où les étudiants de marketing de 4e année présentent un plan de marketing qui vise à résoudre un problème d'affaires réel pour une entreprise existante. Cette année, l'organisation à l’étude était Postes Canada.
Les étudiants ont reçu le mandat d’élaborer un plan de marketing intégré pour le nouveau produit de prêt simple de Postes Canada afin de capter leur intérêt, les amener à utiliser le service et susciter leur rétention à long terme via l’achat répété. Les équipes finalistes ont ensuite présenté leur travail devant un panel de six juges provenant de l’industrie.
Félicitation à l'équipe gagnante :
- James Cormier;
- Estevao Costa;
- Ryan Coughlan;
- Jackson Hines;
- Paula Jaramillo Palacio;
- Maclain Van Eindhoven
Estevao Costa, membre de l’équipe gagnante, a mentionné que le plus grand défi auquel son équipe a dû faire face était au sujet de l’élaboration de leur plan : « Je crois que notre plus grand défi était de sélectionner l’information que nous voulions utiliser alors qu’il y avait tant de données disponibles. Nous savions que ceci était primordial, puisque l’information sélectionnée serait à la base de notre plan. C’est la raison pour laquelle nous étions l’équipe ayant consacré le plus de temps à l’étude de marché, mais en bout de ligne, nous avons obtenu la première place dans cette catégorie! »
Estevao attribue le succès de son équipe à une grande chimie d'équipe et à l'ambition partagée de chacun de ses membres. Cela leur a permis de créer un espace libre et créatif, leur permettant de proposer de nouvelles idées cohérentes au cas présenté : « Pour moi, la meilleure partie de ce projet a été les séances de remue-méninges lorsque nous travaillions sur la présentation finale pour Postes Canada. » Il poursuit : « Je crois que nous devons l’entièreté de notre succès à la qualité de notre travail d’équipe. Nous nous entendions tous à merveille et savions ce que nous avions à faire pour contribuer au succès de l’équipe. Je crois que cela était mon aspect préféré de la compétition; il est rare qu’un groupe travaille aussi bien ensemble, et c’est quand vous vous retrouvez dans une telle équipe que vous constatez toute la différence que cela peut faire », conclut-il de son expérience.
Félicitations à tous les étudiants en marketing de quatrième année qui ont terminé leur module intégrateur de marketing ce trimestre.
- Catégorie : Futurs diplômés
Du 19 au 21 mars, les étudiants de 4e année au B.Com. à Telfer ont participé à la simulation de stratégie Intopia, une compétition qui fait partie du cours de management stratégique de 4e année (ADM 4711). Les étudiants ont dû appliquer des concepts de management stratégique dans un univers simulé en ligne, où ils doivent prendre des décisions rapides dans une période déterminée et négocier avec leurs pairs pour développer leur entreprise simulée pendant le week-end.
Cet hiver, la compétition s'est déroulée pour la deuxième fois dans un format virtuel. Lorsque questionnée sur les plus grands défis à relever à Intopia ce trimestre, Hanae Merdas, membre de l'équipe gagnante, a répondu : « Je dirais que de vendre l’entièreté de notre inventaire [était notre plus grand défi]. Alors que la compétition avançait, certaines équipes ont eu des difficultés à respecter les contrats au niveau financier. Cela dit, nous avons décidé d’ajouter une clause dans nos contrats pour répondre à ce genre de situation, afin de nous protéger en tant que Producteur X et de nous assurer que l’inventaire était bien livré à chaque équipe. » Dans l'ensemble, l'expérience d'Hanae n'a pas été affectée par l'environnement en ligne : « Même si c'était en ligne, j'ai eu un plaisir fou à rencontrer de nouvelles personnes et surtout à travailler au sein de mon équipe », conclut-elle.
En fait, même si la simulation s'est déroulée virtuellement, cela n'a rien enlevé à l'aspect collaboratif d'Intopia. « Ce que j'ai préféré, c'est collaborer et négocier avec les autres équipes et essayer de voir quelle était leur stratégie », a déclaré Jade Ladouceur, membre de l’équipe gagnante. Elle ajouta : « J’ai vraiment aimé interagir avec les autres et établir des contrats avec eux! Nous nous sommes vraiment efforcés à travailler ensemble afin d’obtenir le plus de succès possible et plusieurs de nos partenaires ont félicité notre équipe à la fin de la compétition, ce que j’ai vraiment apprécié! Je pense que cela montre à quel point nous étions tous solidaires les uns des autres. »
Félicitations à l’équipe gagnante et aux meilleurs producteurs de composants
- Hugo With
- Hanae Merdas
- Jade Ladouceur
- Katerine Delev
- Martin Arnold
Félicitations aux équipes suivantes, qui se sont distinguées dans d’autres catégories prisées
Meilleur producteur de produits finaux : Équipe 56
- Austyn Gaspar
- Jared Coyle
- Josh Joy
- James Cormier
- Angie Gomez
- Kian Pezeshki
Meilleure entreprise intégrée : Équipe 46
- Alexis Raymond
- Nikolas Belanger
- Joy Xu
- Michael Kreshewski
- Shaambhavi Kumar
Meilleur fournisseur de services : Équipe 2
- Amedeo Maurat
- Nicolas Bourdin
- Paul Servant
- William Simard
- Anthony Mahfouz
- Catégorie : Actualités
Après avoir remporté trois titres en 2020, l’équipe d’Enactus de l’Université d’Ottawa s’est de nouveau distinguée lors du concours régional d’Enactus du Canada central. La chapitre Enactus de l’uOttawa a reçu le titre de champion régional du Canada central dans les trois compétitions où elle a participé. Elle a également remporté le prix prestigieux de Best Project Idea (Meilleure idée de projet) - toutes catégories confondues, dans le cadre du défi Scotiabank Climate Action Challenge.
« Je suis heureux de dire que nous avons eu beaucoup de succès lors de la compétition », a dit Carter Barrett, président d’Enactus uOttawa et étudiant de quatrième année au B.Com. avec spécialisation en systèmes d’information de gestion et affaires électroniques. « Nous nous sommes classés premiers dans nos bassins respectifs pour les trois défis auxquels nous avons participé, et nous nous sommes classés premiers au pays pour le concours de Scotiabank Climate Action Idea Pitch Competition avec une nouvelle idée de projet. Nous continuerons de participer au niveau national dans les trois défis! »
« La compétition régionale d’Enactus a été une excellente occasion de célébrer nos réalisations et de réfléchir à de nouvelles idées pour de futurs travaux axés sur l’impact », a ajouté Alexander Parsan, étudiant de première année en comptabilité. Il poursuit : « C'était agréable de travailler avec certains membres de l'équipe que l'on n'a pas l'habitude de côtoyer. »
Alors que le concours se déroulait à distance pour la deuxième année consécutive, Catherine Gingras, étudiante de deuxième année en marketing, a expliqué comment le concours de cette année était important pour elle, étant donné qu’il avait lieu en ligne : « Les concours régionaux d’Enactus Canada sont vraiment le moment cumulatif de l’année, surtout cette année, puisque nous avons travaillé à distance tout le long. C’est là que nous réalisons que tous les efforts accomplis de mai à mars en valent la peine, que ce soit par l’impact que nous avons créé en réduisant les émissions de gaz à effet de serre ou en offrant une éducation financière aux jeunes. »
Les champions régionaux du club d’entrepreneuriat social participeront au concours national d’Enactus du 21 au 29 avril. Bonne chance à toute l’équipe!
Résultats de la compétition
Défi éducation financière du groupe CWB
Canada central – Ligue A champions régionaux
Université d’Ottawa - Poly et Shyne Eyewear
Shyne Eyewear est une entreprise sociale qui crée des lunettes respectueuses de la société et de l’environnement en utilisant du plastique 100 % recyclé localement à l’aide de machines de déchiquetage et de moulage par injection à petite échelle. Le produit de ces ventes sert à financer leur principal objectif, qui est de fournir des lunettes d’ordonnance à ceux qui en ont le plus besoin, tant au Canada qu’ailleurs dans le monde.
Finaliste :
Deuxième finaliste :
Défi Action climat de la Banque Scotia
Canada central – Ligue B champions régionaux
Université d’Ottawa - Poly et Shyne Eyewear
Poly vise à lutter contre les conséquences environnementales massives des déchets plastiques grâce à la fabrication de machines à petite échelle qui peuvent déchiqueter le plastique et le transformer en nouveaux produits à l’aide de techniques de moulage par injection. Leur mission est de permettre à n’importe quelle communauté, n’importe où, de faire du recyclage non seulement une initiative environnementale positive et une infrastructure bénéfique, mais aussi d'en faire un créateur d’emplois et un générateur de profits.
Finaliste :
Deuxième finaliste :
Présentation d’idées de projets - Meilleure idée de projet
Université d’Ottawa - MushPack
MushPack offre une alternative d’emballage durable fait à partir de champignons.
Finaliste :
Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse
Deuxième finaliste :
Défi TD en entrepreneuriat
Ligue C – champions régionaux
Université d'Ottawa - Projet F.L.Y. - Perfect Pitch
Le projet F.L.Y. est un programme qui vise à responsabiliser et à guider les jeunes au moyen d’ateliers pratiques et expérientiels.
Perfect Pitch est un concours de présentation bilingue organisé par Enactus uOttawa dans le cadre du projet F.L.Y. et s’adresse aux élèves du secondaire de l’Ontario dans le but de leur enseigner l’entrepreneuriat et sa viabilité. Il permet aux jeunes d’acquérir des compétences de base en affaires, de faire preuve de créativité et d’initiative.
Finaliste :
Université de Toronto – St. George
Deuxième finaliste :
*Mention spéciale: Certaines photos utilisées dans cette article sont des images d'archives pré-pandémiques.
- Catégorie : Actualités
La septième édition de la Compétition de cas interne de Telfer (CCIT), commandité par Advison Young d’Ottawa, a eu lieu les 13 et 14 mars, où 60 étudiants se sont réunis en ligne pour s'affronter dans un cas de marketing numérique de 24 heures. La cérémonie de clôture du gala a mis en vedette Liora Raitblat, une diplômée de Telfer (B.Com., 2015), qui est aujourd’hui coach en distribution numérique et en méthodologie agile chez Exportation et développement Canada et professeure à temps partiel à l’École de gestion Telfer à titre de conférencière invitée.
Un succès en ligne
La compétition bilingue organisée par le Comité des compétitions Telfer (CCT) était dirigée par trois coordonnatrices et étudiantes de troisième année, Alise Gertsenchtein, Emma Rankin et Patricia Felthman. C’était la première fois que la compétition avait lieu en ligne, mais cela n’a pas empêché les étudiants d’y exceller.
« Nous n’avons même pas les mots pour exprimer à quel point nous sommes fières de tous ceux qui ont participé à la compétition virtuelle et ont surmonté le défi », a déclaré Emma au nom de ses collègues. « Il a fallu beaucoup de temps, d’effort et de polyvalence, mais ce fut une excellente fin de semaine et nous avons très hâte de voir Telfer participer à des futures compétitions de cas! Un grand merci à tous les bénévoles et juges qui ont contribué au succès de cet événement! S’il y a bien quelque chose que nous avons appris, c’est qu’il faut un village pour organiser une compétition de cas », a-t-elle ajouté.
L’enthousiasme s’est également fait sentir chez les étudiants tout au long de la compétition. « Comme je n’avais jamais participé à une compétition de cas auparavant, la CCIT était l’occasion idéale pour moi de vivre ma première expérience », a exprimé Dasser Kamran, étudiant de quatrième année en marketing et président du tout nouveau Club des céateurs de contenu de Telfer. Il a ajouté : « La compétition n’était pas trop facile ni trop difficile, c’était parfait pour les débutants comme moi. Même si mon équipe n’a pas gagné de prix, l’expérience que j’ai acquise est inestimable. »
La compétition était tout aussi amusante pour les pros de résolution de cas comme Liz Tran, étudiante de troisième année en marketing. « La CCIT 2021 a vraiment été un moment amusant à passer avec mes amis. Le commanditaire nous a mis au défi de créer une campagne de marketing numérique réaliste et créative qui a sans aucun doute mis à l’épreuve nos compétences en tant que spécialistes en marketing. C’est une expérience que j’aimerais beaucoup refaire et j’encourage tous les étudiants de Telfer à y participer », a-t-elle conclu.
Reana Mouaj Agil, étudiante de deuxième année en finance, a également fait part de son expérience lors de la compétition : « La CCIT a été la parfaite première expérience de compétition de cas pour moi. C’était la première fois que je vivais une résolution de cas et que je me trouvais dans cet environnement, et j’ai beaucoup appris. Je sais quoi examiner et comment mieux analyser, et j’ai hâte aux années à venir! J’encourage tous ceux qui le peuvent à s’inscrire l’an prochain! »
De plus, Cole Dumelie, étudiant de deuxième année avec une mineure en gestion à l’uOttawa, a hâte d’assister à la prochaine Compétition de cas interne de Telfer : « J’ai passé une fin de semaine incroyable à résoudre mon premier cas lors de la CCIT! Mon équipe et moi avons pu mettre en valeur nos compétences en matière de résolution de problèmes - tout en étant sous pression - et aborder un vrai cas d’affaires. Je n’ai pas beaucoup dormi et j’ai bien travaillé pendant ces 24 heures, ce qui a été un beau défi et une expérience vraiment inestimable! La CCIT a fait un excellent travail d'organisation de l'événement! J’ai hâte de participer à des compétitions de cas de ce genre à l’avenir! »
Après avoir regardé les présentations des 20 équipes participantes, les 9 juges ont eu la lourde tâche de remettre les prix à trois équipes des catégories juniors et séniors.
Résultats de la compétition
Juniors
1re place : Maryam Rana, Chau Nguyen et Cole Dumelie
2e place : Arash Jeyrani, Sean Butler et Callum Cameron
3e place : Guangtai Wei, Joy Liu et Xilong Zheng
Séniors
1re place : Liz Tran, Emily Chiazza et Nicole Sauvé
2e place : Kristelle Rivard, Émilie Lebel et Charles Doray
3e place : Clarissa Tremblay-Filion, Alexis Raymond et Jean-Simon Lavoie Albert
Félicitations à tous les gagnants et toutes les gagnantes! Nous avons déjà hâte à la CCIT de l’année prochaine!
- Catégorie : Annonces Telfer
En ce Mois de la francophonie, Telfer souligne l’inclusion de la langue française et de la culture francophone dans notre communauté.
À l’École de gestion Telfer, le Centre des services aux étudiants de Telfer (CSE) est au cœur de l’expérience étudiante. Son rôle est de guider les étudiants tout au long de leurs études à Telfer, de l’admission jusqu’à l’obtention du diplôme. Comme la communauté francophone représente près de 30 % de notre population étudiante et après avoir reçu 2 500 candidatures pour le programme en français du B.Com. cette année seulement, les services en français sont une composante importante de l’offre du Centre.
Depuis ses débuts en 1969, notre École offre des services dans les deux langues officielles à nos étudiants. En plus de cette accessibilité au bilinguisme, le Centre offre des services et programmes qui sont adaptés aux membres locaux et internationaux de notre communauté francophone par le biais du Bureau des études du premier cycle, des Programmes d’échanges internationaux et des bourses, puis du Centre des carrières de Telfer.
Un des principaux objectifs du Centre est de s’assurer que les étudiants se sentent à l’aise dès le début de leur parcours à Telfer; et c’est exactement ce que fait le programme de mentorat par les pairs.
Programmes de mentorat pour les étudiants
-
Programme de mentorat par les pairs
Le but principal du programme de mentorat par les pairs à Telfer est de faciliter l’intégration d’étudiants de première année au B.Com. en s’assurant que ceux-ci soient accompagnés par un mentor, pour les étudiants canadiens ou par un guide international, pour les étudiants internationaux. « Chaque étudiant est jumelé à un étudiant mentor ou un guide, selon une série de critères de priorité, le premier étant la langue de correspondance », explique Marilou Charbonneau, adjointe à l’expérience étudiante et aux événements du Centre des carrières de Telfer. « De cette façon, nous nous assurons que chaque étudiant francophone en première année soit jumelé avec un mentor ou un guide francophone, pour poser leurs questions et obtenir une variété de ressources en français », ajoute-t-elle.
De ce fait, être francophone ou bilingue est un critère des plus importants dans le processus de sélection annuel des guides et des mentors. Il est primordial que la majorité des membres de l’équipe soit en mesure d’appuyer les étudiants francophones.
Priyesh Sarju, étudiant de quatrième année en comptabilité, est un des guides internationaux du programme. Originaire de l’Île Maurice, Priyesh représente bien la diversité francophone présente à Telfer : « Le français est certes l’un de mes principaux atouts, en tant que guide international à l’École de gestion Telfer », dit-il. « Cela dit, un grand nombre d’étudiants internationaux qui rentrent à l’université proviennent de pays francophones du monde entier, et pouvoir interagir efficacement en français avec eux est essentiel pour leur bonne expérience étudiante », ajoute-t-il.
De plus, en tant que guide, Priyesh peut non seulement aider les étudiants internationaux avec leurs études en offrant de nombreuses séances de révision, mais il peut aussi animer divers évènements de Telfer en français.
Camély Gendron est une autre mentore étudiante de quatrième année à Telfer et elle termine bientôt son baccalauréat en sciences commerciales et Juris Doctor. Elle a fait part de son expérience en tant que guide pour les membres de la communauté francophone de Telfer : « Lorsque je pense à mon expérience en tant que mentore francophone, je pense immédiatement au mot communauté », dit-elle fièrement. « Les étudiants que je côtoie sont heureux de pouvoir parler en français à quelqu’un qui a eu un parcours similaire. Il est aussi agréable de voir à quel point les mentors francophones sont unis et s’entraident au quotidien! »
-
Programme de mentorat par les cadres
Une autre possibilité de mentorat offerte par le CSE est le programme de mentorat par les cadres. Ce dernier met en contact des étudiants de troisième et quatrième année avec des cadres et des entrepreneurs de l’industrie afin qu’ils puissent partager leurs idées, fournir une orientation informelle et accroître leur réseau. C'est une façon pour un étudiant d'apprendre dans un cadre individuel avec un professionnel du monde des affaires.
Isabelle Décarie, gestionnaire de l’expérience étudiante au Centre des services aux étudiants explique à quel point cette expérience peut être unique pour un étudiant francophone à Telfer : « Les étudiants peuvent être jumelés à différents leaders francophones de la communauté. Par exemple, un de nos étudiants au B.Com./J.D. est jumelé avec le président du Regroupement des gens d’affaires (RGA). » C’est également une expérience unique pour les mentors, car ils ont l’occasion de rencontrer des étudiants qui s’intéressent à leur domaine, d’avoir des conversations agréables et d’en découvrir plus sur ce qui se passe à Telfer.
Aller au-delà avec la communauté francophone
Cette année, Telfer a reçu 2 500 demandes d’inscriptions à son programme en français du B.Com. L'une des principales raisons de ce succès est la liberté de choix offerte par le programme. « Nous voulons que les étudiants sachent qu’ils peuvent faire leurs études dans la langue de leur choix, que ce soit en français, en anglais ou dans les deux langues », explique Émilie Desrosiers, coordonnatrice de marketing et liaison des programmes de premier cycle de Telfer. « Nous sommes vraiment fiers du fait que l’Université d’Ottawa soit une institution bilingue », ajoute-t-elle.
La communauté francophone de Telfer compte également parmi ses rangs les étudiants anglophones qui parlent aussi le français comme langue seconde ou qui s’efforcent de pratiquer leur français grâce aux diverses possibilités offertes à Telfer. Cela comprend le Régime d’immersion en français, qui est admissible à la Bourse d’accès aux études en français.
Les étudiants étrangers provenant de pays francophones peuvent aussi profiter de l’environnement bilingue offert à l’Université et dans la ville d’Ottawa. « Notre population étudiante internationale apprécie le fait qu’elle puisse étudier en français, vivre dans une ville canadienne et que nous lui offrons une bourse généreuse », explique Émilie. Un autre facteur clé qui intéresse nos étudiants internationaux et les autres aussi est le programme coop. « Les étudiants peuvent acquérir une véritable expérience de travail et recevoir un salaire pendant leur stage coop », conclut-elle.
Plusieurs bourses d’études sont offertes aux étudiants francophones, à ceux qui font leurs études dans le cadre du Régime d’immersion en français et aux étudiants internationaux :
-
La bourse d’études Bernard et Valérie Marcil est offerte aux étudiants du B.Com. option comptabilité qui démontrent un besoin d’aide financière. Cette bourse porte le nom de Bernard Marcil, diplômé de Telfer et cofondateur de Marcil Lavallée.
-
La Bourse Legico-CHP Fleur de Lys est offerte à un étudiant francophone de Telfer, originaire du Québec, qui a un excellent dossier scolaire, mais qui ne peut pas assumer les frais de scolarité. La bourse porte le nom de Legico-CHP, une organisation issue de la fusion de deux entreprises qui étaient des acteurs majeurs dans les projets de construction internationaux et locaux.
-
La Bourse d’admission Fleur de lys de l’École de gestion Telfer a été créée afin de fournir une assistance financière aux étudiants francophones qui veulent s’inscrire au B.Com. à Telfer, mais qui ne peuvent pas assumer les frais de scolarité. La bourse a été créée grâce à un don généreux de monsieur Ian Telfer, à qui l’École doit son nom, et elle est conçue afin d’aider les étudiants venant étudier en Ontario et faisant face à des frais de scolarité beaucoup plus élevés.
-
La Bourse Marcil Lavallée en comptabilité est décernée à un étudiant inscrit au programme de comptabilité et qui fait preuve d’engagement envers sa communauté. Cette bourse a été généreusement créée par le cabinet comptable d’Ottawa Marcil Lavallée.
-
La Bourse d’accès aux études en français est une bourse d’admission de 1 000 $ décernée aux étudiants inscrits à temps plein au Régime d’immersion en français qui suivent, chaque trimestre, au moins 2 cours (6 unités) donnés en français (y compris les cours de français langue seconde). Cette bourse peut être renouvelée pour les trois prochaines années et atteindre jusqu’à 4 000 $ au total.
-
La bourse d’exonération partielle des droits de scolarité est offerte à un étudiant international francophone et francophile admis au baccalauréat ou à la maîtrise à compter de septembre 2021. Cette contribution importante au financement de leur projet d’études permet de réduire les droits de scolarité à un niveau avoisinant ceux payés par les citoyennes et citoyens canadiens.
Sous-catégories
La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez