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En tant que partie intégrante de l’Université d’Ottawa, l’École de gestion Telfer est fière d’offrir de multiples opportunités de bilinguisme au sein de la plus grande université francophone et anglophone au monde. Neuf des onze programmes de baccalauréat en commerce sont offerts en français, ce qui signifie qu’un étudiant qui maîtrise l’anglais et le français peut choisir d’étudier en anglais et en français, ou dans l’une de ces deux langues.
D’autres possibilités et incitatifs sont offerts aux étudiants pour qu’ils perfectionnent leurs compétences en langue seconde. Les anglophones qui souhaitent améliorer leurs compétences en français, mais qui suivent quand même la plupart de leurs cours en anglais, peuvent profiter du Régime d'immersion en français. Ce régime permet aux étudiants de suivre certains de leurs cours réguliers en français, tout en ayant la chance de bénéficier d’une bourse de 1 000 $ pour chaque année qu’ils y participent, s’ils répondent aux critères d’admissibilité. Au cours de leurs deux premières années, les étudiants ont la possibilité de suivre des cours d’encadrement linguistique afin d'acquérir une base solide en français. En troisième et quatrième années, les étudiants passent à des cours plus avancés liés à la communication orale et écrite.
En ce Mois de la francophonie, Telfer met en valeur quatre clubs et comités qui valorisent l’inclusion de la langue française et de la culture francophone dans la communauté Telfer.
Le Comité des compétitions Telfer
Chaque année, des étudiants de premier cycle de Telfer participent à plusieurs compétitions de cas où les francophones peuvent s’exprimer dans leur langue maternelle, dont les Jeux du commerce (JDC), le Happening Marketing (HM), le Symposium GRH et l’Omnium Financier (OF). Le Comité des compétitions Telfer (CCT) recrute et organise les équipes de Telfer qui représenteront l’École à ces compétitions. « Le Comité des compétitions Telfer permet aux étudiants d’utiliser ce qu’ils ont appris en classe dans une situation de consultation réelle », mentionne le président du CCT, Elias Azzi. Les participants du CCT peuvent développer leurs compétences en matière d’analyse, de résolution de problèmes et de communication en français et en anglais en apportant des solutions à des problèmes d’affaires réels lors d’une étude de cas.
Les JDC sont une grande compétition pour les étudiants offerte aux Canadiens dans le cadre de leurs études de premier cycle dans l’Est du Canada, qui attire habituellement 1 300 participants de 13 écoles différentes chaque année. La compétition se déroule principalement en français, bien que les études de cas puissent être présentées dans la langue de choix de chacun des groupes. Par ailleurs, Happening Marketing est la plus importante compétition de marketing interuniversitaire dans l’Est du Canada, avec 10 universités concurrentes. Le HM comprend 6 cas universitaires, 1 quiz et 3 volets : sociale, participation et sports. Enfin, Omnium Financier est la plus grande compétition universitaire en finance et en comptabilité dans l’Est du Canada. L’événement vise à promouvoir les carrières dans ces deux domaines, à regrouper les étudiants de différentes universités et à leur permettre de réseauter avec des experts de l’industrie.
Ces compétitions, supervisées par le Regroupement étudiant des facultés d’administration de l’Est du Canada (RÉFAEC), sont entièrement bilingues, mais se déroulent majoritairement en français en raison de la démographie des universités concurrentes. « Une bonne maîtrise du français permet aux étudiants de mieux interagir avec les commanditaires et les délégués des autres universités », déclare Elias. Ce dernier aime aussi ces compétitions parce qu’elles lui permettent d’élargir son réseau : « En tant qu’étudiant bilingue, c’est agréable de participer à un événement où le français prévaut. C’est agréable également de rencontrer de nouvelles personnes et de réseauter dans la langue de son choix. »
Les membres francophones du club contribuent largement à l’avancement du Comité des compétitions Telfer. « Les dirigeants francophones apportent énormément. », exprime Elias. Certaines compétitions sont organisées en français dans différentes régions du Canada et du Québec. Par conséquent, l’équipe doit avoir des représentants qui peuvent communiquer en français avec d’autres comités. « Nous avons vraiment besoin d’une équipe de direction bilingue pour bien juger et servir chaque étudiant sur un pied d’égalité », dit Elias. La langue française occupe également une place importante dans le processus de recrutement pour les compétitions.
En tant qu’ancien élève du Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE), Elias a choisi d’étudier principalement en français à Telfer. « C’était près de chez moi, mais plus important encore, c’était complètement bilingue », raconte Elias. En 2020, il est devenu président du Comité des compétitions Telfer et il est fier d’en faire partie, « Je crois que CCT est le club/comité le plus bilingue que Telfer ait à offrir, car la plupart de nos compétitions ont lieu au Québec. Le CCT est entièrement inclusif et attire des étudiants unilingues et bilingues qui participent à ses compétitions et à son comité exécutif. »
Place à la jeunesse
Les Jeux du commerce ont également fondé l’initiative Place à la jeunesse (PALJ) en 2004. Cet événement francophone consiste en une compétition de cas de niveau universitaire offert uniquement aux élèves franco-ontariens du secondaire. En plus de promouvoir la langue française, PALJ permet aux élèves de se familiariser avec le monde des affaires et d’obtenir des bourses d’études à l’Université d’Ottawa. « Nous croyons aussi qu’il est important d’avoir la possibilité d’étudier dans sa langue maternelle dans le cadre d’études postsecondaires », mentionne Émilie Desrosiers, coordonnatrice pour Place à la jeunesse. La compétition est l’occasion idéale de rencontrer de nouvelles personnes : « Tu peux aussi tisser des liens et améliorer tes compétences en réseautage avec des membres d’autres écoles, des étudiants de l’Université d’Ottawa et nos juges invités. »
La compétition commence par une ronde préliminaire au cours de laquelle plus de 90 élèves franco-ontariens du secondaire résoudent des cas dans trois matières universitaires, soit le marketing, l’entrepreneuriat et la comptabilité. Le comité principal choisit ensuite 24 équipes, huit par sujet, pour le dernier tour. De même, pour les JDC, les équipes de chacune des trois catégories universitaires reçoivent le même cas à étudier. Même si l’événement se déroule entièrement en français, les équipes peuvent présenter dans la langue de leur choix. Un groupe d’universitaires et d’experts en affaires évalue le travail de chaque équipe pour déterminer le gagnant.
Place à la jeunesse est l’un des rares clubs sur le campus où le français est prédominant au sein du comité organisateur. Catherine Gringas, présidente de Place à la Jeunesse, a partagé son expérience et ses motivations à participer à ce club : « Je suis vraiment fière de dire que chaque année, notre comité organisateur est composé d’étudiants qui étudient en français, apprécient la langue et croient en l’importance de l’éducation postsecondaire en français. » Catherine travaille à PALJ depuis 2019 et est devenue présidente en 2021. « J'ai commencé à m'impliquer dans Place à la jeunesse en tant que bénévole en 2019 et j'ai adoré le concept de la compétition, le mandat du club et les personnes qui en font partie. »
Malgré le défi inévitable d'un environnement virtuel cette année, il était important pour le groupe de s'assurer que PALJ ait quand même lieu pour que les élèves aient l'occasion de se dépasser. « Nous sommes tous très fiers d’accueillir cette compétition tous les ans, même si nous devons l’adapter », mentionne Émilie. Place à la jeunesse organisera deux compétions cette année, en avril et en novembre, et commencera le recrutement pour son comité au cours de l’été. « Nous sommes toujours à la recherche de personnes passionnées qui ont à cœur l’éducation, l’entrepreneuriat et le français pour nous aider à organiser l’événement. », a déclaré Catherine.
L'organisation caritative CASCO
Tous les ans, l’organisation caritative étudiante de Telfer CASCO recueille des fonds pour le Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) et met en valeur les étudiants et leurs talents lors du gala annuel. L’événement comprend différentes formes d’art, comme la danse, la musique et la mode. CASCO réunit des étudiants, des membres de la communauté d’affaires et des résidents d’Ottawa autour de la cause commune de la collecte de fonds pour le CHEO. L’an dernier, l’organisme a réussi à recueillir plus de 53 000 $ pour le programme de thérapie récréative du CHEO.
L’équipe de CASCO recrute des membres sur les plateformes de médias sociaux comme Instagram et Facebook. Au sein de son équipe, l’organisation encourage les membres à parler la langue de leur choix : « Ce qui, espérons-le, permettra à nos membres francophones de se sentir plus à l’aise tout en posant des questions et en sachant qu’ils peuvent s’exprimer dans la langue avec laquelle ils sont le plus confortables. », mentionne Danika Dumoulin, v.-p. du développement de CASCO. L’équipe communique également avec son public francophone au moyen de questions et réponses sur Instagram, où les réponses sont données en anglais et en français afin que tous les étudiants se sentent à l’aise de participer.
Les étudiants impliqués dans l'organisation caritative CASCO peuvent s’attendre à « développer des compétences interpersonnelles en travaillant en équipe et en collaborant avec les autres. » En effet, le club travaille ensemble dans le but commun d’aider ceux qui sont dans le besoin. « CASCO enseigne aussi aux étudiants l’importance d’aider les autres et de démontrer que n’importe qui peut faire une différence s’il le veut », explique Danika. En tant que vice-présidente et étudiante francophone, Danika a rejoint CASCO avec l’objectif d’en faire un club bilingue : « En rejoignant CASCO et en rencontrant tous ces autres étudiants en gestion, j'avais l'impression que le programme en français était un peu une bulle fermée. »
Les étudiants qui se joignent à CASCO ont l’occasion de rencontrer des gens en dehors de leur programme et d’établir des liens qui peuvent durer toute une vie. Danika a fait part de son conseil aux futurs étudiants qui souhaitent se joindre au club, « J’encourage certainement les étudiants francophones à se joindre à CASCO, c’est une excellente façon de rencontrer de nouvelles personnes qui étudient dans le même domaine que vous. Le programme en français n’inclut pas tous les étudiants de Telfer, et je pense qu’il est très important de s’en rappeler! Je ne pourrais imaginer une meilleure façon de me souvenir de mon expérience universitaire. Non seulement j’y ai rencontré certains de mes meilleurs amis, mais ils m’ont donné une deuxième famille sur laquelle je pouvais compter. »
Conseil étudiant Telfer
Le Conseil étudiant Telfer (CéTSC) représente plus de 4 000 étudiants de premier cycle inscrits au baccalauréat en sciences commerciales de Telfer. L’équipe, composée d’environ 25 représentants de milieux différents, organise des événements annuels dédiés à la communauté Telfer et aide d’autres clubs de Telfer à financer et à gérer leurs différents événements. Ils accueillent à l’école chaque nouvelle cohorte d’étudiants de première année du B.Com., organisent une célébration pour chaque classe de finissants et organisent un événement reconnaissant les innombrables réalisations de la communauté des clubs de Telfer.
Le CéTSC accorde de l’importance aux communautés francophones et anglophones, mais s'efforce de mettre en place des initiatives davantage axées sur le français au sein du club : « Nous avons la responsabilité de veiller à ce que notre matériel et nos services de communication soient offerts dans les deux langues officielles. », explique Nick Gratton, v.-p. marketing au CéTSC. Il ajoute également qu’il espère voir plus de francophones s’impliquer au sein du conseil étudiant à l’avenir : « Les étudiants qui cherchent à pousser de l'avant la culture francophone et la fierté francophone à Telfer devraient sans aucun doute s’impliquer auprès du CéTSC. Si quelque chose vous passionne, qu’il s’agisse d’un changement général, d’un sujet ou d’une cause en particulier, joignez-vous au CéTSC et participez aux clubs de Telfer. C’est vraiment la meilleure façon de contribuer à la culture étudiante et à l’expérience étudiante à Telfer. »
Chaque année, les étudiants peuvent poser leur candidature pour participer à l'élection annuelle, puis, une fois la campagne terminée, les étudiants de Telfer votent pour les personnes qu’ils souhaitent voir assumer chaque rôle au sein du CéTSC. Certains rôles exigent le bilinguisme comme les postes de v.-p. marketing et v.-p. académique, qui exigent la réussite d’une évaluation des compétences linguistiques pour assurer la maîtrise du français et de l’anglais, afin qu’ils puissent s’assurer de communiquer avec le corps étudiant dans les deux langues officielles.
De nombreux clubs de Telfer s'assurent de donner aux étudiants francophones l'opportunité de s'impliquer dans des activités académiques, professionnelles et sociales. La diversité apportée par les étudiants qui maîtrisent le français permet aux clubs de participer à des compétitions à plus grande échelle, d’organiser des événements en français, de réseauter en anglais et en français, et de recruter des étudiants dont la langue maternelle est le français. Nous nous réjouissons de continuer à voir des initiatives centrées sur le français et des opportunités pour les étudiants francophones de s'impliquer dans l'expérience étudiante à Telfer.
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La délégation étudiante de Telfer représentée par 60 étudiants du B.Com. ont remporté de nombreux prix à la 33e édition des Jeux du Commerce, qui a eu lieu du 8 au 10 janvier dernier.
Cette compétition annuelle à plusieurs volets rassemble plus de 1000 étudiants provenant de 13 universités, formant ainsi la plus grande compétition interuniversitaire de l'est du pays.
Félicitations à toutes les équipes qui ont su se démarquer avec brio!
Cartes VIP
Les détenteurs de cartes VIP sont ceux s’étant distingués tout au long de la fin de semaine :
- Catherine Gingras
- Alex Dalcourt
- Ayaan Virani
- Rosemary Ashlie
- Charles Doray
- Aman Sidhu
- Marie-Madeleine Kabupu
- Emily Chiazza
- Emma Rankin
Résultats des compétitions académiques
Gestion des ressources humaines
Première place : Emily Chiazza, Marie Madeleine Kabupu et Robyn Moke
Débat oratoire
Première place : Ayaan Virani, Justin Abraham, Alex Dalcourt et Martina On
GOL (Gestion des opérations et de la logistique)
Deuxième place : Aadi Koundal, Vicky Laliberté et Emma Rankin
Innovation entrepreneuriale
Deuxième place : Aman Sidhu, Kristelle Rivard et Daniela Diaz
Course de Formule 1
Deuxième place : Rajeev Chansingh et Abderrahmane El Bakkali
Marketing
Troisième place : Liz Tran, Charles Doray et Nicole Sauvé
Interactif
Troisième place : Jean-Simon Lavoie-Albert, Clarissa Tremblay-Filion et Catherine Gingras.
Comptabilité
Troisième place : Haya Alshaer, Ali Hassan et Rosemary Ashlie
L’École de gestion Telfer a aussi remporté la deuxième place pour la Coupe académique ainsi que la première place pour la Meilleure amélioration.
Les étudiant(e)s ayant participé aux Jeux du Commerce cette année ont de quoi être fier(ère)s après avoir si bien représenté leur école avec une récolte de pas moins de 10 podiums!
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Les étudiants de 4e année du B.Com. ont complété leur projet final respectif dans le cadre de leur cours intégrateur du trimestre d'automne 2020. En équipe, les étudiants ont dû mener et présenter un projet qui visait à cibler un problème précis liée à une véritable entreprise. Ce semestre, les finalistes de chaque discipline ont présenté leur travail de manière virtuelle, en utilisant des vidéoconférences pour présenter leur travail devant un panel composé de professionnels et de professeurs.
Compétition de marketing Michel Cloutier
Le 8 décembre dernier, l'École de gestion Telfer présentait la compétition de marketing Michel Cloutier, une compétition de cas où les étudiants de marketing de 4e année présentent un plan de marketing qui vise à résoudre un problème d'affaires réel pour une entreprise existante. Cette année, l'organisation étudiée était le Rideau Canoe Club.
Félicitations à l'équipe gagnante : Aleksandra Romanowski, Amanda Lanteigne, Laura Tran, Maria Sokolov, Marianne Couture-Benitez et Reema Radia.
Compétition du cours intégrateur en finance
Tous les étudiants de finance doivent suivre le cours d'Évaluation d’entreprises dans lequel ils effectueront une analyse de cas qui consiste à évaluer la valeur d’une entreprise pour ensuite proposer des mesures visant à améliorer son rendement économique. Le 9 décembre, 5 équipes ont dû présenter virtuellement leurs résultats concernant l'évaluation d'Aritzia devant un panel de juges de Fiera Capital et de BMO Capital Markets, ainsi que devant l' enquêteur privé et ancien professeur Allan Riding, le fondateur du cours. Les juges ont été très impressionnés : « La qualité des présentations des étudiants était extrêmement impressionnante! J’ai eu de la difficulté à établir mon classement, » a mentionné l’un des juges invités.
Félicitations aux gagnants : Justin Abraham, Julia Magahey, Liam Woodside.
Compétition du cours intégrateur en comptabilité (section en français)
Le 25 novembre dernier, les équipes finalistes de la section en français de la compétition de cas de comptabilité ont présenté leur analyse d'une entreprise et leur rapport sur les questions comptables devant un panel de professionnels et leurs pairs. Cette année, le cas était basé sur une société fictive, et le concours était commandité par CPA Ontario et Logan Katz.
Félicitations à l’équipe gagnante de la section en français de la compétition de cas de comptabilité : Gabriel Baril-Lavoie, Guillaume Forget, Julien Lafleur, Mike Sirhan, Kevin Wilson.
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Par Dorra Jlouli, Ing, Agr, MBA
Professeure à temps partiel à l'École de gestion Telfer, uOttawa
L'innovation ne se limite pas uniquement à la création de nouveaux produits ou services, mais surtout dans notre façon d'enseigner « des cerveaux verts », leaders de la prochaine génération!
Je suis heureuse que mes élèves aient apprécié la simulation World Climate en novembre, une belle réussite! Nous innovons à l'École de gestion Telfer de l’Université d'Ottawa en utilisant des outils interactifs pour enseigner à nos étudiants des sujets complexes grâce à des simulations simples.
Certes, le changement climatique est une affaire de tous. Ceci étant dit, comment « démystifier » le système climatique complexe, dans notre environnement actuel virtuel d'apprentissage en ligne? Les simulations innovantes telles que En-Roads et World Climate, en sont la solution par excellence!
Au cours de ma dernière classe du cours Leadership, stratégie et durabilité, pour les étudiants de 4e année en management, ils ont eu la chance mémorable d'avoir joué un jeu de rôle où ils épousent « la casquette » des diplomates lors d'un sommet virtuel urgent de l'ONU sur le climat. Après avoir joué à la simulation World Climate le mois dernier (C Road Simulation), en se concentrant sur l'élaboration d'une stratégie pour définir quand et dans quelle mesure les nations doivent réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour atteindre les objectifs climatiques internationaux (réduire l'augmentation de la temperature du globe à moins de 2 degrés Celsius d’ici 2100), cette semaine les étudiants ont appris comment il est possible d'atteindre cet objectif en jouant à la simulation En-Roads. Ils ont appris comment des secteurs d'activité comme l'approvisionnement en énergie, l'utilisation de l'énergie et l'utilisation des terres affectent le changement climatique.
Je crois au pouvoir de l’apprentissage par l'action. La simulation En-Roads est un outil interactif efficace pour engager mes étudiants par l'action à expérimenter ce que nous entendons quand on parle de l'interconnectivité dans le « système climatique ».
Dans un atelier de 3 heures, les étudiants ont l'opportunité de voir ce qui se passe dans le monde et comment chaque action est importante pour contribuer à réduire les problèmes de changement climatique afin d'atteindre l'objectif ultime de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique à Paris.
Les étudiants étaient divisés en six équipes représentant différentes parties prenantes mondiales des entreprises, des gouvernements et de la société civile qui peuvent influencer les solutions climatiques : énergie propre, énergie conventionnelle, industrie et commerce, terre, agriculture et foresterie, gouvernements mondiaux et les faucons de la justice climatique. Leurs décisions sont analysées en temps réel avec le simulateur En-Roads pour déterminer leurs effets sur le climat.
Chaque équipe a été invitée à présenter son scénario du point de vue de son rôle de partie prenante et à donner les arguments au public, où le secrétaire général de l'ONU prend des notes et anime le débat.
Tout en utilisant des modes interactifs, comme la simulation En-Roads et la simulation World Climate, il est plus facile d'expliquer aux « étudiants en commerce » qui n'ont pas de formation scientifique en système climatique et environnement, les problèmes environnementaux de théorie complexe comme le système climatique.
En agissant, les étudiants comprennent non seulement la corrélation entre les différents facteurs du système climatique mais aussi, ils deviennent des « ambassadeurs du climat » avec la conviction qu'il n'est pas trop tard pour résoudre les problèmes du changement climatique si chaque partie prenante contribue à l'effort mondial pour atteindre notre objectif commun.
Visionnez la présentation dans son intégralité pour en apprendre plus.
Un grand merci à Climate interactive et à MIT Sloan pour leur fabuleux efforts investis pour mettre à notre disposition des outils si innovants.
#EnROADS #ClimateAction
- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiante au B.Com. à Telfer, je me rappelle très bien chaque année passée à l’Université d’Ottawa, plus précisément à Telfer. La majorité des étudiants ne savent pas à quoi s’attendre lorsqu’ils arrivent en première année d’université, car, quel que soit l’endroit où ils ont fait leur secondaire, le milieu universitaire est très différent de la routine habituelle du secondaire.
Au fil des ans, je remarque que des connaissances essentielles, des conseils et de l’information m’auraient été bien utiles en première année, où tout change et devient déroutant. C’est pourquoi j’ai fait une liste de trois conseils qui pourraient aider les étudiants de première année avant qu’ils commencent leur carrière universitaire. J’espère que cette information te sera utile comme elle me l’aurait été lors de ma première année.
Conseil no 1 : Sois prêt à ajuster tes stratégies d’étude
La première année est la plus ambiguë, car elle est généralement différente pour la plupart des étudiants. Cependant, la majorité peut attester se sentir choquée, confuse, et comme si elle essayait de réapprendre à marcher. La plupart d’entre nous avons une bonne idée de comment étudier grâce à nos cours du secondaire, cependant, il y a beaucoup plus de matière à apprendre sur une courte durée à l’université.
Par ailleurs, tu remarqueras que selon les cours ou même selon les professeurs, ta méthode d’étude sera différente. Par exemple, un cours qui comprend beaucoup de lectures te demandera de lire tes manuels chaque semaine. Si tu écris tes notes de cours sur un ordinateur, tu voudras aussi le faire pour toutes tes notes de lecture; cela facilitera ta session d’étude en vue des examens. Dans tes cours plus pratiques, tels que comptabilité générale et comptabilité de gestion, il vaudra mieux que tu écrives tes notes à la main, car au lieu de faire des lectures hebdomadaires, tu feras des exercices sur du papier. Par conséquent, tu devras envisager d’adapter ta stratégie d’étude pour chacun de tes cours. D’ailleurs, il est possible que ta stratégie soit différente de tes amis, ce qui est très normal.
Si possible, trouve une méthode de prise de notes pour tous tes cours dès la première semaine. Plus tôt tu t’y prends, plus facile ce sera d’étudier pour tes examens de mi et de fin de session. Ça peut paraître tout simple, mais c’est essentiel pour ne pas être trop débordé pendant la période d’examen de mi-session et avoir à trop travailler pour organiser tes notes, alors que tu devrais étudier. Bref, ne manque pas l’explication du plan de cours!
Conseil no 2 : Sois à l’affût des opportunités à ta disposition
Outre les cours et les études, la première année est consacrée à l’exploration et à l’apprentissage de soi-même. Tu entres dans un tout nouveau monde, où des occasions s’offrent à toi en permanence : être membre ou même délégué de première année d’un club à Telfer, faire du bénévolat pour des clubs en dehors de Telfer, trouver un emploi sur le campus, ou participer à des événements et des ateliers organisés par le Centre des services aux étudiants de Telfer, comme le programme de mentorat ou le Centre des carrières de Telfer.
Ne te laisse pas abattre! Selon le type de personne que tu es, tu voudras peut-être attendre l’année suivante pour t’inscrire à des activités parascolaires, ou tu voudras en rejoindre autant que possible le jour de ton arrivée. Il n’existe pas de mauvaise stratégie, tant que tu ne te limites pas dans ton exploration de nouvelles opportunités pendant trop longtemps, qu’il s’agisse d’activités parascolaires ou simplement de participer aux événements sur le campus. Tu apprendras assez vite que Telfer regorge d’opportunités à t’offrir, et donc, pour tirer le meilleur parti de ton expérience universitaire avant que tu obtiennes ton diplôme, participer à des événements qui t’intéressent ou à des activités parascolaires contribuera grandement à ton épanouissement personnel et professionnel.
Conseil no 3 : Le mauvais stress n’est pas inévitable
C’est bien connu, l’université c’est stressant. La plupart d’entre nous suivront quatre ou cinq cours par trimestre, chacun demandant beaucoup de temps et d’énergie. Il peut être extrêmement difficile de maintenir un équilibre entre les cours, les activités parascolaires, la vie sociale, les tâches ménagères, cuisiner et préparer des repas, le sport, les déplacements et tout le reste. Il est important de réaliser qu’il est irréaliste de pouvoir atteindre l’équilibre parfait, que ce soit en tant qu’étudiant, adulte actif, parent, etc. Par conséquent, au lieu de stresser sur ton manque d’organisation, consacre plus ce temps à créer une routine qui correspond à ton mode de vie et à tes priorités. Plus tu seras conscient de ta situation, plus tu seras proche d’un parfait équilibre (mais souviens-toi que notre vie ne pourra jamais être parfaitement méthodique et que c’est normal!).
Un autre élément important à considérer est que l’université, bien que stressante, ne doit pas être un fardeau pour ta santé mentale et physique. La « culture du stress » est malheureusement souvent acceptée à l’université avec que la souffrance est dite normale. Il n’est pas nécessaire de souffrir pour être un bon étudiant.
Je classe souvent le stress en deux catégories : le stress négatif et le stress positif. Le stress positif est inévitable, car l’université est un environnement angoissant, trépidant et très chargé, et il est BON de vivre un stress qui te pousse à travailler efficacement, à être organisé et à prendre de bonnes décisions sur la façon dont tu passes ton temps. Le stress négatif, en revanche, est un stress éprouvant qui nuit à ta santé mentale et physique. Il survient lorsque nous ne prenons pas les mesures nécessaires, donc il n’est PAS inévitable. Tu peux réussir tes études universitaires sans avoir à nuire à ta santé physique et mentale. Tu n’as pas à passer des nuits blanches à étudier pour tes examens et à compromettre ta vie sociale pour réussir.
En première année, nous apprenons encore à gérer notre temps, à déterminer quelle routine nous convient le mieux et à prendre conscience de nos priorités et de nos limites. Par conséquent, attends-toi à vivre du stress, mais pas à en souffrir négativement. Sois patient avec toi-même, sois auto-veillant et tire le meilleur parti de ton stress positif.
Lorsque j’étais en première année, et même en deuxième année, j’étais constamment stressée, dépassée et anxieuse, car je ne savais pas quelle était ma méthode d’étude ou mes priorités, et comment gérer mon temps. Tous les étudiants passent par là quand ils commencent l’université. Cependant, j’aurais pu réduire ce mauvais stress en étant plus réaliste avec moi-même et en me disant que je suis encore en train d’apprendre qui je suis, quelles sont mes priorités et quel genre d’étudiante je suis.
Ce qui a aggravé mon niveau de stress, d’ailleurs, était le fait que je n’avais aucune idée des trois conseils mentionnés ci-dessus. J’ai compris trop tard que je devais créer une stratégie d’étude pour chaque cours dès la première semaine de cours, que je ne devais pas comparer mes méthodes et ma routine à celles de mes amis, et quelle était la différence entre le bon et le mauvais stress. Par conséquent, j’espère qu’en lisant ces conseils, tu seras mieux préparé mentalement et plus informé sur ce à quoi t’attendre et quoi faire lors de ta première année universitaire.
Bonne chance et n’hésite pas à me contacter ou à contacter le Centre des services aux étudiants de Telfer si tu as besoin de trucs, de conseils et d’aide!
- Catégorie : La voix des étudiants
Vous êtes un étudiant international qui doit choisir sa prochaine université partenaire? L’École de gestion Telfer vous fait de l’œil et vous voulez connaître mon avis en tant qu’étudiante Française sur mon expérience de quatre trimestres ici? Alors ne vous inquiétez plus, vous êtes au bon endroit pour avoir vos réponses.
Dans ce blog, je vais couvrir l’ensemble des questions que m’ont posées les étudiants de KEDGE Business School (mon école de commerce en France) qui devaient choisir leur université partenaire parmi une quinzaine proposée.
Je suis moi-même passée par là et je sais à quel point il peut être stressant de choisir l’endroit où vous allez passer les prochaines années de vos études, surtout quand cela peut être de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada, dans une université reconnue.
LA VIE SCOLAIRE
À Telfer, il y a le trimestre d’hiver, celui d’été et celui d’automne. Pour ma part, j'ai participé à ceux d’hiver et d’automne. Un trimestre équivaut à environ 3 mois de cours. Les cours commencent début janvier, se terminent début avril, et les examens commencent à la mi-avril jusqu’à la fin avril. Vous avez une semaine de vacances mi-février que vous pouvez utiliser comme semaine de révision pour vos partiels de mi-session qui sont juste après. Pour le trimestre d’automne, c’est pareil : les cours commencent début septembre, et se terminent début décembre pour faire place aux partiels à partir de la mi-décembre, jusqu’au dernier vendredi avant les vacances de Noël. La semaine d’étude est à la mi-octobre. Sachez donc que vos vacances d’été durent 4 mois. Profitez-en pour faire des stages, prendre un emploi étudiant (ou bien juste vous reposer 4 mois au bord de la piscine 😉).
Chacun des 5 cours sont enseignés en 30 h sur le trimestre. Il y a 15 h de cours par semaine, cela vous donne des semaines assez légères en termes de temps passés en cours, ce qui peut vous permettre d’avoir un job étudiant à côté. Le travail personnel est selon moi assez conséquent.
Le partenariat entre mon école et Telfer comprend le fait d’avoir 60% des cours en français et 40% en anglais car Telfer souhaite garder cet esprit bilingue français-anglais, propre à la culture canadienne. Sachez que de mon point de vue, cela n’a que très peu affecté mon niveau d’anglais, car je l’ai plutôt amélioré grâce à mes rencontres avec des étudiants internationaux, et la vie de tous les jours en général.
Concernant les cours, lors des deux premiers trimestres, les 5 cours sont obligatoires et non sélectionnés par l’étudiant, puis pour les deux derniers trimestres, vous avez deux cours obligatoires et 3 cours que vous choisissez vous-même. Dans l’ensemble j’ai trouvé les professeurs intéressants, passionnés, et à l’écoute.
Si vous avez peur de ne pas passer un cours lors des examens de mi ou de fin de session, ne vous inquiétez pas; vous ne redoublerez pas. Vous allez simplement reprendre le cours le trimestre suivant afin de le retravailler, et d’obtenir la note de passage.
MES CONSEILS POUR LES LOGEMENTS
Concernant les logements, vous pouvez aller en résidence étudiante sur le campus pour le premier trimestre (plus d’informations sur les résidences étudiantes). C’est ce que j’ai fait et selon moi, c’est la meilleure façon d’être au cœur de la vie étudiante et de vivre avec des étudiants internationaux. J’étais dans la résidence Marchand. Vous pouvez avoir une chambre seul ou à deux. Certes, les chambres sont petites et les salles de bain sont à partager, mais vous vivrez une véritable expérience d’étudiant en échange universitaire au Canada. J’ai beaucoup amélioré mon anglais durant ce trimestre et j’ai fait de superbes rencontres.
Pour les trimestres suivants, vous connaîtrez mieux la ville, donc si l’expérience de résidence étudiante ne vous a pas plu, ou que vous souhaitez changer, vous pouvez louer une maison avec plusieurs autres étudiants (c’est toujours mieux d’être avec des étudiants internationaux pour améliorer votre anglais). Je vous conseille de regarder sur Kijiji pour rechercher des maisons à louer, ou bien d’aller sur les groupes Facebook « Apartment Rentals OTTAWA » ou « Ottawa Housing, Rooms, Flats, Apartments, Sublets ».
Les prix des loyers varient mais globalement, pour un appartement en plein centre, vous en aurez pour environ 600€ ou USD $690. J’étais dans une colocation à 5 dans le quartier « Golden triangle », à 15/20 minutes de l’Université à pieds et je payais 500€. La vie est en moyenne similaire au coût de la vie en France concernant les courses. Je ne prenais jamais les transports (même l’hiver à -20°C, il faut être vaillant 😉). Concernant les quartiers où chercher un appartement, je vous conseille Golden Triangle, Sandy Hill, ou encore Lower Town.
LA VILLE D’OTTAWA ET SA VIE ÉTUDIANTE
Ottawa est peut-être la capitale du Canada, mais la ville reste très tranquille, et familiale. Tout est concentré dans le centre-ville. Vous trouverez différents musées, le Marché By - qui est un endroit avec des cafés, des bars/boîtes de nuits, et des petits commerçants (et surtout des bonnes queues de castor de BeaverTails!). Tout près de l’université, il y a un très grand centre commercial, le Centre Rideau. Ottawa est aussi et surtout connu pour le canal Rideau qui gèle en hiver et devient la plus grande patinoire extérieure au monde. Il y a aussi le parc de la Gatineau, de l’autre côté de la rivière à Gatineau au nord de la ville, qui est un endroit splendide que j’ai eu la chance de découvrir avec les magnifiques couleurs automnales et qui est rempli de lacs et de balades. De plus, Montréal se trouve à seulement deux heures de bus. Enfin, je vous conseille vivement le Parc Oméga, une réserve naturelle où vous pouvez voir des animaux tels que des ours, loups, bisons, renards…
La vie à Ottawa en tant qu’étudiant ne sera pas aussi mouvementée que celle à Montréal ou Toronto par exemple, mais il suffit d’être bien entouré (avec plus de 40 000 étudiants sur le campus, vous pouvez facilement faire des rencontres) et de participer aux soirées organisées par l’Université pour la vivre pleinement.
L’Université d’Ottawa propose de multiples sorties organisées à faire entre étudiants (lorsque possible), comme un week-end prolongé à New York, à Chicago, ou autre.
Enfin, ce qui ne manque pas sur le campus ce sont les installations sportives et en tant que passionnée de sport, cela m’a ravie : deux salles de sports immenses, une piscine olympique, un terrain de hockey, de football américain (soccer), plusieurs gymnases, etc.
COMMENT PALLIER AVEC LE FROID CANADIEN? (Vu sous l’œil d’une dépendante à la chaleur)
En hiver, à Ottawa, il fait froid, très froid! Les températures varient entre 0°C et -20°C (pour les plus chanceux, vous pouvez même tomber sur des tempêtes hivernales et vivre sous les 30°C). Mon meilleur conseil est de vous fournir en vêtement d’hiver en arrivant au Canada, surtout en ce qui concerne les manteaux d’hiver et les pulls. J’ai acheté mon manteau d’hiver chez Aritzia (regardez aussi chez SportCheck ou Canada Goose, pour les gros budgets, au Centre Rideau), les prix sont plus bas que si vous l’achetez en France et surtout, les magasins canadiens proposent des produits bien plus adaptés. En ce qui concerne les sous-pulls thermiques, les collants à mettre sous les pantalons, les gants, les bonnets et autres je vous conseille UNIQLO. Pour les chaussures, vous en trouverez beaucoup sur place qui font l’affaire, mais personnellement j’ai choisi les Timberland montantes et j’en étais très satisfaite.
VOUS ÊTES EN AMÉRIQUE, VOYAGEZ!
Beaucoup me demandent si j’ai eu l’opportunité de voyager pendant mon séjour canadien. Je pense que ces gens n’ont pas consulté mon blog voyage 😉! Je suis une amoureuse du voyage et vivre à Ottawa vous permet de vous rendre à pleins d’endroits sympas pour beaucoup moins cher que si vous partiez d’Europe. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais en un an, j’ai eu la chance d’aller à Montréal, à Toronto, aux chutes du Niagara, à New York (7/8h de bus depuis Montréal), au Mexique (Tulum, Cancún), à Miami et Orlando. Mon périple s’est arrêté là, à cause de la COVID-19 (ce n’est que partie remise!).
J’espère sincèrement que toutes ces informations vous seront utiles si vous êtes un futur étudiant international en échange universitaire au Canada, et que j’aurai répondu à la majorité des questions que vous vous posez. Si vous désirez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter! Mon mail est
- Catégorie : Futurs diplômés
Du 13 au 15 novembre, les étudiants de 4e année du B.Com. ont participé à la simulation de stratégie Intopia, une compétition qui fait partie du cours de gestion stratégique de 4e année (ADM 4711). Cette simulation vise à ce que les étudiants puissent mettre en pratiques des concepts de gestion stratégique dans un univers en ligne, où ils sont tenus de prendre des décisions rapides tout en négociant avec leurs paires dans le but de faire croître leur compagnie pendant la fin de semaine.
Cet automne, la compétition se'est déroulée offerte en mode virtuel, ce qui a posé plusieurs défis aux concurrents. « Mon plus grand défi lors de la compétition était d’avoir à tout faire de manière virtuelle. Au lieu de se parler face à face, tu dois surveiller ta boîte de message et tenter de répondre à tes coéquipiers le plus rapidement possible. Cela devient plus facile à la fin du weekend puisqu’on finit par s’habituer au rythme des choses » dit Madison Woo, membre de l’équipe gagnante.
Le défi ultime
L’équipe a aussi fait face à un défi au moment où l’administrateur de la simulation a modifié les dynamiques du marché, ce qui força l’équipe à changer en deux jours une stratégie leur ayant pris trois mois à mettre au point. « Le défi était de faire les bons changements de manière proactive, avant qu’il ne soit trop tard (…) Pour ce faire, nous avons analysé les enjeux stratégiques en avance, déterminé comment nous devions modifier nos modèles et stratégies, pour ensuite rapidement exécuter notre plan » dit Howard Feng, membre de l’équipe gagnante.
Félicitations à l’équipe gagnante et aux meilleurs fournisseurs de services : Emily de Witte, Howard Feng, Nic Renaud, Rebecca Stiletto et Madison Woo.
Félicitations aux gagnants des autres catégories:
Meilleure productrice de composants : équipe 41 |
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- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiant à l’université, il y a de nombreuses possibilités d’emplois à ta disposition. Cependant, les étudiants ont beaucoup à faire, notamment étudier, découvrir leurs préférences, se faire des amis et souvent, travailler à temps partiel. Avoir un emploi tout en étant aux études présente un avantage rémunéré évident, mais il offre aussi aux étudiants l’occasion d’acquérir des compétences utiles et d’ajouter des choses à leurs CV.
Est-ce que tu es intéressé à travailler pendant tes études? Tu devrais prendre en considération les emplois formidables offerts sur le campus! Ils sont très variés, donc il est certain que tu trouveras un poste à ton goût, et qui pourrait même être connecté à ton programme universitaire. Ces emplois sont une bonne source de revenus et offrent un horaire flexible en ce qui concerne les horaires des examens et des cours. Ils sont également intéressants pour les étudiants internationaux qui ont moins d’options hors campus.
Mon expérience
J’ai occupé plusieurs postes sur le campus pendant mes études. J’ai travaillé au Centre d’aide à la rédaction des travaux universitaires de l’Université d’Ottawa où j’ai aidé les étudiants à améliorer leurs compétences en rédaction (un service gratuit que je vous encourage à utiliser). Cet emploi m’a beaucoup appris sur la grammaire, sur les bonnes structures de rédaction, sur la façon de trouver de bonnes ressources et sur comment bien citer des sources. J’ai eu l’occasion d’enseigner à des étudiants avec des expériences variées.
J’ai aussi occupé le poste d’assistante à l’enseignement, correctrice et surveillante d’examen pour l’École de gestion Telfer. J’ai beaucoup appris de ces postes. Par exemple, en aidant à diriger des groupes de discussion et à expliquer le matériel d’un cours de comptabilité, j’ai vraiment amélioré ma propre compréhension des concepts et du cours en général. Je suis sûr que ces compétences me seront utiles à l’avenir comme la comptabilité est mon domaine d’étude.
J’ai également été une guide pour les étudiants internationaux pour le programme de mentorat de Telfer, qui aide les étudiants de première année dans leur passage du secondaire à l’université. J’ai adoré faire partie de ce programme! L’équipe est formidable, et les étudiants avec lesquels nous travaillons viennent du monde entier. De plus, j’ai vraiment aimé aider les étudiants et faire part de ma propre expérience universitaire.
Où trouver ces emplois
- Régime travail-études : J’ai trouvé le poste de conseiller en rédaction à travers le régime travail-études, qui a un portail dans uoZone où l’on trouve toutes sortes de postes, d’assistant-bibliothécaire à technicien de laboratoire.
- Portail pour assistant à l’enseignement/correcteur/surveillant : On retrouve ces emplois dans le portail virtuel. Le lien est envoyé par courriel à tout le monde peu de temps avant le début de chaque session (moment où l’on peut poser notre candidature).
- Sites de recherche d’emploi Telfer : La demande d’emploi pour le programme de mentorat de Telfer se trouve sur le site web du Centre des carrières, ainsi que d’autres postes.
En ce qui concerne les activités sur le campus, les gens pensent souvent à des activités bénévoles ou des clubs et négligent les nombreux postes rémunérés offerts par l’université. Si tu souhaites gagner un peu d’argent tout en démarrant ta carrière, je t’invite à profiter des possibilités d’emploi à ta disposition!
Photo de couverture par Julia M Cameron provenant de Pexels
- Catégorie : Futurs diplômés
Curieuse motivée et créative, Joy Xu est une brillante élève du programme de B.Com. de Telfer en spécialisation comptabilité.
Passionnée par la santé mentale au travail, elle s’inspire des dirigeants et organisations qui mettent en avant et priorisent la culture du bien-être des employés.
Comprenant l'importance cruciale de l'engagement communautaire, Joy a décidé de s'impliquer auprès de l'École en s'engageant dans le programme hautement compétitif des marchés financiers de Telfer. Cela l’a conduite à intégrer un stage en banque d’investissement pour l’été 2020 à travers le programme des Marchés financiers de RBC. En parallèle, Joy s’est également démarquée pour avoir été la gestionnaire de portefeuille leader du programme cette année-là. Au cours des dernières années, elle a participé à de nombreux concours de cas dont le concours national de la diversité et de l’inclusion organisé par l'École Telfer, ou encore les Jeux de Commerce Central où elle s’est vu attribuer la première place avec l'équipe de gestion des ressources humaines.
Joy s’est également impliquée au sein du Club de comptabilité de Telfer, dont elle a été la présidente pour l’année scolaire 2019-2020. Dans le cadre de ce rôle, elle a dirigé l'équipe pour l'organisation de leur événement annuel de réseautage avec des sociétés comptables et a créé une initiative axée sur la santé mentale dans le domaine de la comptabilité.
Selon elle, les nombreuses activités parascolaires proposées par l'École lui ont ouvert d'innombrables opportunités et lui ont permis de s'impliquer davantage tout en appliquant ses connaissances acquises en classe. Elle déclare : « Dans l'ensemble, j'ai eu la chance d'explorer de nouveaux intérêts, d'assister à des conférences de leaders inspirants et de développer mes compétences tant sur le plan professionnel que personnel. »
Bien qu’elle soit bientôt diplômée, Joy prévoit rester active au sein de la communauté de Telfer.
- Catégorie : La voix des étudiants
Qu’il s’agisse des clubs étudiants, de la qualité de l’enseignement ou du développement personnel et professionnel, étudier à l’École de gestion Telfer est une expérience unique.
Les étudiants en parlent avec fierté et il est évident qu’être membre de la Telfer Nation signifie avant tout faire partie d’une communauté exceptionnelle au sein de la grande famille de l’Université d’Ottawa.
Voici les 3 raisons qui, selon moi, font de Telfer une faculté si spéciale :
1- Étudier en anglais, en français ou dans les deux langues officielles
L’Université d’Ottawa est considérée comme étant la plus grande université bilingue (anglais-français) du monde. En tant qu’étudiant international et originaire d’un pays francophone, venir étudier à Telfer dans la ville d’Ottawa était la meilleure manière pour moi d’améliorer mon anglais, tout en étudiant en français. La plupart des cours sont offerts dans les deux langues, ce qui constitue un avantage considérable en terme de bilinguisme.
2- Développement personnel et professionnel
Au-delà de la formation universitaire, je pense qu’une université doit être en mesure de contribuer au développement personnel et professionnel de ses étudiants. Ce critère en a été un de choix lorsque j’étais au secondaire et que j’ai fait mon choix d’université.
Ainsi, en plus de pouvoir s’inscrire au programme d’enseignement coopératif, l’École de gestion Telfer offre également différentes options intéressantes comme le Programme sur les marchés financiers (CMP) pour les étudiants en finances, le Programme de mentorat ou encore le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) pour les étudiants intéressés par la consultation, pour ne citer que ceux-là.
De plus, grâce au Centre des carrière de l’École de Gestion qui organise une multitude d'événements avec des employeurs et qui accompagne les étudiants de Telfer pour tout ce qui relève du développement professionnel (CV, lettre de motivation, entrevue, etc.) on se sent bien outillé à entrer sur le marché du travail et à tirer profit de nos connaissances académiques.
Enfin, les associations et clubs étudiants sont les éléments qui forgent le plus l’identité de l’École de gestion Telfer. Les étudiants impliqués dans la dizaine de clubs à Telfer organisent chaque année une multitude d’activités sociales et d’évènements de réseautage, participent à des compétitions et contribuent au rayonnement de notre faculté sur le plan national. C’est aussi une bonne manière pour les étudiants de rencontrer d’autres personnes avec des intérêts communs et de se bâtir un réseau pour l’avenir.
3- Le RTE (Le régime travail-étude)
Bien qu’il ne soit pas exclusif à l’École de gestion Telfer, le Régime travail-études offert par l’Université d’Ottawa constitue selon moi l’une des meilleures opportunités offertes aux étudiants. En tant qu’étudiants, il est souvent difficile de concilier nos études et notre vie personnelle, mais cela devient encore plus difficile quand il faut trouver un emploi. De ce fait, le RTE permet aux étudiants de trouver un emploi rémunéré, administratif ou non, sur le campus et à seulement quelques minutes de leurs salles de cours.
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez