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- Catégorie : Diplômés aux commandes
Pouya safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa, Récipiendaire de le prix Jeune Phénix
Le prix Jeune Phénix, créé à l'occasion du 30e anniversaire de l'École de gestion Telfer, reconnaît l'excellence de jeunes diplômés (moins de 40 ans) ayant relevé d'importants défis dans une courte période de temps.
On me fait l’honneur de me remettre le prix Jeune Phénix, et j’en suis reconnaissant. Je dois toutefois dire que toutes mes réalisations sont le fruit des occasions qui m’ont été offertes, en particulier à l’École de gestion Telfer. Je n’en reviens pas de la confiance qu’on m’y a manifestée.
Peu après la fin de mon MBA à Telfer, on m’a offert d’aider à améliorer le volet d’apprentissage expérientiel des cours de finance du B.Com. pour mieux préparer les diplômés à assumer divers rôles dans le monde de la finance. L’École Telfer m’a aussi accueilli comme chargé de cours et professeur à temps partiel. Les connaissances et l’expérience que j’ai acquises m’ont ensuite permis de décrocher le poste de directeur associé de l’Institut de développement professionnel de l’Université d’Ottawa.
Les cours que je donne au premier cycle portent sur l’éthique, la durabilité et la responsabilité sociale, des choses d’une importance vitale en finance et en innovation. L’innovation est autant le produit de l’égalité des chances que du savoir-faire technologique et de l’excellence scientifique. Je crois que le Canada peut atteindre à la fois l’excellence et l’égalité des chances en s’appuyant sur ses fondements multiculturels.
En fait, notre pays peut devenir un chef de file de l’innovation en veillant à ce que les nouveaux Canadiens aient la chance de bien s’intégrer, à ce que tous les Canadiens aient la possibilité d’ajouter des cordes à leur arc par la formation continue et à ce que les jeunes Canadiens n’aient pas à s’exiler pour poursuivre leurs objectifs professionnels et leurs projets d’entreprise.
La pandémie de coronavirus est un type particulier d’ouverture. Personne ne l’a voulue et, pourtant, elle provoque beaucoup de changements rapides, entre autres dans nos méthodes de travail. Très bientôt, de nombreuses occasions d’améliorer les choses se présenteront. Le Canada doit les saisir pour devenir plus juste, plus équitable et plus vert. J’encourage les étudiants et étudiantes de Telfer à prendre part au mouvement.
Pour ce faire, voici cinq leçons que j’ai apprises : premièrement, visez le bonheur, et non la richesse. Le bonheur fait ressortir nos meilleures qualités. L’argent suivra. Deuxièmement, ne vous comparez pas aux autres : vous aurez plus de succès en suivant votre propre chemin. Troisièmement, lorsque ce sera de nouveau possible, voyagez pour élargir vos horizons. Quatrièmement, continuez à apprendre après avoir eu votre diplôme. Enfin, cinquièmement, trouvez une cause qui vous tient à cœur et à qui vos connaissances pourraient être utiles. Votre chance vous attend. Ne la laissez pas filer.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Pouya Safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada passe par un partage plus équitable des ressources de notre pays entre les Canadiens eux-mêmes et avec les pays pauvres. Au Canada, le partage est une attitude, fondée sur l’inclusion et la tolérance. C’est aussi une action : régler nos désaccords de façon pacifique et réunir les contributions de toutes sortes de gens pour résoudre nos problèmes.
À l’étranger, les possibilités de partage sont infinies. J’ai géré des hôpitaux à Thunder Bay, Hamilton, Wingham et Pembroke. À ma retraite, ma femme et moi avons commencé à diriger des équipes de bénévoles canadiens pour améliorer les infrastructures hospitalières en Tanzanie. Au cours des 15 dernières années, en collaboration avec l’Alliance de santé communautaire Canada-Afrique (organisme affilié à l’Université d’Ottawa), nous avons supervisé 16 missions réunissant 120 bénévoles canadiens. Ces bénévoles ont travaillé 500 semaines à 25 projets d’amélioration des hôpitaux totalisant plus de 300 000 $ en dons.
Aider les autres est une source de satisfaction personnelle et professionnelle. C’est le genre de travail qu’on se sent bien de faire comme Canadien. C’est aussi ce qui nous rend meilleurs comme pays. Le Canada est vu comme un pays pacifique qui aborde les problèmes de façon non partisane. Cette approche impartiale, fondée sur le partage de nos connaissances avec les personnes les plus affectées et vulnérables, et une denrée rare aujourd’hui.
Cette approche est sans doute plus nécessaire que jamais. La pandémie de coronavirus a montré à quel point le monde est interconnecté et donc à quel point nous sommes vulnérables et dépendons les uns des autres. Comme Canadiens, nous avons bâti un système de santé universel conçu pour permettre à tous de vivre en meilleure santé. Nous devons continuer de soutenir et d’améliorer ce système.
La maîtrise en gestion des services de santé de Telfer a beaucoup contribué à la valorisation de la profession. C’était vrai quand j’ai obtenu mon diplôme en 1973, et ce l’est encore aujourd’hui. En 50 ans de carrière en santé, certains de mes outils et méthodes ont évolué, mais les principes fondamentaux demeurent : l’utilisation des données et la planification stratégique, le leadership et le travail d’équipe, la bienveillance et le partage.
L’École Telfer m’a aussi donné des camarades de classe à qui j’ai pu demander de l’aide et des conseils. J’encourage les étudiants et étudiantes de la maîtrise en gestion des services de santé de Telfer à garder le contact avec leurs camarades de classe. En faisant votre chemin dans le système de santé, vous en viendrez à comprendre que vous et votre organisation avez besoin des autres. En tant que dirigeant, vous devez vous mettre au centre d’un environnement organisationnel fondé sur le partage : le partage entre votre organisation et les autres, et entre le système de santé et les gens qu’il sert.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke.
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Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Le Canada est un pays de plus en plus marqué par la diversité. Plus que jamais, des gens nous
arrivent de partout, riches de parcours variés et de vastes bagages d’expériences et de
connaissances. C’est beau à voir et il faut que ça continue. Toutefois, la diversité elle-même
ne représente qu’une partie de l’équation.
Il faut aussi travailler sur l’inclusion. Un Canada véritablement équitable, c’est un pays où des
gens de tous les horizons et de toutes les couleurs participent activement aux actions et aux
décisions à tous les niveaux de la hiérarchie de nos entreprises, de nos organismes et de nos
institutions publiques.
La fonction publique, en particulier, se doit d’être plus inclusive. Une fonction publique
vraiment représentative de sa clientèle créera des politiques plus éclairées, offrira un meilleur
service et gagnera durablement la confiance des Canadiens et Canadiennes par son efficacité
et son ingéniosité. La diversité et l’inclusion sont bonnes pour les affaires, un point c’est
tout, car elles vont souvent de pair avec le succès et la résilience.
Pour moi, l’inclusion dans la fonction publique est aussi une conviction personnelle. Je suis
la fille d’immigrants haïtiens et la première personne noire à atteindre le rang de sous-
ministre dans la fonction publique fédérale. J’ai commencé comme étudiante dans un poste
de ressources humaines il y a plus de 30 ans. Je suis depuis peu sous-ministre déléguée à
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ce dont je suis extrêmement fière. Pourtant, je
me pose la question : pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps?
Tout le monde se pose ce genre de question ces temps-ci. La pandémie de coronavirus —
qui a affecté tant de gens, et en particulier les populations vulnérables — et les appels
pressants à la justice sociale ont provoqué un examen de conscience au Canada et dans la
fonction publique. Mes collègues et moi tenons à ce que la représentation, les politiques, les
programmes, les services et les organisations au fédéral reflètent la diversité de la population
et répondent à ses besoins les plus pressants, et nous travaillons en ce sens. J’ai moi-même le
devoir et le privilège de veiller à ce que les portes restent grandes ouvertes pour les
personnes comme moi.
Mon B.Com. de Telfer m’a appris à tirer parti des occasions qui se présentent, surtout dans
les moments difficiles. Pendant mon congé parental en 1995, j’ai utilisé mes connaissances et
mes compétences entrepreneuriales pour cofonder The Bagel Run, inc. — la première
fabrique de bagels montréalais cuits au four à bois d’Orléans (Ontario) —, toujours en
activité 25 ans plus tard. Aujourd’hui plus que jamais, il est important que les étudiants et
étudiantes de Telfer mettent leurs connaissances et leurs compétences au service de leurs
communautés. Prenez acte de la nouvelle réalité. Repérez les possibilités. Puis faites-vous un
plan et agissez pour bâtir un meilleur Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.
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Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada, c'est un Canada plus empathique. Mon entreprise, QMR Consulting
and Professional Staffing, cultive l’empathie pour offrir un milieu de travail agréable à ses
employés et entretenir des relations fructueuses avec ses clients. Premièrement, chez nous,
l’empathie est une exigence à l’embauche. Lorsque nous avons un poste à pourvoir, nous
cherchons des candidats qui manifestent une volonté d’écouter les autres et d’apprendre de
leurs points de vue et expériences.
Deuxièmement, l’empathie est une chose que nous pratiquons au quotidien, ce qui
commence par prendre le temps d’écouter nos collègues et nos clients pour bien
comprendre leurs problèmes, leur réalité et leurs circonstances. J’ai découvert qu’écouter
attentivement au lieu de se borner à réagir est une marque de respect, de compassion et de
bienveillance, autant de valeurs au cœur de l’empathie.
Nous encourageons aussi nos employés à savourer les bons moments de leurs journées.
Lorsqu’ils font quelque chose de bien pour un client, leurs collègues ou eux-mêmes, nous
voulons qu’ils prennent le temps d’en ressentir la satisfaction au lieu de passer tout de suite à
la prochaine tâche. Et aussi qu’ils expriment leur gratitude pour les petites ou grandes
réalisations des autres.
L’expression efficace des émotions est une autre qualité empathique que nous prisons. Au
travail, on ne s’emporte pas : tout problème, quelle que soit sa gravité, a sa solution. Chacun
d’entre nous s’attend à ce que les autres assument leurs responsabilités et apprennent de
leurs erreurs, mais il est toujours intéressant de constater à quel point les conversations et les
relations s’améliorent dans une entreprise lorsqu’on donne la chance aux employés
d’exprimer leurs émotions de façon constructive.
La pandémie de coronavirus a renforcé mon appréciation de l’empathie. Elle a mis en relief
notre obligation commune de nous mettre à l’écoute des plus vulnérables d’entre nous et
d’apprendre d’eux si on veut faire avancer le Canada plutôt que retourner à l’ancienne
« normale ».
Ma relation avec l’École de gestion Telfer m’a aussi donné une meilleure compréhension de
cette qualité essentielle. L’École m’a non seulement permis d’acquérir des connaissances
indispensables au programme de MBA, mais m’a aussi offert des expériences enrichissantes
comme PDG en résidence, président du conseil consultatif du doyen et, surtout, mentor
auprès des étudiants. J’encourage les étudiants à profiter des avantages sur le plan personnel
et professionnel que procure le fait de prendre son temps et d’écouter attentivement, de faire
preuve de gratitude et de bienveillance, et de cultiver l’empathie pour bâtir un meilleur
Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 7 août 2020 avec Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing.
- Catégorie : Actualités
C’est avec une profonde tristesse que nous avons récemment appris le décès de notre ancien professeur, Tom Brzustowski, des suites d’une brève maladie.
À la suite d’une brillante carrière de professeur au département de génie mécanique à l’Université de Waterloo et dans la fonction publique entant que sous-ministre au sein du gouvernement de l’Ontario de 1987 à 1995, d’abord au ministère des Collèges et Universités (MCU) de l’Ontario, puis au Conseil du premier ministre. il a été nommé président du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNGC) en octobre 1995, où il passa les 10 prochaines années.
Tom a terminé sa carrière professionnelle à l’École de gestion Telfer à l’Université d’Ottawa, où il a été désigné comme le premier Professeur RBC Groupe Financier en commercialisation de l’innovation. En tant qu’auteur et conférencier, il a travaillé sans relâche en faveur de l’innovation au Canada et a reçu des doctorats honorifiques de plusieurs universités à travers le Canada.
Son dévouement à bâtir un meilleur Canada a été reconnu au niveau national quand il a reçu l’Ordre du Canada en 2002 et a été nommé membre de la Société royale du Canada l’année précédente. En 2006, il a reçu la médaille d’or des ingénieurs professionnels de l’Ontario.
Au nom de l’École de gestion Telfer, nous souhaitons présenter nos plus sincères condoléances à toute sa famille.
Nous vous invitons à envoyer un message de sympathie à la famille. Veuillez visiter sa notice biographique, ici.
- Catégorie : Actualités
« Tous les ans, plus de 300 millions de tonnes de plastique sont produites mondialement et seulement 9 % sont recyclées. », dévoile Carter Barrett dans la vidéo soumise par l’équipe d’Enactus uOttawa lors des régionaux. Après avoir remporté trois des quatre titres en jeu lors du concour régional d’Enactus du Canada central, l’équipe a pu participer au concours national.
L’équipe d’Enactus de l’Université d’Ottawa a remporté la deuxième place au concours national 2020 avec leurs projets d’éliminer les déchets en plastique et de créer des entreprises durables qui utilisent l’abondance du plastique à travers le monde de façon écologique. Ils ont affronté 47 équipes des quatre coins du pays, mettant en avant l’impact qu’ils ont créé avec leurs projets d’entrepreneuriat durable et innovant cette année.
Lors de la toute première édition virtuelle du concours national, l’équipe de l’uOttawa a également reçu les prix suivants :
- Prix du meilleur projet pour Poly et Projet F.L.Y. (projet de santé mentale et de bien-être)
- Gagnant national du Youth Empowerment Challenge (Poly et Evolve Eyewear)
- Deuxième place au concours National Entrepreneurship Competition
- Finaliste national du Entrepreneurship Challenge (Poly)
Chaque membre de l’équipe a également reçu une subvention de 2 000 $ pour 3 des 4 nouvelles idées soumises.
Que fait Poly pour lutter contre les déchets mondiaux?
Poly est une entreprise sociale qui vise à lutter contre les conséquences environnementales massives des déchets plastiques grâce à la fabrication de machines à petite échelle qui peuvent faire fondre le plastique et le mouler en nouveaux produits. Le plastique est d’abord nettoyé, puis déchiqueté, fondu et moulé par les machines de Poly. On peut créer toute sorte de choses, comme des meubles sur mesure, des fournitures scolaires, des ustensiles de cuisine, et même des matériaux de revêtement comme des tuiles.
Ils ont réussi à réduire la quantité de déchets en plastique en collaborant avec des organisations comme Lush et Old Navy pour donner une seconde vie aux articles en plastique comme des cintres qu’ils auraient normalement jetés. Ces produits recyclés sont ensuite achetés par des particuliers, des propriétaires d’entreprises, des sociétés et des municipalités. Certaines entreprises ont même fait de leur partenariat avec Poly une extension d’un modèle commercial existant.
Enactus prévoit actuellement de lancer huit systèmes par an à travers le monde. L’entreprise possède déjà un atelier Poly à Ottawa et ont étendu leurs activités à d’autres régions comme Saint John au Nouveau-Brunswick, Aamjiwnaang First Nation en Ontario, Iqaluit au Nunavut et Malone dans l’état de New York. L’équipe de Poly travaille en étroite collaboration avec les opérateurs du système pour s’assurer qu’ils font de leur entreprise Poly une réussite.
Evolve Eyewear encourage les pratiques écologiques
Evolve Eyewear est une entreprise sociale innovante qui fabrique des lunettes écologiques en utilisant à 100 % du plastique recyclé localement à l’aide des machines Poly qui transforment le plastique en lunettes. Le projet incite les gens à acheter de manière plus durable et à avoir un mode de vie plus respectueux de l’environnement. Grâce à cette entreprise, l’équipe d’Enactus a créé des possibilités d’emploi pour les Canadiens, notamment en engageant 12 personnes avec un handicap pour les aider à transformer leur plastique et 4 jeunes à risque pour gérer les machines et pour fabriquer les montures.
Le projet F.L.Y. offre des compétences entrepreneuriales aux jeunes
Le projet F.L.Y. est un programme qui vise à responsabiliser et à guider les jeunes grâce à des ateliers pratiques où ils peuvent acquérir des compétences concrètes. L’équipe organise un concours annuel à la fin de l’année, le Perfect Pitch. C’est un concours bilingue pour les élèves du secondaire qui présente les fonctions essentielles des entreprises en mettant l’accent sur l’entrepreneuriat, la créativité et l’initiative. Les élèves qui participent à la compétition ont ensuite la possibilité d’assister à la Conférence Legacy organisée par Enactus uOttawa.
Une autre excellente année
L’équipe a généré plus de 80 000 $ cette année, et a pu épargner plus de 150 000 bouteilles d’eau, soit la valeur des déchets en plastique.
« Je suis très fier de tout le travail que notre équipe a accompli tout au long de l’année afin de faire d’Ottawa et du Canada un endroit meilleur grâce à un impact durable », a exprimé Parker Selman, le président d’Enactus uOttawa.
« Malgré les temps difficiles et le recours à un concours virtuel, nous avons pu présenter nos projets innovants et être reconnus à l’échelle nationale en tant qu’équipe de haut niveau dans le réseau Enactus. », ajoute-t-il.
Félicitations à l’équipe d’Enactus de l’Université d’Ottawa pour une autre année très réussie et pour votre travail incroyable sur vos entreprises durables et innovantes de premier plan!
- Catégorie : Engagement communautaire
La pandémie COVID-19 crée un fardeau financier pour plusieurs étudiants de l’Université d’Ottawa, et les étudiants à faibles revenus sont particulièrement vulnérables. Un fonds d’urgence spécial a été mis en place par l’Université pour offrir un soutien essentiel immédiat. Nous demandons aux diplômés – si vous le pouvez – d’appuyer financièrement le fonds d’urgence aux étudiants, ou l’un de nos deux fonds spécifiques à Telfer qui soutiendront nos efforts de gestion de cette crise COVID-19.
Fonds d'aide d'urgence en lien avec la COVID-19 pour les étudiants et étudiantes de l'Université d'Ottawa
Créé pour aider les étudiants qui connaissent des difficultés émotionnelles et financières en raison de la pandémie COVID-19. Les étudiants sont confrontés à des perturbations sans précédent dans leur vie académique alors qu'ils passent à l'apprentissage à distance, voient leurs emplois locaux et d'été supprimés et la plupart ont dû quitter leur résidence sur le campus pour minimiser les risques pour la santé publique. Vos contributions financières d'urgence aident les étudiants de toute l'université à surmonter des situations financières pénibles et contribuent à atténuer les problèmes de santé mentale. Les étudiants ont un besoin urgent de votre soutien pour rester concentrés sur la réussite scolaire maintenant et en préparation du semestre d'automne.
Fonds de l’École de gestion Telfer pour le bien-être
Le bien-être physique, l’intelligence émotionnelle et la santé mentale de nos étudiants sont prioritaires pour nous ici à Telfer. Aujourd’hui, les étudiants doivent gérer des situations stressantes dans leur vie qui affectent leur bien-être physique et mental. De la sensibilisation à la prestation de services de counseling et de formation, votre soutien à ce fonds aidera les étudiants de Telfer à faire face, avec succès, à leur besoin immédiat et futur.
Fonds des priorités stratégiques du doyen de L'École de gestion Telfer
Des fonds immédiats et accessibles sur lesquels notre doyen peut rapidement puiser et faire face à des crises comme celle de la COVID-19. Ici à Telfer, cela signifie de donner à nos chercheurs les moyens de développer des modèles analytiques qui aideront le système de santé à mieux planifier et gérer ses capacités. Ceci veut également dire qu'il faut soutenir la recherche afin de nous aider à naviguer sur les terrains inconnus de notre nouvelle réalité de travail et de vie privée : le travail à domicile, l'adaptation aux nouvelles tâches professionnelles ou au manque de services de garde d'enfants, et l'impact que cela peut avoir sur la santé mentale des employés ainsi que les moyens pour lesquels les organisations peuvent soutenir leurs employés en ces temps difficiles.
Cliquez ici, si vous désirez contribuer à un autre fonds prioritaire de l’École Telfer.
Pour effectuer votre don par téléphone, nous vous invitons à communiquer avec Joella Gencher, agente de développement, campagne annuelle à
Merci pour votre générosité !
- Catégorie : Engagement communautaire
L'Université d'Ottawa a mis en place des mesures visant à maintenir une "distanciation sociale", afin de préserver la santé de la communauté d'Ottawa et d'empêcher la propagation rapide du coronavirus (COVID-19).
La période actuelle est difficile pour tous, et nous pouvons déjà constater les répercussions économiques sur les entreprises, en particulier les plus petits commerces de quartier. Ceux-ci peuvent souffrir pendant cette période, mais nombre d'entre eux ont également trouvé des moyens ingénieux afin de soutenir la communauté d'Ottawa, tout en maintenant leurs activités courantes. Plusieurs entreprises d'Ottawa modifient leurs pratiques commerciales, allant du rationnement des articles recherchés jusqu’au refus de manipuler de l'argent liquide ou encore limiter le nombre de clients autorisés dans les magasins.
1. Rendre l’offre alimentaire accessible
Le restaurant d'Ottawa, Dreamland Cafe, situé sur la rue Preston dans la Petite Italie, a choisi de fermer son restaurant au public. Cependant, il reste ouvert selon un horaire spécial pour préparer de délicieux repas prêts à être livrés ou récupérés. Dreamland Cafe a élargi son menu en ligne (incluant leur sauce maison pour pâtes) et a baissé ses prix pendant cette période financièrement difficile. Vous pouvez commander de leurs repas en utilisant les services d’UberEATS qui, pour sa part, a décidé de retirer ses frais de livraison temporairement pour aider la communauté durant cette période.
Luxe Bistro, situé dans le Marché By, a adopté une approche similaire. Ils seront fermés au public, mais restent ouverts pour prendre les commandes à emporter (grâce à UberEATS et DoorDash), offrir un « service au volant » et livrer à domicile. Ils proposent même quelques produits de base aux clients afin d'éviter que les épiceries ne soient trop occupées.
Bien que de nombreux détaillants alimentaires et restaurants aient pris la délicate décision de fermer, La Bottega Nicastro a fait ce qu'elle a pu avant de faire de même. Ils ont fait don de plus de 1 000 $ de nourriture à l'Opération Ramzieh, une équipe de secours en cas de crise qui s'est réunie pour aider les personnes âgées et autres Canadiens vulnérables pendant la crise de la COVID-19.
Parmi les nombreux autres restaurants qui font un effort pour mettre leur nourriture au servir de la communauté, on compte :
- Lexington Smokehouse and Bar
- Sushi Umi
- Happy Goat Coffee Company
- Pure Kitchen
- OCCO Kitchen
- JOEY Rideau and JOEY Landsdowne
- Freshii Westboro
- Two Six Ate
2. Rester actif
Puisqu’il est conseillé de rester à l'intérieur, de nombreuses salles de conditionnement physique et studios d’entraînement ont fermé leur portes pour aider à réduire la propagation du virus. Un studio de danse d'Ottawa a eu l'idée d'aider ses membres à rester actifs en proposant des cours de danse diffusés en direct et offerts en ligne. Dance Fusion Studio a envoyé un courriel à tous ses danseurs afin de leur proposer des cours virtuels via Zoom afin de les encourager à "danser dans le confort de leur salon".
Par ailleurs, le populaire studio de yoga d'Ottawa, Pure Yoga, dirigé par les co-entrepreneurs Amber et Jen, organise des séances de yoga sur sa plateforme en ligne, où plus de 150 cours sont disponibles. Pendant cette période, ils offrent les deux premières semaines gratuitement, et un prix réduit en utilisant un code promotionnel spécifique.
Parmi les autres entreprises de remise en forme et de bien-être d'Ottawa qui s'adaptent à ces nouvelles circonstances, citons :
3. Soutenir les loisirs
Wallack's Art Supplies, situé au coin de la rue Bank, offre du matériel d'art pour ceux d'entre vous qui désirent peindre, dessiner et faire différents projets. Ils ont eux aussi fermé leur magasin suite aux conseils des responsables en santé publique, mais leur boutique en ligne reste ouverte et offre des options de ramassage et de livraison.
La librairie locale de la rue Bank, Black Squirrel Books, rassemble et livre des commandes de livres mystères pour ses clients. Selon le Ottawa Citizen, "les clients peuvent choisir n'importe quel genre qui les intéresse : mystère, fiction, historique, développement personnel, livres pour enfants, etc. - ou simplement commander une boîte à surprises. Avec l'une ou l'autre de ces options, les clients n'ont aucune idée des titres spécifiques qu'ils recevront".
De nombreuses autres entreprises locales ont modifié leur modèle d'entreprise pour répondre aux nombreux besoins et intérêts de la communauté d'Ottawa, comme par exemple :
- West End Kids
- Ottawa Food Bank
- Masters n' Dogs pet shop
- Henry’s Camera
- Eliquo Training and Development Incorporated
4. Nous garder en bonne santé et nous protéger contre le virus
Plusieurs entreprises locales prennent des mesures pour rester en bonne santé en utilisant leurs ressources existantes. Par exemple, la distillerie de Perth, Top Shelf Distillers, produit du désinfectant pour les mains pour lutter contre l'épuisement des stocks dans les magasins. Ils ont lancé une "campagne de financement participatif pour financer la production, l'achat et la distribution de lots de désinfectant pour les mains, alors que la demande déjà énorme continue d'augmenter", qui a connu un grand succès puisqu'ils ont dépassé leur objectif de collecte de fonds en une seule journée, en partageant leur histoire sur CTV News.
Un autre distillerie qui contribue aux efforts sanitaires est Dairy Distillery à Almonte, située à environ une heure d'Ottawa. L'entreprise crée deux produits : un désinfectant de surface et un désinfectant pour les mains grand format avec pompe. Elle souhaitait partager ces produits avec les membres de la communauté, notamment les cliniques de santé, les hôpitaux, les hôpitaux vétérinaires et les organisations caritatives.
De plus, des membres de l'Université d'Ottawa trouvent un moyen d'aider directement les travailleurs de la santé à se protéger du virus. Chez Makerspace, sur le campus, Midia Shikh Hassan, responsable du Centre en génie entrepreneurial de la conception (CGEC) de l'université, utilise des imprimantes 3D et des découpeuses laser pour fabriquer des équipements de protection individuelle essentiels. Le CGEC peut créer 10 à 20 écrans faciaux toutes les deux heures, et prévoit de fabriquer encore plus d'équipements nécessaires grâce aux conseils des médecins de l'hôpital d'Ottawa.
Vous pouvez soutenir nos entreprises locales en achetant des cartes-cadeaux, en faisant des achats en ligne ou en commandant des articles à emporter ou à livrer.
Avez-vous remarqué des initiatives prises par des commerces locaux pour s’adapter à la situation actuelle? Faites-nous part de vos histoires favorites et de ce que font ces commerçants pour soutenir la communauté d'Ottawa.
- Catégorie : Annonces Telfer
Le 9 novembre 2019, 90 étudiants des écoles secondaires francophones de l’Ontario sont venus à Ottawa pour participer à la compétition d’études de cas Place à la jeunesse de l’École de gestion Telfer.
Chaque année, Place à la jeunesse est organisée par des étudiants de Telfer pour initier les élèves du secondaire au monde des affaires et les préparer à l’université. Dans le cadre de la 16e compétition qui s’est tenue cette année, 30 équipes de 90 écoles ont été sélectionnées pour tester leurs compétences en études de cas. Les étudiants ont participé à l’un des quatre volets suivants de la compétition : marketing, comptabilité, entrepreneuriat ou débat oratoire.
L’événement a commencé le soir précédant la compétition et les étudiants de Telfer ont animé des ateliers sur les techniques de PowerPoint, de résolution de problèmes et de présentation, afin d’encadrer les élèves du secondaire qui n’avaient jamais participé à ce type d’activité auparavant. Le lendemain, les équipes ont reçu leurs études de cas, ont élaboré des solutions et les ont présentées aux juges. Les lauréats ont reçu des commanditaires des bourses d’études à l’Université d’Ottawa totalisant 82 500 $.
L’École de gestion Telfer souhaite féliciter les gagnants de chaque catégorie :
Marketing
1re place: Emma Iusan, Vanessa St-Denis et Julianne Lacelle de l’ÉSC L’Escale
2e place: Ashley Edouard, Elyse-Anne Bordeleau et Saïma Altimo du CC Samuel-Genest
3e place: Kara D’Arcangelo, Chloé Emery et Christian Ricard de l’ÉSC Thériault
Comptabilité
1re place: Marika Brunet, Emma Phillips et Annabel Clément de l’ÉSC L’Escale
2e place: Mélodie Chartrand, Jade Poirier et Julien Lemieux de l’ÉSCR de Hawkesbury
3e place: Alexa Caron, Keenan Roy et Emma Bertrand de l’ÉSC Thériault
Concurrente remarquable: Marika Brunet
Entrepreneuriat
1re place: Lyra Sheldon, Cameron Chevalier et Mathias Lazure de l’ÉSC E.J. Lajenesse
2e place: Alexis Jeaurond, Laurie Boucher et Maxim Sauvé-Rozon de l’ÉSP Le Sommet
3e place: Patrick Ibrahim, Simon Willemsma et Cyril Fayek de l’ÉS Père-René-De-Galinée
Débat oratoire
1re place: Lia Charleois, Cassandra Joly et Catherine Vaillant de l’ÉSCR de Hawkesbury
2e place: Nathalie Shuh, Sarah Clouston amd Anne-Sophie Autale de l’ÉSP Le Sommet
3e place: Delhia Mainville, Kassandra Marleau et Marie Luciani-Grimaldi de l’ÉSC de Plantagenet
Meilleurs présentateurs
Marketing: Kara D’Arcangelo
Comptabilité: Mélodie Chartrand
Entrepreneuriat: Maxim Sauvé-Rozon
Débat oratoire: Marie Luciani-Grimaldi
- Catégorie : ImpactTelfer
Jeune donatrice de l'année
Sarah Parr
Mes années à Telfer m’ont appris l’importance de travailler fort et de repousser mes limites. Peu de temps après avoir reçu mon diplôme, j’ai obtenu le titre de vérificatrice interne autorisée (CIA). Pour moi, c’était un réel accomplissement. Au fil des années, cela a continué à m’ouvrir des portes et à m’offrir de nombreuses opportunités sur le plan professionnel. La croissance continue et l’apprentissage sont pour moi des valeurs essentielles, c’est pourquoi il est si important pour moi de redonner à Telfer un peu de ce qu’elle m’a offert, et c’est pour moi un réel honneur de recevoir ce prix. Cela démontre qu’il n’est pas nécessaire d’attendre des années pour faire une différence.
BÉNÉVOLE DE L'ANNÉE
Jodie Harrison
Je suis de nature extravertie, j’aime travailler avec les gens et avoir l’occasion de créer un impact. C’est d’ailleurs ce que j’ai aimé à Telfer : la possibilité de rencontrer d’autres professionnels et de côtoyer des mentors. Cette connexion est importante. C’est pour ces raisons que je suis une bénévole. Avec le Programme de mentorat par les cadres, nous avons la possibilité de prendre un étudiant sous notre aile, de le conseiller sur le développement de sa carrière. À titre de Présidente du 24e tournoi annuel de golf de Telfer, j’ai également participé à la création d’un fond en vue d’offrir une bourse d’admission à l’École. Je suis honorée et reconnaissante d’avoir l’occasion de redonner et appuyer la génération future.
DONATRICE FIDÈLE DE L'ANNÉE
Marie Fortier
J’ai débuté des études en commerce, mais en 1969, j’ai découvert l’existence de la Maîtrise en Administration de la Santé, et je n’ai plus jamais remis ce choix en question. J’ai accompli mes 10 premières années de carrière avec beaucoup de satisfaction. Cependant ma contribution se limitait à une seule ville. J’ai alors accepté un emploi subalterne dans le domaine de la santé autochtone. Cela m’a incité à développer une vision nationale. Cette approche m’a servie dans mon rôle de sous-ministre déléguée, puis sous-ministre auprès des communautés des langues minoritaires, avec comme résultat la prospérité des organisations qui continuent aujourd’hui à faire une différence. Je suis extrêmement fière de ces réalisations. C’est la principale raison pour laquelle on m’a remis l’Ordre du Canada en 2016. Je me sens à la fois humble et reconnaissante d’avoir obtenu cette distinction prestigieuse.
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La voix des étudiants
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