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Témoignages d'étudiants et de diplômés

Qui sont les étudiants de la maîtrise ès sciences en gestion Telfer? Ils viennent de plusieurs régions, ont eu des parcours divers et représentent une variété d’expériences personnelles et universitaires.

Ils partagent toutefois certaines caractéristiques importantes. Ils sont tous d’excellents communicateurs et des travailleurs acharnés. Ils font tous preuve d’initiative. Tous emploient des approches créatives pour répondre aux défis de la recherche.

Ce sont tous de grands chercheurs en devenir. En effet, certains étudiants ont utilisé la maîtrise ès sciences en gestion Telfer comme tremplin vers des carrières marquantes comme chercheur dans le secteur public, parapublic et privé. D’autres ont profité de notre programme comme porte d’entrée vers des études doctorales à des universités prestigieuses, étape importante sur le chemin des carrières académiques comme professeurs et savants.

Faites-en la découverte. Lisez les données historiques, les réalisations et les projets de certains de nos étudiants actuels ou diplômés récents, six grands chercheurs en devenir.

Intrigué par les entrepreneurs

Pourquoi les gens deviennent-ils entrepreneurs? Sont-ils généralement heureux de l’être? Et, par extension, les gens dans les régions, les pays et les continents dotés d’un taux élevé d’entrepreneuriat sont-ils plus heureux que les habitants d’autres régions, pays et continents? Elliott Bourgeois veut le découvrir.

« J'ai toujours été intrigué par les entrepreneurs. En particulier, je suis curieux de savoir exactement ce qui les motive à assumer les risques et la charge de travail requis pour démarrer et faire fructifier une entreprise. », dit Elliott.

Elliott est venu au bon endroit pour satisfaire sa curiosité intellectuelle, pour trois raisons. D’abord, la maîtrise ès sciences en gestion Telfer met l’accent sur l’entrepreneuriat, selon une variété de perspectives en gestion. Ensuite, Mark Freel, un des professeurs d’Elliott, figure parmi les penseurs les plus originaux sur l’entrepreneuriat. Finalement, le programme est un foyer parfait pour les étudiants qui n’ont pas peur de poser des questions de recherche judicieuses.

« Au cours de mon parcours étudiant, je n’ai jamais été satisfait de m’entendre dire comment faire les choses, dit Elliott, diplômé en finance au premier cycle. Je veux découvrir le pourquoi. La maîtrise ès sciences en gestion Telfer est le programme idéal, car elle me fournit des outils et l’accès aux ressources qui alimentent mes intérêts. »

Elliott Bourgeois

Afficher le meilleur des leaders

Faut-il être diplômé en commerce pour profiter au maximum de la maîtrise ès sciences en gestion Telfer? Nullement. Nicholas Bremner s’est servi de notre programme comme d’un tremplin inusité pour accéder au doctorat en psychologie industrielle et organisationnelle à l’université Western Ontario.

« Entre toutes, la maîtrise ès sciences en gestion Telfer me convenait le mieux, » dit ce natif de North Bay (Ontario), âgé de 24 ans. « Je suis convaincu qu’aucune autre étude n’aurait pu me conférer autant de connaissances sur les affaires et, en outre, mieux développer les habiletés de recherche dont j’aurai besoin pour réussir la suite de mon parcours universitaire et ma carrière future comme psychologue industriel et organisationnel. »

Nicholas a déjà mis ses talents à bon emploi. Il a exploré le concept du travail significatif, examiné l’épuisement professionnel et découvert des moyens de mesurer les traits personnels en milieu de travail. Son domaine principal? L’élaboration et l’affinage d’un modèle théorique expliquant comment le comportement des groupes d’employés habilite leurs patrons.

« It semblerait que de plus en plus de chefs d’entreprises aient un comportement contraire à l'éthique, dit-il. Je veux savoir précisément comment des employés peuvent avoir une influence positive sur le comportement de leur gestionnaire et faire ressortir ses meilleurs attributs. »

Nicholas Bremner

Comprendre la dynamique de l’innovation

L’innovation dans l’industrie du vin au Canada diffère-t-elle d’une région à l’autre, ou existe-t-il des influences extrarégionales sur cette industrie en pleine croissance? Evelyne Lord Tarte a cherché la réponse à cette double question.

« Je m’intéressais à la dynamique de l’innovation dans les principales régions viticoles du Canada : la Colombie-Britannique, l’Ontario et le Québec, dit Evelyne. C’est l’une des rares industries implantées dans trois régions distinctes du même pays. En outre, elle a subi des transformations profondes récemment au niveau de la demande pour ses produits, de ses intervenants clés et des stratégies de gestion. »

La maîtrise ès sciences en gestion Telfer a fournit à Evelyne l’environnement parfait pour effectuer sa recherche. Elle estime notamment que la petite taille de la cohorte établit des liens solides entre les étudiants et les professeurs et permet aux chercheurs débutants de générer des résultats excitants, y compris dans son propre cas.

« Les premiers indices démontrent que l’innovation dans l’industrie viticole canadienne varie peu entre les régions, dit-elle. Au contraire, l’âge de chaque vinerie et son niveau de développement ont davantage d’influence sur l’innovation. »

Evelyne Lord Tarte

Passionné de marketing

Avez-vous déjà ressenti la concordance parfaite des circonstances dans votre vie? Alex Mitchell, si.

« J’ai intégré la maîtrise ès sciences en gestion Telfer parce que je suis passionné de marketing, » dit l’homme de 32 ans originaire de Kars (Ontario). « Or ma directrice de thèse, la professeure Judith Madill, est une experte renommée dans cette discipline et m’a fait découvrir un nouveau champ passionnant, le marketing social. »

Alex a vite profité de l’opportunité. Par sa recherche, il a développé un modèle qui représente les stratégies de marketing prédominantes des entreprises qui visent à la fois le changement social et des buts lucratifs. Plus significatif encore, son modèle identifie un nombre de ce qu’il appelle « tensions », qui influencent comment ces entreprises sociales emploient des méthodes de marketing.

« Ces tensions sont au cœur même des entreprises sociales, dit Alex, pourtant quatre d’entre elles ressortent : comment les entreprises financent leur mission sociale, planifient l’expansion, équilibrent le désir de coopérer avec la nécessité de faire concurrence et, enfin, comment elles gèrent les intervenants qui représentent leurs ambitions sociales et ceux qui représentent leurs buts lucratifs. »

Alex Mitchell

Le bon parcours

La richesse des possibilités universitaires et de carrière qu’elle procure aux étudiants représente un des attraits majeurs de la maîtrise ès sciences en gestion Telfer. Parmi les nombreuses possibilités se trouve la poursuite du doctorat, le parcours entrepris par François Neville.

« Je veux faire carrière dans le monde universitaire comme scientifique et professeur, » dit le diplômé du B.Com. Telfer et doctorant à l’école de gestion J.-Mack-Robinson de l’université Georgia State. « La maîtrise ès sciences en gestion Telfer, et plus précisément l’orientation que m’ont procuré mes directeurs de thèse, constitue la préparation idéale pour mes études actuelles, elle-même un marchepied essentiel à mon cheminement. »

Cette préparation rapporte déjà. Dans sa thèse, l’homme de 27 ans originaire de Sudbury a analysé en détail le rendement et la croissance des entreprises d’export appartenant à des immigrants. Ce faisant, il a comblé un vide profond des connaissances entrepreneuriales et produit des connaissances vitales aux entrepreneurs, investisseurs, décideurs publics et autres chercheurs.

« Personne n’avait étudié attentivement si les entreprises appartenant à des immigrants réussissaient mieux que celles appartenant aux non-immigrants, dit-il. Par l’entremise de mes recherches, j’ai trouvé que les compagnies des immigrants ne réussissaient ni mieux, ni moins bien; cependant, celles qui faisaient de l’export croissaient beaucoup plus rapidement que d’autres firmes, y compris celles des autres exportateurs. »

François Neville

Logique parfaite

Comment les entreprises et les organisations font-elles pour stimuler, gérer et exploiter des produits, des systèmes et des processus innovateurs? Cette question est fondamentale pour la maîtrise ès sciences en gestion Telfer. Elle était aussi le centre d’intérêt et d’activité de Weiwei Wu.

« M’inscrire à l’École Telfer était tellement logique pour moi, à deux titres, » dit Weiwei. « Premièrement, je me suis concentrée sur la gestion de l’innovation dans mes études de premier cycle et c’est une force reconnue de la maîtrise ès sciences en gestion. Deuxièmement, la taille des classes dans le programme est très petite, ce qui me donne l’occasion de travailler de près avec mes collègues et les professeurs. »

Une de ces professeures, Margaret Dalziel, est sans doute l’une des expertes les plus réputées au Canada en matière d’intermédiaires d’innovation. Ces organisations, qui sont habituellement appuyées par les gouvernements nationaux et régionaux, aident les entreprises à créer, à gérer et à commercialiser des produits, des services et des systèmes innovateurs.

« Je veux consacrer mon temps dans le programme, et ce que j’y apprendrai, à mieux comprendre les intervenants organisationnels qui servent d’intermédiaires en innovation, dit Weiwei. J’aimerais même, découvrir de nouveaux aspects de leurs actions, de leur influence et de leur impact sur les organisations et leurs activités. »

© 2024 École de gestion Telfer, Université d'Ottawa
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