La voix des étudiants
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Est-ce que le programme coop est fait pour toi? Si oui, pour quelle entreprise devrais-tu travailler? Pour quel type de poste devrais-tu postuler? Que dois-tu faire pour tirer le maximum de ton expérience de travail?
Bien qu’il n’y ait pas de bonnes ou mauvaises réponses à ces questions, les tiennes pourraient avoir une incidence importante sur ton futur. De ce fait, prendre des décisions reliées à ton expérience de travail dans les études commerciales peut être intimidant et stressant.
En tant qu’étudiant en marketing qui entame son troisième stage coop, j’ai dû répondre à ces questions à plusieurs reprises. Chaque fois, ne sachant pas trop quoi faire, j’ai demandé de l’aide à des amis, aux conseillers du Bureau coop, à mes parents et à d’autres personnes qui ont participé au programme coop ou qui y participe présentement. À l’aide de ces expériences et des conseils qu’ils m’ont donnés, j’ai créé une liste de six choses à faire et à ne pas faire qui m’a aidé, et qui vous aidera à prendre les bonnes décisions en ce qui concerne le programme coop à Telfer.
1. Participe au programme coop
Ce n’est pas toujours facile d’acquérir de l’expérience de travail enrichissante en même temps que ses études, surtout quand la majorité des étudiants ont peu de choses à mettre dans leur CV. Selon le taux de placement de 97 % du programme coop de l’Université d’Ottawa en 2018, participer au programme t’offre de très bonnes chances de trouver un stage dans ton domaine. Non seulement le stage pourra t’aider à payer tes factures, il t’aidera à te démarquer de la concurrence dans le monde des affaires. Si tu n’es toujours pas convaincu que le programme coop à Telfer est fait pour toi, va faire un tour sur ce blogue. Il énumère de nombreuses autres raisons pourquoi les étudiants de Telfer devraient s’inscrirent au programme coop.
2. N’aie pas peur d’essayer quelque chose de nouveau
Lorsqu’il s’agit d’essayer de nouvelles choses et de découvrir ce que tu veux faire plus tard, il n’y a pas de meilleur moment pour le faire que lorsque tu es en coop. La plupart des séquences travail/études du programme coop à Telfer ont quatre stages de quatre mois chacun. Tu as donc la chance d’expérimenter sans avoir à t’engager comme tu le fais avec un emploi régulier hors de coop. Le pire qui puisse arriver est que tu réalises qu’un des stages n’est pas fait pour toi. Dans ce cas-là, tu peux aller de l’avant plus rapidement, car le stage est d’une courte durée et il te reste encore 3 autres stages pour trouver celui qui te convient le mieux. D’un autre côté, en explorant de nouveaux horizons, tu pourrais tomber sur un emploi auquel tu n’avais pas pensé. D’ailleurs, de mon expérience, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui n’avait pas tiré profit d’un de ses stages. Par conséquent, si tu veux tenter autre chose avec coop, fais-le!
3. Profite du Centre des carrières de Telfer et des services coop
Le Centre des carrières et le Bureau coop offrent tous les deux plusieurs services et ateliers qui te donnent un avantage lorsque tu postules à un stage. Ils peuvent t’aider à rédiger ton CV, te donner de bonnes techniques d’entrevue, des conseils pour t’habiller en conséquence, une orientation professionnelle et bien plus. Dans mon cas, j’ai recouru à leurs services pour perfectionner mon CV et demander de l’aide pour mon choix de stage. Tirer parti de ces services peut faire la différence entre obtenir ton premier choix de stage plutôt que le deuxième.
4. Ne postule pas à tous les postes
Si tu postules à tout, tu risques d’avoir trop d’entrevues, ou de te retrouver dans une position difficile. De ce fait, tu pourrais passer à côté d’un stage que tu aurais préféré dans la deuxième ronde. Je sais que l’incertitude d’être jumelé à un employeur peut être stressante et qu’il peut être difficile de trouver un juste milieu entre le fait de postuler à trop d’emplois et pas assez, surtout à la première ronde. Cependant, avant de poser ta candidature partout, respire et tiens compte de ce qui suit : le taux de placement du Bureau coop est de 97 % (les chances sont de ton côté); donc si tu n’es pas jumelé à la première ronde, tu peux toujours te reprendre à la seconde, et l’équipe du Bureau coop est là pour t’aider dans tes démarches.
5. Prends plusieurs opinions en considération
Lorsque tu essaies de prendre des décisions et de répondre aux questions énumérées au début de ce blogue, il est important de tenir compte de plusieurs points de vue, et de prendre les choses avec un grain de sel. Bref, il y a toujours des gens qui jurent que travailler au gouvernement c’est la meilleure chose à faire, alors que d’autres préfèrent les entreprises en démarrage ou les grosses compagnies. Les opinions sont multiples, mais il n’existe pas de solution qui convienne à tout le monde. Quand vient le temps de prendre des décisions, prends en compte les opinions et les expériences des autres, comparent-les à tes objectifs de carrière et n’est pas peur de tester tes idées.
6. N’oublie pas de profiter au maximum de ton expérience de travail
Peu importe si tu as une très bonne ou une moins bonne expérience coop et tombe sur un poste qui ne t’intéresse pas, tu devrais quand même en tirer le meilleur parti. Profite de chaque occasion qui se présente, et si aucune ne se présente, crée-les toi-même. Même si le Bureau coop t’aide à trouver un stage, c’est à toi d’apprendre de nouvelles compétences, de relever des défis et de te démarquer.
En résumé, prendre des décisions liées à ton expérience de travail dans le monde des affaires peut être stressant. Cela dit, si tu prends ton temps et profites des ressources, des possibilités et des conseils à ta disposition, ton expérience coop à Telfer ira à merveille!
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Que vous vous prépariez pour Intopia ou que vous cherchiez de l’information sur comment mieux travailler en équipe en ligne, ce blogue devrait beaucoup vous aider. Au départ, j’allais écrire un article sur comment survivre à Intopia en ligne. Mon équipe a fait un excellent travail, et nous avons gagné la première place en tant qu’équipe de grossistes. En mars 2020, Sam Sutherland a écrit un article proposant 7 conseils et astuces pour réussir la simulation de stratégie Intopia. Puisque son article est récent et que j’aurais abordé des points semblables, j’ai décidé d’écrire sur l’expérience virtuelle de la simulation Intopia et comment vous pouvez utiliser cette situation à votre avantage.
Avant de passer à la question sur comment réussir la simulation Intopia, je voudrais ajouter quatre autres conseils à prendre en compte que ne mentionne pas Sam dans sa liste :
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S’il vous reste un surplus d’argent, investissez-le dans les titres financiers du bureau chef.
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Restez au courant de ce qu’il y a dans votre stock et de la quantité que vous pouvez vendre. Notez que certains chiffres varient et semblent provenir d’un placement, donc appliquer ce que vous avez appris dans votre cours de statistiques et prenez un échantillon de plus de 5 personnes (notre équipe prélevait 30 échantillons par intervalles).
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Ne prenez pas une marge de crédit, cela peut virer en fiasco au sein de l’équipe.
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La production écologique permet vraiment de vous démarquer des autres équipes.
1. Comment préparer votre équipe
Tout comme une machine bien huilée, votre équipe devrait pouvoir travailler sans problème. Faire les premiers pas et se sentir à l’aise avec les autres peut être difficile, mais essayez de briser la glace pour rendre les réunions plus naturelles, plus agréables et plus amusantes. Les réunions se tenaient au moins une fois par semaine grâce aux discussions d’équipe faites en classe.
Essayer de se parler et de se poser des questions sur comment s’est passée la semaine de chacun ou sur quelque chose d’intéressant qui s’est produit depuis la dernière fois que vous vous êtes vus, permet de briser la barrière professionnelle et de se sentir plus à l’aise. Vous avez plus de six semaines pour apprendre à connaître l'équipe avec laquelle vous vivrez d’énormes moments de stress, à peine reposés, mais tout en vous amusant.
En apprenant à connaître vos coéquipiers, vous apprendrez quels sont leurs forces, leurs intérêts et leurs faiblesses. Grâce à ces connaissances, vous devriez être capable de les répartir en groupes. Dans mon cas, nous avions une personne pour la gestion (stock y compris), une personne pour le marketing et trois personnes pour la finance et la comptabilité. Pour être honnête, notre équipe a été construite autour de cette répartition du travail. Nous avons ensuite nommé de manière informelle des sous-chefs responsables du marketing et de la gestion. « Informelle » dans le sens qu’ils doivent savoir comment les choses fonctionnent et être capables de répondre aux questions lorsque le spécialiste est occupé ou absent. Cela permet de répartir la quantité de travail lorsqu’une section a une plus forte demande et, plus important encore, permet à tout le monde de savoir ce que les autres sections font et sont capables de faire. C’est de la communication forcée, mais qui est naturelle, organisée et moins stressante.
2. Comment travailler en équipe en ligne
Pour les épreuves, nous avons pratiqué autant d’éléments clés Intopia que possible. Les épreuves de la simulation en ligne Intopia sont l’occasion pour votre équipe d’apprendre à travailler ensemble comme les rouages d’une machine. Bientôt, les membres de votre équipe seront capables de régler un problème sans difficulté. Au fur et à mesure qu’ils répondent aux questions, les membres de votre équipe deviennent plus à l’aise et en harmonie comme une machine bien huilée recouverte de sable dont l’huile finira par se débarrasser.
Pour ce qui est des autres points sur lesquels nous avons travaillé, nous avons constamment modifié et mis à jour les feuilles Excel pour travailler plus efficacement afin que chaque membre de l’équipe puisse lire ce qui est requis, mettre en évidence la demande attendue, trouver facilement les informations nécessaires, etc.
Nous nous sommes assurés que chacun d’entre nous avait des connaissance sur plus d’un « poste », ou d’un rôle nécessaire dans la simulation. Nous avons essayé différentes théories, dont certaines ont mieux fonctionné que d’autres. Lorsque nous travaillions ensemble, c’était toujours en petites équipes afin de trouver ce qui était nécessaire et afin de communiquer librement comme si nous étions présents physiquement. Bref, nous avons fait autant d’appels vidéo que possible, accumulant jusqu’à plus de 28 heures comprises dans les 9 périodes de la simulation Intopia en ligne.
Chaque fois que vous faites quelque chose sur une période de temps aussi longue, il est possible que l’équipe fasse des erreurs. Si vous le pouvez, corrigez-les dès que possible, et ensuite, parlez-en à votre équipe par appels vidéo. Si vous ne pouvez pas les corriger, vos coéquipiers pourraient rectifier l’erreur ou trouver des moyens d’atténuer les effets négatifs que cela aurait sur l’ensemble de l’équipe.
On peut commettre des erreurs et engendrer des malentendus. Par exemple, vous pensiez que vous aviez construit deux bureaux de vente supplémentaires pour la dernière période à la fin du jeu et en commandant pour ce montant vous avez découvert que ce n’était pas le cas. Maintenant, votre équipe a un surplus de 300 000 $ pour chaque produit. Dans ce genre de cas, l’équipe peut trouver une façon de vendre le produit supplémentaire au-delà du montant prévu dans les dernières minutes qui suivent la date limite, en s’assurant bien sûr de gagner la première place.
De plus, il est possible que vous soyez fatigués après un appel et ayez besoin de vous réveiller 6 à 8 heures plus tard pour continuer à travailler. Cependant, votre état d’esprit est important. Faites de votre mieux pour vous entendre avec votre équipe, car si votre équipe est découragée ou se sent déprimée, il est probable qu’elle soit également stressée. Nous avons essayé de toujours prendre une pause, de rire et de faire des blagues. Cela peut également détendre et alléger les tensions.
Quand les choses se compliquent, appelez votre professeur. Le nôtre a été merveilleux : il nous a encouragés pour notre plan et a su détendre l’atmosphère. Enfin, planifiez tous vos repas afin de pouvoir manger rapidement, si nécessaire.
3. Comment nouer des liens et conclure de meilleurs marchés avec les autres équipes
L’une des plus grandes qualités dont notre équipe a été très fière fut d’avoir été éthique et juste envers les autres équipes. Cela représente beaucoup pour une simulation aussi courte. Les appels téléphoniques et les appels vidéo sont parfaits pour ce genre de chose, car vous pouvez conclure un accord avec une autre équipe beaucoup plus rapidement et, du moins pour nous, faire de meilleures offres que celles que nous envoyons par texto ou courriel aux autres équipes. Les appels peuvent également ajouter un certain élément d’urgence à l’accord, car ils sont soumis à une plus grande pression de répondre. Ne pas répondre est parfois un bon atout pour stresser l’autre équipe, donc vous pouvez aussi l’utiliser à votre avantage. Si vous le pouvez, utilisez-le. Par ailleurs, les équipes qui ont un plus grand réseau sont plus susceptibles de mieux briller.
J’espère que j’ai pu aider votre équipe à mieux travailler ensemble pour la simulation Intopia en ligne. Même si vous ne participez pas encore à la simulation, peut-être que cela vous aidera à savoir comment maintenir de bonnes relations avec vos coéquipiers. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me contacter sur LinkedIn.
Voici quelques ressources supplémentaires pour travailler à distance :
3 conseils pour réussir vos projets d’équipes dans un cours à distance (en anglais)
Concevoir de bons projets d’équipe dans les cours à distance (en anglais)
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Il peut être épeurant de penser qu’en sortant du secondaire à l'âge de 16, 17 ou 18 ans, nous devons prendre de nombreuses décisions par rapport à notre avenir. Pour moi, il y avait plusieurs raisons pour lesquelles je considérais étudier ailleurs, mais en fin de compte j'ai vu qu'il y avait beaucoup plus d'avantages à étudier le droit des affaires au Canada à l'Université d'Ottawa. Pour simplifier vos recherches, voici les 7 raisons pour lesquelles j'ai choisi le droit des affaires à l’uOttawa.
1. Qu’est-ce que Telfer?
L'École de gestion Telfer est parmi l'une des meilleures écoles de gestion au Canada. Elle se distingue par son atmosphère accueillante qui facilite la transition du secondaire au parcours universitaire. Telfer offre une variété de clubs selon les différentes options de gestion, afin que les étudiants puissent mettre en oeuvre les habiletés acquises en classe. Personnellement, mon club préféré était la Telfer Law Society. Ce club organise des activités incluant des conférences avec des avocat.e.s pour démontrer aux étudiants le sens pratique du monde du droit, et pour créer des occasions de réseautage pour les étudiants. D'ailleurs, Telfer offre une superbe semaine d'accueil où il est facile de rencontrer des ami.e.s et encourage aussi le travail en groupe pour permettre aux étudiants de socialiser. Cela est excellent pour quelqu'un qui est nouveau dans la ville, comme je l'étais.
2. Un programme unique
Il y a très peu d'écoles, non seulement au Canada, mais dans le monde entier, qui offrent ce programme. Après seulement 6 ans d'études, les étudiants reçoivent un baccalauréat en sciences commerciales de l'École de gestion Telfer ET un Juris Doctor de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Pendant les deux premières années du programme, les étudiants font leurs études exclusivement en gestion, alors que les 4 dernières sont un mélange de droit et de commerce. Puis, si vous désirez continuer simplement vos études en gestion, il est très facile de changer après votre deuxième année dans une option comme finance, comptabilité ou autre.
3. 6 ans plutôt que 7 ans
La plupart des étudiants complètent un baccalauréat de 4 ans avant de poser leur candidature pour la Faculté de droit. Ce programme unique permet aux étudiants de sauver une année d'études puisqu'ils complèteront leurs deux diplômes en 6 ans au lieu de 7 ans. Un an semble peut-être comme très peu de temps, mais croyez-moi - je viens de compléter ma quatrième année et je suis tellement reconnaissante de m’éviter cette année supplémentaire.
4. Être bilingue est un atout
Le programme de J.D.-B.Com. à l’uOttawa est seulement offert en français ou en immersion. Environ 20 % de la population canadienne est francophone, alors que 30 % de la population de l'Université d'Ottawa parle le français. Pouvoir étudier le droit et la gestion en français et en anglais nous permet de postuler pour une plus grande variété d'emplois après avoir obtenu notre diplôme. Si suivre tous vos cours en français vous inquiète, c'est correct. En effet, nous n'avons qu'à suivre 60% de nos cours en français et donc vous pouvez choisir de suivre quelques cours en anglais.
5. Au coeur d'Ottawa
Si vous n'avez jamais visité le campus de l’Université d’Ottawa, je vous encourage fortement à participer aux journées portes ouvertes (lorsque ce sera possible). Situé au coeur de la ville d'Ottawa, ce dernier offre aux étudiants un accès facile au centre-ville pour les différentes opportunités d'emplois gouvernementaux, au marché By pour de la bonne bouffe et à la Côte-de-Sable, un quartier résidentiel parfait pour le logement des étudiants. Du campus, il est très facile de se rendre à pied à de nombreux endroits; c'est donc parfait pour une personne qui ne connaît pas la ville d'Ottawa avant le déménagement.
6. Pas de LSAT
Il n'est pas nécessaire de compléter le test LSAT dans le cadre du programme combiné J.D.-B.Com. à l'Université d'Ottawa. Cet avantage a définitivement eu un impact sur ma décision de prendre le droit des affaires à Ottawa. Pour ceux qui ne savent pas, le test LSAT est une évaluation standardisée habituellement obligatoire pour l'admission aux facultés de droit ailleurs dans le monde. Je me compte donc chanceuse d'avoir sauvé des heures d'études et du stress grâce à ce programme.
7. La pratique du droit dans la capitale du Canada
La capitale nationale est une excellente place pour l'étude du droit en partie grâce à la présence de la Cour suprême du Canada et du gouvernement fédéral. Plusieurs personnes renommées ont passé dans les corridors du pavillon Fauteux et ce n'est pas rare que la Faculté invite des juges, des avocats ou des personnalités politiques à participer à des conférences. D'autant plus, la Faculté de droit offre non seulement des programmes en common law, mais aussi des programmes en droit civil. Une fois mes deux diplômes complétés, j'ai la possibilité de faire une année additionnelle afin d'obtenir un diplôme en droit civil. C'est définitivement une option avantageuse étant donné que plusieurs des pays dans le monde opèrent sous le droit civil.
Voilà les 7 raisons pour lesquelles j'ai choisi d'étudier le droit des affaires à l’uOttawa. J'espère que ces raisons vous ont aidé à faire votre choix d’établissement pour vos études postsecondaires. Si vous avez des questions par rapport au programme J.D.-B.Com., n'hésitez pas à communiquer avec moi.
De plus, il y a beaucoup d'informations utiles à propos du programme et la structure des cours sur le site de Telfer et le site de la Faculté de droit.
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Comme bien des élèves de cinquième secondaire du Québec, je croyais que mon parcours d’études postsecondaires devait débuter par le cégep. Afin d’être bien accompagnée dans cette décision, j’ai rencontré la conseillère en orientation de mon école. J’ai alors découvert une autre option intéressante, accessible et remplie d’avantages : aller directement à l’Université d’Ottawa.
Bien choisir son programme
C’est en consultant la brochure sur les programmes offerts à l’uOttawa que j’ai appris que je pouvais faire une demande d’admission dans plus de 30 différents programmes parmi les facultés des arts, de génie, de gestion, de sciences et de sciences sociales. Pour la plupart de ces programmes, une moyenne de 84 % ou plus est requise. Pour calculer la moyenne, l’université utilise les cinq meilleurs résultats de certains cours de cinquième secondaire, y compris les cours préalables au programme en question.
Après m’être renseignée et en avoir discuté avec ma famille, j’ai décidé d’opter pour un programme provenant de l’École de gestion Telfer : le baccalauréat en sciences commerciales / Juris Doctor (J.D.-B.Com.). Ce programme me permet d’obtenir deux diplômes, en six années d’études universitaires, dans les deux domaines qui m’intéressent le plus, la gestion et le droit.
Réussir la transition
Si tu décides d’effectuer le saut du secondaire vers l’Université d’Ottawa, voici trois conseils qui te seront fort utiles :
1. Bien gérer son temps
Il est important, dès le début, de développer de bonnes techniques d’étude et de gestion du temps. Plusieurs ressources seront mises à ta disposition dès le début de ta première année afin de t’aider à développer ces techniques. Profites-en pleinement!
2. Profiter du programme de mentorat
Je t’encourage fortement à participer aux différentes activités organisées par ta faculté et surtout, à t’impliquer. Pour ce qui est de la faculté de gestion par exemple, en première année, tous les étudiants sont jumelés à un mentor. C’est un service formidable par lequel un mentor sera toujours à ta disposition pour te guider et organiser des activités et des ateliers spécifiquement pour toi et les autres étudiants de première année!
3. Créer des liens
Dès la première semaine, même si cela peut sembler intimidant, tente d’aller parler avec tes professeurs. Je te recommande fortement de tirer avantage de leurs heures de bureau et de t’intéresser à leurs cours pour développer un réel lien avec eux. Le professeur sera content de voir ton implication et, qui sait, peut-être qu’il pourra éventuellement te rédiger une lettre de recommandation!
Pour ce qui est de tes collègues de classe, tu vas les côtoyer pendant 4 ans et développer des amitiés avec eux. Intéresse-toi à eux dès la première semaine et ils feront de même envers toi. Tu pourras ainsi élargir ton réseau d’amis.
Un choix avantageux
Il y a une panoplie d’avantages à être étudiant à l’Université d’Ottawa :
1. Graduer plus rapidement
En retirant le cégep de notre parcours scolaire, il est possible de devancer notre entrée sur le milieu du travail de deux ans. Cela est attirant et impressionnant aux yeux de plusieurs employeurs.
2. Étudier dans le domaine qui nous passionne
Si tu es motivé, engagé et désires développer tes connaissances, l’université saura certainement combler cette soif d’apprendre! En plus, à la fin de tes études universitaires, tu obtiendras un diplôme reconnu internationalement qui te permettra d’avoir une carrière fructueuse et prospère dans le domaine qui te passionne.
3. Bénéficier d’une bourse automatique
Dès que tu es admis avec une moyenne supérieure ou égale à 84 %, tu obtiens une bourse d’admission automatique en fonction des résultats préuniversitaires. Cette bourse varie de 1000 à 4 000 $ selon ta moyenne. Pour faire suite à cela, l’université décerne aussi des bourses au mérite en fonction des résultats que tu obtiendras à l’université.
4. Étudier dans la langue de son choix
L’Université d’Ottawa est une université bilingue. Il est donc possible de suivre ses cours et de remettre ses travaux dans la langue officielle de son choix (le français ou l’anglais) et ce, tout au long de son baccalauréat.
5. Un service efficace
Le processus pour effectuer une demande d’admission était très clair et facile d’accès à travers le site Web de l’uOttawa. À plusieurs reprises, j’ai
Une décision importante
Le transfert direct du secondaire vers l’Université d’Ottawa fut une expérience enrichissante qui m’a permis de grandir tant au niveau personnel que professionnel et de rencontrer de nouvelles personnes ayant des intérêts similaires aux miens. J’en suis maintenant à ma troisième année d’études universitaires et je peux dire que je suis une fière Gee-Gees qui adore son programme.
Cela dit, c’est une décision importante et sérieuse alors je t’encourage à te renseigner et à en discuter avec ta conseillère en orientation ainsi qu’avec tes parents. Cela m’a énormément aidé à faire un choix éclairé qui répondait à mes besoins. L’Université d’Ottawa est une université dynamique, bilingue et remplie de ressources et de services qui sauront certainement enrichir ton expérience postsecondaire!
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Permets-moi de te donner quelques conseils d’étude inspirés de ce que j’ai fait à Telfer pour décrocher des bourses valant des milliers de dollars.
Si tu réussis à te faire inscrire sur la liste d’honneur du doyen à Telfer, l'université te remettra 1 000 $ par trimestre complété. Il n’y a que deux choses à faire pour figurer sur la liste du doyen :
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Être organisé
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Être efficace
Pour que ce billet te soit plus utile, je l’ai divisé en deux sections.
Section A : Mes meilleurs conseils pour être efficace sur le plan de l’organisation.
Section B : Mes meilleurs conseils pour obtenir des bourses.
SECTION A : CONSEILS POUR ORGANISER SES ÉTUDES
Conseil d’étude no 1 : Organisation, organisation, organisation
Commençons par le conseil ultime, par le plus important de tous les conseils que je pourrais te donner pour bien réviser en vue d’un examen. Plus de la moitié du combat consiste à s’organiser. Bien sûr, on peut toujours s’en sortir sans préparation, mais personne n’a jamais excellé dans quoi que ce soit d’utile en se présentant les mains dans les poches. N’oublie pas cela chaque fois que tu voudras exceller dans la vie.
Conseil d’étude no 2 : Savoir quels sont les livrables du cours (autrement dit, ce qu’il faut faire pour réussir le cours)
Si tu devais n’accomplir qu’une seule chose dans la première semaine du semestre, ce serait de télécharger les plans de cours et d’en prendre connaissance. Vois comment tes professeurs vont t’évaluer, quand tes livrables devront être remis, quelle est la valeur de chaque livrable? Le temps est limité. Investis davantage dans ce qui rapporte le plus.
Conseil d’étude no 3 : Noter les dates de remise de tes livrables là où tu les auras toujours sous les yeux
Maintenant que tu sais ce que tu dois faire et quand tu devras le faire, prends-les en note à un endroit que tu consultes régulièrement. Personnellement, je préfère avoir un aperçu de tout mon semestre. J’ai créé une feuille de calcul Excel de base avec toutes mes dates d’échéance importantes et les pondérations par projet. Voici un exemple de ce à quoi cela peut ressembler :
Conseil d’étude no 4 : Te fixer des échéances pour réduire ton niveau de stress plus tard
Ce n’est pas parce que le plan de cours indique que le dernier projet doit être remis le 5 novembre que tu dois le remettre à cette date, à 23 heures. Nous en sommes au début du semestre et, jusqu’ici, tu as merveilleusement planifié ton semestre en sachant exactement quoi livrer et quand. Par exemple, si tu constates qu’il y a deux examens de mi-session et un projet à remettre le même week-end, tu devrais t’arranger pour que ce dernier soit terminé des semaines à l’avance. Ainsi, tu pourras te concentrer durant toute la semaine sur la préparation de tes examens de mi-session.
Conseil d’étude no 5 : Te fixer des objectifs et planifier ton temps en conséquence
Tous les dimanches, note tes objectifs de la semaine suivante. Quelles sont les échéances à venir? Établis ce que tu devras accomplir chaque jour de la semaine. Comme tes attentes changeront en cours de route, tous les soirs, tu devrais en plus revoir tes objectifs du lendemain pour t’assurer de pouvoir atteindre tes objectifs hebdomadaires.
Conseil d’étude no 6 : Créer un groupe Facebook pour y inviter tes camarades de classe
Le pire sentiment à l’université est la solitude, comme si on était l’exception, le cas unique qui se débat avec la question 5-C depuis trois heures, mais… ça pourrait être autrement. J’ai écrit un billet de blogue sur mon site, intitulé How to Start a Conversation in 4 Steps. Voici une façon parfaite de briser la glace et de mieux connaître tes camarades de classe. Un message suffit : « Salut! Comment tu t’appelles? Voici… Je lance un groupe Facebook pour notre classe où nous pourrons nous entraider pour résoudre les questions difficiles. Veux-tu en faire partie? Tu pourras aussi inviter des amis si tu veux. » Boum! pas besoin d’en faire plus et, comme ça, tu auras ton premier ami ou ta première amie Facebook de la classe!
SECTION B : CONSEILS POUR DES ÉTUDEs EFFICIENTES
Conseil d'étude no 7 : Faire attention à ce sur quoi ton professeur insiste en classe
En général, si ton professeur passe beaucoup de temps sur un chapitre ou une sous-section, ce n’est pas pour rien, c’est parce que ce sont les aspects les plus importants à ses yeux. Tu devras donc consacrer plus de temps à ces aspects lors de la préparation de tes examens.
Conseil d'étude no 8 : Dénicher au plus vite d’anciens examens de mi- et de fin de session
La meilleure chose que tu puisses faire (de façon éthique) est de mettre la main sur d’anciens examens pour voir ce qui a déjà été testé. À l’expérience, j’ai constaté qu’un très grand nombre d’examens ressemblent aux précédents. D’anciens examens pourront t’aider à déterminer, dès le début du semestre, ce qu’il te faudra vraiment savoir et ce qui sera simplement intéressant de savoir.
Conseil d’étude no 9 : Te bâtir un examen de simulation à partir de sa propre analyse
Bâtis-toi un examen de simulation en formulant des questions qui, selon toi, ont des chances de figurer dans l’examen réel. Demande-toi quels types de questions ont été posées dans les examens précédents que tu auras dénichés? Quelle forme prendra l’examen final, d’après la description du cours? Sur quel(s) sujet(s) ton professeur a-t-il passé le plus de temps en classe? Voilà autant d’éléments qui t’aideront à définir les questions à poser dans ta pratique. N’hésite surtout pas à te renseigner auprès de ton professeur à propos des sujets apparaissant dans ton examen de simulation, car il pourrait te donner des conseils utiles. Continue d’alimenter cet examen tout au long du semestre. Ainsi, à l’étape de la préparation de l’examen, tu pourras te concentrer sur les réponses à donner à ton propre examen.
Conseil d’étude no 10 : Te créer un aide-mémoire évolutif
Même si l’examen ne permet pas d’utiliser de fiche aide-mémoire (cheat sheet), cet outil t’aidera énormément à donner forme à ton examen de simulation (voir le conseil d’étude no 9). Sur cette feuille, note les renseignements que tu juges essentiels. Quelles sont les principales formules? Quelles étapes faut-il absolument suivre pour résoudre des problèmes complexes? Quelles sont les principales définitions à mémoriser? Voilà autant d’exemples d’éléments convenant parfaitement à un aide-mémoire.
Conseil d’étude no 11 : Lire les diapositives des Powerpoint plutôt que des pages entières de manuel
Oh combien d’heures ai-je perdu à lire des manuels complets! Selon le cours, ce n’est pas toujours la façon la plus efficace d’utiliser son temps. Les Powerpoint fournis par les professeurs couvrent l’essentiel du contenu à connaître pour un examen. Pour la plupart des cours, il vaut tout de même mieux acheter un exemplaire du manuel dont tu pourras te servir pour chercher tout ce qui n’est pas dit dans les Powerpoint, en plus de faire des recherches sur Google.
Conseil d’étude no 12 : Parcourir les Powerpoint au préalable
Habituellement, les professeurs mettent leurs Powerpoint en ligne avant chaque cours. Étudies-en le contenu au préalable pour mûrir les questions à te poser et rentabiliser au maximum ta présence en classe. Tu comprendras mieux ce qui se passe et tu vivras une expérience d’apprentissage plus profonde et plus mémorable.
Conseil d’étude no 13 : Noter tes micro-objectifs
Au cours de tes révisions, il t’arrivera souvent d’aller chercher des réponses en ligne. Comme nous le savons, il est très facile de se laisser distraire par Internet et d’oublier ce qu’on est venu y chercher. Avant d’aller sur la toile pour trouver une réponse, écris sur une feuille, que tu auras à portée de la main, la question pour laquelle tu veux une réponse. Une fois en ligne, demande-toi toutes les 10 minutes environ si ce que tu fais est lié à la réponse qui t’intéresse. Sinon, remets-toi sur les rails et dès que tu auras trouvé ta réponse, raye la question de ta liste.
Conseil d’étude no 14 : Prendre conscience que ta capacité de concentration est limitée dans le temps
Voici le conseil que je préfère entre tous et que tu dois bien comprendre. Notre cerveau ne nous permet de nous concentrer que pendant un certain temps avant de perdre en efficacité, disons au bout de 40 minutes. Donc, tu commences à travailler avec un cerveau frais et dispo. Si tu passes les 15 premières minutes à regarder des vidéos en ligne, il ne te restera que 25 minutes de pleine capacité, puis tu rendement diminuera.
Conseil d’étude no 15 : Étudier par intervalles et ne pas rester assis trop longtemps
Ce conseil et le précédent allant de pair, je les traite en série. Tu serais surpris(e) de voir combien il est possible de gagner en productivité en prenant de courtes pauses fréquentes. Travaille 30 à 40 minutes (selon ta préférence), puis prends une pause de 5 à 10 minutes. Si tu suis le conseil no 14, il est important de te lever et de te déplacer pendant ta pause. Fais quelques accroupissements, des redressement debout au mur ou d’autres exercices pour activer la circulation sanguine. Regarder son téléphone n’est pas une bonne façon de prendre une pause, parce que les neurones demeurent mobilisés et qu’on ne donne pas au cerveau la chance de se reposer.
Conseil d’étude no 16 : Tenir un suivi de ton temps
Ce n’est pas parce qu’on est assis à un poste de travail, à l’ordinateur, qu’on fait un travail de qualité. Il existe de nombreuses applications de suivi du temps, mais la fonction chronomètre du téléphone et un bout de papier suffisent. Démarre la minuterie quand tu commences à travailler. Quand tu as terminé, note ton temps, puis redémarre la minuterie au début de la pause. Enregistre de nouveau le temps avant de recommencer à étudier. Continue ainsi toute la journée et additionne tes temps de productivité d’un côté et le temps perdu de l’autre. Je te garantis que cela va te responsabiliser davantage!
Conseil d’étude no 17 : S'éloigner de son téléphone et des autres sources de distraction quand tu étudies
As-tu entendu parler de « l’état de réceptivité » aussi appelé « état de transe ». Pour l’atteindre, il faut se débarrasser de toutes les sources de distraction possibles et s’immerger complètement dans ce que l’on fait. Au bout d’un temps très court, on oublie son environnement et on ne considère plus que ce que la concentration nous permet de faire. L’état de réceptivité peut être difficile à atteindre, voire impossible si les perturbations continuent. Prends soin de mettre ton téléphone hors de vue, de préférence et si possible en mode silencieux. Sinon, chaque fois qu’il sonnera, ton rythme s’en trouvera perturbé et tu devras recommencer à zéro.
Conseil d’étude no 18 : Demeurer positive/positif
Te consacres-tu pleinement à la tâche? Si ton esprit est habité d’émotions négatives, cela nuira à ta capacité à te concentrer et à atteindre tes objectifs. Jette un coup d’œil sur mon autre article sur les trois étapes éprouvées pour sortir instantanément de sa mauvaise humeur (3 Proven Steps to Instantly Get Out of a Bad Mood) et parvenir à maintenir un état d’esprit positif dans les pires moments.
Conseil d’étude no 19 : Mobiliser le plus grand nombre de sens possible
J’ai gardé pour la fin l’un de mes meilleurs conseils d’étude afin de récompenser ton engagement. Plus on mobilise de sens pour apprendre et plus on a de chance de se souvenir de ce qu’on a appris. Idéalement, tu devrais trouver une façon de lire, d’écrire, d’entendre, de dire, de ressentir, de goûter, d’enseigner et d’appliquer tout ce que tu apprends. Bien sûr, ce n’est en général pas possible, alors il faut s’imprégner du savoir sous toutes les formes possibles.
Félicitations! Tu es arrivé au bout de ma liste exhaustive de conseils d’étude que j’ai utilisée lors de mon passage à l’École de gestion Telfer. Je suis convaincu que tu as la discipline et la volonté nécessaires pour mettre ces conseils en pratique! Je suis convaincu que, lorsque tu le feras, tu recevras des milliers de dollars en bourses et que ta moyenne pondérée cumulative grimpera en flèche!
Si tu veux en apprendre davantage sur l’intelligence émotionnelle, sur la communication efficace ou sur la façon d’améliorer son état d’esprit, rends-toi sur mon blogue personnel à jdsterne.com.
Bonne chance dans tes études et au plaisir de te croiser!
- Catégorie : La voix des étudiants
Après mes études secondaires dans la région du Grand Toronto, j’ai choisi de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, ici, à Ottawa. Je suis maintenant étudiant de troisième année au baccalauréat en commerce, avec spécialisation en gestion des technologies d’affaires et en marketing. Pour un élève de Markham, dans la région du Grand Toronto, les choix pour aller étudier dans le centre de l’Ontario ne manquent pas.
À l’école Telfer, l’une des choses que j’apprécie le plus, c’est le sentiment d’appartenance à la collectivité, mais je ne me doutais pas qu’il serait aussi fort. Ici, la collectivité reconnaît les étudiants très performants et les soutient en faisant appel à eux, tandis que mes amis d’autres écoles ont l’impression d’être de simples numéros dans le système.
Je suis très heureux du choix que j’ai fait, mais comment ai-je abouti à l’Université d’Ottawa pour étudier en gestion?
Trois raisons expliquent pourquoi j’ai choisi de quitter le confort de ma maison et de m’aventurer dans la capitale nationale :
1. Découvrir une nouvelle ville
Quand j’ai commencé à envoyer des demandes d’inscription à des programmes et des écoles, je pensais étudier en science, idéalement dans un endroit loin de chez moi, comme au Royaume-Uni ou en Colombie-Britannique. Après avoir poussé mes recherches, je me suis rendu compte que les programmes scientifiques à l’extérieur de l’Ontario sont trop onéreux pour être envisageables, et j’ai réorienté mes efforts vers des options d'éducation d’un meilleur rapport qualité-prix dans la province.
La question qui s’est alors posée à moi est la suivante : où devrais-je aller en Ontario, sachant que je ne voulais pas rester près de chez moi?
2. Recommandations d’amis, d’enseignants et d’entraîneurs
Un de mes amis, qui était mon modèle, avait été accepté par des institutions prestigieuses comme Stanford et Wharton, mais il a fini par choisir l’École Telfer. Il m’a parlé du programme de baccalauréat en commerce, m’a dit que Telfer était située dans une ville de taille moyenne offrant de nombreuses possibilités d’emploi et m’a garanti que le coût y était abordable.
Dès lors, j’ai commencé à penser à Telfer.
Après avoir recueilli l’opinion de quelques amis, de membres de ma famille et d’enseignants – en ce moment charnière de ma vie –, j’ai surtout conclu des réponses de ceux à qui j’avais posé la question que le monde des affaires était mieux adapté à ma personnalité. Et puis, cela m’a paru être une option plus sûre, car en sciences, seuls les résultats scolaires comptent. À peine 3 % des mieux notés passent la barre et sont admis en médecine.
Même si je ne doutais pas de mes résultats scolaires, pour avoir eu une bonne moyenne, j’ai découvert que les entreprises tiennent davantage compte des valeurs que j’avais à offrir. En affaires, ce n’est pas seulement une question de notes, mais de réseau établi en tant que membre du monde des affaires, de participation à des activités hors programmes qui démontre des compétences en leadership, et de motivation à en faire plus.
À l’époque, j’avais déjà suivi deux cours de comptabilité et un cours sur les valeurs financières. De plus, j’ai eu des fonctions de responsabilité au sein de plusieurs organismes communautaires et j’ai été président d’un organisme de mon école.
*Groupe du programme Jeunes entreprises en visite dans les bureaux de Mastercard
Grâce à toutes ces expériences, j’ai pu aiguiser mes compétences en marketing, en gestion des relations avec la clientèle, en photographie, en vidéographie, en conception graphique et en entrepreneuriat. Compte tenu de tout cela, si je m’étais lancé en sciences, je n’aurais rien récupéré de ces investissements, mais en commerce, la moitié au moins de mes réalisations allait me rapporter. Dès cet instant, je n’ai plus douté que j’allais faire des études en commerce, et que l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa était l’un des meilleurs choix.
3. Abordabilité et avantages
Trouver une institution abordable dans une autre ville n’était pas facile. J’ai écouté quelques balados et lu quelques articles pour m’apercevoir, en fin de compte, que ce n’est pas l’établissement qui fait la carrière, mais ce que l’étudiant ou l’étudiante choisit de faire pour sa carrière.
L’Université d’Ottawa était abordable et le programme concurrentiel. J’étais déjà vendu quand mon ami m’a aussi parlé de la réalité du bilinguisme dans cette ville. Il m’a expliqué que j’allais donc pouvoir apprendre l’administration des affaires dans les quatre prochaines années et, de surcroît, acquérir une nouvelle langue uniquement grâce à mon nouvel environnement.
Quand j’ai finalement dû faire mon choix, j’ai retenu l’Université d’Ottawa parce qu’elle était dans une autre ville, qu’elle était abordable, que je pourrais y apprendre le français et qu’une personne que je respectais s’en portait garant.
Quand j’ai commencé à m’intéresser davantage à Ottawa, j’ai voulu en savoir plus sur la vie estudiantine me suis rendu compte qu’elle allait aussi peser dans mon choix. Je savais que l’équipe d’Enactus était excellente et que j’aurais accès à des compétitions de cas grâce à la participation de l’École Telfer aux activités du RÉFAEC et du CABS.
En fin de compte, je crois avoir fait le meilleur choix et, chose intéressante, ce n’est pas un choix auquel j’avais pensé en partant. L’administration des affaires a fini par être le meilleur programme pour moi, Ottawa est une ville incroyable, qui a une superbe personnalité, et les relations que j’ai établies au sein de l’École Telfer ont rendu mon expérience universitaire encore plus fantastique. Après avoir bien réfléchi avec des amis de ma ville d’origine, je suis heureux de dire que l’Université d’Ottawa est mon équipe.
Tout au long de mes études, je n’ai cessé d’améliorer mon curriculum vitae grâce à des ateliers du Centre des carrières Telfer, je me suis découvert un intérêt pour le travail de consultant dans le cadre du Programme de la profession de consultant en gestion et, plus important encore, j’ai pu me faire quelques-uns de mes meilleurs amis dans les clubs de Telfer. J’ai la chance d’étudier et de travailler pour et avec une collectivité où tout le monde lutte au coude à coude.
Si tu lis ces lignes, que tu te sens, comme je l’ai été, indécis ou indécise, avec plusieurs cordes à ton arc, et que tu n’as aucune idée de ce que tu devrais faire dans les cinq prochaines années, je dirais que l’administration des affaires est un bon point de départ. Si tu veux vivre l’expérience que j’ai vécue, tu dois commencer par cliquer sur « accepter » dans ta demande d’admission au programme Bcom de Telfer, sur le portail OUAC.
- Catégorie : La voix des étudiants
Comme le définit l’organisme Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail Canada (ECAMT Canada), « l’enseignement coopératif coop comporte des stages qui offrent une expérience de travail rémunérée dans un milieu de travail lié au domaine d’études de l’étudiant ». Avec un taux de placement de 97 %, le bureau coop de l’Université d’Ottawa offre à des milliers d’étudiants une vaste expérience de travail auprès de milliers d’employeurs au Canada et à l’étranger.
J’ai eu l’occasion de faire l’expérience de trois stages en tant qu’étudiante stagiaire à l’École de gestion Telfer et je peux affirmer sans hésiter que l’expérience a dépassé toutes mes attentes.
La formule coop est la meilleure façon de faciliter la transition des études au monde du travail. De plus, elle permet d’acquérir les connaissances et l’expérience recherchées par le marché du travail, de déterminer quelle option de carrière nous semble la mieux adaptée, d’améliorer son réseau de contacts et d’avoir un avantage concurrentiel au moment d’aller chercher un emploi. C’est aussi une excellente occasion de faire de l’argent qu’on placera pour plus tard ou qu’on utilisera pour rembourser des prêts étudiants.
Voilà les raisons pour lesquelles, selon moi, le fait de s’inscrire au programme de coop peut faciliter la transition vers le marché du travail après l’obtention du diplôme.
1. Acquérir des connaissances et de l’expérience dans son domaine d’études
Le programme coop de l’École de gestion Telfer est un excellent moyen d’aller chercher jusqu’à 16 mois d’expérience dans son domaine d’études.
À Telfer, les stages coop permettent :
- de mettre en pratique ce que l’on apprend en classe;
- d’améliorer ses compétences;
- de se fixer des objectifs d’apprentissage, de rendement et de perfectionnement en leadership au début de chaque mandat, sous la direction constante de l’employeur et du bureau coop;
- de découvrir les différentes options de carrière s’offrant à chacun(e) sur le marché du travail;
- de tester différents milieux de travail (au gouvernement, dans le secteur privé, dans des ONG, etc.);
- de déterminer le cheminement de carrière paraissant le plus inspirant et le plus adapté.
2. Améliorer son réseau de contact et établir des relations significatives
Parmi les employeurs pour lesquels les étudiantes et étudiants de Telfer peuvent aller travailler, mentionnons le gouvernement du Canada, Nokia, le Canafe, The Growcer et PricewaterhouseCoopers.
En participant à un programme coopératif chez Telfer, tu auras l’occasion :
- de t’engager auprès de personnes inspirantes dans ton domaine d’études;
- d’établir des liens avec des mentors et des conseillers de différents milieux et de tirer des enseignements de leur expérience.
Ces liens précieux t’aideront plus tard dans ta recherche d’emploi grâce aux recommandations de tes contacts. Si tu es recommandé(e) par un employé à un poste pour lequel tu auras posé ta candidature, tes chances d’obtenir une entrevue seront de 50 %, et tes chances d’être embauché(e) de 20 %. Sans recommandation, les chances de décrocher une entrevue tombent à seulement 3 % et celles d’être embauché(e) à 1,2 %.
3. Gagner un avantage concurrentiel et se distinguer des autres
Si tu veux être en mesure de donner à un employeur potentiel une bonne raison de t’embaucher, alors choisis le programme coopératif. De nos jours, même pour des postes de niveau débutant, les employeurs exigent que les chercheurs d’emploi aient au moins quelques mois d’expérience dans leur secteur d’activité.
Le programme coop de l’École Telfer est aussi l’occasion :
- d’acquérir plus d’une année d’expérience à temps plein dans son domaine d’études avant la fin d’un programme de baccalauréat;
- d’explorer différentes possibilités en travaillant à temps partiel pour élargir ses horizons, et d’être davantage exposé au milieu de travail.
4. Acquérir une précieuse expérience de travail tout en étant rémunéré(e)
Que tu cherches à rembourser tes prêts étudiants, à financer ton trimestre ou même à économiser de l’argent pour l’investir plus tard dans ton entreprise, l’option coop de l’École Telfer te donnera toutes ces possibilités. Tu acquerras la visibilité dont tu as besoin et tu te développeras sur les plans personnel et professionnel. Les employeurs participant à un programme coopératif sont tenus de verser aux étudiants au moins le salaire minimum pendant leurs périodes de travail, mais les salaires des étudiants participant au programme Telfer peuvent atteindre 30 $ de l’heure, ce qui représente plus de 15 000 $ pour une période de quatre mois, et 60 000 $ en tout pour les quatre périodes de travail.
À chacun de mes stages du programme coopératif, mes superviseurs ont fait des pieds et des mains pour m’aider à atteindre mes objectifs d’apprentissage, de rendement et de leadership. J’ai eu la chance de sortir de ma zone de confort, d’aider à organiser un événement Tedx, d’apprendre le codage, d’établir des liens qui m’ont permis d’aller chercher d’autres possibilités d’alternance travail-études, de mettre en pratique mes compétences en expression orale, de travailler pour le gouvernement du Canada (ce qui ne me semblait pas possible en tant qu’étudiante étrangère) et, par-dessus tout, de pratiquer ce que j’aime le plus : la gestion des ressources humaines.
Si tu n’as pas déjà soumis de demande d’inscription à un programme coopératif, c’est le moment de le faire. Si tu es déjà inscrit(e), alors tire le maximum de tes stages et fais profiter les autres du meilleur conseil qu’un employeur te donnera.
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Ressens-tu le besoin d’aller étudier ailleurs que sur le campus? Tu cherches un endroit différent et nouveau? Tu aimerais un bon latté, une petite collation, un repas simple et pourquoi pas un smoothie santé tant qu’on y est? Ne cherche pas plus loin.
Voici les neuf meilleurs lieux où aller étudier à Ottawa, parfaits pour améliorer ta productivité!
Happy Goat Coffee Co.
229, rue Rideau; 317, rue Wilbrod; 326, rue Elgin; 1091, rue Bank; 35, rue Laurel et 145, rue Main.Photos de : https://www.facebook.com/HappyGoatCoffee/photos/rideaucumberland-our-new-cafe-is-now-open-on-229-rideau-street-were-very-excited/2199349310088007/
Tu peux toujours miser sur Happy Goat Coffee Co. si tu recherches un endroit confortable où te plonger sérieusement dans le travail. Cette chaîne a plusieurs emplacements à Ottawa, dont deux tout près du campus, qui sont parfaits pour celles et ceux en quête d’un bon café pas loin et facile d’accès. Les cafés de cette chaînes sont parfois bruyants et occupés, alors assure-toi d’apporter tes écouteurs pour t’immerger dans ta musique favorite et pouvoir te concentrer sur ton travail. Dans mon cas, ce sont des morceaux avec le son de la pluie, le café jazz et Tropical House.
The Ministry of Coffee
274, rue Elgin, 18, avenue Beechwood; 200, chemin Tremblay et 1013, rue Wellington OuestPhotos de : https://www.instagram.com/theministryofcoffee/?hl=en
The Ministry of Coffee est l’un des meilleurs cafés que j’ai visités à Ottawa. Non seulement il est parfait pour y faire des photos à mettre sur Instagram, mais on y trouve les meilleurs cafés et boissons que j’ai jamais vus. Et puis, ils font un latté au Nutella… que tu mérites bien, nous sommes d’accord.
Eve Café
50, rue Rideau (Centre Rideau)
Photo de : http://brookemolly.weebly.com/blog/coffee-with-a-view
Ce café extrêmement discret constitue l’endroit parfait pour une séance d’étude en solo ou avec des amis. Il est baigné de lumière naturelle grâce à de grandes baies vitrées qui procurent une vue absolument incroyable sur le centre-ville d’Ottawa. Ce petit café est niché au quatrième étage du magasin Simons, au Centre Rideau, et le personnel y est très amical. Le seul inconvénient, c’est qu’il n’y a pas de prises électriques, alors prends soin de charger ton portable et ton téléphone avant de t’y rendre.
Bridgehead
50, rue Rideau, 224, rue Dalhousie; 265, avenue Laurier Ouest; 96, rue Sparks; 109, rue Bank et bien d’autres
Photos de : https://www.bridgehead.ca/pages/366-bank-st-at-gilmour-st et https://www.instagram.com/bridgeheadcoffee/?hl=fr
Bridgehead est une chaîne locale d’Ottawa qui vend du café équitable dans une vingtaine d’emplacements à Ottawa, ainsi que des breuvages et des bouchées. Dans un Bridgehead, je suis toujours sûre de trouver une excellente ambiance d’étude et un chai latté exquis, ainsi qu’une barre énergétique pour me mettre dans le rythme du travail.
Le Centre national des Arts
1, rue ElginTu recherches un endroit différent qui n'est pas un café et qui ne se trouve pas sur le campus? Alors ta solution s’appelle le Centre national des Arts. On y trouve un vaste espace public ouvert de 6 heures à minuit, avec Wi-Fi gratuit, situé au cœur du centre-ville. Tu pourras y prendre tes aises et t’installer dans n’importe quelle zone libre d’accès chaque fois que tu devras faire un marathon d’étude. Et puis, tu y trouveras aussi un café à l’intérieur, au cas où tu aurais besoin de caféine ou de manger une bouchée.
Lollo Salads
60, rue GeorgePhotos de : https://www.instagram.com/p/BvzuKU3lMzB/ et https://www.instagram.com/lollosalads/?hl=fr
Lollo Salads, qui a ouvert ses portes récemment, est rapidement devenu l’un de mes endroits préférés pour étudier. Situé dans le marché By, ce café douillet à l’ambiance excellente propose des salades fantastiques. Le lieu est également idéal pour prendre une pause du campus et déguster un repas santé avec un ami ou une amie.
Jackson Café
10, avenue Daly
Photo de : https://westofmaindesign.com/pages/bar-jackson-jackson-cafe-2
Ce chic café est situé dans la Galerie d’art d’Ottawa, juste en face de l’édifice Desmarais. Jackson Café arrive en tête du palmarès pour ce qui est de la qualité, du service et de l’atmosphère, et il ne te décevra pas, crois-moi! C’est là où tu dois aller si tu as envie de te faire une petite séance d’étude en plein milieu de journée, dans un café chic à l’ambiance agréable, situé à deux enjambées du campus.
Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank et plusSi tu veux un endroit hyper tranquille où tu pourras vraiment te concentrer, songe à une des succursales de la Bibliothèque publique d’Ottawa. L’accès Wi-Fi y est gratuit dans les divers emplacements aux quatre coins de la ville. C’est un choix gagnant!
Pure Kitchen
340, rue Elgin; 345A, rue Preston; 357, chemin Richmond et 499, promenade Terry Fox
Photos de : https://www.instagram.com/purekitchenottawa/
Nous savons tous que tu pourrais profiter d'une pause d'étude et de cappuccino glacé au bruyant Tim Hortons de CRX pour déguster un smoothie santé. Pure Kitchen est un restaurant végétalien et végétarien offrant des produits sains et réconfortants. On y trouve des breuvages fouettés et des jus avec injections d’élixir santé incroyables. Je te recommande d’aller à celui d’Elgin et de t’installer au bar qui est un coin tranquille pour étudier. J’y vais quand j’ai des lectures à faire et que j’ai besoin d’un coup de pouce santé. Ah, et aussi : excellente ambiance musicale!
Voilà, j’ai énuméré quelques-uns de mes lieux préférés où étudier à Ottawa et j’espère que l’un d’eux deviendra le tien également!
- Catégorie : La voix des étudiants
Il peut être a priori intimidant de choisir une université où poursuivre ses études. Pour certains, il suffit de consulter le classement des établissements et de choisir le meilleur programme qui soit. Pour d’autres, la proximité du domicile et le coût peuvent être des facteurs déterminants. Après avoir décidé de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, j’ai découvert que celle-ci avait beaucoup plus de choses à offrir qui auraient pu influer sur ma décision, au-delà du fait que Telfer est reconnue comme une école de commerce de premier rang dans le monde.
Durant mes quatre années passées à l’École de gestion Telfer, j’ai trouvé sept grandes raisons expliquant le côté unique et enrichissant de l’expérience Telfer.
Voici donc sept bonnes raisons pour lesquelles aller à Telfer :
1. Un diplôme de grande valeur
Alors que j’étais encore au secondaire, j’ai fait des recherches sur les différentes universités envisageables pour moi en m’intéressant premièrement à l’aspect financier et à la valeur du diplôme de chaque université.
L’École de gestion Telfer fait partie du 1 % des premières écoles de commerce au monde, au titre de trois niveaux d’agrément. Cette réputation mondiale d’excellence a beaucoup joué dans ma décision de me tourner vers Telfer. De plus les droits de scolarité y sont raisonnable au vue de la valeur d’un diplôme délivré par ce qui est une excellente université. Pour moi, cette combinaison signifiait que Telfer m’offrait le meilleur rapport qualité-prix, autrement dit, qu’elle allait m’en donner pour mon argent.
2. L’emplacement d’abord et avant tout
L’École Telfer est située au cœur du centre-ville d’Ottawa. On a l’impression d’être dans une grande ville, mais sans le brouhaha (ni les prix) caractéristique d’autres grandes villes universitaires. Ce qui est bien avec cet emplacement, c’est que tout se trouve à proximité. Qu’il s’agisse de musées, de sites historiques comme la Colline du Parlement et le canal Rideau, d’épiceries, de restaurants, de boutiques, de la vie nocturne et d’à peu près tout ce à quoi on peut penser : tout est à 10 ou 15 minutes de marche de Telfer.
3. Un programme d’enseignement coopératif
Ottawa a la réputation d’être une ville gouvernementale, ce que je ne contesterai pas. Toutefois, Ottawa a aussi un secteur privé en pleine ébullition qui offre de nombreuses possibilités d’emploi. Ce qu’il y a de bien avec le programme coop de l’École Telfer, c’est qu’il est vraiment facile de postuler pour différents emplois et que l’on peut choisir entre le secteur public et le secteur privé pour se faire une idée de ce qu’on pourrait aimer dans une future carrière. L’emploi que j’ai occupé tout au long de mes études a été celui que m’a procuré le programme d’enseignement coopératif. Je ne l’aurais jamais décroché sans ce programme et, surtout, si je n’avais pas pris la décision de m’inscrire à Telfer.
4. L’immersion en français
Bien que je n’aie pas personnellement choisi le régime d’immersion en français, je connais bien des gens qui s’y sont inscrits et je me suis renseigné sur leurs expériences. Le régime d’immersion en français de Telfer permet aux étudiants de suivre une partie de leurs cours dans cette langue. Si tu es anglophone et que tu souhaites renforcer ton français, ou si tu es francophone et que tu désires améliorer ton anglais, tu auras l’occasion unique de fréquenter l’une des rares universités à offrir un programme d’immersion en français à Telfer. De plus, tu recevras une bourse de 1 000 $ simplement parce que tu suivras le régime d’immersion en français!
5. La collaboration
À Telfer, tu auras l’occasion de travailler avec un grand nombre de personnes venant de tous les horizons et d’apprendre d’elles. Si tu étudies à Telfer, sache qu’environ 20 % des étudiants sont étrangers, et j’ai personnellement eu l’occasion de travailler avec des étudiants d’Allemagne, d’Inde, de Chine, de Corée du Sud, du Kenya et d’autres parties du monde. Une communauté aussi diversifiée permet de se faire de nouveaux amis et de tisser des liens dans de nombreux endroits de la planète. Je peux honnêtement dire que tous mes projets de groupe à Telfer ont été une expérience positive.
6. Des projets uniques
À Telfer, j’ai eu l’occasion de participer à de nombreux projets uniques auxquels je ne m’attendais pas. Le cours de management stratégique de quatrième année donne la possibilité de participer à ce qu’on appelle la simulation de stratégie Intopia, où les étudiants se plongent dans toute une série d’activités, un week-end durant, à la barre de leur propre entreprise. Ils doivent négocier, prendre des décisions et essayer de maximiser leurs résultats pour enfin gagner la compétition. Intopia est reconnue comme une simulation de stratégie commerciale de premier plan, et Telfer est l’une des seules écoles à l’offrir.
De plus, les étudiants peuvent acquérir une expérience concrète en travaillant pour des entreprises réelles dans le cadre de projets de classe. Pour ma part, j’ai eu l’occasion de travailler pour Badminton Canada et pour le Musée canadien de la nature à l’élaboration de campagnes de marketing et de stratégies promotionnelles. J’ai non seulement trouvé cette expérience gratifiante, mais il s’est aussi avéré qu’elle était idéale pour mon curriculum vitae… Tout cela fait partie de votre programme à l’École Telfer.
7. Le Centre des carrières
Le Centre des carrières offre divers ateliers aux étudiants, notamment sur la façon de préparer un curriculum vitæ, de réussir une entrevue en plus de nombreux autres types d’ateliers. De plus, tu auras la possibilité de rencontrer des conseillers en orientation qui pourront t’aider à mettre le cap sur ton objectif. Le fait de pouvoir compter sur une ressource qui t’accompagne dans ton perfectionnement personnel et professionnel est très utile au moment d’entrer sur le milieu de travail.
Le Centre des carrières organise également des événements de réseautage à Telfer. Ce genre d’activités attirent tout un éventail d’entreprises avec lesquelles on peut s’entretenir et établir des liens susceptibles de se transformer en débouchés d’emploi. De plus, les ateliers susmentionnés et les activités de réseautage vont de pair à Telfer, car ces dernières sont l’occasion de mettre en pratique les connaissances acquises lors des ateliers.
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Avoir un passe-temps est une excellente façon d'occuper son temps libre et de se détendre après une journée passée à étudier et en cours. Se consacrer à une activité que l’on aime peut améliorer la santé mentale et réduire le niveau de stress.
Voici quelques idées de passe-temps qui t’inciteront à abandonner ta routine et à te concentrer sur une activité sans lien avec tes études pendant quelques heures. Il s’agit d’activités à faire seul, avec un ami ou en groupe. Tous ces passe-temps peuvent être l’occasion d’acquérir de nouvelles compétences, de simplement soulager son stress ou de partir à la découverte de ce qui pourrait devenir une nouvelle passion!
1. Apprendre la poterie à la Hintonburg Pottery
Tu pourras y suivre un atelier ou t’inscrire à une série de cours. La Hintonburg Pottery propose une vaste sélection d’ateliers dirigés s’adressant à des débutants, où chacun peut créer de magnifiques pièces de poterie à rapporter à la maison! Le coût des ateliers uniques débute à 75 $.
2. Suivre un cours d’art à la Ville d’Ottawa
Est-ce que le théâtre, la musique, la danse, la peinture, le dessin ou à peu près n’importe quelle autre forme d’art t’intéresse? Eh bien, la Ville d’Ottawa a sûrement un cours pour toi. Découvre une nouvelle technique et apprends à connaître les gens de ta communauté. Le prix des cours commence à 24 $, et chacun peut en trouver un à la mesure de son budget.
3. Suivre un cours de menuiserie au Ottawa City Woodshop
Le Ottawa City Woodshop propose une grande variété de cours pour tous les niveaux de compétence. Tu pourras apprendre à y fabriquer n’importe quoi, du toboggan à la table basse. Les cours commencent à 150 $, mais la qualité de l’apprentissage est inestimable, en plus de rapporter un beau produit chez soi. De plus, si tu aimes travailler le bois, tu pourras fabriquer tes propres créations en prenant une adhésion mensuelle.
4. Peindre sur céramique au Mud Oven
Tu peux choisir parmi une vaste sélection de figurines, de tasses, de vases et de pots préfabriqués et faire ensuite preuve de créativité en les peignant à ton goût. Les articles glacés et cuits peuvent être ramassés une semaine plus tard. Les céramiques commencent à 17 $ l’article.
5. Apprendre l’escalade au Coyote Rock Gym
Le Coyote Rock Gym a été le premier centre d’escalade à Ottawa. Il offre cinq murs d’escalade de difficulté variable, ce qui en fait un excellent endroit pour apprendre les rudiments. La leçon d’initiation pour nouveaux grimpeurs est gratuite, et pour seulement 40 $, tu pourras suivre un cours de deux heures portant sur les techniques d’escalade de base, la terminologie et plus encore.
6. Apprendre la boxe aux Beaver Boxing Club
Le Beaver Boxing Club est l’un des clubs sportifs les moins chers d’Ottawa. Il s’agit en fait d’un organisme sans but lucratif qui offre des frais d’adhésion incroyablement bas aux étudiants. Tu pourras y suivre un cours de technique de boxe pour seulement 12 $, ou joindre le club pour tout un mois pour 42,22 $ grâce au rabais étudiant.
7. Suivre un cours de yoga à Elevate Yoga
Pourquoi pas une classe de yoga à Elevate Yoga pour 20 $ moins le rabais de 20 % pour étudiant. Elevate Yoga offre des cours pour tous les niveaux de compétence, ce qui en fait un excellent endroit où apprendre. De plus, Elevate a un programme de bénévolat où, moyennant 3 h 30 de travail par semaine on a droit, en échange, à une participation illimitée aux classes de yoga. Quelle aubaine pour étudiants cassés!
8. Cours de cuisine à La Bottega Nicastro
Tu aimes la cuisine italienne? La Bottega Nicastro propose une grande variété de cours de cuisine et de dégustation de vins. Découvre tout sur les aliments provenant des différentes régions d’Italie et déguste ensuite un repas trois services. Les prix pour ce voyage des saveurs commencent à 60 $.
9. Donne de ton temps à Bénévoles Ottawa
Il peut être extrêmement gratifiant de rendre à la collectivité ce qu’elle nous a donné. Le bénévolat est un excellent moyen de sortir de sa routine, de faire de nouvelles connaissances et d’aider celles et ceux qui en ont besoin. Trouve donc une cause qui te parle!
10. Apprends une nouvelle compétence en ligne
Tout le monde n’est pas en moyen de se payer des cours structurés. Sur Internet, tu trouveras des milliers de ressources en ligne sur tous les hobbies susceptibles de t’intéresser. Voici quelques idées à explorer :
Comme tu peux voir, les possibilités de hobbies ne manquent pas. Un passe-temps est l’occasion de faire preuve de créativité et de se détendre pendant un semestre scolaire exigeant. J’espère que cet article t’a inspiré et, si c’est le cas, n’oublie pas de le répercuter à tes amis! Si tu veux plus de contenu sur ce qu’il y a à faire à Ottawa, visite https://www.rebeccastiletto.com/.