La voix des étudiants
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Qu’il s’agisse des clubs étudiants, de la qualité de l’enseignement ou du développement personnel et professionnel, étudier à l’École de gestion Telfer est une expérience unique.
Les étudiants en parlent avec fierté et il est évident qu’être membre de la Telfer Nation signifie avant tout faire partie d’une communauté exceptionnelle au sein de la grande famille de l’Université d’Ottawa.
Voici les 3 raisons qui, selon moi, font de Telfer une faculté si spéciale :
1- Étudier en anglais, en français ou dans les deux langues officielles
L’Université d’Ottawa est considérée comme étant la plus grande université bilingue (anglais-français) du monde. En tant qu’étudiant international et originaire d’un pays francophone, venir étudier à Telfer dans la ville d’Ottawa était la meilleure manière pour moi d’améliorer mon anglais, tout en étudiant en français. La plupart des cours sont offerts dans les deux langues, ce qui constitue un avantage considérable en terme de bilinguisme.
2- Développement personnel et professionnel
Au-delà de la formation universitaire, je pense qu’une université doit être en mesure de contribuer au développement personnel et professionnel de ses étudiants. Ce critère en a été un de choix lorsque j’étais au secondaire et que j’ai fait mon choix d’université.
Ainsi, en plus de pouvoir s’inscrire au programme d’enseignement coopératif, l’École de gestion Telfer offre également différentes options intéressantes comme le Programme sur les marchés financiers (CMP) pour les étudiants en finances, le Programme de mentorat ou encore le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) pour les étudiants intéressés par la consultation, pour ne citer que ceux-là.
De plus, grâce au Centre des carrière de l’École de Gestion qui organise une multitude d'événements avec des employeurs et qui accompagne les étudiants de Telfer pour tout ce qui relève du développement professionnel (CV, lettre de motivation, entrevue, etc.) on se sent bien outillé à entrer sur le marché du travail et à tirer profit de nos connaissances académiques.
Enfin, les associations et clubs étudiants sont les éléments qui forgent le plus l’identité de l’École de gestion Telfer. Les étudiants impliqués dans la dizaine de clubs à Telfer organisent chaque année une multitude d’activités sociales et d’évènements de réseautage, participent à des compétitions et contribuent au rayonnement de notre faculté sur le plan national. C’est aussi une bonne manière pour les étudiants de rencontrer d’autres personnes avec des intérêts communs et de se bâtir un réseau pour l’avenir.
3- Le RTE (Le régime travail-étude)
Bien qu’il ne soit pas exclusif à l’École de gestion Telfer, le Régime travail-études offert par l’Université d’Ottawa constitue selon moi l’une des meilleures opportunités offertes aux étudiants. En tant qu’étudiants, il est souvent difficile de concilier nos études et notre vie personnelle, mais cela devient encore plus difficile quand il faut trouver un emploi. De ce fait, le RTE permet aux étudiants de trouver un emploi rémunéré, administratif ou non, sur le campus et à seulement quelques minutes de leurs salles de cours.
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Lorsqu'on est au lycée, il est difficile pour tous, et particulièrement pour les étudiants internationaux, de trouver le programme d'étude universitaire qui nous convient le plus. Face à la multitude de possibilités qui s'offrent à nous, aussi bien en terme de programme d'étude que du choix de la ville et de l'université, cette tâche s'avère stressante et éprouvante. Pour ma part, je viens de la Côte d'Ivoire en Afrique de l'ouest, et je suis venu au Canada pour la première fois en 2017 pour y faire mes études.
À ce moment – et je pense que c’est le cas pour beaucoup d’étudiants – je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard, que ce soit pour ma future carrière ou pour mes études universitaires. Je me contentais d’avoir de bonnes notes sans vraiment me rendre compte que seulement quelques années me séparaient de l’université. Arrivé en dernière année de lycée, j’ai commencé à ressentir la pression lorsqu’il a fallu que je choisisse une université et un programme d’étude, et cela n’a pas été de tout repos.
Trouver mon programme
Au départ, le choix de l’université s’est fait assez facilement. Mon frère était déjà étudiant à l’Université d’Ottawa, alors c’était le choix évident pour moi également. Cependant, le plus grand défi a été de me trouver un programme d’étude. Pendant mes recherches, je me suis rendu compte que l’une des choses que j’aimais le plus faire pendant mon temps libre était de lire et de me renseigner sur les entreprises et leurs fondateurs, non pas pour les activités et les services qu’elles offraient, mais surtout pour leur histoire et le processus ayant conduit au succès de ces entreprises.
La seule option qui, selon moi, se rapprochait de cet intérêt était de faire des études en gestion. Je me suis donc inscrit à Telfer en management en ayant à l’esprit d’être un jour mon propre patron. Au bout d’une année d’étude, j’ai appris qu’il y avait une option complémentaire en entrepreneuriat dans ma faculté. C’était une option parfaite pour moi, d’autant plus que les choix de cours étaient liés à mes champs d'intérêt et qu’elle me permettait de finir mon bac dans le même temps. J’ai donc complété mon inscription et ça a été pour moi un pas de plus dans mon parcours universitaire vers la carrière que je souhaite bâtir.
Aujourd’hui, en 3e année du bac, après avoir débuté mes cours de l’option, je peux affirmer que mon ambition d’entrepreneuriat se confirme de jour en jour. L’aspect pratique de ces cours était ce qui me manquait dans la plupart de mes cours théoriques. J’ai eu l’occasion, par exemple, d’analyser un film relatant la vie d’un entrepreneur, de participer à une conférence sur l’entrepreneuriat, et même de rencontrer un entrepreneur avec qui j’ai discuté de son parcours dans le but de rédiger un rapport.
D’une passion à une carrière
Toutes ces activités étaient des choses que j’avais l’habitude de faire ou que j’ai toujours voulu faire et j’estime que cela me permettra de développer des compétences importantes comme le travail d’équipe, la créativité ou l’esprit d’initiative qui, à la longue, me seront très utiles lorsque je me lancerai en affaires.
Pour le moment, bien que je n’aie pas encore trouvé mon idée d’entreprise, je suis déterminé et je sais qu’un jour j’atteindrai mes objectifs. On s'en reparlera un jour!
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Le terme le plus redouté par la communauté des écoles de management. Tout le monde en parle, tous vos professeurs l'évoquent en classe, chaque événement en comprend une partie. Mais en réalité, qu'est-ce que le réseautage?
Qu’est-ce que le réseautage?
Je n'ai pas aimé l'idée du réseautage pendant mes deux premières années d'école de gestion. C’était intimidant, pas naturel et ne valait vraiment pas l’anxiété sociale qui l’accompagnait.
Mais de quoi s'agit-il? Techniquement, tu connais la réponse. On te dit que c'est d’aller à la rencontre de nouveaux amis, de professionnels et d'autres adultes dans le but de bâtir un réseau qui t’ouvrira les portes à des opportunités d'emploi quand tu seras diplômé, ou quelque chose de ce genre. La vérité est que le réseautage est bien plus que ça.
Tu penses que le réseautage ressemble à ça :
En vérité, il ressemble plus à ça :
Les opportunités sont nombreuses
Le réseautage est une activité aléatoire, mais qui fait partie de notre vie quotidienne. Ça consiste simplement à établir une connexion avec quelqu'un. N'importe qui. C'est dire "Bonjour" à la personne qui se trouve à côté de toi en classe; c’est engager des conversations avec tes coéquipiers de projets de classe; c’est aller voir ton professeur à ses heures de bureau. Vraiment, c'est aussi simple que ça. Alors, pourquoi on s’en préoccupe autant?
Je le vois comme une expérience d’apprentissage, que ce soit lors d’activités de réseautage, de rencontres fortuites ou en conversation en ligne. Je tisse des liens avec des personnes qui pourront m’apprendre quelque chose : sur comment ils ont obtenu leur emploi actuel, sur leur parcours professionnel, sur comment ils se sentent par rapport à l’association étudiante dont ils font partie, ou quels sont les outils qu’ils utilisent pour réussir à tout accomplir tout en étant aux études à temps plein.
Comme tu peux le constater, les gens peuvent nous apprendre beaucoup de choses et la plupart d’entre eux veulent aider, faire part de leur expérience et te donner l’occasion d’apprendre d’eux.
Sois toi-même
Ce que je préfère, c’est que ça n’a pas besoin d’être intimidant ou artificiel. L’essentiel, c’est de souhaiter créer une véritable connexion avec une personne en particulier. De cette façon, la conversation est plus honnête, intéressante et naturelle. À la fin, tu auras appris quelque chose de nouveau, tu auras tissé des liens, et encore mieux, tu l’auras fait sans te rendre compte que tu réseautais.
Des connexions pour ton avenir
Alors, comment réseauter? J’en fais en contactant des personnes sur LinkedIn qui ont actuellement le travail de mes rêves, qui travaillent pour une compagnie où j’espère travailler un jour, ou qui poursuivent actuellement des études que je voudrais faire dans le futur. Je communique avec cette personne tout en me présentant et en donnant la raison pour laquelle je la contacte. Habituellement, ils acceptent toujours ma demande et sont ravis de prendre un café ou de parler au téléphone.
Par conséquent, le réseautage n’est pas aussi intimidant qu’on le pense. Sois toi-même, essaie de converser avec des personnes que tu ne connais pas pour apprendre quelque chose de nouveau, et ainsi tu auras élargi ton réseau. C’est magique!
Tu ne sais jamais ce qui t’attend avec ces rencontres. Un jour lorsque tu auras besoin d’un emploi ou voudras participer à une activité ou un événement, tu pourras demander l’aide d’une personne que tu as rencontrée en faisant du réseautage et ils seront surement ravis de t’aider à accomplir tes objectifs.
Tout le monde fait partie d'un réseau, qu'il le sache ou non. La différence, cependant, est que lorsque les gens saisissent toutes les occasions qui leur sont offertes d'apprendre et d'entrer en contact avec de nouvelles personnes, ils peuvent alors manifester les opportunités qui se présentent à eux.
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Les entrevues sont souvent angoissantes, surtout pour un étudiant coop qui espère se démarquer. La question que nous redoutons souvent lors d’une entrevue est : « Parlez-moi de vous ». Lors de ma dernière ronde d’entrevues pour mon stage coop, j’ai décidé de demander aux employeurs ce qui rendait les étudiants mémorables, et pour la plupart c’était la personnalité.
Un employeur a indiqué : « les notes sont importantes pour définir les compétences, mais nous recherchons une connexion. Cela signifie parfois qu’il faut sacrifier la MPC pour la personnalité et l’engagement parascolaire ». Plus facile à dire qu’à faire, pas vrai? J’ai souvent essayé d’être la candidate idéale pour le poste, mais en fait c’est l’inverse. Voici une liste de conseils pour t’aider à te détendre et à être toi-même :
1. Écoute bien la question et répond sans réciter un scénario
Commençons par la façon dont nous répondons aux questions. Selon plusieurs employeurs, les étudiants négligent souvent de répondre à la question parce qu’ils sont trop concentrés à réciter un scénario qu’ils ont mémorisé. Écoute plutôt attentivement ce que le recruteur te demande exactement (prends-en note si tu peux). Prends un moment pour formuler une réponse concrète avec un exemple pertinent. Il est suggéré d’avoir une liste de plusieurs histoires professionnelles en tête. Tu auras ainsi la possibilité de répondre aux questions honnêtement.
2. Ajoute des anecdotes personnelles pertinentes quand tu le peux
Rassembler tes idées pour préparer une réponse peut déclencher un souvenir connexe. Par exemple, tu pourrais mentionner que lors de ton voyage en France, tu t’es forcé à ne parler qu’en français avec les locaux, même si cela te mettait mal à l’aise. Non seulement cela mettra en évidence ton bilinguisme, mais cela pourrait aussi amener une conversation révélant d’éventuels intérêts communs. Toutefois, n’oublie pas de réorienter la conversation si tu vois que vous divaguez. N’oublie pas d’utiliser ton temps à bon escient pour établir un lien mémorable avec l’employeur.
3. Effectue des recherches sur la compagnie
Pour démontrer ta passion pour le poste, fais des recherches sur l’entreprise. Démontre subtilement comment tes valeurs correspondent à celles de l’entreprise, et comment tu peux contribuer à sa vision ou à ses objectifs. Bien sûr, si cela ne vient pas naturellement, ne le force pas! Cependant, si l’employeur mentionne des objectifs de l’entreprise dont tu te rappelles, tu peux dire : « Oh, quand j’ai fait des recherches sur les plans de votre division, j’ai un peu lu sur ce projet. Pourriez-vous m’en dire plus? » De petits ajouts à la conversation montrent à l’employeur que tu es intéressé. Cela finit par démontrer ton désir de faire partie de l’équipe!
N’oublie pas que les recruteurs sont simplement des personnes qui essaient de trouver un candidat dont la personnalité et les compétences viendront enrichir leur équipe. N’essaie pas d’être ce qu’ils recherchent et soi plutôt authentique. Quoi qu’il en soit, ta véritable personnalité fera surface, donc mieux vaut que cela se passe pendant l’entrevue et non le premier jour de l’emploi.
Bonne recherche d’emploi!
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Beaucoup d’étudiants au premier cycle ne savent pas exactement ce qu’ils désirent obtenir de leur diplôme en gestion, malgré leur intérêt pour le domaine. Cela a été la même chose pour moi lors de ma première année. En ce qui me concerne, faire un stage dès le début m’a permis de mieux comprendre le monde des affaires dans lequel je me lançais et de me faire une idée plus précise de mon plan de carrière.
Alors, comment ai-je réussi à obtenir un stage lors de ma première année universitaire? Je crois que c’est grâce à un mélange d’initiative et de chance. Voici les trois principaux facteurs qui, selon moi, m’ont permis d’obtenir un stage en début de bac :
1. S’instruire
Avant même de commencer ma première session, je savais que je voulais profiter au maximum de mon expérience à l’École de gestion Telfer. Je pouvais y parvenir de différentes manières, que ce soit en utilisant les ressources de l'école pour des projets liés à l'entrepreneuriat ou en recherchant de nouvelles opportunités, telles que l'obtention d'un emploi bien rémunéré.
J’avais déjà suivi des cours sur le commerce au secondaire, mais j’ai aussi lu des livres sur le sujet et sur la psychologie humaine. Ces connaissances m'ont donné confiance pour le moment où je commencerais à rencontrer des gens à l'université et dans le monde des affaires.
2. S’impliquer
Lors de mon premier trimestre, à la recherche de possibilités, je me suis tourné vers les clubs étudiants de Telfer. Lors d’un événement de réseautage, j’ai rencontré le président du Club des entrepreneurs (TECDE) de l’époque, Ned Tighe, et la vice-présidente du marketing, Aveen Habib et ils m’ont présenté le club. J’ai ensuite eu la chance d’être choisi comme leur représentant de première année dans l’équipe de direction du club.
En rejoignant TECDE, j’ai pu mieux comprendre la totalité des événements ouverts aux étudiants à Telfer, et me rapprocher d’étudiants plus expérimentés que moi. Je pense que cela a également joué un rôle important dans l'établissement de ma crédibilité lorsque j'ai postulé pour un emploi par la suite.
3. Réseauter
Tout au long de l'année scolaire, j’ai fait du réseautage. J’ai eu la chance de rencontrer de nouvelles personnes lors de plusieurs événements au courant de l’année scolaire, notamment aux salons de l’emploi de l’école, aux ateliers du Centre des Carrières de Telfer et aux événements organisés par les clubs, comme des visites de bureaux au centre-ville.
C’est lors d’une visite chez Klipfolio, une entreprise de technologie située à Ottawa, que j’ai rencontré Robert Shapiro, leur gestionnaire des ressources humaines. À la fin de la visite, je lui ai demandé s’il voulait bien me rencontrer pour un café, et il a accepté. J’étais vraiment content qu’il accepte de me parler de lui et de la compagnie. Il m'a rapidement parlé d'une ouverture qui n'avait pas encore été publiée sur leur site web. Après avoir préparé un projet d’analyse de données, j’ai obtenu une entrevue et j’ai obtenu ce que je désirais : un poste de stagiaire.
Alors, voilà ma recette : si tu t'instruis à l'avance, que tu t'impliques à l'université et que tu profites des possibilités de réseautage, tu pourrais toi aussi être sur le point d'obtenir un poste de stagiaire. Ces démarches te donneront une chance et un avantage lors de déterminer le parcours professionnel que tu désires.
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La procrastination est un problème assez récurrent dans plusieurs aspects de nos vies. Que ce soit dans notre environnement professionnel ou académique, plusieurs parmi nous y sont confrontés. Vous avez peut-être déjà lu des articles ou regardé des vidéos sur comment vous en débarrasser, mais malheureusement vous êtes toujours au même stade.
La procrastination est essentiellement l’habitude de remettre à plus tard, provoquée par un blocage mental. Cela vous retient d’accéder à une liberté émotionnelle, une plus grande force mentale, une meilleure gestion de soi et un succès professionnel et/ou académique.
Voici 3 points essentiels que j’ai appris sur la procrastination au cours de mes années universitaires :
1. Les excuses sont des catalyseurs :
Comme disait Serita Jakes, « les excuses sont des outils d'incompétence utilisés pour construire des ponts vers nulle part et des monuments de néant ». Prenez une minute pour digérer cette citation… Les excuses sont des affirmations qui déclenchent la nonchalance et le relâchement dans l’effort chez plusieurs d’entre nous. Ultimement, elles ont un effet sur notre disposition à travailler et à atteindre nos objectifs.
Comme j’aime me le répéter, s’ouvrir à la possibilité de remettre une tâche à plus tard retire le sens de la priorité et s’en suit la paresse et la procrastination. Par conséquent, nous devons développer une maîtrise de soi et discipliner notre cerveau afin d’exclure les excuses. Dès le départ, les excuses ne sont pas une option.
2. La procrastination est une conséquence :
Lorsqu’on pense aux causes de nos échecs, de notre inaptitude à bien gérer notre temps, à notre statu quo professionnel et académique, nous les relions souvent à la procrastination. En d’autres termes, la procrastination est la raison pour laquelle nous n’arrivons pas à atteindre nos objectifs. Ainsi, en nous débarrassant de ce défaut, nous sommes en bonne voie vers le succès.
Nous basons notre bataille contre la procrastination sur notre discipline personnelle sans réellement en chercher les causes. Cependant, en allant en profondeur dans cet aspect, nous voyons que la procrastination en elle-même est la conséquence de notre état émotionnel, d’un concours de circonstances parfois imprévisible qui nous prédispose à nous fermer à toute sorte de productivité. La première chose à faire est donc d’identifier les causes de notre procrastination.
3. Santé mentale et procrastination :
Notre état mental, émotionnel et physique a un impact sur les activités que nous menons au quotidien. Un désir de ne rien vouloir accomplir peut avoir une racine autre que la paresse physique que l’on cherche à surmonter. Certaines situations nous affectent de diverses façons, dépendamment de l’individu.
Ainsi, la procrastination peut être la conséquence d’un malaise existentiel ou d’un mal être psychologique. Dans tous les cas, un diagnostic n’est pas toujours facile à poser. Il est donc important de s’informer sur la santé mentale et de demander de l’aide. Plusieurs ressources sont disponibles sur le campus à cet effet :
- Le service de santé mentale
- L’Association Canadienne pour la santé mentale
- La clinique de counseling sans rendez-vous
Au final, je crois qu’il est possible de vaincre la procrastination si, dès le début, on arrive à en repérer les causes, à éviter les catalyseurs ou éléments déclencheurs, et à utiliser les ressources disponibles. Il faut du temps et de l’espace pour grandir et développer de saines habitudes. Ainsi, soyez patients envers vous-même et envers le processus.
Photo en bannière : crédit @magnetme
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Choisir une université peut sembler très facile, mais ceux qui y sont passés savent que c’est une décision extrêmement difficile à prendre. Ce qu’offre une école sur le plan académique est important, mais tu dois aussi tenir compte des éléments parascolaires dans ta décision. Cela te permet de t’inscrire à une école qui s’harmonise à ta personnalité et ton style de vie.
Étant donné que choisir une université est une grande décision, tu dois prendre ton temps pour bien chercher et comparer tes options. Ça tombe bien, car j’ai fait une liste pour te conseiller sur comment choisir une université. Lors de tes recherches, n’oublie pas de prendre en compte non seulement tes besoins à court terme (première année), mais aussi tes objectifs à long terme (deuxième, troisième et quatrième année).
1. Informe-toi sur le programme
La chose la plus importante à faire lors du choix d’une université est le programme. Après avoir trouvé ton programme, il est important de comparer les différentes universités. Par exemple, l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa offre une séquence de cours différente de l’Université de Guelph dans son programme de baccalauréat en sciences commerciales. De plus, tu dois tenir compte des possibilités de stage que les écoles peuvent t’offrir et de la possibilité de participer à un programme coopératif, si cela t’intéresse. Il est essentiel lorsque tu prends ta décision que tu sois informé des différences entre les programmes de ton choix dans toutes les universités que tu envisages de fréquenter.
2. Utilise les classements des universités pour te guider
Après avoir fait des recherches sur le programme, il est important que tu te renseignes sur la réputation des universités que tu as sélectionnées. Pour ce faire, tu dois d’abord choisir les facteurs qui sont les plus importants pour toi. Que ce soit pour classer la réputation nationale, l’expérience étudiante ou les activités parascolaires, l’outil de classement « Build Your Own Ranking » de Maclean’s est le meilleur moyen de comparer les classements des universités.
3. Informe-toi sur le mode de vie
Un autre facteur important à prendre en compte lors du choix d’une université est le mode de vie, notamment les activités parascolaires telles que les sports, les clubs et les activités proposées sur le campus. Pour certains étudiants, ces activités parascolaires façonnent leur expérience universitaire. Si c’est ton cas, il est extrêmement important de faire des recherches sur ce sujet avant de prendre une décision. La plupart des universités disposent d’une page consacrée aux activités parascolaires proposées sur leur campus. Le style de vie comprend également l’ambiance de la vie hors campus. Il peut être difficile de s’informer sur la vie hors campus, mais la meilleure façon d’en apprendre davantage sur le sujet est d’en discuter à un ami ou à une personne avec qui tu communiques et qui fréquente ou a fréquenté l’université.
4. Informe-toi sur le campus et les installations et ressources offertes
L’atmosphère du campus est extrêmement importante, car tu vas y passer au moins les quatre prochaines années. La première chose à faire est de décider si tu veux fréquenter une petite université ou une plus grande université. Une fois que tu as pris ta décision, tu devrais faire de petites recherches sur chaque campus. Surtout sur les bâtiments (en particulier celui qui est propre à ta faculté) ainsi que sur les installations telles que les gymnases, les bibliothèques, les résidences, les services de restauration, etc. Parallèlement, il est important de te familiariser avec les ressources offertes sur le campus. Notamment les services d’orientation, les services d’aide scolaire, les services de santé, etc.
Faire tout ça peut sembler énorme, mais te familiariser avec le campus t’aidera à prendre la bonne décision pour toi. La meilleure façon de faire des recherches est de découvrir le campus et de participer à une visite organisée par l’université. Si tu n’es pas en mesure de le faire, assure-toi de faire des recherches approfondies. Plusieurs universités proposent même des visites virtuelles de leur campus!
5. Informe-toi sur la ville où se trouve l’université
Une fois que tu auras choisi une université, tu vivras dans cette ville pendant au moins quatre ans. Il est donc important de t’informer sur ce qu’elle offre! Oui, y compris des choses à faire avec des amis, comme des endroits pour manger. Cela comprend aussi des choses essentielles comme les épiceries, les transports en commun et d’autres services importants. Réfléchis à tes besoins et détermine si la ville y répond. Voici deux sites web qui pourront t’aider dans tes recherches : Tripadvisor et Yelp.
6. Informe-toi sur les bourses d’études offertes par tes universités de choix
Obtenir de l’aide financière pour les études postsecondaires peut être long, donc fais-le le plus tôt possible. Lis « six conseils pour recevoir des bourses d’études », cela en vaut la peine. Il existe plusieurs voies de financement, notamment les subventions, les bourses et les prêts étudiants, entre autres. En général, les subventions et les bourses n’ont pas à être remboursées tant que tu remplis les exigences requises pour en bénéficier. Les prêts étudiants doivent être remboursés. Des outils d’aide financière pour les étudiants canadiens se trouvent dans le guide Smart Student Guide to Financial Aid ; cette source comprend des programmes d’aide financés par les provinces. Scholarships Canada est une base de données consultable contenant des milliers de bourses d’études et de prix pour les étudiants qui entament leur première année d’études postsecondaires au Canada.
Choisir une université est extrêmement difficile. En faisant tout ce qu’il y a sur la liste ci-dessus, tu seras suffisamment préparé pour prendre une décision quand viendra le temps. En tenant compte de ces facteurs, je suis sûre que tu trouveras l’université qui te convient le mieux.
Après avoir lu cet article, j’espère que tu auras un peu plus d’indications pour faire tes recherches. Si tu ne sais pas par où commencer, je te suggère de commencer par consulter le carrefour de Maclean’s Education, où tu trouveras toute une série d’information concernant les études, l’argent, la vie étudiante et les classements.
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Si tu es un étudiant en gestion ou un étudiant à l’Université d’Ottawa, tu as sûrement entendu parler des JDCC (Jeux du Commerce Central).
Certains de tes amis t’ont probablement raconté le plaisir des jeux sportifs, des compétitions ou de la cérémonie dansante de leur séjour aux JDCC.
Alors, que sont les JDCC?
Les Jeux du Commerce Central (JDCC) sont une compétition de cas régional où des écoles de gestion canadiennes se disputent la victoire. Elle est organisée par l’Association des écoles de gestion du Canada (AEGC), l’organisation mère qui travaille avec les associations étudiantes de chaque école de gestion au Canada.
Pour ce genre de compétition, chaque école membre de l’AEGC réunit des candidats pour coordonner une délégation. Lors des JDCC, l’École de gestion Telfer se mesure à plus de 11 écoles en Ontario, notamment la Lazaridis School of Business and Economics de l’Université Wilfrid Laurier, la Lang School of Business and Economics de l’Université de Guelph, la Sprott School of Business de l’Université Carleton, et bien d’autres encore. Tous les ans, la compétition a lieu dans une des écoles membres, ce qui permet aux participants de visiter des campus universitaires à travers le Canada. Les étudiants peuvent participer à plusieurs disciplines soit dans le volet académique, sportif ou social.
Le déroulement de la compétition
Pour les épreuves du volet académique, les écoles participantes envoient une équipe de trois étudiants se mesurer à d’autres équipes dans des catégories spécifiques en gestion telles que le marketing, la comptabilité, la stratégie, la gestion des ressources humaines, l’innovation entrepreneuriale, etc. Les équipes disposent de trois heures pour procéder à une résolution de cas, qu’elles présentent ensuite à un groupe de juges. La présentation dure 20 minutes et la période de questions dure 15 autres minutes.
Lorsque toutes les présentations sont finies, les juges (généralement un commanditaire) déclarent qui a remporté la première, la seconde et la troisième place pour chaque catégorie. Pendant la cérémonie de remise des prix, l’AEGC nomme les gagnants de chaque catégorie et distribue des prix individuels et d’équipes.
Pour les épreuves du volet sportif, des équipes de huit personnes s’affrontent à plusieurs sports comme le basketball et le spikeball. On donne des points aux délégués pour leur performance, et aux délégations sur les bancs qui les encouragent.
Pour les épreuves du volet social, des équipes de quatre participent à des défis aléatoires au courant de la journée. Par exemple, de l’improvisation, de la danse, des débats oratoires, des résolutions de cas surprises, etc. Pour ces défis, on accorde des points pour l'enthousiasme, l’esprit d’équipe et la qualité artistique des costumes.
La compétition a lieu à chaque année en janvier et dure quatre jours. Les dernières compétitions ont eu lieu à l’Université de Guelph (Guelph, Ontario) et à l’Université de Brock (Saint Catherines, Ontario). Lors des derniers jeux, l’équipe de Telfer comptait 46 étudiants et a remporté trois prix : un en gestion des ressources humaines, un en débat oratoire et le dernier pour le cas wildcard.
Les cartes VIP sont des prix de reconnaissance individuelle qui sont attribués aux meilleurs présentateurs. Les bénéficiaires de ces cartes sont souvent choisis par les juges; et ceux qui en possèdent une participent à un événement de réseautage exclusif.
En dehors des épreuves, les écoles participent également à d'autres activités récréatives telles que des événements sociaux et des danses.
À l’École de gestion Telfer, la délégation des JDCC est gérée par le Comité compétitions Telfer (CCT). Le CCT recrute les étudiants, rend possibles les entraînements, le coaching et commande des produits pour l’équipe. Le CCT organise également la compétition de cas interne de Telfer, qui est une bonne occasion pour recruter de nouveaux membres pour le volet académique des JDCC.
Si développer tes techniques de présentation, te faire de nouveaux amis et participer à des épreuves t’intéresse, tu ne voudras pas manquer la chance de participer aux JDCC!
Tu peux consulter les résultats de Telfer aux derniers JDCC, ici.
N’hésite pas à me contacter si tu as des questions sur mon expérience aux JDCC.
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L’Université d’Ottawa est réputée pour être la plus grande université bilingue au monde. Le régime d’immersion en français de Telfer t’offrira d’innombrables possibilités. Faire partie de ce régime m’a permis d’acquérir une expérience unique.
La raison première de poursuivre ses études dans le cadre du programme d’immersion en français de Telfer est la mise à disposition de plusieurs bourses. Deuxièmement, cette option offre une variété de cours qui lui est particulière. Pour finir, faire ses études en immersion française permet d’accéder à de nombreuses perspectives d’emplois dans le monde entier.
Bourses et concours
Imagine être payé pour étudier! Non seulement tu approfondis tes connaissances du français grâce au programme d’immersion, mais tu peux aussi recevoir des bourses de 1000 $ annuellement. Cette bourse est offerte à tous ceux qui répondent aux exigences de base. De plus, l’Université d’Ottawa organise de nombreux concours pour encourager la participation des étudiants du secondaire, qui ont la chance de recevoir une bourse pour faire leurs études en immersion française. En 4e secondaire, j’ai eu la chance de participer au concours de vidéoclip de l’Association canadienne des professionnels de l’immersion sur « Comment le français a changé ma vie » organisé par l’Université d’Ottawa. J’ai fini deuxième au Canada avec une bourse de 8 000 $. Gagner cette bourse a largement influencé ma décision de m’inscrire au programme d’immersion en français du baccalauréat en sciences commerciales/Juris Doctor. Je suis très fière d’être bilingue.
Des cours uniques
Un deuxième avantage du régime d’immersion en français est le fait qu’il offre la possibilité de suivre un cours supplémentaire qui complète un cours obligatoire en administration (affaires). Les étudiants qui sont inscrits à un cours en administration obligatoire peuvent choisir de suivre un cours de français équivalent pour les aider à acquérir de solides compétences en français. Ce cours supplémentaire d’immersion en français donne droit à 3 crédits qui comptent comme un cours au choix hors faculté. C’est une excellente façon de permettre aux étudiants de Telfer de suivre certains cours à option tout en améliorant leurs compétences en français.
Perspectives de carrières
Le troisième avantage d’étudier dans le programme d’immersion en français de Telfer est la possibilité des nombreuses perspectives de carrière qui s’offrent aux étudiants. La région de la capital nationale dispose d’une abondance de possibilités d’emplois au gouvernement du Canada. Les employeurs potentiels recherchent souvent des étudiants qui parlent français. Les étudiants qui parlent français sont plus attrayants et ont des options de carrières infinies. La maîtrise du français facilite les chances de travailler à l’international et de créer un réseau de contacts professionnels à travers le monde.
Résumé
Participer au programme d’immersion en français de Telfer est un atout précieux qui engendre des possibilités illimitées pour les étudiants. Poursuivre ses études en français offre plusieurs options aux étudiants dans le monde des affaires d’aujourd’hui. Faire l’apprentissage du français apporte de nombreux avantages tels que des options de bourses variées, une sélection unique de cours, et enfin, les étudiants seront plus attrayants aux yeux des employeurs potentiels. Maintenant que tu connais les avantages de faire tes études en immersion française, fait le saut et inscris-toi au programme d’immersion en français à Telfer pour de meilleures perspectives de carrières. Le Canada est un pays bilingue, donc pourquoi ne pas suivre la voie de la réussite en allant de l’avant avec des études en français?
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Tu en as assez d’étudier aux mêmes endroits sur le campus? Tu cherches un nouvel endroit plus classe où étudier? Un endroit où tu peux savourer un espresso onctueux, déguster un bagel frais, manger une tarte faite-maison ou même à un buffet végétarien? Ne cherche plus.
Ce qui suit est l’ultime liste des neuf meilleurs endroits où étudier à Ottawa. Elle a été conçue pour inciter même l’étudiant le moins motivé à étudier.
The Green Door
198, rue Main
The Green Door est l’endroit parfait pour manger de la nourriture végétarienne de bonne qualité quand tu étudies. On en trouve seulement un à Ottawa et il est tout près de Sandy hill, donc facile d’accès pour la plupart des étudiants de l’Université. Bien qu’il s’agisse principalement d’un buffet où l’on doit payer au poids et où tu trouveras des aliments essentiellement sans gluten, végétaliens et biologiques, c’est aussi un lieu très décontracté avec beaucoup d’espace pour étudier. Il y a beaucoup de bruit et de gens aux heures de pointe, alors pour éviter d’être distrait, apporte des écouteurs et écoute ta musique préférée pour étudier.
Photo sur : https://www.happycow.net/reviews/green-door-ottawa-1326/images?sortby=date-desc
Les Moulins Lafayette
1000, rue Wellington Ouest
Les Moulins Lafayette est une nouvelle boulangerie qui vient d’ouvrir en 2018 à Hintonburg et pourtant c’est un des meilleurs cafés où je suis allé. Non seulement ils jouent de la bonne musique et offrent un bel environnement de travail, ils ont aussi le meilleur café et les pâtisseries les plus haut de gamme que j’ai jamais dégustées. C’est une boulangerie, donc elle offre une meilleure variété de croissants, muffins et biscuits qu’un café habituel et elle est située en face d’une brasserie artisanale et d’un LCBO pour quand tu as terminé d’étudier.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/les-moulins-la-fayette-ottawa
Kettleman’s
912, rue Bank, 1365, av. Woodroffe, 6-197, promenade Trainyards
Cette boulangerie à bagel est très réputée, car elle est situé au même endroit, dans le Glebe, depuis 25 ans. Elle se trouve sur cette liste parce que c’est un endroit silencieux et calme pour étudier, qui est ouvert 24 h/24, 7 j/7 et offre du remplissage de café gratuit. C’est pour ces deux raisons que cet endroit est la meilleure option pour une longue et intense séance d’étude. Le magnifiques fenêtres laissent passer la lumière naturelle du soleil et on peut y voir clairement le processus de création des bagels et le tohu-bohu sur la rue Bank. Il dispose également d’un personnel sympathique. Le seul inconvénient est que la musique y est très forte, alors assure-toi d’apporter des écouteurs de qualité afin de pouvoir être en paix.
Photo sur : http://jvlphoto.com/ottawa-commercial-photography-kettlemans/jvlphoto-photographer-kettlemans-34-edit/
Morning Owl
229, rue Armstrong, 538, rue Rochester, 219, av. Laurier Est et autres
Morning Owl est une chaîne de café local situé ici à Ottawa. On compte 7 emplacements à travers Ottawa, et ils ont des boissons et des bouchées délicieuses et uniques, comme le latte « white rabbit ». On peut toujours compter sur Morning Owl pour un environnement d’étude formidable, avec sa déco chic et confortable. Une autre chose qui fait du Morning Owl une bonne place pour étudier est le fait que chacun des cafés a une ambiance différente qui correspond au quartier dans lequel ils se trouvent, alors assure-toi de visiter les différents endroits en ville.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/morning-owl-coffee-house-ottawa-2
Life of Pie
1134, rue Bank
Au lieu de te contenter du flot incessant de gens au Starbucks de Desmarais ou dans tout autre café du campus, fais-toi plaisir avec un café et une tarte maison. Life of Pie est une adorable boulangerie familiale où l’on peut trouver des tartes maison (qui sont à tomber par terre) de plusieurs saveurs ainsi que des quiches, des soupes et des salades. Je te recommande d’étudier ici, car bien qu’elle soit petite, on y est très à l’aise, le personnel est sympathique et l’odeur fantastique des tartes fraîchement sorties du four te donne envie d’y rester toute la journée.
Photo sur : http://lifeofpie.ca/about-us/
L’Art House Café
555, rue Somerset Ouest
L’Art House Café est un café agréable, rempli d’art, qui offre des espressos, des plats légers, des pâtisseries, ainsi que des places assises dehors. C’est un endroit qui te donnera courage et un sens d’appartenance dans les moments difficiles. La saison des examens est difficile? Détends-toi et admire de l’art local. Si tu te sens particulièrement épuisé (ce qui arrive souvent), l’Art House Café te propose du café à 5 $ jour et nuit. Leur menu comporte également une variété séduisante de cocktails au café chaud comme leur Chai corsé, le Amaretto Latte et le Chocolat chaud au Bourbon.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/the-art-house-cafe-ottawa
La Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank, et autres
Besoin de silence absolu pour étudier? La Bibliothèque publique d’Ottawa est l’endroit qu’il te faut. Il y a une connexion Wi-Fi gratuite et de nombreuses succursales dans toute la ville. Si c’est une séance d’étude où tu as besoin de réfléchir et de bien comprendre, à l’opposé de copier des notes sur PowerPoint, c’est un choix judicieux, car il n’y aura absolument rien pour te distraire.
Equator Coffee
1, rue Elgin
Tu as besoin d’un endroit pour travailler qui est plus spacieux que les cafés traditionnels? Le Equator Coffee du Centre national des Arts est l’endroit qu’il te faut. Le personnel est très sympathique, l’atmosphère est chaleureuse, mais demeure plein de vivacité et il y a de délicieuses boissons et gâteries. Il ferme à 16 h, mais le CNA a beaucoup d’espace qui reste ouvert au public de 6 h à minuit avec du Wi-Fi gratuit! Situé dans l’un des plus beaux et plus esthétiques quartiers du centre-ville d’Ottawa, tu as vraiment l’impression d’étudier pour un but précis. Le café et le CNA ont une grande variété de sièges, donc si tu es inconfortable où tu te trouves, il y a des tonnes d’options pour t’aider à étudier.
Suzy Q’s Doughnuts
969, rue Wellington Ouest
Cet endroit est l’un de mes coups de cœur. Bien qu’il soit déjà très populaire, je me dois de recommander ce café, à l’odeur enivrante de beignets fraîchement préparés, pour étudier. Je trouve que cet endroit est chaleureux, tant par la température que par le tempérament du personnel. Leur sélection de nourriture et de boissons est fantastique et leur eau en libre-service rend les choses un peu moins gênantes si tu prévois y rester longtemps. C’est un endroit très fréquenté, mais on s’y sent bien et il est idéal pour étudier si tu peux tolérer des bavardages inaudibles ou si tu as des écouteurs.
Photo sur : https://www.pinterest.ca/pin/72339137740303531/
Les endroits mentionnés ci-dessus sont parmi mes endroits préférés pour étudier et j’espère que tu auras la chance d’en visiter quelques uns. Maintenant que tu as une liste des neuf meilleurs endroits pour étudier à Ottawa, va les découvrir, profites-en et termine tes études avec classe!