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Par Michelle Hibler
L’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa a décerné le prix Diplômé de l’année à Guy Laflamme (MBA 1989), diplômé de l’École Telfer. Ce prix rend hommage à un diplômé qui s’est distingué par ses réalisations exceptionnelles au cours de l’année précédente
Oubliez John A. Macdonald et les Pères de la Confédération. Pour célébrer le 150e anniversaire du Canada dans la capitale, le directeur général et producteur d’Ottawa 2017, Guy Laflamme, penchait plutôt du côté de créatures géantes cracheuses de feu, d’un pique-nique sur le pont et d’une aventure souterraine dans un décor de science-fiction.
Ayant reçu carte blanche du maire d'Ottawa Jim Watson pour programmer une année de célébrations qui dynamiserait l’image d’Ottawa, Guy Laflamme (B.Sc.A. 1983, MBA 1989) a laissé libre cours à son imagination dans un plan d’affaires de 300 pages rédigé à sa maison des Îles-de-la-Madeleine. « Je me suis donné une liberté totale sur le plan artistique et j’ai pu mettre à profit toute mon expertise en stratégie d’entreprise », dit-il.
Il a aussi tiré parti de ses 25 années d’expérience en marketing et en production de grands événements pour des organismes comme Patrimoine canadien, la Commission de la capitale nationale et le Casino du Lac-Leamy.
Ses efforts enthousiastes pour amener du jamais vu à Ottawa ont porté fruit : son programme de célébrations et d’événements de 40 millions de dollars en a rapporté 300 à la ville. Ce succès lui a valu l’Ordre d’Ottawa et le Prix d’excellence de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario pour l’ensemble de sa carrière. Il a aussi été nommé « Personnalité de l’année » Radio-Canada/Le Droit pour sa vision, son imagination débridée, sa détermination, son énergie et son audace incroyable.
« De tout ce que j’ai fait de plus impressionnant, je suis surtout fier d’avoir pu influencer des milliers d’étudiants ». Au cours de ses 15 années comme professeur à temps partiel à l’École Telfer, il s’est démarqué en pilotant la campagne de bienfaisance « Le Niger, c’est notre affaire » et en amenant ses étudiants à travailler avec des organismes sans but lucratif pour leur projet final en marketing stratégique.
En 2005, il fut décerné la médaille Trudeau, l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer à ses diplômés.
Guy Laflamme contemple maintenant son projet le plus ambitieux à vie : la retraite. « Après avoir roulé à 1 000 km/h pendant trois ans, j’ai envie d’une vie saine, simple et équilibrée. »
À propos des prix
Chaque année depuis 2011, l’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa reconnaît des membres exceptionnels en leur décernant des prix d’excellence. Découvrez les six lauréats de cette année, des personnes extraordinaires qui donnent en retour, et s’investissent dans l’Université et la collectivité en lisant leurs profils.
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Par Michelle Hibler
L’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa a décerné le prix Fidélité à l’Université à Jean Desgagné (B.Com. 1986), diplômé de l’École Telfer. Ce prix est décerné à un diplômé d’exception qui a contribué de façon importante à l’avancement de l’Université par son dévouement, sa générosité et sa volonté de faire rayonner les valeurs de son alma mater.
L’engagement de Jean Desgagné (B.Com. 1986) envers la jeunesse, particulièrement les étudiants de l’École de gestion Telfer, est inébranlable. « J’ai eu beaucoup de chance et de succès dans ma carrière. Quand ça arrive, on se sent une certaine dette à rembourser », dit-il.
Aujourd’hui président et chef de la direction, Solutions globales, perspectives et stratégies d’analyses TMX, Jean Desgagné a occupé plusieurs postes haut placés dans le milieu bancaire canadien.
À son arrivée à Toronto il y a 25 ans, il a constaté que l’Université d’Ottawa était peu connue dans la Ville reine, ce qu’il a entrepris de changer illico.
« J’ai travaillé très fort avec Telfer pour mettre l’Université en valeur et aider ses diplômés à se démarquer auprès des employeurs dans le domaine des marchés de capitaux à Toronto », dit-il. C’est ainsi qu’il a créé des programmes d’associés presque partout où il a travaillé. Celui de TMX, qui comptait cinq étudiants à sa création, en accueille plus de 20 après trois ans seulement.
Membre du Cabinet de campagne régional de l’Université d’Ottawa et président du comité régional de Toronto du comité consultatif du doyen de l'École Telfer, Jean Desgagné est le premier donateur à avoir contribué au Fonds de capital du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance qu’il a aidé à fonder à Telfer, où il s’est aussi impliqué au fil des ans comme conférencier, juge de compétitions étudiantes et mentor du Programme de mentorat sur les marchés financiers.
En 2009, Jean Desgagné et son épouse ont créé la Bourse de la famille Desgagné-Soden pour les étudiantes en sciences commerciales. « J’applaudis tout ce qui se fait pour aider les femmes à accéder aux postes de direction, dit-il, mais je suis aussi convaincu qu’il faut aussi investir en amont pour les attirer. »
« Tout le monde y gagne : les étudiants et étudiantes, Telfer, et moi-même, dit-il. Avec le recul, je peux me dire que j’ai fait quelque chose de bien. »
Jean Desgagné fut décerné la médaille Trudeau en 2009, l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer à ses diplômés.
À propos des prix
Chaque année depuis 2011, l’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa reconnaît des membres exceptionnels en leur décernant des prix d’excellence. Découvrez les six lauréats de cette année, des personnes extraordinaires qui donnent en retour, et s’investissent dans l’Université et la collectivité en lisant leurs profils.
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Nous avons le plaisir d’annoncer que l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa a conservé l'agrément de l'AACSB International – The Association to Advance Collegiate Schools of Business.
Également détentrice des agréments EQUIS et AMBA, l'École de gestion Telfer demeure l'une des deux seules écoles de gestion au Canada, et l’une de seulement 80 au monde, à avoir obtenu la prestigieuse triple couronne d'agréments pour les écoles de gestion.
« Je suis absolument ravi de ce résultat des plus positifs pour l’École, et je suis très fier de tous les membres de l’ensemble de la communauté Telfer, de nos professeurs, du personnel administratif, des cadres en résidence, mais bien sûr aussi de nos étudiants, diplômés, amis et collaborateurs pour leurs efforts constants qui nous ont permis d’assurer cette réussite! », a déclaré François Julien, doyen de l’École de gestion Telfer. « Grâce à ces personnes engagées, l’École Telfer continue d’innover et d’avoir un impact positif au sein de notre communauté. C’est une reconnaissance exceptionnelle de nos efforts d’amélioration continus, de notre poursuite de l’excellence et de notre engagement en la matière dans tout ce que nous faisons. »
Fondée en 1916, l'AACSB International est le plus ancien organisme mondial d'agrément pour les écoles de gestion qui offrent des diplômes d'études commerciales et de comptabilité au niveau du baccalauréat, de la maîtrise et du doctorat. Les normes d'accréditation de l'AACSB incitent les écoles de gestion et leurs programmes à viser l'excellence et l'amélioration continue. Aujourd’hui, près de 800 écoles de gestion détiennent l'agrément de l'AACSB, soit seulement 5% des écoles de gestion au monde.
L'École de gestion Telfer a reçu l'agrément AACSB en 2003, AMBA en 2005 et EQUIS en 2009.
À propos des agréments
Les agréments internationaux d’une école de gestion garantissent que celle-ci offre une formation de première qualité. En plus d’attirer de meilleurs étudiantes et étudiants, un établissement agréé fournit des possibilités de recherche exceptionnelles et favorise la reconnaissance à l’échelle mondiale.
Pour en apprendre davantage sur l'agrément de l'AACSB International, veuillez consulter la section traitant de l'agrément au site Web de l'AACSB International et prenez connaissance de nos autres agréments et classements.
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VENEZ APPUYER UNE LONGUE TRADITION!
Soyez des nôtres le vendredi 14 septembre 2018 pour le 24e tournoi de golf annuel pour les bourses d'études de l’École de gestion Telfer au Meadows Golf and Country Club.
Depuis que l'École de gestion Telfer a organisé son premier tournoi de golf en 1995, un total de plus de 760 000 $ a été amassé pour des bourses. Cette année, tous les fonds recueillis iront au profit de la Bourse d’admission de la famille Harrison-Comtois. Cette bourse sera décernée à un étudiant ou une étudiante du nord de l’Ontario nouvellement admis(e) dans un programme de premier cycle à l’École de gestion Telfer.
Rencontrez vos Coprésidents du tournoi de 2018 :
Jodie Harrison, Phil Comtois,
B.Com. 1999 B.Ec. 1993
Jodie Harrison et Phil Comtois, deux époux couronnés de succès, sont d'ardents défenseurs de rester en contact avec leur alma mater et de redonner à leur communauté.
On compte parmi les joueurs des diplômés, étudiants, membres du corps professoral, employés ainsi que des professionnels des secteurs publics et privés. Départ simultané. Appuyez ici pour en savoir plus à propos de le 24e tournoi de golf annuel pour les bourses d'études
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Le Gala des clubs de 2018 a eu lieu le 25 mars au Centre national des Arts. Ce gala annuel présente un bilan de l’année de tous les clubs et associations de l’École de gestion Telfer et souligne leurs réalisations. Avec des discours prononcés par le maître de cérémonie et l’organisateur du gala, Steve Cudnik, le doyen François Julien et le conférencier Cassy Aite de Desk Nibbles, le Gala des clubs de 2018 a été un franc succès.
L'événement le plus amélioré :
Legally SpeakingLe prix de Service communautaire:
EnactusMembre exécutif le plus amélioré:
Harvin JassalLa relève:
Mike MakichukReprésentant facultaire de l’année:
Matt ArchibaldPrésidente de l'année
Holly ToddÉvénement de l'année:
Business DinnerClub de l'année:
EnactusVoici quelques faits saillants et photos du gala :
We've won the @Telfer_uOttawa @CETSC Rising Star and Event of the Year awards!
— TECDE Ottawa (@tecdeottawa) March 26, 2018
What a great way to end the year 🤓#TECDE27 pic.twitter.com/8xfOAybujI
BMO sponsorship in attendance at this evenings @Telfer_uOttawa Club Executive Awards tonight. BM Robyn Lockwood presenting the award of The Club of the Year to Enactus 👏🏻#BMO #beingBMO #beingEOD #uottawa #buildingthefuture @GeMiNi2929 @campagna_rick @nick_hall88 @llevac47 pic.twitter.com/q9kWCZiYdT
— Suzanne Robertson (@suzmrobertson) March 26, 2018
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Stephen Beamish, diplômé du B.Com. en 1990, a choisi l’École de gestion Telfer pour de multiples raisons. Il explique que les trois principaux arguments qui l’ont persuadé étaient l’esprit de collaboration entre les étudiants et les enseignants qu’encourage l’École de gestion Telfer, les professeurs hautement qualifiés et les étudiants venant du monde entier pour y étudier.
Lorsqu’il songe à son expérience à l’École de gestion Telfer, Stephen se souvient avec émotion de ses projets de groupe, et plus particulièrement de celui auquel il a pris part avec cinq autres étudiants. En raison de la nature ambitieuse du projet, il a passé plusieurs longues soirées à travailler à sa réalisation aux côtés de son équipe, mais les pauses entre les séances de travail étaient conviviales et ont rendu le projet d’autant plus agréable. Collaborer avec d’autres étudiants pour travailler à l’atteinte d’un but commun était d’une grande importance pour l’étudiant dévoué qu’il était. Quand on lui demande quel était son cours préféré, Stephen répond qu’il s’agissait du cours de statistique enseigné par le professeur John Nash, car il était enseigné de manière dynamique et revêtait une grande importance et une grande pertinence pour le monde des affaires.
Selon Stephen, un outil fondamental qu’il a acquis lors de ses études à Telfer était la capacité à collaborer avec les autres, quel que soit leur personnalité, leur point de vue ou leur niveau de compétences. Tout comme dans le monde des affaires, Stephen n’était pas toujours en mesure de choisir avec qui il travaillait lors des projets de classe. Comme il le dit, « avoir appris à collaborer, à faire des compromis et à partager les responsabilités lors des travaux de groupes à l’École de gestion Telfer a été très formateur et m’a grandement aidé dans ma carrière professionnelle ».
Tout au long de son parcours professionnel, Stephen a mis un point d’honneur à travailler à un poste ou dans une entreprise qui contribue à aider les autres. Il travaille actuellement dans le domaine du marketing de haute technologie et se réjouit à l’idée de mettre des solutions de communication avancées à la disposition des communautés éloignées. Stephen s’attache également à donner le meilleur de lui-même dans tout ce dans quoi il s’implique. « Je pense qu’on peut facilement dire que l’École de gestion Telfer a grandement contribué à veiller à ce que je reçoive l’enseignement en gestion nécessaire pour me permettre d’exécuter du mieux possible mon travail au fil des années », déclare-t-il.
Après avoir obtenu son diplôme et pris quelques années sabbatiques pour voyager et vivre dans d’autres endroits du Canada, Stephen est retourné à l’École de gestion Telfer pour obtenir son MBA. Une fois son deuxième diplôme en poche, il a commencé à travailler dans le domaine du marketing de haute technologie et, de fil en aiguille, il a accédé aux postes de vice-président du marketing mondial et de vice‑président de l’équipe de développement commercial de Mitel. Au bout de 10 ans, Stephen a pris la décision de quitter Mitel afin de se rapprocher de sa famille et a fondé son propre cabinet, l’entreprise BlackTusk Business Solutions, dont il est le directeur général virtuel du marketing. BlackTusk Business Solutions a pour mandat de proposer aux entreprises un guichet unique pour la création et l’exécution de leur stratégie marketing auprès des clients.
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Selon le professeur Ika de l’École Telfer, « si le lieutenant-colonel John By avait su d’entrée de jeu qu’il devrait faire face à tant de difficultés, il n’aurait probablement jamais achevé ni même entrepris le Rideau Canal ».
Plus tôt en 2018, la Commission de transport régionale d’Ottawa-Carleton (OC Transpo) annonçait des retards dans ce qui est actuellement le plus important projet d’infrastructures à Ottawa, soit la ligne de la Confédération du réseau de train léger,. Cette nouvelle, qui n’a pourtant rien de surprenant, a néanmoins fait les manchettes et suscité de vives discussions dans les médias sociaux.
En réalité, nombre de projets dépasse les délais et les budgets prévus, et ne répond pas aux attentes. Les décideurs ont donc de bonnes raisons de s’inquiéter des sous-estimations et de l’excès d’optimisme de ceux qui conçoivent et mettent en œuvre de grands projets dans le secteur public. Dans ce contexte, la question se pose : cet optimisme exagéré est-il une bonne ou une mauvaise chose ?
Un mal pour un bien
Dans une récente étude publiée dans World Development, une revue de premier plan en développement international, le professeur Lavagnon Ika de l’École de gestion Telfer suggère que la sous-estimation des difficultés d’un grand projet est parfois souhaitable.
En effet, certains décideurs dits « pessimistes » préfèrent abandonner un projet dès le départ en raison des nombreux obstacles, tandis que leurs homologues plus « optimistes » vont se lancer dans un tel projet en faisant appel à leur créativité et réussissent à le mener à terme contre toute attente.
Tirer des leçons de l’histoire
L’histoire des mégaprojets regorge de cas comme celui du canal Rideau à Ottawa, cette merveille d’ingénierie qui figure aujourd’hui parmi les sites du patrimoine mondial de l’UNESCO a frôlé la catastrophe. En 1826, le lieutenant-colonel John By, membre des British Royal Engineers, amorce la supervision de la construction d’une route d’approvisionnement et de communication sécuritaire entre Montréal et Kingston.
Croyant avoir choisi la solution la plus rapide et la plus économique, le colonel By propose la construction d’un système de canal à plans d’eau. Les choses se compliquent néanmoins rapidement pour son équipe, qui se voit obligée de construire non seulement des écluses, mais également des barrages de régulation des eaux.
La suite des événements n’est que trop familière aux gestionnaires de projet d’aujourd’hui : des dépassements de coûts et des retards importants finissent par transformer le projet du canal Rideau en véritable cauchemar. Envers et contre tout, le colonel By réussit pourtant à construire le canal. Selon le professeur Ika, « s’il avait su d’entrée de jeu qu’il devrait faire face à tant de difficultés, il n’aurait probablement jamais achevé ni même entrepris ce projet ».
Soyez créatif et prenez des risques, tout en apprenant de vos erreurs
Une approche trop optimiste durant la phase de planification d’un projet a le mérite de stimuler les gens à relever le défi et à lancer le projet. Elle facilite également la suite des choses, lorsque les chefs de projet se rendent compte qu’un projet est plus complexe que prévu : « Leur détermination est telle qu’ils s’attaquent aux problèmes et réussissent, contre toute attente, à mener à bien le projet », explique le professeur Ika.
Le professeur conseille donc aux planificateurs et aux gestionnaires de projet de ne pas se restreindre aux approches conservatrices, qui dominent actuellement la pratique de la gestion de projet. Voici quelques conseils visant à adopter, au bon endroit et au bon moment, des approches plus risquées :
- Soyez entrepreneurial et créatif : la créativité est une compétence importante en gestion de projet.
- Évitez de faire preuve d’une prudence excessive : cette attitude entrave votre potentiel créatif et nuit à votre capacité de surmonter des obstacles au moment de la mise en œuvre d’un projet.
- Apprenez à prendre des risques en tirant des leçons de vos erreurs : vous serez ainsi mieux à même de gérer les nouveaux risques et de faire la part entre ceux qui sont acceptables et ceux qui relèvent de l’impossible.
Ika, Lavagnon A. (2018). Beneficial or Detrimental Ignorance: The Straw Man Fallacy of Flyvbjerg’s Test of Hirschman’s Hiding Hand. World Development, 103: 369-382.
- Catégorie : Actualités
Selon un vieux dicton, le courage est la première des vertus puisqu'elle rend possibles toutes les autres. À l'École de gestion Telfer, notre plus grande vertu est l'engagement puisqu'elle rend possibles toutes les bonnes choses.
Joignez-vous à nous ainsi qu'à d'autres diplômés de l'École Telfer pour une soirée sociale à Toronto! Ce sera une excellente occasion de renouer vos liens avec votre alma mater, faire du réseautage avec d’autres diplômés de la région de Toronto et apprendre les nombreuses façons de vous impliquer avec l’École Telfer. Des hors-d’œuvre et des boissons seront servis.
Au plaisir de vous y voir!
- Catégorie : Annonces Telfer
Les 23 et 24 mars, la 8e édition de la Conférence Legacy s’est tenue à l’hôtel Delta Ottawa City Centre. Partout, de Vancouver à Halifax, la Conférence Legacy 2018 a rassemblé plus de 700 mordus d’informatique, de gens d’action et de créateurs partageant les mêmes points de vue.
Cette année, des conférenciers venus de San Francisco, de New York et du Nebraska ont fait le déplacement, avec pour objectif commun d’inspirer la prochaine génération de passionnés de l’informatique. À l’occasion de la Conférence Legacy, ces interlocuteurs, que ce soit les fondateurs mondialement connus de la société de médias connaissant la plus forte croissance en Amérique ou le parrain canadien de la marijuana, ont fait part de leurs témoignages et ont encouragé les participants à la conférence à trouver le courage de se lancer, d’acquérir de nouvelles compétences et de nouveaux outils, et de trouver des cofondateurs.
Tout au long de la conférence, ces icônes de l’entrepreneuriat ont proposé des séances de mentorat de 15 minutes, au cours desquelles les participants ont pu leur poser les questions qu’ils souhaitaient, quelles qu’elles soient. Les participants ont eu l’occasion exceptionnelle d’interagir avec des avant-gardistes de l’acquisition de talents dans un contexte dynamique sans pression ni formalité.
L’un des attraits principaux de la conférence de cette année était les ateliers interactifs menés par les plus grandes entreprises au Canada, comme Microsoft et Shopify. « Why Should We Care about AI? » (pourquoi s’intéresser à l’intelligence artificielle), l’atelier organisé par Microsoft, a présenté les innovations révolutionnaires dans le domaine de l’intelligence artificielle et expliqué les influences qu’elles allaient avoir sur notre société dans les années à venir. Les participants ont également pu rencontrer des instructeurs de Soshal et du certificat en marketing numérique de l’École de gestion Telfer afin d’en apprendre plus sur les personas, la schématisation du parcours de l’utilisateur, les stratégies de marketing numérique, la gestion des relations avec la clientèle, la conception pour les spécialistes du marketing, la rédaction adaptée aux sites Web et aux applications, le référencement naturel et la conception de pages de renvoi.
La Conférence Legacy organisera l’atelier « The Legacy Bootcamp: Coding 101 » (atelier Legacy intensif : les bases du codage) en juin 2018 : à cette occasion, les participants pourront apprendre les compétences de base des langages HTML et CSS au cours d’une formation de 12 heures. De plus amples détails vous seront communiqués bientôt sur la page facebook.com/legacycon/.
- Catégorie : Engagement communautaire
Joingnez-vous à nous ainsi qu'à d'autres diplômés de l'École Telfer pour une soirée sociale, présentée par Mathieu Cloutier (B.Com. 1991), vice-président et gestionnaire chez TANK. Venez réseauter et en connaître davantage sur le succès fulgurant de TANK.
TANK est une agence montréalaise de renommée qui se concentre sur la performance de marque. Elle compte parmi ses clients de grandes entreprises telles que Pfizer et Corona.
Au plaisir de vous y voir!
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez