Tous nos diplômés sont d'accord pour dire que les stages et les projets de consultation sont des moments déterminants de leur passage à Telfer. Aidez-nous à donner à la prochaine cohorte d'étudiants la même chance. L’École de gestion Telfer est à la recherche d’organisations qui embaucheront nos étudiants et qui les mettront au défi dans le cadre d’une situation réelle du monde des affaires.
Il ne fait aucun doute que l'expérience sera enrichissante pour vous ainsi que nos étudiants. Tous les stagiaires et les équipes de consultation sont supervisés par un membre du corps professoral et ont accès à des données de pointe qui les outilleront à résoudre les problèmes les plus complexes de votre entreprise. Comptant, en moyenne, 7 ans d’expérience professionnelle à temps plein, ces futurs leaders vous donneront une nouvelle perspective sur vos enjeux et vous aideront à atteindre vos objectifs. Les stages et les projets de consultation incluent, entre autres, des projets d’exploitation des marchés, d’amélioration des processus, et d’évaluation d’initiatives stratégiques.
Au-delà de la portée d'un projet spécifique, si vous cherchez à agrandir votre équipe, c'est votre chance idéale de trouver du personnel qualifié et d'évaluer leur compatibilité dans votre milieu de travail. Oubliez les entrevues ennuyeuses !
Vous pensez avoir un projet pour nos étudiants? Communiquez avec Nathalie Paré par courriel à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 613-562-5800, ext. 4714. Elle vous guidera dans le processus et explorera les nombreuses possibilités que nos initiatives d'apprentissage expérientiel peuvent vous offrir.
Prêt à proposer un projet stimulant? Soumettez votre proposition en utilisant les modèles disponibles en ligne: Stages MBA ou Projet de consultation MBA.
Les profits, les personnes et la planète. Mieux connu sous le terme de « triple performance », ce concept se démarque par l’inclusion de certaines sphères, sociale et environnementale, dans l’exercice d’évaluation de la rentabilité d’une entreprise. C’est à partir de cette même vision que The Unscented Company, une gamme composée de produits corporels et ménagers sans parfum, voit le jour. Lancée sur le marché en 2016, cette marque s’appuie sur deux principes fondamentaux qui ont grandement inspiré la fondatrice et PDG, Anie Rouleau, dans le processus créatif de son entreprise. « Tout d’abord, il était important de redéfinir la notion de propreté en offrant exclusivement des produits naturels et sans parfum. Ensuite, les emballages devaient être conçus pour faciliter un mode de vie durable, et ce, dans le but de réduire de façon importante l’empreinte plastique collective. »
La philosophie d’Anie repose sur un modèle où la transparence, l’inclusivité et la responsabilité s’entremêlent. Plus concrètement, c’est « l’homme ou la femme qui maintient sa vision tout en restant en accord avec ses convictions profondes, et ce, même en période difficile » qui lui sert d’inspiration. D’ailleurs, c’est grâce à cette même vision innovatrice que l’entreprise d’Anie s’est vu octroyer la certification B Corp, faisant de The Unscented Company la première entreprise canadienne de produits corporels et ménagers à être certifiée.
« Je retrouve le vrai bonheur dans l’action de redonner. Je veux contribuer à un meilleur monde et j’aime bâtir l’entreprise de demain. » Ce même désir de faire une contribution à la société peut d’ailleurs être illustré par la Bourse d’échange international Anie Rouleau. Créée en 1999, cette bourse permet non seulement d’offrir à des jeunes la possibilité de poursuivre leurs études à l’étranger, mais encourage aussi les jeunes femmes à se tailler un chemin vers l’entrepreneuriat. « Chaque lettre de remerciement que je reçois des récipiendaires me rappelle à quel point il est important de redonner et de participer à la vie universitaire des jeunes. »
Pour la cinquième année consécutive, l’École Telfer est fière de parrainer le Prix d’excellence en leadership de l’APEX qui a été présenté au Symposium de leadership de l’APEX, tenu les 29 et 30 mai 2018 à Ottawa. Le prix reconnaît un cadre de la fonction publique qui a fait preuve d’excellence dans le domaine du leadership et qui présente un modèle de leadership. Le lauréat de cette année est M. Michel Doiron, sous-ministre adjoint à Anciens Combattants Canada. M. Doiron a reçu le prix devant plus de 800 participants au symposium. Le prix a été présenté par M. Michael Wernick, greffier du Conseil privé, M. Michel Vermette, Chef de la direction de l’APEX, et M. Glen Orsak, directeur des programmes pour cadres de l’École de gestion Telfer.
« Nous sommes fiers de travailler avec des cadres de la fonction publique et nous accueillons plus de 200 participants de la fonction publique dans nos programmes de leadership chaque année, affirme Glen Orsak. La mission de l’École est d’offrir des possibilités d’apprentissage et de perfectionnement qui transforment la capacité de leadership à l’échelle de la fonction publique fédérale. Nous sommes d’ailleurs fiers de parrainer un prix qui reconnaît l’excellence en leadership au sein de la fonction publique fédérale. »
Au sujet des programmes pour cadres de l’École Telfer
Les programmes pour cadres de l’École Telfer constituent le plus important fournisseur de programmes pour cadres et de programmes de développement du leadership dans la région de la capitale nationale, dont la portée s’étend à l’échelle nationale et internationale. Renseignements supplémentaires: programmes pour cadres de l’École Telfer.
Au sujet de l’APEX
Créée en 1984, l’APEX est dirigée par un conseil d’administration composé de quinze cadres de la région de la capitale nationale et de chacune des régions du pays. Toute la panoplie d’activités et d’initiatives de l’APEX visent à offrir aux cadres des occasions de développer une communauté de pratique solide, promouvoir leur santé physique et mentale, et appuyer leur excellence en leadership.
Nous sommes heureux d’annoncer les gagnants du premier concours vidéo des programmes d’échanges internationaux de l’École Telfer!
Le concours s’adressait aux étudiantes et aux étudiants de l’École Telfer qui ont participés à un échange international au courant de l’année 2017-2018 ou avant. Le concours avait pour but de promouvoir nos destinations d’échange, ainsi que de récompenser le talent créatif de nos étudiants.
De gauche à droite : Sarah E Downey, Debbie Fischer, Deanna Monaghan, Gabriel Bouchard-Phillips et Michelle Savoy
Dans le cadre du Gala de l’excellence 2018 de l’École de gestion Telfer, cinq diplômés remarquables recevront les médailles Trudeau, le prix Jeune Phénix et le prix Philos du doyen pour leurs contributions exceptionnelles au monde des affaires, aux soins de santé, à leur collectivité et à leur alma mater. Le gala, qui aura lieu au Centre Shaw le samedi 20 octobre 2018, est également l’occasion de célébrer collectivement l’École de gestion Telfer et de souligner l’anniversaire de la remise des diplômes des promotions de 1968, de 1978, de 1993 et de 2008.
Médailles Trudeau
Sarah E Downey, MGSS 1992
Sarah Downey est entrée au service du Michael Garron Hospital (MGH) (anciennement le Toronto East General Hospital) en tant que présidente et chef de la direction en 2015. Avant de joindre l’équipe du MGH, Sarah a occupé des postes de haute direction au centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) et au Princess Margaret Hospital du Réseau universitaire de santé. Elle travaille dans le milieu hospitalier, depuis 25 ans, suite à l’obtention de sa maîtrise en gestion des services de santé à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Tout au long de sa carrière, Sarah a eu la chance de diriger des programmes cliniques, des services de soutien et de grands projets de réaménagement. Sarah est aussi la présidente du conseil régional à Toronto pour les diplômés de l’Université d’Ottawa.
Debbie Fischer, MGSS 1979
Debbie Fischer a occupé des postes de haute direction dans divers domaines dont celui de la consultation professionnelle, des soins de santé et du fonction publique. Elle est actuellement dirigeante exécutive de KPMG où elle agit comme consultante en matière de changements organisationnels et de transformation de systèmes à grande échelle dans les secteurs de la santé et du secteur public. Debbie est membre de plusieurs conseils d'administration, dont les Instituts de recherche en santé du Canada, le Marché Éducationnel Collaboratif de l’Ontario, l’Hôpital général North York, le Health Care Advisory Council of GS1 et Pro-demnity.
Deanna Monaghan, B.Com. 1983
Deanna Monaghan est devenue associée chez EY en 1994 et a été associée directrice du bureau d’Ottawa pendant plus de 11 ans. En outre, elle est leader nationale des Services en certification du groupe Gouvernement et secteur public et leader du marché du groupe Certification d’Ottawa. Elle continue de faire du bénévolat dans la collectivité, notamment à l’Université d’Ottawa ou elle occupe le poste de présidente du Comité de vérification et est membre du Bureau des gouverneurs. Elle est également présidente du comité d’audit de la Fondation pour la santé mentale Royal d’Ottawa.
Prix Jeune Phénix
Gabriel Bouchard-Phillips, B.Com. 2005
Gabriel est associé et gestionnaire de portefeuille chez Van Berkom et associés, une société montréalaise spécialisée dans la gestion de portefeuilles d’actions à petite capitalisation boursière pour les grands fonds de retraite, sociétés, fondations et fonds de dotation d’Amérique du Nord. En tant que gestionnaire de portefeuille de l’équipe d’actions canadiennes à petite capitalisation boursière, il est responsable de la recherche fondamentale sur les titres d’un large éventail de secteurs du marché canadien des actions à petite capitalisation boursière.
Prix Philos du doyen
Michelle Savoy, B.Adm. 1982
Michelle Savoy est présidente de Quill Ridge Capital. Elle est une philanthrope engagée qui a siégé au Conseil des champions de Grands Frères Grandes Sœurs et au Conseil de la Fondation Investir dans l’enfance; elle a aussi coprésidé plusieurs activités de collectes de fonds liées à la santé mentale des adolescents. À l’heure actuelle, Michelle appuie les droits des femmes au sein de l’organisation Human Rights Watch et participe activement à l’organisme Women United de Centraide United Way. Michelle est une Activator à SheEO et présidente-directrice générale et fondatrice de GROW (Giving Ring of Women), un groupe composé de femmes qui se consacrent à l’apprentissage de la philanthropie, à aider les femmes canadiennes à atteindre l’autosuffisance économique et à créer une communauté de donatrices.
Une fois par an, l’Ottawa Business Journal (OBJ) rend hommage à des professionnels pour leurs accomplissements dans le monde des affaires en ajoutant leurs noms à la liste « Forty Under 40 » (40 professionnels de moins de 40 ans). Ces lauréats représentent la diversité économique, l’esprit d’entreprise et le dynamisme du monde des affaires d’Ottawa. Cette année, plus de 300 candidatures ont été soumises pour la 21e édition des prix et, pour la toute première fois, la majorité de ceux qui font partie de la sélection tant convoitée — 22 sur 40 — sont des femmes.
Parmi les lauréats cette année, dix sont des diplômés de l’Université d’Ottawa, dont six ont étudié à l’École de gestion Telfer. L’École souhaite féliciter les personnes suivantes :
Priya Bhaloo, B.Com. 2003
TAG HR
Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences commerciales de l’École Telfer en 2003, avec options en finances et en systèmes d’information de gestion, Priya s’est jointe à l’entreprise The Associates Group en tant qu’adjointe aux ressources humaines. Priya a appris toutes les facettes de l’entreprise au cours des années qui ont suivi et a finalement été nommée vice-présidente de la société de consultation en 2013.
Annik Blanchard est associée au bureau d’Ottawa de BDO et possède plus de 16 années d’expérience au sein de la profession comptable. Elle a obtenu son titre professionnel comptable en 2004 et elle est membre du Chartered Professional Accountants of Ontario. Elle est également membre de l’équipe de services en certification et comptabilité du groupe de bureaux de BDO à Ottawa, membre du groupe de travail sur les organismes sans but lucratif de la région de Lakeland en Ontario et responsable du contrôle de la qualité.
Nadine est chef déléguée de la gestion des risques à la Société canadienne d’hypothèques et de logement et est vice-présidente de la vérification depuis 2016.
Scott McLaren, B.Com. 2006
Festival Promotions
Scott a acheté Festival Promotions en 2009 et est devenu partenaire et président de la société. Puis, en 2016, il a fondé avec un ancien collègue étudiant de l'École Telfer l’entreprise Baron Hockey, qui offre à ses clients des bâtons de hockey haut de gamme sans profit sur le prix de détail.
Amy est vice-présidente des Affaires publiques, planification et médecine familiale. À ce titre, elle fournit du leadership relativement au processus de planification de Bruyère, à l’établissement de partenariats, au renforcement de relations externes et aux communications, et en assure la surveillance. Elle a plus de 12 ans d’expérience au sein d’équipes de haute direction dans la région d’Ottawa à Bruyère et au Centre de traitement pour enfants d’Ottawa.
Taylor est directeur de l’exploitation et vice-président des finances de l’entreprise spécialisée en technologies Fullscript du centre-ville. Depuis qu’il s’est joint au système en ligne de prescription et de livraison de produits de santé naturels en 2012, le nombre d’employés de l’entreprise est passé de 5 à 85 et l’entreprise s’est classée en 2016 et 2017 en tête de liste du classement de l’OBJ des entreprises dont la croissance est la plus rapide.
L’École de gestion Telfer souhaite également féliciter Jean-Michel Carrière, Samantha Iturregui, Anna Lambert et Sandra Sbrocchi, tous diplômés de l’Université d’Ottawa et figurant sur la liste.
Cette année, le gala des prix « Forty Under 40 » aura lieu le 15 juin 2018 à l’hôtel Hilton Lac-Leamy. Le programme de MBA pour cadres de l'École Telfer fait partie des commanditaires de cet événement où seront servis des cocktails, de la cuisine raffinée, le tout accompagné par de la musique et de la danse. Cliquez ici pour vous inscrire au gala « Forty Under 40 » 2018.
Le 24 mai 2018, trois conférenciers ont présenté des exposés impressionnants sur trois sujets uniques à l’occasion de l’événement d’apprentissage collaboratif des diplômés de l’École de gestion Telfer intitulé Tendances émergentes en matière de leadership et de gestion. Les trois exposés, qui portaient sur la cybersécurité, l’intelligence émotionnelle, et la diversité et l’inclusion, ont été suivis par une discussion entre experts et une séance de questions-réponses avec tous les participants.
Voici un récapitulatif de certaines des leçons retenues de chaque session.
La diversité et l’inclusion en milieu de travail
Justine Hendricks (MBA 2004), vice-présidence de Working Capital Solutions, Programmes de garanties et de cautions, Exportation et développement Canada
« Ce n’est pas parce nous sommes invités à une fête que nous sommes invités à danser. »
Afin de bien faire comprendre le concept de diversité et d’inclusion, Mme Hendricks s’est empressée de nous expliquer qu’elle ne parlait pas uniquement du genre et de l’ethnicité, mais également du besoin organisationnel d’employer un éventail de salariés avec des bagages professionnels et des mentalités différentes afin d’encourager l’innovation en milieu de travail.
Mme Hendricks a poursuivi en soulignant que la diversité sans inclusion n’était pas suffisante, que l’inclusion était une condition nécessaire à la réussite et que c’était quelque chose de difficile à atteindre au sein d’une organisation. Les entreprises où règne l’inclusion sont deux fois plus susceptibles de satisfaire ou de dépasser leurs objectifs, six fois plus à même d’être souples et innovantes, et ont huit fois plus de chance d’obtenir de meilleurs résultats opérationnels.
Tout au long de son exposé, Mme Hendricks a répété que ce n’était pas parce que nous étions invités à une fête que nous étions forcément invités à danser, une métaphore visant à expliquer qu’il est non seulement important d’écouter les propositions des employés, mais également de les mettre en œuvre, ce qu’un grand nombre d’organisations ont tendance à ne pas faire. Il est important de faire évoluer la culture d’entreprise, d’évaluer les résultats, de fixer des objectifs et d’observer si des changements se produisent dans des domaines clés.
Cybersécurité et tendances émergentes : quelqu’un s’apprête-t-il à pirater mon stimulateur cardiaque?
Mari Teitelbaum (MGSS 2010), vice-présidente, chef des services technologiques et dirigeante principale de l’information, CHEO
La cybersécurité est un sujet bien réel et est considérée comme une priorité par les organisations publiques et privées. Bien qu’il ait été possible par le passé de pirater un stimulateur cardiaque, aujourd’hui notre connaissance de ces possibilités d’intrusions rend les choses bien plus compliquées. Les pirates doivent être plus agiles et créatifs et savent bien comment exploiter les utilisateurs. Après tout, comme le mentionne Mari, le problème est humain et c’est grâce à lui que la porte s’ouvre. La solution réside donc dans la sensibilisation et conscientisation du personnel.
Au sein de CHEO et du secteur de la santé, bien qu’il n’y ait pas de transactions monétaires si importantes se déroulant, la confidentialité des patients et leur dossier médical constituent des sujets sensibles dont les données doivent être protégées à tout prix. Mari explique que bien des tentatives sont effectuées sur une base quotidienne afin d’atteindre les bases de données, mais c’est grâce à une stratégie de prévention et de gestion du risque qu’aucune intrusion n’est possible au sein de son organisation.
Il est essentiel de ne pas perdre de vue le risque, mais la clé réside dans la notion de partage du risque. Lorsqu’elle doit prendre une décision, Mari mentionne que le travail de son équipe est crucial dans l’élaboration de sa stratégie de prévention et c’est de pair avec le conseil d’administration qu’ils établissent les lignes directrices.
L’intelligence émotionnelle pour dépasser les conflits sur le lieu de travail
Manali Haridas Scott, formatrice en bien-être spirituel
L’Intelligence émotionnelle débute par la connaissance de soi. Ce sont les premiers mots qu'énonce Manali tout en abordant la différence entre le quotient intellectuel (Q.I.) et l’intelligence émotionnelle (IE). Bien que les deux contribuent grandement au développement de chacun, c’est l’intelligence émotionnelle qui permet de faire face aux multiples défis de chaque jour.
Manali mentionne à plusieurs reprises qu’une personne adoptant des pensées négatives continues affecte négativement l’individu au point d’inhiber le cerveau et allouer à ce dernier une pensée ultimement rationnelle. Il faut donc se conditionner à penser positivement afin de conserver un équilibre et une meilleure capacité à gérer l’imprévu et les situations demandant un engagement émotionnel.
Ses conseils? Soyez ouvert et curieux, oubliez les anciens modèles émotionnels et apprenez-en de nouveaux. Lorsque vous êtes face à l’échec, pratiquez l’autodiscipline et la compassion, vivez le moment présent et allez de l’avant. En somme, les conseils sont multiples, mais cinq facteurs de réussite résument bien ces leçons : trouvez la solution, notez, conciliez, regroupez-vous et soyez heureux.
La croissance de la population et le vieillissement de la main-d’œuvre complexifient notre système de soins de santé. Les marges des hôpitaux sont de plus en plus surveillées, ce qui rend encore plus important de performer à un haut niveau, d’améliorer l’efficacité et de fournir des soins de meilleure qualité aux patients.
Heureusement, la création de notre option en Analytique en soins de santé cherche à combler ce besoin, comprenant que les systèmes de santé subissent une transformation sans précédent alimentée par la numérisation des services et des investissements dans les technologies de l’information en santé.
Lancée en septembre 2018, notre option du B.Com. en Analytique en soins de santé est un sujet fondé sur le rôle crucial que jouent les données, l’ingénierie des systèmes, la gestion, et l’innovation organisationnelle dans l’amélioration de la qualité et de la rapidité de prestation des services dans un système de santé performant. Ce domaine répond à un besoin de développer une expertise pour créer les capacités de recherche et de formation requises pour transformer les soins de santé en un système qui adhère aux principes des soins centrés sur le patient et de la médecine participative.
Selon Jonathan Patrick, professeur agrégé et directeur de programme de la M.Sc. en systèmes de santé à l’École Telfer, cette nouvelle option est l’occasion idéale pour les étudiants du secondaire de poursuivre leur programme de premier cycle en affaires tout en se forgeant une carrière qui produit des répercussions sociales. Alors que le programme se concentre sur des sujets tels que l’analyse quantitative et la gestion des données, il introduit aussi les défis de leur application au facteur humain du domaine de la santé: des patients avec de la volonté et de l’esprit.
Le programme intègre un projet de 4e année dans lequel les étudiants doivent résoudre un problème de système de santé en utilisant des outils d’analyse d'affaires, ce qui donne un avantage concurrentiel aux diplômés de cette option. Les possibilités de carrière sont illimitées, que ce soit avec les réseaux locaux d’intégration des soins de santé (RLISS), les organismes d’agréments, l’administration hospitalière ou les cabinets d’experts-conseils en analytique. Alternativement, les étudiants intéressés par la recherche peuvent poursuivre leur M.Sc. en systèmes de santé.
Étant l’un des seuls établissements au Canada à offrir ce type de programme au niveau du premier cycle, l’École se différencie avec l’option en Analytique en soins de santé et nous prévoyons une croissance exponentielle au cours des prochaines années.
Après un mandat de quatorze ans à l'École de gestion Telfer, Alain Doucet, doyen adjoint (relations externes), quittera ses fonctions à l'Université d'Ottawa pour relever de nouveaux défis. Il a été nommé nouveau président et chef de la direction du Collège canadien des leaders en santé.
Le dernier jour d'Alain à l’École Telfer sera le 30 juin et il débutera son rôle au Collège le 20 août 2018.
Durant son mandat à l'École de gestion Telfer, Alain a eu un impact considérable sur le marketing, l'engagement, la collecte de fonds et le développement. Entre autres, notons la négociation du don transformateur de Ian Telfer et de 80 dons majeurs, plus de 70 millions de dollars amassés pour les priorités de l'École, et un engagement accru auprès des diplômés partout au Canada et dans plusieurs marchés mondiaux.
« Son engagement, son dévouement et ses contributions remarquables au cours des quatorze dernières années sont éloquentes et témoignent de sa passion pour son alma mater, mais aussi de son grand talent et de son leadership » mentionne François Julien, doyen à l’École Telfer. « Nous lui souhaitons beaucoup de succès avec ses nouveaux défis et espérons collaborer avec lui dans ses nouvelles fonctions. »
Le Camp des recrues RBC se déroulait récemment dans plusieurs villes de l’Ontario en quête de prochains espoirs olympiques. L’un des participants, l’étudiant de deuxième année en comptabilité à l'École Telfer, David Ephraim Butumbi a impressionné les meilleurs entraineurs et représentants sportifs du pays par sa vitesse, sa puissance, sa force et son endurance lors des compétitions. Il a été sélectionné pour participer à la finale de l’Ontario du Camp des recrues RBC qui aura lieu au Centre sportif Toronto Pan Am le samedi 2 juin 2018. David se mesurera aux 100 meilleurs athlètes de l’Ontario et s'est préparé à temps plein depuis cinq semaines et ne vise rien d’autre que de sortir vainqueur.
« Je n’avais pas d’ambition au départ mais elle s’est dessiné d’elle-même. Je suis plus qu’ambitieux, si j’ai pu être en finale ce n’est pas par hasard. Il y a quelque chose que je dois exploiter et il n’est pas trop tard pour moi », explique l’athlète de 21 ans.
L’athlète amateur qui gère sa propre page Instagram (@Dev_ephr) offrant des astuces pour développer la flexibilité corporelle, la force et l'endurance explique que c’est ce qui a servi de point de départ pour le motiver à participer au Camp des recrues.
« Lorsque j’ai vu l’annonce, je me suis dit voilà un test pour moi pour voir si je suis à la hauteur ou pas ».
Fort de ses expériences lors de championnats de soccer et suivant les conseils de ses amis entraineurs, David s’entraine avec acharnement dans le Centre de haute performance des athlètes des Gee-Gees et anticipe la prochaine étape avec impatience. Sollicité par certaines équipes interuniversitaires des Gee-Gees, il concentre actuellement toutes ses énergies sur la compétition du Camp des recrues RBC.
« Je ne suis pas encore décidé mais je crois que tout va se dessiner après ce weekend. La seule chose à laquelle je pense actuellement est la finale ».
Consultez le site web du Camp des recrues RBC pour d’autres détails sur la compétition.
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
