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Vous êtes un étudiant international qui doit choisir sa prochaine université partenaire? L’École de gestion Telfer vous fait de l’œil et vous voulez connaître mon avis en tant qu’étudiante Française sur mon expérience de quatre trimestres ici? Alors ne vous inquiétez plus, vous êtes au bon endroit pour avoir vos réponses.
Dans ce blog, je vais couvrir l’ensemble des questions que m’ont posées les étudiants de KEDGE Business School (mon école de commerce en France) qui devaient choisir leur université partenaire parmi une quinzaine proposée.
Je suis moi-même passée par là et je sais à quel point il peut être stressant de choisir l’endroit où vous allez passer les prochaines années de vos études, surtout quand cela peut être de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada, dans une université reconnue.
LA VIE SCOLAIRE
À Telfer, il y a le trimestre d’hiver, celui d’été et celui d’automne. Pour ma part, j'ai participé à ceux d’hiver et d’automne. Un trimestre équivaut à environ 3 mois de cours. Les cours commencent début janvier, se terminent début avril, et les examens commencent à la mi-avril jusqu’à la fin avril. Vous avez une semaine de vacances mi-février que vous pouvez utiliser comme semaine de révision pour vos partiels de mi-session qui sont juste après. Pour le trimestre d’automne, c’est pareil : les cours commencent début septembre, et se terminent début décembre pour faire place aux partiels à partir de la mi-décembre, jusqu’au dernier vendredi avant les vacances de Noël. La semaine d’étude est à la mi-octobre. Sachez donc que vos vacances d’été durent 4 mois. Profitez-en pour faire des stages, prendre un emploi étudiant (ou bien juste vous reposer 4 mois au bord de la piscine 😉).
Chacun des 5 cours sont enseignés en 30 h sur le trimestre. Il y a 15 h de cours par semaine, cela vous donne des semaines assez légères en termes de temps passés en cours, ce qui peut vous permettre d’avoir un job étudiant à côté. Le travail personnel est selon moi assez conséquent.
Le partenariat entre mon école et Telfer comprend le fait d’avoir 60% des cours en français et 40% en anglais car Telfer souhaite garder cet esprit bilingue français-anglais, propre à la culture canadienne. Sachez que de mon point de vue, cela n’a que très peu affecté mon niveau d’anglais, car je l’ai plutôt amélioré grâce à mes rencontres avec des étudiants internationaux, et la vie de tous les jours en général.
Concernant les cours, lors des deux premiers trimestres, les 5 cours sont obligatoires et non sélectionnés par l’étudiant, puis pour les deux derniers trimestres, vous avez deux cours obligatoires et 3 cours que vous choisissez vous-même. Dans l’ensemble j’ai trouvé les professeurs intéressants, passionnés, et à l’écoute.
Si vous avez peur de ne pas passer un cours lors des examens de mi ou de fin de session, ne vous inquiétez pas; vous ne redoublerez pas. Vous allez simplement reprendre le cours le trimestre suivant afin de le retravailler, et d’obtenir la note de passage.
MES CONSEILS POUR LES LOGEMENTS
Concernant les logements, vous pouvez aller en résidence étudiante sur le campus pour le premier trimestre (plus d’informations sur les résidences étudiantes). C’est ce que j’ai fait et selon moi, c’est la meilleure façon d’être au cœur de la vie étudiante et de vivre avec des étudiants internationaux. J’étais dans la résidence Marchand. Vous pouvez avoir une chambre seul ou à deux. Certes, les chambres sont petites et les salles de bain sont à partager, mais vous vivrez une véritable expérience d’étudiant en échange universitaire au Canada. J’ai beaucoup amélioré mon anglais durant ce trimestre et j’ai fait de superbes rencontres.
Pour les trimestres suivants, vous connaîtrez mieux la ville, donc si l’expérience de résidence étudiante ne vous a pas plu, ou que vous souhaitez changer, vous pouvez louer une maison avec plusieurs autres étudiants (c’est toujours mieux d’être avec des étudiants internationaux pour améliorer votre anglais). Je vous conseille de regarder sur Kijiji pour rechercher des maisons à louer, ou bien d’aller sur les groupes Facebook « Apartment Rentals OTTAWA » ou « Ottawa Housing, Rooms, Flats, Apartments, Sublets ».
Les prix des loyers varient mais globalement, pour un appartement en plein centre, vous en aurez pour environ 600€ ou USD $690. J’étais dans une colocation à 5 dans le quartier « Golden triangle », à 15/20 minutes de l’Université à pieds et je payais 500€. La vie est en moyenne similaire au coût de la vie en France concernant les courses. Je ne prenais jamais les transports (même l’hiver à -20°C, il faut être vaillant 😉). Concernant les quartiers où chercher un appartement, je vous conseille Golden Triangle, Sandy Hill, ou encore Lower Town.
LA VILLE D’OTTAWA ET SA VIE ÉTUDIANTE
Ottawa est peut-être la capitale du Canada, mais la ville reste très tranquille, et familiale. Tout est concentré dans le centre-ville. Vous trouverez différents musées, le Marché By - qui est un endroit avec des cafés, des bars/boîtes de nuits, et des petits commerçants (et surtout des bonnes queues de castor de BeaverTails!). Tout près de l’université, il y a un très grand centre commercial, le Centre Rideau. Ottawa est aussi et surtout connu pour le canal Rideau qui gèle en hiver et devient la plus grande patinoire extérieure au monde. Il y a aussi le parc de la Gatineau, de l’autre côté de la rivière à Gatineau au nord de la ville, qui est un endroit splendide que j’ai eu la chance de découvrir avec les magnifiques couleurs automnales et qui est rempli de lacs et de balades. De plus, Montréal se trouve à seulement deux heures de bus. Enfin, je vous conseille vivement le Parc Oméga, une réserve naturelle où vous pouvez voir des animaux tels que des ours, loups, bisons, renards…
La vie à Ottawa en tant qu’étudiant ne sera pas aussi mouvementée que celle à Montréal ou Toronto par exemple, mais il suffit d’être bien entouré (avec plus de 40 000 étudiants sur le campus, vous pouvez facilement faire des rencontres) et de participer aux soirées organisées par l’Université pour la vivre pleinement.
L’Université d’Ottawa propose de multiples sorties organisées à faire entre étudiants (lorsque possible), comme un week-end prolongé à New York, à Chicago, ou autre.
Enfin, ce qui ne manque pas sur le campus ce sont les installations sportives et en tant que passionnée de sport, cela m’a ravie : deux salles de sports immenses, une piscine olympique, un terrain de hockey, de football américain (soccer), plusieurs gymnases, etc.
COMMENT PALLIER AVEC LE FROID CANADIEN? (Vu sous l’œil d’une dépendante à la chaleur)
En hiver, à Ottawa, il fait froid, très froid! Les températures varient entre 0°C et -20°C (pour les plus chanceux, vous pouvez même tomber sur des tempêtes hivernales et vivre sous les 30°C). Mon meilleur conseil est de vous fournir en vêtement d’hiver en arrivant au Canada, surtout en ce qui concerne les manteaux d’hiver et les pulls. J’ai acheté mon manteau d’hiver chez Aritzia (regardez aussi chez SportCheck ou Canada Goose, pour les gros budgets, au Centre Rideau), les prix sont plus bas que si vous l’achetez en France et surtout, les magasins canadiens proposent des produits bien plus adaptés. En ce qui concerne les sous-pulls thermiques, les collants à mettre sous les pantalons, les gants, les bonnets et autres je vous conseille UNIQLO. Pour les chaussures, vous en trouverez beaucoup sur place qui font l’affaire, mais personnellement j’ai choisi les Timberland montantes et j’en étais très satisfaite.
VOUS ÊTES EN AMÉRIQUE, VOYAGEZ!
Beaucoup me demandent si j’ai eu l’opportunité de voyager pendant mon séjour canadien. Je pense que ces gens n’ont pas consulté mon blog voyage 😉! Je suis une amoureuse du voyage et vivre à Ottawa vous permet de vous rendre à pleins d’endroits sympas pour beaucoup moins cher que si vous partiez d’Europe. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais en un an, j’ai eu la chance d’aller à Montréal, à Toronto, aux chutes du Niagara, à New York (7/8h de bus depuis Montréal), au Mexique (Tulum, Cancún), à Miami et Orlando. Mon périple s’est arrêté là, à cause de la COVID-19 (ce n’est que partie remise!).
J’espère sincèrement que toutes ces informations vous seront utiles si vous êtes un futur étudiant international en échange universitaire au Canada, et que j’aurai répondu à la majorité des questions que vous vous posez. Si vous désirez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter! Mon mail est
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Comme beaucoup d’étudiants, les diplômés du programme intensif du MBA Telfer font face à des défis et à des opportunités sans précédent alors qu’ils réintègrent le monde du travail lors d’une pandémie mondiale. En tant que diplômé du programme de MBA pour cadres de l’École de gestion Telfer et mentor au MBA, Brad Smith, directeur du cabinet 96 West Consulting, comprend la transition à laquelle font face les étudiants. Il a donc voulu aider les nouveaux gradués et autres diplômés en créant et animant un atelier post-MBA.
À titre de formateur en matière de carrière et mentor, Brad est un leader en accompagnement de professionnels en transition de carrière, en exercices d’autoréflexion et en développement de plans d’action. Le 6 octobre 2020, il est revenu virtuellement à Telfer afin de partager son expertise dans le cadre d’un atelier post-MBA qui portait sur deux objectifs : reconnaître et respecter les transitions, et réfléchir aux ambitions professionnelles et à l’élaboration de plans d’action pour réaliser ses objectifs.
Au cours de l’atelier virtuel, Brad a établi un lien avec les participants en parlant de son expérience de transition suite au programme de MBA pour cadres. Il a insisté sur l’importance de tenir compte et de respecter la zone neutre entre la fin du programme du MBA et un nouveau départ à venir. Les participants sont impatients de poursuivre leur réflexion avec Brad dans les semaines à venir, en prenant le temps de revenir sur les exercices de l’atelier et en développant leur plan d’action personnel.
« L’atelier avec Brad fut une formidable expérience qui m’a aidé à justifier et à normaliser les émotions que je ressentais depuis la fin de mon MBA en août. Les transitions sont déjà difficiles en temps normal, mais encore plus lors d’une pandémie mondiale; Brad nous a fourni les outils pour faciliter notre transition d’étudiant à professionnel. J’ai hâte de mettre en pratique ces connaissances pour mon développement personnel et professionnel. », a déclaré un diplômé qui a participé à l’atelier.
L’année 2020 a apporté son lot de défis, mais avec l’aide de la Telfer Nation, les participants à l’atelier sont en mesure de se concentrer sur leurs objectifs avec une grande agilité et résilience, tout en frayant un chemin à une nouvelle réalité en constante évolution.
Brad Smith a obtenu son diplôme du MBA pour cadres en 2004 et est très impliqué au sein de l’École de gestion Telfer en tant que diplômé et mentor au MBA. Après une brillante carrière à Postes Canada, il a fondé 96 West Consulting inc. avec pour mandat de faire part de ses expériences afin d’aider les entreprises à évoluer plus rapidement et les dirigeants à se développer. Son intérêt pour le développement professionnel et l’accompagnement en matière de carrière a permis à ses mentorés et aux récents diplômés du MBA intensif de vivre une expérience inestimable.
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En tant qu’étudiant à l’université, il y a de nombreuses possibilités d’emplois à ta disposition. Cependant, les étudiants ont beaucoup à faire, notamment étudier, découvrir leurs préférences, se faire des amis et souvent, travailler à temps partiel. Avoir un emploi tout en étant aux études présente un avantage rémunéré évident, mais il offre aussi aux étudiants l’occasion d’acquérir des compétences utiles et d’ajouter des choses à leurs CV.
Est-ce que tu es intéressé à travailler pendant tes études? Tu devrais prendre en considération les emplois formidables offerts sur le campus! Ils sont très variés, donc il est certain que tu trouveras un poste à ton goût, et qui pourrait même être connecté à ton programme universitaire. Ces emplois sont une bonne source de revenus et offrent un horaire flexible en ce qui concerne les horaires des examens et des cours. Ils sont également intéressants pour les étudiants internationaux qui ont moins d’options hors campus.
Mon expérience
J’ai occupé plusieurs postes sur le campus pendant mes études. J’ai travaillé au Centre d’aide à la rédaction des travaux universitaires de l’Université d’Ottawa où j’ai aidé les étudiants à améliorer leurs compétences en rédaction (un service gratuit que je vous encourage à utiliser). Cet emploi m’a beaucoup appris sur la grammaire, sur les bonnes structures de rédaction, sur la façon de trouver de bonnes ressources et sur comment bien citer des sources. J’ai eu l’occasion d’enseigner à des étudiants avec des expériences variées.
J’ai aussi occupé le poste d’assistante à l’enseignement, correctrice et surveillante d’examen pour l’École de gestion Telfer. J’ai beaucoup appris de ces postes. Par exemple, en aidant à diriger des groupes de discussion et à expliquer le matériel d’un cours de comptabilité, j’ai vraiment amélioré ma propre compréhension des concepts et du cours en général. Je suis sûr que ces compétences me seront utiles à l’avenir comme la comptabilité est mon domaine d’étude.
J’ai également été une guide pour les étudiants internationaux pour le programme de mentorat de Telfer, qui aide les étudiants de première année dans leur passage du secondaire à l’université. J’ai adoré faire partie de ce programme! L’équipe est formidable, et les étudiants avec lesquels nous travaillons viennent du monde entier. De plus, j’ai vraiment aimé aider les étudiants et faire part de ma propre expérience universitaire.
Où trouver ces emplois
- Régime travail-études : J’ai trouvé le poste de conseiller en rédaction à travers le régime travail-études, qui a un portail dans uoZone où l’on trouve toutes sortes de postes, d’assistant-bibliothécaire à technicien de laboratoire.
- Portail pour assistant à l’enseignement/correcteur/surveillant : On retrouve ces emplois dans le portail virtuel. Le lien est envoyé par courriel à tout le monde peu de temps avant le début de chaque session (moment où l’on peut poser notre candidature).
- Sites de recherche d’emploi Telfer : La demande d’emploi pour le programme de mentorat de Telfer se trouve sur le site web du Centre des carrières, ainsi que d’autres postes.
En ce qui concerne les activités sur le campus, les gens pensent souvent à des activités bénévoles ou des clubs et négligent les nombreux postes rémunérés offerts par l’université. Si tu souhaites gagner un peu d’argent tout en démarrant ta carrière, je t’invite à profiter des possibilités d’emploi à ta disposition!
Photo de couverture par Julia M Cameron provenant de Pexels
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Qu’il s’agisse des clubs étudiants, de la qualité de l’enseignement ou du développement personnel et professionnel, étudier à l’École de gestion Telfer est une expérience unique.
Les étudiants en parlent avec fierté et il est évident qu’être membre de la Telfer Nation signifie avant tout faire partie d’une communauté exceptionnelle au sein de la grande famille de l’Université d’Ottawa.
Voici les 3 raisons qui, selon moi, font de Telfer une faculté si spéciale :
1- Étudier en anglais, en français ou dans les deux langues officielles
L’Université d’Ottawa est considérée comme étant la plus grande université bilingue (anglais-français) du monde. En tant qu’étudiant international et originaire d’un pays francophone, venir étudier à Telfer dans la ville d’Ottawa était la meilleure manière pour moi d’améliorer mon anglais, tout en étudiant en français. La plupart des cours sont offerts dans les deux langues, ce qui constitue un avantage considérable en terme de bilinguisme.
2- Développement personnel et professionnel
Au-delà de la formation universitaire, je pense qu’une université doit être en mesure de contribuer au développement personnel et professionnel de ses étudiants. Ce critère en a été un de choix lorsque j’étais au secondaire et que j’ai fait mon choix d’université.
Ainsi, en plus de pouvoir s’inscrire au programme d’enseignement coopératif, l’École de gestion Telfer offre également différentes options intéressantes comme le Programme sur les marchés financiers (CMP) pour les étudiants en finances, le Programme de mentorat ou encore le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) pour les étudiants intéressés par la consultation, pour ne citer que ceux-là.
De plus, grâce au Centre des carrière de l’École de Gestion qui organise une multitude d'événements avec des employeurs et qui accompagne les étudiants de Telfer pour tout ce qui relève du développement professionnel (CV, lettre de motivation, entrevue, etc.) on se sent bien outillé à entrer sur le marché du travail et à tirer profit de nos connaissances académiques.
Enfin, les associations et clubs étudiants sont les éléments qui forgent le plus l’identité de l’École de gestion Telfer. Les étudiants impliqués dans la dizaine de clubs à Telfer organisent chaque année une multitude d’activités sociales et d’évènements de réseautage, participent à des compétitions et contribuent au rayonnement de notre faculté sur le plan national. C’est aussi une bonne manière pour les étudiants de rencontrer d’autres personnes avec des intérêts communs et de se bâtir un réseau pour l’avenir.
3- Le RTE (Le régime travail-étude)
Bien qu’il ne soit pas exclusif à l’École de gestion Telfer, le Régime travail-études offert par l’Université d’Ottawa constitue selon moi l’une des meilleures opportunités offertes aux étudiants. En tant qu’étudiants, il est souvent difficile de concilier nos études et notre vie personnelle, mais cela devient encore plus difficile quand il faut trouver un emploi. De ce fait, le RTE permet aux étudiants de trouver un emploi rémunéré, administratif ou non, sur le campus et à seulement quelques minutes de leurs salles de cours.
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Lorsqu'on est au lycée, il est difficile pour tous, et particulièrement pour les étudiants internationaux, de trouver le programme d'étude universitaire qui nous convient le plus. Face à la multitude de possibilités qui s'offrent à nous, aussi bien en terme de programme d'étude que du choix de la ville et de l'université, cette tâche s'avère stressante et éprouvante. Pour ma part, je viens de la Côte d'Ivoire en Afrique de l'ouest, et je suis venu au Canada pour la première fois en 2017 pour y faire mes études.
À ce moment – et je pense que c’est le cas pour beaucoup d’étudiants – je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard, que ce soit pour ma future carrière ou pour mes études universitaires. Je me contentais d’avoir de bonnes notes sans vraiment me rendre compte que seulement quelques années me séparaient de l’université. Arrivé en dernière année de lycée, j’ai commencé à ressentir la pression lorsqu’il a fallu que je choisisse une université et un programme d’étude, et cela n’a pas été de tout repos.
Trouver mon programme
Au départ, le choix de l’université s’est fait assez facilement. Mon frère était déjà étudiant à l’Université d’Ottawa, alors c’était le choix évident pour moi également. Cependant, le plus grand défi a été de me trouver un programme d’étude. Pendant mes recherches, je me suis rendu compte que l’une des choses que j’aimais le plus faire pendant mon temps libre était de lire et de me renseigner sur les entreprises et leurs fondateurs, non pas pour les activités et les services qu’elles offraient, mais surtout pour leur histoire et le processus ayant conduit au succès de ces entreprises.
La seule option qui, selon moi, se rapprochait de cet intérêt était de faire des études en gestion. Je me suis donc inscrit à Telfer en management en ayant à l’esprit d’être un jour mon propre patron. Au bout d’une année d’étude, j’ai appris qu’il y avait une option complémentaire en entrepreneuriat dans ma faculté. C’était une option parfaite pour moi, d’autant plus que les choix de cours étaient liés à mes champs d'intérêt et qu’elle me permettait de finir mon bac dans le même temps. J’ai donc complété mon inscription et ça a été pour moi un pas de plus dans mon parcours universitaire vers la carrière que je souhaite bâtir.
Aujourd’hui, en 3e année du bac, après avoir débuté mes cours de l’option, je peux affirmer que mon ambition d’entrepreneuriat se confirme de jour en jour. L’aspect pratique de ces cours était ce qui me manquait dans la plupart de mes cours théoriques. J’ai eu l’occasion, par exemple, d’analyser un film relatant la vie d’un entrepreneur, de participer à une conférence sur l’entrepreneuriat, et même de rencontrer un entrepreneur avec qui j’ai discuté de son parcours dans le but de rédiger un rapport.
D’une passion à une carrière
Toutes ces activités étaient des choses que j’avais l’habitude de faire ou que j’ai toujours voulu faire et j’estime que cela me permettra de développer des compétences importantes comme le travail d’équipe, la créativité ou l’esprit d’initiative qui, à la longue, me seront très utiles lorsque je me lancerai en affaires.
Pour le moment, bien que je n’aie pas encore trouvé mon idée d’entreprise, je suis déterminé et je sais qu’un jour j’atteindrai mes objectifs. On s'en reparlera un jour!
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Le terme le plus redouté par la communauté des écoles de management. Tout le monde en parle, tous vos professeurs l'évoquent en classe, chaque événement en comprend une partie. Mais en réalité, qu'est-ce que le réseautage?
Qu’est-ce que le réseautage?
Je n'ai pas aimé l'idée du réseautage pendant mes deux premières années d'école de gestion. C’était intimidant, pas naturel et ne valait vraiment pas l’anxiété sociale qui l’accompagnait.
Mais de quoi s'agit-il? Techniquement, tu connais la réponse. On te dit que c'est d’aller à la rencontre de nouveaux amis, de professionnels et d'autres adultes dans le but de bâtir un réseau qui t’ouvrira les portes à des opportunités d'emploi quand tu seras diplômé, ou quelque chose de ce genre. La vérité est que le réseautage est bien plus que ça.
Tu penses que le réseautage ressemble à ça :
En vérité, il ressemble plus à ça :
Les opportunités sont nombreuses
Le réseautage est une activité aléatoire, mais qui fait partie de notre vie quotidienne. Ça consiste simplement à établir une connexion avec quelqu'un. N'importe qui. C'est dire "Bonjour" à la personne qui se trouve à côté de toi en classe; c’est engager des conversations avec tes coéquipiers de projets de classe; c’est aller voir ton professeur à ses heures de bureau. Vraiment, c'est aussi simple que ça. Alors, pourquoi on s’en préoccupe autant?
Je le vois comme une expérience d’apprentissage, que ce soit lors d’activités de réseautage, de rencontres fortuites ou en conversation en ligne. Je tisse des liens avec des personnes qui pourront m’apprendre quelque chose : sur comment ils ont obtenu leur emploi actuel, sur leur parcours professionnel, sur comment ils se sentent par rapport à l’association étudiante dont ils font partie, ou quels sont les outils qu’ils utilisent pour réussir à tout accomplir tout en étant aux études à temps plein.
Comme tu peux le constater, les gens peuvent nous apprendre beaucoup de choses et la plupart d’entre eux veulent aider, faire part de leur expérience et te donner l’occasion d’apprendre d’eux.
Sois toi-même
Ce que je préfère, c’est que ça n’a pas besoin d’être intimidant ou artificiel. L’essentiel, c’est de souhaiter créer une véritable connexion avec une personne en particulier. De cette façon, la conversation est plus honnête, intéressante et naturelle. À la fin, tu auras appris quelque chose de nouveau, tu auras tissé des liens, et encore mieux, tu l’auras fait sans te rendre compte que tu réseautais.
Des connexions pour ton avenir
Alors, comment réseauter? J’en fais en contactant des personnes sur LinkedIn qui ont actuellement le travail de mes rêves, qui travaillent pour une compagnie où j’espère travailler un jour, ou qui poursuivent actuellement des études que je voudrais faire dans le futur. Je communique avec cette personne tout en me présentant et en donnant la raison pour laquelle je la contacte. Habituellement, ils acceptent toujours ma demande et sont ravis de prendre un café ou de parler au téléphone.
Par conséquent, le réseautage n’est pas aussi intimidant qu’on le pense. Sois toi-même, essaie de converser avec des personnes que tu ne connais pas pour apprendre quelque chose de nouveau, et ainsi tu auras élargi ton réseau. C’est magique!
Tu ne sais jamais ce qui t’attend avec ces rencontres. Un jour lorsque tu auras besoin d’un emploi ou voudras participer à une activité ou un événement, tu pourras demander l’aide d’une personne que tu as rencontrée en faisant du réseautage et ils seront surement ravis de t’aider à accomplir tes objectifs.
Tout le monde fait partie d'un réseau, qu'il le sache ou non. La différence, cependant, est que lorsque les gens saisissent toutes les occasions qui leur sont offertes d'apprendre et d'entrer en contact avec de nouvelles personnes, ils peuvent alors manifester les opportunités qui se présentent à eux.
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Les entrevues sont souvent angoissantes, surtout pour un étudiant coop qui espère se démarquer. La question que nous redoutons souvent lors d’une entrevue est : « Parlez-moi de vous ». Lors de ma dernière ronde d’entrevues pour mon stage coop, j’ai décidé de demander aux employeurs ce qui rendait les étudiants mémorables, et pour la plupart c’était la personnalité.
Un employeur a indiqué : « les notes sont importantes pour définir les compétences, mais nous recherchons une connexion. Cela signifie parfois qu’il faut sacrifier la MPC pour la personnalité et l’engagement parascolaire ». Plus facile à dire qu’à faire, pas vrai? J’ai souvent essayé d’être la candidate idéale pour le poste, mais en fait c’est l’inverse. Voici une liste de conseils pour t’aider à te détendre et à être toi-même :
1. Écoute bien la question et répond sans réciter un scénario
Commençons par la façon dont nous répondons aux questions. Selon plusieurs employeurs, les étudiants négligent souvent de répondre à la question parce qu’ils sont trop concentrés à réciter un scénario qu’ils ont mémorisé. Écoute plutôt attentivement ce que le recruteur te demande exactement (prends-en note si tu peux). Prends un moment pour formuler une réponse concrète avec un exemple pertinent. Il est suggéré d’avoir une liste de plusieurs histoires professionnelles en tête. Tu auras ainsi la possibilité de répondre aux questions honnêtement.
2. Ajoute des anecdotes personnelles pertinentes quand tu le peux
Rassembler tes idées pour préparer une réponse peut déclencher un souvenir connexe. Par exemple, tu pourrais mentionner que lors de ton voyage en France, tu t’es forcé à ne parler qu’en français avec les locaux, même si cela te mettait mal à l’aise. Non seulement cela mettra en évidence ton bilinguisme, mais cela pourrait aussi amener une conversation révélant d’éventuels intérêts communs. Toutefois, n’oublie pas de réorienter la conversation si tu vois que vous divaguez. N’oublie pas d’utiliser ton temps à bon escient pour établir un lien mémorable avec l’employeur.
3. Effectue des recherches sur la compagnie
Pour démontrer ta passion pour le poste, fais des recherches sur l’entreprise. Démontre subtilement comment tes valeurs correspondent à celles de l’entreprise, et comment tu peux contribuer à sa vision ou à ses objectifs. Bien sûr, si cela ne vient pas naturellement, ne le force pas! Cependant, si l’employeur mentionne des objectifs de l’entreprise dont tu te rappelles, tu peux dire : « Oh, quand j’ai fait des recherches sur les plans de votre division, j’ai un peu lu sur ce projet. Pourriez-vous m’en dire plus? » De petits ajouts à la conversation montrent à l’employeur que tu es intéressé. Cela finit par démontrer ton désir de faire partie de l’équipe!
N’oublie pas que les recruteurs sont simplement des personnes qui essaient de trouver un candidat dont la personnalité et les compétences viendront enrichir leur équipe. N’essaie pas d’être ce qu’ils recherchent et soi plutôt authentique. Quoi qu’il en soit, ta véritable personnalité fera surface, donc mieux vaut que cela se passe pendant l’entrevue et non le premier jour de l’emploi.
Bonne recherche d’emploi!
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Beaucoup d’étudiants au premier cycle ne savent pas exactement ce qu’ils désirent obtenir de leur diplôme en gestion, malgré leur intérêt pour le domaine. Cela a été la même chose pour moi lors de ma première année. En ce qui me concerne, faire un stage dès le début m’a permis de mieux comprendre le monde des affaires dans lequel je me lançais et de me faire une idée plus précise de mon plan de carrière.
Alors, comment ai-je réussi à obtenir un stage lors de ma première année universitaire? Je crois que c’est grâce à un mélange d’initiative et de chance. Voici les trois principaux facteurs qui, selon moi, m’ont permis d’obtenir un stage en début de bac :
1. S’instruire
Avant même de commencer ma première session, je savais que je voulais profiter au maximum de mon expérience à l’École de gestion Telfer. Je pouvais y parvenir de différentes manières, que ce soit en utilisant les ressources de l'école pour des projets liés à l'entrepreneuriat ou en recherchant de nouvelles opportunités, telles que l'obtention d'un emploi bien rémunéré.
J’avais déjà suivi des cours sur le commerce au secondaire, mais j’ai aussi lu des livres sur le sujet et sur la psychologie humaine. Ces connaissances m'ont donné confiance pour le moment où je commencerais à rencontrer des gens à l'université et dans le monde des affaires.
2. S’impliquer
Lors de mon premier trimestre, à la recherche de possibilités, je me suis tourné vers les clubs étudiants de Telfer. Lors d’un événement de réseautage, j’ai rencontré le président du Club des entrepreneurs (TECDE) de l’époque, Ned Tighe, et la vice-présidente du marketing, Aveen Habib et ils m’ont présenté le club. J’ai ensuite eu la chance d’être choisi comme leur représentant de première année dans l’équipe de direction du club.
En rejoignant TECDE, j’ai pu mieux comprendre la totalité des événements ouverts aux étudiants à Telfer, et me rapprocher d’étudiants plus expérimentés que moi. Je pense que cela a également joué un rôle important dans l'établissement de ma crédibilité lorsque j'ai postulé pour un emploi par la suite.
3. Réseauter
Tout au long de l'année scolaire, j’ai fait du réseautage. J’ai eu la chance de rencontrer de nouvelles personnes lors de plusieurs événements au courant de l’année scolaire, notamment aux salons de l’emploi de l’école, aux ateliers du Centre des Carrières de Telfer et aux événements organisés par les clubs, comme des visites de bureaux au centre-ville.
C’est lors d’une visite chez Klipfolio, une entreprise de technologie située à Ottawa, que j’ai rencontré Robert Shapiro, leur gestionnaire des ressources humaines. À la fin de la visite, je lui ai demandé s’il voulait bien me rencontrer pour un café, et il a accepté. J’étais vraiment content qu’il accepte de me parler de lui et de la compagnie. Il m'a rapidement parlé d'une ouverture qui n'avait pas encore été publiée sur leur site web. Après avoir préparé un projet d’analyse de données, j’ai obtenu une entrevue et j’ai obtenu ce que je désirais : un poste de stagiaire.
Alors, voilà ma recette : si tu t'instruis à l'avance, que tu t'impliques à l'université et que tu profites des possibilités de réseautage, tu pourrais toi aussi être sur le point d'obtenir un poste de stagiaire. Ces démarches te donneront une chance et un avantage lors de déterminer le parcours professionnel que tu désires.
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La procrastination est un problème assez récurrent dans plusieurs aspects de nos vies. Que ce soit dans notre environnement professionnel ou académique, plusieurs parmi nous y sont confrontés. Vous avez peut-être déjà lu des articles ou regardé des vidéos sur comment vous en débarrasser, mais malheureusement vous êtes toujours au même stade.
La procrastination est essentiellement l’habitude de remettre à plus tard, provoquée par un blocage mental. Cela vous retient d’accéder à une liberté émotionnelle, une plus grande force mentale, une meilleure gestion de soi et un succès professionnel et/ou académique.
Voici 3 points essentiels que j’ai appris sur la procrastination au cours de mes années universitaires :
1. Les excuses sont des catalyseurs :
Comme disait Serita Jakes, « les excuses sont des outils d'incompétence utilisés pour construire des ponts vers nulle part et des monuments de néant ». Prenez une minute pour digérer cette citation… Les excuses sont des affirmations qui déclenchent la nonchalance et le relâchement dans l’effort chez plusieurs d’entre nous. Ultimement, elles ont un effet sur notre disposition à travailler et à atteindre nos objectifs.
Comme j’aime me le répéter, s’ouvrir à la possibilité de remettre une tâche à plus tard retire le sens de la priorité et s’en suit la paresse et la procrastination. Par conséquent, nous devons développer une maîtrise de soi et discipliner notre cerveau afin d’exclure les excuses. Dès le départ, les excuses ne sont pas une option.
2. La procrastination est une conséquence :
Lorsqu’on pense aux causes de nos échecs, de notre inaptitude à bien gérer notre temps, à notre statu quo professionnel et académique, nous les relions souvent à la procrastination. En d’autres termes, la procrastination est la raison pour laquelle nous n’arrivons pas à atteindre nos objectifs. Ainsi, en nous débarrassant de ce défaut, nous sommes en bonne voie vers le succès.
Nous basons notre bataille contre la procrastination sur notre discipline personnelle sans réellement en chercher les causes. Cependant, en allant en profondeur dans cet aspect, nous voyons que la procrastination en elle-même est la conséquence de notre état émotionnel, d’un concours de circonstances parfois imprévisible qui nous prédispose à nous fermer à toute sorte de productivité. La première chose à faire est donc d’identifier les causes de notre procrastination.
3. Santé mentale et procrastination :
Notre état mental, émotionnel et physique a un impact sur les activités que nous menons au quotidien. Un désir de ne rien vouloir accomplir peut avoir une racine autre que la paresse physique que l’on cherche à surmonter. Certaines situations nous affectent de diverses façons, dépendamment de l’individu.
Ainsi, la procrastination peut être la conséquence d’un malaise existentiel ou d’un mal être psychologique. Dans tous les cas, un diagnostic n’est pas toujours facile à poser. Il est donc important de s’informer sur la santé mentale et de demander de l’aide. Plusieurs ressources sont disponibles sur le campus à cet effet :
- Le service de santé mentale
- L’Association Canadienne pour la santé mentale
- La clinique de counseling sans rendez-vous
Au final, je crois qu’il est possible de vaincre la procrastination si, dès le début, on arrive à en repérer les causes, à éviter les catalyseurs ou éléments déclencheurs, et à utiliser les ressources disponibles. Il faut du temps et de l’espace pour grandir et développer de saines habitudes. Ainsi, soyez patients envers vous-même et envers le processus.
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Choisir une université peut sembler très facile, mais ceux qui y sont passés savent que c’est une décision extrêmement difficile à prendre. Ce qu’offre une école sur le plan académique est important, mais tu dois aussi tenir compte des éléments parascolaires dans ta décision. Cela te permet de t’inscrire à une école qui s’harmonise à ta personnalité et ton style de vie.
Étant donné que choisir une université est une grande décision, tu dois prendre ton temps pour bien chercher et comparer tes options. Ça tombe bien, car j’ai fait une liste pour te conseiller sur comment choisir une université. Lors de tes recherches, n’oublie pas de prendre en compte non seulement tes besoins à court terme (première année), mais aussi tes objectifs à long terme (deuxième, troisième et quatrième année).
1. Informe-toi sur le programme
La chose la plus importante à faire lors du choix d’une université est le programme. Après avoir trouvé ton programme, il est important de comparer les différentes universités. Par exemple, l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa offre une séquence de cours différente de l’Université de Guelph dans son programme de baccalauréat en sciences commerciales. De plus, tu dois tenir compte des possibilités de stage que les écoles peuvent t’offrir et de la possibilité de participer à un programme coopératif, si cela t’intéresse. Il est essentiel lorsque tu prends ta décision que tu sois informé des différences entre les programmes de ton choix dans toutes les universités que tu envisages de fréquenter.
2. Utilise les classements des universités pour te guider
Après avoir fait des recherches sur le programme, il est important que tu te renseignes sur la réputation des universités que tu as sélectionnées. Pour ce faire, tu dois d’abord choisir les facteurs qui sont les plus importants pour toi. Que ce soit pour classer la réputation nationale, l’expérience étudiante ou les activités parascolaires, l’outil de classement « Build Your Own Ranking » de Maclean’s est le meilleur moyen de comparer les classements des universités.
3. Informe-toi sur le mode de vie
Un autre facteur important à prendre en compte lors du choix d’une université est le mode de vie, notamment les activités parascolaires telles que les sports, les clubs et les activités proposées sur le campus. Pour certains étudiants, ces activités parascolaires façonnent leur expérience universitaire. Si c’est ton cas, il est extrêmement important de faire des recherches sur ce sujet avant de prendre une décision. La plupart des universités disposent d’une page consacrée aux activités parascolaires proposées sur leur campus. Le style de vie comprend également l’ambiance de la vie hors campus. Il peut être difficile de s’informer sur la vie hors campus, mais la meilleure façon d’en apprendre davantage sur le sujet est d’en discuter à un ami ou à une personne avec qui tu communiques et qui fréquente ou a fréquenté l’université.
4. Informe-toi sur le campus et les installations et ressources offertes
L’atmosphère du campus est extrêmement importante, car tu vas y passer au moins les quatre prochaines années. La première chose à faire est de décider si tu veux fréquenter une petite université ou une plus grande université. Une fois que tu as pris ta décision, tu devrais faire de petites recherches sur chaque campus. Surtout sur les bâtiments (en particulier celui qui est propre à ta faculté) ainsi que sur les installations telles que les gymnases, les bibliothèques, les résidences, les services de restauration, etc. Parallèlement, il est important de te familiariser avec les ressources offertes sur le campus. Notamment les services d’orientation, les services d’aide scolaire, les services de santé, etc.
Faire tout ça peut sembler énorme, mais te familiariser avec le campus t’aidera à prendre la bonne décision pour toi. La meilleure façon de faire des recherches est de découvrir le campus et de participer à une visite organisée par l’université. Si tu n’es pas en mesure de le faire, assure-toi de faire des recherches approfondies. Plusieurs universités proposent même des visites virtuelles de leur campus!
5. Informe-toi sur la ville où se trouve l’université
Une fois que tu auras choisi une université, tu vivras dans cette ville pendant au moins quatre ans. Il est donc important de t’informer sur ce qu’elle offre! Oui, y compris des choses à faire avec des amis, comme des endroits pour manger. Cela comprend aussi des choses essentielles comme les épiceries, les transports en commun et d’autres services importants. Réfléchis à tes besoins et détermine si la ville y répond. Voici deux sites web qui pourront t’aider dans tes recherches : Tripadvisor et Yelp.
6. Informe-toi sur les bourses d’études offertes par tes universités de choix
Obtenir de l’aide financière pour les études postsecondaires peut être long, donc fais-le le plus tôt possible. Lis « six conseils pour recevoir des bourses d’études », cela en vaut la peine. Il existe plusieurs voies de financement, notamment les subventions, les bourses et les prêts étudiants, entre autres. En général, les subventions et les bourses n’ont pas à être remboursées tant que tu remplis les exigences requises pour en bénéficier. Les prêts étudiants doivent être remboursés. Des outils d’aide financière pour les étudiants canadiens se trouvent dans le guide Smart Student Guide to Financial Aid ; cette source comprend des programmes d’aide financés par les provinces. Scholarships Canada est une base de données consultable contenant des milliers de bourses d’études et de prix pour les étudiants qui entament leur première année d’études postsecondaires au Canada.
Choisir une université est extrêmement difficile. En faisant tout ce qu’il y a sur la liste ci-dessus, tu seras suffisamment préparé pour prendre une décision quand viendra le temps. En tenant compte de ces facteurs, je suis sûre que tu trouveras l’université qui te convient le mieux.
Après avoir lu cet article, j’espère que tu auras un peu plus d’indications pour faire tes recherches. Si tu ne sais pas par où commencer, je te suggère de commencer par consulter le carrefour de Maclean’s Education, où tu trouveras toute une série d’information concernant les études, l’argent, la vie étudiante et les classements.
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