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Félicitations à la délégation du Symposium GRH qui a remporté la première position au Classement général pour la troisième année consécutive! Le Symposium GRH a eu lieu le 18 au 20 novembre 2011 à l’École de gestion Telfer.
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Mona Fortier, diplômée du MBA en 1998 et récipiendaire du Prix jeune Phénix de l’École de gestion Telfer en 2011, a été nommée « associée » par la Compagnie des Cents-Associés francophones en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à la promotion et au développement de la francophonie canadienne.
L’engagement communautaire et le travail bénévole font partie de la vie de Mona Fortier depuis son adolescence. Issue d’une famille franco-ontarienne militante, Mona a vite compris l’importance de l’implication personnelle pour contribuer au développement et à l’épanouissement des francophones en Ontario et ailleurs au Canada. Au fil des ans, Mona a partagé son expertise et son désir de changement auprès d’un grand nombre d’organismes. La jeunesse franco-ontarienne, l’éducation, la santé la politique municipale, provinciale ou fédérale, les organismes culturels et les institutions coopératives francophones sont autant de domaines qui parsèment le parcours de cette dernière. Son leadership s’est imposé au sein de divers conseils d’administration et de comités consultatifs stratégiques en se traduisant entre autres par la création de nouvelles initiatives et la relance de certains projets d’envergure.
La Compagnie des Cents-Associés francophones est un organisme dont la mission est de reconnaître le mérite de canadiens et de canadiennes qui, de façon exemplaire, ont travaillé bénévolement à la promotion et au développement de la francophonie canadienne.
La Compagnie des Cent-Associés francophones tient son nom de la Compagnie des Cent-Associés fondée en 1627 par le Cardinal Richelieu en vue d’assurer le développement de la Nouvelle-France. À l’époque, les membres de ladite compagnie représentaient l’élite de l’aristocratie française et voulaient « répandre les principes de la foi chrétienne et faire rayonner l’éclat du fait français jusqu’aux confins du Nouveau Monde. »
Inspirée de ces objectifs, l’Association canadienne d’Éducation de langue française a donné ce nom à une corporation qui devait rendre hommage à l’élite de la francophonie canadienne. C’est en 1979, à Québec, lors du 32e Congrès de l’ACELF que la Compagnie vit le jour.
Cliquez-ici pour regarder le discours de Mona Fortier au Gala de l'Excellence 2011
Avec un peu plus d’aide, les femmes d’affaires pourraient donner un bon élan à l’économie canadienne
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Le Groupe de travail pour la croissance des entreprises appartenant à des femmes (Taskforce for Women's Business Growth) demande que nos dirigeants politiques de tous les niveaux en fassent davantage pour appuyer les entrepreneures canadiennes, une stratégie qu’il juge essentielle au maintien de la croissance économique du pays. Selon le Groupe de travail, une hausse de 20 % du revenu total des entreprises appartenant majoritairement à des femmes ajouterait 2 milliards de dollars par année à l’économie canadienne.
« Les entreprises dirigées par des femmes au Canada représentent un énorme potentiel économique pour notre pays, indique Barbara Orser, présidente du Groupe de travail et professeure Deloitte à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Les petites et moyennes entreprises (PME) appartenant majoritairement à des femmes contribuent annuellement pour plus de 117 milliards de dollars à l’activité économique du Canada. » Le Groupe de travail révèle également que les entreprises appartenant à des femmes ne croissent pas aussi rapidement que celles dirigées par des hommes. Ces écarts minent la productivité et la compétitivité du pays.
Industrie Canada indique qu’en 2007, 47 % des 1,6 million de PME du Canada appartenaient en totalité ou en partie à des femmes et 16 % des PME canadiennes appartenaient exclusivement à des femmes. Par ailleurs, plus de 900 000 des 2,6 millions de travailleurs autonomes au Canada sont des femmes. Le revenu moyen des entreprises appartenant majoritairement à des femmes était de 563 000 $, alors que celui des entreprises appartenant majoritairement à des hommes s’élevait à 1 126 000 $.
Le Groupe de travail demande que des efforts concertés soient déployés pour mobiliser ce segment sous-développé de notre économie, et il propose à cette fin une stratégie à cinq volets :
- Créer une stratégie nationale de développement économique axée sur les femmes;
- Créer des programmes d’aide aux entreprises pour exploiter de nouveaux marchés et croître globalement;
- Établir des objectifs mesurables d’approvisionnement favorisant la diversité des fournisseurs, et les mettre en œuvre dans tous les organismes et ministères du gouvernement fédéral;
- Parfaire l’éducation financière des femmes et les sensibiliser à l’influence des genres dans la capitalisation des entreprises, en offrant de la formation et d’autres moyens incitatifs;
- Accroître l’adoption d’outils technologiques dans les entreprises dirigées par des femmes, en offrant de la formation et d’autres moyens incitatifs.
Consultez le Rapport du Groupe de travail
Au sujet du Groupe de travail
Le Groupe de travail pour la croissance des entreprises appartenant à des femmes est un consortium national impartial de femmes d'affaires, d’organismes de services aux petites entreprises, d’universitaires et d’associations sectorielles bien en vue. Créé en 2009, ce groupe de travail a pour mandat de stimuler la croissance des entreprises appartenant à des femmes par la recherche, la création de politiques publiques adaptées, la défense des intérêts et la mise en commun de pratiques exemplaires. En 2010 et 2011, le Groupe de travail a tenu une série de tables rondes dans l’ensemble du pays pour définir des politiques et des programmes qui accéléreront le développement et contribueront au succès des femmes d’affaires et des travailleuses autonomes. Y ont participé plus de 200 éminentes femmes d’affaires, travailleuses autonomes, représentantes d’associations sectorielles, universitaires et femmes d’influence.
Site Web du Groupe de travail : sites.telfer.uottawa.ca/womensenterprise/fr
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À l’âge de 21 ans, James Bowen a cofondé une entreprise spécialisée en technologie. Il ne bénéficiait que de peu d’encadrement et de mentorat. À l’époque, la création de telles entreprises était un phénomène relativement récent et il n’était pas facile d’obtenir des conseils.
Maintenant propriétaire d’une entreprise d'assistance?logiciel prospère et professeur adjoint à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa, M. Bowen a puisé dans ses premières expériences pour rédiger un livre destiné à aider les entrepreneurs.
En 2009, l’ouvrage The Entrepreneurial Effect, un recueil d’articles rédigés par d’éminents entrepreneurs en technologie de la région d’Ottawa, fut publié. La liste des collaborateurs se lit comme un bottin de l’industrie et comprend aussi Terry Matthews, qui a écrit l’avant?propos du livre.
Le 8 novembre 2011, la communauté de Waterloo lancera le 2e volume de ce livre, rédigé par d’éminents entrepreneurs en technologie de cette région.
L’avant-propos de la version de Waterloo a été écrit par Feridun Hamdullahpur, le president de la University of Waterloo, et comprend comme collaborateurs : John Baker, James Bowen, Larry Borsato, Dave Caputo, Stephen Carkner, Yvan Couture, Ray dePaul, Rick Endrula, Jim Estill, Harley Finkelstein, Rod Foster, Vita Gaisma, Josie Graham, Brydon Gilliss, Ted Hasting, Cameron Hay, Kevin Hood, Tom Hunter, Iain Klugman, Dan Latendre, Carol Leaman, Aurelien Leftick, Moren Levesque. Randall Litchfield. Steven McCartney, Andrew Maxwell, Mike Morrice, Robert Pavlis, Roger Skubowius, William M. Tatham, Robert Tong, Adam Zimmer, et Ann Zimmer.
Les profits de la vente de ce livre serviront à soutenir l’entrepreneuriat en technologie chez les étudiants.
Pour plus de détails : http://www.entrepreneurialeffect.com/contact.htm (en anglais)
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Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) a octroyé une subvention de 79 320 $ au chercheur principal Guy Paré de HEC Montréal et sa cochercheure Mirou Jaana de l’École de gestion Telfer pour le programme de recherche intitulé IT Innovation Research: A Research Program in Healthcare Organization.
L’objectif de ce programme de recherche est de donner un nouveau point de vue sur le domaine de l’innovation des technologies de l’information (TI). On y étudiera deux nouveaux concepts, soient « la configuration de l’innovation » et la « conscience des organisations » et on les appliquera au processus de l’innovation des TI dans les services de soins de santé.
Dans la première partie du programme de recherche, les chercheurs feront une analyse qualitative comparative de combinaisons de conditions spécifiques liées à l’adoption (réussie ou non) des systèmes de dossiers de santé électroniques par des groupes de médecins de famille du Québec. Dans la deuxième partie du programme, ils feront une revue des recherches empiriques en informatique médicale afin d’identifier la mesure dans laquelle les impacts de la recherche sur ces dossiers électroniques sont liés à des structures causales. Finalement, les chercheurs feront une analyse rétrospective de l’approche utilisée pour implanter un système similaire dans différents hôpitaux au Québec et en Ontario.
Cette recherche aura des répercussions sur la théorie et la pratique grâce à l’élargissement des connaissances au-delà de la simple perspective de l’innovation et à une meilleure compréhension des conditions qui facilitent le processus d’innovation des TI.
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Le Programme d’initiation à la recherche au premier cycle (PIRPC) offre aux étudiantes et étudiants de premier cycle des occasions uniques et stimulantes de se familiariser avec la recherche d’avant-garde qui se fait à l’Université d’Ottawa tout en réfléchissant à leurs orientations et à leurs objectifs professionnels.
S’adressant aux étudiants inscrits à temps plein en 2e ou 3e année du premier cycle, le programme offre des bourses de 1000 $ et permet aux récipiendaires de consacrer 50 heures à un projet de recherche mené par un professeur de l’Ecole Telfer.
La date limite pour la session d’hiver est le 15 novembre 2011. Veuillez envoyer votre lettre de motivation à Matt Archibald at
Tous les détails sur le PIRPC sont disponibles sur www.recherche.uOttawa.ca/pirpc.
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Le professeur Jonathan Calof a été interviewé récemment par quelques médias internationaux; ses articles portent sur la veille à la concurrence et contribuent à faire ressortir l’accent international de l’École Telfer.
L’article qui suit, rédigé en hébreu, a été publié dans Globes, l’une des publications spécialisées les plus populaires d’Israël. L’article explique comment tirer un avantage concurrentiel des réseaux sociaux, des salons professionnels, des congrès et d’autres événements. Cliquez ici pour lire l’article (disponible en hébreu seulement).
Le prochain article, publié dans le Romania Libera, un journal roumain, souligne l’importance de la veille à la concurrence et de l’analyse commerciale. Cliquez ici (le lien n'est plus disponible) pour lire l’article (disponible en roumain seulement).
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Les Instituts de recherche en santé du Canada, dans le cadre de leur programme Réseau catalyseur – application des connaissances, ont subventionné le projet de recherche intitulé Pan Canadian Health Human Resources Knowledge Exchange Network. Le projet est mené par Mme Ivy Lynn Bourgault, professeure à la Faculté des sciences de la santé de l’Université d’Ottawa avec une équipe de 39 co-chercheurs et collaborateurs, dont Craig Kuziemsky, professeur à l’École de gestion Telfer.
L’objectif principal est de créer une infrastructure virtuelle qui permettra de partager de façon plus efficace les connaissances liées aux ressources humaines en santé (RHS), à l’innovation et aux pratiques prometteuses. On y parviendra par la création d’un réseau de chercheurs en RHS, d’utilisateurs et de responsables des orientations politiques.
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L'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa est heureuse d'annoncer la nomination de Suzanne Drouin à titre de nouvelle cadre en résidence au programme MBA. Suzanne, qui sera en affectation avec notre École jusqu’en juillet 2013, est une cadre supérieure au sein de la fonction publique fédérale (Pêches et Océans Canada) qui nous arrive en provenance de son poste de cadre supérieur invité à l’Association professionnelle des cadres supérieurs de la fonction publique du Canada (APEX).
Pendant son séjour parmi nous, elle travaillera au sein de l’équipe menée par Dr. Jacques Barrette, Vice-doyen et doyen associé (programmes). Ayant œuvré plus de 30 ans dans le système des collèges communautaires canadien dans trois juridictions provinciales ainsi que dans des établissements d’éducation postsecondaire au gouvernement fédéral et à l’étranger, Suzanne apporte au programme de MBA une expérience professionnelle axée sur les domaines de la santé, de l’éducation et de l’administration parapublique et publique.
Suzanne a vécu au Cap-Breton lorsqu’elle a été nommée, en 1999, au poste de vice-présidente exécutive et directrice des opérations au Collège universitaire du Cap-Breton (UCCB), maintenant l’Université du Cap-Breton (UCB), à Sydney. Plus tard, en 2007, elle a occupé le poste de Directrice exécutive du Collège de la garde côtière qui se trouve aussi à Sydney. Elle a pu également connaître l’existence dans l’Ouest canadien, de 1997 à 1999, pendant ses fonctions d’agente principale de la formation et de directrice des études au Collège des Rocheuses à Cranbrook (Colombie-Britannique). L’une de ses expériences professionnelles les plus mémorables résulte de son séjour à l’étranger, de 1993 à 1996. Comme directrice des Sciences de la santé aux Collèges supérieurs de technologie des États arabes unis (E.A.U.), elle y a en effet mené une évaluation approfondie des besoins en formation en sciences de la santé et mis sur pied de nouveaux programmes de diplômes à l’échelle nationale. Avant ce séjour à l’étranger, elle a fait partie de l’équipe de haute direction responsable de la fondation en 1990 de la première institution francophone de niveau collégial en Ontario, la Cité collégiale à Ottawa. Suzanne, qui a commencé sa carrière à titre d’infirmière et de coordonnatrice clinique en soins critiques à l’Hôpital général d’Ottawa, a entrepris son cheminement professionnel dans le domaine de l’éducation au Collège Algonquin entre 1976 et 1990, où elle y a rempli les rôles d’enseignante, de coordonnatrice et de chef de programmes (Sciences de la santé) au Collège Algonquin.
Suzanne est actuellement étudiante dans le programme de formation de coaching intégral avec Intégral Coaching Canada Inc. à Ottawa dans le but d’obtenir sa désignation de coach intégral agréée. Née à Gatineau (Hull), au Québec, Suzanne, est une ancienne de l’Université d’Ottawa (baccalauréat ès arts, Psychologie), détient une maîtrise en administration publique de l’École nationale d’administration publique (Gatineau, Québec) et un diplôme d’infirmière de l’École des Sciences infirmières, Hôpital général d’Ottawa.
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L’École de gestion Telfer se classe dans la catégorie “Top Business School / 4 Palmes” par Eduniversal, en reconnaissance de la portée international de l’école.
Le classement d’Eduniversal est un service unique qui présente aux étudiants, gens d’affaires, représentants de ressources humaines et aux employés universitaires un panorama des meilleures possibilités d'éducation dans le monde entier.
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L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez