Actualités
- Catégorie : Futurs diplômés
Cette année, la compétition de finances du Groupe Financier Banque TD eut lieu du 2 au 3 mars et fut animée par la Société de finance dans le pavillon Desmarais. Des étudiants en provenance de l’Ontario et du Québec, incluant des équipes de McGill, Concordia, York, Western, Waterloo et Ryerson, ont participé à la compétition. Toutes les équipes ont su se démarquer et impressionner les représentants de TD, de Travaux publics et de CMA. Ultimement, les équipes en provenance de Waterloo, Telfer et Concordia ont respectivement remporté les trois premiers prix. Félicitations à Brandon Silbermann, Brittany Rockwell et Jimmy Killoran pour avoir remporté un prix au nom de l’École Telfer!
La Société de finance voudrait remercier chaleureusement le Centre national des arts d’avoir accepté d’accueillir le gala ainsi que tous les juges, bénévoles et employés de l’École de gestion Telfer qui ont aidé à faire de cet événement un franc succès.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Félicitations à Jacline Abray-Nyman (B.Adm 1990), ancienne de l’École Telfer, pour sa nomination au poste de présidente-directrice générale de Centraide United Way Canada.
À propos de Jacline Abray-Nyman
Jacline Abray-Nyman, dirigeante chevronnée du secteur public, compte 20 ans d’expérience fructueuse dans des postes de responsabilité au sein d’universités canadiennes. Sa carrière, en fait, a surtout été axée sur la collecte de fonds, les relations avec les collaborateurs et les relations extérieures. À titre de directrice principale des dons et de conseillère de campagne, Mme Abray- Nyman a personnellement négocié nombre de dons philanthropiques substantiels et de partenariats d’importance auprès d’entreprises. Depuis 1999, elle a mené des activités de collecte de fonds dans le cadre desquelles on a recueilli au total plus de 125 millions de dollars.
À la Queen’s School of Business, Mme Abray-Nyman assure un leadership au regard de l’établissement de relations avec les anciens et les donateurs de l’université, de même qu’avec des dirigeants communautaires et des dirigeants d’entreprises. Elle enseigne à titre de professeure adjointe dans les domaines du marketing, de l’éthique du marketing et de la responsabilité sociale et elle s’intéresse de plus à la recherche liée au marketing, à la philanthropie et aux organismes à vocation sociale. Mme Abray-Nyman a récemment achevé un important projet de recherche intitulé « Transformational philanthropy and networks of co-created value in Canada. »
Avant de se joindre à la Queen’s School of Business, Mme Abray-Nyman a travaillé comme consultante, offrant des conseils à des clients en matière d’établissement de relations, d’accroissement des ressources, de marketing et de planification stratégique. Elle a été successivement titulaire du poste de vice-présidente, Collecte de fonds et Relations avec les donateurs à la York University Foundation; directrice, Développement et Relations extérieures à la Haskayne School of Business (University of Calgary); et directrice, Services de développement (Université d’Ottawa), en plus d’avoir exercé diverses fonctions pour le compte d’autres organismes à but lucratif et sans but lucratif. Elle travaille bénévolement auprès du Centre for Social Innovation (CSI), une entreprise sociale établie à Toronto et vouée à la promotion de l’innovation sociale.
Mme Abray-Nyman détient un baccalauréat en administration (Ottawa), une maîtrise en administration des affaires (Calgary) et un doctorat en administration des affaires (Cranfield, Royaume-Uni). Elle est mariée et mère d’une fille.
- Catégorie : Annonces Telfer
L’École de gestion Telfer est fière de présenter son nouvel outil de recrutement, l’expérience B.Com. Telfer. Cette simulation en ligne a comme objectif de donner aux étudiants potentiels et courants un aperçu personnalisé de leur expérience B.Com Telfer. À la fin de l'expérience B.Com Telfer, les utilisateurs sont en mesure de partager leur profil avec leurs amis et leur famille.
Les trois composantes de l’expérience B.Com Telfer :
- Développement universitaire – Démontre comment les divers cours et activités peuvent contribuer à l’expérience universitaire globale.
- Développement professionnel – Démontre les différents programmes offerts à l'École de gestion Telfer qui sont spécialement conçus pour aider à exceller au niveau professionnel.
- Développement personnel – Démontre les différents clubs, associations et activités qui favoriseront le développement personnel à l'École de gestion Telfer.
Venez explorer l’outil dès maintenant : www.telfer.uottawa.ca/fr/bcom/experience [Ce lien n'est plus disponible]!
- Catégorie : Annonces Telfer
C’est avec fierté que l’École de gestion Telfer crée, avec le soutien du Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) et des collègues de Michel, le prix pour l’excellence de la MGSS Michel Bilodeau dans le cadre du programme de maîtrise en gestion des services de santé (MGSS), à titre de reconnaissance à l’endroit de Michel à la suite de sa remarquable carrière en soins de la santé.
- Catégorie : Annonces Telfer
L'Inde, c'est un fait, offre une foule de débouchés pour le Canada : vaste marché pour les exportations et les investissements, destination rentable pour l'externalisation, investisseur au Canada et partenaire de projets dans le Tiers-Monde.
Les occasions sont là et les relations entre les gouvernements n'ont jamais été aussi bonnes. Sous l'impulsion de l'« Année de l'Inde au Canada » célébrée en 2011, notre pays est de toute évidence prêt à traiter davantage avec l'Inde. Pour réussir, il doit impérativement augmenter la présence des entreprises canadiennes en Inde.
Le cinquième Telfer India Forum annuel, qui a eu lieu le 8 mars 2012 à l'École de gestion Telfer, portait sur les perspectives et les défis pour quiconque veut établir une présence en Inde. L'événement a attiré plus d'une centaine de représentants du monde des affaires, du gouvernement et du milieu universitaire, qui ont également eu l'occasion de mieux comprendre le contexte actuel des investissements en Inde et les grands changements qui s'opèrent dans les échanges commerciaux entre l'Inde et le Canada. Le Telfer India Forum de cette année, qui était organisé en collaboration avec l'Indo Canadian Ottawa Business Chamber (ICOBC) et le ministère du Développement économique et de l'Innovation de l'Ontario, comptait six commanditaires et deux partenaires de marketing.
L'événement a comporté notamment des présentations et des discussions avec Mme Narinder Chauhan, haut-commissaire adjointe de l'Inde, et MM. Peter Hall, économiste en chef d'Exportation et développement Canada, Don Stephenson, négociateur en chef du Canada pour le projet d'accord de partenariat économique global entre le Canada et l'Inde, et Rana Sarkar, président du Conseil de commerce Canada-Inde.
Le Telfer India Forum a permis de souligner que l'établissement d'une présence permanente sur le marché indien exigeait un engagement marqué de la part des entreprises canadiennes. Cet engagement passe aussi par une analyse et un calibrage poussés de façon à prendre les bonnes décisions sur différentes questions avant et après l'investissement initial.
Les chefs d'entreprise canadiens qui étaient présents cette année ont pu se faire une meilleure idée de ce que l'établissement d'une présence en Inde représente en matière de défis et de récompenses. Parmi les sujets abordés, mentionnons notamment les différentes façons de pénétrer le marché, les facteurs culturels dont il faut tenir compte lorsqu'on s'implante sur le marché ainsi que les risques inhérents à l'établissement d'une présence et la façon de les atténuer. Les tables rondes et les ateliers ont réuni des experts chevronnés, dont des dirigeants d'entreprises comme Toon Boom et Dragonwave, qui ont su relever avec succès les défis que pose l'établissement sur le marché, et des représentants d'organisations intermédiaires spécialisées dans le marketing, le droit, la fiscalité et les assurances.
Une foule de possibilités d'investissements s'offre au Canada dans les secteurs comme les technologies de l'information et la communication, les télécommunications, les infrastructures et l'automobile, pour ne mentionner que ceux-là. À mesure que l'économie poursuit sa transition vers les services, les entreprises canadiennes doivent s'implanter sur le marché afin de profiter de la croissance et de se mesurer efficacement à la concurrence pour saisir les occasions nouvelles et changeantes. Comme on l'a fait remarquer lors du Forum, les investissements directs étrangers en Inde en termes de pourcentage du PIB se comparent à présent à ceux qui sont faits en Chine. Les entreprises canadiennes doivent, de toute évidence, suivre le rythme et s'engager davantage pour être en mesure de réussir.
Pendant les discussions à la tribune et en table ronde, les participants ont entre autres parlé et débattu de la façon d'établir des relations efficaces en Inde, de composer avec le niveau et la fiabilité des infrastructures, de choisir le bon endroit sur le marché indien diversifié et des options de financement offertes sur place aux entreprises canadiennes et à leurs filiales indiennes.
Les panélistes ont aussi discuté de la façon de positionner leurs entreprises sur le marché indien et des avantages de les présenter comme des sociétés indiennes ou canadiennes ou une combinaison des deux. Il a aussi été question des aspects fiscaux et juridiques à prendre en considération lorsqu'on veut établir une présence, et des avantages et inconvénients des différentes méthodes d'entrée. Les facteurs culturels ont également tenu une grande place dans les discussions, tout comme l'importance pour les chefs d'entreprise canadiens de s'intéresser et de se sensibiliser aux caractéristiques culturelles indiennes, notamment la spiritualité des Indiens, et de prendre le temps d'établir des relations avec eux, d'avoir leur confiance et de susciter leur fierté. Les participants ont également parlé des façons d'atténuer certains des risques que présente le marché, par exemple en ce qui concerne le crédit, les infrastructures et la propriété intellectuelle. L'événement a également permis de mettre en évidence le rôle que peuvent jouer les organisations gouvernementales et le secteur privé pour traiter ces questions. En fait, les participants ont jugé primordial d'avoir un réseau de conseillers et de partenaires pour connaître le marché, planifier une stratégie d'investissement et négocier et mettre en oeuvre des contrats.
Le contexte entourant les négociations de l'accord de partenariat économique global (APEG) a aussi été présenté pendant le Forum. Entamées en novembre 2010, les négociations de l'APEG s'appuyaient sur une étude conjointe qui a conclu que le libre-échange avec l'Inde pourrait rapporter entre 6 et 15 milliards de dollars à l'économie du Canada, augmenter de 50 % les échanges bilatéraux avec l'Inde et avoir des retombées directes sur de nombreux secteurs canadiens. Pendant les discussions, on a fait remarquer que le gouvernement canadien accorde une très grande priorité au projet d'entente. En outre, les deux parties ont déjà eu quatre séries de discussions et une autre est prévue en avril de cette année. Le Canada a déclaré publiquement qu'il cherchait à conclure l'APEG en 2013.
Même si les perspectives de resserrer les liens sont plus encourageantes, les entreprises canadiennes qui s'intéressent à l'Inde vont devoir redoubler d'efforts et d'ingéniosité pour soutenir la concurrence féroce des sociétés internationales et locales. Les chefs d'entreprise canadiens doivent s'engager davantage avec le marché, avoir un programme plus flexible et chercher à établir des relations et une confiance durables. Il faut aussi qu'ils soient mieux informés et comprennent vraiment qu'une présence constante sur le marché est essentielle. En outre, ils doivent être préparés à négocier dur en réaction aux agissements parfois agressifs de leurs homologues et concurrents indiens.
L'École de gestion Telfer poursuivra sa démarche de soutien aux entreprises canadiennes pour ce marché stratégique et continuera à les aider à établir une présence dans ce marché dynamique. Outre son programme de recrutement permanent en Inde, l'École de gestion Telfer prend diverses mesures pour positionner l'institution et les chefs d'entreprise canadiens sur le marché indien. Comme l'a fait remarquer François Julien, doyen de l'École de gestion Telfer, ces démarches consistent notamment à intégrer du « contenu indien » dans ses programmes, entre autres un nouveau cours de premier cycle sur les affaires en Inde, la participation au Conseil de commerce Canada – Inde, le lancement d'un programme en ligne pour dirigeants sur « les affaires en Inde », la tenue permanente du Telfer India Forum et le développement de relations importantes avec des instituts de gestion partenaires en Inde. Toutes ces initiatives visent à préparer l'École de gestion Telfer et les entreprises canadiennes à collaborer davantage avec l'Inde à l'avenir.
Marvin Hough est PDG en résidence à l'École de gestion Telfer et directeur du Conseil de commerce Canada-Inde. Il a passé quatre ans en Inde en qualité de délégué commercial du Canada et de nombreuses années avec Exportation et développement Canada où il s'occupait du marché indien. Il dirige l'organisation du Telfer India Forum annuel, donne un cours de premier cycle sur les affaires en Inde et a mis au point le programme de formation pour dirigeants Telfer Focus India (www.telfer.uOttawa.ca/executiveprograms).
Photo (de g à d) : Pradeep Merchant, Mme Narinder Chauhan et Marvin Hough
- Catégorie : Diplômés aux commandes
L’École de gestion Telfer souhaite à féliciter un de nos anciens, Charles Bordeleau (B.Adm 1984), qui a été promu chef de police d’Ottawa. M. Bordeleau a été célébré en tant qu’ancien de l’École Telfer au mois de septembre dernier quand il a reçu le prix Philos du doyen au Gala de l’excellence 2011.
- Catégorie : Futurs diplômés
Félicitations aux étudiants qui ont remporté les prix d’entrepreneuriat Wes Nicol 2012 de l’Université d’Ottawa! Les étudiants entrepreneurs Alex Smith et Chris Spoke ont reçu le premier prix avec leur plan d’entreprise pour Liaise, une plateforme Web et mobile offrant des séminaires interactifs et des tchats vidéo, moyennant paiement. L’équipe gagnante est repartie avec un prix de 5 000 dollars et la chance de participer à la finale nationale avec les équipes qui ont remporté des compétitions tenues dans 15 autres universités canadiennes. Le Prix Wes Nicol est un programme national conçu pour susciter de l’intérêt pour l’entreprenariat, et le récompenser, chez les étudiants de premier cycle de toute faculté ou de tout domaine d’études, dans les universités participantes des quatre coins du Canada.
Le plan d’entreprise Unsung Hero, présenté par Adam Haggart et Rafal Deren, a remporté le deuxième prix, doté de 2 000 dollars. Le troisième prix, 1000 dollars, a été gagné par le plan d’entreprise Valued Pets, présenté par Hiam Al?Dhabbi.
Monsieur Bruce M. Firestone, directeur exécutif d’Exploriem.org, a agi comme maître de cérémonie pour la compétition de l’après-midi. Il a dit : « Nous voyons chaque année de plus en plus d’étudiants entrepreneurs participer aux compétitions de présentation succincte (elevator pitch) et de modèles d’entreprise, puis à la compétition du Prix d’entrepreneuriat Wes Nicol. Un grand nombre de ces étudiants finissent pas fonder de véritables entreprises. C’est grâce à la générosité de gens comme Wes Nicol que nous pouvons tenir ces compétitions et encourager de nouveaux entrepreneurs au Canada. »
Les trois juges pour la compétition étaient Anna Silverman, directrice exécutive de La Fondation des bergers de l’espoir, Rick Bédard, entrepreneur Internet qui réussit, et Stephen Daze, président et chef de la direction, AGAWA Entrepreneurship Development Corporation.
Au sujet de l’équipe qui a remporté le premier prix – Liaise
Liaise est une plateforme Web et mobile qui offre des séminaires interactifs en ligne et des tchats vidéo en tête-à-tête avec des experts connus et des personnalités de renom, moyennant paiement. Cette plateforme comprendra un répertoire contenant les noms d’experts et de célébrités qui offriront des laps de temps à réserver et qui détermineront leurs propres tarifs pour des tchats vidéo de 15, 30 ou 60 minutes, grâce aux mécanismes de l’offre et de la demande. Cette plateforme offrira également une série de vidéoconférences en direct auxquelles les utilisateurs seront invités à prendre part comme participants engagés. Les hôtes de ces événements seront des experts de renommée mondiale recrutés pour répondre aux gens qui recherchent leur expertise et leurs points de vue. Huit places seront offertes aux utilisateurs qui souhaitent interagir durant ces événements d’une durée d’une heure chacun, et tous les utilisateurs auront la possibilité de réserver des périodes de suivi sous forme de tchats vidéo en tête-à-tête. Agissant comme intermédiaire pour rendre possibles ces interactions entre des utilisateurs et des personnalités très demandées, Liaise facture une commission de 20 % pour chaque réservation de séminaire et de tchat en tête-à-tête.
Pour de plus amples renseignements sur le Prix d’entrepreneuriat Wes Nicol, cliquez ici.
- Catégorie : Futurs diplômés
Les trois entrepreneurs se sont qualifiés pour les demi-finales après avoir participé à une ronde régionale qui s’est tenue à l’Université de Guelph. Ils ont affronté 11 autres équipes provenant des quatre coins du Canada. Liaise a été l’une des 6 équipes qui se sont qualifiées pour la ronde finale le lendemain. La dernière présentation a été faite devant un groupe d’investisseurs en capital risque et entrepreneurs expérimentés, et de 120 étudiants de l’Université de la Colombie-Britannique et du Sir Sanford Fleming College. L’équipe de Liaise, qui représentait l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa, s’est ainsi classée dans les 6 premières équipes au Canada et est rentrée à la maison riche d’une précieuse expérience et de très nombreuses rétroactions.
Au sujet des étudiants
Chris Spoke est étudiant en troisième année du programme d’économie et politique publique, avec mineure en administration des affaires. Il étudie aussi en vue d’obtenir la désignation professionnelle CAIA (Chartered Alternative Investment Analyst).
Alex Smith est étudiant en cinquième année du programme de baccalauréat en commerce avec spécialisation en marketing. Il possède plus de 9 ans d’expérience en programmation Web, et plus précisément en gestion de projets, vente consultative et stratégies de marque en ligne.
Jean-Benoît Lesage a obtenu récemment son baccalauréat en commerce (sans option). Il est maintenant vice-président de la source de nouvelles en ligne ipolitics.ca. Il possède plus de 10 ans d’expérience du codage en plusieurs langages différents.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Thibaud Clement est un diplômé du programme MBA Telfer 2011. Originaire de France, Thibaud voyage actuellement autour du monde pour étudier l'eCommerce d'une façon originale, en rencontrant des experts tout au long de son parcours. Il s'agit du Projet DODEQA : 12 mois, 12 villes, 12 objectifs. Passionné par le Marketing, l'Entrepreneuriat et les Technologies Web, Thibaud a d'ores et déjà lancé son premier site eCommerce : Candyscovery. Lorsqu'il n'est pas en train de blogguer ou de lire, Thibaud s'adonne à la course à pieds, à la photographie et à la cuisine. Sa devise ? « Do Your Best & Fix The Rest »!
- Catégorie : Engagement communautaire
Du 11 au 16 mars prochains, cinq étudiants de l'École de gestion Telfer à l’Université d’Ottawa tenteront de vivre le quotidien d’un sans-abri en « habitant » sur le terrain de l’Université dans le cadre de la deuxième édition de l’initiative Five Days For The Homeless. De plus en plus populaire en Amérique du Nord, cet événement annuel vise à sensibiliser les gens et à recueillir des fonds pour des organismes veillant aux besoins des itinérants.
Sous-catégories
La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez
