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- Catégorie : La voix des étudiants
Tu en as assez d’étudier aux mêmes endroits sur le campus? Tu cherches un nouvel endroit plus classe où étudier? Un endroit où tu peux savourer un espresso onctueux, déguster un bagel frais, manger une tarte faite-maison ou même à un buffet végétarien? Ne cherche plus.
Ce qui suit est l’ultime liste des neuf meilleurs endroits où étudier à Ottawa. Elle a été conçue pour inciter même l’étudiant le moins motivé à étudier.
The Green Door
198, rue Main
The Green Door est l’endroit parfait pour manger de la nourriture végétarienne de bonne qualité quand tu étudies. On en trouve seulement un à Ottawa et il est tout près de Sandy hill, donc facile d’accès pour la plupart des étudiants de l’Université. Bien qu’il s’agisse principalement d’un buffet où l’on doit payer au poids et où tu trouveras des aliments essentiellement sans gluten, végétaliens et biologiques, c’est aussi un lieu très décontracté avec beaucoup d’espace pour étudier. Il y a beaucoup de bruit et de gens aux heures de pointe, alors pour éviter d’être distrait, apporte des écouteurs et écoute ta musique préférée pour étudier.
Photo sur : https://www.happycow.net/reviews/green-door-ottawa-1326/images?sortby=date-desc
Les Moulins Lafayette
1000, rue Wellington Ouest
Les Moulins Lafayette est une nouvelle boulangerie qui vient d’ouvrir en 2018 à Hintonburg et pourtant c’est un des meilleurs cafés où je suis allé. Non seulement ils jouent de la bonne musique et offrent un bel environnement de travail, ils ont aussi le meilleur café et les pâtisseries les plus haut de gamme que j’ai jamais dégustées. C’est une boulangerie, donc elle offre une meilleure variété de croissants, muffins et biscuits qu’un café habituel et elle est située en face d’une brasserie artisanale et d’un LCBO pour quand tu as terminé d’étudier.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/les-moulins-la-fayette-ottawa
Kettleman’s
912, rue Bank, 1365, av. Woodroffe, 6-197, promenade Trainyards
Cette boulangerie à bagel est très réputée, car elle est situé au même endroit, dans le Glebe, depuis 25 ans. Elle se trouve sur cette liste parce que c’est un endroit silencieux et calme pour étudier, qui est ouvert 24 h/24, 7 j/7 et offre du remplissage de café gratuit. C’est pour ces deux raisons que cet endroit est la meilleure option pour une longue et intense séance d’étude. Le magnifiques fenêtres laissent passer la lumière naturelle du soleil et on peut y voir clairement le processus de création des bagels et le tohu-bohu sur la rue Bank. Il dispose également d’un personnel sympathique. Le seul inconvénient est que la musique y est très forte, alors assure-toi d’apporter des écouteurs de qualité afin de pouvoir être en paix.
Photo sur : http://jvlphoto.com/ottawa-commercial-photography-kettlemans/jvlphoto-photographer-kettlemans-34-edit/
Morning Owl
229, rue Armstrong, 538, rue Rochester, 219, av. Laurier Est et autres
Morning Owl est une chaîne de café local situé ici à Ottawa. On compte 7 emplacements à travers Ottawa, et ils ont des boissons et des bouchées délicieuses et uniques, comme le latte « white rabbit ». On peut toujours compter sur Morning Owl pour un environnement d’étude formidable, avec sa déco chic et confortable. Une autre chose qui fait du Morning Owl une bonne place pour étudier est le fait que chacun des cafés a une ambiance différente qui correspond au quartier dans lequel ils se trouvent, alors assure-toi de visiter les différents endroits en ville.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/morning-owl-coffee-house-ottawa-2
Life of Pie
1134, rue Bank
Au lieu de te contenter du flot incessant de gens au Starbucks de Desmarais ou dans tout autre café du campus, fais-toi plaisir avec un café et une tarte maison. Life of Pie est une adorable boulangerie familiale où l’on peut trouver des tartes maison (qui sont à tomber par terre) de plusieurs saveurs ainsi que des quiches, des soupes et des salades. Je te recommande d’étudier ici, car bien qu’elle soit petite, on y est très à l’aise, le personnel est sympathique et l’odeur fantastique des tartes fraîchement sorties du four te donne envie d’y rester toute la journée.
Photo sur : http://lifeofpie.ca/about-us/
L’Art House Café
555, rue Somerset Ouest
L’Art House Café est un café agréable, rempli d’art, qui offre des espressos, des plats légers, des pâtisseries, ainsi que des places assises dehors. C’est un endroit qui te donnera courage et un sens d’appartenance dans les moments difficiles. La saison des examens est difficile? Détends-toi et admire de l’art local. Si tu te sens particulièrement épuisé (ce qui arrive souvent), l’Art House Café te propose du café à 5 $ jour et nuit. Leur menu comporte également une variété séduisante de cocktails au café chaud comme leur Chai corsé, le Amaretto Latte et le Chocolat chaud au Bourbon.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/the-art-house-cafe-ottawa
La Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank, et autres
Besoin de silence absolu pour étudier? La Bibliothèque publique d’Ottawa est l’endroit qu’il te faut. Il y a une connexion Wi-Fi gratuite et de nombreuses succursales dans toute la ville. Si c’est une séance d’étude où tu as besoin de réfléchir et de bien comprendre, à l’opposé de copier des notes sur PowerPoint, c’est un choix judicieux, car il n’y aura absolument rien pour te distraire.
Equator Coffee
1, rue Elgin
Tu as besoin d’un endroit pour travailler qui est plus spacieux que les cafés traditionnels? Le Equator Coffee du Centre national des Arts est l’endroit qu’il te faut. Le personnel est très sympathique, l’atmosphère est chaleureuse, mais demeure plein de vivacité et il y a de délicieuses boissons et gâteries. Il ferme à 16 h, mais le CNA a beaucoup d’espace qui reste ouvert au public de 6 h à minuit avec du Wi-Fi gratuit! Situé dans l’un des plus beaux et plus esthétiques quartiers du centre-ville d’Ottawa, tu as vraiment l’impression d’étudier pour un but précis. Le café et le CNA ont une grande variété de sièges, donc si tu es inconfortable où tu te trouves, il y a des tonnes d’options pour t’aider à étudier.
Suzy Q’s Doughnuts
969, rue Wellington Ouest
Cet endroit est l’un de mes coups de cœur. Bien qu’il soit déjà très populaire, je me dois de recommander ce café, à l’odeur enivrante de beignets fraîchement préparés, pour étudier. Je trouve que cet endroit est chaleureux, tant par la température que par le tempérament du personnel. Leur sélection de nourriture et de boissons est fantastique et leur eau en libre-service rend les choses un peu moins gênantes si tu prévois y rester longtemps. C’est un endroit très fréquenté, mais on s’y sent bien et il est idéal pour étudier si tu peux tolérer des bavardages inaudibles ou si tu as des écouteurs.
Photo sur : https://www.pinterest.ca/pin/72339137740303531/
Les endroits mentionnés ci-dessus sont parmi mes endroits préférés pour étudier et j’espère que tu auras la chance d’en visiter quelques uns. Maintenant que tu as une liste des neuf meilleurs endroits pour étudier à Ottawa, va les découvrir, profites-en et termine tes études avec classe!
- Catégorie : La voix des étudiants
Chaque trimestre, la simulation de stratégie Intopia donne la possibilité aux étudiants de Management stratégique (ADM4711) de s’affronter sur un marché virtuel où ils doivent vendre deux produits qui leur sont désignés. Les équipes doivent prendre des centaines de décisions qui font appel à des compétences en comptabilité, en finances, en marketing et en gestion. Je me propose donc de te donner des trucs et des conseils utiles pour t’aider à te préparer à la simulation et à élaborer ta stratégie de jeu.
PRÉPARATION
1. Lire le manuel et regarder TOUTES les vidéos de préparation
Même si ça semble aller de soi, les meilleures équipes sont celles qui ont acquis une excellente compréhension du fonctionnement de la simulation, ainsi que de la façon dont leurs décisions influeront sur leurs résultats à chaque période. Le manuel explique comment sont calculés les chiffres du bilan et des états financiers, ce qui est extrêmement important pour calculer ses flux de trésorerie à chaque période.
2. Considérer que chaque ronde d’entraînement est le vrai jeu
Il existe deux façons possibles d’appréhender ce que la simulation appelle les « essais de marché » (terme sophistiqué pour parler des rondes de pratique). La première consiste à essayer autant de stratégies différentes que possible pour, finalement, déterminer les aspects dans lesquels l’équipe pourra exceller, et aussi pour en apprendre davantage sur les différentes facettes du jeu. La deuxième façon de faire consiste à décider d’abord de la stratégie à employer en équipe et à se servir des essais de marché pour la mettre en œuvre et se préparer à la simulation réelle. Les deux approches sont aussi valables l’une que l’autre, l’important étant de prendre les essais au sérieux. À ce stade, il faut veiller à rencontrer les autres membres de l’équipe avant de prendre une quelconque décision, tout comme pendant la simulation elle-même, cela pour essayer de terminer en haut du tableau des meneurs. Une équipe qui se bâtit une bonne réputation au début du jeu ne peut qu’être en meilleure posture pour décrocher des prêts et des contrats à long terme, car les autres équipes ont alors plus confiance dans sa capacité à être rentable.
LE JEU LUI-MÊME
3. Établir des relations le plus tôt possible
S’il est un conseil à retenir entre tous pour espérer remporter la compétition Intopia, c’est qu’il faut établir de bonnes relations avec les autres équipes. Quelle que soit la stratégie choisie, il faut travailler avec différents types d’entreprises (équipes). La signature de contrats couvrant de multiples périodes non seulement te permettra d’atténuer le stress de l’équipe, mais te placera aussi dans une bien meilleure posture pour les périodes suivantes, quand viendra le temps d’acheter ou de vendre plus de stocks en raison de l’augmentation de ta capacité de production et de la demande.
4. Tirer parti de sa position dès le début de la simulation
Cette stratégie ne s’applique pas nécessairement à tous les types d’entreprises, mais si tu es un producteur cherchant à étendre ses activités le plus rapidement possible, il pourrait t’être utile de négocier un prêt auprès d’une autre équipe dès l’amorce de la simulation. Mon équipe, par exemple, un fabriquant du produit X, avait le capital nécessaire pour construire quatre usines au cours de la première période. Or, nous avons décidé de tirer parti de cette capacité pour construire une cinquième usine qui nous a finalement permis de disposer de plus de stocks que tous les autres fabricants du même produit X, et cela pendant une grande partie de la simulation. Dans la simulation de stratégie Intopia, les récompenses vont aux équipes qui savent se montrer entreprenantes, parce que toutes les équipes, ou du moins la plupart d’entre elles, sont rentables. Par conséquent, les équipes qui prennent de l’expansion plus vite que les autres obtiennent un avantage sur la concurrence uniquement en raison de l’importance de leurs stocks.
5. Verser des dividendes le plus tôt possible
L’essentiel de la note accordée au titre de la composante Intopia de l’ADM4711 provient de la « valeur ajoutée » comparative qui est attribuable à la stratégie de l’équipe. Le fait de verser des dividendes d’entrée de jeu permet justement d’accroître cette valeur ajoutée et, éventuellement, de favoriser le réinvestissement dans l’entreprise. Il faut chercher à devenir rentable à partir de la quatrième période pour commencer à mobiliser les gains provenant des différents secteurs d’activité et pouvoir verser des dividendes. Voici d’ailleurs un autre bon conseil à suivre pour gagner Intopia : les dividendes versés doivent augmenter de période en période jusqu’à atteindre le montant maximal (99 999 999 $). Inversement, on doit veiller à ne jamais réduire les dividendes d’une période à l’autre, au risque de voir les actionnaires perdre confiance.
6. Maîtriser sa trésorerie
On en revient à la préparation, car il est extrêmement important de bien comprendre ses flux de trésorerie. Une fois qu’on a une bonne idée des liquidités disponibles pour chaque période, on peut commencer à envisager la construction d’usines ou de bureaux de vente. Ton équipe devrait tenir des tableurs détaillés indiquant, entre autres, le seuil de rentabilité et les prévisions en termes de flux de trésorerie et de chiffre d’affaires (CA). Quand, à chaque période, on constate que les extrants correspondent aux projections, non seulement on se sent moins stressés, mais en plus on se place dans une excellente position pour les rondes suivantes.
7. Ne pas perdre de vue la dimension fiscale
Comme les taux d’imposition ne sont pas les mêmes partout, le déplacement de sommes d’un endroit à l’autre peut permettre d’amenuiser l’imputation des gains par l’impôt. De plus, il peut être avantageux de moduler sa stratégie de vente en fonction des taux d’imposition en vigueur localement (on vendra les produits les plus chers là où les taux d’imposition sont les plus bas), afin, à chaque période, d’attribuer une plus grande partie des bénéfices bruts aux bénéfices non répartis.
J'espère que ces conseils t’aident durant la simulation de la stratégie Intopia et qu’ils te permettent de gagner cette compétition. Si tu as d’autres questions, n’hésite pas à communiquer avec moi sur LinkedIn.
- Catégorie : Actualités
Félicitations à Enactus uOttawa pour son succès à la compétition régionale d'Enactus Canada la semaine dernière et ils participeront aux championnats nationaux ! Enactus est une organisation mondiale à but non lucratif qui regroupe plusieurs sections dans différent pays. Son objectif est de permettre aux étudiants d'utiliser l'action entrepreneuriale pour créer un monde meilleur pour nous tous. Enactus forme des leaders étudiants, crée des projets percutants et enseigne aux étudiants de précieuses compétences entrepreneuriales.
L’équipe s’est classé dans 4 catégories différente à la compétition régionale :
Troisième place dans la littératie financière
Deuxième place en environnement
Deuxième place en entrepreneuriat
Première place dans «Youth Empowerment »
Ces résultats signifient qu'ils se présenteront dans la catégorie « Youth Empowerment » à la compétition nationale. L’équipe participera également à la présentation nationale générale qui aura lieu à Vancouver en mai.
Nous souhaitons bonne chance à l’équipe lors des championnats nationaux. Nous sommes fiers de les voir représenter l’Université d’Ottawa sur la scène nationale et espérons voir leur succès les mener au Concours mondial Enactus.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
Le concours Rotman International Trading Competition (RITC) est un événement unique en son genre qui a lieu chaque année à l’École de gestion Rotman de l’Université de Toronto, laquelle se situe dans l’un des plus grands centres financiers d’Amérique du Nord.
L’équipe de cette année était composée de six de nos étudiants en finance les plus performants : Ben Fudali, Jack Lau, Dmitry Shorikov, Shiza Shahzad, Ben Laulan Souilhac et Maxime Gosselin. Ils ont été encadrés par Tarek Kassem, gestionnaire du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance. L’équipe de l’École Telfer a terminé 12e au classement général. Nos étudiants du B.Com. se sont mesurés à d’autres étudiants des programmes de maîtrise et de doctorat, alors que l’Université d’Ottawa faisait partie des quelques écoles à envoyer des étudiants de premier cycle. Les écoles représentées venaient de quatre des cinq continents, et les équipes provenaient d’Australie, d’Italie, de Chine, du Mexique, d’Irlande et d’Islande.
La RITC, qui vient de fêter son 15e anniversaire, est le plus grand défi de marché simulé au monde; elle rassemble des équipes d’étudiants et leur faculté, et ceux-ci représentent plus de 50 des meilleures universités à l’échelle mondiale. À la différence des concours sur les opérations boursières électroniques à distance, la RITC offre aux étudiants, à la faculté ainsi qu’aux commanditaires, l’expérience inestimable de participer à une interaction stimulante en personne, appuyée par notre format de conférence unique.
En voici les points marquants :
1er au classement général – Cas S&P Global Quantitative Outcry (criée quantitative de S&P Global)
Le cas S&P Global Quantitative Outcry (criée quantitative de S&P Global) met les participants au défi d’appliquer leur compréhension de la macroéconomie dans le but de déterminer l’effet des communiqués de presse sur l’économie mondiale, reflétée par le Rotman Index (« RT100 »). L’indice RT100 est un indice composite qui reflète les conditions politiques et économiques ainsi que la conjoncture des marchés à l’échelle mondiale. Les participants seront tenus d’interpréter les communiqués de presse aussi bien quantitatifs que qualitatifs et de réagir en fonction de ceux-ci en se fondant sur leur analyse de l’incidence desdits communiqués sur l’indice en négociant des contrats à terme.
Parmi les 10 meilleurs – cas Fixed Income (revenu fixe)
Le cas Fixed income (revenu fixe) mettra les participants au défi de gérer un portefeuille d’obligations et de réaliser des bénéfices en tirant parti d’erreurs éventuelles dans l’évaluation du prix des obligations entraînées par des changements dans les obligations à coupon zéro et par des écarts de crédit. Ce défi exigera de la part des participants qu’ils comprennent différents types de communiqués et qu’ils évaluent l’incidence de ces derniers sur la courbe de rendement, sur les cotes de crédit ainsi que sur les prix des obligations. Les participants utiliseront alors les tarifs des obligations à coupon zéro pour fixer le prix des obligations du Trésor sans risque. Ils utiliseront également la courbe du rendement et la méthode dite du Z-score d’Altman pour prévoir les changements potentiels dans la cote de crédit des entreprises, et ce dans le but de fixer le prix des obligations d’entreprise à risque.
Parmi les 10 meilleurs – cas BP Commodities (produits de base de BP)
Le cas BP Commodities (produits de base de BP) met au défi la capacité des participants à négocier dans un marché d’offre et de demande du pétrole brut qui est fermé. La production du pétrole brut naturel et sa consommation vont former le cadre au sein duquel les participants vont se livrer à des négociations directes en vue de satisfaire leurs objectifs mutuels. Le cas mettra à l’épreuve la capacité des participants à comprendre la dynamique complexe du marché et à jouer leur rôle de manière optimale, tout en mettant l’accent sur le travail d’équipe et la communication. Il concernera la production, le raffinage, le stockage et la vente du pétrole brut ainsi que de ses produits physiques synthétisés.
- Catégorie : Futurs diplômés
« Que ce soit le personnel ou les initiatives d’échanges, l’expérience était exceptionnelle. Croyez-en un étudiant diplômé à deux reprises de l’École de gestion Telfer et qui n’arrête pas d’y retourner! J’ai vraiment aimé mon séjour ici », déclare Nicolas Legendre, candidat au doctorat en gestion avec un champs d'études en finances. Nicolas a montré un véritable engagement envers la famille de l’École Telfer au cours des sept dernières années : il a obtenu un baccalauréat en sciences commerciales avec option en finances et une maîtrise ès sciences en gestion avec option en finances, puis a complété un an de son doctorat. « Je voulais poursuivre mes études ici en raison de toutes les formidables personnes que j’ai rencontrées à l’École de gestion Telfer et à d’autres facultés de l’Université d’Ottawa », a-t-il ajouté.
En jetant un regard rétrospectif sur son expérience à titre d’assistant à l’enseignement pour différents cours de statistiques, et le fait qu’il a terminé sa maîtrise en sciences et étudie actuellement pour obtenir son doctorat, Nicolas remarque ceci : « En tant qu’étudiant au doctorat, la relation avec la faculté change et devient plus collégiale. Avec les professeurs, par exemple, la relation ressemble moins à celle entre un professeur et un étudiant et davantage à celle entre deux collègues où les deux parties échangent des idées et apprennent l’une de l’autre ».
Grâce à son travail acharné et à son dévouement, Nicolas a reçu la bourse de doctorat prestigieuse du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier. Il déclare :
À titre de bénéficiaire de la bourse de doctorat du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier, j’étais admissible au supplément pour études à l’étranger Michael-Smith et je suis heureux de l’avoir obtenu. Grâce à cette bourse, je mène actuellement une enquête concernant le programme de garantie d’emprunt à Newcastle upon Tyne, au Royaume-Uni, avec le professeur Jonathan Scott à l’Université de Northumbria. Cette expérience m’a permis non seulement d’étudier à l’étranger, mais de faire des recherches sur un sujet qui m’importe : bien que ma thèse de doctorat consiste à examiner le programme de garantie d’emprunt au Canada, cette période de recherche effectuée à l’étranger est directement liée à celle-ci. J’ai également eu l’occasion de passer mes fins de semaine à voyager partout à Newcastle pour visiter des monuments comme le château d’Alnwick que l’on voit dans les films de Harry Potter et pour apprendre peu à peu la culture de la région au nord-est de l’Angleterre. Voilà ce que je retiens de cette expérience jusqu’à présent!
Nicolas a reçu la Bourse doctorale Lilian-et-Swee-Chua-Goh. Lilian et Swee Chua Goh seront reconnus en tant que donateurs de l’année au Gala d’excellence Telfer le 21 octobre 2017.
Ajoutez Nicolas Legendre à votre réseau en suivant ce lien : www.linkedin.com/in/legendrenicolas.
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- Catégorie : Futurs diplômés
Étudiant au B.Com. - J.D. et ayant bénéficié de l’initiative des consultations de première année, Jordan Samaroo entame maintenant sa deuxième année d’études à l’École de gestion Telfer. D’après Jordan, ce qui rend l’École Telfer unique, c’est « son respect de l’esprit entrepreneurial inhérent à tous les étudiants en commerce. Qu’il s’agisse de la liste exhaustive de clubs auxquels il est possible de s’inscrire et qui couvrent toutes les disciplines liées au commerce, du Fonds de capital, des compétitions de cas d’affaires stimulantes ou de l’excellence universitaire, l’École Telfer embrasse les aspirations de tous ses étudiants. À mon avis, de telles aspirations encouragent une saine compétition qui permet de faire avancer le monde des affaires et qui incite les étudiants à se donner au maximum. »
Membre de l’Association de droit des affaires Telfer (ADAT) et étudiant en sciences commerciales et en common law, Jordan dit aimer faire partie d’un club dont l’objectif est d’établir des liens avec les étudiants en commerce de premier cycle qui s’intéressent au domaine du droit et qui envisagent de fréquenter une école de droit. Grâce à l’ADAT, Jordan a pu participer à des événements tels que la compétition de simulation de procès, aider à coordonner la planification de la retraite pour le comité exécutif et s’exprimer au nom de l’ADAT lors de la compétition universitaire Place à la jeunesse. Il se dit motivé à participer à toutes les activités que l’École Telfer et l’Université d’Ottawa ont à offrir, car il est convaincu que la participation étudiante est la pierre angulaire de l’intégration universitaire.
Réfléchissant à la décision difficile qu’a été le choix d’une université qui saurait répondre à ses besoins, Jordan explique : « Choisir l’université où je voulais étudier n’a pas été de tout repos, mais il est clair que l’École Telfer était le bon choix. En ma qualité d’étudiant bilingue, j’estime que l’expérience bilingue offerte par l’École Telfer est sans pareille. La possibilité d’étudier dans les deux langues, combinée à la possibilité d’explorer deux domaines qui me passionnent – le commerce et le droit–, m’a permis d’améliorer mes compétences langagières sans pour autant sacrifier les sujets d’étude qui m’intéressent vraiment. Une université bilingue, par cette seule qualité, offre une expérience d’apprentissage enrichissante à tous ses étudiants. »
Jordan souhaite donner un conseil aux étudiants du secondaire qui délibèrent sur le choix de leur université : « Choisir une université englobe bien plus qu’une simple évaluation des moyennes; c’est choisir l’établissement qui pourra vous offrir la meilleure expérience étudiante qui soit. De mon côté, l’École Telfer offrait tout ce que je recherchais : des compétitions et des études de cas intenses, des professeurs hors pair, d’excellents programmes coop et de bonnes perspectives d’emploi. L’École travaille activement à ce que chaque étudiant puisse trouver ce qui compte pour lui. Pour ces raisons et bien plus encore, je vous recommande l’École Telfer : vous ne regretterez pas votre choix! »
- Catégorie : Futurs diplômés
« À Telfer, vous allez non seulement élargir vos connaissances, mais aussi acquérir des compétences et de l’expérience pertinente – c’est ce que je dis chaque fois qu’il y a une journée portes ouvertes à l’École de gestion Telfer et je crois que cette phrase résume bien la raison pour laquelle je crois que l’École se démarque. Peu importe l’école de gestion que vous fréquenterez en Ontario, vous retrouverez une merveilleuse expérience d’apprentissage en salle de classe. Toutefois, l’École Telfer excelle en offrant aux étudiants une panoplie d’expériences comme les compétitions d’analyse de cas, le programme coopératif et de mentorat, contribuant à faire démarquer nos étudiants des 20 000 autres diplômés en commerce peu importe leur année d’études » déclare Lawrence Quan, un étudiant en voie de complétion de son Baccalauréat en sciences commerciales avec option en marketing.
Tout au long de ses études, Lawrence a profité des possibilités à sa portée et s’est impliqué dans diverses initiatives, y compris l’événement CASCO, la Semaine 101 et le programme coop. Il a également travaillé à titre d’assistant à l’enseignement et a participé au Programme de développement en marketing numérique. « Faire partie d’un club est une excellente façon de rencontrer des gens. Je peux regarder en arrière et dire que ma participation aux clubs et aux activités à l’École Telfer représente environ 80 % de mes souvenirs universitaires. Si j’allais tout simplement à mes cours, au travail et chez moi, j’aurais manqué les multiples occasions et les expériences incroyables qu’offrait l’École Telfer. »
Lawrence a pu combiner les possibilités offertes au sein de la communauté Telfer et concilier sa passion pour le hockey avec son objectif de carrière, soit devenir un stratège en marketing. Tout ceci grâce au placement coopératif à l’École Telfer : « Mon dernier stage de travail du programme coopératif était au sein de l’équipe de gestion des marques mondiales d’EA Sports NHL. Tous les amateurs de hockey au Canada ont grandi en jouant à ses jeux vidéo. Mon rêve d’obtenir ce poste s’est réalisé et m’a permis d’être payé pour penser au hockey toute la journée et tous les jours. »
Comme il le mentionne, ce n’est pas seulement le travail pratique qui est important pour les étudiants, mais le réseau de contact professionnel qu’ils développent : « L’École de gestion Telfer fait partie de l’excellent monde des affaires à Ottawa. Les professionnels sont ravis d’aider les étudiants, de leur donner des conseils et de leur offrir du mentorat. L’École de gestion Telfer permet aux étudiants d’entrer en communication avec ces professionnels, de les questionner et de profiter de leurs connaissances au sein de cette communauté. »
Lawrence travaille actuellement à FarmLead, une jeune entreprise canadienne axée sur la technologie agricole, à titre de spécialiste de l’acquisition de clients. Il est responsable de la publicité numérique de FarmLead et de la stratégie d’optimisation pour les moteurs de recherche. Il attribue sa réussite dans le milieu de travail à son engagement communautaire. « Votre succès dans l’obtention d’un emploi ne dépendra pas seulement de vos notes. Ces dernières vous permettront peut-être d’obtenir une entrevue, mais ce sont vos autres expériences qui vous permettront d’obtenir le poste. »
Ajoutez Lawrence Quan à votre réseau en suivant ce lien : www.linkedin.com/in/lawrencenathanquan.
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« Si je devais choisir ce que je préfère à l’École de gestion Telfer, je répondrais que ce sont les gens », déclare Emma Azzi, candidate à la maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’École de gestion Telfer.
Après une expérience de premier cycle exceptionnelle à l’École de gestion Telfer, il était évident pour Emma Azzi qu’elle voulait poursuivre ses études. À ses yeux, l’engagement de l’École de gestion Telfer à l’égard de l’excellence, son dévouement à créer un environnement positif et amical et son sens aigu de la communauté étudiante ont tous été des facteurs qui ont influencé sa décision de poursuivre son MBA à l’Université d’Ottawa.
Élue directrice des MBA Games en janvier 2017, Emma devait constituer une équipe d’étudiants de l’École de gestion Telfer qui se rendrait à l’Université Vancouver Island pour représenter l’Université d’Ottawa aux MBA Games. Cette compétition organisée pour l’ensemble du Canada rassemble des étudiants qui s’affrontent dans des épreuves scolaires, sportives et culturelles. Emma savait donc que sa passion pour les défis, l’aventure et les occasions de réseauter serait nourrie.
Après avoir concouru aux jeux dans la petite mais non moins redoutable équipe de l’École de gestion Telfer composée de 16 étudiants, Emma savait qu’elle voulait entrer dans les annales de l’histoire des MBA Games. « Il me suffisait de savoir comment m’y prendre. »
L’occasion parfaite s’est présentée lorsque l’Université Vancouver Island a annoncé un appel d’offres pour organiser les MBA Games de 2018. Avec l’aide du professeur Greg Richards, Emma a présenté une proposition expliquant pourquoi l’École de gestion Telfer serait la candidate idéale pour accueillir les prochains jeux.
« Et finalement, nous avons gagné! Je suis désormais présidente des MBA Games de 2018, prête à assumer avec grand enthousiasme la tâche d’accueillir plus de 20 universités à Ottawa en janvier prochain à l’occasion de la 30e édition des MBA Games. Les jeux n’ont jamais été organisés dans la capitale. Savoir que j’ai contribué à les amener ici est l’un des plus grands moments de fierté de toutes mes études universitaires à l’École de gestion Telfer », déclare Emma.
Emma reconnaît que les difficultés auxquelles elle a été confrontée pendant son premier cycle l’ont menée là où elle est aujourd’hui, mais qu’elle n’y aurait rien changé. Elle explique : « Je sais que chaque notion apprise pendant ma formation à l’École de gestion Telfer me donnera davantage de confiance en moi en tant que professionnelle et me permettra de mieux défendre les intérêts des entreprises et de mieux travailler en équipe. Toutes ces qualités et compétences seront cruciales pour façonner ma carrière. »
Ajoutez Emma à votre réseau en suivant ce lien : https://www.linkedin.com/in/emmaazzi.
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CASCO, une organisation de bienfaisance dirigée par les étudiants, a organisé son deuxième tournoi annuel de golf le dimanche 28 mai 2017. Grâce aux vigoureux efforts collectifs déployés par les membres de la direction de CASCO, ces derniers ont réussi à amasser 5 414 $ qui feront partie du montant total du chèque qu’ils remettront au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) lors de leur gala annuel qui aura lieu le 29 novembre 2017 au Infinity Convention Centre.
Conor O’Doherty, le président de CASCO, a discuté de la participation de ses camarades de classe à cette initiative : « Je suis extrêmement fier de tout le travail que l’équipe de direction de CASCO a réalisé pour organiser notre tournoi de golf. Son dévouement à notre cause et sa volonté de s’impliquer ne cesseront jamais de m’impressionner. Notre mission qui consiste à amasser des fonds pour le CHEO n’aurait jamais pu être réalisée sans l’engagement de cette équipe. J’ai hâte de voir comment elle continuera de m’impressionner tout au long de l’année. »
À propos de CASCO
CASCO est une organisation de bienfaisance dirigée par les étudiants à l’Université d’Ottawa. Composé principalement d’étudiants de l’École de gestion Telfer, le club permet aux étudiants de mettre en pratique leurs connaissances en affaires afin de sensibiliser les gens, de recueillir des fonds pour des causes caritatives et de promouvoir la responsabilité sociale des entreprises. Entamant maintenant sa 18e année d’activité, CASCO a amassé plus de 500 000 $ pour le CHEO afin d’aider ce dernier à acheter du nouveau matériel et de venir en aide aux familles dans le besoin.
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En avril 2017, les étudiants du cours de 4e année, Études de cas en comptabilité (ADM 4340), ont présenté leur projet final dans le cadre de la compétition d’étude de cas CPA.
Félicitations à l’équipe gagnante :
- Jordano Gonzalez
- Sarah Morin
- Zachary Princi
- Vaughn Asher Sapers
- Iskandar Nasrallah
Nous avons demandé aux membres de l’équipe gagnante de nous faire part de leur expérience et de leurs projets après l’obtention de leur diplôme puisque la plupart d’entre eux terminent leurs études ce trimestre.
Jordano propose d’abord quelques conseils aux étudiants qui suivront ce cours l’an prochain. Il explique qu’il est essentiel d’être confiant pendant sa présentation si l’on veut que l’auditoire adhère à ses propos. Il suggère également de bien se préparer pour la période de questions, qui peut s’avérer très stressante. Après l’obtention de son diplôme, Jordano se joindra à RCGT (Raymond Chabot Grant Thornton) à titre de consultant.
Tout comme Jordano, Sarah terminera ces études ce trimestre. Elle travaillera à la fonction publique tout en cherchant à obtenir son titre de CPA. Cette compétition a été la dernière de ses études de premier cycle. « Je n’oublierai pas cette présentation de sitôt, et bien franchement, c’est plutôt génial que ce soit la dernière de mon baccalauréat », dit-elle.
Zach se passionne pour l’entrepreneuriat et a cofondé une entreprise en démarrage appelée Eephorea, une entreprise de production et de promotion d’expériences de divertissement en direct. Après ses études, il espère faire croître son entreprise et contribuer à mousser l’industrie des spectacles et de la musique sur scène ici à Ottawa. Il sera également intégré dans un poste à temps plein à la Chambre des communes en tant qu’agent comptable.
Pour sa part, Vaughn travaille actuellement à l’Agence du revenu du Canada, où il sera recruté à temps plein après ses études. Il lui tient à cœur d’utiliser son diplôme, son expérience et les connaissances acquises durant ses études pour aider à lutter contre ceux qui abusent de nos systèmes financiers et fiscaux.
Finalement, Iskandar a démarré sa propre entreprise de préparation de déclaration de revenus, qui se spécialise en déclarations de revenus d’étudiants. Il vise ainsi à donner aux étudiants en comptabilité la possibilité d’acquérir de l’expérience en remplissant les déclarations d’autres étudiants à peu de frais. Son associé et lui ont obtenu une subvention gouvernementale et ont fait l’objet d’un article dans la section affaires de la revue Glue.
Nous félicitons l’équipe gagnante et leur souhaitons beaucoup de succès dans leurs projets d’avenir!
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