Diplômés aux commandes
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Taylor Linseman, de l'École de gestion Telfer et récipiendaire du prix Robert Wood Johnson, a toujours eu une passion pour la gestion des soins de santé. En 2007, Taylor Linseman obtient un baccalauréat en sciences de la vie de l'Université Queen's. Cette même année, elle commence sa carrière à Dublin en Irlande, où elle a été gestionnaire de services de soins à domicile pour des personnes handicapées physiques et mentales. Cette carrière mène ensuite Taylor à Melbourne, en Australie, où elle dirige un programme d'approche communautaire qui appuie les adolescents handicapés, atteints de troubles de mentaux et connus du système de justice pénale. Depuis son retour au Canada, Taylor Linseman a travaillé dans les domaines de la santé des Autochtones et des services aux jeunes.
Après avoir décidé de poursuivre un enseignement universitaire supérieur en 2012, Taylor Linseman a choisi le programme de maîtrise en gestion des services de santé de l'École de gestion Telfer, en raison de son lien étroit unique avec la maîtrise en administration des affaires (MBA). En 2013, elle a obtenu la maîtrise en administration des affaires (MBA) de l'École de gestion Telfer et elle est entrée à la société Beta Gamma Sigma en mars dernier. Possédant de solides bases en gestion et forte d'une expérience en matière de soins communautaires, Taylor Linseman est très enthousiaste à l'idée de poursuivre sa carrière en soins de santé au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario. Elle gère actuellement le programme Réseau Ado : un service de soutien en santé mentale par les pairs pour les adolescents des régions de l'est de l'Ontario et de l'ouest du Québec. La passion de Taylor Linseman pour le soutien aux populations vulnérables se manifeste tant dans sa vie professionnelle que personnelle. Elle est également fière d'être vice-présidente bénévole du conseil d'administration de la Therapeutic Riding Association of Ottawa-Carleton pendant son temps libre. Taylor Linseman prévoit continuer son apprentissage en collaborant avec le Collège canadien des leaders en santé et espère avoir un impact sur l'accessibilité au sein de notre système au cours de son avenir dans le domaine des soins de santé.
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Le Regroupement des gens d’affaires de la Capitale nationale (RGA) a récemment honoré les lauréat(e)s des Prix d’excellence 2014, annoncés lors de son Gala de l’excellence qui s’est déroulé samedi soir, le 12 avril, au Centre des congrès d’Ottawa.
Le Gala de l’excellence 2014 du RGA a attiré plus de 700 personnes, incluant des membres du RGA, gens d’affaires, hauts dirigeants et politiciens de l’Est ontarien et de l’Outaouais.
Ce rendez-vous annuel unique du RGA honore des gens d’affaires qui se sont distingués à la fois par les performances de leur entreprise, leur engagement social ou communautaire et leur reconnaissance de l’importance du bilinguisme en affaires.
Nous tenons à féliciter tous les lauréats, dont deux de nos diplômés qui se sont illustrés et qui ont reçu un prix :
Marc Lebouthillier (MGSS 1982) : Dirigeant de l’année
Directeur général, Hôpital de Hawksbury & District
Eugène Tassé (Diplômé de la classe de commerce 1944, D.U. 2009): Prix coup de cœur – Philanthropie
Photo: Joanne Lefebvre, Présidente-directrice générale du RGA; Eugène Tassé; Denis Bouchard, Directeur général de Bell Média Inc.
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L’Association of University Technology Managers (AUTM), basée aux États-Unis, a remis son prix canadien pour l’année 2014 à Joe Irvine, Directeur de la valorisation de la recherche et transfert de technologie à l’Université d’Ottawa. Le prix a été décerné à M. Irvine pour son impact dans la communauté du transfert de technologie.
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Le 21 novembre dernier, le Ottawa Business Journal et la Ottawa Chamber of Commerce ont organisé les « Best Ottawa Business Awards » (BOBS), commandités par l’École de gestion Telfer. Au cours de cet événement, les entreprises les plus performantes d’Ottawa furent célébrées. Harley Finkelstein (JD-MBA 2009) a donné un discours percutant inspiré de son cheminement entrepreneurial. L’École Telfer et le doyen François Julien, qui était parmi les invités, sont fiers qu’autant de diplômés soient affiliés aux meilleures organisations d’Ottawa.
Félicitations à Paul Loucksand qui a été nommé PDG de l’année. Il sera le conférencier vedette de notre prochain petit-déjeuner des anciensé
Félicitations à Wes Nicol qui a reçu le « Lifetime Achievement Award » pour avoir entre autres choses, mis sur pieds une compétition annuelle en entrepreneuriat regroupant 17 écoles de gestion canadiennes, incluant l’École Telfer.
Félicitations aux entreprises gagnantes :
- A Hundred Answers
- Abbott Point of Care
- Acart Communications
- Cadillac Fairview / Rideau Centre
- Christie Walther Communications
- Events Ottawa Partnership
- Farm Boy
- Giant Tiger
- Halogen Software
- HazloLaw - Business Lawyers
- Health Wave
- Mitel Networks
- OakWood Renovation Experts
- prairieFyre
- Pythian
- Rimikon
- Ross Video
- Shopify
- Soshal
- TUC Managed IT Solutions
- Windmill Developments
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Le maire Jim Watson a annoncé aujourd’hui que 15 résidents deviendraient sous peu membres de l’Ordre d’Ottawa lors de la cérémonie officielle du 21 novembre 2013 à l’Hôtel de ville.
Ce prestigieux prix municipal a été créé en 2012 par le maire et les membres du Conseil municipal. Les récipiendaires de l’Ordre d’Ottawa de cette année ont été choisis par un comité de sélection formé du maire, du greffier municipal et chef du contentieux, du chef de police, de la chef du protocole, de l’archiviste de la Ville et de la directrice générale de la Bibliothèque publique.
« L’Ordre d’Ottawa s’adresse à des résidents remarquables que l’on veut honorer pour les services louables qu’ils rendent à notre ville, explique le maire Watson. Je suis heureux de souligner les contributions de ces personnes incroyables qui font une différence dans la vie des gens de notre communauté grâce à leurs nombreux efforts professionnels, axés sur les résidents. »
L’Ordre d’Ottawa célèbre les contributions exceptionnelles des résidents dans le cadre de leur vie professionnelle, à de nombreux aspects de la vie de notre ville, tels que les arts et la culture, les affaires, les services communautaires, l’éducation, la fonction publique, le monde du travail, les communications et les médias, les sciences, les sports, les loisirs ou d’autres domaines contribuant au bien-être des résidents d’Ottawa.
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Félicitations à Denis Coderre, diplômé du programme de MBA pour cadres, qui a été élu maire de Montréal le 3 novembre 2013.
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Brennan Loh me rejoint à 9 h à la réception des tout nouveaux bureaux de Shopify, au cœur du Marché By. Nous parcourons ensemble les couloirs colorés, tapissés de haut en bas de tableaux noirs ou de peinture vert fluo, de dessins de toutes sortes, y compris une découpe grandeur nature de Chuck Norris. Les employés de Shopify reçoivent une allocation annuelle pour décorer leur bureau comme bon leur semble. Voilà une culture de créativité et de liberté!
« Cet endroit est incroyablement propice à la créativité, à l’expérimentation, à l’action et à la discussion », confirme Brennan qui, à 24 ans, est directeur du développement chez Shopify. Établie à Ottawa, Shopify est une plateforme de commerce électronique qui permet aux particuliers et aux entreprises de créer des magasins en ligne personnalisés. L’entreprise sert plus de 60 000 détaillants actifs, qui ont traité des commandes totalisant plus de 35 millions de dollars et généré quelque deux milliards de dollars de vente au détail en ligne.
Harley était rompu à ce genre de partage et d’échanges. Quelque temps après son entrée à l’Université d’Ottawa, il avait été présenté à un groupe d’entrepreneurs d’Ottawa qui se réunissaient chaque semaine dans un café local pour parler affaires et brasser des idées. C’est là qu’il a rencontré Tobias Lütke, un jeune Allemand qui dirigeait un magasin de planches à neige et qui s’apprêtait à créer une société logicielle : Shopify. Harley se trouvait dans une situation similaire. Il souhaitait transférer sur le Web l’entreprise concessionnaire d’impression de t-shirts qu’il avait fondée pendant son bac pour rester en affaires tout en poursuivant ses études. « Je suis devenu un des premiers clients de Shopify », dit-il.Diplômé de l’École de gestion Telfer, Brennan est arrivé chez Shopify en 2010, après avoir créé sa propre entreprise, baptisée Avitu, avec deux étudiants en génie de l’Université d’Ottawa. Tous trois travaillaient avec acharnement au projet Avitu dans un appartement surchauffé jusqu’à ce qu’un autre ancien de l’Université leur offre de partager les locaux de Shopify. Cet homme, c’est Harley Finkelstein, diplômé du programme conjoint de licence en droit et de maîtrise en administration des affaires, et principal responsable de plateforme chez Shopify. « Shopify s’est toujours investie dans la communauté et a toujours voulu faciliter l’essor des entreprises à Ottawa, explique Brennan. On y trouve une grande ouverture d’esprit et une indéniable volonté de partager. C’est une vision qui rappelle beaucoup Silicon Valley. »
Brennan estime que le temps consacré à Avitu (qui a commencé comme un projet d’université) a eu une valeur inestimable. Le projet lui a permis de mettre en pratique ce qu’il apprenait en classe. De plus, sa collaboration avec deux ingénieurs a été très profitable : elle lui a permis d’avoir de longues conversations réfléchies avec ses cofondateurs et « de comprendre non seulement les motifs commerciaux de la création d’un produit, mais aussi le raisonnement préalable ». Il a également profité du fait qu’ils partageaient les bureaux de Shopify pour discuter chaque semaine de pratiques éprouvées et de stratégies d’affaires avec Harley. « C’était un peu mon mentor. Il m’a suggéré diverses façons d’envisager la technologie », poursuit Brennan.Mais Harley savait qu’il pouvait faire plus. Diplôme en poche, il est entré dans un cabinet d’avocats de Toronto, mais s’est rendu compte qu’il cherchait une carrière plus créative. « J’avais l’impression que le droit consistait à atténuer les risques alors que l’entrepreneur en moi voulait plutôt prendre des risques! J’entendais les gens parler d’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, mais moi, je ne crois pas à ce partage entre ce qui est travail et ce qui ne l’est pas. Je veux consacrer mes journées à ce que j’aime, et être entrepreneur, c’est exactement ça », dit-il. Harley est vite rentré à Ottawa et s’est joint à Tobias, comme principal responsable de plateforme pour Shopify.
En 2010, Brennan et ses associés décident de laisser Avitu et de se joindre à Shopify. « À la rentrée, nous étions hantés par le problème des études de Matt et Dan [cofondateurs d’Avitu], qui en étaient aux deux dernières années du programme de génie. C’est le pire temps pour tenter d’exploiter simultanément une entreprise à temps plein. Quant à moi, j’en étais aux six derniers mois de mon programme d’études. Le manque de temps nous tuait. Il fallait faire quelque chose, mais nous n’y arrivions pas. Puis Shopify nous a offert un emploi et ça nous est apparu comme une suite logique. »
« Nous encourageons vraiment les gens à agir en propriétaires, souligne Harley. Nous les encourageons à échouer rapidement et à le faire avec élégance. Trouvez quelque chose que vous aimerez faire chaque jour. Pour moi, c’est diriger une entreprise. Pour Brennan, c’est trouver de nouveaux clients. Pour nos concepteurs, c’est trouver de nouvelles et belles idées et pour nos ingénieurs, c’est concocter de fabuleux logiciels. »Harley et Brennan continuent de créer et d’exploiter leur fibre d’hommes d’affaires. Ils sont mus par la passion et par l’amour de ce qu’ils font, un trait qu’ils disent partager avec chacun des 265 employés de Shopify.
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Nous célébrerons le succès grandiose de cinq diplômés qui ont contribué de manière exceptionnelle au monde des affaires, à leur collectivité et à leur alma mater. Les médailles Trudeau, le prix Jeune Phénix et le prix Philos du doyen seront décernées lors du Gala de l’excellence 2013 de l’Association des anciens de l’École de gestion Telfer qui aura lieu le 26 octobre 2013 au Centre des congrès d’Ottawa.
Médailles Trudeau
La médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés. Les récipiendaires de cette année sont:
Cathy Lewis, EMBA 2007
Dennise Albrecht, MGSS 1990
Michael McFaul, B.Adm. 1982
Prix Jeune Phénix
Le prix Jeune Phénix a été créé à l'occasion du 30e anniversaire de l'École de gestion Telfer, reconnaît l'excellence de jeunes diplômés (moins de 40 ans) ayant relevé d'important défis dans un temps remarquable. Le récipiendaire de cette année est:
Prix Philos du doyen
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer. Le récipiendaire de cette année est:
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Lorsqu'on lui demande de décrire les avantages qu'il a tirés du programme MBA pour cadres en tant qu'entrepreneur et futur président-directeur général, voici ce que répond Michael Alam :
« J'aurais pu subir 20 affreuses années sur le marché du travail avant d'apprendre tout ce qui m'a été transmis au cours des deux années du programme. »
Âgé de 34 ans, le fondateur et président-directeur général de l'entreprise Valydate Inc. a vécu les hauts et les bas du secteur de haute technologie de la région de la capitale nationale depuis les jours grisants du boom des télécommunications et s'est réinventé en cours de route.
Il a obtenu un baccalauréat en systèmes informatiques de l'Université Carleton en 2002 et a agi à titre d'ingénieur au sein de Nortel Networks. Après la chute du marché, il est entré au service d'une jeune entreprise d'évaluation de l'étude, soit l'entreprise CoreSim, à titre de cofondateur technique. Depuis, Ken Bradley, qui était président-directeur général de l'entreprise, est un estimé mentor.
Quelques années plus tard, lorsque l'entreprise a été vendue à Celestica, M. Alam cherchait une nouvelle occasion avec une plus petite entreprise à caractère plus entrepreneurial. Il a alors occupé un poste au sein de Fidus Systems, une entreprise de développement de produits électroniques.
Bien que son expérience au sein de Fidus System lui ait permis de « s'épanouir considérablement » et de travailler dans les ventes internationales et l'expansion de l'entreprise, M. Alam avait soif d'en apprendre davantage en suivant une formation commerciale pratique qui complèterait son expérience de travail.
Une formation commerciale fondée sur la réalité
Il s'est renseigné sur plusieurs programmes MBA, mais il trouvait que la plupart attiraient les étudiants de premier cycle et reposaient fortement sur la formation en salle de classe. Il avait besoin d'un programme adapté à des professionnels d'entreprise expérimentés partageant les mêmes aspirations professionnelles qui lui permettrait d'acquérir les compétences nécessaires en gestion en vue de réaliser son plus grand rêve : fonder sa propre entreprise à titre de président-directeur général aux commandes.
En fin de compte, il a choisi le programme MBA pour cadres de l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa. Dans ce programme, il a donc pu tirer profit d'une combinaison parfaite de professeurs chevronnés, d'une cohorte de professionnels d'entreprise avec lesquels il partageait des points communs ainsi que d'un programme centré sur le travail d'équipe et la gestion de la dynamique d'un groupe, qui consistent tous en des facteurs inhérents au succès de n'importe quelle entreprise.
« Environ 50 % des projets que j'ai effectués au cours de la formation MBA pour cadres se rapportaient à mon expérience de travail quotidien au sein de Fidus Systems, révèle-t-il. J'ai grandi énormément en tant que personne. Le corps professoral oriente les étudiants tout au long du processus afin qu'ils comprennent et leur transmet de nouvelles connaissances. Par ailleurs, en tant que candidats du programme MBA pour cadres travaillant en équipes, nous avons été aux prises avec des problèmes que nous devions rencontrer, nous avons eu des différends et nous avons ensuite appris à travailler ensemble. »
M. Alam a d'ailleurs appris l'importance d'établir des relations fondées sur la confiance, l'ouverture et l'honnêteté ainsi que d'avoir un réseau de mentors et de conseillers chevronnés. Le programme lui a offert les outils dont il avait besoin pour lancer Valydate, une entreprise d'examen et de validation électroniques. En 2009, il a reçu un prix « 40 professionnels de 40 ans et moins » de l'Ottawa Business Journal pour ses réalisations. L'année dernière, Investir Ottawa l'a reconnu comme l'un de ses PDG à surveiller.
Trois années couronnées de succès et encore plus à venir
Entamant maintenant sa quatrième année d'activité, l'entreprise Valydate a été rentable depuis son lancement et le nombre de clients et d'employés ainsi que ses revenus ont doublé tous les ans. Elle travaille avec des multinationales de partout dans le monde dans les secteurs des télécommunications, de la défense et de l'aérospatiale, de la photonique, de l'industrie et de la médecine. Chacune des étapes de son développement a constitué un risque soigneusement calculé pour M. Alam, qui, en ce qui a trait au domaine de l'entrepreneuriat, n'est pas d'accord avec la mentalité du tout ou rien adoptée par des fondateurs qui risquent de tout perdre en utilisant leurs biens personnels afin de mobiliser des capitaux pour le développement de leur entreprise.
« Ne dépassez jamais cette limite où votre emploi et les risques que vous prenez dans le cadre de cet emploi peuvent aboutir au point où quelqu'un vient saisir vos meubles », partage-t-il avec les candidats actuels du programme MBA pour cadres de l'École de gestion Telfer. « Recherchez des tremplins plus sûrs plutôt que de vous jeter la tête baissée dans une affaire. »
Par ailleurs, il met toujours l'accent sur l'importance d'avoir un groupe de rétroaction composé de mentors dignes de confiance qui détiennent l'expérience et les perspectives sur lesquelles on peut compter.
« Même si vous croyez bien connaître une industrie, n'oubliez pas que vous ne savez pas tout », conclut-il.