Diplômés aux commandes
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Vers une culture d’entraide
Je suis arrivée à l’École Telfer il y a presque 30 ans en tant que jeune étudiante, incertaine de mes compétences. Je n’avais nullement besoin de m’inquiéter : mes professeurs m’ont donné tous les outils dont j’avais besoin pour réussir. Mieux encore, ils ont éveillé en moi une confiance dont je n’avais pas conscience – l’assurance de me voir dans un poste de haut niveau, d’être la dirigeante d’une organisation prospère et d’améliorer les conditions de ma collectivité grâce à des dons.
J’ai donc fait de cette vision une réalité, en devenant une haute dirigeante dans l’une des premières banques en importance au Canada et en contribuant activement à de nombreux organismes de bienfaisance. Pourtant, en gravissant les échelons professionnels, j’ai pu constater qu’il y avait encore moins de femmes en philanthropie qu’il n’y en avait dans des postes de direction. Des générations d’hommes ont pu s’appuyer sur d’autres hommes en tant que mentors et guides dans leurs vies professionnelles, mais les femmes n’ont pas eu ce luxe, que ce soit en tant que cadres ou en tant que philanthropes.
J’ai décidé de changer cela. Pour offrir aux femmes de carrière en devenir les modèles dont elles avaient besoin, j’ai commencé à agir à titre de mentore en matière de philanthropie. À mesure que ces dernières jeunes femmes s’impliquaient de plus en plus en tant que philanthropes, elles devenaient mentores à leur tour. Nous avons créé une communauté féminine qui encourage d’autres femmes à cultiver la générosité parallèlement à leurs réussites professionnelles. Lentement, mais sûrement, ce groupe grandissant de femmes a ouvert la voie à des relations basées sur l’entraide.
Notre travail est loin d’être terminé. Nous devons nous assurer que les femmes continuent d’avoir des exemples éloquents de philanthropie qu’elles peuvent reproduire. Nous devons favoriser une culture d’entraide et, ce faisant, laisser derrière nous un chemin parsemé d’une générosité plus claire et plus grande dans l’espoir de guider les autres.
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Les profits, les personnes et la planète. Mieux connu sous le terme de « triple performance », ce concept se démarque par l’inclusion de certaines sphères, sociale et environnementale, dans l’exercice d’évaluation de la rentabilité d’une entreprise. C’est à partir de cette même vision que The Unscented Company, une gamme composée de produits corporels et ménagers sans parfum, voit le jour. Lancée sur le marché en 2016, cette marque s’appuie sur deux principes fondamentaux qui ont grandement inspiré la fondatrice et PDG, Anie Rouleau, dans le processus créatif de son entreprise. « Tout d’abord, il était important de redéfinir la notion de propreté en offrant exclusivement des produits naturels et sans parfum. Ensuite, les emballages devaient être conçus pour faciliter un mode de vie durable, et ce, dans le but de réduire de façon importante l’empreinte plastique collective. »
La philosophie d’Anie repose sur un modèle où la transparence, l’inclusivité et la responsabilité s’entremêlent. Plus concrètement, c’est « l’homme ou la femme qui maintient sa vision tout en restant en accord avec ses convictions profondes, et ce, même en période difficile » qui lui sert d’inspiration. D’ailleurs, c’est grâce à cette même vision innovatrice que l’entreprise d’Anie s’est vu octroyer la certification B Corp, faisant de The Unscented Company la première entreprise canadienne de produits corporels et ménagers à être certifiée.
« Je retrouve le vrai bonheur dans l’action de redonner. Je veux contribuer à un meilleur monde et j’aime bâtir l’entreprise de demain. » Ce même désir de faire une contribution à la société peut d’ailleurs être illustré par la Bourse d’échange international Anie Rouleau. Créée en 1999, cette bourse permet non seulement d’offrir à des jeunes la possibilité de poursuivre leurs études à l’étranger, mais encourage aussi les jeunes femmes à se tailler un chemin vers l’entrepreneuriat. « Chaque lettre de remerciement que je reçois des récipiendaires me rappelle à quel point il est important de redonner et de participer à la vie universitaire des jeunes. »
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Par Michelle Hibler
L’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa a décerné le prix Diplômé de l’année à Guy Laflamme (MBA 1989), diplômé de l’École Telfer. Ce prix rend hommage à un diplômé qui s’est distingué par ses réalisations exceptionnelles au cours de l’année précédente
Oubliez John A. Macdonald et les Pères de la Confédération. Pour célébrer le 150e anniversaire du Canada dans la capitale, le directeur général et producteur d’Ottawa 2017, Guy Laflamme, penchait plutôt du côté de créatures géantes cracheuses de feu, d’un pique-nique sur le pont et d’une aventure souterraine dans un décor de science-fiction.
Ayant reçu carte blanche du maire d'Ottawa Jim Watson pour programmer une année de célébrations qui dynamiserait l’image d’Ottawa, Guy Laflamme (B.Sc.A. 1983, MBA 1989) a laissé libre cours à son imagination dans un plan d’affaires de 300 pages rédigé à sa maison des Îles-de-la-Madeleine. « Je me suis donné une liberté totale sur le plan artistique et j’ai pu mettre à profit toute mon expertise en stratégie d’entreprise », dit-il.
Il a aussi tiré parti de ses 25 années d’expérience en marketing et en production de grands événements pour des organismes comme Patrimoine canadien, la Commission de la capitale nationale et le Casino du Lac-Leamy.
Ses efforts enthousiastes pour amener du jamais vu à Ottawa ont porté fruit : son programme de célébrations et d’événements de 40 millions de dollars en a rapporté 300 à la ville. Ce succès lui a valu l’Ordre d’Ottawa et le Prix d’excellence de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario pour l’ensemble de sa carrière. Il a aussi été nommé « Personnalité de l’année » Radio-Canada/Le Droit pour sa vision, son imagination débridée, sa détermination, son énergie et son audace incroyable.
« De tout ce que j’ai fait de plus impressionnant, je suis surtout fier d’avoir pu influencer des milliers d’étudiants ». Au cours de ses 15 années comme professeur à temps partiel à l’École Telfer, il s’est démarqué en pilotant la campagne de bienfaisance « Le Niger, c’est notre affaire » et en amenant ses étudiants à travailler avec des organismes sans but lucratif pour leur projet final en marketing stratégique.
En 2005, il fut décerné la médaille Trudeau, l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer à ses diplômés.
Guy Laflamme contemple maintenant son projet le plus ambitieux à vie : la retraite. « Après avoir roulé à 1 000 km/h pendant trois ans, j’ai envie d’une vie saine, simple et équilibrée. »
À propos des prix
Chaque année depuis 2011, l’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa reconnaît des membres exceptionnels en leur décernant des prix d’excellence. Découvrez les six lauréats de cette année, des personnes extraordinaires qui donnent en retour, et s’investissent dans l’Université et la collectivité en lisant leurs profils.
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Par Michelle Hibler
L’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa a décerné le prix Fidélité à l’Université à Jean Desgagné (B.Com. 1986), diplômé de l’École Telfer. Ce prix est décerné à un diplômé d’exception qui a contribué de façon importante à l’avancement de l’Université par son dévouement, sa générosité et sa volonté de faire rayonner les valeurs de son alma mater.
L’engagement de Jean Desgagné (B.Com. 1986) envers la jeunesse, particulièrement les étudiants de l’École de gestion Telfer, est inébranlable. « J’ai eu beaucoup de chance et de succès dans ma carrière. Quand ça arrive, on se sent une certaine dette à rembourser », dit-il.
Aujourd’hui président et chef de la direction, Solutions globales, perspectives et stratégies d’analyses TMX, Jean Desgagné a occupé plusieurs postes haut placés dans le milieu bancaire canadien.
À son arrivée à Toronto il y a 25 ans, il a constaté que l’Université d’Ottawa était peu connue dans la Ville reine, ce qu’il a entrepris de changer illico.
« J’ai travaillé très fort avec Telfer pour mettre l’Université en valeur et aider ses diplômés à se démarquer auprès des employeurs dans le domaine des marchés de capitaux à Toronto », dit-il. C’est ainsi qu’il a créé des programmes d’associés presque partout où il a travaillé. Celui de TMX, qui comptait cinq étudiants à sa création, en accueille plus de 20 après trois ans seulement.
Membre du Cabinet de campagne régional de l’Université d’Ottawa et président du comité régional de Toronto du comité consultatif du doyen de l'École Telfer, Jean Desgagné est le premier donateur à avoir contribué au Fonds de capital du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance qu’il a aidé à fonder à Telfer, où il s’est aussi impliqué au fil des ans comme conférencier, juge de compétitions étudiantes et mentor du Programme de mentorat sur les marchés financiers.
En 2009, Jean Desgagné et son épouse ont créé la Bourse de la famille Desgagné-Soden pour les étudiantes en sciences commerciales. « J’applaudis tout ce qui se fait pour aider les femmes à accéder aux postes de direction, dit-il, mais je suis aussi convaincu qu’il faut aussi investir en amont pour les attirer. »
« Tout le monde y gagne : les étudiants et étudiantes, Telfer, et moi-même, dit-il. Avec le recul, je peux me dire que j’ai fait quelque chose de bien. »
Jean Desgagné fut décerné la médaille Trudeau en 2009, l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer à ses diplômés.
À propos des prix
Chaque année depuis 2011, l’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa reconnaît des membres exceptionnels en leur décernant des prix d’excellence. Découvrez les six lauréats de cette année, des personnes extraordinaires qui donnent en retour, et s’investissent dans l’Université et la collectivité en lisant leurs profils.
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Stephen Beamish, diplômé du B.Com. en 1990, a choisi l’École de gestion Telfer pour de multiples raisons. Il explique que les trois principaux arguments qui l’ont persuadé étaient l’esprit de collaboration entre les étudiants et les enseignants qu’encourage l’École de gestion Telfer, les professeurs hautement qualifiés et les étudiants venant du monde entier pour y étudier.
Lorsqu’il songe à son expérience à l’École de gestion Telfer, Stephen se souvient avec émotion de ses projets de groupe, et plus particulièrement de celui auquel il a pris part avec cinq autres étudiants. En raison de la nature ambitieuse du projet, il a passé plusieurs longues soirées à travailler à sa réalisation aux côtés de son équipe, mais les pauses entre les séances de travail étaient conviviales et ont rendu le projet d’autant plus agréable. Collaborer avec d’autres étudiants pour travailler à l’atteinte d’un but commun était d’une grande importance pour l’étudiant dévoué qu’il était. Quand on lui demande quel était son cours préféré, Stephen répond qu’il s’agissait du cours de statistique enseigné par le professeur John Nash, car il était enseigné de manière dynamique et revêtait une grande importance et une grande pertinence pour le monde des affaires.
Selon Stephen, un outil fondamental qu’il a acquis lors de ses études à Telfer était la capacité à collaborer avec les autres, quel que soit leur personnalité, leur point de vue ou leur niveau de compétences. Tout comme dans le monde des affaires, Stephen n’était pas toujours en mesure de choisir avec qui il travaillait lors des projets de classe. Comme il le dit, « avoir appris à collaborer, à faire des compromis et à partager les responsabilités lors des travaux de groupes à l’École de gestion Telfer a été très formateur et m’a grandement aidé dans ma carrière professionnelle ».
Tout au long de son parcours professionnel, Stephen a mis un point d’honneur à travailler à un poste ou dans une entreprise qui contribue à aider les autres. Il travaille actuellement dans le domaine du marketing de haute technologie et se réjouit à l’idée de mettre des solutions de communication avancées à la disposition des communautés éloignées. Stephen s’attache également à donner le meilleur de lui-même dans tout ce dans quoi il s’implique. « Je pense qu’on peut facilement dire que l’École de gestion Telfer a grandement contribué à veiller à ce que je reçoive l’enseignement en gestion nécessaire pour me permettre d’exécuter du mieux possible mon travail au fil des années », déclare-t-il.
Après avoir obtenu son diplôme et pris quelques années sabbatiques pour voyager et vivre dans d’autres endroits du Canada, Stephen est retourné à l’École de gestion Telfer pour obtenir son MBA. Une fois son deuxième diplôme en poche, il a commencé à travailler dans le domaine du marketing de haute technologie et, de fil en aiguille, il a accédé aux postes de vice-président du marketing mondial et de vice‑président de l’équipe de développement commercial de Mitel. Au bout de 10 ans, Stephen a pris la décision de quitter Mitel afin de se rapprocher de sa famille et a fondé son propre cabinet, l’entreprise BlackTusk Business Solutions, dont il est le directeur général virtuel du marketing. BlackTusk Business Solutions a pour mandat de proposer aux entreprises un guichet unique pour la création et l’exécution de leur stratégie marketing auprès des clients.
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Après avoir obtenu son diplôme d’une école privée à Bahreïn, George Khalife a entrepris de trouver une université où il pourrait se perfectionner, et contribuer à l’accroissement de l’établissement. Après avoir jeté son dévolu sur l’École de gestion Telfer, George a obtenu un baccalauréat en commerce en 2015. Il s’est inscrit à l’École Telfer en raison de l’authenticité des professeurs, des possibilités inexploitées, d’un programme d’études solide en voie d’amélioration et du bassin d’étudiants et de diplômés qui était, et demeure, étroitement lié.
Pendant ses études à l’École Telfer, George se souvient de certains cours et professeurs qui ont eu une influence marquée sur lui, notamment les cours du programme en systèmes d’information de gestion (SIG) avec Nour El-Kadri, le Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance avec Pouya Safi, et le cours d’évaluation des capitaux propres avec la professeure Miwako Nitani. George mentionne également trois camarades de classe, avec lesquels il a contribué à créer un fonds de placement géré par les étudiants appelé T&V Capital Management, maintenant connu sous le nom de Fonds de capital de l’École de gestion Telfer. Cette initiative lui a permis de rencontrer le premier commanditaire du Fonds, ce qui l’a amené à se joindre au groupe TMX.
George donne de nombreux exemples qui ont contribué à en arriver là où il est aujourd’hui au cours de ces années à l’École Telfer, y compris les liens noués avec les professeurs, les amitiés établies au cours de ses études, les clubs et les activités parascolaires auxquels il a participé, le réseau de diplômés, les événements de réseautage et les ateliers universitaires organisés par cet établissement. « Ce sont les choses qui ont contribué à ma réussite au cours de mes études à l’université et après l’obtention de mon diplôme », a déclaré George.
Pour ce qui est de sa motivation, ce sont ses parents qui l’inspirent. Les parents de George ont quitté le Moyen-Orient pour lui donner, à lui et à sa sœur, la possibilité d’un avenir meilleur. Comme il le dit lui-même : « Chaque fois que je me sens mis au défi, ou fatigué ou que l’envie d’abandonner me prend, je retourne les voir et me souviens de toutes les difficultés qu’ils ont dû surmonter pour m’aider à en arriver là, c’est tout ce qu’il me faut pour persister. »
Après l’obtention de son diplôme, George a immédiatement commencé à travailler à la Bourse de Toronto (groupe TMX), dans le cadre du programme d’intégration professionnelle en rotation sur deux ans. À la fin de ce programme, il a accepté un poste à temps plein où il dirige des activités commerciales de TMX à Toronto et à New York. Alors qu’il travaillait pour TMX, George a mis au point de nombreux projets en marge, dont BookBack, une application pour les étudiants universitaires leur permettant d’acheter et de vendre des livres, a animé une émission balado diffusée – « Let’s Grab Coffee (prenons un café) », et a blogué sur LinkedIn ainsi que sur son site personnel.
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Mathieu Cloutier, diplômé du programme B.Com. en 1991, a choisi l’École de gestion Telfer puisqu’elle lui donnait l’occasion d’étudier dans les deux langues. La notoriété de l’École ainsi que la bonne réputation des professeurs qui y enseignent l’ont incité à y poursuivre ses études.
L’un des plus beaux souvenirs de Mathieu est d’avoir pu participer aux Jeux du Commerce. À l’époque, c’était la première fois que l’École Telfer participait à cette compétition, et Mathieu faisait partie d’une équipe ayant remporté une première position. Selon ce dernier, la formation intense que lui et ses coéquipiers ont suivie en préparation à cette compétition a largement contribué à leur réussite.
Pendant ses études à l’École Telfer, Mathieu s’impliquait beaucoup, participant notamment à l’Association de Marketing en vue d’agrandir son réseau et de tirer parti de la mentalité du groupe. Cette association jouait un rôle très actif sur le campus, et contribuait au Bal de Noël et à la Compétition de marketing Michel Cloutier. Parmi les souvenirs inoubliables qu’il garde de son passage, il se souvient de son cours de marketing, pendant sa dernière année, au cours duquel il a acquis des compétences essentielles dont il a pu mettre à profit une fois diplômé.
Après ses études, Mathieu s’est joint à une agence de publicité à Montréal. Démontrant ses compétences acquises dans le cadre de sa participation aux compétitions de cas, il est devenu partie intégrante de l’équipe de développement. En 2007, il a cofondé l’agence TANK, où il occupe toujours la fonction de vice-président, directeur général.
Réfléchissant à ce qui l’inspire le plus, Mathieu cite les défis posés par ses clients au quotidien. Ce qui l’anime sur le plan professionnel est de consacrer son énergie à la recherche de solutions créatives et à l’atteinte des résultats désirés par ses clients. Aujourd’hui, il renchérit son implication en offrant ses services à titre de mentor pour ceux qui aspirent être entrepreneurs, à titre de membre du jury de la Compétition de marketing Michel Cloutier et en recrutant des stagiaires dans son agence.
Le conseil que Mathieu donnerait aux étudiants quant à la vie après les études est le suivant : « faites un travail qui vous passionne, la vie est trop courte; ne craignez pas l’échec, et lancez-vous tête première en affaires! »
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Une femme prévoyante
Jodie Harrison a été prévoyante. Étudiante en B.Com. Telfer, Jodie avait l’intention de devenir conseillère en placements. Elle s’est donc spécialisée dans la finance et a tiré profit du Programme Connexions de l’École pour faire un stage dans une firme de placement d’envergure nationale pendant sa dernière année d’études. Jodie a aussi travaillé pour le Centre des carrières et a assuré la présidence de l’association des étudiants en B.Com. Telfer. Ces rôles lui ont permis d’acquérir diverses compétences et de nombreux contacts qui se sont révélés particulièrement utiles après l’obtention de son diplôme.
« Tous les étudiants du programme reçoivent le même diplôme », a-t-elle déclaré. « Ce sont les choses que l’on fait en-dehors des travaux scolaires qui non seulement nous distinguent des autres diplômés, mais nous permettent aussi de nous rapprocher de notre objectif. »
Jodie Harrison demeure prévoyante. Elle l’est en tant que professionnelle pour BMO Nesbitt Burns, où elle aide les familles et les entrepreneurs à atteindre la réussite financière. Elle l’est aussi pour son alma mater. Elle a présidé l’Association des anciens; elle est aussi membre du Programme de mentorat pour les cadres, et elle vient tout juste d’être nommée présidente de l’édition 2018 du tournoi de golf pour les bourses d’études.
« Présider le tournoi est tout à fait dans mes cordes en tant que conseillère en placements », a-t-elle expliqué. « Je veux que les étudiants de l'École Telfer aient accès à de nombreuses bourses généreuses, de sorte qu’ils puissent obtenir leur diplôme sans avoir accumulé de dette ou le moins possible. »
Elle est aussi prévoyante dans l’âme : « Si j’ai un conseil à donner aux étudiants de l'École Telfer, c’est de trouver leur propre voie et ensuite de travailler dur, qu’il s’agisse d’établir des réseaux, de partager des expériences, de trouver des mentors ou de soutenir leurs pairs en cours de route. »
C’est un bon plan.
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Cassy Aite a choisi l’École de gestion Telfer après avoir visité ses nouvelles installations et décidé d’aller à l’université dans sa ville natale. En tant qu’étudiant engagé, Cassy a participé au club Enactus, au Club d’investissement des étudiants et au Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance de l’Université d’Ottawa. De plus, il a été membre de l’équipe masculine de soccer des Gee-Gees et a participé à plusieurs compétitions. Comme le dit Cassy, « ces occasions ont contribué à enrichir mon expérience à l’Université d’Ottawa ».
Dès sa graduation, Cassy a travaillé pour le centre EY à titre de consultant en gestion des risques où il a acquis beaucoup d’expérience. Environ un an après avoir obtenu son diplôme, Cassy a eu la chance d’aller vivre et travailler à Vienne ainsi qu’à Munich. Il a ensuite commencé à travailler en tant que responsable du développement commercial chez BTO Research, une société d’experts-conseils multinationale œuvrant dans le domaine de la technologie de l’information. En janvier 2018, Cassy est revenu au Canada pour prendre position à titre de chef de la direction de Desk Nibbles, une entreprise qu’il a cofondée avec son frère, Emil Aite ainsi qu’Eric Kys en 2016. Desk Nibbles utilise l’intelligence artificielle pour faciliter la gestion des cuisines de bureau par les chefs de bureau. Avec plus de 65 clients et un nombre croissant d’employés, Desk Nibbles se développe rapidement.
En repensant à son passage à l’École Telfer, Cassy garde de bons souvenirs des camarades de classe, des professeurs et des mentors qu’il a rencontrés pendant ses études. Cassy reste toujours en contact avec tous ceux qui ont influencé ses études à l’École Telfer, et explique qu’il « garde constamment à l’esprit les retombées positives qu’a eues son passage à l’École ». En réfléchissant à ce qui l’inspire, Cassy pense à ses parents et au travail acharné qu’ils ont accompli pour subvenir aux besoins de la famille et leur offrir les meilleures opportunités.
Cassy est fier de son cheminement de carrière jusqu’à présent, et son regard est maintenant tourné vers l’avenir et ce qu’elle lui réserve.
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Pour Scott McLaren, l’École de gestion Telfer représentait l’occasion d’apprendre, de perfectionner ses compétences et de rencontrer des gens avec qui il forgerait plus tard des relations professionnelles et personnelles. Après avoir choisi l’École Telfer pour sa réputation et parce qu’il souhaitait étudier dans une grande ville où règne l’atmosphère d’une petite ville, Scott a obtenu son baccalauréat en commerce en 2006.
En 2009, il a acheté Festival Promotions, dont il est devenu partenaire et président. Puis, en 2016, il a fondé avec un ancien collègue étudiant de Telfer l’entreprise Baron Hockey, qui offre à ses clients des bâtons de hockey haut de gamme sans marge de profit.
Lorsqu’il songe à son expérience à l’École de gestion Telfer, Scott se rappelle plusieurs professeurs et cours qui ont eu une grande incidence sur sa carrière. « Il a tellement mis l’accent sur l’importance de la relation d’affaire que ce principe est demeuré ancré en moi toutes ces années », explique-t-il au sujet du défunt professeur Koppel, ancien membre du corps enseignant en gestion de l’École Telfer. Certains des souvenirs les plus précieux que garde Scott de l’École sont ceux des cours de sa dernière année, alors qu’il a travaillé sur des projets de groupe avec des camarades de classe qu’il a décrits comme « brillants ».
Scott attribue à son alma mater le vaste réseau professionnel et personnel qu’il a établi depuis l’obtention de son diplôme. Il croit aussi que c’est grâce à l’École Telfer qu’il a rencontré des gens inspirants, dont son épouse Lindsay. Après avoir eu la chance de forger des relations riches et significatives alors qu’il étudiait en vue de bâtir sa carrière, Scott indique que son alma mater l’a aidé à établir des liens avec ce qui comptait dans sa vie, c’est-à-dire sa famille, ses amis et sa capacité à exploiter une entreprise.