Actualités
- Catégorie : Futurs diplômés
« Que ce soit le personnel ou les initiatives d’échanges, l’expérience était exceptionnelle. Croyez-en un étudiant diplômé à deux reprises de l’École de gestion Telfer et qui n’arrête pas d’y retourner! J’ai vraiment aimé mon séjour ici », déclare Nicolas Legendre, candidat au doctorat en gestion avec un champs d'études en finances. Nicolas a montré un véritable engagement envers la famille de l’École Telfer au cours des sept dernières années : il a obtenu un baccalauréat en sciences commerciales avec option en finances et une maîtrise ès sciences en gestion avec option en finances, puis a complété un an de son doctorat. « Je voulais poursuivre mes études ici en raison de toutes les formidables personnes que j’ai rencontrées à l’École de gestion Telfer et à d’autres facultés de l’Université d’Ottawa », a-t-il ajouté.
En jetant un regard rétrospectif sur son expérience à titre d’assistant à l’enseignement pour différents cours de statistiques, et le fait qu’il a terminé sa maîtrise en sciences et étudie actuellement pour obtenir son doctorat, Nicolas remarque ceci : « En tant qu’étudiant au doctorat, la relation avec la faculté change et devient plus collégiale. Avec les professeurs, par exemple, la relation ressemble moins à celle entre un professeur et un étudiant et davantage à celle entre deux collègues où les deux parties échangent des idées et apprennent l’une de l’autre ».
Grâce à son travail acharné et à son dévouement, Nicolas a reçu la bourse de doctorat prestigieuse du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier. Il déclare :
À titre de bénéficiaire de la bourse de doctorat du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier, j’étais admissible au supplément pour études à l’étranger Michael-Smith et je suis heureux de l’avoir obtenu. Grâce à cette bourse, je mène actuellement une enquête concernant le programme de garantie d’emprunt à Newcastle upon Tyne, au Royaume-Uni, avec le professeur Jonathan Scott à l’Université de Northumbria. Cette expérience m’a permis non seulement d’étudier à l’étranger, mais de faire des recherches sur un sujet qui m’importe : bien que ma thèse de doctorat consiste à examiner le programme de garantie d’emprunt au Canada, cette période de recherche effectuée à l’étranger est directement liée à celle-ci. J’ai également eu l’occasion de passer mes fins de semaine à voyager partout à Newcastle pour visiter des monuments comme le château d’Alnwick que l’on voit dans les films de Harry Potter et pour apprendre peu à peu la culture de la région au nord-est de l’Angleterre. Voilà ce que je retiens de cette expérience jusqu’à présent!
Nicolas a reçu la Bourse doctorale Lilian-et-Swee-Chua-Goh. Lilian et Swee Chua Goh seront reconnus en tant que donateurs de l’année au Gala d’excellence Telfer le 21 octobre 2017.
Ajoutez Nicolas Legendre à votre réseau en suivant ce lien : www.linkedin.com/in/legendrenicolas.
Aussi, vous pouvez suivre le fil des activités de l’École de gestion Telfer sur LinkedIn ici!
- Catégorie : Distinctions
La professeure Daina Mazutis a reçu une mention honorable de l’école Darla Moore School of Business dans le cadre du Prix de la page de 2016 pour l’excellence en matière d’enseignement de la gestion durable. La professeure Mazutis a été reconnue pour son cours de premier cycle « Leadership, stratégie et durabilité » (ADM 4317).
Offert dans le cadre du B.Com., ce cours de quatrième année met l’accent sur la responsabilité sociale d’entreprise et la durabilité à différents niveaux – soi‐même, les autres, l’organisation et la société. Il couvre les sujets, tels que l’entrepreneuriat social, les entreprises à bilan carbone négatif, les modèles opérationnels en matière de régénération et l’économie circulaire, qui inculquent une bonne compréhension de l’importance de la durabilité des entreprises aux étudiants du premier cycle et aux dirigeants d’entreprise.
Cette reconnaissance souligne l’expertise de la professeure Mazutis dans le domaine de la durabilité et de la responsabilité sociale d’entreprise. La professeure Mazutis est titulaire d’un fonds professoral en éthique, responsabilité et durabilité à l’École Telfer par l’intermédiaire duquel elle concentre ses activités de recherche sur le chemin vers des organisations plus soucieuses de l’environnement et socialement responsables. Sa recherche se situe à l’intersection de la stratégie, du leadership et de la responsabilité d’entreprise, abordant ainsi les questions environnementales et sociales auxquelles les organisations sont confrontées aujourd’hui comme les enjeux stratégiques cruciaux qui nécessitent une meilleure compréhension du rôle des entreprises dans la société.
Nous aimerions féliciter la professeure Mazutis pour cet honneur remarquable.
Au sujet du Prix de la page
Existant depuis 10 ans, le Prix de la page M. Alfred N. et Lynn Manos pour les questions de durabilité dans les programmes de cours en commerce vise à encourager et à soutenir les efforts de présentation ou de mise à niveau importante au sein des cours sur la durabilité ou de travaux connexes dans le cadre du programme d’études des écoles de gestion à l’échelle nationale et internationale.
Le Prix de la page est remis annuellement à la meilleure soumission en fonction de l’intégration de la durabilité dans le programme de cours en commerce. Les professeurs, les étudiants inscrits au doctorat et d’autres personnes peuvent présenter une soumission liée aux approches novatrices utilisées pour enseigner la durabilité aux étudiants en commerce. Les demandes antérieures ont touchés une grande variété de disciplines, y compris la comptabilité, l’entrepreneuriat, la finance, les affaires internationales, la gestion, le marketing, la gestion des opérations et de la chaîne d’approvisionnement, ainsi que le comportement organisationnel.
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du Prix de la page ou des récipiendaires, veuillez cliquer ici.
- Catégorie : Gestion des systèmes de santé
Une enquête pancanadienne unique en son genre lève le voile sur les comportements des aînés envers les technologies de la santé.
Titre du projet
IT Innovation and the Elderly: Technology Acceptance and Use in the Community
Chercheuse
Mirou Jaana, École Telfer
Subvention à l’appui de la recherche
Subventions Savoir du CRSH
Période
2017-2020
La professeure Mirou Jaana a entrepris une nouvelle étude qui permettra d’obtenir des données nationales sur l’utilisation des technologies de télémonitorage par les personnes âgées. Cette recherche est financée par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).
Les technologies de télémonitorage (appelé aussi télésoins à domicile) existent depuis des dizaines d’années, mais on en sait peu sur les facteurs qui favorisent leur acceptation et leur utilisation. Selon Mirou Jaana, ces connaissances permettraient aux fournisseurs de soins de santé et aux décideurs de rédiger des lignes directrices sur la façon la plus avantageuse pour les patients de recourir au télémonitorage.
Dans le cadre du premier volet de son étude, la chercheuse et ses collègues mènent une enquête pancanadienne auprès de personnes âgées en vue d’évaluer leurs attitudes et comportements envers la technologie. L’enquête étudiera différentes applications générales de cybersanté, en plus de technologies spécialisées pour l’utilisation à domicile telles que les montres intelligentes, qui ont fait l’objet d’une attention accrue au courant des dernières années. Dans un second volet, la professeure Jaana et son équipe se pencheront sur les facteurs qui contribuent à l’acceptation et à l’utilisation de technologies de télémonitorage par les personnes âgées.
Si le look et le confort de ces technologies sont en constante évolution, leurs fonctions de base n’ont pas beaucoup changé, confie la professeure Jaana : « Ces technologies visent essentiellement à établir un lien entre un fournisseur de soins ou un responsable de dossier et un patient qui vit dans la communauté (p.Ex., chez lui ou dans une maison de retraite) et exige une attention et un suivi important. » Exemple : un patient qui souffre d’insuffisance cardiaque porte un appareil qui transmet de l’information sur les variations de son poids. En fonction de ces renseignements, l’infirmière pourra ajuster les médicaments du patient. Ce dépistage précoce de la détérioration de l’état du patient présente des avantages importants en empêchant les complications risquées et en évitant les visites inutiles dans les hôpitaux. Ceci est particulièrement important dans le cas des patients âgés.
Portant sur les facteurs d’acceptation de la technologie, la nouvelle étude de la professeure Jaana se fondera sur les résultats de ses recherches antérieures qui révélaient que le télémonitorage offrait de nombreux bienfaits aux patients âgés atteints d’une maladie chronique. En effet, le télémonitorage a des effets positifs importants sur les patients en ce qui a trait à leurs compétences de soins personnels et à leur gestion de maladies chroniques. « En mettant l’accent sur les facteurs d’acceptation, notre recherche révèlera les obstacles et les facilitateurs potentiels qui peuvent permettre une utilisation plus efficace du télémonitorage chez les patients âgés avec des problèmes instables », poursuit Mirou Jaana. Le télémonitorage soutient une intervention rapide en identifiant l’état de santé des patients, qu’ils ne remarqueraient pas par eux-mêmes, et ce avant que les complications ne nécessitent une visite à l’hôpital.
« Le domaine du télémonitorage prend de la maturité, mais il faut encore recueillir des données empiriques sur l’intégration de ces technologies dans le cadre des lignes directrices, souligne la professeure. En raison du vieillissement de la population, nous avons la responsabilité de comprendre les besoins des personnes âgées et de profiter des outils et des technologies qui les soutiennent, comme les applications de cybersanté. »
- Catégorie : Distinctions
De gauche à droite : Phillipe Lamothe, Matthew Chesser, Emma Azzi et Jean-Claude Mukanya Cibumba
L’École de gestion Telfer est heureuse d’annoncer les lauréats du prix de leadership étudiant de la maîtrise en administration des affaires (MBA) de cette année : Emma Azzi, Matthew Chesser, Philippe Lamothe et Jean-Claude Mukanya Cibumba. Ces personnes ont apporté des contributions exceptionnelles en faisant preuve de leadership au sein de l’Association des étudiants au MBA (AEMBA) et dans le cadre du programme de MBA en général.
La diffusion du nom des lauréats a suscité de nombreuses réactions positives, et les étudiants du programme MBA ont manifesté leur soutien avec grand enthousiasme.
Emma Azzi
Emma a été reconnue pour sa participation à la préparation de l’équipe des Jeux MBA pour la compétition de 2017, mais surtout pour les efforts qu’elle a déployés en vue d’amener les Jeux MBA à Ottawa en 2018. L’enthousiasme d’Emma et son dynamisme contagieux inspirent tous ceux qui travaillent avec elle.
Matthew Chesser
Les étudiants ont exprimé leur admiration à l’égard de la capacité de Matthew à organiser les réunions de diplômés et les nombreuses activités parascolaires du programme MBA. Il a été décrit comme ayant un « style de leadership calme, mais chaleureux dans tout ce qu’il fait ».
Philippe Lamothe
Philippe a été reconnu pour son leadership à titre de président de l’AEMBA, notamment en raison de son appui et de sa promotion des activités de l’organisation, et de sa participation à des événements à titre de représentant de l’École Telfer.
Jean-Claude Mukanya Cibumba
Jean-Claude a été applaudi en tant que co-équipier performant, inspirant et déterminer donnant toujours le meilleur de lui-même. Il est un leader qui contribue de façon exceptionnelle et qui a été souligné pour ses commentaires toujours constructifs dans ses interventions et ses présentations.
Nous nous attendons à de grandes choses de la part de ces personnes, et nous tenons à exprimer nos plus sincères félicitations à chacune d’entre elles
- Catégorie : Distinctions
Nous félicitons Pierre Bourgie, C.M., O.Q. (B.Adm. 1980) pour sa nomination à titre de membre de l’Ordre du Canada, le 30 juin 2017. Il a été nommé grâce à son travail philanthropique inspirant et à ses importantes contributions aux arts, à la musique et à la promotion de la culture.
Pendant ses études en vue d’obtenir un baccalauréat en administration à l’Université d’Ottawa, M. Bourgie a suivi un cours facultatif en histoire de l’art qui, selon lui, a éveillé sa passion durable pour les arts. Depuis, il a été reconnu pour ses contributions à la communauté artistique et culturelle de Montréal. Il est connu entre autres pour avoir transformé l’église Erskine and American United en salle de concert - Salle Bourgie – adaptée aux besoins des ensembles de musique de chambre et offrant une ambiance acoustique de haute qualité dans un décor marquant. Au printemps 2017, il a inauguré Catalogue, quatre exhibitions gratuites par années située au centre-ville de Montréal où il partagera des pièces de sa collection privée avec le public.
Après avoir fini ses études à l’Université d’Ottawa, il a assuré la relève de l’entreprise familiale, soit la maison funéraire Urgel Bourgie. Après avoir vendu l’entreprise d’une centaine d’années en 1996, M. Bourgie a exploré le monde des finances et de l’immobilier. Il a alors fondé la société de placement diversifié Société Financière Bourgie Inc., et occupe à ce jour le poste de président-directeur général. Il a également siégé au conseil d’administration d’un grand nombre de sociétés et d’organisations sans but lucratif.
Pour souligner cette nomination mémorable, le doyen François Julien mentionne : « Je suis ravi que M. Bourgie ait reçu cet honneur bien mérité en reconnaissance de l’incidence considérable et de l’importance de son travail philanthropique. Nous sommes fiers d’avoir un diplômé dont les contributions aux arts et à la musique permettent aux artistes de créer de l’art, et au public d’apprécier les arts visuels et d’interprétation. »
À propos de l’Ordre du Canada
Créé en 1967, l’Ordre du Canada, une des plus prestigieuses distinctions honorifiques civiles au pays, reconnaît des réalisations exceptionnelles, le dévouement remarquable d’une personne envers la communauté ou une contribution extraordinaire à la nation. Près de 7 000 personnes de tous les milieux ont été investies de l’Ordre. Leurs contributions sont diverses, mais toutes ont permis d’enrichir la vie d’autrui et reflètent la devise de l’Ordre : DESIDERANTES MELIOREM PATRIAM (« Ils désirent une patrie meilleure »). Les nominations sont faites par le gouverneur général selon les recommandations du Conseil consultatif de l’Ordre du Canada.
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet de l’Ordre du Canada, cliquez ici.
- Catégorie : Futurs diplômés
Étudiant au B.Com. - J.D. et ayant bénéficié de l’initiative des consultations de première année, Jordan Samaroo entame maintenant sa deuxième année d’études à l’École de gestion Telfer. D’après Jordan, ce qui rend l’École Telfer unique, c’est « son respect de l’esprit entrepreneurial inhérent à tous les étudiants en commerce. Qu’il s’agisse de la liste exhaustive de clubs auxquels il est possible de s’inscrire et qui couvrent toutes les disciplines liées au commerce, du Fonds de capital, des compétitions de cas d’affaires stimulantes ou de l’excellence universitaire, l’École Telfer embrasse les aspirations de tous ses étudiants. À mon avis, de telles aspirations encouragent une saine compétition qui permet de faire avancer le monde des affaires et qui incite les étudiants à se donner au maximum. »
Membre de l’Association de droit des affaires Telfer (ADAT) et étudiant en sciences commerciales et en common law, Jordan dit aimer faire partie d’un club dont l’objectif est d’établir des liens avec les étudiants en commerce de premier cycle qui s’intéressent au domaine du droit et qui envisagent de fréquenter une école de droit. Grâce à l’ADAT, Jordan a pu participer à des événements tels que la compétition de simulation de procès, aider à coordonner la planification de la retraite pour le comité exécutif et s’exprimer au nom de l’ADAT lors de la compétition universitaire Place à la jeunesse. Il se dit motivé à participer à toutes les activités que l’École Telfer et l’Université d’Ottawa ont à offrir, car il est convaincu que la participation étudiante est la pierre angulaire de l’intégration universitaire.
Réfléchissant à la décision difficile qu’a été le choix d’une université qui saurait répondre à ses besoins, Jordan explique : « Choisir l’université où je voulais étudier n’a pas été de tout repos, mais il est clair que l’École Telfer était le bon choix. En ma qualité d’étudiant bilingue, j’estime que l’expérience bilingue offerte par l’École Telfer est sans pareille. La possibilité d’étudier dans les deux langues, combinée à la possibilité d’explorer deux domaines qui me passionnent – le commerce et le droit–, m’a permis d’améliorer mes compétences langagières sans pour autant sacrifier les sujets d’étude qui m’intéressent vraiment. Une université bilingue, par cette seule qualité, offre une expérience d’apprentissage enrichissante à tous ses étudiants. »
Jordan souhaite donner un conseil aux étudiants du secondaire qui délibèrent sur le choix de leur université : « Choisir une université englobe bien plus qu’une simple évaluation des moyennes; c’est choisir l’établissement qui pourra vous offrir la meilleure expérience étudiante qui soit. De mon côté, l’École Telfer offrait tout ce que je recherchais : des compétitions et des études de cas intenses, des professeurs hors pair, d’excellents programmes coop et de bonnes perspectives d’emploi. L’École travaille activement à ce que chaque étudiant puisse trouver ce qui compte pour lui. Pour ces raisons et bien plus encore, je vous recommande l’École Telfer : vous ne regretterez pas votre choix! »
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Après 7 ans, le très anticipé et repensé gala 40 Canadiens performants de moins de 40 ans est de retour afin de célébrer les accomplissements exceptionnels de 40 canadiens de moins de 40 ans. De pairs avec les célébrations du 150e anniversaire du Canada, le gala soulignera la nouvelle génération de chef de fils au sein de nos organisations canadiennes.
Parmi les personnes nommées cette année figurent 3 diplômés de l’Université d’Ottawa, dont deux qui ont connu les bancs de l’École de gestion Telfer. Pour cette réussite, l’École souhaite féliciter les personnes suivantes :
- Harley Finkelstein (MBA 2009): Directeur des opérations, Shopify
- Alexandre Lefebvre (B.Adm. 2001): Président, Groupe Lefebvre
L’École Telfer souhaite également féliciter Katherine Telford, une autre diplômée de l’Université d’Ottawa et figurant aussi sur la liste 40 Canadiens performants de moins de 40 ans.
Cliquez ici pour voir la liste complète des 40 professionnels de moins de 40 ans nommés sur le site Web de 40 Canadiens performants de moins de 40 ans. Cette année, le gala des prix aura lieu le 2 novembre 2017 au Fairmont Royal York à Toronto.
- Catégorie : Dons et collectes de fonds
Chaque année, nous reconnaissons les donateurs exceptionnels de l’École de gestion Telfer et nous démontrons notre gratitude afin de créer des liens significatifs avec les membres de notre communauté qui nous ont choisis parmi une multitude de possibilités. Cette année, les prix des donateurs de l’année de l’École de gestion Telfer seront présentés lors de notre Gala de l’excellence annuel, qui aura lieu le 21 octobre 2017. Lors de cet événement, nous célébrerons aussi l’anniversaire des promotions et nous ferons la présentation de nos prix pour les diplômés.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur les dons qui comptent le plus vous, veuillez cliquer ici.
Félicitations à nos récipiendaires des prix de donateur de l’année de 2017 :
Harry Mortimer : bénévole de l’année (collectes de fonds)
Grâce à son leadership, à son engagement et à son dévouement envers le Club des entrepreneurs de l’École de gestion Telfer, le Prix d’entrepreneuriat Kevin Vollett sera maintenu pour les années à venir.
Marlene Patrick : donatrice fidèle de l’année
Sa générosité continue et son appui sans faille manifestés envers son alma mater au cours des 30 dernières années sont véritablement inspirants et appréciés.
Jean-Philippe Aubé : jeune donateur de l’année
Il aide à créer une culture de générosité à l’École de gestion Telfer en faisant don de son temps, de son argent et de ses compétences.
Lilian et Swee Chua Goh : donateurs de l’année
La Bourse doctorale Lilian-et-Swee-Chua-Goh a donné un élan formidable au lancement du programme de doctorat à l’automne 2016. Grâce à cette bourse, nous avons pu recruter quatre des huit candidats hors pair en 2016, et un candidat en 2017. Le couple influe depuis longtemps l’École de gestion Telfer : Swee est un professeur émérite et Lilian est une conseillère fondatrice du Centre de recherche en comptabilité et en gouvernance CPA-Canada.
- Catégorie : Actualités
En matière de développement durable, les petites et moyennes entreprises innovent de façon multiple et subtile, observe Martine Spence. (Photo : Andrea Campbell / Université d'Ottawa)
Qu'il s'agisse de mode, d'alimentation ou de services, les consommateurs privilégient de plus en plus le local, le responsable, le bio et le réutilisable… Le développement durable n'est plus un concept abstrait : il trouve sa place dans toutes les sphères du quotidien.
Effet de mode ou réelle prise de conscience? Quoi qu'il en soit, les entreprises n'y échappent pas. C'est ce que constate Martine Spence, professeure de marketing et d'entrepreneuriat à l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa.
Depuis 10 ans, elle étudie les pratiques de développement durable et l'engagement social des petites et moyennes entreprises (PME). « Les PME contribuent de manière importante à l'économie des pays, elles y créent la majorité des emplois. Leur impact sur l'environnement et la société n'est pas négligeable, explique la chercheuse, qui s'intéresse à ces structures depuis longtemps. J'ai grandi dans le Sud de la France, où il y avait beaucoup de petits entrepreneurs. Pendant mes études de commerce, les grandes entreprises me paraissaient trop abstraites, trop politiques… Les PME, au contraire, sont menées par des gens qui adorent leur métier. Cela m'a toujours intriguée. »
Comment les PME embrassent-elles les pratiques de développement durable? Quelles sont leurs motivations et quels obstacles doivent-elles surmonter? Martine Spence analyse leurs comportements sur trois axes : respect de l'environnement, respect des personnes et respect de la communauté.
« Ce que nous avons constaté, c'est que le degré d'engagement dépend de la volonté de l'entrepreneur. Ce sont les citoyens sensibles à ces questions dans la sphère privée qui mènent leur entreprise le plus loin en termes de responsabilité sociale et environnementale », résume-t-elle.
Qu'il s'agisse d'éteindre les ordinateurs le soir, d'installer des thermostats éconergétiques, de favoriser les transports actifs ou d'investir dans des technologies moins énergivores, les PME n'hésitent pas à implanter des pratiques « vertes ». « Ces entreprises sont particulièrement innovantes; elles sont flexibles, n'ont pas d'actionnaires et peuvent ainsi rapidement réorienter leur stratégie », observe Mme Spence.
Les investissements ne les effraient pas, au contraire. « Quand les PME embarquent, elles innovent beaucoup : elles savent qu'il va y avoir un retour positif », ajoute-t-elle, soulignant que, pour la plupart des entrepreneurs, l'objectif premier n'est pas de faire de l'argent, mais plutôt d'être actifs dans la communauté et de nourrir leur passion.
Qu'en est-il ailleurs dans le monde? Les défis sont-ils les mêmes partout? La chercheuse, qui travaille sur l'internationalisation de ces entreprises et fait partie de l'Observatoire international du développement durable en PME rattaché à l'Université de Montpellier, en France, a récemment comparé des PME situées au Canada, au Cameroun et en Tunisie. Son constat? « Le développement durable n'est pas encore incrusté dans les mentalités du Sud, même si certains entrepreneurs tunisiens y voient des possibilités commerciales. Ces pratiques peuvent les aider à faire affaire avec l'Europe. »
Les entreprises n'y sont pas moins engagées dans la communauté pour autant. « Certaines donnent par exemple un mouton à la communauté pour l'Aïd, dit-elle. Leur engagement social est inné, plutôt mû par la religion. » À l'heure de la mondialisation, ces observations montrent que la généralisation du développement durable ne se fera qu'en tenant compte du contexte socioculturel. Et que l'inspiration peut venir de partout, du Nord comme du Sud.
par Marine Corniou
- Catégorie : Actualités
Les femmes ont réalisé des gains durables dans le secteur des soins de santé, qui a longtemps été dominé par les hommes. Or, même si elles forment plus de 50 % de l’effectif étudiant des écoles de médecine au Canada et plus de 80 % de la main-d’œuvre en santé, elles ne dirigent que 20 % des hôpitaux et occupent peu de postes de direction dans l’ensemble du secteur de la santé. Bref, les disparités entre les sexes existent toujours.
Le 12 juin, un projet mené en partenariat pour briser le plafond de verre et donner plus de pouvoir aux femmes dans le secteur des soins de santé a reçu un coup de pouce considérable. Le Collège canadien des leaders en santé et le Canadian Health Leadership Network, travaillant de concert avec les professeures de l’École de gestion Telfer Ivy Lynn Bourgeault et Barbara Orser, la Fondation canadienne pour l’amélioration des soins de santé et le Centre for Research and Education on Women and Work ont reçu une somme de 400 000 $ pour faire progresser l’égalité entre les sexes en soins de santé, en sciences de la santé et en santé autochtone. Ce financement accordé par la ministre responsable du Statut de la femme, Maryam Monsef, compte parmi les bourses offertes à l’occasion du 150e du Canada.
Intitulé Empowering Women Leaders in Health (eWoLIH), le projet a pour objectif de transformer le système de soins de santé, de sciences de la santé et de santé autochtone en augmentant la participation, la visibilité et la progression des femmes dans les postes de haute direction. « Nous voulons bâtir une communauté solide de femmes leaders, chevronnées ou novices, et les aider à transformer le système de soins de santé à l’aide des compétences en leadership et de l’expérience unique des femmes, explique la chef du projet, Ivy Lynn Bourgeault. Ce réseau soutiendra des initiatives de sensibilisation communautaires, la mise en place de partenariats et l’élimination des barrières systémiques qui entretiennent l’inégalité des sexes dans les secteurs des soins de santé, des sciences de la santé et de la santé autochtone. »
Le projet, qui prendra son envol à Ottawa, à Toronto et à London, repérera en premier lieu les barrières systémiques qui entravent l’accès des femmes aux postes de dirigeantes. En travaillant en partenariat, l’équipe développera et mettra en pratique un ensemble d’outils et de ressources et fera la promotion de mesures pour faire tomber ces barrières.
L’équipe compte mettre en œuvre ces activités et évaluer leur efficacité d’ici la fin du projet. Le leadership des femmes en soins de santé est essentiel à l’avancement de la recherche menée dans des domaines spécifiques aux femmes, au soutien des femmes scientifiques et à la création de nouvelles connaissances pour améliorer la santé et les soins de santé. Ce projet aidera à former la prochaine génération de travailleuses en soins de santé et les futures chefs de file dans ce secteur », conclut Ivy Lynn Bourgeault.
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez