La voix des étudiants
- Catégorie : La voix des étudiants
Mon expérience au sein du Réseau de femmes en gestion
Durant mes deux premières années d’études à Telfer, je me sentais perdue... jusqu’à ce que je tombe sur un club nouvellement formé, dont la mission est d’aider les femmes en affaires. Mis sur pied au trimestre d’hiver 2018 par Polly Leung, alors étudiante en quatrième année, le Réseau de femmes en gestion a capté mon attention.
Le club, porté par une passion pour l’égalité des genres et une détermination à cristalliser cette égalité par la collaboration entre les leaders du milieu et la communauté étudiante de tous les genres, m’a réellement interpellée.
J’étais en deuxième année quand j’ai approché le club. J’ai d’abord fait partie de l’équipe responsable des compétences, qui a pour mandat d’organiser des ateliers sur les compétences spécialisées et générales afin d’aider les étudiants et étudiantes de Telfer dans leur recherche d’emploi et leur future carrière. Je me suis dès lors retrouvée entourée de femmes inspirantes, accueillantes et solidaires qui me ressemblaient.
Peu à peu, je me suis ouverte jusqu’à découvrir des passions que j’ignorais avoir. Puis j’ai changé d’équipe, me joignant alors à celle responsable de la marque. J’ai même troqué ma spécialisation en finance pour celle en marketing.
À ma quatrième année, je suis devenue vice-présidente de la marque du Réseau. Je dirige un groupe de cinq femmes incroyables qui ont contribué à créer la marque du Réseau de femmes en gestion. Cette année, nous avons reçu une nomination pour le marketing du club.
Les aspirations du Réseau de femmes en gestion
Le club est actuellement dirigé par Dawn Lising et Hannah Temple, deux femmes inspirantes et dévouées. Le Réseau s’étant transformé sous leur gouverne, je me suis entretenue avec elles sur les styles et les valeurs de leadership qu’elles souhaitent mettre de l’avant dans l’équipe.
« Au Réseau de femmes en gestion, nous aspirons à diriger avec passion, empathie et authenticité. Le leadership transformationnel et le leadership visionnaire sont les deux styles que nous aimons y inculquer. Nous cultivons aussi un climat inclusif et accueillant, propice à l’expression de tous les points de vue. Alors que nous formons la prochaine génération de femmes dirigeantes, nous cherchons à incarner un modèle de leadership féminin fort. Le leadership au féminin, dans toutes ses déclinaisons, nourrit et élève les autres; il contribue à développer les forces et les compétences des membres de l’équipe. Ce style, plus horizontal que les approches de leadership traditionnelles, a prouvé son efficacité pour la mobilisation des équipes et la performance des organisations », explique Hannah.
Alors que je tourne la page de mon passage au club, j’ai hâte de découvrir ce qu’il nous réserve dans le futur. Hannah et Dawn ont aussi exprimé ce qu’elles espèrent pour l’avenir des femmes en affaires :
« Nous souhaitons voir plus de femmes dans des postes de direction. Pour former la prochaine génération de femmes leaders, il importe qu’il y ait plus d’occasions de mentorat et de perfectionnement du leadership pour les femmes. Nous aimerions aussi plus de soutien et plus de ressources pour les entrepreneures. Selon le Harvard Business Review, les entreprises en démarrage dirigées par des femmes n’ont reçu que 2,3 % du financement en capital de risque en 2020. Les mentalités institutionnalisées nuisent aux entrepreneures, et il y a tant à faire pour l’égalité d’accès au financement par capital-risque. Quelques initiatives fantastiques pour les femmes existent déjà à Ottawa, dont SheBoot, un camp intensif où les fondatrices d’entreprise se préparent pendant six semaines à présenter leur entreprise et à rallier des investisseurs et investisseuses. Nous espérons que d’autres initiatives axées sur l’égalité des genres voient le jour. »
Comment s’engager
Si le début des études universitaires vous déboussole comme moi, vous engager dans un club ou une association est une bonne avenue. En vous joignant à un club dont la mission vous interpelle, vous fréquenterez des personnes ayant les mêmes affinités que vous qui pourraient enrichir et inspirer votre vie étudiante et professionnelle.
Et si l’égalité des genres en milieu de travail vous passionne, je vous recommande d’intégrer le Réseau de femmes en gestion, peu importe votre genre.
Pour être au courant des événements et offres d’emploi du Réseau de femmes en gestion, suivez-le sur les médias sociaux et abonnez-vous à son infolettre mensuelle.
Je vous souhaite de trouver votre place comme moi! Et bon courage!
- Catégorie : La voix des étudiants
Cet été, quatre étudiants de Telfer ont dirigé le Programme de mentorat Telfer de six semaines, en collaboration avec le Conseil scolaire du district d’Ottawa-Carleton (CSDOC). Ce programme vise à donner aux élèves du secondaire qui sont à la recherche d’un stage coop l’occasion d’en apprendre davantage sur le monde des affaires. Des étudiants et des diplômés récents, Wiam Ben Karroum, Jamie Harvie, Laura Oris-Naidenova et Priyesh Sarju, ont agi comme mentors pour l’École de gestion Telfer.
Programme de mentorat et certificat
Il est devenu de plus en plus difficile pour les élèves du secondaire de trouver un stage coopératif en personne cette année. Par conséquent, le CSDOC a lancé plusieurs programmes de mentorat virtuel en partenariat avec l’Université d’Ottawa, dont un avec Telfer. Le but de ce programme est de créer des occasions authentiques et réelles en matière de résolution de problèmes pour les élèves et d’offrir la possibilité de réseauter avec des professionnels des affaires et des étudiants universitaires.
Pendant six semaines, les mentors ont animé des séances thématiques, planifié des activités stimulantes et invité des conférenciers. Chaque semaine, les mentors présentaient un sujet différent, puis attribuaient une activité aux élèves pour qu’ils puissent appliquer ce qu’ils avaient appris. Des concepts comme le réseautage, le leadership, la comptabilité, le marketing numérique et l’entrepreneuriat étaient au cœur du programme. Les élèves du secondaire ont terminé l’été avec des crédits et un certificat présentés par l’École de gestion Telfer.
Voici quelques points saillants du programme :
- Jamie Harvie a fait une présentation sur LinkedIn et une conférencière, Tania D’Iorio de la Financière Banque Nationale, s’est jointe au groupe pour discuter de conseils en marketing.
- Wiam Ben Karroum a fait une présentation sur le leadership en collaboration avec Tina Cantrill, coach professionnelle.
- En compagnie du professeur Marc Tassé de Telfer, Priyesh Sarju a présenté aux élèves la comptabilité et leur a attribué des études de cas.
- Laure Oris-Naidenova a présenté un atelier sur le marketing numérique et a donné aux élèves la chance de créer leur propre logo sur Canva.
- Jamie Harvie a fait une présentation sur l’entrepreneuriat, en compagnie d’une conférencière, Anne Khazzam, une entrepreneure de 19 ans qui a lancé The S’moresBox à Ottawa.
Témoignages d’élèves du secondaire
William Driscoll, un élève du secondaire du CSDOC, a parlé des grandes lignes du programme en ces termes : « Au moment de choisir mon stage coop à l’école secondaire, le programme de mentorat en ligne Telfer a attiré mon attention et j’en suis heureux.
Dirigé par des étudiants de Telfer qualifiés et engagés, j’ai pu rencontrer des conférenciers avertis, participer à des discussions de groupe et travailler à des tâches comme des présentations et des études de cas.
Chaque séance que nous avons eue ensemble était axée sur un certain domaine du monde des affaires, comme le marketing numérique, la comptabilité, le leadership, l’entrepreneuriat et le réseautage, ce qui m’a permis d’acquérir une connaissance précieuse de chacun de ces domaines.
Bien que ce programme ait été limité dans certains domaines par l’exigence actuelle de le tenir en ligne, je crois qu’il sera encore amélioré à mesure qu’il passera à l’apprentissage en personne.
En tant qu’élève qui cherche à exercer une profession liée aux affaires à l’avenir, ce programme m’a certainement aidé à entamer ce processus. »
Roha Abourd, une élève du CSDOC, a aussi vécu une expérience positive en participant au programme. « J’ai vraiment aimé participer au programme de mentorat Telfer. Mes mentors ont été très gentils avec moi et avec les autres. Ce que j’ai vraiment aimé de ce programme, c’est qu’il n’y avait pas de pression concernant nos affectations ou notre participation aux réunions. Nos tâches étaient faciles et simples, et nous n’avions qu’à assister aux réunions du lundi et du vendredi. »
Le point de vue du mentor : Jamie
« En tant qu’ancien élève du CSDOC, j’ai beaucoup aimé le rôle de mentor. C’était formidable de retourner à mon ancien conseil scolaire quelques années après l’obtention de mon diplôme et d’établir des liens avec des élèves qui sont dans la même situation que celle où j’étais il n’y a pas si longtemps », a déclaré Jamie Harvie.
Prochaines étapes
Après le succès obtenu par le programme de mentorat virtuel cet été, Telfer et le CSDOC espèrent poursuivre le programme l’an prochain. Idéalement, le programme serait offert en mode hybride, afin de donner aux élèves la souplesse d’apprendre de la maison, mais aussi de permettre certaines activités en personne. L’une des suggestions était d’inviter les élèves sur le campus une fois par semaine pour explorer différents secteurs, comme l’Atelier Makerspace de l’Université d’Ottawa ou le Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance au Pavillon Desmarais.
L’équipe du CSDOC est optimiste et croit qu’en faisant la promotion du programme plus tôt dans l’année, un plus grand nombre d’élèves seront incités à s’inscrire, ce qui permettra à un plus grand nombre d’entre eux d’explorer leurs intérêts dans le domaine des affaires.
- Catégorie : La voix des étudiants
Avec la période des travaux et des examens qui approche, il est important de commencer tranquillement à penser à nos méthodes d’étude ainsi qu’aux lieux où nous allons étudier. Pour ma part, depuis ma première année universitaire, j’ai toujours tenté de trouver les meilleurs endroits pour étudier sur le campus et hors campus. Voici donc une compilation des 7 meilleures places pour étudier, selon moi, sur et hors campus.
Sur le campus
1. La bibliothèque de droit Brian-Dickson
En tant qu’étudiante en droit, je passe la majorité de mes temps libres dans la merveilleuse bibliothèque de droit Brian-Dickson située au 4e étage du pavillon Fauteux. J’adore le fait que ce soit un endroit très lumineux, avec de grandes fenêtres longeant le mur du fond! Un autre aspect positif est que la bibliothèque est sur deux étages. Le premier étage comporte quelques tables réservées aux étudiants de la faculté de droit. Il y a aussi une salle d’étude où il est strictement interdit de parler, nommée la zone rouge. Cette salle est très intéressante puisqu'elle a été construite pour rendre hommage au juge en chef Brian Dickson. De plus, juste à côté de cette salle, il y a une salle d’étude commune où il est permis de parler et d’étudier en groupe et qui comprend une station de recharge pour les appareils Apple et Android! Le deuxième étage est similaire à la bibliothèque Morisset et tous les élèves peuvent y aller : il y a des cubicules individuels ainsi que des salles d’étude que vous pouvez réserver en ligne. Heureusement, il est très rare qu’il manque de place pour étudier, même pendant la saison des examens finaux!
- Location : 4e étage du pavillon fauteux.
- Heures d’ouverture : Du lundi au jeudi de 8 h à 23 h; vendredi de 8 h à 20 h; samedi de 10 h à 20 h et dimanche de 10 h à 23 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi accessible à travers “eduroam”, ainsi que des prises à chaque table et dans chaque salle d’étude.
- Nourriture : Les boissons chaudes ou froides sont permises dans un gobelet avec couvercle. Les aliments chauds sont interdits, mais les collations froides sont permises.
- Fait intéressant : Attention! Il y a juste une salle de bain, bien cachée, dans la bibliothèque et elle est située au premier étage de la bibliothèque!
2. Le Carrefour des apprentissages (CRX)
Depuis l’ouverture du Carrefour des apprentissages, j’adore réserver les salles d’études spacieuses, lumineuses et pratiques du bâtiment! Au premier étage du bâtiment, il y a des divans confortables avec des prises électriques intégrées. Au deuxième étage, il y a plusieurs grandes salles d’études, dont une silencieuse, remplies de tables et de cubicules individuels pour étudier seul ou en groupe. Les étages supérieures, pour leur part, comportent de nombreuses salles d’étude pouvant être réservées à l’avance. Elles comportent pour la plupart deux grandes tables ainsi qu’un tableau blanc. C’est super pratique pour étudier en groupe, faire des projets d’équipe ou bien pour réviser en utilisant le tableau blanc. Il est possible de louer des crayons effaçables à sec ainsi qu’une efface au comptoir d’information de la bibliothèque Morisset. Il y a beaucoup d’étudiants qui aiment étudier à cet endroit, alors il est important de réserver d’avance ou d’arriver tôt le matin pour s’assurer d’avoir une place!
- Location : 100, Louis-Pasteur Private, adjacent au pavillon Lamoureux.
- Heures d’ouverture : Du dimanche au lundi de 6 h 30 à 23 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi accessible à travers “eduroam” ainsi que des prises à chaque table et dans chaque salle d’étude.
- Nourriture : La nourriture et les boissons sont permises partout dans le bâtiment.
- Fait intéressant : Si vous avez faim lors de votre étude, vous êtes au bon endroit! Au premier étage, il y a un Tim Horton, Thaï Express, Paramount et Go Café. Il y en a pour tous les goûts!
3. Le pavillon des sciences sociales (FSS)
Le pavillon des sciences sociales est un petit havre de paix! Avec sa muraille de plantes et ses grandes fenêtres, il est agréable d’étudier dans cet édifice. Il y a une panoplie de services et d'installations disponibles au pavillon FSS. À travers les 14 étages, vous aurez accès à des tables, des divans ainsi que différentes salles d’études que vous pouvez réserver. Il est à noter que les salles d’étude sont réservées pour les étudiants de la faculté des sciences sociales. Ces installations hautement convoitées se remplissent assez rapidement, mais il y a toujours de la disponibilité pour y étudier. Il n’y a pas de restriction au niveau du bruit, mais généralement, lorsque j’y vais, les gens ne sont pas trop bruyants.
- Location : 120, University Private, le pavillon des sciences sociales.
- Heures d’ouverture : Du dimanche au lundi de 6 h 30 à 23 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi accessible à travers “eduroam” ainsi que des prises à chaque table et dans chaque salle d’étude.
- Nourriture : La nourriture et les boissons sont permises partout dans le bâtiment.
- Fait intéressant : Les croissants aux amandes du café Première Moisson, au premier étage de FSS, sont délicieux!
4. La bibliothèque Morisset
La bibliothèque Morisset est l'endroit classique et le plus convoité par les étudiants pour étudier. Les installations de la bibliothèque sont très pratiques et variées. Il y a des ordinateurs ainsi que des imprimantes accessibles aux étudiants. Les multiples salles d’études sont disponibles aux étudiants de toutes les facultés. Plusieurs zones d’études individuelles sont disponibles. Il y a des étages complètement silencieuses et d’autres où il est possible de parler (excellent pour les travaux d’équipe). Les espaces d’études se remplissent très rapidement lors de la période des examens, alors je vous conseille d’arriver tôt pour réserver une place!
- Location : 65, University Private, la bibliothèque Morisset.
- Heures d’ouverture : Du lundi au vendredi de 7 h à 14 h, samedi et dimanche de 10 h à 14 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi accessible à travers “eduroam” ainsi que des prises dans chaque salle d’étude. Il n’y a pas de prises électriques à chaque cubicule individuel.
- Nourriture : La nourriture et les boissons sont permises partout dans l’édifice.
- Fait intéressant : si vous avez besoin d’une pause d’étude alors que vous êtes à la bibliothèque, allez marcher dans une rangée, choisissez un livre au hasard et lisez quelques pages! Ce petit truc m’a permis de développer mes connaissances sur certains sujets intéressants et m’a permis de profiter des nombreux livres qui sont à notre disposition.
Hors campus
1. Starbucks
L’incontournable Starbucks! Nous sommes chanceux d’avoir accès à 3 starbucks, tous sur le campus ou à distance de marche du campus.
a) Pavillon Desmarais : Il y a quelques tables pour étudier, mais elles se remplissent très rapidement! C’est une belle atmosphère pour faire des travaux avec vos amis ou pour travailler seul puisque les tables sont assez petites. Si vous aimez étudier dans un environnement actif et vivant, c’est l’endroit idéal pour vous.
- Location : 55 av. Laurier Est, Pavillon Desmarais. (sur le campus)
- Heures d’ouverture : Du lundi au jeudi de 7 h à 20 h et le vendredi de 7 h à 18 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi accessible à travers “eduroam”. Il n’y a pas beaucoup de prises électriques (1 ou 2).
- Nourriture : Starbucks vend des boissons et de la nourriture délicieuse.
b) Centre Rideau (foire alimentaire) : Il est agréable d’étudier là puisqu'il est adjacent à la foire alimentaire. Cela dit, il y a beaucoup de tables disponibles. C’est un bon endroit pour étudier avec des amis ou pour faire des projets d’équipe puisqu’il y a beaucoup d’espace.
- Location : Foire alimentaire du Centre Rideau.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi gratuit accessible partout dans le Centre Rideau. Il n’y a pas beaucoup de prises électriques.
- Nourriture : Starbucks vend des boissons et de la nourriture délicieuse.
c) Rue Laurier (adjacent aux résidences Annexe) : C’est un tout nouveau Starbucks qui est spacieux et convivial. J’adore y étudier avec mes amis! Il y a deux étages et beaucoup de lumière naturelle. En été, il y a même un balcon avec des tables extérieures, c’est très agréable.
- Location : 275, av. Laurier Est.
- Heures d’ouverture : Du lundi au vendredi de 6 h à 22 h; samedi et dimanche de 6 h 30 à 22 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi gratuit accessible à travers le réseau Starbucks. Il n’y a pas beaucoup de prises électriques.
- Nourriture : Starbucks vend des boissons et de la nourriture délicieuse.
2. Drip House
Le café Drip House est un petit trésor caché à Ottawa! Avec son café délicieux et ses falafels fait maison au quotidien, c’est un endroit excellent pour étudier. Il y a beaucoup de tables spacieuses et une belle petite musique d’ambiance. Le décor est à couper le souffle! Pour s’y rendre, il faut soit prendre le train ou une voiture puisque c’est un peu loin du campus, mais ça vaut la peine d'aller y jeter un coup d'œil pour étudier!
- Location : 340B, Parkdale avenue.
- Heures d’ouverture : Du lundi au dimanche de 8 h à 18 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi gratuit accessible et quelques prises électriques.
- Nourriture : Les falafels fait maison, le café et les pâtisseries vont certainement vous convaincre d’y rester pour étudier!
3. Raw Pulp and Grind
Si vous aimez étudier dans un environnement coloré avec une belle ambiance, ce joli café santé, servant des smoothies, des smoothie bowls, des salades et une grande variété de cafés, est la place idéale pour vos études. Ils ont même des tables extérieures qui vous permettront de profiter de la belle température tout en étudiant. Pour se rendre là, il sera nécessaire de prendre une voiture ou le train.
- Location : 440, Preston street.
- Heures d’ouverture : Du lundi au vendredi de 8 à 16 h et le samedi et dimanche de 9 h à 16 h.
- Wifi et prises de recharge : Il y a du wifi gratuit et il y a des prises à chaque table.
- Nourriture : Des repas santé sont disponibles pour acheter. Ils ont aussi une grande variété de cafés.
J’espère que cette liste vous inspirera à commencer votre étude! Bonne chance pour vos examens, vous allez y arriver!
- Catégorie : La voix des étudiants
Au niveau mondial, le Canada se classe comme étant l’un des pays les plus propices à l’entrepreneuriat. On l’explique non seulement par la facilité des démarches pour la création d’entreprises, mais aussi par son cadre législatif favorable et ses divers programmes de soutien aux entrepreneurs. Avec un tel contexte, on pourrait s’interroger sur l’origine des inégalités qui caractérisent l’entrepreneuriat féminin de nos jours. Un rapport du Women Entrepreneurship Knowledge Hub a tenté de démontrer que le réel problème de l’entrepreneuriat féminin au Canada se situe non pas au niveau de la création des entreprises, mais surtout au niveau de leur croissance et de leur développement. Dans un environnement où de nombreuses conditions sont réunies, mais qui se heurte encore à des difficultés, réfléchissons ensemble sur l’avenir de l’entrepreneuriat féminin au Canada.
Un contexte favorable
Le Canada est un pays dont le contexte est favorable au développement de l’entrepreneuriat, et particulièrement de l’entrepreneuriat féminin. En effet, s’ajoutant au cadre législatif qui vise à garantir l’égalité des sexes dans le milieu du travail, on retrouve la présence de politiques et de programmes publics dont le but est d’assurer le développement de l’entrepreneuriat féminin. C’est le cas de la Stratégie pour les femmes entrepreneures (SFE) lancée en 2018. Elle comprend des programmes de financement et de soutien, ainsi que la création de réseaux pour les femmes afin d’améliorer leur accès au financement, aux talents, et à l'expertise dont elles ont besoin pour démarrer et se développer.
On retrouve aussi, dans l’écosystème de l’entrepreneuriat canadien, des organismes de soutien aux femmes entrepreneures (Women’s Enterprise Organizations
of Canada), des sociétés de capital-risque dirigées par des femmes (Fonds pour les femmes en technologie de BDC Capital), ainsi que des organisations de femmes tels que YWCA et la Fondation canadienne des femmes et le Native Women’s Resource Centre.
De plus, on remarque au fil du temps une croissance à grande ou petite échelle de ces organisations. Ainsi, à Telfer au sein même de notre école de gestion, on dispose du réseau Women in Management Network (WMN), fondée par Polly Leung. Cette association est née suite à un manque perçu dans la communauté étudiante de regroupements de femmes s’entraidant au niveau professionnel. WMN cherche à combler cela grâce à un programme de mentorat au sein d’une communauté solidaire et inclusive, dans laquelle les étudiantes pourront développer leurs compétences, et se bâtir un réseau pour l’avenir. Comme le dit Mme Leung elle-même, avec ce réseau, elle voulait « changer les relations transactionnelles, pour les rendre beaucoup plus significatives. »
J’ai aussi eu la chance de rencontrer Marie-Emmanuelle Kouadio, ambassadrice de SEPHIS Canada, une association basée à Abidjan, Côte d’Ivoire et dont le but est de promouvoir le genre, le leadership féminin et l’entrepreneuriat. Mme Kouadio, qui a eu l'idée de créer l’ambassade de SEPHIS au Canada, y voyait un moyen d'accroître la réputation de l’association, et ainsi continuer son combat à l’échelle mondiale, tout en gardant une connexion avec son pays natal qu’est la Côte d’Ivoire. Sur le territoire canadien, l’association se concentre essentiellement sur les étudiants internationaux africains et organise des évènements tels que des panels et des webinaires au cours desquels ils peuvent en apprendre plus sur le monde professionnel, mais aussi avoir les outils pour surmonter les défis qu’ils pourraient rencontrer.
Des difficultés persistantes
Dans le cas de l’entrepreneuriat féminin, on remarque des problèmes persistants qui sont en majorité liés aux stéréotypes de genre dont est marqué le milieu. Le rapport du Women Entrepreneurship Knowledge Hub sur l'état de l'entreprenariat féminin au Canada témoigne de l’omniprésence de ces stéréotypes. Par exemple, une étude d’analyse du contenu du journal canadien The Globe and Mail entre 2017 et 2019 a révélé qu’une majorité des articles sur l’entrepreneuriat se concentrait sur les hommes. Au niveau du contenu, tandis que les hommes apparaissent tels des entrepreneurs « nés », les femmes y sont présentées comme entrepreneures par « nécessité », ce qui ici révèle la présence d’identité de genre, selon laquelle on attribue l’homme à l’entrepreneuriat. Ces stéréotypes socialement construits font partie des facteurs expliquant la faible proportion de femmes dans les programmes de formation à l’entrepreneuriat, et donc aussi leur sous-représentation dans le milieu. Ils nuisent à la croissance de leurs entreprises, car ils sont en partie à la source de leur difficulté d’accès au financement, et leur ferment la porte à certains secteurs comme c’est le cas des STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques).
Si je pouvais visualiser l’avenir de l’entrepreneuriat féminin au Canada, je verrais sûrement un secteur fructueux et beaucoup plus inclusif. La mise en place de la SFE en 2018, et du comité d’experts composé de femmes provenant de secteurs variés, mais aussi de différentes cultures, témoigne de l’envie du gouvernement de réellement soutenir toutes les femmes entrepreneures, et cette fois-ci en travaillant main dans la main avec celles-ci.
Bien qu’il y ait encore des progrès à faire, notamment au niveau des stéréotypes et de la diversité culturelle, c’est essentiellement en donnant à toutes les femmes la possibilité de prendre leur place que ceux-ci pourront être brisés petit à petit. En leur transmettant les clés nécessaires pour se développer avec des services sexospécifiques de formation, un meilleur accès à l’information, au financement, mais aussi un soutien à l’internationalisation, elles seraient en mesure de démontrer leur plein potentiel. Associé à cela le phénomène croissant des organismes de soutien aux femmes entrepreneures, ce sont tout autant de facteurs qui ne pourront qu’avoir un impact positif sur l’entrepreneuriat féminin.
Cela dit, comme le souligne Mme Kouadio, les femmes devraient également se mettre moins de barrières de leur côté, mais oser et se lancer en se donnant les moyens d’y arriver. D’autant plus lorsqu’on sait que la présence accrue de femmes dans le secteur servirait de modèles aux plus jeunes, ce qui les aiderait d’une part à développer une identité entrepreneuriale autre que celle imposée par la société, mais d’autre part à les motiver pour se lancer à leur tour.
Je terminerai avec cette citation de Marcelle Goran, qui dirige sa propre structure d’accompagnement des entreprises pour l’embauche et la rétention de la main-d'œuvre immigrante au Québec : « Cela ne peut être que bénéfique de laisser les femmes s’insérer dans le tissu économique. »
- Catégorie : La voix des étudiants
Pour bon nombre d’étudiants universitaires canadiens, les derniers trimestres ont été présentés complètement en ligne, ce qui veut dire que c’est le temps de faire les examens virtuels. Étant donné que ceux-ci arrivent à grands pas, je voulais vous présenter un guide qui regroupe mes 5 meilleurs conseils qui ont joué un rôle important lors de mes examens à l’université, et qui pourraient vous être utiles pour préparer vos examens virtuels.
1. Avoir une saine alimentation
Mon premier conseil est de s’alimenter sainement parce qu’il est important de bien se nourrir au moment de faire un examen. Personnellement, j’aime commencer ma journée en mangeant un petit-déjeuner santé qui comprend du gruau et des toasts. Manger de l’avoine vous donne beaucoup d’énergie parce qu’il s’agit d’un aliment à digestion lente. Au courant de la journée, je mange des fruits séchés ou des légumes pour maintenir mon énergie jusqu’au souper. Arrive le temps du souper, il est important d’avoir un repas complet accompagné d’une source de protéine afin de pouvoir bien étudier en soirée.
J’ai découvert beaucoup de délicieuses recettes ce trimestre grâce au livre de recettes The College Vegetarian Cookbook. Pour plus de recettes, allez faire un tour sur le blogue Grateful Grazer!
2. Maintenir une bonne hygiène de sommeil
Les étudiants à l’université sont reconnus pour manquer de sommeil. De plus en plus d’étudiants souffrent d’un sommeil de mauvaise qualité et cela affecte souvent leur succès à l’école. À mon avis, les étudiants devraient dormir huit heures par nuit les trois jours avant un examen final; j’appelle ça « rentrer dans la routine ». J’ai réussi plusieurs cours en choisissant de dormir au lieu d’étudier plus longtemps. Cela m’a permis de me sentir mieux, d’être plus concentré et d’être plus productif chaque jour jusqu’à mes examens finaux.
3. Prendre des pauses
C’est très important de faire une pause de temps en temps parce que nous passons tous beaucoup trop de temps assis et les yeux virés sur un écran - surtout en ce moment, pendant la pandémie. Mes pauses consistent souvent à faire une marche, à jouer à des jeux vidéos ou à écouter des balados. Les promenades et les balados me permettent de m’éloigner des écrans où je passe beaucoup de temps; je peux laisser reposer mes yeux et sortir de mon bureau. J’aime aussi les jeux vidéos parce qu’il n’y a pas de règles et une expérience en ligne est une excellente activité pour se détendre. Planifiez la durée de vos pauses avant d’en faire afin de vous assurer d’avoir terminé d’étudier. Le plus souvent, je vais marcher quand c’est une journée ensoleillée et je prends beaucoup de photos.
4. Avoir un espace de travail propre
Pour moi, un espace de travail organisé veut dire ne pas avoir de vaisselle et de verres qui traînent à la fin de la journée. Ce genre d’objets prennent de la place dans ce que j’aime appeler « l’espace de bureau primordial » et personne ne veut ça, surtout quand il y a beaucoup de tâches à accomplir. D’ailleurs, il n’y a rien de mieux que de commencer sa journée dans un espace de travail propre. Pour d’autres personnes, cela pourrait vouloir dire s’assurer que tous ses outils et documents sont organisés. Ne pas trouver un outil ou un document peut vous empêcher de tirer le maximum de toutes les heures d’études précieuses menant à votre examen.
5. Optimiser son bureau ou sa salle d’étude
Ce trimestre, certaines mises à niveau de mon bureau m’ont aidé dans l’avancement de mes études. Ma première mise à niveau a été l’installation d’un deuxième moniteur afin d’être mieux organisé. J’adore avoir un écran supplémentaire parce que ça me permet de vraiment augmenter mon efficacité lorsque j’étudie. Je peux afficher plusieurs documents et présentations de cours simultanément en toute clarté. Une autre optimisation qui m’a aidé physiquement fut de changer ma chaise de bureau. Étant donné que je passe énormément de temps assis devant mon ordinateur, j’ai pensé que je devrais songer à ma posture davantage et m’acheter une chaise de bureau confortable pour passer de longues heures à étudier.
En somme, ce sont mes 5 conseils et j’espère qu’ils vous apporteront le plus grand succès pour vos examens, ce trimestre. Bonne chance à tous!
- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiante internationale, j’ai dû relever de nombreux défis à l’Université d’Ottawa au cours de ma première année. Lorsque je suis arrivée au Canada, j’étais aux anges et mon rêve s’était finalement réalisé. Cependant, la vie au Canada est tout à fait différente de ce que j’imaginais. Il faisait beaucoup plus froid et c’était beaucoup plus difficile que je ne le pensais. Je vivais dans un nouveau pays, je rencontrais de nouvelles personnes de plusieurs origines et j’avais une charge de travail scolaire élevée. Toutefois, être ouverte d’esprit, développer des habitudes d’apprentissage stratégiques et chercher des conseils de façon proactive vous aideront à surmonter ces défis au cours de votre première année.
Défi no 1 : Faire face au choc culturel
Le choc culturel est une émotion que la plupart des gens ressentent au cours de leur première année dans un nouveau pays. Il s’agit d’une expérience commune qui change la façon dont vous vous comportez dans un nouvel environnement. Voici quelques trucs pour surmonter le choc culturel :
- Faites des recherches sur la culture canadienne avant d’arriver au Canada : J’ai fait des recherches sur la culture populaire et j’ai appris à m’adapter à la culture canadienne. Les Canadiens sont très polis, et il est important de ne pas oublier vos manières si vous voulez faire bonne impression. Assurez-vous de dire « merci » et « s’il vous plaît » de façon appropriée et significative, mais ne l’utilisez pas à outrance.
- Fixez des attentes réalistes : Accepter le choc culturel fait partie de l’adaptation à un nouveau pays. Donnez-vous le temps nécessaire pour découvrir et vous adapter à votre nouvel environnement. Ne vous poussez pas trop fort. Laissez le temps faire son œuvre, surtout pour une nouvelle transition comme celle-ci. Le fait de puiser de l'énergie positive dans les loisirs vous aide également à surmonter vos difficultés au lieu de vous concentrer principalement sur elles.
- Participez à des activités de groupe, à des événements universitaires et à des festivals sociaux : Les festivals communautaires prennent de l’ampleur au fil du temps pour refléter les valeurs, les intérêts et les aspirations des résidents. Ces activités vous aideront à développer votre capacité à apprendre les langues, à vous familiariser avec les cultures et à faire de nouvelles connexions. Vous trouverez les festivals à venir sur le site web de Festivals d’Ottawa.
- Rencontrez votre mentor international : Telfer nous aide aussi à nous adapter à un nouvel environnement. Les étudiants internationaux se voient attribuer un mentor international lors de leur première année. Avoir une conversation avec eux et leur poser des questions vous aidera à améliorer votre expérience. Ils sont également des étudiants internationaux et comprennent donc vos problèmes et ont des conseils utiles pour les régler. De plus, ils sont très sympathiques et prêts à aider, alors ne soyez pas timides.
Défi no 2 : Faire de nouvelles rencontres
J’ai beaucoup d’amis du secondaire et de l’université dans mon pays d’origine, mais j’en avais moins lorsque j’étudiais au Canada. Le français et l’anglais sont les langues officielles au Canada, donc si la langue est un obstacle au moment de vous faire des amis, acceptez-le et soyez fiers de votre accent propre à votre langue maternelle. L’Université d’Ottawa offre de nombreux programmes linguistiques qui peuvent vous aider à améliorer vos compétences en communication. Le Programme intensif d’anglais est offert pour vous aider à développer votre confiance et à acquérir de nouvelles compétences linguistiques.
De plus, des ateliers de conversations sont également offerts pour vous aider à vous faire de nouveaux amis qui ont des niveaux linguistiques semblables et qui vous permettent d’être plus à l’aise à parler anglais. J’ai rencontré tellement d’amis dans le cadre de cet atelier et j’ai finalement amélioré mes compétences en expression orale. En plus, le fait de vous faire des amis et de tisser des liens avec vos collègues de classe vous aidera à surmonter votre peur de parler l’anglais. Votre première année est le meilleur moment pour vous faire des amis, alors que la plupart des gens ne se connaissent pas encore. Ne soyez pas timide au début! Si vous ne tentez pas votre chance, il vous sera plus difficile de trouver de nouveaux amis lors de votre deuxième ou troisième année d’études.
Défi no 3 : Gérer une charge de travail élevée
Le troisième défi est la charge de travail scolaire élevée que vous devez assumer lorsque vous êtes à l’université. Je crois que bon nombre d’entre vous ont eu beaucoup de devoirs et de remises à respecter lorsque vous étiez à l’école secondaire. Cependant, c’est tout à fait différent à l’université. La vie universitaire est beaucoup plus stressante que l’école secondaire. Parfois, vous pouvez être fatigué et vouloir abandonner. Voici quelques raisons pour lesquelles vous êtes si anxieux et comment les surmonter :
-
Ne pas bien connaître votre horaire : La plupart des étudiants sont plus stressés lorsqu’ils ont énormément de devoirs et un horaire chargé. Vous créer un plan détaillé est la meilleure façon de gérer votre temps et de prioriser les choses les plus importantes. Vous ne pouvez pas modifier vos heures de cours ou votre horaire de travail, mais vous pouvez essayer de tirer le meilleur parti de votre temps. Accorder un certain temps pour les devoirs et la relaxation vous aidera à créer une routine qui vous rendra moins stressé.
-
Avoir peur de poser des questions : C’est probablement la situation la plus courante à laquelle les étudiants internationaux sont confrontés à l’uOttawa. Ils ont peur de communiquer leurs problèmes et de dire leurs opinions. Selon moi, la langue est un obstacle pour de nombreuses personnes ne parlant pas l’anglais, et elle les empêche de dire ce qu’ils pensent. Les personnes qui maîtrisent moins bien l’anglais peuvent éprouver des difficultés en classe, ce qui les conduit naturellement à rester silencieux. Il existe de nombreuses façons de poser des questions : rencontrer votre professeur après le cours, leur envoyer un courriel ou même poser des questions à vos collègues de classe. Vous ne maîtrisez peut-être pas encore la langue, mais c’est en forgeant qu’on devient forgeron.
-
Avoir un mode de vie malsain : souvent les étudiants ne boivent pas assez d’eau, ne font pas assez d’exercice, ne dorment pas selon un bon horaire et mangent de la malbouffe. C’est plus difficile pour les étudiants internationaux de prendre soin d’eux-mêmes pendant leur première année parce qu’ils étaient habitués de compter sur leurs parents à la maison, ce qui peut mener à de mauvaises habitudes. Par conséquent, il est essentiel et utile d’établir une routine saine, de prendre des pauses, d’instaurer des habitudes et de travailler avec des amis pour surmonter le stress et obtenir suffisamment d’énergie positive pour mieux affronter les obstacles. L’Université d’Ottawa offre également des services en santé mentale et mieux-être qui vous aideront à vous sentir mieux dans votre peau.
J’espère que vous trouverez ces conseils utiles et qu’ils vous aideront à gérer les défis que vous aurez à relever lors de votre première année à l’uOttawa. Une fois que vous aurez surmonté ces défis, vous serez plus à l’aise lors de votre prochain trimestre. Si vous avez des questions ou des problèmes, n’hésitez pas à communiquer avec moi. Je serai ravie de vous aider pour tout ce qui a trait à votre première année!
- Catégorie : La voix des étudiants
Si j’avais une machine à remonter le temps, voici tout ce que je ferais différemment et tout ce que je ferais de la même façon pour réussir mes études sans regret. Si vous lisez cet article avant de commencer votre première année, c’est le moment parfait pour vous faire un plan. Si vous êtes à la moitié de votre baccalauréat et que vous ne vous sentez pas entièrement comblé, je vous encourage à lire et à explorer certaines des opportunités mentionnées; il n’est jamais trop tard!
Quel que soit votre programme d’études, tirer le meilleur parti de votre éducation va au-delà de la salle de classe. Il s’agit des rencontres que vous faites, des amitiés que vous créez et des défis que vous vous lancez. Il n’est pas nécessaire de se mettre trop de pression, d’ailleurs j’ai quelques stratégies pour vous aider à garder le juste milieu tout en vous amusant pendant vos études en gestion.
Mes bons coups :
Il n’y a pas de formule magique, mais c’est en suivant de bons conseils et en créant mes propres occasions que les choses se sont bien déroulées pour moi.
1. Utiliser un agenda ou un planificateur
C’est simple et essentiel! Si vous le faites déjà, continuez comme ça.
J’ai eu la chance d’en recevoir un dans ma trousse de semaine 101 Telfer, mais si vous n’en avez pas reçu, la SÉUO en donne parfois au début du trimestre.
La gestion du temps est la clé de la réussite. Notez toutes vos dates limites et planifiez votre journée en conséquence afin d’avoir du temps pour étudier et du temps pour relaxer.
Les téléphones intelligents et les calendriers en ligne fonctionnent très bien pour beaucoup de gens, mais si vous avez tendance à vous sentir étouffé par les notifications, il est préférable d’envisager une autre option pour minimiser les distractions et aider à la visualisation.
Je vous recommande fortement ce Textagenda QUO VADIS (voir la photo ci-jointe). Il a des caractéristiques géniales et il est à un prix raisonnable, soit moins de 20 $, dans un format parfait. Le papier est recyclable et la couverture peut être réutilisée. J’ai acheté le mien à la Boutique Campus.
2. S’inscrire à des clubs
On vous le suggérera au moins 416 fois au cours de votre baccalauréat, alors autant l’accepter : rejoindre des clubs étudiants est une expérience très enrichissante. En vous joignant à l’équipe de direction, vous organiserez des événements pour vos membres, ce qui paraît bien sur votre CV, mais qui est également beaucoup de plaisir!
Si vous n'avez pas le temps de vous engager, joignez-vous aux clubs en tant que membre pour avoir accès à des événements gratuits ou à un tarif réduit pour les événements payants.
J’ai fait partie du Club des entrepreneurs (TECDE) avant de rejoindre l’équipe des ambassadeurs du Centre des carrières de l’École de gestion Telfer.
Jetez un coup d’œil à la liste complète des clubs et associations de Telfer et découvrez ce qui vous intéresse!
3. Parler aux professeurs en dehors de la classe
Les heures de bureau sont idéales pour poser des questions précises à vos professeurs et obtenir des renseignements de façon individuelle, mais au-delà de ça, apprenez à les connaître!
Apprenez-en davantage sur leurs passions et leurs expériences. Certaines des conversations les plus percutantes et significatives que j’ai eu ont eu lieu ainsi. Le fait d’être à distance et de façon virtuelle ne devrait pas vous en empêcher. Je peux dire avec certitude que j’ai établi d’excellentes relations sur Zoom au cours de la dernière année. Les professeurs peuvent vous offrir d’excellents conseils professionnels et vous mettre en contact avec des personnes de leur réseau qui peuvent vous guider si ils ne le peuvent pas.
4. Participer à des compétitions de cas
Prendre part à des activités parascolaires comme des compétitions de cas qui sont offertes à l’interne par Telfer et à l’externe par l’entremise de CABS est l’une des meilleures choses que vous pouvez faire en tant qu’étudiant en gestion.
J’ai participé aux Jeux du Commerce Central (JDCC) lors de ma troisième année et je peux dire qu’avec le bon encadrement, votre capacité de travailler sous pression et de présenter des exposés efficaces s’améliorera de façon exponentielle.
Mis à part le fait que vous pouvez vous épanouir, vous avez souvent la possibilité de gagner des prix en argent ou autre, et si vous n’êtes toujours pas convaincu (vous devriez l’être), les employeurs adorent voir ce genre d’accomplissement sur un CV. Cela témoigne de votre capacité à gérer votre temps, à collaborer et à surmonter des défis. Pour en savoir plus, consultez l’article « Trois raisons pour lesquelles tu devrais participer à une compétition de cas à Telfer ».
Employeur : « Parlez-moi d’une fois où vous avez dû gérer un conflit. »
Vous : Aux JDCC!
Employeur : « Parlez-moi d’une fois où vous avez dû faire preuve de leadership. »
Vous : Aux JDCC!
Employeur : « Wow! D’accord, mais à part les JDCC, parlez-moi de… »
Vous : (Parlez de la façon dont vous avez saisi toutes les opportunités que j’ai décrites ici et comment elles vous ont aidé à développer des compétences et à grandir.)
5. Participer à des événements de réseautage
Le Centre des carrières de Telfer offre d’excellentes occasions de parler à des recruteurs provenant d’une multitude d’entreprises.
- Connectez-vous à Destination Carrière pour jeter un coup d’œil au calendrier des événements, puis prenez le temps d’y assister. Faites des recherches sur les entreprises qui vous intéressent à l’avance.
- Programme de mentorat par les cadres de Telfer
Recevez de l’encadrement par un professionnel de l’industrie, profitez de conseils professionnels, posez des questions, révisez votre curriculum vitæ, visitez son bureau, et essayez de participer à certaines réunions. - Séminaires innovants
Surveillez ces sections spéciales : ADM4797 - séminaires innovants, ADM3396 - fusion entrepreneuriale, ou ADM3713 - Esprit entrepreneurial : création d’une nouvelle entreprise! Ce sont des occasions uniques qui vous aident à tirer le meilleur parti des cours complémentaires que vous devez suivre en administration. Je recommande fortement les cours Préparation et participation à la compétition de cas d’affaires I (ADM3994) et II (ADM4994).
6. Postuler comme assistant à l’enseignement
Postulez, postulez, postulez! L’université vous enverra un courriel avant la période de soumission. Notez-la dans votre agenda! Si vous avez étudié fort et obtenu des notes exceptionnelles, postulez à tous les postes qui vous intéressent. Si vous aimez travailler directement avec les étudiants, envisagez de postuler pour ADM1700 - Introduction à la gestion des affaires, ou ADM2781 - Habiletés de communication d'affaires.
7. Étudier à l’extérieur de votre chambre
La bibliothèque a des étages désignées au silence. Mettez votre téléphone sur silencieux et hors de vue pour vraiment vous y mettre et être productif. Il y a plein d’endroits propices où étudier sur le campus; prenez le temps de les découvrir!.
8. Découvrir les sports intra-muros
L’activité physique est tellement bénéfique. C’est une excellente occasion de socialiser, de se faire des amis et de s’amuser. Structurez votre semaine et assurez-vous de prendre du temps pour vous-même. Découvrez les options de ligues intra-muros de l’uOttawa.
9. Naviguer le travail et les études
Si vous êtes admissible à un soutien financier et souhaitez travailler à temps partiel pendant le trimestre, explorez le Régime travail-études pour les emplois sur le campus. Les heures sont habituellement très raisonnables, ce qui vous permet de gagner de l’argent tout en gérant votre charge de travail.
Ce que je referais différemment :
1. M’inscrire à des programmes pratiques spécialisés de Telfer
Si vous aimez le défi de résoudre des problèmes et de présenter des solutions dans le cadre de compétition de cas, une carrière en consultation pourrait être pour vous. Si je pouvais revenir en arrière, je ne passerais pas à côté de ce programme. Le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) est un programme de développement de deux ans destiné aux étudiants de l’École de gestion Telfer qui s’intéressent à la consultation. Ceux-ci participent à des ateliers et à des simulations animés par des professionnels de l’industrie.
Si les finances vous intéressent, le Programme sur les marchés financiers (CMP) est pour vous. Consultez les autres programmes offerts ici.
2. Rester dans le programme coop
J’ai quitté le programme coop en deuxième année pour des raisons personnelles, avec l’intention de trouver un stage par moi-même. On m’en a offert un, mais les choses n’ont pas marché. Ça arrive!
Les stages coop sont plus sûrs (les employeurs reçoivent des incitatifs concurrentiels au moyen de crédits d’impôt pour études, de sorte qu’ils profitent grandement de l’embauche d’étudiants), et vous aurez la garantie d’obtenir votre diplôme avec une certaine expérience de travail officielle liée à votre domaine. Ne vous méfiez pas des frais ou de la charge de travail : ça en vaut la peine.
Quelques conseils importants :
- Réseautez avec des personnes travaillant dans ces entreprises dès le début; souvent, les candidats sont pris en considération avant même de faire une entrevue, alors passez du temps avec les recruteurs. Démontrez de l’intérêt, posez des questions et trouvez à qui vous devriez parler.
- Si vous le pouvez, envisagez d'expérimenter à la fois le secteur public et le secteur privé pour déterminer le rythme et l'environnement qui vous conviennent.
3. Rencontrer des gens de différentes facultés et de différents programmes
Si les compétitions de cas vous intéressent, surveillez les facultés d’ingénierie et de sciences. Explorez la possibilité de joindre leurs clubs, d’assister à des activités sociales, même si ce sont des soirées de jeux en ligne, des tournois et plus encore. Vous pouvez collaborer avec d’autres étudiants de ces facultés et offrir vos connaissances entrepreneuriales pour créer une équipe hautement fonctionnelle.
Vous aimiez les arts au secondaire? Il y a un certain nombre de clubs de danse à l’UCU en tout temps. Joignez-vous à un club d’improvisation ou de théâtre! Créez votre propre club, ici!
4. Explorer Ottawa
Trouvez un ami et allez vous promener; prenez du temps pour vous aventurer et découvrir. Si vous n’avez pas choisi le forfait alimentaire, songez à soutenir certains restaurants ou cafés locaux.
Profitez de l’expérience complète. Les études sont importantes, mais je vous encourage à prioriser votre temps de façon à pouvoir faire des excursions personnelles périodiquement. Profitez de l’automne et du printemps, car les randonnées d’hiver peuvent être difficiles. Ne manquez pas de patiner sur le canal, c’est un rite de passage.
Je n’ai jamais vécu tout un été à Ottawa et je le regrette énormément. J’avais prévu de passer l’été 2020 à explorer, mais ça ne s’est pas tout à fait déroulé comme prévu! Apprenez de mes erreurs!
5. Faire des demandes de bourses d’études
La grande majorité des bourses d’études offertes par l’entremise du portail des bourses en ligne de l’Université d’Ottawa ont des dates limites au début et au milieu de l’automne. Faites autant de demandes que possible, et gardez un bon dossier sur les exigences de chacune. Conservez des copies des demandes que vous soumettez, et améliorez-les.
De nombreuses bourses d’études exigent que vous rédigiez une dissertation, mais elles portent souvent sur un sujet qui vous intéresse! Écrivez sur quelque chose de spécial qui vous tient à cœur. Vous pouvez réutiliser la même dissertation pour de multiples occasions différentes, alors soumettez-les continuellement! Si vous vous y consacrez dès le début et faites preuve de diligence, ce sera bénéfique pour vous.
Si vous êtes prêts à faire du bénévolat, je vous le recommande fortement. Non, en fait, je vous SUPPLIE d’en faire. Utilisez le navigateur de l’engagement communautaire pour trouver les meilleures occasions afin de vous impliquer et d’obtenir votre attestation de bénévolat. Cela fera de vous un candidat extraordinairement intéressant pour les bourses, en plus des nombreux avantages permanents qui y sont associés.
6. Devenir un conseiller communautaire ou un mentor
Si vous êtes un bon candidat bilingue et qui a aimé la commodité et l’ambiance de la vie en résidence, envisagez de devenir conseiller communautaire ou mentor. Un avantage de l’emploi est de vivre en résidence gratuitement!
Résumé des principaux points à retenir :
Si vous vous êtes rendu aussi loin dans l’article, vous avez ce qu’il faut pour réaliser de grandes choses.
N’oubliez pas :
- Les relations sont importantes! La situation mondiale actuelle rend le réseautage difficile, mais vos efforts en valent la peine;
- Mettez-vous au défi! Le stress peut être nuisible, mais c’est la source du progrès;
- Trouver un équilibre entre vos cours et vos passions personnelles. Respectez vos engagements et les obligations de votre groupe, mais prenez du temps pour vous;
- Soyez ouvert d’esprit! N’ayez pas peur de nouvelles idées et activités. Vous apprendrez tellement de choses et vous vous ferez de nouveaux amis.
- Catégorie : La voix des étudiants
Ce qu’il faut savoir à mon sujet, c’est que je suis un grand amateur de compétition de cas. J’ai participé à plus de sept d’entre elles au cours de mes quatre années à Telfer, et je pense quand même que ce n’est pas assez.
J’apprécie particulièrement les Jeux du Commerce (JDC), car c’est la première compétition à laquelle j’ai participé, et c’est celle que je préfère le plus. J’ai tellement aimé mon expérience que j’ai décidé d’être l’un des deux coordonnateurs pour l’édition 2021, avec mon bon ami Scott Dowell. Ensemble, nous avons pour objectif de faire de 2021 l’année de Telfer!
Pour ceux et celles d’entre vous qui n’ont jamais participé à une compétition de cas, en voici la présentation. Vous arrivez à l’hôtel avec 50 à 100 autres étudiants de Telfer, portant tous les mêmes vêtements exclusifs pour représenter fièrement l’école. Il y a une cérémonie d’ouverture, une célébration, puis tu te reposes avant le début de la compétition le lendemain. Il y a trois grands volets auxquels tu peux participer :
- Social : une occasion de mettre en valeur ta créativité et ton esprit d’équipe dans le cadre de divers défis;
- Sport : où tu peux participer à une compétition sportive choisie par le comité organisateur;
- Académique : ton équipe doit résoudre une étude de cas réelle présentée par un commanditaire.
Tout au long de la fin de semaine, lorsque tu ne participes pas à une compétition, tu encourages les autres équipes, fais du réseautage avec les commanditaires et te lies d’amitié avec les étudiants des autres universités participantes. Enfin, l’événement se termine par un gala où les commanditaires et les organisateurs annoncent les gagnants de chaque catégorie.
Regarde la vidéo récapitulative pour découvrir ce qu’il en est!
Participe à une compétition de cas
Maintenant que tu as une idée générale de ce qu’est une compétition de cas, pourquoi y participer à Telfer? Bien qu’il y ait plusieurs raisons, je les ai résumées en trois catégories :
1. Pour réseauter
Participer à une compétition de cas est une occasion unique de réseauter, et en tant qu’étudiant en gestion, tu devrais déjà savoir que le réseautage est l’une des choses les plus importantes que tu peux faire à l’université. Je crois sincèrement que je n’aurais pas eu autant de chance de trouver un emploi si ça n’avait pas été des contacts que j’ai établis dès le début à Telfer. Bon nombre de ces relations sont nées lors des compétitions de cas.
Premièrement, une délégation c’est comme une famille, et grâce aux pratiques, aux événements sociaux, aux réunions et à la compétition elle-même, tu peux créer des liens avec les autres étudiants. Ceux-ci peuvent facilement devenir tes meilleurs amis et même agir à titre de références pour un futur emploi.
Deuxièmement, beaucoup d’entreprises parrainent des compétitions de cas pour réseauter avec les étudiants et les embaucher. Que tu fasses partie de l’équipe du volet social, sport ou académique, cet événement te donne la chance de tisser des liens avec ces recruteurs et de donner ton CV. Si les commanditaires te voient à l’œuvre en train de résoudre un cas, ils pourraient t’inviter à un événement cocktail V.I.P. pour apprendre à mieux te connaître. Plusieurs fois, des étudiants ont trouvé un emploi lors de ces compétitions. Tu pourrais être le prochain!
2. Pour développer des compétences
En participant à une compétition de cas, tu as un entraîneur et tu pratiques fréquemment avec ton équipe. Ce sont d’excellentes occasions pour améliorer tes compétences en matière de résolutions de cas, qui sont extrêmement importantes lorsque tu tentes d’obtenir un emploi dans des domaines concurrentiels comme la consultation. De nombreux cabinets comme Deloitte et Accenture ont une étude de cas dans le cadre de leur processus d’entrevue; le fait d’avoir fait des semaines de pratique et reçu des commentaires d’un coach expérimenté te donnera un avantage concurrentiel.
Les autres compétences que tu développeras et qui sont encore plus importantes, à mon avis, sont les techniques de présentation, la gestion du temps et le travail d’équipe. Ces trois compétences sont essentielles pour postuler à un emploi. Ainsi, participer à cette compétition peut t’aider à trouver le travail de tes rêves.
3. Pour s’amuser
Bien que les deux raisons mentionnées ci-dessus soient bonnes et essentielles à la réussite de tes études en gestion, je n’aurais pas participé à sept compétitions si elles n’avaient pas été amusantes. Certains des meilleurs souvenirs de ma carrière universitaire proviennent de ces diverses compétitions de cas. Que ce soit en regardant l’équipe de l’ultimate frisbee de Telfer remporter la finale de bronze aux JDC 2019, quitter la salle de présentation avec mes coéquipiers Josh et Nafim après avoir présenté notre solution aux JDC 2020, ou voir mon ami Bobby gagner le prix MVP au Happening Marketing 2019, ce sont tous des moments que je chérirai pendant très longtemps.
Cela dit, mes expériences n’ont pas toutes été agréables. Malheureusement, aux JDC 2019, j’ai disloqué mon genou et déchiré mon ligament latéral interne (LLI) dans les 30 minutes suivant le début du premier match de soccer que nous avons joué. Cela signifiait que mon tournoi était terminé et que je devais passer le reste de la journée à l’hôpital. Je pense que le fait que j’adore encore les compétitions de cas après avoir vécu cela prouve à quel point elles sont amusantes!
Dans l’ensemble, je t’ai donné trois bonnes raisons pour lesquelles tu devrais t’inscrire à une compétition de cas à Telfer. D’après moi, le simple fait de recevoir des trucs sympas devrait suffire à te convaincre, mais sinon, cet article devrait le faire.
Je suis actuellement le V.-p. des technologies de l’information et du marketing au comité organisateur des JDC 2022 et je peux te dire que nous planifions quelque chose d’énorme pour tout le monde. Après une année très difficile, nous allons allumer la flamme chez tous les délégués, et tu ne voudras pas le manquer!
Suis le Comité compétitions Telfer et les Jeux du Commerce sur les réseaux sociaux pour plus d’information et d’autres nouvelles.
*Avertissement : toutes les compétitions sont différentes, mais je partage mon expérience d'un format traditionnel, en personne, pour garder les choses simples.
- Catégorie : La voix des étudiants
Après avoir écrit plusieurs examens, j’ai mis au point trois méthodes clés pour préparer mes notes de cours. C’est pénible d’étudier pendant des heures et des heures et d’avoir l’impression que ce n’est toujours pas assez. Si c’est le cas pour vous, sachez que vous n’êtes pas seul.
La première méthode consiste à prendre vos notes et à les transformer en cartes visuelles, ainsi qu’à créer des exercices où vous devez compléter les phrases. La deuxième méthode regroupe les outils qui peuvent être utilisés pour prendre vos notes ou les modifier. La dernière méthode consiste à utiliser vos notes pour créer des cartes-éclair à l’aide de Quizlet et Anki.
Au fil des ans, je me suis rendu compte que certaines méthodes d’étude étaient bonnes pour certains types d’examens en particulier. Par exemple, vous pouvez utiliser la première méthode mentionnée pour les examens à choix multiples ou les questions de type vrai ou faux. Il est utile d’intégrer la technologie dans votre prise de notes, car cela pourrait vous faire gagner du temps et vous épargner du stress. Il n’y a rien de plus énervant que d’avoir à trier des centaines de feuilles de notes. Même si vous êtes organisé, il est très fastidieux de relire toutes vos notes écrites. Maintenant, gagnez du temps et épargnez du stress avec ces trois conseils d’étude!
1. Donnez vie à vos notes
Lors des cours, beaucoup d’étudiants prennent des notes en écrivant mot pour mot ce que dit le professeur. Il ne s’agit pas nécessairement de la méthode la plus efficace pour prendre des notes. Vous avez peut-être l’impression d’être productif et de réussir vos examens, mais ce style « d’étude » est loin d’être le bon. Commencez par prendre vos notes de cours et rendez-les visuellement plus attrayantes. Par exemple, lorsque vous devez mémoriser ou comprendre un diagramme, simplifiez-vous la tâche en l’organisant en petites parties. Faites un code de couleur pour chaque petite partie pour qu’ainsi certains éléments se démarquent du reste de l’information. En plus d’ajouter de la couleur et du design à vos notes, vous pouvez créer des exercices de phrases à trous. Selon le Center for Teaching de l’Université Vanderbilt, la récupération répétée aide les étudiants à améliorer la rétention d’information à long terme. La méthode de phrases à trous vous aide également à obtenir un retour instantané de vos mauvaises réponses. Autrement dit, lorsque vous étudiez au moyen de cette méthode, vous vous souvenez encore plus de certains concepts en recevant une rétroaction rapide des bonnes et mauvaises réponses.
2. Faites de la technologie votre ami, et non votre ennemi
Chaque étudiant veut le plus récent ordinateur portable ou la nouvelle tablette pour ses cours. D’autres ne jurent que par le papier et crayon pour prendre des notes. Et si nous combinions le meilleur des deux mondes? La première chose à faire en tant qu’étudiant est de s’acheter un appareil pour prendre des notes. Il peut s’agir d’un ordinateur portable ou d’une tablette. Si vous avez de la chance, l’achat d’une tablette et d’un laptop peut être la meilleure combinaison d’outils pour prendre des notes. Une fois que vous avez au moins un des appareils mentionnés, commencez à utiliser OneNote ou Notability. Ces deux applications vous permettent de convertir des notes écrites à la main en texte numérique, d’organiser toutes vos notes par cours, de stocker vos notes dans le nuage et de transférer ces notes entre appareils. L’avantage d’utiliser OneNote par rapport à Notability est que tous vos documents Word peuvent être modifiés. Comme je disais plus haut, il faut donner vie à vos notes et c’est encore plus facile à faire avec une tablette. Ne craignez plus les longues équations mathématiques avec un accès sans fin à du “papier” sur une tablette. Enfin, surlignez vos notes avec une couleur, ce qui rend vos notes plus amusantes et intéressantes. N’oubliez pas que nous essayons d’améliorer vos notes tout en ayant du plaisir!
3. Les programmes de cartes-éclair et leur efficacité
Les cartes-éclair sont utilisées depuis des années lors d’allocutions en public, alors pourquoi pas pour étudier? Il y a deux programmes de cartes-éclair très utiles que beaucoup d’étudiants ne connaissent pas. Le premier s’appelle Quizlet. Ce programme est gratuit et vous permet de créer vos propres cartes-éclair ou de chercher des cartes-éclair identiques à la matière de vos cours. La configuration est simple : nommez votre paquet de cartes-éclairs et commencez à ajouter des cartes pour étudier. Pendant que vous répondez aux cartes-éclair, vous pouvez indiquer dans quelle mesure vous connaissez bien une carte-éclair, ce qui a une incidence sur la fréquence à laquelle elle apparaît. L’avantage d’utiliser Quizlet est de pouvoir créer et d’avoir accès à vos cartes sur n’importe quel appareil.
Anki est un autre programme intéressant à découvrir; la version pour PC est même gratuite. Tout comme pour Quizlet, vous pouvez répondre à chaque carte-éclair en indiquant si vous connaissez bien le sujet, et à partir de là, il retournera dans le jeu de cartes ou dans un autre paquet pour être étudié plus tard. Le seul inconvénient de Anki, c’est qu’on doit payer pour la version mobile. Il existe de nombreux autres programmes de cartes-éclair gratuits qui offrent les mêmes fonctionnalités que Anki, mais qui permettent de partager des cartes sur n’importe quel appareil. L’efficacité de ces programmes change d’année en année. Une étude récente a démontré que les étudiants qui utilisaient des cartes-éclair pour étudier obtenaient des résultats plus élevés que les étudiants qui étudiaient seulement leurs notes de cours.
À ce stade, soit vous vous dîtes « J’adore ces conseils! » ou « Je ne vais pas les essayer. », mais avant, récapitulons le tout. Commencez par rendre vos notes visuellement plus attrayantes pour vous, pas pour votre professeur. C’est vous qui les lisez, pas votre professeur. Assurez-vous de bien comprendre ce que vous avez dans vos notes, de cette façon, lorsque vous faites un plan de travail, vous pouvez relier les idées secondaires à l’idée principale. N’ayez pas peur de la technologie, je vous promets qu’elle est là pour vous faciliter la vie! La capacité et le luxe d’organiser toutes vos notes en un seul endroit simplifieront votre préparation à l’examen. Enfin, essayez différentes méthodes d’étude comme les phrases à trous ou les programmes de cartes-éclair. N’étudiez pas à la dernière minute, et prenez l’habitude de garder votre mémoire aiguisée et à l’affût!
- Catégorie : La voix des étudiants
Dès le début de mes études de premier cycle, j’ai été absorbé par les activités d’entrepreneuriat à l’Université d’Ottawa et, au fil des ans, j’ai été ravi de voir la culture entrepreneuriale prendre de l’ampleur sur le campus. Après avoir fait partie de la cohorte de l’été 2018 du programme de Garage Démarrage au Carrefour de l’entrepreneuriat de l’uOttawa (eHub), j’ai été impressionné par le nombre d’idées novatrices produites sur le campus et j’ai été davantage motivé à collaborer avec les étudiants et les diplômés de l’uOttawa.
Les programmes eHub et Garage Démarrage de l’Université d’Ottawa ont été d’excellents outils pour m’aider à développer mon esprit entrepreneurial et à faire croître mes entreprises en démarrage antérieures et actuelles. L’Atelier Makerspace et eHub dans le complexe STEM offrent un espace où les futurs entrepreneurs peuvent collaborer et réseauter avec d’autres étudiants sur le campus.
Tout au long de mon baccalauréat, j'ai eu la chance de bénéficier d'un large éventail d'opportunités de création d'entreprise, notamment en travaillant dans une entreprise axée sur l'intelligence artificielle et en lançant une plateforme de commerce électronique.
Mon expérience la plus récente dans une entreprise en démarrage
Je travaille actuellement sur une startup en technologie de l’éducation appelée The GlobalPass. C’est une application web qui permet aux étudiants de découvrir des universités à travers le monde et de s’y inscrire facilement. Nous les aidons à trouver des écoles qui répondent à leurs besoins, à leurs objectifs financiers et à leurs intérêts scolaires. De plus, le GlobalPass offre aux étudiants des centaines de bourses d’études et donne à ceux qui sont marginalisés accès à des options de financement.
Venir étudier au Canada (ou dans n’importe quel autre pays) peut être intimidant, et le GlobalPass vise à faciliter les choses en offrant un soutien professionnel concernant le visa et en cherchant des logements étudiants abordables.
Dans l’ensemble, le GlobalPass permet aux étudiants d’accéder à des débouchés internationaux et de s’établir dans le nouveau pays qu’ils exploreront en leur fournissant des informations sur les visas, la communauté et le mentorat.
Les possibilités offertes sur le campus
Selon mon expérience, j’ai remarqué que les entrepreneurs peuvent grandement bénéficier de la collaboration avec des pairs dans la communauté des entreprises en démarrage. Si vous voulez lancer une entreprise, je vous recommande donc fortement d’explorer et de profiter de toutes les ressources que vous offre l’Université d’Ottawa pendant vos études. L’École de gestion Telfer et le Carrefour de l’entrepreneuriat de l’uOttawa ont beaucoup de mentors et de fondateurs qui sont prêts à échanger des idées et à vous aider à démarrer votre projet.
Si vous vous intéressez à GlobalPass ou à la technologie de l’éducation, ou si vous souhaitez voir comment votre institution peut tirer profit de notre technologie, n’hésitez pas à me contacter.