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« Startup Weekend » est une organisation à but non lucratif dont le siège social se trouve à Seattle (Washington) et qui rassemble les participants dans le cadre d'ateliers pendant une longue fin de semaine, dans le but d'avancer des idées, de créer des équipes et de monter des entreprises.
Un événement exclusif « Startup Weekend » aura lieu pour la 2e fois à l'Université d'Ottawa en février 2016. Cet événement vise les étudiants actuels de l'Université d'Ottawa ainsi que ses diplômés récents. L'objectif est de mettre en relation les étudiants de toutes les facultés afin d'encourager et de promouvoir l'entrepreneuriat, peu importe la discipline étudiée. Nous avons hâte de voir différents types d'idées novatrices se concrétiser lorsque les étudiants élargiront leurs horizons et établiront des liens avec d'autres autour d'eux, aux ensembles de compétences et aux domaines d'expertise variés.
L'événement aura lieu du 26 au 28 février 2016.
Détails et inscription à suivre
Pour plus de renseignements, veuillez communiquer avec Stephen Daze,
Un événement à ne pas manquer pour les étudiants intéressés par l'entrepreneuriat
« "Startup Weekend" est un phénomène international qui a lieu dans la plupart des villes novatrices partout dans le monde », a déclaré Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick à l'École de gestion Telfer. « L'École de gestion Telfer et l'Université d'Ottawa offrent cet événement sur le campus pour donner l'occasion à nos étudiants d'apprendre, de tisser des liens, d'établir une entreprise, de rencontrer des cofondateurs potentiels et bien plus encore. »
Des entrepreneurs, des innovateurs, des concepteurs et tous ceux qui veulent en savoir plus sur la manière de monter une nouvelle entreprise participant à cet événement tireront profit d'une expérience liée aux entreprises en démarrage à un rythme rapide de 54 heures, en travaillant avec une équipe d'étudiants partageant des points de vue semblables, encadrés par des vétérans de la communauté locale des jeunes entreprises.
« Vous ne ferez l'expérience de l'entrepreneuriat et des entreprises en démarrage dans un format concentré et organisé nulle part ailleurs », a déclaré Stephen Daze. « Cet événement rassemble les étudiants en commerce, les programmateurs et les concepteurs. Il permet d'offrir une formation aux participants et de les encadrer dans une ambiance agréable axée sur la création d'entreprises en démarrage. »
Engagement de l'École de gestion Telfer en matière d'entrepreneuriat
Nous nous engageons à aider les étudiants à réussir. Pour beaucoup, le succès commence par la création d'une nouvelle entreprise ou la contribution à une nouvelle entreprise en tant que cofondateur ou membre d'une équipe. Nous offrons les outils et les ressources dont vous aurez besoin pour apprendre, créer des réseaux et développer vos compétences en matière d'innovation et d'entrepreneuriat. En plus de tenir le « Startup Weekend » à l'Université d'Ottawa, voici quelques-unes des initiatives offertes :
La conférence Ponts de l'entrepreneuriat – Organisée en partenariat avec la Faculté de génie, cette conférence annuelle de cinq séances est offerte aux étudiants intéressés par l'entrepreneuriat ou envisageant cette voie. La conférence met en avant de jeunes entrepreneurs locaux qui racontent l'histoire de leur entreprise en démarrage et sont une source d'inspiration, d'éducation et de mentorat. Cette conférence est aussi le cadre d'annonces et de compétitions liées à l'entrepreneuriat comme la finale de la compétition annuelle de présentations succinctes (Elevator Pitch) du Club des entrepreneurs. En moyenne, 150 étudiants participent à chaque séance de la conférence qui comprend une présentation officielle ou un panel officiel, du réseautage et des rafraîchissements.
Cours « Fusion entrepreneuriale » – « Fusion entrepreneuriale » est une nouvelle initiative de l'École de gestion Telfer qui rassemble des collaborateurs de tout le campus pour mettre en place, gérer et offrir un cours d'un semestre avec crédits pour créer une entreprise sur une période de 13 semaines. En travaillant au sein d'équipes pluridisciplinaires, les étudiants tireront des leçons d'experts lors de conférences et d'ateliers. Ils effectueront des travaux évalués menant à la création de leur nouvelle entreprise. Nous prévoyons que le cours accueillera 25 étudiants à la première séance prévue pour l'automne 2015.
La compétition en développement d'entreprise Telfer – Cette compétition d'affaires, maintenant dans sa deuxième année, est une façon innovatrice d'aborder les compétitions de plan d'affaires traditionnelles. La compétition est ouverte aux étudiants du premier cycle à temps plein de l'École de gestion Telfer ou aux équipes composées d'au moins 50 % d'étudiants de l'École de gestion Telfer. Elle ne repose pas sur des idées et la proposition de plans d'affaires, mais sur des initiatives. Les concurrents démontreront l'achèvement de véritables repères pour monter ou valider leurs concepts d'affaires, ainsi que l'établissement d'objectifs réalistes pour aller de l'avant. Les candidats peuvent en être à n'importe quelle étape du développement de leur concept d'affaires. Des juges externes détermineront le gagnant en fonction du travail réellement accompli jusque-là et des repères prévus. À gagner : des prix en argent totalisant 10 000 $.
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L'équipe de l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa a remporté la première place au concours de médias sociaux lors du concours d'étude de cas DeGroote, qui a eu lieu les 13 et 14 novembre à l'Université McMaster, à Burlington.
Le concours d'étude de cas DeGroote, inauguré en 2015, est un événement qui met l'accent sur la transformation des activités et l'innovation numérique. Les étudiants de maîtrise en administration des affaires (MBA) des meilleures écoles de gestion du Canada sont mis au défi de s'adapter, de collaborer et d'innover de différentes manières, y compris par l'intermédiaire d'un concours vidéo, un concours unique et une analyse de rentabilisation officielle.
John Lachapelle, membre de l'équipe, précise : « Nous avons vécu une expérience fantastique dans le cadre du concours d'étude de cas DeGroote. Le thème de la transformation des activités s'applique vraiment au monde des affaires moderne en constante évolution. L'innovation rend les modèles opérationnels éprouvés désuets, alors que des industries entières sont obligées de se transformer en raison des technologies perturbatrices comme celles utilisées par Uber et Airbnb. Le MBA Telfer promeut une compréhension de ce nouveau paradigme dans le monde des affaires et notre équipe est fière d'avoir représenté l'École de gestion Telfer à Burlington. »
L'équipe de l'École de gestion Telfer s'était entraînée sous la supervision d'Hantz Prosper, professeur de concours d'étude de cas.
Étudiants (de gauche à droite)
Ihor Brydun (programme intensif du MBA)
Sara Lage (programme intensif du MBA-JD)
Hala Migahed (programme professionnel du MBA, cohorte en français)
John Lachapelle (programme intensif du MBA)
- Catégorie : Annonces Telfer
L'École de gestion Telfer et le programme Jeunes entreprises (programme JA) du Réseau d'Ottawa pour l'éducation (ROPE) ont signé un accord pour la promotion de l'esprit d'entreprise chez les jeunes. L'objectif de l'accord est de favoriser l'engagement communautaire et d'améliorer l'offre d'apprentissage par l'expérience dans les écoles d'Ottawa.
Le programme JA incite les jeunes à démarrer une entreprise, à prendre de meilleures décisions financières et à planifier un cheminement de carrière, tout en invitant des bénévoles provenant d'entreprises et d'institutions postsecondaires locales à offrir des occasions d'apprentissages pratiques aux élèves de la 5e à la 12e année. Le programme est offert gratuitement aux écoles locales grâce au soutien de bénévoles, de partenaires communautaires et de commanditaires.
« Le programme JA est un pilier de cette collectivité et de nombreuses autres collectivités comme elle dans tout le pays, et ce, depuis plusieurs années », déclare Matt Archibald, directeur adjoint du Centre des services aux étudiants de l'École Telfer. « Nous sommes heureux de créer des liens entre les élèves et notre organisation afin d'aider au perfectionnement des compétences dans les domaines de l'entrepreneuriat, de la planification de carrière et de la littératie financière. » M. Archibald poursuit : « Il s'agit d'une extraordinaire occasion d'apprentissage par l'expérience pour nos étudiants de l'École Telfer, car elle leur permet de mettre à profit de manière significative les compétences qu'ils ont perfectionnées durant leurs parcours académiques postsecondaires et de les enseigner à des élèves plus jeunes. »
Un des avantages du programme JA est qu'il donne aux élèves la possibilité d'avoir accès à de l'aide et à du financement pour lancer leur propre entreprise. Un excellent exemple de la portée du programme est donné par Guillaume Auger, de l'école secondaire Garneau. Il a été l'un des deux récipiendaires de la bourse 2015 des jeunes entreprises du Forum sur le leadership des jeunes générations durant l'événement de célébration d'Entreprise JA en juin de cette année, événement dont l'École Telfer était l'un des commanditaires. Guillaume est le président de Tie or Dye, une jeune entreprise grâce à laquelle son équipe s'est classée à la deuxième place de la compétition Perfect Pitch de 2014 organisée par l'équipe Enactus de l'Université d'Ottawa, une compétition de type « Dans l'œil du dragon », qui donne aux étudiants l'occasion de participer durant une journée entière à des ateliers sur des sujets liés à l'entrepreneuriat et de vivre directement une simulation de présentation.
« Pour inspirer nos jeunes leaders de demain, il n'y a rien de tel que de leur présenter nos jeunes leaders d'aujourd'hui! » déclare Albert B. Wong, le directeur de JA Ottawa. « JA Ottawa incite les jeunes à démarrer une entreprise, à prendre de meilleures décisions financières et à planifier un cheminement de carrière, et les bénévoles de l'École Telfer sont des modèles positifs et enthousiastes pour nos jeunes générations. Les jeunes entrepreneurs comme Guillaume Auger développent des compétences générales et un esprit d'entreprise qui rehaussent la trajectoire de leur cheminement de carrière. Le partenariat entre l'École Telfer et JA est bénéfique aux étudiants de l'École tout comme aux jeunes entrepreneurs, dont quelques-uns, comme Guillaume, aspirent à suivre les cours de l'École. »
Le partenariat avec le programme JA Ottawa n'est que l'une des nombreuses initiatives appuyées par l'École Telfer pour établir des liens avec les élèves des écoles secondaires. Entre autres exemples, citons la compétition Perfect Pitch, organisée par l'équipe Enactus de l'Université d'Ottawa, qui donne aux élèves l'occasion de mettre en pratique leurs compétences entrepreneuriales durant un événement de présentation rapide reposant sur une formation tutorée par l'équipe Enactus, et aussi la compétition académique « Place à la jeunesse », une initiative de la délégation des Jeux du commerce (JDC) de l'Université d'Ottawa, qui donne aux élèves des écoles secondaires un avant-goût du monde des affaires et promeut une éducation postsecondaire en français.
PHOTO (de gauche à droite):
François Julien, Doyen, École de gestion Telfer
Kathy McKinlay, Présidente, Réseau d'Ottawa pour l'éducation
Albert Wong, Directeur, JA Ottawa
- Catégorie : Dons et collectes de fonds
Nous avons le plaisir d'annoncer que l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa est bénéficiaire d'un don important de la part d'un diplômé : James Yersh. Le don, qui sera versé au cours des cinq prochaines années, sera consacré à l'établissement du fonds d'innovation pédagogique de la famille Yersh.
Cette annonce a été faite à l'occasion du petits-déjeuner conférence avec James Yersh le 25 novembre 2015.
« Nous sommes profondément reconnaissants envers M. Yersh pour son généreux don », a indiqué François Julien, doyen de l'École de gestion Telfer. « Cet investissement nous permettra de nous aligner sur les modes d'apprentissage en constante évolution de nos étudiants, et de transformer la façon dont nous apprenons, soit l'une des cinq priorités que nous avons établies pour notre campagne de financement ».
Ce nouveau fonds viendra appuyer des améliorations aux structures, au contenu et à l'offre de programmes. Ces améliorations pourraient consister à mener des recherches, à créer et à mettre en œuvre du contenu et des modes de prestation de substitution souples et adaptables, et à créer des cas intégratifs qui seraient utilisés dans plusieurs cours.
Mettre l'accent sur l'innovation pédagogique aidera à transformer l'apprentissage à l'intérieur et à l'extérieur de la salle de classe, tout en cherchant à améliorer le potentiel professionnel de nos diplômés.
Les autres priorités de la campagne de financement de l'École de gestion Telfer sont les suivantes : investir dans la mondialisation, générer de nouvelles connaissances, favoriser l'apprentissage axé sur l'expérience, contribuer aux bourses et aux initiatives stratégiques.
James Yersh est directeur financier au sein de BlackBerry, à Waterloo (Ontario), où il est responsable de tous les aspects des opérations financières de l'entreprise et des relations avec les investisseurs. Auparavant, James Yersh était premier vice-président et contrôleur de BlackBerry, et il possède plus de 15 ans d'expérience dans les industries de la technologie et des télécommunications. Avant de se joindre à BlackBerry en 2008, il a occupé divers postes au sein de Cognos Incorporated et de Deloitte.
James Yersh est l'un des nombreux diplômés qui continuent de maintenir des liens avec l'École de gestion Telfer et de redonner à l'École pour appuyer les programmes et les projets qui comptent le plus pour eux.
Photo : James Yersh entouré de certain des étudiants qui étaient présents au petits-déjeuner conférence du 25 novembre 2015
- Catégorie : Futurs diplômés
En tant que président de CASCO, un organisme de bienfaisance géré par des étudiants à l'École de gestion Telfer, Cameron McIntyre, étudiant en 4e année au B.Com., a un bel avenir qui se présente à lui. « J'ai toujours apprécié la possibilité que j’avais de participer à des groupes et des événements qui ne sont pas uniquement liés à mes études. Je sentais que CASCO se distinguait comme organisation non seulement en me permettant de faire des choses que j’aime, mais qui profite aussi à la communauté, » dit-il. Cameron a été impliqué avec CASCO depuis qu’il a commencé ses études à Telfer.
Cameron a réussi à rattacher son amour pour la technologie avec la gestion dans tous les rôles qu'il a tenus. En plus de CASCO, il a aussi été impliqué avec l'Association de marketing Telfer (AMT) et les Systèmes d’information de gestion et analytique d’affaires (SIGA). Il dit : « J’ai particulièrement aimé arriver dans les clubs avec un point de vue différent, plus particulièrement au niveau de l’utilisation de la technologie d’une façon que les autres clubs n’ont pas encore abordé." Cameron a mis en place un nouveau système de promotion par courriel pour l’AMT qui permettait de générer des statistiques sur l'engagement des membres avec leur bulletin électronique. Il a également créé une base de données en ligne pour les notes de cours du SIGA, qui a contribué à augmenter leurs nombre d'adhésions au programme. Dans son temps libre, Cameron gère une petite entreprise de développement et d'hébergement web, qui offre des services de location d’espace sur son serveur web à des clients qui sont à la recherche d’un site web personnalisé et de haute qualité. Avant d’arriver à Telfer, Cameron terminait le Programme du diplôme du Baccalauréat International à l'école West Island School à Hong Kong de 2009 à 2011.
Venez apporter votre support à Cameron et son équipe au Gala CASCO, qui a lieu le 7 décembre 2015 à 17 h 30. Cliquez ici pour plus d'information sur le Gala CASCO (en anglais seulement).
- Catégorie : Actualités
La simulation de stratégie Intopia CPA Ontario est une occasion d'apprentissage passionnante et intégrative pour les étudiants du B.Com., dans le cadre de leur cours de gestion stratégique de 4e année, et pour les étudiants du MBA.
Du 11 au 15 novembre 2015, 39 équipes d’étudiants du B.Com. et 9 équipes d’étudiants du MBA ont participé à cette simulation organisée dans le Pavillon Desmarais de l'École de gestion Telfer.
Félicitations aux membres de l'équipe gagnante (B.Com.):
- Brandon Brown
- Euan Smith
- Kelsie Throop
- Andrea Howland
- Filipus Tjong
Félicitations aux membres de l'équipe gagnante (MBA) :
- Alexandre Beaudoin
- Wendy Hopkins
Cela fait près de 20 ans que la simulation de stratégie Intopia CPA fait partie du curriculum du cours de stratégie de 4e année au B.Com. Elle vise à enseigner aux étudiants les concepts de la gestion stratégique dans un univers simulé en ligne appelé Intopia. La simulation permet aux étudiants de mettre en pratique leurs compétences pendant une période de temps concentrée au cours de laquelle ils peuvent obtenir des commentaires immédiats sur leurs décisions.
Cette activité a récemment été rebaptisée en reconnaissance du don de 370 000 $ fait par le CPA Ontario à l'École de gestion Telfer en vue de soutenir les étudiants, l'enseignement et la recherche.
- Catégorie : Futurs diplômés
Grands gagnants :
- 1. Patrick Kaminski
- 2. Nhung Vu
- 3. Dmitry Shorikov
- 4. Daniel Shannon
- 5. Roma Stepanchenko
- 6. *Tie* Carson Luo / Daniel Kirshner
Gagnants des cas
- Criée à haute voix : William Amoi
- Transactions sur obligations : Patrick Kaminski
- Options : Tsoi Yuen (Jack) Lau
- Évaluation de biens immobiliers : David Wilkie
- Arbitrage du prix de FNB : Patrick Kaminski
- Tenue de marché algorithmique : Tsoi Yuen (Jack) Lau
Le quatrième concours semestriel sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer s’est avéré un franc succès ici à l’École de gestion Telfer; plus de 100 étudiants se sont inscrits à l’événement. Le 17 octobre 2015, les étudiants ont eu la chance de montrer leur savoir-faire en matière d’opérations boursières en s’affrontant pour une position en tête du classement, des prix en argent et la chance de participer à la prestigieuse Rotman International Trading Competition (RITC). Le concours sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer a lieu deux fois par année en préparation à la RITC, événement auquel l’Université d’Ottawa prévoit envoyer certains de ses étudiants les plus brillants afin qu’ils se mesurent à d’autres concurrents sur la scène internationale. Organisée à Toronto, la RITC fera s’affronter certaines des meilleures écoles de gestion au monde, et l’École de gestion Telfer espère y démontrer son talent.
Le concours sur les opérations boursières de Telfer a été lancé dès midi le 17 octobre. Les étudiants se sont rassemblés dans l’une des plus grandes salles de conférence de l’École située dans le pavillon Desmarais afin de traiter le premier cas. À leur arrivée, on les a accueillis puis on leur a remis leur porte-nom. On leur a également présenté le concours. Peu de temps après, le premier cas a commencé : la criée à haute voix. Rassemblés dans la salle de conférence Camille Villeneuve, les étudiants ont reçu un seul indice, l’indice TELFER-500, qu’ils pouvaient tenter d’acheter ou de vendre au prix qu’ils désiraient, à condition qu’ils puissent trouver un concurrent prêt à l’acheter ou à le vendre au prix qu’ils proposaient. Le prix de l’indice était influencé par la publication de plusieurs événements d’actualité tout au long du cas, qui étaient affichés sur plusieurs grands écrans dans la salle. Les concurrents ont ainsi eu un aperçu des différentes directions possibles de l’évolution des prix de l’indice TELFER-500. De plus, leurs transactions se faisaient sans aucune aide électronique; les concurrents devaient donc se promener parmi les membres du groupe pour chercher les ordres de bourse des autres et s’affronter pour ceux-ci de presque toutes les façons possibles, créant un environnement de parquet très vibrant et dynamique semblable à celui des années 1980. La criée à haute voix était une façon de simuler les premiers marchés qui existaient avant ceux hautement électroniques d’aujourd’hui, ce qui a donné aux étudiants une compréhension fondamentale des processus de transaction et d’offre et de demande qui ont une influence sur la valeur quotidienne des marchés dans le monde entier. Ensuite, les étudiants se sont rendus au Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance pour commencer les cas de base du concours. Les étudiants s’affrontaient dans quatre cas : transactions sur obligations, options, évaluation de biens immobiliers, arbitrage du prix de FNB et un cas boni sur la tenue de marché algorithmique pour les concurrents qui désiraient réellement afficher leurs capacités en matière d’opérations boursières.
Les étudiants se sont affrontés dans ces cas en se servant du logiciel Rotman Interactive Trader, un système de marché régi par les ordres sur lequel ils se sont exercés vigoureusement durant les semaines précédant la date du concours. Chaque cas a été exécuté l’un à la suite de l’autre, et les cas individuels ont été exécutés trois fois avec quelques minutes entre chaque ronde pour permettre aux étudiants de se recueillir et d’apporter les ajustements nécessaires à leurs stratégies avant la prochaine ronde. Dès le début du premier cas, la salle était animée par le flot effréné d’ordres et la fébrilité qui accompagnent l’exécution rapide de chaque transaction. Chaque moment était différent du dernier, puisqu’une seconde, les opérateurs célébraient des profits qui grimpaient en flèche, alors que la suivante, ils se précipitaient pour recouvrer leurs pertes. Les meneurs de chaque cas étaient projetés sur de grands écrans afin que les concurrents sachent quels étaient leurs résultats par rapport à leurs pairs. Chaque cas a été conçu de façon unique et dans chacun des cas restants, une variété de stratégies créatives ont été employées pour maximiser les gains en capital, allant de l’outil Ladder Trader nécessitant de nombreux clics aux algorithmes exécutés par Excel contenant de nombreux scripts. D’ailleurs, alors que le concours progressait d’un cas à l’autre, les émotions des concurrents montaient d’un cran. À tout moment, les acclamations suscitées par la hausse du marché ou les grommellements lorsque les prix bougeaient à peine pouvaient être entendus de l’autre côté de la salle, recréant l’environnement dynamique d’un parquet de bourse.
Les étudiants ont eu une longue pause à mi-chemin pour récupérer avant de poursuivre les cas. À la fin du dernier cas, les concurrents se sont rassemblés une dernière fois dans la salle de conférence pour manger et boire et connaître les résultats des cas ainsi que les grands gagnants. Plus de 900 $ en prix ont été remis aux personnes les plus performantes : des prix ont été remis aux gagnants des cas individuels ainsi qu’aux personnes qui se sont le mieux classées globalement. Les 12 personnes les plus performantes globalement ont pu poser leur candidature pour la Rotman International Trading Competition dans l’espoir de représenter l’Université d’Ottawa sur la scène internationale.
Le quatrième concours semestriel sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer, le plus grand à ce jour, s’est avéré un immense succès. Il a donné aux étudiants de toutes les années la chance d’explorer davantage le secteur des finances, qui passionne bon nombre d’entre eux. De l’effervescence suscitée par la criée à haute voix à l’expertise technique de la négociation algorithmique, les étudiants ont eu l’occasion d’apprendre et de perfectionner plusieurs compétences tandis qu’ils fournissaient des solutions simples à des problèmes financiers complexes et s’adaptaient à la volée dans cet environnement dynamique. Un grand merci à la Société de finance, au Club d’investissement des étudiants de l’Université d’Ottawa et à tous les bénévoles qui ont aidé à planifier, à préparer et à exécuter cet événement. Ce dernier n’aurait pas été possible sans eux. Nous avons également eu la visite des diplômés Alex Tyutyunnik, Brian Chan et Cassy Aite, qui ont fortement contribué à faire du concours ce qu’il est aujourd’hui. Alors que nous mettons un terme à cette édition du concours semestriel sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer, nous attendons avec impatience la Rotman International Trading Competition ainsi que le prochain concours semestriel sur les opérations boursières au début de 2016.
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Étudiante en B.Com. Finance reçoit le titre de « Bénévole du mois »
Neekita Bhatia est une étudiante de deuxième année au B.Com. en finance qui souhaite laisser sa marque à travers le bénévolat. Elle a déjà amassé une attestation de bénévolat, un document officiel délivré par l’Université qui confirme le travail de bénévolat approuvé accompli par les étudiants. Ses activités de bénévolat incluent un poste d’agent mandataire avec l'Association des résidents l'Université d'Ottawa et faire des déclarations de revenus pour ACORN Canada.
La fonction préférée de Neekita était de mener un projet pour le Programme pour une relâche différente avec le Bureau du développement durable. « Nous avons effectué des vérifications des déchets pour [les Pavillons] Desmarais et Morrisset, analysé les données et écrit des rapports à ce sujet. J’ai tellement appris sur la durabilité durant cette semaine, incluant des pratiques que j’utilise tous les jours comme les bonnes pratiques de recyclage ", dit-elle. Neekita aussi récemment rejoint Enactus.
Lorsqu'on lui a demandé ce qui compte pour elle, Neekita a répondu: «J’apprécie grandement mes réseaux. [...] Avec mon expérience diversifiée, je tends à apprécier les expériences individuelles de chaque personne que je rencontre. Il est incroyable de voir à quel point les croyances et les personnalités diffèrent d’une personne à l’autre, même au Canada. Et, je crois, Telfer me connecte à des gens extraordinaires grace à son corps étudiantdiversifié, les clubs d'étudiants, l’accès à des conférenciers lors d'événements et un environnement professionnel et agréable."
Neekita a reçu le titre de « Bénévole du mois » du Centre d'engagement mondial et communautaire pour le mois d'octobre.
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Pour en apprendre davantage, assistez à notre prochaine Conférence du MBA qui aura lieu le 21 novembre prochain.
Inscription à telfer.uOttawa.ca
Gregory Richards, M.B.A., Ph. D., FCMC
Directeur du programme de maîtrise en administration des affaires (MBA) de l'École de gestion Telfer et du Centre de recherche sur l’analytique et la performance.
Une récente étude menée par le McKinsey Global Institute laisse entendre que les gouvernements du monde entier peuvent débloquer 3 billions de dollars en valeur économique en exploitant les données de façon plus efficace. Cependant, la plupart des organismes gouvernementaux vous diront qu'ils sont aux prises avec le partage des données et la gestion des questions de protection de la vie privée, et qu'ils doivent trouver le temps et les capacités pour vraiment utiliser les données de manière efficace. Dans ce court article, j'aborderai certains des succès et des défis des organisations du secteur public. Je terminerai par un aperçu d'une étude de cas démontrant comment résoudre l'un des problèmes fondamentaux : intégrer l'analytique à « la façon dont nous faisons des affaires » dans les organisations du secteur public.
En termes de réussite, certaines organisations ont ouvert des bureaux réservés à l'analytique pour traiter les données. Au Canada, de nombreuses organisations comme l'Agence du revenu du Canada et Service Canada disposent de pratiques d'analytiques assez robustes. Aux États-Unis, plusieurs organisations ont élaboré des approches analytiques qui visent à améliorer l'efficacité et l'efficience des programmes. Le IBM Centre for the Business of Government à Washington a relaté bon nombre de ses efforts. Ces organisations ont réussi à surmonter les problèmes de partage des données et elles ont été en mesure de s'associer à des universités et à d'autres établissements axés sur l'analytique pour tirer profit des données de nouvelles manières intéressantes.
En dépit de ces quelques succès, l'un des défis clés est de faire de l'analytique un processus de base au sein des organisations. La résistance culturelle demeure forte. Bien sûr, une partie du problème réside dans le fait qu'il est difficile de se fier à des données dont la source n'est pas certaine et si nous ne comprenons pas comment les données ont été transformées. De plus, des livres comme How To Lie with Statistics (comment mentir grâce aux statistiques) ont montré qu'il était possible de confondre analyse et interprétation et d'interpréter les statistiques comme on le souhaite avec un ensemble de données précis.
Comment une organisation peut-elle surmonter la résistance culturelle à l'intégration de l'analytique à titre de processus opérationnel de base? Une organisation provinciale a réalisé cette tâche bien avant que l'expression « mégadonnées » ne devienne populaire. Il importe de souligner ici que l'organisation n'a pas cherché à lancer un programme de mégadonnées mais qu'elle a plutôt voulu améliorer l'efficacité et l'efficience du programme et a constaté que la prise de décision fondée sur des données probantes s'est avérée utile. Le succès reposait sur trois éléments essentiels. Premièrement, l'organisation avait reçu un mandat clair de l'administrateur général qui a insisté sur les objectifs stratégiques mesurables. Deuxièmement, l'organisation détenait une multitude de données sur lesquelles elle pouvait s'appuyer pour prendre des décisions éclairées, mais elle a consacré beaucoup d'effort à assurer l'exactitude des données. Finalement, plutôt que de pointer un doigt accusateur, l'accent a été mis sur l'apprentissage.
L'organisation en question (qui souhaite garder l'anonymat) était en mesure de départager les énoncés de mission et d'autres documents de planification nécessaires afin de se concentrer sur trois objectifs mesurables de haut niveau. De toute évidence, un certain nombre de cibles secondaires ont contribué à ces objectifs, de sorte que la première étape a été la mise en place d'un réseau de mesures claires applicables à chaque centre de responsabilité au sein de l'organisation.
La prochaine étape a été déconcertante alors que l'organisation s'est rendu compte que les données qu'elle possédait étaient désuètes et souvent contradictoires. Un investissement de millions de dollars sur une période de 12 mois a permis de nettoyer les données et de mettre en place des pratiques et des procédures pour la gestion de la qualité des données et la validation des données. Tout au long du parcours, les décideurs ont été sensibilisés aux entrepôts de données, à l'utilisation des données, ainsi qu'à quelques-unes des techniques analytiques. L'organisation n'a pas été assez crédule pour penser qu'elle pourrait ou devrait transformer les gestionnaires en analystes. Elle était toutefois assez éduquée pour fournir des renseignements de base afin que ses gestionnaires deviennent attentifs à l'analyse de données. Les gestionnaires comprenaient suffisamment le sujet pour savoir comment examiner de manière critique les rapports et quand faire appel à des experts.
Enfin, l’élément le plus important renvoie à l'aspect humain de l'organisation, les résultats de tous ces calculs ont servi à stimuler l'apprentissage et le changement. Lorsqu'un problème était soulevé ou qu'une possibilité était constatée, les gestionnaires commandaient des études, menaient des exercices d'analyse comparative et diffusaient l'apprentissage à grande échelle au sein de l'organisation afin que toute mesure à prendre fût entièrement comprise par les personnes qui devaient la prendre. Il est facile de créer un milieu de travail toxique si nous utilisons des programmes analytiques pour pointer du doigt ce qui ne va pas. Les personnes se sentiront constamment surveillées. Elles peuvent devenir craintives de commettre des erreurs et, par conséquent, le programme analytique pourrait produire un effet opposé à l'effet attendu. Toutefois, lorsque le programme est axé sur l'apprentissage, l'organisation émerge comme un groupe souhaitant améliorer les choses, sans crainte d'admettre ses erreurs et d'en tirer des leçons. Cela ne veut pas dire que la responsabilisation est compromise, mais plutôt que le côté dur des calculs de ces programmes contient aussi un contexte plus humaniste.
Dans ce court article, j'ai souligné certains des défis, mais j'ai aussi mis en évidence certaines des réussites associées à l'utilisation de l'analytique au sein d'organisations gouvernementales. Bon nombre de ministères et d'agences s'appuient sur un certain nombre d'analyses, mais il est temps, à présent, de songer à intégrer le processus décisionnel factuel au sein de l'organisation. Les facteurs clés du succès incluent un solide mandat dès le départ, l'assurance d'un niveau de qualité élevé et l'inclusion de l'analytique dans une culture pertinente qui trouve un équilibre entre l'apprentissage et la croissance.
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Le professeur Michael Fung-Kee-Fung a reçu le prix de leadership provincial au service de l’intérêt public du Government Technology Exhibition and Conference (GTEC).
Le professeur Fung-Kee-Fung est professeur au Département de l'obstétrique et de la gynécologie et au Département de chirurgie à l’Université d’Ottawa (affectation multiple à l’École de gestion Telfer).
Ce prix témoigne les contributions exceptionnelles du professeur Fung-Kee-Fung en tant que chef du programme de Transformation du cancer et stratégie de lutte contre le cancer à l'Hôpital d'Ottawa.
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez