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Si tu es un étudiant en gestion ou un étudiant à l’Université d’Ottawa, tu as sûrement entendu parler des JDCC (Jeux du Commerce Central).
Certains de tes amis t’ont probablement raconté le plaisir des jeux sportifs, des compétitions ou de la cérémonie dansante de leur séjour aux JDCC.
Alors, que sont les JDCC?
Les Jeux du Commerce Central (JDCC) sont une compétition de cas régional où des écoles de gestion canadiennes se disputent la victoire. Elle est organisée par l’Association des écoles de gestion du Canada (AEGC), l’organisation mère qui travaille avec les associations étudiantes de chaque école de gestion au Canada.
Pour ce genre de compétition, chaque école membre de l’AEGC réunit des candidats pour coordonner une délégation. Lors des JDCC, l’École de gestion Telfer se mesure à plus de 11 écoles en Ontario, notamment la Lazaridis School of Business and Economics de l’Université Wilfrid Laurier, la Lang School of Business and Economics de l’Université de Guelph, la Sprott School of Business de l’Université Carleton, et bien d’autres encore. Tous les ans, la compétition a lieu dans une des écoles membres, ce qui permet aux participants de visiter des campus universitaires à travers le Canada. Les étudiants peuvent participer à plusieurs disciplines soit dans le volet académique, sportif ou social.
Le déroulement de la compétition
Pour les épreuves du volet académique, les écoles participantes envoient une équipe de trois étudiants se mesurer à d’autres équipes dans des catégories spécifiques en gestion telles que le marketing, la comptabilité, la stratégie, la gestion des ressources humaines, l’innovation entrepreneuriale, etc. Les équipes disposent de trois heures pour procéder à une résolution de cas, qu’elles présentent ensuite à un groupe de juges. La présentation dure 20 minutes et la période de questions dure 15 autres minutes.
Lorsque toutes les présentations sont finies, les juges (généralement un commanditaire) déclarent qui a remporté la première, la seconde et la troisième place pour chaque catégorie. Pendant la cérémonie de remise des prix, l’AEGC nomme les gagnants de chaque catégorie et distribue des prix individuels et d’équipes.
Pour les épreuves du volet sportif, des équipes de huit personnes s’affrontent à plusieurs sports comme le basketball et le spikeball. On donne des points aux délégués pour leur performance, et aux délégations sur les bancs qui les encouragent.
Pour les épreuves du volet social, des équipes de quatre participent à des défis aléatoires au courant de la journée. Par exemple, de l’improvisation, de la danse, des débats oratoires, des résolutions de cas surprises, etc. Pour ces défis, on accorde des points pour l'enthousiasme, l’esprit d’équipe et la qualité artistique des costumes.
La compétition a lieu à chaque année en janvier et dure quatre jours. Les dernières compétitions ont eu lieu à l’Université de Guelph (Guelph, Ontario) et à l’Université de Brock (Saint Catherines, Ontario). Lors des derniers jeux, l’équipe de Telfer comptait 46 étudiants et a remporté trois prix : un en gestion des ressources humaines, un en débat oratoire et le dernier pour le cas wildcard.
Les cartes VIP sont des prix de reconnaissance individuelle qui sont attribués aux meilleurs présentateurs. Les bénéficiaires de ces cartes sont souvent choisis par les juges; et ceux qui en possèdent une participent à un événement de réseautage exclusif.
En dehors des épreuves, les écoles participent également à d'autres activités récréatives telles que des événements sociaux et des danses.
À l’École de gestion Telfer, la délégation des JDCC est gérée par le Comité compétitions Telfer (CCT). Le CCT recrute les étudiants, rend possibles les entraînements, le coaching et commande des produits pour l’équipe. Le CCT organise également la compétition de cas interne de Telfer, qui est une bonne occasion pour recruter de nouveaux membres pour le volet académique des JDCC.
Si développer tes techniques de présentation, te faire de nouveaux amis et participer à des épreuves t’intéresse, tu ne voudras pas manquer la chance de participer aux JDCC!
Tu peux consulter les résultats de Telfer aux derniers JDCC, ici.
N’hésite pas à me contacter si tu as des questions sur mon expérience aux JDCC.
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L’Université d’Ottawa est réputée pour être la plus grande université bilingue au monde. Le régime d’immersion en français de Telfer t’offrira d’innombrables possibilités. Faire partie de ce régime m’a permis d’acquérir une expérience unique.
La raison première de poursuivre ses études dans le cadre du programme d’immersion en français de Telfer est la mise à disposition de plusieurs bourses. Deuxièmement, cette option offre une variété de cours qui lui est particulière. Pour finir, faire ses études en immersion française permet d’accéder à de nombreuses perspectives d’emplois dans le monde entier.
Bourses et concours
Imagine être payé pour étudier! Non seulement tu approfondis tes connaissances du français grâce au programme d’immersion, mais tu peux aussi recevoir des bourses de 1000 $ annuellement. Cette bourse est offerte à tous ceux qui répondent aux exigences de base. De plus, l’Université d’Ottawa organise de nombreux concours pour encourager la participation des étudiants du secondaire, qui ont la chance de recevoir une bourse pour faire leurs études en immersion française. En 4e secondaire, j’ai eu la chance de participer au concours de vidéoclip de l’Association canadienne des professionnels de l’immersion sur « Comment le français a changé ma vie » organisé par l’Université d’Ottawa. J’ai fini deuxième au Canada avec une bourse de 8 000 $. Gagner cette bourse a largement influencé ma décision de m’inscrire au programme d’immersion en français du baccalauréat en sciences commerciales/Juris Doctor. Je suis très fière d’être bilingue.
Des cours uniques
Un deuxième avantage du régime d’immersion en français est le fait qu’il offre la possibilité de suivre un cours supplémentaire qui complète un cours obligatoire en administration (affaires). Les étudiants qui sont inscrits à un cours en administration obligatoire peuvent choisir de suivre un cours de français équivalent pour les aider à acquérir de solides compétences en français. Ce cours supplémentaire d’immersion en français donne droit à 3 crédits qui comptent comme un cours au choix hors faculté. C’est une excellente façon de permettre aux étudiants de Telfer de suivre certains cours à option tout en améliorant leurs compétences en français.
Perspectives de carrières
Le troisième avantage d’étudier dans le programme d’immersion en français de Telfer est la possibilité des nombreuses perspectives de carrière qui s’offrent aux étudiants. La région de la capital nationale dispose d’une abondance de possibilités d’emplois au gouvernement du Canada. Les employeurs potentiels recherchent souvent des étudiants qui parlent français. Les étudiants qui parlent français sont plus attrayants et ont des options de carrières infinies. La maîtrise du français facilite les chances de travailler à l’international et de créer un réseau de contacts professionnels à travers le monde.
Résumé
Participer au programme d’immersion en français de Telfer est un atout précieux qui engendre des possibilités illimitées pour les étudiants. Poursuivre ses études en français offre plusieurs options aux étudiants dans le monde des affaires d’aujourd’hui. Faire l’apprentissage du français apporte de nombreux avantages tels que des options de bourses variées, une sélection unique de cours, et enfin, les étudiants seront plus attrayants aux yeux des employeurs potentiels. Maintenant que tu connais les avantages de faire tes études en immersion française, fait le saut et inscris-toi au programme d’immersion en français à Telfer pour de meilleures perspectives de carrières. Le Canada est un pays bilingue, donc pourquoi ne pas suivre la voie de la réussite en allant de l’avant avec des études en français?
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Tu en as assez d’étudier aux mêmes endroits sur le campus? Tu cherches un nouvel endroit plus classe où étudier? Un endroit où tu peux savourer un espresso onctueux, déguster un bagel frais, manger une tarte faite-maison ou même à un buffet végétarien? Ne cherche plus.
Ce qui suit est l’ultime liste des neuf meilleurs endroits où étudier à Ottawa. Elle a été conçue pour inciter même l’étudiant le moins motivé à étudier.
The Green Door
198, rue Main
The Green Door est l’endroit parfait pour manger de la nourriture végétarienne de bonne qualité quand tu étudies. On en trouve seulement un à Ottawa et il est tout près de Sandy hill, donc facile d’accès pour la plupart des étudiants de l’Université. Bien qu’il s’agisse principalement d’un buffet où l’on doit payer au poids et où tu trouveras des aliments essentiellement sans gluten, végétaliens et biologiques, c’est aussi un lieu très décontracté avec beaucoup d’espace pour étudier. Il y a beaucoup de bruit et de gens aux heures de pointe, alors pour éviter d’être distrait, apporte des écouteurs et écoute ta musique préférée pour étudier.
Photo sur : https://www.happycow.net/reviews/green-door-ottawa-1326/images?sortby=date-desc
Les Moulins Lafayette
1000, rue Wellington Ouest
Les Moulins Lafayette est une nouvelle boulangerie qui vient d’ouvrir en 2018 à Hintonburg et pourtant c’est un des meilleurs cafés où je suis allé. Non seulement ils jouent de la bonne musique et offrent un bel environnement de travail, ils ont aussi le meilleur café et les pâtisseries les plus haut de gamme que j’ai jamais dégustées. C’est une boulangerie, donc elle offre une meilleure variété de croissants, muffins et biscuits qu’un café habituel et elle est située en face d’une brasserie artisanale et d’un LCBO pour quand tu as terminé d’étudier.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/les-moulins-la-fayette-ottawa
Kettleman’s
912, rue Bank, 1365, av. Woodroffe, 6-197, promenade Trainyards
Cette boulangerie à bagel est très réputée, car elle est situé au même endroit, dans le Glebe, depuis 25 ans. Elle se trouve sur cette liste parce que c’est un endroit silencieux et calme pour étudier, qui est ouvert 24 h/24, 7 j/7 et offre du remplissage de café gratuit. C’est pour ces deux raisons que cet endroit est la meilleure option pour une longue et intense séance d’étude. Le magnifiques fenêtres laissent passer la lumière naturelle du soleil et on peut y voir clairement le processus de création des bagels et le tohu-bohu sur la rue Bank. Il dispose également d’un personnel sympathique. Le seul inconvénient est que la musique y est très forte, alors assure-toi d’apporter des écouteurs de qualité afin de pouvoir être en paix.
Photo sur : http://jvlphoto.com/ottawa-commercial-photography-kettlemans/jvlphoto-photographer-kettlemans-34-edit/
Morning Owl
229, rue Armstrong, 538, rue Rochester, 219, av. Laurier Est et autres
Morning Owl est une chaîne de café local situé ici à Ottawa. On compte 7 emplacements à travers Ottawa, et ils ont des boissons et des bouchées délicieuses et uniques, comme le latte « white rabbit ». On peut toujours compter sur Morning Owl pour un environnement d’étude formidable, avec sa déco chic et confortable. Une autre chose qui fait du Morning Owl une bonne place pour étudier est le fait que chacun des cafés a une ambiance différente qui correspond au quartier dans lequel ils se trouvent, alors assure-toi de visiter les différents endroits en ville.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/morning-owl-coffee-house-ottawa-2
Life of Pie
1134, rue Bank
Au lieu de te contenter du flot incessant de gens au Starbucks de Desmarais ou dans tout autre café du campus, fais-toi plaisir avec un café et une tarte maison. Life of Pie est une adorable boulangerie familiale où l’on peut trouver des tartes maison (qui sont à tomber par terre) de plusieurs saveurs ainsi que des quiches, des soupes et des salades. Je te recommande d’étudier ici, car bien qu’elle soit petite, on y est très à l’aise, le personnel est sympathique et l’odeur fantastique des tartes fraîchement sorties du four te donne envie d’y rester toute la journée.
Photo sur : http://lifeofpie.ca/about-us/
L’Art House Café
555, rue Somerset Ouest
L’Art House Café est un café agréable, rempli d’art, qui offre des espressos, des plats légers, des pâtisseries, ainsi que des places assises dehors. C’est un endroit qui te donnera courage et un sens d’appartenance dans les moments difficiles. La saison des examens est difficile? Détends-toi et admire de l’art local. Si tu te sens particulièrement épuisé (ce qui arrive souvent), l’Art House Café te propose du café à 5 $ jour et nuit. Leur menu comporte également une variété séduisante de cocktails au café chaud comme leur Chai corsé, le Amaretto Latte et le Chocolat chaud au Bourbon.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/the-art-house-cafe-ottawa
La Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank, et autres
Besoin de silence absolu pour étudier? La Bibliothèque publique d’Ottawa est l’endroit qu’il te faut. Il y a une connexion Wi-Fi gratuite et de nombreuses succursales dans toute la ville. Si c’est une séance d’étude où tu as besoin de réfléchir et de bien comprendre, à l’opposé de copier des notes sur PowerPoint, c’est un choix judicieux, car il n’y aura absolument rien pour te distraire.
Equator Coffee
1, rue Elgin
Tu as besoin d’un endroit pour travailler qui est plus spacieux que les cafés traditionnels? Le Equator Coffee du Centre national des Arts est l’endroit qu’il te faut. Le personnel est très sympathique, l’atmosphère est chaleureuse, mais demeure plein de vivacité et il y a de délicieuses boissons et gâteries. Il ferme à 16 h, mais le CNA a beaucoup d’espace qui reste ouvert au public de 6 h à minuit avec du Wi-Fi gratuit! Situé dans l’un des plus beaux et plus esthétiques quartiers du centre-ville d’Ottawa, tu as vraiment l’impression d’étudier pour un but précis. Le café et le CNA ont une grande variété de sièges, donc si tu es inconfortable où tu te trouves, il y a des tonnes d’options pour t’aider à étudier.
Suzy Q’s Doughnuts
969, rue Wellington Ouest
Cet endroit est l’un de mes coups de cœur. Bien qu’il soit déjà très populaire, je me dois de recommander ce café, à l’odeur enivrante de beignets fraîchement préparés, pour étudier. Je trouve que cet endroit est chaleureux, tant par la température que par le tempérament du personnel. Leur sélection de nourriture et de boissons est fantastique et leur eau en libre-service rend les choses un peu moins gênantes si tu prévois y rester longtemps. C’est un endroit très fréquenté, mais on s’y sent bien et il est idéal pour étudier si tu peux tolérer des bavardages inaudibles ou si tu as des écouteurs.
Photo sur : https://www.pinterest.ca/pin/72339137740303531/
Les endroits mentionnés ci-dessus sont parmi mes endroits préférés pour étudier et j’espère que tu auras la chance d’en visiter quelques uns. Maintenant que tu as une liste des neuf meilleurs endroits pour étudier à Ottawa, va les découvrir, profites-en et termine tes études avec classe!
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Est-ce que le programme coop est fait pour toi? Si oui, pour quelle entreprise devrais-tu travailler? Pour quel type de poste devrais-tu postuler? Que dois-tu faire pour tirer le maximum de ton expérience de travail?
Bien qu’il n’y ait pas de bonnes ou mauvaises réponses à ces questions, les tiennes pourraient avoir une incidence importante sur ton futur. De ce fait, prendre des décisions reliées à ton expérience de travail dans les études commerciales peut être intimidant et stressant.
En tant qu’étudiant en marketing qui entame son troisième stage coop, j’ai dû répondre à ces questions à plusieurs reprises. Chaque fois, ne sachant pas trop quoi faire, j’ai demandé de l’aide à des amis, aux conseillers du Bureau coop, à mes parents et à d’autres personnes qui ont participé au programme coop ou qui y participe présentement. À l’aide de ces expériences et des conseils qu’ils m’ont donnés, j’ai créé une liste de six choses à faire et à ne pas faire qui m’a aidé, et qui vous aidera à prendre les bonnes décisions en ce qui concerne le programme coop à Telfer.
1. Participe au programme coop
Ce n’est pas toujours facile d’acquérir de l’expérience de travail enrichissante en même temps que ses études, surtout quand la majorité des étudiants ont peu de choses à mettre dans leur CV. Selon le taux de placement de 97 % du programme coop de l’Université d’Ottawa en 2018, participer au programme t’offre de très bonnes chances de trouver un stage dans ton domaine. Non seulement le stage pourra t’aider à payer tes factures, il t’aidera à te démarquer de la concurrence dans le monde des affaires. Si tu n’es toujours pas convaincu que le programme coop à Telfer est fait pour toi, va faire un tour sur ce blogue. Il énumère de nombreuses autres raisons pourquoi les étudiants de Telfer devraient s’inscrirent au programme coop.
2. N’aie pas peur d’essayer quelque chose de nouveau
Lorsqu’il s’agit d’essayer de nouvelles choses et de découvrir ce que tu veux faire plus tard, il n’y a pas de meilleur moment pour le faire que lorsque tu es en coop. La plupart des séquences travail/études du programme coop à Telfer ont quatre stages de quatre mois chacun. Tu as donc la chance d’expérimenter sans avoir à t’engager comme tu le fais avec un emploi régulier hors de coop. Le pire qui puisse arriver est que tu réalises qu’un des stages n’est pas fait pour toi. Dans ce cas-là, tu peux aller de l’avant plus rapidement, car le stage est d’une courte durée et il te reste encore 3 autres stages pour trouver celui qui te convient le mieux. D’un autre côté, en explorant de nouveaux horizons, tu pourrais tomber sur un emploi auquel tu n’avais pas pensé. D’ailleurs, de mon expérience, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui n’avait pas tiré profit d’un de ses stages. Par conséquent, si tu veux tenter autre chose avec coop, fais-le!
3. Profite du Centre des carrières de Telfer et des services coop
Le Centre des carrières et le Bureau coop offrent tous les deux plusieurs services et ateliers qui te donnent un avantage lorsque tu postules à un stage. Ils peuvent t’aider à rédiger ton CV, te donner de bonnes techniques d’entrevue, des conseils pour t’habiller en conséquence, une orientation professionnelle et bien plus. Dans mon cas, j’ai recouru à leurs services pour perfectionner mon CV et demander de l’aide pour mon choix de stage. Tirer parti de ces services peut faire la différence entre obtenir ton premier choix de stage plutôt que le deuxième.
4. Ne postule pas à tous les postes
Si tu postules à tout, tu risques d’avoir trop d’entrevues, ou de te retrouver dans une position difficile. De ce fait, tu pourrais passer à côté d’un stage que tu aurais préféré dans la deuxième ronde. Je sais que l’incertitude d’être jumelé à un employeur peut être stressante et qu’il peut être difficile de trouver un juste milieu entre le fait de postuler à trop d’emplois et pas assez, surtout à la première ronde. Cependant, avant de poser ta candidature partout, respire et tiens compte de ce qui suit : le taux de placement du Bureau coop est de 97 % (les chances sont de ton côté); donc si tu n’es pas jumelé à la première ronde, tu peux toujours te reprendre à la seconde, et l’équipe du Bureau coop est là pour t’aider dans tes démarches.
5. Prends plusieurs opinions en considération
Lorsque tu essaies de prendre des décisions et de répondre aux questions énumérées au début de ce blogue, il est important de tenir compte de plusieurs points de vue, et de prendre les choses avec un grain de sel. Bref, il y a toujours des gens qui jurent que travailler au gouvernement c’est la meilleure chose à faire, alors que d’autres préfèrent les entreprises en démarrage ou les grosses compagnies. Les opinions sont multiples, mais il n’existe pas de solution qui convienne à tout le monde. Quand vient le temps de prendre des décisions, prends en compte les opinions et les expériences des autres, comparent-les à tes objectifs de carrière et n’est pas peur de tester tes idées.
6. N’oublie pas de profiter au maximum de ton expérience de travail
Peu importe si tu as une très bonne ou une moins bonne expérience coop et tombe sur un poste qui ne t’intéresse pas, tu devrais quand même en tirer le meilleur parti. Profite de chaque occasion qui se présente, et si aucune ne se présente, crée-les toi-même. Même si le Bureau coop t’aide à trouver un stage, c’est à toi d’apprendre de nouvelles compétences, de relever des défis et de te démarquer.
En résumé, prendre des décisions liées à ton expérience de travail dans le monde des affaires peut être stressant. Cela dit, si tu prends ton temps et profites des ressources, des possibilités et des conseils à ta disposition, ton expérience coop à Telfer ira à merveille!
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Que vous vous prépariez pour Intopia ou que vous cherchiez de l’information sur comment mieux travailler en équipe en ligne, ce blogue devrait beaucoup vous aider. Au départ, j’allais écrire un article sur comment survivre à Intopia en ligne. Mon équipe a fait un excellent travail, et nous avons gagné la première place en tant qu’équipe de grossistes. En mars 2020, Sam Sutherland a écrit un article proposant 7 conseils et astuces pour réussir la simulation de stratégie Intopia. Puisque son article est récent et que j’aurais abordé des points semblables, j’ai décidé d’écrire sur l’expérience virtuelle de la simulation Intopia et comment vous pouvez utiliser cette situation à votre avantage.
Avant de passer à la question sur comment réussir la simulation Intopia, je voudrais ajouter quatre autres conseils à prendre en compte que ne mentionne pas Sam dans sa liste :
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S’il vous reste un surplus d’argent, investissez-le dans les titres financiers du bureau chef.
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Restez au courant de ce qu’il y a dans votre stock et de la quantité que vous pouvez vendre. Notez que certains chiffres varient et semblent provenir d’un placement, donc appliquer ce que vous avez appris dans votre cours de statistiques et prenez un échantillon de plus de 5 personnes (notre équipe prélevait 30 échantillons par intervalles).
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Ne prenez pas une marge de crédit, cela peut virer en fiasco au sein de l’équipe.
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La production écologique permet vraiment de vous démarquer des autres équipes.
1. Comment préparer votre équipe
Tout comme une machine bien huilée, votre équipe devrait pouvoir travailler sans problème. Faire les premiers pas et se sentir à l’aise avec les autres peut être difficile, mais essayez de briser la glace pour rendre les réunions plus naturelles, plus agréables et plus amusantes. Les réunions se tenaient au moins une fois par semaine grâce aux discussions d’équipe faites en classe.
Essayer de se parler et de se poser des questions sur comment s’est passée la semaine de chacun ou sur quelque chose d’intéressant qui s’est produit depuis la dernière fois que vous vous êtes vus, permet de briser la barrière professionnelle et de se sentir plus à l’aise. Vous avez plus de six semaines pour apprendre à connaître l'équipe avec laquelle vous vivrez d’énormes moments de stress, à peine reposés, mais tout en vous amusant.
En apprenant à connaître vos coéquipiers, vous apprendrez quels sont leurs forces, leurs intérêts et leurs faiblesses. Grâce à ces connaissances, vous devriez être capable de les répartir en groupes. Dans mon cas, nous avions une personne pour la gestion (stock y compris), une personne pour le marketing et trois personnes pour la finance et la comptabilité. Pour être honnête, notre équipe a été construite autour de cette répartition du travail. Nous avons ensuite nommé de manière informelle des sous-chefs responsables du marketing et de la gestion. « Informelle » dans le sens qu’ils doivent savoir comment les choses fonctionnent et être capables de répondre aux questions lorsque le spécialiste est occupé ou absent. Cela permet de répartir la quantité de travail lorsqu’une section a une plus forte demande et, plus important encore, permet à tout le monde de savoir ce que les autres sections font et sont capables de faire. C’est de la communication forcée, mais qui est naturelle, organisée et moins stressante.
2. Comment travailler en équipe en ligne
Pour les épreuves, nous avons pratiqué autant d’éléments clés Intopia que possible. Les épreuves de la simulation en ligne Intopia sont l’occasion pour votre équipe d’apprendre à travailler ensemble comme les rouages d’une machine. Bientôt, les membres de votre équipe seront capables de régler un problème sans difficulté. Au fur et à mesure qu’ils répondent aux questions, les membres de votre équipe deviennent plus à l’aise et en harmonie comme une machine bien huilée recouverte de sable dont l’huile finira par se débarrasser.
Pour ce qui est des autres points sur lesquels nous avons travaillé, nous avons constamment modifié et mis à jour les feuilles Excel pour travailler plus efficacement afin que chaque membre de l’équipe puisse lire ce qui est requis, mettre en évidence la demande attendue, trouver facilement les informations nécessaires, etc.
Nous nous sommes assurés que chacun d’entre nous avait des connaissance sur plus d’un « poste », ou d’un rôle nécessaire dans la simulation. Nous avons essayé différentes théories, dont certaines ont mieux fonctionné que d’autres. Lorsque nous travaillions ensemble, c’était toujours en petites équipes afin de trouver ce qui était nécessaire et afin de communiquer librement comme si nous étions présents physiquement. Bref, nous avons fait autant d’appels vidéo que possible, accumulant jusqu’à plus de 28 heures comprises dans les 9 périodes de la simulation Intopia en ligne.
Chaque fois que vous faites quelque chose sur une période de temps aussi longue, il est possible que l’équipe fasse des erreurs. Si vous le pouvez, corrigez-les dès que possible, et ensuite, parlez-en à votre équipe par appels vidéo. Si vous ne pouvez pas les corriger, vos coéquipiers pourraient rectifier l’erreur ou trouver des moyens d’atténuer les effets négatifs que cela aurait sur l’ensemble de l’équipe.
On peut commettre des erreurs et engendrer des malentendus. Par exemple, vous pensiez que vous aviez construit deux bureaux de vente supplémentaires pour la dernière période à la fin du jeu et en commandant pour ce montant vous avez découvert que ce n’était pas le cas. Maintenant, votre équipe a un surplus de 300 000 $ pour chaque produit. Dans ce genre de cas, l’équipe peut trouver une façon de vendre le produit supplémentaire au-delà du montant prévu dans les dernières minutes qui suivent la date limite, en s’assurant bien sûr de gagner la première place.
De plus, il est possible que vous soyez fatigués après un appel et ayez besoin de vous réveiller 6 à 8 heures plus tard pour continuer à travailler. Cependant, votre état d’esprit est important. Faites de votre mieux pour vous entendre avec votre équipe, car si votre équipe est découragée ou se sent déprimée, il est probable qu’elle soit également stressée. Nous avons essayé de toujours prendre une pause, de rire et de faire des blagues. Cela peut également détendre et alléger les tensions.
Quand les choses se compliquent, appelez votre professeur. Le nôtre a été merveilleux : il nous a encouragés pour notre plan et a su détendre l’atmosphère. Enfin, planifiez tous vos repas afin de pouvoir manger rapidement, si nécessaire.
3. Comment nouer des liens et conclure de meilleurs marchés avec les autres équipes
L’une des plus grandes qualités dont notre équipe a été très fière fut d’avoir été éthique et juste envers les autres équipes. Cela représente beaucoup pour une simulation aussi courte. Les appels téléphoniques et les appels vidéo sont parfaits pour ce genre de chose, car vous pouvez conclure un accord avec une autre équipe beaucoup plus rapidement et, du moins pour nous, faire de meilleures offres que celles que nous envoyons par texto ou courriel aux autres équipes. Les appels peuvent également ajouter un certain élément d’urgence à l’accord, car ils sont soumis à une plus grande pression de répondre. Ne pas répondre est parfois un bon atout pour stresser l’autre équipe, donc vous pouvez aussi l’utiliser à votre avantage. Si vous le pouvez, utilisez-le. Par ailleurs, les équipes qui ont un plus grand réseau sont plus susceptibles de mieux briller.
J’espère que j’ai pu aider votre équipe à mieux travailler ensemble pour la simulation Intopia en ligne. Même si vous ne participez pas encore à la simulation, peut-être que cela vous aidera à savoir comment maintenir de bonnes relations avec vos coéquipiers. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me contacter sur LinkedIn.
Voici quelques ressources supplémentaires pour travailler à distance :
3 conseils pour réussir vos projets d’équipes dans un cours à distance (en anglais)
Concevoir de bons projets d’équipe dans les cours à distance (en anglais)
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Il peut être épeurant de penser qu’en sortant du secondaire à l'âge de 16, 17 ou 18 ans, nous devons prendre de nombreuses décisions par rapport à notre avenir. Pour moi, il y avait plusieurs raisons pour lesquelles je considérais étudier ailleurs, mais en fin de compte j'ai vu qu'il y avait beaucoup plus d'avantages à étudier le droit des affaires au Canada à l'Université d'Ottawa. Pour simplifier vos recherches, voici les 7 raisons pour lesquelles j'ai choisi le droit des affaires à l’uOttawa.
1. Qu’est-ce que Telfer?
L'École de gestion Telfer est parmi l'une des meilleures écoles de gestion au Canada. Elle se distingue par son atmosphère accueillante qui facilite la transition du secondaire au parcours universitaire. Telfer offre une variété de clubs selon les différentes options de gestion, afin que les étudiants puissent mettre en oeuvre les habiletés acquises en classe. Personnellement, mon club préféré était la Telfer Law Society. Ce club organise des activités incluant des conférences avec des avocat.e.s pour démontrer aux étudiants le sens pratique du monde du droit, et pour créer des occasions de réseautage pour les étudiants. D'ailleurs, Telfer offre une superbe semaine d'accueil où il est facile de rencontrer des ami.e.s et encourage aussi le travail en groupe pour permettre aux étudiants de socialiser. Cela est excellent pour quelqu'un qui est nouveau dans la ville, comme je l'étais.
2. Un programme unique
Il y a très peu d'écoles, non seulement au Canada, mais dans le monde entier, qui offrent ce programme. Après seulement 6 ans d'études, les étudiants reçoivent un baccalauréat en sciences commerciales de l'École de gestion Telfer ET un Juris Doctor de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Pendant les deux premières années du programme, les étudiants font leurs études exclusivement en gestion, alors que les 4 dernières sont un mélange de droit et de commerce. Puis, si vous désirez continuer simplement vos études en gestion, il est très facile de changer après votre deuxième année dans une option comme finance, comptabilité ou autre.
3. 6 ans plutôt que 7 ans
La plupart des étudiants complètent un baccalauréat de 4 ans avant de poser leur candidature pour la Faculté de droit. Ce programme unique permet aux étudiants de sauver une année d'études puisqu'ils complèteront leurs deux diplômes en 6 ans au lieu de 7 ans. Un an semble peut-être comme très peu de temps, mais croyez-moi - je viens de compléter ma quatrième année et je suis tellement reconnaissante de m’éviter cette année supplémentaire.
4. Être bilingue est un atout
Le programme de J.D.-B.Com. à l’uOttawa est seulement offert en français ou en immersion. Environ 20 % de la population canadienne est francophone, alors que 30 % de la population de l'Université d'Ottawa parle le français. Pouvoir étudier le droit et la gestion en français et en anglais nous permet de postuler pour une plus grande variété d'emplois après avoir obtenu notre diplôme. Si suivre tous vos cours en français vous inquiète, c'est correct. En effet, nous n'avons qu'à suivre 60% de nos cours en français et donc vous pouvez choisir de suivre quelques cours en anglais.
5. Au coeur d'Ottawa
Si vous n'avez jamais visité le campus de l’Université d’Ottawa, je vous encourage fortement à participer aux journées portes ouvertes (lorsque ce sera possible). Situé au coeur de la ville d'Ottawa, ce dernier offre aux étudiants un accès facile au centre-ville pour les différentes opportunités d'emplois gouvernementaux, au marché By pour de la bonne bouffe et à la Côte-de-Sable, un quartier résidentiel parfait pour le logement des étudiants. Du campus, il est très facile de se rendre à pied à de nombreux endroits; c'est donc parfait pour une personne qui ne connaît pas la ville d'Ottawa avant le déménagement.
6. Pas de LSAT
Il n'est pas nécessaire de compléter le test LSAT dans le cadre du programme combiné J.D.-B.Com. à l'Université d'Ottawa. Cet avantage a définitivement eu un impact sur ma décision de prendre le droit des affaires à Ottawa. Pour ceux qui ne savent pas, le test LSAT est une évaluation standardisée habituellement obligatoire pour l'admission aux facultés de droit ailleurs dans le monde. Je me compte donc chanceuse d'avoir sauvé des heures d'études et du stress grâce à ce programme.
7. La pratique du droit dans la capitale du Canada
La capitale nationale est une excellente place pour l'étude du droit en partie grâce à la présence de la Cour suprême du Canada et du gouvernement fédéral. Plusieurs personnes renommées ont passé dans les corridors du pavillon Fauteux et ce n'est pas rare que la Faculté invite des juges, des avocats ou des personnalités politiques à participer à des conférences. D'autant plus, la Faculté de droit offre non seulement des programmes en common law, mais aussi des programmes en droit civil. Une fois mes deux diplômes complétés, j'ai la possibilité de faire une année additionnelle afin d'obtenir un diplôme en droit civil. C'est définitivement une option avantageuse étant donné que plusieurs des pays dans le monde opèrent sous le droit civil.
Voilà les 7 raisons pour lesquelles j'ai choisi d'étudier le droit des affaires à l’uOttawa. J'espère que ces raisons vous ont aidé à faire votre choix d’établissement pour vos études postsecondaires. Si vous avez des questions par rapport au programme J.D.-B.Com., n'hésitez pas à communiquer avec moi.
De plus, il y a beaucoup d'informations utiles à propos du programme et la structure des cours sur le site de Telfer et le site de la Faculté de droit.
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Comme bien des élèves de cinquième secondaire du Québec, je croyais que mon parcours d’études postsecondaires devait débuter par le cégep. Afin d’être bien accompagnée dans cette décision, j’ai rencontré la conseillère en orientation de mon école. J’ai alors découvert une autre option intéressante, accessible et remplie d’avantages : aller directement à l’Université d’Ottawa.
Bien choisir son programme
C’est en consultant la brochure sur les programmes offerts à l’uOttawa que j’ai appris que je pouvais faire une demande d’admission dans plus de 30 différents programmes parmi les facultés des arts, de génie, de gestion, de sciences et de sciences sociales. Pour la plupart de ces programmes, une moyenne de 84 % ou plus est requise. Pour calculer la moyenne, l’université utilise les cinq meilleurs résultats de certains cours de cinquième secondaire, y compris les cours préalables au programme en question.
Après m’être renseignée et en avoir discuté avec ma famille, j’ai décidé d’opter pour un programme provenant de l’École de gestion Telfer : le baccalauréat en sciences commerciales / Juris Doctor (J.D.-B.Com.). Ce programme me permet d’obtenir deux diplômes, en six années d’études universitaires, dans les deux domaines qui m’intéressent le plus, la gestion et le droit.
Réussir la transition
Si tu décides d’effectuer le saut du secondaire vers l’Université d’Ottawa, voici trois conseils qui te seront fort utiles :
1. Bien gérer son temps
Il est important, dès le début, de développer de bonnes techniques d’étude et de gestion du temps. Plusieurs ressources seront mises à ta disposition dès le début de ta première année afin de t’aider à développer ces techniques. Profites-en pleinement!
2. Profiter du programme de mentorat
Je t’encourage fortement à participer aux différentes activités organisées par ta faculté et surtout, à t’impliquer. Pour ce qui est de la faculté de gestion par exemple, en première année, tous les étudiants sont jumelés à un mentor. C’est un service formidable par lequel un mentor sera toujours à ta disposition pour te guider et organiser des activités et des ateliers spécifiquement pour toi et les autres étudiants de première année!
3. Créer des liens
Dès la première semaine, même si cela peut sembler intimidant, tente d’aller parler avec tes professeurs. Je te recommande fortement de tirer avantage de leurs heures de bureau et de t’intéresser à leurs cours pour développer un réel lien avec eux. Le professeur sera content de voir ton implication et, qui sait, peut-être qu’il pourra éventuellement te rédiger une lettre de recommandation!
Pour ce qui est de tes collègues de classe, tu vas les côtoyer pendant 4 ans et développer des amitiés avec eux. Intéresse-toi à eux dès la première semaine et ils feront de même envers toi. Tu pourras ainsi élargir ton réseau d’amis.
Un choix avantageux
Il y a une panoplie d’avantages à être étudiant à l’Université d’Ottawa :
1. Graduer plus rapidement
En retirant le cégep de notre parcours scolaire, il est possible de devancer notre entrée sur le milieu du travail de deux ans. Cela est attirant et impressionnant aux yeux de plusieurs employeurs.
2. Étudier dans le domaine qui nous passionne
Si tu es motivé, engagé et désires développer tes connaissances, l’université saura certainement combler cette soif d’apprendre! En plus, à la fin de tes études universitaires, tu obtiendras un diplôme reconnu internationalement qui te permettra d’avoir une carrière fructueuse et prospère dans le domaine qui te passionne.
3. Bénéficier d’une bourse automatique
Dès que tu es admis avec une moyenne supérieure ou égale à 84 %, tu obtiens une bourse d’admission automatique en fonction des résultats préuniversitaires. Cette bourse varie de 1000 à 4 000 $ selon ta moyenne. Pour faire suite à cela, l’université décerne aussi des bourses au mérite en fonction des résultats que tu obtiendras à l’université.
4. Étudier dans la langue de son choix
L’Université d’Ottawa est une université bilingue. Il est donc possible de suivre ses cours et de remettre ses travaux dans la langue officielle de son choix (le français ou l’anglais) et ce, tout au long de son baccalauréat.
5. Un service efficace
Le processus pour effectuer une demande d’admission était très clair et facile d’accès à travers le site Web de l’uOttawa. À plusieurs reprises, j’ai
Une décision importante
Le transfert direct du secondaire vers l’Université d’Ottawa fut une expérience enrichissante qui m’a permis de grandir tant au niveau personnel que professionnel et de rencontrer de nouvelles personnes ayant des intérêts similaires aux miens. J’en suis maintenant à ma troisième année d’études universitaires et je peux dire que je suis une fière Gee-Gees qui adore son programme.
Cela dit, c’est une décision importante et sérieuse alors je t’encourage à te renseigner et à en discuter avec ta conseillère en orientation ainsi qu’avec tes parents. Cela m’a énormément aidé à faire un choix éclairé qui répondait à mes besoins. L’Université d’Ottawa est une université dynamique, bilingue et remplie de ressources et de services qui sauront certainement enrichir ton expérience postsecondaire!
- Catégorie : La voix des étudiants
Permets-moi de te donner quelques conseils d’étude inspirés de ce que j’ai fait à Telfer pour décrocher des bourses valant des milliers de dollars.
Si tu réussis à te faire inscrire sur la liste d’honneur du doyen à Telfer, l'université te remettra 1 000 $ par trimestre complété. Il n’y a que deux choses à faire pour figurer sur la liste du doyen :
-
Être organisé
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Être efficace
Pour que ce billet te soit plus utile, je l’ai divisé en deux sections.
Section A : Mes meilleurs conseils pour être efficace sur le plan de l’organisation.
Section B : Mes meilleurs conseils pour obtenir des bourses.
SECTION A : CONSEILS POUR ORGANISER SES ÉTUDES
Conseil d’étude no 1 : Organisation, organisation, organisation
Commençons par le conseil ultime, par le plus important de tous les conseils que je pourrais te donner pour bien réviser en vue d’un examen. Plus de la moitié du combat consiste à s’organiser. Bien sûr, on peut toujours s’en sortir sans préparation, mais personne n’a jamais excellé dans quoi que ce soit d’utile en se présentant les mains dans les poches. N’oublie pas cela chaque fois que tu voudras exceller dans la vie.
Conseil d’étude no 2 : Savoir quels sont les livrables du cours (autrement dit, ce qu’il faut faire pour réussir le cours)
Si tu devais n’accomplir qu’une seule chose dans la première semaine du semestre, ce serait de télécharger les plans de cours et d’en prendre connaissance. Vois comment tes professeurs vont t’évaluer, quand tes livrables devront être remis, quelle est la valeur de chaque livrable? Le temps est limité. Investis davantage dans ce qui rapporte le plus.
Conseil d’étude no 3 : Noter les dates de remise de tes livrables là où tu les auras toujours sous les yeux
Maintenant que tu sais ce que tu dois faire et quand tu devras le faire, prends-les en note à un endroit que tu consultes régulièrement. Personnellement, je préfère avoir un aperçu de tout mon semestre. J’ai créé une feuille de calcul Excel de base avec toutes mes dates d’échéance importantes et les pondérations par projet. Voici un exemple de ce à quoi cela peut ressembler :
Conseil d’étude no 4 : Te fixer des échéances pour réduire ton niveau de stress plus tard
Ce n’est pas parce que le plan de cours indique que le dernier projet doit être remis le 5 novembre que tu dois le remettre à cette date, à 23 heures. Nous en sommes au début du semestre et, jusqu’ici, tu as merveilleusement planifié ton semestre en sachant exactement quoi livrer et quand. Par exemple, si tu constates qu’il y a deux examens de mi-session et un projet à remettre le même week-end, tu devrais t’arranger pour que ce dernier soit terminé des semaines à l’avance. Ainsi, tu pourras te concentrer durant toute la semaine sur la préparation de tes examens de mi-session.
Conseil d’étude no 5 : Te fixer des objectifs et planifier ton temps en conséquence
Tous les dimanches, note tes objectifs de la semaine suivante. Quelles sont les échéances à venir? Établis ce que tu devras accomplir chaque jour de la semaine. Comme tes attentes changeront en cours de route, tous les soirs, tu devrais en plus revoir tes objectifs du lendemain pour t’assurer de pouvoir atteindre tes objectifs hebdomadaires.
Conseil d’étude no 6 : Créer un groupe Facebook pour y inviter tes camarades de classe
Le pire sentiment à l’université est la solitude, comme si on était l’exception, le cas unique qui se débat avec la question 5-C depuis trois heures, mais… ça pourrait être autrement. J’ai écrit un billet de blogue sur mon site, intitulé How to Start a Conversation in 4 Steps. Voici une façon parfaite de briser la glace et de mieux connaître tes camarades de classe. Un message suffit : « Salut! Comment tu t’appelles? Voici… Je lance un groupe Facebook pour notre classe où nous pourrons nous entraider pour résoudre les questions difficiles. Veux-tu en faire partie? Tu pourras aussi inviter des amis si tu veux. » Boum! pas besoin d’en faire plus et, comme ça, tu auras ton premier ami ou ta première amie Facebook de la classe!
SECTION B : CONSEILS POUR DES ÉTUDEs EFFICIENTES
Conseil d'étude no 7 : Faire attention à ce sur quoi ton professeur insiste en classe
En général, si ton professeur passe beaucoup de temps sur un chapitre ou une sous-section, ce n’est pas pour rien, c’est parce que ce sont les aspects les plus importants à ses yeux. Tu devras donc consacrer plus de temps à ces aspects lors de la préparation de tes examens.
Conseil d'étude no 8 : Dénicher au plus vite d’anciens examens de mi- et de fin de session
La meilleure chose que tu puisses faire (de façon éthique) est de mettre la main sur d’anciens examens pour voir ce qui a déjà été testé. À l’expérience, j’ai constaté qu’un très grand nombre d’examens ressemblent aux précédents. D’anciens examens pourront t’aider à déterminer, dès le début du semestre, ce qu’il te faudra vraiment savoir et ce qui sera simplement intéressant de savoir.
Conseil d’étude no 9 : Te bâtir un examen de simulation à partir de sa propre analyse
Bâtis-toi un examen de simulation en formulant des questions qui, selon toi, ont des chances de figurer dans l’examen réel. Demande-toi quels types de questions ont été posées dans les examens précédents que tu auras dénichés? Quelle forme prendra l’examen final, d’après la description du cours? Sur quel(s) sujet(s) ton professeur a-t-il passé le plus de temps en classe? Voilà autant d’éléments qui t’aideront à définir les questions à poser dans ta pratique. N’hésite surtout pas à te renseigner auprès de ton professeur à propos des sujets apparaissant dans ton examen de simulation, car il pourrait te donner des conseils utiles. Continue d’alimenter cet examen tout au long du semestre. Ainsi, à l’étape de la préparation de l’examen, tu pourras te concentrer sur les réponses à donner à ton propre examen.
Conseil d’étude no 10 : Te créer un aide-mémoire évolutif
Même si l’examen ne permet pas d’utiliser de fiche aide-mémoire (cheat sheet), cet outil t’aidera énormément à donner forme à ton examen de simulation (voir le conseil d’étude no 9). Sur cette feuille, note les renseignements que tu juges essentiels. Quelles sont les principales formules? Quelles étapes faut-il absolument suivre pour résoudre des problèmes complexes? Quelles sont les principales définitions à mémoriser? Voilà autant d’exemples d’éléments convenant parfaitement à un aide-mémoire.
Conseil d’étude no 11 : Lire les diapositives des Powerpoint plutôt que des pages entières de manuel
Oh combien d’heures ai-je perdu à lire des manuels complets! Selon le cours, ce n’est pas toujours la façon la plus efficace d’utiliser son temps. Les Powerpoint fournis par les professeurs couvrent l’essentiel du contenu à connaître pour un examen. Pour la plupart des cours, il vaut tout de même mieux acheter un exemplaire du manuel dont tu pourras te servir pour chercher tout ce qui n’est pas dit dans les Powerpoint, en plus de faire des recherches sur Google.
Conseil d’étude no 12 : Parcourir les Powerpoint au préalable
Habituellement, les professeurs mettent leurs Powerpoint en ligne avant chaque cours. Étudies-en le contenu au préalable pour mûrir les questions à te poser et rentabiliser au maximum ta présence en classe. Tu comprendras mieux ce qui se passe et tu vivras une expérience d’apprentissage plus profonde et plus mémorable.
Conseil d’étude no 13 : Noter tes micro-objectifs
Au cours de tes révisions, il t’arrivera souvent d’aller chercher des réponses en ligne. Comme nous le savons, il est très facile de se laisser distraire par Internet et d’oublier ce qu’on est venu y chercher. Avant d’aller sur la toile pour trouver une réponse, écris sur une feuille, que tu auras à portée de la main, la question pour laquelle tu veux une réponse. Une fois en ligne, demande-toi toutes les 10 minutes environ si ce que tu fais est lié à la réponse qui t’intéresse. Sinon, remets-toi sur les rails et dès que tu auras trouvé ta réponse, raye la question de ta liste.
Conseil d’étude no 14 : Prendre conscience que ta capacité de concentration est limitée dans le temps
Voici le conseil que je préfère entre tous et que tu dois bien comprendre. Notre cerveau ne nous permet de nous concentrer que pendant un certain temps avant de perdre en efficacité, disons au bout de 40 minutes. Donc, tu commences à travailler avec un cerveau frais et dispo. Si tu passes les 15 premières minutes à regarder des vidéos en ligne, il ne te restera que 25 minutes de pleine capacité, puis tu rendement diminuera.
Conseil d’étude no 15 : Étudier par intervalles et ne pas rester assis trop longtemps
Ce conseil et le précédent allant de pair, je les traite en série. Tu serais surpris(e) de voir combien il est possible de gagner en productivité en prenant de courtes pauses fréquentes. Travaille 30 à 40 minutes (selon ta préférence), puis prends une pause de 5 à 10 minutes. Si tu suis le conseil no 14, il est important de te lever et de te déplacer pendant ta pause. Fais quelques accroupissements, des redressement debout au mur ou d’autres exercices pour activer la circulation sanguine. Regarder son téléphone n’est pas une bonne façon de prendre une pause, parce que les neurones demeurent mobilisés et qu’on ne donne pas au cerveau la chance de se reposer.
Conseil d’étude no 16 : Tenir un suivi de ton temps
Ce n’est pas parce qu’on est assis à un poste de travail, à l’ordinateur, qu’on fait un travail de qualité. Il existe de nombreuses applications de suivi du temps, mais la fonction chronomètre du téléphone et un bout de papier suffisent. Démarre la minuterie quand tu commences à travailler. Quand tu as terminé, note ton temps, puis redémarre la minuterie au début de la pause. Enregistre de nouveau le temps avant de recommencer à étudier. Continue ainsi toute la journée et additionne tes temps de productivité d’un côté et le temps perdu de l’autre. Je te garantis que cela va te responsabiliser davantage!
Conseil d’étude no 17 : S'éloigner de son téléphone et des autres sources de distraction quand tu étudies
As-tu entendu parler de « l’état de réceptivité » aussi appelé « état de transe ». Pour l’atteindre, il faut se débarrasser de toutes les sources de distraction possibles et s’immerger complètement dans ce que l’on fait. Au bout d’un temps très court, on oublie son environnement et on ne considère plus que ce que la concentration nous permet de faire. L’état de réceptivité peut être difficile à atteindre, voire impossible si les perturbations continuent. Prends soin de mettre ton téléphone hors de vue, de préférence et si possible en mode silencieux. Sinon, chaque fois qu’il sonnera, ton rythme s’en trouvera perturbé et tu devras recommencer à zéro.
Conseil d’étude no 18 : Demeurer positive/positif
Te consacres-tu pleinement à la tâche? Si ton esprit est habité d’émotions négatives, cela nuira à ta capacité à te concentrer et à atteindre tes objectifs. Jette un coup d’œil sur mon autre article sur les trois étapes éprouvées pour sortir instantanément de sa mauvaise humeur (3 Proven Steps to Instantly Get Out of a Bad Mood) et parvenir à maintenir un état d’esprit positif dans les pires moments.
Conseil d’étude no 19 : Mobiliser le plus grand nombre de sens possible
J’ai gardé pour la fin l’un de mes meilleurs conseils d’étude afin de récompenser ton engagement. Plus on mobilise de sens pour apprendre et plus on a de chance de se souvenir de ce qu’on a appris. Idéalement, tu devrais trouver une façon de lire, d’écrire, d’entendre, de dire, de ressentir, de goûter, d’enseigner et d’appliquer tout ce que tu apprends. Bien sûr, ce n’est en général pas possible, alors il faut s’imprégner du savoir sous toutes les formes possibles.
Félicitations! Tu es arrivé au bout de ma liste exhaustive de conseils d’étude que j’ai utilisée lors de mon passage à l’École de gestion Telfer. Je suis convaincu que tu as la discipline et la volonté nécessaires pour mettre ces conseils en pratique! Je suis convaincu que, lorsque tu le feras, tu recevras des milliers de dollars en bourses et que ta moyenne pondérée cumulative grimpera en flèche!
Si tu veux en apprendre davantage sur l’intelligence émotionnelle, sur la communication efficace ou sur la façon d’améliorer son état d’esprit, rends-toi sur mon blogue personnel à jdsterne.com.
Bonne chance dans tes études et au plaisir de te croiser!
- Catégorie : La voix des étudiants
Après mes études secondaires dans la région du Grand Toronto, j’ai choisi de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, ici, à Ottawa. Je suis maintenant étudiant de troisième année au baccalauréat en commerce, avec spécialisation en gestion des technologies d’affaires et en marketing. Pour un élève de Markham, dans la région du Grand Toronto, les choix pour aller étudier dans le centre de l’Ontario ne manquent pas.
À l’école Telfer, l’une des choses que j’apprécie le plus, c’est le sentiment d’appartenance à la collectivité, mais je ne me doutais pas qu’il serait aussi fort. Ici, la collectivité reconnaît les étudiants très performants et les soutient en faisant appel à eux, tandis que mes amis d’autres écoles ont l’impression d’être de simples numéros dans le système.
Je suis très heureux du choix que j’ai fait, mais comment ai-je abouti à l’Université d’Ottawa pour étudier en gestion?
Trois raisons expliquent pourquoi j’ai choisi de quitter le confort de ma maison et de m’aventurer dans la capitale nationale :
1. Découvrir une nouvelle ville
Quand j’ai commencé à envoyer des demandes d’inscription à des programmes et des écoles, je pensais étudier en science, idéalement dans un endroit loin de chez moi, comme au Royaume-Uni ou en Colombie-Britannique. Après avoir poussé mes recherches, je me suis rendu compte que les programmes scientifiques à l’extérieur de l’Ontario sont trop onéreux pour être envisageables, et j’ai réorienté mes efforts vers des options d'éducation d’un meilleur rapport qualité-prix dans la province.
La question qui s’est alors posée à moi est la suivante : où devrais-je aller en Ontario, sachant que je ne voulais pas rester près de chez moi?
2. Recommandations d’amis, d’enseignants et d’entraîneurs
Un de mes amis, qui était mon modèle, avait été accepté par des institutions prestigieuses comme Stanford et Wharton, mais il a fini par choisir l’École Telfer. Il m’a parlé du programme de baccalauréat en commerce, m’a dit que Telfer était située dans une ville de taille moyenne offrant de nombreuses possibilités d’emploi et m’a garanti que le coût y était abordable.
Dès lors, j’ai commencé à penser à Telfer.
Après avoir recueilli l’opinion de quelques amis, de membres de ma famille et d’enseignants – en ce moment charnière de ma vie –, j’ai surtout conclu des réponses de ceux à qui j’avais posé la question que le monde des affaires était mieux adapté à ma personnalité. Et puis, cela m’a paru être une option plus sûre, car en sciences, seuls les résultats scolaires comptent. À peine 3 % des mieux notés passent la barre et sont admis en médecine.
Même si je ne doutais pas de mes résultats scolaires, pour avoir eu une bonne moyenne, j’ai découvert que les entreprises tiennent davantage compte des valeurs que j’avais à offrir. En affaires, ce n’est pas seulement une question de notes, mais de réseau établi en tant que membre du monde des affaires, de participation à des activités hors programmes qui démontre des compétences en leadership, et de motivation à en faire plus.
À l’époque, j’avais déjà suivi deux cours de comptabilité et un cours sur les valeurs financières. De plus, j’ai eu des fonctions de responsabilité au sein de plusieurs organismes communautaires et j’ai été président d’un organisme de mon école.
*Groupe du programme Jeunes entreprises en visite dans les bureaux de Mastercard
Grâce à toutes ces expériences, j’ai pu aiguiser mes compétences en marketing, en gestion des relations avec la clientèle, en photographie, en vidéographie, en conception graphique et en entrepreneuriat. Compte tenu de tout cela, si je m’étais lancé en sciences, je n’aurais rien récupéré de ces investissements, mais en commerce, la moitié au moins de mes réalisations allait me rapporter. Dès cet instant, je n’ai plus douté que j’allais faire des études en commerce, et que l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa était l’un des meilleurs choix.
3. Abordabilité et avantages
Trouver une institution abordable dans une autre ville n’était pas facile. J’ai écouté quelques balados et lu quelques articles pour m’apercevoir, en fin de compte, que ce n’est pas l’établissement qui fait la carrière, mais ce que l’étudiant ou l’étudiante choisit de faire pour sa carrière.
L’Université d’Ottawa était abordable et le programme concurrentiel. J’étais déjà vendu quand mon ami m’a aussi parlé de la réalité du bilinguisme dans cette ville. Il m’a expliqué que j’allais donc pouvoir apprendre l’administration des affaires dans les quatre prochaines années et, de surcroît, acquérir une nouvelle langue uniquement grâce à mon nouvel environnement.
Quand j’ai finalement dû faire mon choix, j’ai retenu l’Université d’Ottawa parce qu’elle était dans une autre ville, qu’elle était abordable, que je pourrais y apprendre le français et qu’une personne que je respectais s’en portait garant.
Quand j’ai commencé à m’intéresser davantage à Ottawa, j’ai voulu en savoir plus sur la vie estudiantine me suis rendu compte qu’elle allait aussi peser dans mon choix. Je savais que l’équipe d’Enactus était excellente et que j’aurais accès à des compétitions de cas grâce à la participation de l’École Telfer aux activités du RÉFAEC et du CABS.
En fin de compte, je crois avoir fait le meilleur choix et, chose intéressante, ce n’est pas un choix auquel j’avais pensé en partant. L’administration des affaires a fini par être le meilleur programme pour moi, Ottawa est une ville incroyable, qui a une superbe personnalité, et les relations que j’ai établies au sein de l’École Telfer ont rendu mon expérience universitaire encore plus fantastique. Après avoir bien réfléchi avec des amis de ma ville d’origine, je suis heureux de dire que l’Université d’Ottawa est mon équipe.
Tout au long de mes études, je n’ai cessé d’améliorer mon curriculum vitae grâce à des ateliers du Centre des carrières Telfer, je me suis découvert un intérêt pour le travail de consultant dans le cadre du Programme de la profession de consultant en gestion et, plus important encore, j’ai pu me faire quelques-uns de mes meilleurs amis dans les clubs de Telfer. J’ai la chance d’étudier et de travailler pour et avec une collectivité où tout le monde lutte au coude à coude.
Si tu lis ces lignes, que tu te sens, comme je l’ai été, indécis ou indécise, avec plusieurs cordes à ton arc, et que tu n’as aucune idée de ce que tu devrais faire dans les cinq prochaines années, je dirais que l’administration des affaires est un bon point de départ. Si tu veux vivre l’expérience que j’ai vécue, tu dois commencer par cliquer sur « accepter » dans ta demande d’admission au programme Bcom de Telfer, sur le portail OUAC.
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Comme le définit l’organisme Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail Canada (ECAMT Canada), « l’enseignement coopératif coop comporte des stages qui offrent une expérience de travail rémunérée dans un milieu de travail lié au domaine d’études de l’étudiant ». Avec un taux de placement de 97 %, le bureau coop de l’Université d’Ottawa offre à des milliers d’étudiants une vaste expérience de travail auprès de milliers d’employeurs au Canada et à l’étranger.
J’ai eu l’occasion de faire l’expérience de trois stages en tant qu’étudiante stagiaire à l’École de gestion Telfer et je peux affirmer sans hésiter que l’expérience a dépassé toutes mes attentes.
La formule coop est la meilleure façon de faciliter la transition des études au monde du travail. De plus, elle permet d’acquérir les connaissances et l’expérience recherchées par le marché du travail, de déterminer quelle option de carrière nous semble la mieux adaptée, d’améliorer son réseau de contacts et d’avoir un avantage concurrentiel au moment d’aller chercher un emploi. C’est aussi une excellente occasion de faire de l’argent qu’on placera pour plus tard ou qu’on utilisera pour rembourser des prêts étudiants.
Voilà les raisons pour lesquelles, selon moi, le fait de s’inscrire au programme de coop peut faciliter la transition vers le marché du travail après l’obtention du diplôme.
1. Acquérir des connaissances et de l’expérience dans son domaine d’études
Le programme coop de l’École de gestion Telfer est un excellent moyen d’aller chercher jusqu’à 16 mois d’expérience dans son domaine d’études.
À Telfer, les stages coop permettent :
- de mettre en pratique ce que l’on apprend en classe;
- d’améliorer ses compétences;
- de se fixer des objectifs d’apprentissage, de rendement et de perfectionnement en leadership au début de chaque mandat, sous la direction constante de l’employeur et du bureau coop;
- de découvrir les différentes options de carrière s’offrant à chacun(e) sur le marché du travail;
- de tester différents milieux de travail (au gouvernement, dans le secteur privé, dans des ONG, etc.);
- de déterminer le cheminement de carrière paraissant le plus inspirant et le plus adapté.
2. Améliorer son réseau de contact et établir des relations significatives
Parmi les employeurs pour lesquels les étudiantes et étudiants de Telfer peuvent aller travailler, mentionnons le gouvernement du Canada, Nokia, le Canafe, The Growcer et PricewaterhouseCoopers.
En participant à un programme coopératif chez Telfer, tu auras l’occasion :
- de t’engager auprès de personnes inspirantes dans ton domaine d’études;
- d’établir des liens avec des mentors et des conseillers de différents milieux et de tirer des enseignements de leur expérience.
Ces liens précieux t’aideront plus tard dans ta recherche d’emploi grâce aux recommandations de tes contacts. Si tu es recommandé(e) par un employé à un poste pour lequel tu auras posé ta candidature, tes chances d’obtenir une entrevue seront de 50 %, et tes chances d’être embauché(e) de 20 %. Sans recommandation, les chances de décrocher une entrevue tombent à seulement 3 % et celles d’être embauché(e) à 1,2 %.
3. Gagner un avantage concurrentiel et se distinguer des autres
Si tu veux être en mesure de donner à un employeur potentiel une bonne raison de t’embaucher, alors choisis le programme coopératif. De nos jours, même pour des postes de niveau débutant, les employeurs exigent que les chercheurs d’emploi aient au moins quelques mois d’expérience dans leur secteur d’activité.
Le programme coop de l’École Telfer est aussi l’occasion :
- d’acquérir plus d’une année d’expérience à temps plein dans son domaine d’études avant la fin d’un programme de baccalauréat;
- d’explorer différentes possibilités en travaillant à temps partiel pour élargir ses horizons, et d’être davantage exposé au milieu de travail.
4. Acquérir une précieuse expérience de travail tout en étant rémunéré(e)
Que tu cherches à rembourser tes prêts étudiants, à financer ton trimestre ou même à économiser de l’argent pour l’investir plus tard dans ton entreprise, l’option coop de l’École Telfer te donnera toutes ces possibilités. Tu acquerras la visibilité dont tu as besoin et tu te développeras sur les plans personnel et professionnel. Les employeurs participant à un programme coopératif sont tenus de verser aux étudiants au moins le salaire minimum pendant leurs périodes de travail, mais les salaires des étudiants participant au programme Telfer peuvent atteindre 30 $ de l’heure, ce qui représente plus de 15 000 $ pour une période de quatre mois, et 60 000 $ en tout pour les quatre périodes de travail.
À chacun de mes stages du programme coopératif, mes superviseurs ont fait des pieds et des mains pour m’aider à atteindre mes objectifs d’apprentissage, de rendement et de leadership. J’ai eu la chance de sortir de ma zone de confort, d’aider à organiser un événement Tedx, d’apprendre le codage, d’établir des liens qui m’ont permis d’aller chercher d’autres possibilités d’alternance travail-études, de mettre en pratique mes compétences en expression orale, de travailler pour le gouvernement du Canada (ce qui ne me semblait pas possible en tant qu’étudiante étrangère) et, par-dessus tout, de pratiquer ce que j’aime le plus : la gestion des ressources humaines.
Si tu n’as pas déjà soumis de demande d’inscription à un programme coopératif, c’est le moment de le faire. Si tu es déjà inscrit(e), alors tire le maximum de tes stages et fais profiter les autres du meilleur conseil qu’un employeur te donnera.
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