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Il peut être épeurant de penser qu’en sortant du secondaire à l'âge de 16, 17 ou 18 ans, nous devons prendre de nombreuses décisions par rapport à notre avenir. Pour moi, il y avait plusieurs raisons pour lesquelles je considérais étudier ailleurs, mais en fin de compte j'ai vu qu'il y avait beaucoup plus d'avantages à étudier le droit des affaires au Canada à l'Université d'Ottawa. Pour simplifier vos recherches, voici les 7 raisons pour lesquelles j'ai choisi le droit des affaires à l’uOttawa.
1. Qu’est-ce que Telfer?
L'École de gestion Telfer est parmi l'une des meilleures écoles de gestion au Canada. Elle se distingue par son atmosphère accueillante qui facilite la transition du secondaire au parcours universitaire. Telfer offre une variété de clubs selon les différentes options de gestion, afin que les étudiants puissent mettre en oeuvre les habiletés acquises en classe. Personnellement, mon club préféré était la Telfer Law Society. Ce club organise des activités incluant des conférences avec des avocat.e.s pour démontrer aux étudiants le sens pratique du monde du droit, et pour créer des occasions de réseautage pour les étudiants. D'ailleurs, Telfer offre une superbe semaine d'accueil où il est facile de rencontrer des ami.e.s et encourage aussi le travail en groupe pour permettre aux étudiants de socialiser. Cela est excellent pour quelqu'un qui est nouveau dans la ville, comme je l'étais.
2. Un programme unique
Il y a très peu d'écoles, non seulement au Canada, mais dans le monde entier, qui offrent ce programme. Après seulement 6 ans d'études, les étudiants reçoivent un baccalauréat en sciences commerciales de l'École de gestion Telfer ET un Juris Doctor de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Pendant les deux premières années du programme, les étudiants font leurs études exclusivement en gestion, alors que les 4 dernières sont un mélange de droit et de commerce. Puis, si vous désirez continuer simplement vos études en gestion, il est très facile de changer après votre deuxième année dans une option comme finance, comptabilité ou autre.
3. 6 ans plutôt que 7 ans
La plupart des étudiants complètent un baccalauréat de 4 ans avant de poser leur candidature pour la Faculté de droit. Ce programme unique permet aux étudiants de sauver une année d'études puisqu'ils complèteront leurs deux diplômes en 6 ans au lieu de 7 ans. Un an semble peut-être comme très peu de temps, mais croyez-moi - je viens de compléter ma quatrième année et je suis tellement reconnaissante de m’éviter cette année supplémentaire.
4. Être bilingue est un atout
Le programme de J.D.-B.Com. à l’uOttawa est seulement offert en français ou en immersion. Environ 20 % de la population canadienne est francophone, alors que 30 % de la population de l'Université d'Ottawa parle le français. Pouvoir étudier le droit et la gestion en français et en anglais nous permet de postuler pour une plus grande variété d'emplois après avoir obtenu notre diplôme. Si suivre tous vos cours en français vous inquiète, c'est correct. En effet, nous n'avons qu'à suivre 60% de nos cours en français et donc vous pouvez choisir de suivre quelques cours en anglais.
5. Au coeur d'Ottawa
Si vous n'avez jamais visité le campus de l’Université d’Ottawa, je vous encourage fortement à participer aux journées portes ouvertes (lorsque ce sera possible). Situé au coeur de la ville d'Ottawa, ce dernier offre aux étudiants un accès facile au centre-ville pour les différentes opportunités d'emplois gouvernementaux, au marché By pour de la bonne bouffe et à la Côte-de-Sable, un quartier résidentiel parfait pour le logement des étudiants. Du campus, il est très facile de se rendre à pied à de nombreux endroits; c'est donc parfait pour une personne qui ne connaît pas la ville d'Ottawa avant le déménagement.
6. Pas de LSAT
Il n'est pas nécessaire de compléter le test LSAT dans le cadre du programme combiné J.D.-B.Com. à l'Université d'Ottawa. Cet avantage a définitivement eu un impact sur ma décision de prendre le droit des affaires à Ottawa. Pour ceux qui ne savent pas, le test LSAT est une évaluation standardisée habituellement obligatoire pour l'admission aux facultés de droit ailleurs dans le monde. Je me compte donc chanceuse d'avoir sauvé des heures d'études et du stress grâce à ce programme.
7. La pratique du droit dans la capitale du Canada
La capitale nationale est une excellente place pour l'étude du droit en partie grâce à la présence de la Cour suprême du Canada et du gouvernement fédéral. Plusieurs personnes renommées ont passé dans les corridors du pavillon Fauteux et ce n'est pas rare que la Faculté invite des juges, des avocats ou des personnalités politiques à participer à des conférences. D'autant plus, la Faculté de droit offre non seulement des programmes en common law, mais aussi des programmes en droit civil. Une fois mes deux diplômes complétés, j'ai la possibilité de faire une année additionnelle afin d'obtenir un diplôme en droit civil. C'est définitivement une option avantageuse étant donné que plusieurs des pays dans le monde opèrent sous le droit civil.
Voilà les 7 raisons pour lesquelles j'ai choisi d'étudier le droit des affaires à l’uOttawa. J'espère que ces raisons vous ont aidé à faire votre choix d’établissement pour vos études postsecondaires. Si vous avez des questions par rapport au programme J.D.-B.Com., n'hésitez pas à communiquer avec moi.
De plus, il y a beaucoup d'informations utiles à propos du programme et la structure des cours sur le site de Telfer et le site de la Faculté de droit.
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Comme bien des élèves de cinquième secondaire du Québec, je croyais que mon parcours d’études postsecondaires devait débuter par le cégep. Afin d’être bien accompagnée dans cette décision, j’ai rencontré la conseillère en orientation de mon école. J’ai alors découvert une autre option intéressante, accessible et remplie d’avantages : aller directement à l’Université d’Ottawa.
Bien choisir son programme
C’est en consultant la brochure sur les programmes offerts à l’uOttawa que j’ai appris que je pouvais faire une demande d’admission dans plus de 30 différents programmes parmi les facultés des arts, de génie, de gestion, de sciences et de sciences sociales. Pour la plupart de ces programmes, une moyenne de 84 % ou plus est requise. Pour calculer la moyenne, l’université utilise les cinq meilleurs résultats de certains cours de cinquième secondaire, y compris les cours préalables au programme en question.
Après m’être renseignée et en avoir discuté avec ma famille, j’ai décidé d’opter pour un programme provenant de l’École de gestion Telfer : le baccalauréat en sciences commerciales / Juris Doctor (J.D.-B.Com.). Ce programme me permet d’obtenir deux diplômes, en six années d’études universitaires, dans les deux domaines qui m’intéressent le plus, la gestion et le droit.
Réussir la transition
Si tu décides d’effectuer le saut du secondaire vers l’Université d’Ottawa, voici trois conseils qui te seront fort utiles :
1. Bien gérer son temps
Il est important, dès le début, de développer de bonnes techniques d’étude et de gestion du temps. Plusieurs ressources seront mises à ta disposition dès le début de ta première année afin de t’aider à développer ces techniques. Profites-en pleinement!
2. Profiter du programme de mentorat
Je t’encourage fortement à participer aux différentes activités organisées par ta faculté et surtout, à t’impliquer. Pour ce qui est de la faculté de gestion par exemple, en première année, tous les étudiants sont jumelés à un mentor. C’est un service formidable par lequel un mentor sera toujours à ta disposition pour te guider et organiser des activités et des ateliers spécifiquement pour toi et les autres étudiants de première année!
3. Créer des liens
Dès la première semaine, même si cela peut sembler intimidant, tente d’aller parler avec tes professeurs. Je te recommande fortement de tirer avantage de leurs heures de bureau et de t’intéresser à leurs cours pour développer un réel lien avec eux. Le professeur sera content de voir ton implication et, qui sait, peut-être qu’il pourra éventuellement te rédiger une lettre de recommandation!
Pour ce qui est de tes collègues de classe, tu vas les côtoyer pendant 4 ans et développer des amitiés avec eux. Intéresse-toi à eux dès la première semaine et ils feront de même envers toi. Tu pourras ainsi élargir ton réseau d’amis.
Un choix avantageux
Il y a une panoplie d’avantages à être étudiant à l’Université d’Ottawa :
1. Graduer plus rapidement
En retirant le cégep de notre parcours scolaire, il est possible de devancer notre entrée sur le milieu du travail de deux ans. Cela est attirant et impressionnant aux yeux de plusieurs employeurs.
2. Étudier dans le domaine qui nous passionne
Si tu es motivé, engagé et désires développer tes connaissances, l’université saura certainement combler cette soif d’apprendre! En plus, à la fin de tes études universitaires, tu obtiendras un diplôme reconnu internationalement qui te permettra d’avoir une carrière fructueuse et prospère dans le domaine qui te passionne.
3. Bénéficier d’une bourse automatique
Dès que tu es admis avec une moyenne supérieure ou égale à 84 %, tu obtiens une bourse d’admission automatique en fonction des résultats préuniversitaires. Cette bourse varie de 1000 à 4 000 $ selon ta moyenne. Pour faire suite à cela, l’université décerne aussi des bourses au mérite en fonction des résultats que tu obtiendras à l’université.
4. Étudier dans la langue de son choix
L’Université d’Ottawa est une université bilingue. Il est donc possible de suivre ses cours et de remettre ses travaux dans la langue officielle de son choix (le français ou l’anglais) et ce, tout au long de son baccalauréat.
5. Un service efficace
Le processus pour effectuer une demande d’admission était très clair et facile d’accès à travers le site Web de l’uOttawa. À plusieurs reprises, j’ai
Une décision importante
Le transfert direct du secondaire vers l’Université d’Ottawa fut une expérience enrichissante qui m’a permis de grandir tant au niveau personnel que professionnel et de rencontrer de nouvelles personnes ayant des intérêts similaires aux miens. J’en suis maintenant à ma troisième année d’études universitaires et je peux dire que je suis une fière Gee-Gees qui adore son programme.
Cela dit, c’est une décision importante et sérieuse alors je t’encourage à te renseigner et à en discuter avec ta conseillère en orientation ainsi qu’avec tes parents. Cela m’a énormément aidé à faire un choix éclairé qui répondait à mes besoins. L’Université d’Ottawa est une université dynamique, bilingue et remplie de ressources et de services qui sauront certainement enrichir ton expérience postsecondaire!
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Après mes études secondaires dans la région du Grand Toronto, j’ai choisi de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, ici, à Ottawa. Je suis maintenant étudiant de troisième année au baccalauréat en commerce, avec spécialisation en gestion des technologies d’affaires et en marketing. Pour un élève de Markham, dans la région du Grand Toronto, les choix pour aller étudier dans le centre de l’Ontario ne manquent pas.
À l’école Telfer, l’une des choses que j’apprécie le plus, c’est le sentiment d’appartenance à la collectivité, mais je ne me doutais pas qu’il serait aussi fort. Ici, la collectivité reconnaît les étudiants très performants et les soutient en faisant appel à eux, tandis que mes amis d’autres écoles ont l’impression d’être de simples numéros dans le système.
Je suis très heureux du choix que j’ai fait, mais comment ai-je abouti à l’Université d’Ottawa pour étudier en gestion?
Trois raisons expliquent pourquoi j’ai choisi de quitter le confort de ma maison et de m’aventurer dans la capitale nationale :
1. Découvrir une nouvelle ville
Quand j’ai commencé à envoyer des demandes d’inscription à des programmes et des écoles, je pensais étudier en science, idéalement dans un endroit loin de chez moi, comme au Royaume-Uni ou en Colombie-Britannique. Après avoir poussé mes recherches, je me suis rendu compte que les programmes scientifiques à l’extérieur de l’Ontario sont trop onéreux pour être envisageables, et j’ai réorienté mes efforts vers des options d'éducation d’un meilleur rapport qualité-prix dans la province.
La question qui s’est alors posée à moi est la suivante : où devrais-je aller en Ontario, sachant que je ne voulais pas rester près de chez moi?
2. Recommandations d’amis, d’enseignants et d’entraîneurs
Un de mes amis, qui était mon modèle, avait été accepté par des institutions prestigieuses comme Stanford et Wharton, mais il a fini par choisir l’École Telfer. Il m’a parlé du programme de baccalauréat en commerce, m’a dit que Telfer était située dans une ville de taille moyenne offrant de nombreuses possibilités d’emploi et m’a garanti que le coût y était abordable.
Dès lors, j’ai commencé à penser à Telfer.
Après avoir recueilli l’opinion de quelques amis, de membres de ma famille et d’enseignants – en ce moment charnière de ma vie –, j’ai surtout conclu des réponses de ceux à qui j’avais posé la question que le monde des affaires était mieux adapté à ma personnalité. Et puis, cela m’a paru être une option plus sûre, car en sciences, seuls les résultats scolaires comptent. À peine 3 % des mieux notés passent la barre et sont admis en médecine.
Même si je ne doutais pas de mes résultats scolaires, pour avoir eu une bonne moyenne, j’ai découvert que les entreprises tiennent davantage compte des valeurs que j’avais à offrir. En affaires, ce n’est pas seulement une question de notes, mais de réseau établi en tant que membre du monde des affaires, de participation à des activités hors programmes qui démontre des compétences en leadership, et de motivation à en faire plus.
À l’époque, j’avais déjà suivi deux cours de comptabilité et un cours sur les valeurs financières. De plus, j’ai eu des fonctions de responsabilité au sein de plusieurs organismes communautaires et j’ai été président d’un organisme de mon école.
*Groupe du programme Jeunes entreprises en visite dans les bureaux de Mastercard
Grâce à toutes ces expériences, j’ai pu aiguiser mes compétences en marketing, en gestion des relations avec la clientèle, en photographie, en vidéographie, en conception graphique et en entrepreneuriat. Compte tenu de tout cela, si je m’étais lancé en sciences, je n’aurais rien récupéré de ces investissements, mais en commerce, la moitié au moins de mes réalisations allait me rapporter. Dès cet instant, je n’ai plus douté que j’allais faire des études en commerce, et que l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa était l’un des meilleurs choix.
3. Abordabilité et avantages
Trouver une institution abordable dans une autre ville n’était pas facile. J’ai écouté quelques balados et lu quelques articles pour m’apercevoir, en fin de compte, que ce n’est pas l’établissement qui fait la carrière, mais ce que l’étudiant ou l’étudiante choisit de faire pour sa carrière.
L’Université d’Ottawa était abordable et le programme concurrentiel. J’étais déjà vendu quand mon ami m’a aussi parlé de la réalité du bilinguisme dans cette ville. Il m’a expliqué que j’allais donc pouvoir apprendre l’administration des affaires dans les quatre prochaines années et, de surcroît, acquérir une nouvelle langue uniquement grâce à mon nouvel environnement.
Quand j’ai finalement dû faire mon choix, j’ai retenu l’Université d’Ottawa parce qu’elle était dans une autre ville, qu’elle était abordable, que je pourrais y apprendre le français et qu’une personne que je respectais s’en portait garant.
Quand j’ai commencé à m’intéresser davantage à Ottawa, j’ai voulu en savoir plus sur la vie estudiantine me suis rendu compte qu’elle allait aussi peser dans mon choix. Je savais que l’équipe d’Enactus était excellente et que j’aurais accès à des compétitions de cas grâce à la participation de l’École Telfer aux activités du RÉFAEC et du CABS.
En fin de compte, je crois avoir fait le meilleur choix et, chose intéressante, ce n’est pas un choix auquel j’avais pensé en partant. L’administration des affaires a fini par être le meilleur programme pour moi, Ottawa est une ville incroyable, qui a une superbe personnalité, et les relations que j’ai établies au sein de l’École Telfer ont rendu mon expérience universitaire encore plus fantastique. Après avoir bien réfléchi avec des amis de ma ville d’origine, je suis heureux de dire que l’Université d’Ottawa est mon équipe.
Tout au long de mes études, je n’ai cessé d’améliorer mon curriculum vitae grâce à des ateliers du Centre des carrières Telfer, je me suis découvert un intérêt pour le travail de consultant dans le cadre du Programme de la profession de consultant en gestion et, plus important encore, j’ai pu me faire quelques-uns de mes meilleurs amis dans les clubs de Telfer. J’ai la chance d’étudier et de travailler pour et avec une collectivité où tout le monde lutte au coude à coude.
Si tu lis ces lignes, que tu te sens, comme je l’ai été, indécis ou indécise, avec plusieurs cordes à ton arc, et que tu n’as aucune idée de ce que tu devrais faire dans les cinq prochaines années, je dirais que l’administration des affaires est un bon point de départ. Si tu veux vivre l’expérience que j’ai vécue, tu dois commencer par cliquer sur « accepter » dans ta demande d’admission au programme Bcom de Telfer, sur le portail OUAC.
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Comme le définit l’organisme Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail Canada (ECAMT Canada), « l’enseignement coopératif coop comporte des stages qui offrent une expérience de travail rémunérée dans un milieu de travail lié au domaine d’études de l’étudiant ». Avec un taux de placement de 97 %, le bureau coop de l’Université d’Ottawa offre à des milliers d’étudiants une vaste expérience de travail auprès de milliers d’employeurs au Canada et à l’étranger.
J’ai eu l’occasion de faire l’expérience de trois stages en tant qu’étudiante stagiaire à l’École de gestion Telfer et je peux affirmer sans hésiter que l’expérience a dépassé toutes mes attentes.
La formule coop est la meilleure façon de faciliter la transition des études au monde du travail. De plus, elle permet d’acquérir les connaissances et l’expérience recherchées par le marché du travail, de déterminer quelle option de carrière nous semble la mieux adaptée, d’améliorer son réseau de contacts et d’avoir un avantage concurrentiel au moment d’aller chercher un emploi. C’est aussi une excellente occasion de faire de l’argent qu’on placera pour plus tard ou qu’on utilisera pour rembourser des prêts étudiants.
Voilà les raisons pour lesquelles, selon moi, le fait de s’inscrire au programme de coop peut faciliter la transition vers le marché du travail après l’obtention du diplôme.
1. Acquérir des connaissances et de l’expérience dans son domaine d’études
Le programme coop de l’École de gestion Telfer est un excellent moyen d’aller chercher jusqu’à 16 mois d’expérience dans son domaine d’études.
À Telfer, les stages coop permettent :
- de mettre en pratique ce que l’on apprend en classe;
- d’améliorer ses compétences;
- de se fixer des objectifs d’apprentissage, de rendement et de perfectionnement en leadership au début de chaque mandat, sous la direction constante de l’employeur et du bureau coop;
- de découvrir les différentes options de carrière s’offrant à chacun(e) sur le marché du travail;
- de tester différents milieux de travail (au gouvernement, dans le secteur privé, dans des ONG, etc.);
- de déterminer le cheminement de carrière paraissant le plus inspirant et le plus adapté.
2. Améliorer son réseau de contact et établir des relations significatives
Parmi les employeurs pour lesquels les étudiantes et étudiants de Telfer peuvent aller travailler, mentionnons le gouvernement du Canada, Nokia, le Canafe, The Growcer et PricewaterhouseCoopers.
En participant à un programme coopératif chez Telfer, tu auras l’occasion :
- de t’engager auprès de personnes inspirantes dans ton domaine d’études;
- d’établir des liens avec des mentors et des conseillers de différents milieux et de tirer des enseignements de leur expérience.
Ces liens précieux t’aideront plus tard dans ta recherche d’emploi grâce aux recommandations de tes contacts. Si tu es recommandé(e) par un employé à un poste pour lequel tu auras posé ta candidature, tes chances d’obtenir une entrevue seront de 50 %, et tes chances d’être embauché(e) de 20 %. Sans recommandation, les chances de décrocher une entrevue tombent à seulement 3 % et celles d’être embauché(e) à 1,2 %.
3. Gagner un avantage concurrentiel et se distinguer des autres
Si tu veux être en mesure de donner à un employeur potentiel une bonne raison de t’embaucher, alors choisis le programme coopératif. De nos jours, même pour des postes de niveau débutant, les employeurs exigent que les chercheurs d’emploi aient au moins quelques mois d’expérience dans leur secteur d’activité.
Le programme coop de l’École Telfer est aussi l’occasion :
- d’acquérir plus d’une année d’expérience à temps plein dans son domaine d’études avant la fin d’un programme de baccalauréat;
- d’explorer différentes possibilités en travaillant à temps partiel pour élargir ses horizons, et d’être davantage exposé au milieu de travail.
4. Acquérir une précieuse expérience de travail tout en étant rémunéré(e)
Que tu cherches à rembourser tes prêts étudiants, à financer ton trimestre ou même à économiser de l’argent pour l’investir plus tard dans ton entreprise, l’option coop de l’École Telfer te donnera toutes ces possibilités. Tu acquerras la visibilité dont tu as besoin et tu te développeras sur les plans personnel et professionnel. Les employeurs participant à un programme coopératif sont tenus de verser aux étudiants au moins le salaire minimum pendant leurs périodes de travail, mais les salaires des étudiants participant au programme Telfer peuvent atteindre 30 $ de l’heure, ce qui représente plus de 15 000 $ pour une période de quatre mois, et 60 000 $ en tout pour les quatre périodes de travail.
À chacun de mes stages du programme coopératif, mes superviseurs ont fait des pieds et des mains pour m’aider à atteindre mes objectifs d’apprentissage, de rendement et de leadership. J’ai eu la chance de sortir de ma zone de confort, d’aider à organiser un événement Tedx, d’apprendre le codage, d’établir des liens qui m’ont permis d’aller chercher d’autres possibilités d’alternance travail-études, de mettre en pratique mes compétences en expression orale, de travailler pour le gouvernement du Canada (ce qui ne me semblait pas possible en tant qu’étudiante étrangère) et, par-dessus tout, de pratiquer ce que j’aime le plus : la gestion des ressources humaines.
Si tu n’as pas déjà soumis de demande d’inscription à un programme coopératif, c’est le moment de le faire. Si tu es déjà inscrit(e), alors tire le maximum de tes stages et fais profiter les autres du meilleur conseil qu’un employeur te donnera.
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Il peut être a priori intimidant de choisir une université où poursuivre ses études. Pour certains, il suffit de consulter le classement des établissements et de choisir le meilleur programme qui soit. Pour d’autres, la proximité du domicile et le coût peuvent être des facteurs déterminants. Après avoir décidé de m’inscrire à l’École de gestion Telfer, j’ai découvert que celle-ci avait beaucoup plus de choses à offrir qui auraient pu influer sur ma décision, au-delà du fait que Telfer est reconnue comme une école de commerce de premier rang dans le monde.
Durant mes quatre années passées à l’École de gestion Telfer, j’ai trouvé sept grandes raisons expliquant le côté unique et enrichissant de l’expérience Telfer.
Voici donc sept bonnes raisons pour lesquelles aller à Telfer :
1. Un diplôme de grande valeur
Alors que j’étais encore au secondaire, j’ai fait des recherches sur les différentes universités envisageables pour moi en m’intéressant premièrement à l’aspect financier et à la valeur du diplôme de chaque université.
L’École de gestion Telfer fait partie du 1 % des premières écoles de commerce au monde, au titre de trois niveaux d’agrément. Cette réputation mondiale d’excellence a beaucoup joué dans ma décision de me tourner vers Telfer. De plus les droits de scolarité y sont raisonnable au vue de la valeur d’un diplôme délivré par ce qui est une excellente université. Pour moi, cette combinaison signifiait que Telfer m’offrait le meilleur rapport qualité-prix, autrement dit, qu’elle allait m’en donner pour mon argent.
2. L’emplacement d’abord et avant tout
L’École Telfer est située au cœur du centre-ville d’Ottawa. On a l’impression d’être dans une grande ville, mais sans le brouhaha (ni les prix) caractéristique d’autres grandes villes universitaires. Ce qui est bien avec cet emplacement, c’est que tout se trouve à proximité. Qu’il s’agisse de musées, de sites historiques comme la Colline du Parlement et le canal Rideau, d’épiceries, de restaurants, de boutiques, de la vie nocturne et d’à peu près tout ce à quoi on peut penser : tout est à 10 ou 15 minutes de marche de Telfer.
3. Un programme d’enseignement coopératif
Ottawa a la réputation d’être une ville gouvernementale, ce que je ne contesterai pas. Toutefois, Ottawa a aussi un secteur privé en pleine ébullition qui offre de nombreuses possibilités d’emploi. Ce qu’il y a de bien avec le programme coop de l’École Telfer, c’est qu’il est vraiment facile de postuler pour différents emplois et que l’on peut choisir entre le secteur public et le secteur privé pour se faire une idée de ce qu’on pourrait aimer dans une future carrière. L’emploi que j’ai occupé tout au long de mes études a été celui que m’a procuré le programme d’enseignement coopératif. Je ne l’aurais jamais décroché sans ce programme et, surtout, si je n’avais pas pris la décision de m’inscrire à Telfer.
4. L’immersion en français
Bien que je n’aie pas personnellement choisi le régime d’immersion en français, je connais bien des gens qui s’y sont inscrits et je me suis renseigné sur leurs expériences. Le régime d’immersion en français de Telfer permet aux étudiants de suivre une partie de leurs cours dans cette langue. Si tu es anglophone et que tu souhaites renforcer ton français, ou si tu es francophone et que tu désires améliorer ton anglais, tu auras l’occasion unique de fréquenter l’une des rares universités à offrir un programme d’immersion en français à Telfer. De plus, tu recevras une bourse de 1 000 $ simplement parce que tu suivras le régime d’immersion en français!
5. La collaboration
À Telfer, tu auras l’occasion de travailler avec un grand nombre de personnes venant de tous les horizons et d’apprendre d’elles. Si tu étudies à Telfer, sache qu’environ 20 % des étudiants sont étrangers, et j’ai personnellement eu l’occasion de travailler avec des étudiants d’Allemagne, d’Inde, de Chine, de Corée du Sud, du Kenya et d’autres parties du monde. Une communauté aussi diversifiée permet de se faire de nouveaux amis et de tisser des liens dans de nombreux endroits de la planète. Je peux honnêtement dire que tous mes projets de groupe à Telfer ont été une expérience positive.
6. Des projets uniques
À Telfer, j’ai eu l’occasion de participer à de nombreux projets uniques auxquels je ne m’attendais pas. Le cours de management stratégique de quatrième année donne la possibilité de participer à ce qu’on appelle la simulation de stratégie Intopia, où les étudiants se plongent dans toute une série d’activités, un week-end durant, à la barre de leur propre entreprise. Ils doivent négocier, prendre des décisions et essayer de maximiser leurs résultats pour enfin gagner la compétition. Intopia est reconnue comme une simulation de stratégie commerciale de premier plan, et Telfer est l’une des seules écoles à l’offrir.
De plus, les étudiants peuvent acquérir une expérience concrète en travaillant pour des entreprises réelles dans le cadre de projets de classe. Pour ma part, j’ai eu l’occasion de travailler pour Badminton Canada et pour le Musée canadien de la nature à l’élaboration de campagnes de marketing et de stratégies promotionnelles. J’ai non seulement trouvé cette expérience gratifiante, mais il s’est aussi avéré qu’elle était idéale pour mon curriculum vitae… Tout cela fait partie de votre programme à l’École Telfer.
7. Le Centre des carrières
Le Centre des carrières offre divers ateliers aux étudiants, notamment sur la façon de préparer un curriculum vitæ, de réussir une entrevue en plus de nombreux autres types d’ateliers. De plus, tu auras la possibilité de rencontrer des conseillers en orientation qui pourront t’aider à mettre le cap sur ton objectif. Le fait de pouvoir compter sur une ressource qui t’accompagne dans ton perfectionnement personnel et professionnel est très utile au moment d’entrer sur le milieu de travail.
Le Centre des carrières organise également des événements de réseautage à Telfer. Ce genre d’activités attirent tout un éventail d’entreprises avec lesquelles on peut s’entretenir et établir des liens susceptibles de se transformer en débouchés d’emploi. De plus, les ateliers susmentionnés et les activités de réseautage vont de pair à Telfer, car ces dernières sont l’occasion de mettre en pratique les connaissances acquises lors des ateliers.
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La décision de faire ou pas des études en commerce peut être difficile à prendre pour un diplômé du secondaire ou un passionné d’affaires qui aspire à lancer sa propre entreprise. Et cela, c’est sans compter l’influence des nombreux récits populaires de décrocheurs universitaires qui ont fini par devenir des magnats du monde des affaires.
Tu te demandes peut-être s’il vaut la peine d’aller à l’école de commerce avant de te lancer en affaire à ton compte.
Eh bien, moi, je peux te dire qu'y faire des études m’a effectivement aidé à lancer ma propre entreprise.
En 2019, après avoir été pigiste et consultant pendant des années, j’ai fondé à Ottawa une agence de marketing numérique que j’ai appelée myMarketing.io. Je lui ai donné pour mission d’offrir un service marketing numérique de grande qualité à prix abordable aux entreprises en démarrage et aux PME.
Je l’ai en fait lancée tandis que je faisais mes études. Aujourd’hui, six mois plus tard, myMarketing est une équipe de trois personnes qui a déjà une bonne clientèle. Bien que d’autres facteurs aient joué un rôle dans le succès de l’entreprise, comme notre expérience professionnelle à tous, un réseau solide et des ressources suffisantes, la fréquentation d’une école de commerce a sans aucun doute été très utile dans mon cas.
Voici les 10 principales façons dont l’école de commerce m’a aidé à démarrer mon entreprise :
1. Réseau de connexions étendu
Le plus grand avantage que peut apporter une école de commerce est son réseau de contacts étendu. En gestion d’entreprise, le réseautage est l’une des clés du succès. Il peut même arriver qu’une seule relation précieuse fasse toute la différence entre la faillite et la prospérité.
La fréquentation d’une école de gestion permet donc de se bâtir un réseau et d’établir des liens avec des personnes aux vues similaires, qui ont des intérêts commerciaux semblables. De telles relations peuvent être autant de passerelles vers des occasions d’affaires lucratives pour l’entreprise future. Elles sont un atout pour le reste d’une carrière. C’est peut-être difficile à imaginer, mais une relation établie à l’université peut devenir plus tard un client, un partenaire, un collègue, un mentor ou un investisseur.
Voici un simple exemple qui remonte à l’époque où j’ai lancé ma propre entreprise. Quand j’ai commencé à chercher des employés pour ma nouvelle entreprise, les premières personnes à qui j’ai pensé ont été mes collègues d’université. Comme je les connaissais déjà et que j’avais déjà travaillé avec eux, j’ai pu embaucher des personnes dont le profil convenait le mieux à mon entreprise.
Quel que soit le secteur d’activité, il faut absolument pouvoir compter sur des employés de qualité si l’on veut faire croître son entreprise. C’est en prenant le temps d’investir dans la création de réseaux qu’on parvient à trouver des candidats qualifiés. Il s’agit aussi d’une méthode très efficace pour découvrir la capacité de chacun à faire le travail.
2. Expérience coopérative précieuse
L’autre avantage des écoles de commerce tient à la possibilité qu’elles donnent de s’inscrire dans un programme travail-étude. Dans le cadre d’un tel programme, les entreprises embauchent des étudiants à titre temporaire en vertu d’une entente mutuellement avantageuse entre l’étudiant, l’employeur et l’établissement d’enseignement.
Les étudiants qui participent à des stages coopératifs dans des écoles de commerce acquièrent une expérience pratique précieuse. Il est, certes, important d’étudier et de suivre les cours, mais les programmes coopératifs aident énormément les gens à développer leurs compétences professionnelles. Ils leur permettent de « mettre un pied dans la porte » et de commencer leur carrière dans leur domaine d’études.
Mon expérience du programme coop m’a aidé à mieux définir mes intérêts, à acquérir des compétences dans mon domaine et, surtout, à établir de précieux liens d’affaires.
Découvrir ce qui m’intéressait : Mon expérience de stage coopératif m’a permis d’explorer davantage mes domaines d’intérêt et de découvrir lesquels m’intéressaient et lesquels n’étaient pas faits pour moi. Cela m’a aussi donné l’occasion de tester mes forces et mes faiblesses et de voir dans quels pans de mon domaine je pouvais exceller.
Développer mes compétences : Les cours de commerce portent surtout sur l’aspect théorique des affaires, mais le côté pratique fait défaut. Heureusement, le programme coopératif m’a permis d’aller chercher une expérience pratique grâce à laquelle j’ai pu aiguiser mes compétences et lancer mon entreprise.
Élargir mon réseau : Mon expérience de stage a joué un rôle déterminant dans l’orientation de ma carrière professionnelle. Les liens que j’ai établis dans le cadre de mes stages coopératifs sont encore très pertinents pour ma carrière aujourd’hui. Certains de mes contacts sont devenus des collègues, d’autres sont des clients et d’autres encore des promoteurs de mon entreprise.
Qu’on en soit conscient ou pas, une chose est certaine : tout programme coopératif qui procure une expérience professionnelle dans son domaine de prédilection joue un rôle très important dans une carrière.
3. Savoir-faire général en affaires
Beaucoup de jeunes entreprises échouent en raison du manque de connaissances professionnelles de base de leur fondateur. C’est là qu’une école de commerce peut faire une grande différence. Elles donnent l’occasion aux étudiants de comprendre le fonctionnement de base d’une entreprise en démarrage ainsi qu’un aperçu de chaque grand secteur d’activité.
Tout entrepreneur peut être appelé à assumer la responsabilité de nombreux volets de son entreprise. Il est donc essentiel, pour cette raison même, de comprendre les bases de chaque secteur d’activité, comme la gestion des finances, le suivi des opérations, la commercialisation des produits et les nombreuses autres tâches administratives générales. Les diplômés en administration des affaires ont beaucoup plus de chance de réussir dans la gestion des opérations que ceux qui n’ont pas suivi de formation théorique.
Il ne fait aucun doute que les connaissances générales en affaires que j’ai acquises au cours de mes études ont été d’une très grande valeur quand j’ai lancé mon entreprise. Bien que j’aie toujours été très intéressé par le marketing, mes études en commerce m’ont permis de me familiariser avec les activités quotidiennes essentielles de mon entreprise.
4. Compétences en communications et en présentation
Pour un propriétaire d’entreprise, la communication peut être une des clés du succès. Qu’il s’agisse de diriger des réunions ou de parler en public, il est très important d’avoir de solides compétences en communication et en présentation. Mieux l’on sait communiquer et plus grandes sont les chances que son message influence le public cible.
Pendant tes études en gestion des affaires, tu seras exposé à plusieurs pratiques de communication comme l’art de parler en public, les présentations formelles, le réseautage et ainsi de suite. Pour celles et ceux qui n’ont pas d’expérience ou qui ne sont pas à l’aise à communiquer ou à faire des présentations, la fréquentation d’une école de commerce est l’occasion d’acquérir la pratique tant nécessaire à l’amélioration de ces compétences.
Au cours de mes études, j’ai fait des dizaines de présentations et j’ai communiqué professionnellement avec des centaines de personnes. Cela m’a aidé à améliorer mes compétences de communicateur, notamment pour ce qui est du langage corporel, mais par-dessus tout, cela m’a aidé à gagner en confiance. En tant que propriétaire d’entreprise, je dois donner des exposés à de petits groupes et m’entretenir quotidiennement avec d’autres professionnels du milieu des affaires. Je peux vous dire en toute confiance que je ne serais pas aussi à l’aise ni aussi bien renseigné que je le suis maintenant si ce n’avait été de mes cours en gestion des affaires.
5. Inspiration et orientation
L’école de commerce que j’ai fréquentée m’a beaucoup inspiré et m’a orienté dans le lancement de mon entreprise. Pendant des études en gestion des affaires, on apprend à connaître de nombreux professeurs et collègues de classe qui peuvent se révéler autant de sources non négligeables d’inspiration en matière de perfectionnement professionnel.
Les conseils de mentors et les encouragements de pairs peuvent être un puissant catalyseur dans la vie d’un entrepreneur. Tous ces gens peuvent nous transmettre de précieux enseignements et nous donner une idée de ce qu’il convient de faire et de ne pas faire dans l’administration de sa propre entreprise.
Au cours de mes études, de nombreux étudiants et professeurs m’ont inspiré dans mon parcours, jusqu’à ce que j’en arrive à ce que je suis aujourd’hui. Qu’il s’agisse de professeurs devenus propriétaires d’entreprises prospères ou d’étudiants ayant une entreprise sur le côté, je ne crains pas d’affirmer que tous ces gens-là ont eu un impact sur mon entreprise.
6. Activités hors programme
Une école de commerce permet d’aller au-delà des connaissances théoriques. Elle permet de découvrir d’autres domaines d’intérêt grâce aux activités hors programme, donc en dehors de la salle de classe. Ces activités aident à nouer plus de liens encore et à acquérir de nouvelles compétences ainsi qu’une plus grande expérience professionnelle.
L’adhésion à des clubs universitaires permet de travailler aux côtés d’autres étudiants pour atteindre un objectif commun. On y apprend à gérer ses responsabilités, à travailler en groupe et à acquérir de nombreuses autres compétences importantes qui s’avéreront utiles par la suite dans la direction de sa propre entreprise.
Personnellement, j’ai fait partie de l'Association Marketing de Telfer. Dans ce club, j’ai eu l’occasion de travailler à différents projets et d’établir ainsi des liens vraiment formidables. En plus de ces activités à l’École de gestion Telfer, j’ai pris part à différents concours qui m’ont permis d’acquérir de l’expérience en affaires et d’améliorer mon rendement professionnel global.
7. Accès aux ressources
La plupart des écoles de commerce offrent un soutien complémentaire pendant les études et après l’obtention du diplôme. La réussite d’une entreprise dépend de la qualité des ressources dont elle dispose et, pour un étudiant, une école de commerce donne accès à un grand nombre de ressources appréciables. De la recherche de mentors aux possibilités de financement, l’université donne accès à des ressources qui pourraient autrement être difficiles à trouver.
Pour lancer et faire croître une entreprise, il est important de pouvoir compter sur du financement. Heureusement, les écoles de commerce donnent accès à diverses subventions et possibilités de financement. Nombreuses sont celles qui administrent un fonds spécial pour les entrepreneurs en herbe et qui ont des réseaux solides permettant de présenter ses idées d’affaires à des investisseurs. Par exemple, afin de favoriser et de soutenir l’entrepreneuriat, le Carrefour de l’Université d’Ottawa a un programme de montée en puissance étalé sur quatre mois appelé le Garage Démarrage. La mission de ce programme est de fournir aux jeunes entrepreneurs le mentorat, l’environnement et le financement appropriés pour lancer une nouvelle entreprise.
L’École de gestion Telfer donne également accès à des entrepreneurs et à des mentors expérimentés. En entrepreneuriat, l’expérience est considérée comme l’un des atouts les plus importants. Trouver le bon mentor pour vous aider à mettre votre entreprise sur les rails est l’une des meilleures façons d’acquérir de l’expérience. Un mentor peut apporter les connaissances nécessaires à l’amélioration de la prise de décisions d’affaires et à l’augmentation des chances de réussite.
Pendant mes études, l’Université d’Ottawa m’a donné accès à de précieuses ressources comme un réseau solide de relations, des mentors, des bases de données et ainsi de suite. Ces ressources seront un atout pour mon entreprise pendant longtemps encore. J’ai déjà pu profiter des ressources offertes à l’université et j’ai l’intention de continuer à en tirer parti pour faire croître mon entreprise.
8. Esprit d’équipe et leadership
Devenir un bon leader n’est pas facile; il faut posséder de l’expérience, des connaissances et tout un ensemble de qualités importantes. Cependant, une seule chose peut permettre à quiconque d’améliorer ses compétences en leadership : la pratique! À l’École de gestion Telfer, les étudiants ont l’occasion de mettre leurs compétences en pratique en participant à des projets d’équipe et à des présentations. Le fait de pouvoir évoluer au sein de nombreux groupes différents pendant ses études permet de développer et de perfectionner ses compétences globales en leadership.
En marge des études théoriques, la participation à des activités parascolaires peut permettre d’acquérir des compétences en leadership et d’améliorer sa capacité à travailler en équipe. Gérer les activités quotidiennes des clubs universitaires et travailler avec ses coéquipiers pour atteindre un objectif commun sont d’excellentes façons de développer ses capacités de leadership.
À Telfer, j’ai participé à de nombreuses activités qui exigeaient un travail d’équipe. Les précieuses leçons que j’ai tirées de ce mode de collaboration et du leadership démontré dans le cadre des études, du programme d’enseignement coopératif et des activités hors programme se sont transformées en autant de compétences précieuses pour ma carrière. Ce sont des compétences que j’utilise quotidiennement dans ma gestion et qui sont d’une valeur inestimable dans la réussite de mon entreprise.
9. Travailler sur son projet d’entreprise
Les étudiants qui ont récemment lancé une entreprise ou qui aimeraient le faire pendant leurs études, peuvent demander à travailler sur leur projet dans le cadre de leurs études. Tu constateras que les mandats confiés dans de nombreux cours peuvent être pertinents à ton entreprise et tu pourras donc les reprendre à ton compte. L’occasion est excellente, car chacun a ainsi la possibilité de recevoir des commentaires pertinents de ses professeurs et d’appliquer les apprentissages théoriques à son entreprise.
Pendant mes études, certains de mes cours ont contribué à la réalisation du projet que j’avais en tête. Par exemple, certains des services qu’offre maintenant mon entreprise ont été envisagés dans mon cours « Création d’une nouvelle entreprise ». On m’a aussi confié des projets qui m’ont permis de travailler au lancement de mon entreprise, comme le site Web myMarketing.io qui a été conçu dans le cadre d’un projet de mon cours « Les technologies de marketing numérique ».
10. Amélioration de la crédibilité
Il est indéniable qu’un dirigeant ou une dirigeante d’entreprise qui détient un diplôme d’une école de commerce confère davantage de crédibilité à sa firme. Tu sais déjà qu’un diplôme aide à trouver un emploi, mais tu ne te rends peut-être pas compte qu’un diplôme aide aussi le ou la propriétaire d’entreprise à attirer des clients, des investisseurs et des partenaires.
Pour le succès de l’entreprise, la crédibilité est primordiale et celle-ci dépend de l’acquisition de clients, de la confiance des investisseurs, de la confiance des fournisseurs, de la réputation de l’entreprise et de bien d’autres choses. Un étudiant qui réussit à se bâtir une solide réputation pendant ses études en administration des affaires aura probablement beaucoup plus de succès dans son entreprise.
Tout au long de mes études universitaires à l’École de gestion Telfer, j’ai travaillé fort pour essayer de me démarquer dans chacun de mes cours. Mon travail acharné m’a permis de terminer mon programme avec l’une des meilleures notes de ma cohorte. Ce faisant, j’ai prouvé que j’étais crédible au sein de mon réseau. La crédibilité que j’ai acquise à l’école de commerce sera un atout pour moi pour le reste de ma carrière. Par-dessus tout, le diplôme que je vais recevoir lors de la remise des grades confirmera ma crédibilité de professionnel et la crédibilité de mon entreprise.
Quelques dernières réflexions
Après tout, l’école de commerce a joué un rôle important dans le lancement de ma propre entreprise de marketing numérique. Aujourd’hui, avec tant de concurrents dans cette industrie, je considère que mon expérience à l’école de commerce aura été un atout très précieux pour mon entreprise.
Je suis heureux d’avoir consacré du temps et des efforts précieux à mes études universitaires. Elles ont vraiment porté fruit et seront sans aucun doute avantageuses pour ma carrière et pour myMarketing.io pour les années à venir.
- Catégorie : La voix des étudiants
Comment as-tu payé tes études universitaires? Que répondre à cette question? Il se peut que de généreux parents les aient financées, qu’on ait bénéficié du RAFEO, ou qu’on ait reçu un prêt bancaire. Pour plusieurs, ce n’est pas une situation très positive… eh bien! dans mon cas, oui.
Le coût des études universitaires est souvent un sujet de préoccupation pour les parents et les étudiants. L’université coûte plus cher que le collège et la plupart des diplômé(e)s du secondaire se demandent si le jeu en vaut la chandelle. Je suis étudiante de quatrième année à l’École de gestion Telfer et je vais vous expliquer comment j’ai pu y arriver seule, même sans le RAFEO, et quels avantages j’en ai tirés.
Travailler à temps partiel
C’est à 17 ans, en 11e année, que j’ai commencé à travailler au Mcdonald’s de ma ville natale. J’y travaillais les après-midis, les samedis matin et parfois les nuits pour un quinzaine d’heures par semaine en tout. Bien franchement, j’ai eu beaucoup de plaisir à côtoyer nombre de mes ami(e)s du secondaire qui y travaillaient aussi, sans compter que nous étions nourris gratuitement. Et puis, j’ai appris à traiter avec des clients de tous genres : ceux qui se fâchaient de n’avoir pas eu leur plateau à breuvages ou leurs sachets de ketchup, et ceux qui, adorables, attendaient patiemment que le prochain pot de café frais soit enfin prêt. En fait, j’ai rédigé tout un article sur mon travail dans ce Mcdonald’s et sur la façon dont cette expérience m’a préparée au monde réel, ici. Je recommanderais sans hésiter à n’importe quel élève du secondaire de faire la même chose. J’ai même travaillé à temps partiel dans un McDo d’Ottawa après mon entrée à l’École Telfer, puis de nouveau dans la succursale de chez moi où j’allais passer mes étés, mais à temps plein cette fois. C’est grâce à cette formule du travail à temps partiel tout au long de mes études secondaires et universitaires, puis à temps plein durant l’été que j’ai pu économiser suffisamment pour me payer mes deux premières années d’université.
Obtenir des bourses
Jusqu’ici, je n’ai pas présenté de demande au RAFEO. Dès la première année, je me suis inscrite pour obtenir des bourses tout en continuant de travailler. J’ai toujours visé et obtenu de bonnes notes parce que je voulais plus de bourses et parce que je suis naturellement studieuse (et que j’ai une peur bleue de l’échec). Je me suis aussi engagée socialement parce qu’on m’avait dit que c’était la chose à faire. C’est ainsi que j’ai co-fondé le Réseau de femmes en gestion et que j’ai été ambassadrice du Centre des carrières, puis chargée de projet pour le souper d’affaires de TECDE (Club des entrepreneurs). De bonnes notes et une participation à la vie de la faculté sont de bons moyens d’obtenir des bourses. J’en ai reçu quelques-unes par année scolaire, qui m’ont permis de couvrir mes frais pour la majeure partie du semestre, d’où leur utilité. Il est facile de présenter une demande en passant par uOzone et, même si le processus d’approbation est long, cela en vaut vraiment la peine. On trouve aussi beaucoup de bourses dans la communauté qui nécessitent un peu plus de temps de recherche et de préparation, puisque certaines exigent une dissertation, mais consacrer une semaine à cet exercice pour obtenir à terme des milliers de dollars est un très bon investissement. Je suis étudiante en administration des affaires, alors crois-moi!
Placements
Bon, un peu plus haut, j’ai affirmé n’avoir pas bénéficié du RAFEO. En vérité, en quatrième année, j’ai accidentellement fait payer mes frais de scolarité par le Régime après avoir oublié de cocher la case « Je ne veux pas de prêt » dans ma demande de subvention. Résultat : le paiement est tombé automatiquement. Comme j’avais déjà réuni la somme nécessaire pour le semestre, je l’ai investie dans un certificat de placement garanti (CPG) de ma banque, me disant qu’au bout d’un an, je pourrais rembourser le RAFEO après avoir encaissé des intérêts sur mon placement. Je ne dis pas que c’est ce que tu devrais faire, mais c’est ce que j’ai fait pour tirer le meilleur de la situation, puisqu’il ne m’avait pas été possible d’annuler ma demande de RAFEO sur le champ. Un conseil donc : n’oublie pas de cocher la case indiquant que tu ne veux pas de prêt. Par contre, dépose une demande de subvention.
Pourquoi ai-je financé moi-même mes études universitaires?
Si tes parents sont prêts à payer tes frais de scolarité, c'est tant mieux! Personnellement, j’ai trouvé extrêmement gratifiant de financer mes propres études parce que j’en suis venue à les apprécier encore plus. Les fois où j’ai envisagé de sauter un cours (ce qui n’est jamais arrivé, bien sûr…), j’ai toujours pensé à ce que ça me coûterait. Cela m’a motivée à ne jamais lâcher. Même quand c’était difficile, je savais que j’investissais dans mon avenir (du moins, je l’espère). C’est aussi bien d’être indépendante et de savoir que je n’ai pas de dette réelle. Mon seul conseil est donc : trouve-toi un travail. Je sais que ça peut sembler basique et évident, mais honnêtement, c’est vraiment la seule chose qu’on puisse faire, surtout si l’on doit se débrouiller par soi-même. Et si tu as des réserves sur l’idée de travailler tout en étudiant, laisse-moi te dire que c’est tout à fait faisable. Je ne saurais même pas quoi faire de mon temps si j’étudiais à temps plein sans travailler en parallèle. Évidemment, chacun a sa manière d’apprendre et certains doivent consacrer plus de temps que d’autres à leurs études. Personnellement, j’ai trouvé préférable de me tenir occupée, de travailler tout en allant à l’université, cela pour mieux encadrer mon temps et avancer, histoire d’avoir moins l’occasion de me perdre en procrastination (ce qui m’arrive encore, cependant). De plus, c’est tout de même assez chouette d’être indépendante quand on vit seule. On peut manger du gâteau à la place du souper et il n’y a personne pour essayer de t’en empêcher!
Comment ai-je payé mes études universitaires?
J’aurai donc entièrement payé mes études universitaires en travaillant parfois à temps plein, le plus souvent à temps partiel, en plus de mes bourses… sans oublier mes placements. Cela a fait de moi une meilleure personne et ce n’est pas fini. J’ai appris à équilibrer beaucoup de choses dans ma vie, à obtenir de bonnes notes et à trouver quand même du temps pour me détendre, pour avoir du plaisir et une vie sociale. Si j’ai pu le faire, toi aussi tu le peux certainement.
Instagram : @sonyagankina
- Catégorie : Annonces Telfer
Le 9 novembre 2019, 90 étudiants des écoles secondaires francophones de l’Ontario sont venus à Ottawa pour participer à la compétition d’études de cas Place à la jeunesse de l’École de gestion Telfer.
Chaque année, Place à la jeunesse est organisée par des étudiants de Telfer pour initier les élèves du secondaire au monde des affaires et les préparer à l’université. Dans le cadre de la 16e compétition qui s’est tenue cette année, 30 équipes de 90 écoles ont été sélectionnées pour tester leurs compétences en études de cas. Les étudiants ont participé à l’un des quatre volets suivants de la compétition : marketing, comptabilité, entrepreneuriat ou débat oratoire.
L’événement a commencé le soir précédant la compétition et les étudiants de Telfer ont animé des ateliers sur les techniques de PowerPoint, de résolution de problèmes et de présentation, afin d’encadrer les élèves du secondaire qui n’avaient jamais participé à ce type d’activité auparavant. Le lendemain, les équipes ont reçu leurs études de cas, ont élaboré des solutions et les ont présentées aux juges. Les lauréats ont reçu des commanditaires des bourses d’études à l’Université d’Ottawa totalisant 82 500 $.
L’École de gestion Telfer souhaite féliciter les gagnants de chaque catégorie :
Marketing
1re place: Emma Iusan, Vanessa St-Denis et Julianne Lacelle de l’ÉSC L’Escale
2e place: Ashley Edouard, Elyse-Anne Bordeleau et Saïma Altimo du CC Samuel-Genest
3e place: Kara D’Arcangelo, Chloé Emery et Christian Ricard de l’ÉSC Thériault
Comptabilité
1re place: Marika Brunet, Emma Phillips et Annabel Clément de l’ÉSC L’Escale
2e place: Mélodie Chartrand, Jade Poirier et Julien Lemieux de l’ÉSCR de Hawkesbury
3e place: Alexa Caron, Keenan Roy et Emma Bertrand de l’ÉSC Thériault
Concurrente remarquable: Marika Brunet
Entrepreneuriat
1re place: Lyra Sheldon, Cameron Chevalier et Mathias Lazure de l’ÉSC E.J. Lajenesse
2e place: Alexis Jeaurond, Laurie Boucher et Maxim Sauvé-Rozon de l’ÉSP Le Sommet
3e place: Patrick Ibrahim, Simon Willemsma et Cyril Fayek de l’ÉS Père-René-De-Galinée
Débat oratoire
1re place: Lia Charleois, Cassandra Joly et Catherine Vaillant de l’ÉSCR de Hawkesbury
2e place: Nathalie Shuh, Sarah Clouston amd Anne-Sophie Autale de l’ÉSP Le Sommet
3e place: Delhia Mainville, Kassandra Marleau et Marie Luciani-Grimaldi de l’ÉSC de Plantagenet
Meilleurs présentateurs
Marketing: Kara D’Arcangelo
Comptabilité: Mélodie Chartrand
Entrepreneuriat: Maxim Sauvé-Rozon
Débat oratoire: Marie Luciani-Grimaldi
- Catégorie : Annonces Telfer
Alexander est doctorant à l’École de gestion Telfer où il se spécialise dans les systèmes de santé. Il s’intéresse à l’application des méthodes d’analyse et de systèmes d’information de gestion aux enjeux liés à la santé, et plus particulièrement dans le secteur de la technologie mobile appliquée à la santé.
Il est titulaire d’une maîtrise ès sciences en systèmes de la santé avec une spécialisation en durabilité de l’environnement de l’Université d’Ottawa, et d’un diplôme de premier cycle en biologie de l’Université Carleton. Son mémoire de maîtrise portait sur la définition officielle, la mesure et la simulation de l’état de préparation des communautés côtières aux événements environnementaux catastrophiques.
Après avoir obtenu sa maîtrise, Alex a travaillé comme chercheur et expert-conseil indépendant en gestion tout en enseignant à temps partiel à l’École de gestion Telfer. Il a eu l’occasion de travailler sur divers sujets, notamment l’application de l’analyse d’options réelles et de la modélisation financière à l’industrie de l’énergie solaire en Ontario, ou encore la modélisation de la manière dont les organisations utilisent les médias sociaux pour prévoir les problèmes susceptibles de survenir. Alex s’intéresse aussi à la gestion des pêches et a participé, avec le gouvernement et le secteur privé, à plusieurs projets concernant la gestion des pêches et des zones côtières canadiennes.
Alex est membre de la Canadian Association of Management Consultants (Eastern Ontario Chapter Council) où il est responsable du marketing et des médias sociaux. Pendant son temps libre, il aime voyager, jouer au volleyball et faire du vélo ainsi que réparer ses nombreuses bicyclettes.
Alex est le récipiendaire de la bourse doctorale Lilian et Swee Chua Goh, la première bourse d’admission créé par des donateurs pour des candidats au doctorat à l’École de gestion Telfer.
Pour en savoir plus sur le doctorat en gestion.
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La voix des étudiants
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