Blogue de carrière
La semaine de lecture arrive à grands pas ! Pour certains, ce sera un repos bien mérité après la frénésie des travaux de mi-trimestre, tandis que pour d’autres, ce sera assurément un bloc ininterrompu d’étude. Quelle que soit la façon dont vous envisagiez de passer cette semaine, une chose est sûre : vous n’avez probablement aucune intention de la passer à parfaire votre image professionnelle. Vous serez sans doute chez vous, en compagnie de vos parents et amis, ou encore à dévorer votre série préférée sur Netflix. « Réseauter pendant la période d’étude ? Très peu pour moi ! » Mais si je vous disais qu’il existe plusieurs moyens simples et intéressants de le faire pendant cette pause tant attendue, me prêteriez-vous l’oreille ?
Le réseautage n’est pas l’unique moyen de se frayer un chemin dans le monde professionnel, et en voici la preuve. Découvrez trois façons de consolider votre développement de carrière.
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Utilisez YouTube à des fins éducatives
Saviez-vous que nous passons en moyenne plus de deux heures par jour sur nos diverses plateformes numériques ? Pourquoi ne pas utiliser ce temps pour regarder des capsules éducatives telles que des conférences TED ? Il en existe des milliers traitant de différents sujets, y compris sur le réseautage et sur le monde des affaires. Pensez-y la prochaine fois que vous essaierez de faire bonne impression à un événement de réseautage ou à une entrevue.
Consultez ici celle d’Isaac Serwanga sur le réseautage (en anglais).
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Faites d’Eventbrite votre meilleur ami
Eventbrite permet à ses usagers de consulter, de créer et de promouvoir des événements locaux. Grâce aux paramètres de recherche, vous pouvez trouver des événements liés aux affaires aux dates qui vous conviennent. Vous désirez mettre en pratique les conseils que vous avez appris dans une conférence TED ? Eventbrite regorge d’événements de réseautage et d’ateliers axés sur diverses compétences (communication, leadership, informatique, etc.)
Découvrez ici ce qu’on vous propose sur Eventbrite du 17 au 24 février 2020 à Ottawa.
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Peaufinez votre image
Pour tout étudiant de Telfer, le profil LinkedIn revêt une importance cruciale : c’est un moyen d’entrer en contact avec des professionnels et d’être au parfum. Si vous n’en avez pas un déjà, créez-en un sans tarder ! Profitez de la période d’étude pour prendre votre photo de profil. Encore mieux : faites‑vous faire une carte professionnelle ! C’est un moyen efficace de faire bonne impression à la fin d’une discussion avec un professionnel.
Ça vous intéresse ? Consultez le site de Vistaprint et commencez à explorer les différents modèles.
Pour tout dire, votre image professionnelle dépend des efforts que vous y investissez. Certes, votre période d’étude sera occupée. Cela dit, je vous invite à prendre un moment pour poursuivre votre développement de carrière. Bonne chance !
L’évaluation de soi et la croissance personnelle constituent des étapes fondamentales qui vous offrent une meilleure compréhension de votre personnalité et du type de carrière qui vous convient. Elles vous aident à mieux définir votre personnalité et vos intérêts au moyen d’outils tels que l’indicateur de types psychologiques Myers-Briggs (Myers-Briggs Personality Type Indicator ou MBTI) et l’inventaire des intérêts professionnels Strong.
L’atelier Qui suis-je : connaissance de soi et tests de carrière (en anglais) se déroule en deux temps. Au cours de la première rencontre, vous vous familiarisez avec les outils d’évaluation, découvrez ce à quoi vous devriez vous attendre tout au long du processus et effectuez des activités d’auto-évaluation et de définition de vos objectifs de carrière. Au cours de la seconde rencontre, la semaine suivante, vous recevez vos résultats aux tests de personnalité et d’intérêts ainsi que leur interprétation.
Vos réponses au test MBTI indiquent votre préférence pour chacune des paires d’opposés suivantes : introversion-extraversion, sensation-intuition, pensée-sentiment et jugement-perception. Chaque préférence est indiquée par une lettre, et un type formé de quatre lettres est établi et accompagné d’une description. Il existe 16 types de personnalité, et chacun d’entre eux offre de précieuses indications sur le caractère d’une personne.
Extraversion-introversion
Cette dichotomie a trait à la source et à l’orientation de l’énergie. Où préférez‑vous concentrer votre attention ? Où puisez-vous votre énergie ? Les personnes extroverties peuvent être décrites comme étant enthousiastes, actives et sociables. Les personnes introverties, en revanche, sont plus calmes, réservées et tranquilles.
Sensation-intuition
Cette paire d’opposés décrit la façon de percevoir ou d’absorber l’information. Les personnes qui préfèrent s’en remettre à leurs sensations tendent à être pragmatiques et assimilent l’information concrète, notamment les faits et les détails. Les personnes intuitives envisagent plutôt les choses dans leur ensemble et font habituellement preuve d’imagination.
Pensée-sentiment
Cette paire concerne la manière dont vous tirez des conclusions. Comment prenez‑vous des décisions ? Les personnes qui s’appuient davantage sur la pensée se concentrent sur la tâche à accomplir. Elles sont analytiques et soupèsent les avantages et les inconvénients de chaque situation. Les personnes qui se fient davantage à leurs sentiments se concentrent quant à elles sur le processus et prennent en compte leurs valeurs personnelles et les valeurs sociales lorsqu’elles prennent des décisions.
Jugement-perception
La dernière paire d’opposés répond à la question suivante : Comment interagissez-vous avec le monde extérieur ? Les personnes plus enclines au jugement tirent des conclusions rapidement et adoptent une approche planifiée et organisée. Les personnes qui privilégient la perception recueillent plus de renseignements avant de tirer une conclusion et accordent de l’importance à la souplesse.
Il est probable que vous vous intéressiez à des carrières qui vous permettront de tirer parti des préférences naturelles associées à votre type psychologique. Cette combinaison de quatre lettres influera sur le type de carrière qui vous attire et orientera votre cheminement professionnel.
Cherchez l’atelier Qui suis-je : connaissance de soi et tests de carrière (en anglais) dans Destination carrière et inscrivez-vous pour avoir une meilleure compréhension de vous-même et de votre type de personnalité ! Pour en savoir plus sur les tests de carrière ou pour obtenir vos résultats et en discuter, prenez rendez‑vous pour une consultation individuelle avec la conseillère en carrière.
Lentement mais sûrement, au fur et à mesure que vous évoluerez à l’École de gestion Telfer et intégrerez le milieu des affaires, vous aurez à revêtir une « tenue professionnelle », que ce soit à une entrevue ou à un événement de réseautage. À l’instar de la technologie et du monde du travail, la conception de « tenue professionnelle » s’est transformée considérablement au cours des dernières décennies. Il vaut donc la peine de revisiter ce code vestimentaire et de défaire certains des mythes qui en font une notion trop compliquée et contraignante.
Mythe no 1 : Il faut tout coordonner.
Si les tailleurs-jupes, tailleurs-pantalons et costumes deux-pièces demeurent des valeurs sures de la garde-robe professionnelle, il se peut que vous trouviez le tout un peu trop formel, oppressant ou similaire à un déguisement. Heureusement, une merveilleuse solution de rechange s’offre à vous : les hauts et les bas habillés interchangeables, comme un pantalon ou une robe/jupe habillés et un blazer d’une couleur différente. Exemples : une robe droite prune portée sous un blazer noir; un pantalon habillé marine et un blazer charbon; une jupe crayon gris perle et un blazer crème, etc.
Astuce : N’essayez pas d’agencer un haut et un bas de la « même » couleur comme s’il s’agissait d’un tailleur ou d’un costume; si vous combinez un haut et un bas qui ne sont pas taillés exactement dans la même matière, assurez-vous qu’ils sont de couleurs assez contrastantes. Et oui, vous pouvez tout à fait marier le marine et le noir. ;0)
Mythe no 2 : Le noir est toujours le meilleur choix.
Si vous envisagez d’acheter un nouveau costume ou tailleur (ou votre tout premier !), et que vous songez à le choisir noir, pensez-y à deux fois avant de faire un tel investissement. Si le noir est une couleur conservatrice qui évoque l’autorité, il peut avoir l’air sévère sur beaucoup de gens. Si vous trouvez que le noir vous donne un air terne, essayez une autre couleur neutre sombre comme marine, charbon, gris souris, olive ou, si vous avez le teint très pâle, bleu acier.
Astuce : On devrait réserver les costumes et tailleurs noirs à des occasions formelles très précises (obsèques, galas, mariages, etc.)
Mythe no 3 : Une couturière ou un tailleur, ce n’est bon que pour les ourlets.
Les costumes, tailleurs et vêtements mal ajustés, aussi chers et luxueux soient-ils, ne vous donneront jamais l’air professionnel. Et il est probable que même les blazers, vestons, jupes et pantalons les mieux ajustés que vous puissiez trouver en magasin ne vous fassent pas tout à fait à 100 %. La bonne nouvelle, c’est que couturiers et tailleurs sont des faiseurs de miracles : ils peuvent réaliser une myriade de retouches qui feront passer votre vêtement de « passable » ou de « visiblement emprunté » à « WOW ! »
Astuce : Si les retouches ne sont pas incluses avec votre achat, prévoyez dépenser entre 10 $ et 35 $ par vêtement pour obtenir un ajustement parfait qui vous vous donnera fière allure.
Mythe no 4 : Une tenue professionnelle, ça peut sembler étrange et inconfortable… et c’est normal.
Si vous ne « sentez pas » une tenue donnée, vous ne tromperez personne. Si un vêtement professionnel ne rehausse pas immédiatement votre degré d’assurance, c’est qu’il n’est tout simplement pas pour vous. Trouvez ce qui vous convient : tous les banquiers ne portent pas un costume à rayures, et toutes les apprenties comptables ne portent pas un veston sévère en laine bouclée avec un rang de perles. Tous les hommes ne se sentent pas à l’aise dans un costume prince‑de-Galles, et toutes les femmes ne se plaisent pas en talons hauts et en jupe crayon. Prenez le temps de vous familiariser avec ce qui vous convient, et suivez votre instinct.
N’oubliez pas : Votre tenue professionnelle vous appartient, et c’est vous qui la portez, et non l’inverse.
Mythe no 5 : Il faut éviter à tout prix la moindre touche personnelle.
Se conformer à un code vestimentaire exigeant une tenue professionnelle ne signifie pas qu’il faille s’abstenir complètement d’exprimer sa personnalité. Il est tout à fait approprié d’intégrer un bijou vintage, des escarpins colorés (à bout fermé), des chaussettes à motif, un haut à volants ou une cravate de couleur vive à sa tenue, tant et aussi longtemps que ces éléments soient de bon ton et que l’ensemble dise : « Je suis prêt. Je suis brillant. Je suis compétent. »
Astuce : Si votre instinct vous dit qu’une tenue ou un vêtement ne conviendrait pas à une rencontre avec le premier ministre, alors il est probable que ça ne soit pas conforme au code vestimentaire exigeant une « tenue professionnelle ».
J’espère que cet article facilitera votre sélection d’une tenue professionnelle dans le futur. N’oubliez pas : Dans toute circonstance où vous devez afficher aisance et assurance, comme une entrevue ou un événement de réseautage, la clé est de s’y préparer. N’attendez pas à la dernière minute pour décider ce que vous porterez : trouvez quelques solutions, demandez l’opinion de vos proches, et photographiez-vous de la tête aux pieds pour avoir une meilleure idée.
De tous les codes vestimentaires, la « tenue d’affaires décontractée » est certainement la plus difficile à définir, et pourtant la plus courante en milieu de travail. Pour la majorité des étudiants de Telfer, cette notion omniprésente peut s’avérer aussi indéchiffrable que les concepts comptables les plus avancés. Pratiquement absente de la sphère professionnelle jusqu’au milieu des années 1960, la « tenue d’affaires décontractée » a évolué pour devenir une norme dans de nombreux milieux de travail. Pourtant, il n’existe aucune définition claire de ce que la tenue d’affaires décontractée constitue ou devrait être. Voici quelques conseils qui vous aideront à saisir ce code vestimentaire et à vous présenter au travail sous votre meilleur jour sans commettre d’impair.
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Observez et apprenez
L’un de principaux indicateurs de la manière dont vous devriez vous vêtir dans un milieu de travail exigeant une tenue d’affaires décontractée est la manière dont s’habillent la majorité des employés à votre échelon ou à l’échelon supérieur. Les premiers jours, mieux vaut être prudent et choisir des tenues plus conservatrices et habillées, le temps de tâter le terrain. Au cours des deux premières semaines, soyez attentif à ce que portent vos collègues et votre supérieur immédiat, et prenez des notes : la culture organisationnelle vous guidera dans la bonne direction.
N’oubliez pas : Porter une tenue plus habillée que nécessaire n’offensera personne et plaira aux regards avisés, alors qu’une tenue trop décontractée pourra être perçue comme un manque de soin ou de respect. Dans le doute, relevez le niveau.
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Trouvez l’équilibre
En règle général, adopter une tenue d’affaires décontractée consiste à ancrer un vêtement décontracté avec un autre, impeccable, parfaitement coupé et repassé. Par exemple, vous pourriez combiner une chemise col boutonné et un jean foncé (vérifiez d’abord auprès de votre gestionnaire si le denim est accepté), ou encore un pantalon élégant et un polo. Vous pourriez aussi porter un haut ou une blouse en jersey avec un pantalon 7/8, ou encore une robe droite imprimée sous un blazer uni structuré.
N’oubliez pas : Quelle que soit la combinaison que vous choisissiez, assurez-vous d’y ajouter la chaussure appropriée. La chaussure détermine très souvent le ton général d’une tenue.
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Privilégiez l’uniformité
Les étudiants en marketing le savent déjà : l’un des facteurs clés d’une image de marque réussie est l’uniformité. Le même principe qui s’applique aux grandes marques s’applique à votre style : maintenir une image uniforme au travail vous aidera à établir votre crédibilité et à susciter la confiance. Comment y arriver ? En créant une garde-robe capsule exclusivement pour le travail, ou en sélectionnant un certain nombre de combinaisons gagnantes représentant une palette de 8 ou 9 couleurs maximum.
N’oubliez pas : Vous pouvez toujours vous réinventer aussi souvent que vous le désirez à l’extérieur du travail ! La vingtaine est la période idéale pour expérimenter divers styles.
« Votre tenue devrait correspondre au degré de respect et de confiance que vous souhaitez inspirer chez les autres. »
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Pensez blazers
Quel que soit le genre auquel vous vous identifiez, le blazer structuré et bien coupé constitue la bête de somme de la garde-robe professionnelle, car il peut élever presque n’importe quelle tenue et rehausser le niveau d’assurance. Un volume croissant de recherche sur la cognition vestimentaire, ou le pouvoir qu’ont nos vêtements d’influencer nos pensées et notre perception de nos capacités, suggère que porter un blazer ou un costume peut renforcer l’estime de soi et la productivité.
N’oubliez pas : Choisissez des tons sombres, comme marine, charbon, rouge Bordeaux ou vert forêt, car ils évoquent l’autorité.
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« d’affaires » l’emporte sur « décontractée »
Les tailleurs et costumes deux-pièces s’avèrent peut-être trop formels pour votre milieu de travail, car ils ont souvent l’air austères et peuvent créer une distance indésirable entre vous et vos clients quand vous voulez au contraire paraître aimable et accessible. Cela étant dit, votre tenue devrait correspondre au degré de respect et de confiance que vous souhaitez inspirer chez les autres. Évitez à tout prix les gros logos, les illustrations offensantes, les vêtements déchirés, élimés, ou encore trop révélateurs, de même que les vêtements athlétiques que vous portez pour faire du sport.
N’oubliez pas : Dans l’expression « tenue d’affaires décontractée », « d’affaires » vient avant « décontractée ».
J’espère que ces quelques conseils vous aideront à prendre des décisions plus judicieuses la prochaine fois que vous aurez à adopter une « tenue d’affaires décontractée ». Gardez l’œil ouvert : si vous remarquez qu’un collègue ou un camarade de classe dégage beaucoup d’assurance et inspire la confiance, essayez de relever les patrons dans la manière dont il/elle se vêtit, et voyez si vous pouvez en dégager une formule qui vous conviendra à vous !
L’image de marque. En tant qu’étudiants en commerce, ça nous connaît. Nous devons savoir ce que c’est. C’est une question de survie.
D’accord. J’exagère peut-être un peu, mais ce n’est pas entièrement faux. Une école de commerce est un milieu naturellement compétitif, et comme on vous l’a répété mainte et mainte fois, vous devez apprendre à vous distinguer. Nous savons comment y arriver : nous devons réseauter, participer à des activités parascolaires, faire du bénévolat, et j’en passe. Et c’est la vérité : à défaut de nous mobiliser et de réseauter au sein de notre communauté, nous n’aurons aucune longueur d’avance face à toute cette concurrence. Cependant, si je vous écris tout ceci aujourd’hui, ce n’est pas pour vous dire ce que vous savez déjà. En tant que camarade de l’École Telfer, je veux vous rappeler que votre image de marque portera ses fruits si elle demeure personnelle et, comme l’expression le suggère, vôtre.
En qualité d’étudiants, vous avez sans doute remarqué le manque de personnalité autour de vous, voire en vous-même. Nous tendons à séparer, d’une part, notre personnalité, nos véritables passions et les facettes personnelles de notre vie et, d’autre part, notre identité « d’affaires » que nous associons à notre image de « marque ». L’image de marque, c’est l’impression ou la représentation précise de soi que l’on s’efforce de laisser dans l’esprit des gens. C’est essentiellement une forme de marketing, et nous avons tendance à croire que le marketing consiste à mettre en relief le bon et à camoufler le mauvais. Or, lorsqu’il s’agit de vous créer une image de marque personnelle, la meilleure façon de vous distinguer auprès de vos pairs, des employeurs, des professeurs et des membres de votre réseau LinkedIn, c’est d’afficher toutes vos facettes. Votre personnalité. Votre véritable attitude. Vos passions. En d’autres mots, demeurez authentique, même lorsque vous établissez une image précise dans le monde des affaires.
Demeurer authentique, c’est agir en accord avec sa marque. Si vous dites aux employeurs que vous rencontrez à une activité de réseautage que vous vous passionnez pour la finance et que vous avez un fort esprit d’équipe, demandez-vous si vous incarnez ces caractéristiques dans la vie de tous les jours. Communiquez-vous habilement avec vos camarades de classe dans les projets de groupe ? Parlez-vous de finance en dehors du cadre scolaire ? Si ce n’est pas le cas, vous n’êtes pas vraiment authentique, et les employeurs finiront par s’en rendre compte.
Laissez-moi vous donner un peu de contexte. J’étudie les ressources humaines, et bien que la concurrence dans ce secteur soit moins féroce que dans d’autres domaines de spécialisation, je dois déployer des efforts pour atteindre mes objectifs et trouver un emploi au terme de mes études, au sein d’une entreprise qui me parle vraiment. Pour y arriver, je me suis jointe à l’Association des ressources humaines et je suis devenue ambassadrice du Centre des carrières. Or, d’autres étudiants le font aussi. Qu’est-ce qui me distingue réellement ? Eh bien, j’essaie de demeurer authentique dans tout ce que j’entreprends. Je me passionne réellement pour le champ des ressources humaines, et mes collègues de l’Association peuvent le confirmer. J’adore occuper un poste de direction, et les camarades avec qui je réalise des projets de groupe le savent fort bien. Mon image de marque correspond donc tout à fait avec la dimension professionnelle de ma personnalité, dimension qui, en fin de compte, me correspond elle aussi.
J’espère qu’en écrivant ces quelques lignes, je vous aurai encouragé à demeurer vous‑même dans tout ce que vous entreprenez. N’ayez pas peur de vous exprimer et de faire valoir les idées qui vous passionnent : de cette manière, vous agirez toujours en accord avec l’image de marque que vous diffusez autour de vous, que ce soit auprès de vos pairs, de vos coéquipiers et des employeurs. Et croyez-moi, ce que vos pairs savent de vous, les employeurs finiront par le savoir également.