Blogue de carrière
- Détails
Meredith Silverman est une étudiante en quatrième année de comptabilité à Telfer et une ambassadrice du Centre des carrières. Dans son entrevue pour la série Les gens de Telfer, elle nous fait part de son expérience comme ambassadrice etétudiante du régime coop.
Q. Quel est votre meilleur souvenir de Telfer ?
R. Mon meilleur souvenir de Telfer est d’avoir travaillé comme ambassadrice du Centre des carrières. J’aime écrire différents blogues de carrière, car j’apprends quelque chose de nouveau à chaque fois tout en aidant mes pairs dans leur propre cheminement de carrière. La série Les gens de Telfer demeure également un moment fort de chaque trimestre, car j’adore entendre les récits des étudiants de Telfer avec qui je m’entretiens.
Q. Pourquoi avez-vous décidé de participer au programme d’enseignement coopératif, et comment cette décision a-t-elle influé sur vos objectifs scolaires et professionnels ?
R. J’ai choisi de participer au programme d’enseignement coopératif, car c’est un excellent moyen de gagner une expérience professionnelle pertinente. Quelle que soit votre spécialisation à Telfer ou à une autre faculté, la meilleure façon d’apprendre est de mettre la théorie en pratique. Je recommande vivement cette option à tous les étudiants. Le programme m’a permis de décrocher plusieurs postes au sein d’un cabinet d’expertise comptable, tant en fiscalité qu’en certification, ce qui m’a permis de mettre en application les théories comptables fondamentales que j’ai apprises dans mes cours à Telfer tout en continuant d’élargir mes connaissances.
Q. Quels sont vos projets au terme de vos études ?
R. J’ai hâte d’utiliser toutes les connaissances que j’ai acquises au cours de mon passage à Telfer pour obtenir mon titre de CPA. Tous les cours que j’ai suivis à Telfer et que je suivrai au cours de ma dernière année auront contribué à cet accomplissement. Le titre de CPA me permettra d’exercer comme comptable professionnelle agréée, soit dans un cabinet d’expertise comptable, soit au gouvernement.
– Meredith Silverman
Étudiante de 4e année en comptabilité et ambassadrice du Centre des carrières
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

- Détails
Combien d’entre nous reçoivent des communications de Telfer sans prendre la peine de les lire ? Combien entendent parler d’événements de réseautage, mais hésitent à y participer ? Combien ignorent que Telfer a un Centre des carrières qui accompagne étudiants et diplômés sur le marché du travail ? Il y a un an environ, je faisais partie de cette catégorie d’étudiants. C’est grâce à mes deux stages au Centre des carrières que j’ai compris la valeur de ce service pour les étudiants de Telfer.
Une occasion inattendue
Il n’y a pas si longtemps, je ne connaissais rien du Centre des carrières de Telfer. Tout cela a changé lorsque l’équipe des Programmes d’enseignement coopératif m’a suggéré de poser ma candidature au Centre des carrières. J’étais sur le point d’abandonner l’idée de trouver un troisième stage en pleine pandémie. C’est ainsi que je suis devenue agente de projets au Centre des carrières de l’École de gestion Telfer.
Une équipe tricotée serrée
Dès ma première semaine, j’ai compris que ce stage serait riche en apprentissages et que je faisais désormais partie d’une équipe soudée (ou plutôt d’une famille) composée de neuf femmes ambitieuses et dévouées. Leur devise ? S’entraider pour mieux réussir. Leur objectif no 1 ? Continuer coûte que coûte d’offrir aux étudiants de Telfer des services de qualité en mode virtuel.
Un travail acharné
Le saviez-vous ? Derrière tous les ateliers, les événements et les rendez-vous offerts par le Centre des carrières se cachent une logistique complexe, un travail assidu et une quête constante d’excellence. Un événement comme RéseauT ou le panel virtuel des diplômés exige des semaines de réflexion entre collègues et d’échanges avec les employeurs et les panélistes. Avoir participé à la réussite de tels projets demeure l’une des expériences les plus enrichissantes que j’aie vécues au cours de mes années à Telfer.
Plus qu’un travail : une mission
Je me souviens de ce que m’a dit l’une de mes collègues, Véronique Bélinge, à l’une de nos rencontres d’équipe hebdomadaires : « Lorsque j’accompagne des étudiants dans leur processus d’embauche et qu’ils finissent par obtenir un emploi, je ressens un immense sentiment de satisfaction. Le succès professionnel de nos étudiants, c’est notre raison d’être. » J’ai compris alors que j’étais entourée de professionnelles profondément passionnées par leur travail.
Plus qu’un stage : une expérience transformatrice
Je profite de ces quelques lignes pour rendre hommage à tous les membres de l’équipe. Au nom des étudiants de Telfer, merci de vos efforts et de votre travail acharné. Grâce à vous, j’ai vécu une expérience sans pareille et riche en accomplissements. Et même dans un milieu de travail virtuel, on m’a accueillie chaleureusement et j’ai éprouvé rapidement un sentiment d’appartenance. Je tiens aussi à exprimer ma reconnaissance toute spéciale à Karianne Lessard, qui m’a accompagnée et soutenue sans relâche tout au long de mon temps au Centre des carrières et qui a toujours fait preuve d’une grande écoute.
MERCI À VOUS TOUS.

- Détails
« ...Étudier à Telfer m’a vraiment poussée à tirer parti d’occasions uniques qui ne m’auraient pas été accessibles autrement... »
« L’un des aspects que j’aime le plus de Telfer est la diversité des personnes qui composent la population étudiante. J’ai tissé beaucoup d’amitiés serrées avec des gens d’autres pays, et j’ai appris énormément au sujet d’autres cultures !
J’ai choisi Telfer en raison de la possibilité d’y poursuivre mes études en français et après avoir entendu de très bonnes choses au sujet de ses professeurs chevronnés. Je crois qu’étudier en français est particulièrement important dans un pays où c’est une langue officielle; cela m’ouvrira des débouchés additionnels lorsque j’entrerai sur le marché du travail très bientôt.
Je suis surtout très enthousiaste à la perspective d’entreprendre mon tout premier stage coop l’été prochain et de me spécialiser davantage dans le cadre de mon programme au cours des deux prochaines années. Dans le futur, j’aimerais démarrer ma propre entreprise et mettre à profit l’expérience et le savoir que j’aurai acquis à Telfer. Étudier à Telfer m’a vraiment poussée à tirer parti d’occasions uniques qui ne m’auraient pas été accessibles autrement. Je suis très heureuse d’avoir choisi cette faculté. »
– Zineerah Sheikh, étudiante de 2e année (gestion des technologies d’affaires), régime coop
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

- Détails
« Telfer m’offre une occasion unique de poursuivre mes études en français et en anglais et de participer à un stage coop en mobilité. Grâce aux relations professionnelles que j’ai établies et à ma capacité de communiquer en français et en anglais, j’ai eu l’occasion de voyager au Canada au cours de mon stage coop. Je vous recommande de participer aux salons de l’emploi, ne serait-ce que pour vous exercer : vous utiliserez ces aptitudes de communication tous les jours à l’école et au travail. N’attendez pas à une entrevue l’« occasion d’une vie » pour vous initier au réseautage ! »
– Lauren Saly,
Étudiante de 3e année en comptabilité (régime coop)
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.

- Détails
Dernièrement, j’ai réfléchi à mon premier stage de travail dans le cadre du programme co-op. J’ai tant appris dans ma deuxième année d’université, c’est fou. Cet été, en particulier, a été une période d’apprentissage continu et je vais vous en parler ici.
Avant
Lorsque j’ai commencé mon processus de recherche de placement cet hiver, je ne savais pas du tout si je voulais garder l’emploi que j’avais déjà et l’occuper à temps plein pendant l’été ou si je voulais me soumettre au processus de sélection pour trouver un autre emploi. Cette période a été plutôt stressante pour moi parce que je me disais, littéralement : « Cette décision définira la prochaine année de ma vie! ». Ça peut sembler extrême, mais je pense que nous nous sommes tous une fois ou l’autre retrouvé dans des situations comme celle-ci.
Le personnel du bureau co-op comprenait bien ma situation. J’ai quand même regardé les emplois sur le navigateur et j’ai même passé des entrevues pour certains d’entre eux. Bien que l’expérience ait été utile, j’ai finalement décidé de garder mon poste pour l’été. Si vous avez trouvé votre propre placement, c’est génial, bravo! Une telle autonomie signifie que vous êtes capable de trouver votre propre emploi, ce qui vous sera très utile à l’avenir.
Pendant
J’ai commencé à travailler en décembre chez seoplus+, une agence de marketing numérique établie à Ottawa, et quand l’été est arrivé, je m’y sentais à l’aise et bien accueillie. Au début du stage, j’ai commencé à assumer mes nouvelles fonctions, celles de spécialiste subalterne du marketing numérique. En quoi consistait mon poste? Eh bien, j’étais chargée des campagnes de médias sociaux pour plusieurs clients différents, j’ai travaillé sur les listes de Google My Business, et j’étais responsable du téléchargement d’articles de blogue sur les sites Web WordPress.
Tout au long de mon stage, j’ai pu affiner non seulement mes compétences techniques en marketing numérique, mais aussi ma capacité à travailler au sein d’une équipe au quotidien et à temps plein. S’adapter à une semaine de 40 heures comparativement à un trimestre de cours réguliers à l’université n’est pas chose facile, mais j’ai aimé avoir une routine fixe et j’arrivais mieux à planifier mon temps. Entendons-nous bien, il me reste encore à régler mon horaire de sommeil et à apprendre à bien planifier la préparation de mes repas.
Après
Dans l’ensemble, la période avant le début de ce premier stage n’a pas été de tout repos, mais une fois la logistique réglée, j’étais heureuse d’aller travailler chaque jour. Avec le recul, ce qui a fait de mon stage co-op une expérience mémorable, c’est précisément parce que je voulais y être. J’ai tâché de me lier d’amitié avec mes collègues de travail, de participer à des dîners d’équipe et d’assister à des webinaires, tout en cherchant à assumer de nouvelles tâches si l’occasion se présentait. Par ailleurs, n’importe quel emploi comportera des trucs qui vous plaisent et d’autres qui vous plaisent moins, et c’est normal! Efforcez-vous de trouver quelque chose que vous aimez et cherchez à l’intégrer autant que possible dans votre journée de travail.
Avec le recul, voici ce que je retiens de mon premier stage :
- Il n’y a rien de mal à choisir une démarche non traditionnelle.
- Assurez-vous de prendre une décision qui fera votre bonheur.
- Envisagez toutes les possibilités, ainsi que les avantages et inconvénients de chacune d’elles, pour éviter de prendre des décisions subjectives.
- Faites des efforts dans le cadre de votre stage.
![]() |
Sonya Gankina
Étudiante de 3e année, marketing |