Futurs diplômés

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Publication : 23 janvier 2017

Si vous passez par le pavillon Desmarais pendant la fin de semaine du 28-29 janvier, nous vous invitons à aller jeter un coup d’œil à l’intérieur de l’édifice, qui sera bondé d’étudiants. Ces 400 étudiants, provenant de onze universités de tout l’Est du Canada, se réuniront à l’École de gestion Telfer pour Omnium Financier, une compétition d’étude de cas.

Ce genre de compétition offre aux étudiants l’opportunité de résoudre un cas académique dans une période de trois heures, et de préparer une recommandation qui doit ensuite être présentée à un panel de juges qualifiés. Dans le cas de l’Omnium Financier, les étudiants présentent des cas en finance et en comptabilité. Le thème de #OF2017, intitulé « D’un océan à l’autre », permettra aux participants de découvrir l’histoire et les valeurs du Canada et de célébrer le 150^e anniversaire de la Confédération.
 

On ne peut pas parler d’étudiants dévoués sans mentionner le comité organisateur. Rangée arrière, de la gauche à la droite : Samuel Soucy (VP - logistiques), Joshua Ayer (VP - communications), Philippe Moore (Directeur - logistiques), Kevin Saumure (VP - commandites), Ryan Rahman (VP - finance). Rangée du milieu : Katarina Mrkela (VP - academie et finance), Kassandra Tannouri (Directrice - logistiques). Rangée du bas : Miranda Taing (VP - marketing), Kim Angèle Vallières (Présidente), Andrée-Anne Martel (VP - academie et comptabilité) et Sarah Morin (Directrice - traductions).

L’Université d’Ottawa et l’École de gestion Telfer tiennent à souhaiter la bienvenue aux participants de l’Omnium Financier. Au plaisir de vous accueillir sur le campus le 28 janvier et de vous permettre de vivre ce qui sera sûrement une fin de semaine inoubliable. Quel bel ajout aux célébrations du 10e anniversaire de la désignation du nom de l’École Telfer!

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Publication : 20 décembre 2016

• Eric Carmichael et Valerie Brault
• Evan Kerr et Nick Kazaka

• Tina Liusun et Andy Yu

• Adriano Pagliarello et Raymond Holtforster

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Publication : 16 novembre 2016

La deuxième édition de la Compétition de cas interne de Telfer (CCIT) a eu lieu le weekend du 4 novembre. Le vendredi soir, les étudiants de première et deuxième année ont eu la chance de se préparer pour la compétition et d’améliorer leurs compétences de communication avec un cas pratique et l’aide d’un mentor. Samedi, tous les participants, de première année à la quatrième année, ont participé à la compétition officielle. Ils ont présenté devant des professionnels de l’industrie et d’anciens participants de compétitions externes de gestion à Telfer.

En soirée, un gala de plus de 175 personnes a eu lieu pour l’annonce des gagnants et la remise des prix. La Compétition de cas interne de Telfer fut un grand succès cette année.

CCIT est organisé par l’Association de marketing de Telfer, l’Association des ressources humaines, la Société de finance et Telfer international. Son objectif est de rassembler des étudiants de différentes spécialisations à l’École de gestion.

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Publication : 10 novembre 2016

Avant de faire part de mon expérience, j'aimerais remercier sincèrement I'École de gestion Telfer de m'avoir délégué au sommet One Young World en septembre dernier. Ce fut l'occasion de découvrir les expériences personnelles de personnes du monde entier qui malgré l'adversité et l'oppression continuent de se battre pour améliorer la sensibilisation et pour que des changements surviennent dans leurs causes humanitaires respectives. Même s'il est réconfortant d'écouter des gens de renom, comme des directeurs généraux, des actrices, des figures philanthropiques, l'actuel premier ministre et d'anciens premiers ministres, parler de leur contribution au progrès, les vrais acteurs du changement étaient les jeunes hommes et femmes, victimes devenues entrepreneurs alors qu'ils ont dû affronter des injustices. Un intérêt spécial a été porté aux réfugiés fuyant la guerre et les changements climatiques. Les changements climatiques représentent une menace réelle pour la planète, mais une menace urgente pour les communautés côtières qui disparaissent en raison de l'élévation du niveau de la mer. Paix et sécurité (l'extrémisme), environnement (le sauvegarder grâce à la technologie), droits de la personne (GLBT), commerce mondial, santé (suicide et dépression) et éducation (chômage) ont été les six principaux sujets traités.

Pour tout dire, nous avons tellement de chance de vivre au Canada, dans la capitale de ce magnifique pays. Et pendant que d'autres consacrent leur vie à se pencher sur les problèmes de leurs communautés, il nous incombe, en tant que leaders du monde dont nous faisons partie, de faire de même. Nous devons investir de façon éthique, lancer des entreprises socialement responsables et redonner à la communauté d'une manière significative. C'est ce qui sera décisif quant au monde que notre génération léguera, un monde en meilleur ou en pire état.

J'aimerais citer un extrait du discours du premier ministre Justin Trudeau prononcé pendant les cérémonies d'ouverture sur la Colline du Parlement :

« Je ne pense pas que vous soyez les leaders de demain — je sais que vous êtes déjà des leaders. Votre génération est engagée politiquement, instruite, novatrice, inclusive et progressiste. Vous devez mettre ce potentiel à profit pour rendre le monde meilleur […] N'oubliez pas, ce que vous dites, et les choix que vous faites, ont le pouvoir de changer le monde. » [traduction] – Justin Trudeau

Tahir Shahzada, Relations externes

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Publication : 10 novembre 2016

Quand il est question de justice climatique, il est possible que nous ne puissions pas voir les effets des changements climatiques dans notre ville, mais il y a certainement des millions de personnes dans le monde qui subissent directement les répercussions de nos actions à mesure que nous continuons d'agir de façon irresponsable. Réfléchissons aux mesures que nous prenons et aux conditions dans lesquelles vivent les autres en raison des changements climatiques... parce qu'au bout du compte, nous formons tous ensemble « un seul monde ». Les quatre jours que j'ai passés au sommet étaient à la fois réconfortants et déchirants. J'étais entourée des leaders les plus influents de 196 pays avec qui j'ai pu échanger et apprendre au sujet de problèmes mondiaux, que ce soit l'inégalité des sexes ou les changements climatiques. L'un des jeunes leaders de l'Université Queen a dit quelque chose que j'aimerais vous citer : « N'attendez pas la permission de devenir un leader. Parfois, vous vous demandez si vous êtes vraiment la personne la mieux placée pour agir. Eh bien, en vérité, vous pourriez être la seule personne à agir.»

Mais seulement voilà, vous n'avez pas besoin d'un sommet mondial pour agir. N'attendez pas que l'on vous donne la permission de remettre en question le statu quo... Penser à des changements durables n'est pas seulement la bonne chose à faire, mais c'est aussi votre responsabilité.

Les récits des autres délégués ont été une belle leçon d'humilité, je vous encourage donc à sortir des sentiers battus en posant les vraies questions et en apprenant ENSEMBLE. Ni moi ni personne d'autre ne peut lutter seul contre ces problèmes. Nous avons réellement besoin les uns des autres. Je remercie chaleureusement Telfer et uOttawa de m'avoir donné l'occasion de représenter le Canada au sommet One Young World. #OYW Hearing the stories of other delegates was the most humbling experience, so I encourage you to step outside of what you're used to by learning and asking tough questions TOGETHER. I, or anyone else, can't fight these issues alone. We do, indeed, need each other. A huge thanks to Telfer and uOttawa for giving me the opportunity to represent Canada at the One Young World summit. #OYW

Kloe Desrosiers, École de gestion Telfer et Enactus uOttawa

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Publication : 10 novembre 2016

One Young World n'est pas seulement une fête intellectuelle, mais aussi un appel convaincant à l'action sociale.

À l'ère numérique d'aujourd'hui, il est très facile pour nous de rester connectés avec le reste du monde grâce à l'écran de notre ordinateur, nous donnant ainsi le sentiment de savoir ce qui se passe partout dans le monde. Mais nous ne sommes peut-être pas conscients du fait que ce que nous voyons dans les médias et sur Internet est souvent adapté à nos intérêts et pourrait bien nous offrir une vision relativement étroite du monde qui nous entoure.

Au sommet One Young World, j'ai pu rencontrer en personne certains des jeunes leaders les plus exceptionnels de 196 pays qui ont fait des discours révélateurs sur leurs initiatives progressistes dans les domaines de l'éducation, des droits de la personne, de l'entrepreneuriat, des soins de santé et du rétablissement de la paix. Cependant, j'ai aussi pris connaissance des redoutables défis auxquels la planète fait face. Il est terrifiant de constater que près de 2,5 milliards de personnes n'ont pas accès à des traitements de la vue convenables, qu'une personne sur trois n'a pas accès à un système sanitaire adéquat et que près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 2,50 $ par jour.

Cette conférence m'a fait voir les grandes réalisations accomplies dans le monde sur le plan social ainsi que tout ce qui reste à faire. Même si le monde fait face à des enjeux préoccupants, les réalisations passionnantes des conférenciers et des délégués me portent à croire qu'il y a encore de l'espoir pour l'humanité.

Appel à l'action : En tant que Canadiens, nous sommes les plus privilégiés, que ce soit en matière d'éducation ou de richesse; il est donc de notre responsabilité de participer à la création d'un monde meilleur. Prenez donc une seconde pour fermer les yeux et penser aux moments les plus difficiles de votre vie et à la personne que vous auriez aimé avoir à vos côtés pour vous venir en aide. Soyez cette personne.

Jia Li, Telfer School of Management  

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Publication : 1 novembre 2016

Lorsque nous avons défini l’objectif de la Bourse commémorative Laurie-Strano en MGSS, nous pensions certainement à quelqu’un comme Carolyne Mondoux. En tant que deuxième récipiendaire de la bourse, Carolyne incarne le leadership, l’implication communautaire et l’excellence sportive.

Son cheminement de carrière, qui a commencé par un diplôme de premier cycle en biologie et s’est poursuivi avec des emplois dans les secteurs du commerce de détail, de la fonction publique et de la finance, l’a amenée à découvrir une passion pour la nutrition et l’administration. Afin d’imbriquer davantage ses compétences en gestion et dans le domaine des soins de santé, Carolyne s’est inscrite au programme de Maîtrise en gestion des services de santé (MGSS) après avoir obtenu son baccalauréat spécialisé en sciences de la nutrition de l’Université d’Ottawa.

L’engagement de Carolyne en matière de santé va au-delà de son travail. Mère de deux jeunes filles, elle aime exercer des activités de plein air comme le cyclisme sur route et de montagne, la course et le ski de fond. À la tête de son propre cabinet, Fine Balance Nutrition, ses activités portent sur la santé gastro-intestinale, la gestion des lipides et la nutrition sportive pour les nouveaux athlètes. De plus, Carolyne est coresponsable d’un groupe sans but lucratif qui vise à rassembler des diététistes et à accueillir de nouveaux diplômés en organisant des activités de réseautage et de perfectionnement professionnel. Elle est également bénévole au comité de collecte de fonds de l’école de sa fille. En sa qualité de membre inscrit à l’Ordre des diététistes de l’Ontario, Carolyne s’est également portée volontaire comme représentante locale des médias du « Mois de la nutrition » pour les Diététistes du Canada.

« Recevoir une bourse en mémoire de Laurie Strano est un grand honneur. Cette bourse est pour moi une marque de reconnaissance pour mes contributions et celles des anciens et futurs étudiants de la MGSS. Elle rappelle également que ces engagements sont reconnus, et souligne l’importance de l’implication communautaire. »

Carolyne a à cœur la nutrition, la promotion de la santé, la prévention des maladies et de travailler auprès des enfants. Motivée et passionnée, elle espère occuper un poste de leader au sein d’une organisation dynamique et vouée à la santé qui soutient la créativité, recherche l’innovation et s’intéresse à sa communauté. 

Pour plus d'information sur la Bourse commémorative Laurie-Strano en MGSS, veuillez contacter Roxanne Chénier, Agente de développement, au (613) 562-5800, poste 4760 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Publication : 12 octobre 2016

Le 6^e concours sur les opérations boursières de l'École de gestion Telfer a eu lieu le samedi 1^er octobre 2016 et a continué d'assurer son héritage en tant que l'un des concours et événements les plus attendus de l'année. Ce concours regroupe environ 100 étudiants de la 1^re à la 4^e année qui veulent prendre part à un concours mouvementé et amical qui les aide à améliorer leur expérience en tant qu'étudiants. De plus, c'est là une occasion pour les individus partageant les mêmes idées de se rencontrer et de rivaliser dans un environnement simulé destiné à reproduire des scénarios de transactions de la vie réelle. Pour la deuxième année, on a encouragé les étudiants du cours de théorie financière (ADM2352) de l'École de gestion Telfer à participer afin de mettre en application les notions théoriques qu'ils acquièrent en classe et de gagner quelques points supplémentaires en prime. Le concours sur les opérations boursières est organisé et tenu par le Laboratoire de recherche et d'apprentissage en finance de l'école, qui est une installation d'enseignement et d'apprentissage de pointe possédant des logiciels et des bases de données conformes aux normes optimales de l'industrie, notamment Bloomberg, S&P Capital IQ et WRDS.

Le concours est composé de deux volets, à savoir un concours de criée à haute voix pour briser la glace et des simulations informatiques de cas qui utilisent la plateforme Rotman Interactive Trader (RIT) gouvernée par les ordres. La criée à haute voix tente d'imiter les parquets de la bourse d'autrefois, où les individus sont tenus d'acheter et de vendre des actions de l'indice Telfer-500 (un marché simulé) qui est stimulé par des nouvelles apparaissant à divers intervalles. À l'instar des marchés réels, les nouvelles sont interprétées différemment par les 100 opérateurs qui font de l'expérience un milieu amusant, bruyant et féroce.

Après que les étudiants ont eu la possibilité de se rencontrer au cours de la criée à haute voix dans la Salle Camille Villeneuve, ils se rendent au Laboratoire de recherche et d'apprentissage en finance en vue de concourir dans le cadre de cinq  cas différents qui explorent diverses théories financières : les transactions sur obligations (2), les options, l'arbitrage de fonds négociés en bourse (FNB), et l'évaluation de biens immobiliers. Les étudiants en lice au concours sur les opérations boursières obtiennent l'accès aux cas deux semaines à l'avance, et ils ont l'occasion de créer leurs stratégies pour chaque cas. De nombreux étudiants élaborent des modèles et des macros financiers complexes, ce qui automatise complètement leur prise de décision. Pendant le concours, chaque cas est exécuté en trois séries afin de récompenser la cohérence de la stratégie plutôt que la spéculation. La tension dans la salle est palpable, car les étudiants ont pour objectif de générer des bénéfices constants et d'éviter les pertes. Comme tous les opérateurs dans la salle influent sur la liquidité lors des séries, à de nombreuses reprises une vague de protestations est déclenchée dans la salle à l'issue d'une manipulation potentielle d'un concurrent. En général, cela cause une flambée des prix soudaine sur le marché, ce qui ne peut que renforcer l'environnement dynamique et donner une impression de parquet de bourse.

Après une journée complète de compétition (de midi à 18 h), les étudiants retournent dans la Salle Camille Villeneuve pour un souper bien mérité pendant que les résultats sont comptabilisés. Des prix en argent sont décernés non seulement aux trois premiers finisseurs, mais également pour chacun des cinq cas et la criée à haute voix.

Le concours sur les opérations boursières est également la méthode utilisée pour choisir l'équipe pour la prestigieuse Rotman International Trading Competition (RITC), qui est un concours sur invitation seulement tenu à Toronto chaque année en février. La RITC est le plus grand concours du monde sur les opérations boursières, et elle comprend 50 équipes issues des meilleures écoles dans le monde entier (universités Columbia, Princeton, Queens, Western, etc.). Les paramètres de la RITC sont semblables à ceux du concours sur les opérations boursières, et à ce titre, les étudiants qui obtiennent de bons résultats au concours sont de bons candidats. Les personnes qui finissent parmi les 12 premières sont invitées à poser leur candidature pour l'équipe de la RITC de l'École de gestion Telfer sur la scène internationale.

Le 6^e concours sur les opérations boursières de l'École de gestion Telfer a une fois de plus remporté un énorme succès, et il a continué de forger sa réputation en tant que l'un des meilleurs concours de l'école, mais aussi l'un des plus difficiles. Les événements comme celui-ci aident à donner aux étudiants de toutes les années une chance d'approfondir davantage la mise en pratique de la théorie, l'apprentissage de nouvelles compétences, ainsi que leur compréhension du secteur financier. Nous tenons à remercier vivement le Laboratoire de recherche et d'apprentissage en finance, ses assistants de laboratoire et ses bénévoles pour l'organisation et le déroulement de cet événement, ainsi que le département de marketing de l'École de gestion Telfer et la Capital Markets Society (CMS) pour leur parrainage de l'événement. Alors que nous mettons un terme à cette édition du concours sur les opérations boursières, nous attendons avec impatience une prestation réussie à la Rotman International Trading Competition ainsi que la poursuite de la croissance du concours sur les opérations boursières.

Classement général :

1. Dmitry Shorikov
2. Roma Stepanchenko
3. Tsoi (Jack) Yuen Lau
4. Danika Fu
5. William Tu
6. Evan Friend

Gagnants des cas :

Criée à haute voix : Tsoi (Jack) Yuen Lau

Transactions sur obligations 3 : Tsoi (Jack) Yuen Lau

Transactions sur obligations 4 : William Tu et Beau Keppler

Options : William Tu, Dmitry Shorikov et Tsoi (Jack) Yuen Lau

Arbitrage de FNB : Tsoi (Jack) Yuen Lau

Évaluation de biens immobiliers : Aleksa Milosevic

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Publication : 3 octobre 2016

Lors de la fin de semaine du 23 au 25 septembre, les étudiants de l'École de gestion Telfer inscrits au cours ADM4717 Leadership, stratégie et durabilité, ont participé à une simulation intensive appelée The Green Business Lab.

« The Green Business Lab est une expérience unique en ce sens qu'elle est la seule simulation d'affaires exhaustive et interactive en temps réel pouvant offrir aux étudiants une expérience pratique leur permettant de diriger une entreprise tout en réglant les problèmes les plus urgents découlant de questions environnementales et sociales auxquelles les organisations sont confrontées aujourd'hui », affirme Daina Mazutis, titulaire d'un fonds professoral en éthique, responsabilité et durabilité à l'École de gestion Telfer. « Les étudiants pourront établir des liens directs avec les décisions stratégiques importantes qu'ils auront à prendre en tant que futurs dirigeants d'entreprise. »

Travaillant en équipes, les étudiants se sont plongés dans la gestion d'une entreprise où chaque membre a joué un rôle essentiel au sein de l'entreprise. Ils ont façonné l'orientation stratégique de l'entreprise, conçu et fabriqué un nouveau produit, et amélioré le rendement. Toutefois, compte tenu de la pression croissante exercée par divers intervenants, y compris les clients, les gouvernements et les organisations non gouvernementales, la réussite repose sur la mesure du triple résultat : (résultat économique, résultat environnemental et résultat social).

Les équipes ont fait leur présentation finale devant un panel de juges, qui a évalué leur stratégie. Ce conseil d'administration était composé de Robert G. White, CA, CMA, CPA, conseiller et investisseur indépendant (B.Com. Telfer, 1992), de Kristina Haakman, vice­présidente des finances, Énergie renouvelable Brookfield (B.Com. Telfer, 2003), de Salim Charabati, B.Arch., MBA, conseiller à BuildGreen Solutions (B.Com. Telfer, 2016) et de John Purkis, associé principal, The Natural Step.

L'équipe Spherical Solutions (George Amidjinov, Kacey Cryan, Francis Desjardins, Alexis Harrison, Adam Khawas, Philippe Lafontaine et Vanessa Mangano) s'est classée au premier rang de la catégorie « Industrialized Nations », alors que l'équipe Eco­Impact Spheres (Patrik Hashem, Andrew James Low, Olivia Le, Cassandre Pomerleau, Isabelle Trudeau et Jacob Sousa) s'est classée à la première place de la catégorie « Developing Nations ». Ces équipes ont élaboré la meilleure stratégie d'ensemble selon une perspective du triple résultat.

« Parlant au nom de la majorité des étudiants participants, The Green Business Lab propose des scénarios réels au rythme effréné entraînant une prise de décisions difficiles », a déclaré Francis Desjardins, étudiant. « La simulation en fin de semaine nous a permis d'appliquer les connaissances que nous avons acquises dans un environnement parfois stressant, mais toujours agréable. Non seulement nous avons appris plusieurs leçons d'affaires types, par exemple l'importance des profits et du flux de trésorerie, mais nous avons aussi examiné les répercussions d'autres résultats : l'importance de la sensibilisation sociale et environnementale. J'aimerais remercier notre animateur du Green Business Lab, notre professeur, mes camarades de classe et l'École de gestion Telfer pour cette formidable expérience. »

Cette simulation est devenue une réalité grâce au fonds d'innovation pédagogique de la famille Yersh de l'École de gestion Telfer.

À propos de la simulation The Green Business Lab

Cette simulation teste les connaissances et les capacités des étudiants propres aux disciplines élémentaires de la gestion, ainsi que leur compréhension globale du rôle des entreprises dans la société. La simulation The Green Business Lab a déjà eu lieu dans des universités réputées, notamment Cornell University, Georgia State University, Central Michigan University, Denver University, University of Michigan, Georgetown University, University of Iowa et Wayne State University, ainsi que de grandes sociétés multinationales, telles que General Electric, Rio Tinto et Chrysler Financial.

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Publication : 28 septembre 2016

CEO x 1 Jour est à la recherche des meilleurs étudiants au Canada!

André Bourbonnais, président et chef de la direction d’Investissements PSP avec Jason Azzoparde, finaliste du programme CEO x 1 Jour 2016.

Le programme CEO x 1 Jour, du cabinet de recrutement de cadres Odgers Berndtson, jumelle les meilleurs étudiants au Canada à des chefs de la direction de partout au pays. Les étudiants d’aujourd’hui sont les dirigeants de demain, et ce programme annuel vise à révéler certains des futurs talents les plus prometteurs en leur faisant vivre une expérience concrète inoubliable.

Lancé en 2013, le programme CEO x 1 Jour a jumelé près de 50 étudiants de 3^e et 4^e année universitaire de partout au Canada à de grands chefs de la direction canadiens au sein d’organisations comme Purolator, IKEA, la Ligue canadienne de football, la Financière Manuvie et Développement économique Canada. Cette année encore, nous avons une impressionnante pléiade de chefs de la direction d’organisations des secteurs privé, public et sans but lucratif, notamment Siemens, la Compagnie Campbell, CBC/Radio-Canada, le Groupe Germain Hôtels, la Croix-Rouge et le Musée canadien de la nature, pour ne nommer que ceux-ci

Les étudiants ayant participé à CEO x 1 Jour par le passé disent avoir acquis une expérience précieuse et les outils dont ils ont besoin pour commencer à bâtir leur carrière. Comme le processus de sélection se déroule en plusieurs étapes, les étudiants ont l’occasion de recevoir des commentaires constructifs sur leurs compétences en leadership et en entrevue, même s’ils ne se rendent pas à l’étape finale de sélection. Les différentes étapes du processus de sélection comprennent une évaluation du leadership en ligne, une entrevue téléphonique et  en personne, ainsi qu’une demi-journée avec les recruteurs d’Odgers Berndtson.

Le processus de mise en candidature débute le 29 septembre et se termine le 28 octobre, tandis que les lauréats passeront la journée avec un chef de la direction au cours du mois de février 2017.

Pourquoi devriez-vous soumettre votre candidature?

Le programme offre aux étudiants de troisième et quatrième année l’occasion de mettre en pratique dans un cadre réel les notions apprises en classe et d’acquérir les outils et les habiletés dont ils ont besoin  pour commencer à bâtir leur carrière.

Quels sont les avantages?

Même si vous ne vous rendez pas à l’étape finale de la sélection, il y a plusieurs avantages à poser votre candidature au programme CEO x 1 Jour :

• Deux candidats sur trois recevront un rapport personnalisé sur leurs compétences en leadership de Hogan Assessments;
• Les demi-finalistes auront la chance d’être rencontrés en entrevue pour décrocher un stage d’été ou un emploi à temps plein chez McKinsey & Company;
• Les demi-finalistes participeront pendant une demi-journée à des exercices en groupe et à des entrevues en tête-à-tête qui leur permettront de renforcer leurs compétences en matière de présentation et d’entrevue;
• Finalement, les gagnants passeront une journée avec un chef de la direction (y compris du temps en tête-à-tête), ce qui leur permettra d’en apprendre davantage sur son parcours, son cheminement de carrière et son approche en matière de leadership.

Vous pouvez aussi voir par vous-même ce que d’anciens lauréats  ont dit à propos du programme.
 

Vous souhaitez poser votre candidature?

À compter du 29 septembre 2016, les étudiants de troisième et quatrième année peuvent soumettre leur candidature à ceox1jour.ca, et ce, jusqu’au 28 octobre 2016.