Futurs diplômés
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En novembre dernier avait lieu la compétition d’étude de cas organisée dans le cadre du cours Études de cas en comptabilité auquel participaient dix équipes composées de trois à cinq étudiants.
L’équipe gagnante et l’équipe s’étant classée en deuxième place se sont partagées respectivement une somme de 2 000 $ et 1 200 $. Ces prix sont une gracieuseté de CPA Ontario et PME Performance + Croissance Inc. Chacun des membres des deux équipes s’est également vu remettre un certificat-cadeau de 100 $, gracieuseté de Logan-Katz.
Denis Chainé, CPA, CA, Associé chez Logan-Katz, Marie-Geneviève Bégin, CPA, CA, Chef des contrôles internes à Justice Canada et Jean-Philippe Aubé, CPA, CA, propriétaire de PME Performance + Croissance Inc. se sont joints au Professeur Sylvain Durocher, CPA, CA, pour agir en tant que juges pour cette compétition.
Nous voudrions féliciter les gagnants (de gauche à droite) :
Première place : Justin Bélanger, Jia Li, Tania Fécu Dupuy, Joël A. St-Denis, Kristjan Johannes Luik
Deuxième place : Rebecca Bradley, Jérémy Boileau, Marie-France Bougie, Michelle Farley
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Felipe Izquierdo est un étudiant de 4e année du B.Com. en finance qui prend l'entrepreneuriat social à cœur. Il a été choisi pour participer au sommet One Young World à Bangkok en Thaïlande du 18 au 21 novembre. «Assister au sommet One Young World à Bangkok est comme avoir la possibilité - en seulement quelques jours - de voyager de par le monde et d’apprendre sur les problèmes mondiaux directement auprès des étudiants chefs de file impliqués dans leurs pays et leurs communautés ", dit-il. Felipe a pu discuter de solutions et de projets sur le thème du droit, de l'environnement, du commerce mondial et de l'entrepreneuriat, mais aussi la paix, la sécurité, le leadership et le gouvernement avec les autres étudiants. Il admet que l'atmosphère dans une pièce remplie des personnes en provenance de 196 pays, unis par l'humanité et la passion pour la lutte contre les problèmes du monde, est très impressionnant et « difficile à mettre en mots ». Il a eu l'occasion d'assister à ce sommet grace à son implication auprès de l'organisation étudiante Enactus uOttawa.
En plus d’Enactus, Felipe est impliqué avec la Legacy Conference, un événement axé sur l’entrepreneuriat qui a été fondé par groupe d'étudiants ayant l’objectif de cultiver de nouvelles idées et de lancer des initiatives d'affaires, ainsi que Omnium Financier Telfer, en tant quedirecteur de la participation communautaire, pour qui il organise des activités de bénévolat pour les étudiants en finance et en comptabilité. Il est également conseiller communautaire pour le Service de logement de l'Université d'Ottawa. Felipe dit que le cours qu’il a aimé le plus à l’École Telfer jusqu’à maintenant a été le cours de "Fusion entrepreneuriale", dirigé par Stephen Daze et Hanan Anis, en raison de l'aspect pratique de celui-ci. Felipe a aimé avoir eu l'occasion de « réunir les entrepreneurs de l'Université d'Ottawa et de les faire travailler sur une entreprise de démarrage tout au long du semestre avec l’aide de mentorat fructueux ».
Le prochain sommet Young World aura lieu à Ottawa en 2016. Cliquez ici pour plus d'informations.
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En tant que président de CASCO, un organisme de bienfaisance géré par des étudiants à l'École de gestion Telfer, Cameron McIntyre, étudiant en 4e année au B.Com., a un bel avenir qui se présente à lui. « J'ai toujours apprécié la possibilité que j’avais de participer à des groupes et des événements qui ne sont pas uniquement liés à mes études. Je sentais que CASCO se distinguait comme organisation non seulement en me permettant de faire des choses que j’aime, mais qui profite aussi à la communauté, » dit-il. Cameron a été impliqué avec CASCO depuis qu’il a commencé ses études à Telfer.
Cameron a réussi à rattacher son amour pour la technologie avec la gestion dans tous les rôles qu'il a tenus. En plus de CASCO, il a aussi été impliqué avec l'Association de marketing Telfer (AMT) et les Systèmes d’information de gestion et analytique d’affaires (SIGA). Il dit : « J’ai particulièrement aimé arriver dans les clubs avec un point de vue différent, plus particulièrement au niveau de l’utilisation de la technologie d’une façon que les autres clubs n’ont pas encore abordé." Cameron a mis en place un nouveau système de promotion par courriel pour l’AMT qui permettait de générer des statistiques sur l'engagement des membres avec leur bulletin électronique. Il a également créé une base de données en ligne pour les notes de cours du SIGA, qui a contribué à augmenter leurs nombre d'adhésions au programme. Dans son temps libre, Cameron gère une petite entreprise de développement et d'hébergement web, qui offre des services de location d’espace sur son serveur web à des clients qui sont à la recherche d’un site web personnalisé et de haute qualité. Avant d’arriver à Telfer, Cameron terminait le Programme du diplôme du Baccalauréat International à l'école West Island School à Hong Kong de 2009 à 2011.
Venez apporter votre support à Cameron et son équipe au Gala CASCO, qui a lieu le 7 décembre 2015 à 17 h 30. Cliquez ici pour plus d'information sur le Gala CASCO (en anglais seulement).
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Grands gagnants :
- 1. Patrick Kaminski
- 2. Nhung Vu
- 3. Dmitry Shorikov
- 4. Daniel Shannon
- 5. Roma Stepanchenko
- 6. *Tie* Carson Luo / Daniel Kirshner
Gagnants des cas
- Criée à haute voix : William Amoi
- Transactions sur obligations : Patrick Kaminski
- Options : Tsoi Yuen (Jack) Lau
- Évaluation de biens immobiliers : David Wilkie
- Arbitrage du prix de FNB : Patrick Kaminski
- Tenue de marché algorithmique : Tsoi Yuen (Jack) Lau
Le quatrième concours semestriel sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer s’est avéré un franc succès ici à l’École de gestion Telfer; plus de 100 étudiants se sont inscrits à l’événement. Le 17 octobre 2015, les étudiants ont eu la chance de montrer leur savoir-faire en matière d’opérations boursières en s’affrontant pour une position en tête du classement, des prix en argent et la chance de participer à la prestigieuse Rotman International Trading Competition (RITC). Le concours sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer a lieu deux fois par année en préparation à la RITC, événement auquel l’Université d’Ottawa prévoit envoyer certains de ses étudiants les plus brillants afin qu’ils se mesurent à d’autres concurrents sur la scène internationale. Organisée à Toronto, la RITC fera s’affronter certaines des meilleures écoles de gestion au monde, et l’École de gestion Telfer espère y démontrer son talent.
Le concours sur les opérations boursières de Telfer a été lancé dès midi le 17 octobre. Les étudiants se sont rassemblés dans l’une des plus grandes salles de conférence de l’École située dans le pavillon Desmarais afin de traiter le premier cas. À leur arrivée, on les a accueillis puis on leur a remis leur porte-nom. On leur a également présenté le concours. Peu de temps après, le premier cas a commencé : la criée à haute voix. Rassemblés dans la salle de conférence Camille Villeneuve, les étudiants ont reçu un seul indice, l’indice TELFER-500, qu’ils pouvaient tenter d’acheter ou de vendre au prix qu’ils désiraient, à condition qu’ils puissent trouver un concurrent prêt à l’acheter ou à le vendre au prix qu’ils proposaient. Le prix de l’indice était influencé par la publication de plusieurs événements d’actualité tout au long du cas, qui étaient affichés sur plusieurs grands écrans dans la salle. Les concurrents ont ainsi eu un aperçu des différentes directions possibles de l’évolution des prix de l’indice TELFER-500. De plus, leurs transactions se faisaient sans aucune aide électronique; les concurrents devaient donc se promener parmi les membres du groupe pour chercher les ordres de bourse des autres et s’affronter pour ceux-ci de presque toutes les façons possibles, créant un environnement de parquet très vibrant et dynamique semblable à celui des années 1980. La criée à haute voix était une façon de simuler les premiers marchés qui existaient avant ceux hautement électroniques d’aujourd’hui, ce qui a donné aux étudiants une compréhension fondamentale des processus de transaction et d’offre et de demande qui ont une influence sur la valeur quotidienne des marchés dans le monde entier. Ensuite, les étudiants se sont rendus au Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance pour commencer les cas de base du concours. Les étudiants s’affrontaient dans quatre cas : transactions sur obligations, options, évaluation de biens immobiliers, arbitrage du prix de FNB et un cas boni sur la tenue de marché algorithmique pour les concurrents qui désiraient réellement afficher leurs capacités en matière d’opérations boursières.
Les étudiants se sont affrontés dans ces cas en se servant du logiciel Rotman Interactive Trader, un système de marché régi par les ordres sur lequel ils se sont exercés vigoureusement durant les semaines précédant la date du concours. Chaque cas a été exécuté l’un à la suite de l’autre, et les cas individuels ont été exécutés trois fois avec quelques minutes entre chaque ronde pour permettre aux étudiants de se recueillir et d’apporter les ajustements nécessaires à leurs stratégies avant la prochaine ronde. Dès le début du premier cas, la salle était animée par le flot effréné d’ordres et la fébrilité qui accompagnent l’exécution rapide de chaque transaction. Chaque moment était différent du dernier, puisqu’une seconde, les opérateurs célébraient des profits qui grimpaient en flèche, alors que la suivante, ils se précipitaient pour recouvrer leurs pertes. Les meneurs de chaque cas étaient projetés sur de grands écrans afin que les concurrents sachent quels étaient leurs résultats par rapport à leurs pairs. Chaque cas a été conçu de façon unique et dans chacun des cas restants, une variété de stratégies créatives ont été employées pour maximiser les gains en capital, allant de l’outil Ladder Trader nécessitant de nombreux clics aux algorithmes exécutés par Excel contenant de nombreux scripts. D’ailleurs, alors que le concours progressait d’un cas à l’autre, les émotions des concurrents montaient d’un cran. À tout moment, les acclamations suscitées par la hausse du marché ou les grommellements lorsque les prix bougeaient à peine pouvaient être entendus de l’autre côté de la salle, recréant l’environnement dynamique d’un parquet de bourse.
Les étudiants ont eu une longue pause à mi-chemin pour récupérer avant de poursuivre les cas. À la fin du dernier cas, les concurrents se sont rassemblés une dernière fois dans la salle de conférence pour manger et boire et connaître les résultats des cas ainsi que les grands gagnants. Plus de 900 $ en prix ont été remis aux personnes les plus performantes : des prix ont été remis aux gagnants des cas individuels ainsi qu’aux personnes qui se sont le mieux classées globalement. Les 12 personnes les plus performantes globalement ont pu poser leur candidature pour la Rotman International Trading Competition dans l’espoir de représenter l’Université d’Ottawa sur la scène internationale.
Le quatrième concours semestriel sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer, le plus grand à ce jour, s’est avéré un immense succès. Il a donné aux étudiants de toutes les années la chance d’explorer davantage le secteur des finances, qui passionne bon nombre d’entre eux. De l’effervescence suscitée par la criée à haute voix à l’expertise technique de la négociation algorithmique, les étudiants ont eu l’occasion d’apprendre et de perfectionner plusieurs compétences tandis qu’ils fournissaient des solutions simples à des problèmes financiers complexes et s’adaptaient à la volée dans cet environnement dynamique. Un grand merci à la Société de finance, au Club d’investissement des étudiants de l’Université d’Ottawa et à tous les bénévoles qui ont aidé à planifier, à préparer et à exécuter cet événement. Ce dernier n’aurait pas été possible sans eux. Nous avons également eu la visite des diplômés Alex Tyutyunnik, Brian Chan et Cassy Aite, qui ont fortement contribué à faire du concours ce qu’il est aujourd’hui. Alors que nous mettons un terme à cette édition du concours semestriel sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer, nous attendons avec impatience la Rotman International Trading Competition ainsi que le prochain concours semestriel sur les opérations boursières au début de 2016.
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Étudiante en B.Com. Finance reçoit le titre de « Bénévole du mois »
Neekita Bhatia est une étudiante de deuxième année au B.Com. en finance qui souhaite laisser sa marque à travers le bénévolat. Elle a déjà amassé une attestation de bénévolat, un document officiel délivré par l’Université qui confirme le travail de bénévolat approuvé accompli par les étudiants. Ses activités de bénévolat incluent un poste d’agent mandataire avec l'Association des résidents l'Université d'Ottawa et faire des déclarations de revenus pour ACORN Canada.
La fonction préférée de Neekita était de mener un projet pour le Programme pour une relâche différente avec le Bureau du développement durable. « Nous avons effectué des vérifications des déchets pour [les Pavillons] Desmarais et Morrisset, analysé les données et écrit des rapports à ce sujet. J’ai tellement appris sur la durabilité durant cette semaine, incluant des pratiques que j’utilise tous les jours comme les bonnes pratiques de recyclage ", dit-elle. Neekita aussi récemment rejoint Enactus.
Lorsqu'on lui a demandé ce qui compte pour elle, Neekita a répondu: «J’apprécie grandement mes réseaux. [...] Avec mon expérience diversifiée, je tends à apprécier les expériences individuelles de chaque personne que je rencontre. Il est incroyable de voir à quel point les croyances et les personnalités diffèrent d’une personne à l’autre, même au Canada. Et, je crois, Telfer me connecte à des gens extraordinaires grace à son corps étudiantdiversifié, les clubs d'étudiants, l’accès à des conférenciers lors d'événements et un environnement professionnel et agréable."
Neekita a reçu le titre de « Bénévole du mois » du Centre d'engagement mondial et communautaire pour le mois d'octobre.
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Marina Kidisyuk, étudiante au B.Com. et coprésidente du programme International Genetically Engineered Machine (iGEM), est fière d’annoncer que son équipe a remporté une médaille d’or à la compétition Giant Jamboree 2015 qui a eu lieu à Boston du 24 au 28 septembre. « Notre travail a porté fruit et les juges ont aimé notre projet de politique visant à créer un lien plus fort entre l'industrie et le registre BioBrick de l'iGEM, auquel nous soumettons les pièces génétiques," elle dit.
L'équipe iGem uOttawa consistait de:
- Alex Ross (sciences biomédicales)
- Erin Nguyen (génie)
- Ashna Parbhakar (sciences biomédicales)
- Martin Hanzel (science informatique)
- Marina Kidisyuk (comptabilité)
L’équipe a aussi eu la chance de voir d'autres autres projets captivants et inspirants présentés par les autres participants, sur toutes sortes de thèmes, de bactéries produisant de la musique à des systèmes de filtration d'huile.
Plus de 2700 participants provenant d’écoles à travers le monde le monde étaient présents cette année pour présenter leurs systèmes génétiquement modifiés uniques afin de tester leurs connaissances de la biologie synthétique. Il arrive souvent qu'après ce type de compétition, de nombreux projets d’équipes gagnantes forment de nouvelles entreprises qui ont rapidement un impact sur le marché mondial.
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Étant un Coach, je rencontre des étudiants internationaux sur une base quotidienne. Nous prenons des rendez-vous individuels ou en groupes pour discuter de tout et de rien. Un étudiant peut arriver avec une question spécifique à propos d’un cours ou il peut s’informer à propos des associations étudiantes sportives. Je suis comme leur « Google », car je réponds à leurs questions et je les redirige vers des ressources qui peuvent les aider.
En dehors de ces rencontres quotidiennes, mon équipe et moi organisons des ateliers académiques et des évènements sociaux pour nos étudiants. Nous planifions souvent des dîners de causeries où nous allons jaser avec les étudiants tout en dégustant de la bonne pizza. De plus, tout au long de l’année, nous offrons des ateliers sur les techniques d’apprentissage, ainsi que des sessions de révisions. Nous organisons aussi des sorties comme d’aller patiner sur le canal rideau ou d’aller visiter des Supermarchés. Ces activités permettent aux étudiants internationaux de plus facilement s’intégrer dans la société et de mieux performer à l’école.
Il y a deux ans je suis devenu un Coach aux étudiants internationaux. J’aimerais pouvoir aider nos nouveaux étudiants, car j’étais à leur place il y avait une décennie. En effet, je suis un immigrant de la Chine et j’avais vécu que ce que les étudiants internationaux vivent présentement.
C’était une soirée humide de juin 2002 quand j’avais atterri pour la première fois au Canada. J’avais huit ans, quand j’étais arrivé avec mes parents. Je ne savais pas à quoi m’entendre dans ma nouvelle vie, car je ne connaissais pas la culture ou la langue de mon nouveau pays. L’intégration dans un nouvel environnement est définitivement quelque chose d’excitant, mais parfois, cela peut aussi être un peu intimidant. Ainsi, je comprends qu’il faut beaucoup de courage pour un nouvel arrivant de s’ouvrir à de nouvelles personnes qu’il rencontre. Mon rôle en tant que Coach est de vous accompagner dans votre cheminement d’intégration pour que nous puissions, ensemble, profiter de l’expérience incroyable que l’Université d’Ottawa a à nous offrir!
Jia Li
Guide pour les étudiants internationaux
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En tant qu'étudiante du régime coopératif à l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa, il me faut très peu de temps pour dresser la liste de tous ses avantages. J'ai la chance d'explorer divers environnements de travail, de rencontrer des personnes clés sur le marché du travail, de créer un réseau, de perfectionner mes compétences professionnelles, d'apprendre à me connaître et de découvrir ce que pourrait me réserver l'avenir. J'ai pu prendre confiance en moi-même, acquérir de nouvelles compétences et mener à bien mes propres projets, et ce, dès mon tout premier stage. Les étudiants font habituellement quatre stages pendant leurs quatre ou cinq années d'études. Ils ont même l'option de se trouver un stage à l'étranger! Pouvez-vous imaginer toutes les possibilités?
Le succès du régime coopératif repose grandement sur le fait que des entreprises et des organisations sont prêtes à accueillir des étudiants pendant une courte période, sachant que ceux-ci s'appliqueront et travailleront très fort. Pourquoi les entreprises embauchent-elles des étudiants? Les étudiants ne sont pas les seuls à tirer avantage du régime coopératif; les employeurs en bénéficient aussi!
Les employeurs peuvent faire appel aux étudiants du régime coopératif à l'École Telfer n'importe quand au cours de l'année, ce qui leur donne la flexibilité et les moyens nécessaires pour embaucher des étudiants au cours des périodes de pointe en vue de répondre aux besoins de la saison. Puisque les étudiants changent d'une session à l'autre, la diversité qu'ils apportent à l'organisation s'en trouve maximisée. Les forces et les intérêts variés de chaque étudiant offrent une nouvelle perspective à l'entreprise, ce qui permet d'éviter une vision étroite des choses sur le plan de la dotation. Les employeurs ont l'occasion de côtoyer différents étudiants et d'évaluer leurs aptitudes. Ils ont ainsi de fortes chances de recruter de futurs employés à temps plein, ce qui pourrait avoir une incidence positive au sein de leur organisation.
À l'Université d'Ottawa, on trouve des étudiants du régime coopératif dans pratiquement tous les domaines d'études, ce qui permet de remplir une variété de postes. Les compétences des étudiants de l'École de gestion Telfer sont variées. Ils étudient le marketing, la technologie de l'information, la comptabilité, les finances, la gestion et bien plus encore. Ces étudiants apprennent de nouveaux concepts, non seulement dans leur spécialisation, mais dans plusieurs secteurs chaque semestre. Puisqu'ils viennent tout juste d'acquérir ces compétences théoriques, ils sont plus susceptibles de les appliquer en milieu de travail.
Aussi, il est courant que les jeunes se sentent comme s'ils doivent faire leurs preuves et montrer aux employeurs qu'ils peuvent surpasser leurs attentes. Ce phénomène fait en sorte qu'ils sont très motivés et enthousiastes, accroissant ainsi leur niveau de productivité. Cette ardeur favorise également la créativité, tout en ayant une incidence positive sur la motivation et le moral des autres employés.
Encore mieux : lorsque des employeurs embauchent des étudiants du régime coopératif, la réputation de leur entreprise s'en trouve améliorée et leurs liens avec l'Université d'Ottawa sont consolidés. Cela est dû au fait qu'ils contribuent à l'éducation et au perfectionnement des étudiants à titre de professionnels qui font leur entrée sur le marché du travail. C'est très gratifiant de contribuer à la formation de futurs employés. Après tout, ils peuvent déterminer la réussite future d'une organisation.
Grâce au régime coopératif de l'Université d'Ottawa ainsi qu'à toutes les merveilleuses organisations et entreprises qui participent au programme de stage, les étudiants et les organisations en sortent gagnants. Non seulement les organisations obtiennent flexibilité, diversité et productivité, tout en maintenant de bonnes relations dans la collectivité et en donnant le bon exemple, mais un plus grand nombre d'étudiants terminent l'université avec plus qu'un diplôme. Quand j'aurai terminé mes études, je serai prête à entreprendre ma carrière avec de l'expérience de travail et des compétences essentielles pour réussir dans la vie.
Voilà le pouvoir de la coopération.
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Marina Kidisyuk, coprésidente du programme International Genetically Engineered Machine (iGEM), sera à Boston avec le reste de son équipe pour présenter leur projet en biologie synthétique à la compétition Giant Jamboree.
Cette année, l'équipe va créer une commutation tristable modélisant la différenciation cellulaire de la levure, capable en définitive d'améliorer les thérapies régénératives à partir de cellules souches. L'équipe de relations commerciales étudiera de son côté l'utilisation équitable du matériel génétique entre l'industrie et le milieu universitaire avec un exposé de principes, en mettant l'art au service d'une plateforme destinée à informer le public.
L'équipe de l'Université d'Ottawa est en général formée de 20 à 25 étudiants de premier cycle à l'expérience diverse et de 3 ou 4 étudiants de deuxième cycle, accompagnés de conseillers pédagogiques qui travaillent sur des aspects d'un ou plusieurs projets en particulier.
« Je me suis toujours intéressée à l'innovation et j'ai vu dans iGEM l'occasion de participer à un projet qui repousse les frontières de la technologie à venir. Le domaine de la biologie synthétique est relativement nouveau et je trouve passionnant qu'il puisse offrir autant de solutions durables et non invasives à des problèmes environnementaux et médicaux actuels qui ne sont pas encore résolus », explique Marina Kidisyuk. C'est la deuxième fois qu'elle participe au programme.
Marina s'intéresse particulièrement à l'industrie des biotechnologies. Elle a d'ailleurs choisi d'étudier à l'École de gestion Telfer en raison de l'importance que l'établissement accorde à l'innovation et du grand nombre d'entreprises de biotechnologies installées à Ottawa. Elle aime son domaine d'études. Pour elle, la comptabilité est « la langue des affaires, et le monde des affaires peut transformer une idée créative en une application du monde réel qui peut changer drastiquement notre futur pour le mieux ».
Jusqu'à maintenant, le cours de droit des affaires de Gilles LeVasseur est celui qui a le plus marqué Marina. « La leçon la plus importante que j'ai apprise est de prévoir et de couvrir chaque étape, aussi insignifiante qu'elle puisse paraître au premier abord. Comme je m'intéresse à l'entrepreneuriat et à la propriété intellectuelle, cela m'a été d'une aide inestimable dans tous mes projets. »
L’objectif de Marina est de créer un pont entre l'industrie et le monde académique. Elle espère pouvoir mettre en relation les étudiants et les chefs de file de l'industrie des sciences de manière à ce que leur collaboration permette la concrétisation d'idées innovantes. « La biotechnologie est à l'avant-garde de l'innovation et, en tant qu'étudiante en affaires, je veux participer à faire en sorte que de bonnes inventions puissent offrir des solutions aux problèmes concerts d'aujourd'hui. »
L'an dernier, l'équipe iGEM de l'Université d'Ottawa a reçu la médaille d'argent au Giant Jamboree 2014 où 245 universités du monde entier étaient représentées. Le Giant Jamboree aura lieu au Hynes Convention Center de Boston du 24 au 28 septembre 2015.
Des étudiants Telfer se joignent à iGEM uOttawa pour la compétition annuelle World Jamboree à Boston
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L'équipe iGEM de l'Université d'Ottawa s'est rendue à Boston, au Massachusetts, pour la compétition annuelle iGEM World Jamboree qui a eu lieu du 30 octobre au 1er novembre. Notre équipe composée d'étudiants en sciences, en ingénierie et en gestion s'est mesurée à des centaines d'équipes universitaires provenant d'autres régions du monde pour l'application la plus novatrice de la biologie synthétique. Cette année a été particulièrement couronnée de succès puisque notre équipe a gagné la médaille d'argent dans la catégorie du premier cycle pour ses travaux portant sur la commutation tristable (se rapportant à la différenciation cellulaire).
Cette année a également été fructueuse pour l'équipe des finances. Elle a trouvé des commanditaires et organisé des campagnes de financement pour faire en sorte d'avoir assez d'argent pour que le plus de membres possible de l'équipe puissent assister à la compétition. Cette expérience à Boston nous a aidés à tisser des liens avec de nombreux étudiants novateurs provenant de partout au monde et qui sont maintenant devenus des contacts pour des collaborations futures.
iGEM reprendra ses activités en janvier, et tentera d'établir des collaborations plus étroites entre le monde des affaires et les sciences.