Le doyen François Julien et la vice-doyenne des programmes et directrice exécutive du Centre de leadership pour cadres Telfer, Julie Beauchamp, sont heureux d’annoncer la nomination de Guy Laflamme et de Jean Desgagné à titre de cadres en résidence au Centre.
Le Centre de leadership pour cadres fait partie de l’École de gestion Telfer et se consacre à la prestation de programmes novateurs de perfectionnement des cadres supérieurs. Le Centre compte parmi ses clients des organismes des secteurs public, privé et sans but lucratif de la région d’Ottawa, de l’ensemble du pays et de l’étranger.
Guy Laflamme
Guy Laflamme est un conférencier reconnu à l’échelle internationale, qui compte 25 ans d’expérience dans des postes de marketing et de production ayant une grande visibilité dans diverses organisations, notamment le ministère du Patrimoine canadien, la Commission de la capitale nationale et le Casino du Lac-Leamy. Il a obtenu son MBA de l’École de gestion Telfer en 1989 et y a enseigné à temps partiel pendant 15 ans. Il a reçu la médaille Trudeau en 2005, la plus haute distinction décernée par l’École de gestion Telfer à ses diplômés.
En 2018, il a reçu le prix Diplômé de l’année, qui reconnaît les réalisations exceptionnelles d’un ancien étudiant de l’Université d’Ottawa au cours de l’année précédente. Cette année, nous avons demandé à M. Laflamme d’assumer la présidence d’honneur du 50e anniversaire de l’École de gestion Telfer. M. Laflamme a dirigé le projet Ottawa 2017 pour célébrer les 150 ans du Canada. Le programme de 40 millions de dollars, qui a permis de tenir de grands événements et festivités, a rapporté 300 millions de dollars à la ville d’Ottawa. Ce succès lui a valu l’Ordre d’Ottawa et un Prix d’excellence de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario pour l’ensemble de sa carrière. Radio-Canada et Le Droit l’ont nommé « Personnalité de l’année » en raison de sa vision, de son imagination débridée, de sa détermination et de son enthousiasme.
Jean Desgagné
Jean Desgagné, qui a récemment été nommé chef de la direction de Stablecorp Canada et membre du conseil d’administration de CAA Insurance et d’Echelon Assurance, a été président et chef de la direction, Solutions globales, perspectives et stratégies d’analyses TMX. En tant que comptable professionnel agréé et fier diplômé de l’École de gestion Telfer (B. Com 1986), il est actuellement membre du Conseil consultatif du recteur de l’Université d’Ottawa et président du Conseil consultatif du doyen (Toronto) de l’École de gestion Telfer.
En tant que premier donateur du Fonds de capital Telfer, M. Desgagné a également contribué à la création du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance Telfer. Il agit également à titre de mentor pour le Programme sur les marchés financiers et comme juge pour de multiples compétitions dans le domaine financier, ainsi qu’en tant que conférencier renommé pour d’innombrables événements.
En 2009, M. Desgagné et son épouse ont créé la Bourse de la famille Desgagné/Soden pour les étudiantes en sciences commerciales. « J’applaudis tout ce qui se fait pour aider les femmes à accéder aux postes de direction, dit-il, mais je suis aussi convaincu qu’il faut investir en amont pour les attirer. » « Tout le monde y gagne : les étudiants et étudiantes, Telfer et moi‑même, dit‑il. Avec le recul, je peux me dire que j’ai fait quelque chose de bien. »
Il a également reçu la médaille Trudeau de son alma mater en 2009, ainsi que la médaille du jubilé de la reine en 2002, en reconnaissance de ses services à la communauté.
Mes années en tant qu’étudiant du B.Com Telfer font partie des plus belles de ma vie. J’y ai non seulement acquis des connaissances fondamentales complètes en théorie des affaires, mais j’y ai aussi suivi des cours sur d’autres thèmes, qui m’ont permis à la fois d’élargir mon horizon intellectuel et d’envisager les affaires sous des perspectives variées. Par exemple, je me souviens affectueusement de mon professeur d’anglais Paul Marcotte. Je me sens encore aujourd’hui inspiré par son enthousiasme, et j’utilise toujours son ouvrage Essays in Speculative Literary Criticism [Essais sur la critique littéraire spéculative] pour stimuler les discussions avec des amis. À propos d’amis, je m’en suis fait un grand nombre à l’École Telfer : 565 pas séparaient les portes de l’ancien pavillon des arts, désormais le pavillon Simard, de l’hôtel Albion. J’ai aussi joué un rôle actif dans les affaires étudiantes, en assumant les fonctions de rédacteur en chef du Fulcrum et de directeur du comité central de la publicité. Bourses d’études, amitiés, leadership – j’ai bénéficié d’une véritable formation universitaire.
J’ai quitté l’établissement avec mon diplôme et un sens aigu des possibilités; et j’ai usé des deux pour me propulser vers l’avenir. Enfin, en tant que partenaire à Deloitte, j’ai eu la chance de collaborer avec certaines des personnes les plus brillantes et les plus utiles qu’on puisse espérer côtoyer. Avec le recul, je me rends compte que l’expérience gratifiante dont j’ai bénéficié à l’École Telfer constitue une part essentielle du socle sur lequel reposent mes merveilleuses vies personnelle et professionnelle.
J’ai également conscience que mon expérience à l’École Telfer a été rendue possible, en partie, grâce à l’appui financier de nombreux donateurs. J’ai décidé de devenir un donateur loyal pour exprimer ma gratitude éternelle pour ce socle que l’École et ses défenseurs m’ont offert. Voici mon message aux diplômés de l’École Telfer : dès lors que votre vie est une réussite, c’est à votre tour d’apporter votre contribution, pour soutenir les étudiants qui vous succèdent. Soyez reconnaissants et montrez-le. Versez une contribution, pour que les autres puissent eux aussi bénéficier d’expériences enrichissantes. Ne tenez jamais les bonnes choses pour acquises, surtout celle-ci.
Nous sommes originaires d’Ottawa. Nous avons grandi ici, nous avons étudié à l’Université d’Ottawa, nous avons débuté nos carrières dans notre ville natale après avoir obtenu notre diplôme, et nous y avons fondé une famille ensemble. Nous devons une grande partie de nos succès ultérieurs et de notre bonheur aux expériences d’apprentissage enrichissantes que l’Université d’Ottawa nous a offertes. Nous sommes loin d’être les seuls. L’établissement est très apprécié dans notre ville natale, en particulier dans le centre. L’Université d’Ottawa est le cœur universitaire, culturel et sportif du centre-ville. Il est parfaitement naturel de donner en retour à un établissement qui a joué un rôle vital dans nos vies et dans notre ville.
Nous sommes aussi des entrepreneurs – en particulier Rob. Il a occupé pendant près de 30 ans des fonctions de dirigeant dans l’industrie locale des hautes technologies. Si nous avons vu ce secteur croître de façon régulière, nous l’avons aussi vu vaciller quelquefois. Le chaînon manquant était le manque d’expertise en matière de gestion d’entreprises de la part des entrepreneurs, qui fondaient des sociétés reposant sur des technologies de rupture. Il est déjà bien assez dur de réussir à apporter une idée nouvelle sur le marché; ça l’est encore plus lorsqu’on essaie de rendre durable une entreprise novatrice. Les dons que nous offrons à l’École Telfer sont notre façon de forger ce chaînon indispensable.
Le poste d’entrepreneur en résidence Dom Herrick à l’École Telfer a été conçu pour donner de l’élan aux jeunes entrepreneurs, afin qu’ils créent et dirigent des entreprises révolutionnaires. La résidence permet également d’éloigner les personnes des environnements d’entreprise traditionnels, de façon à conférer à ces configurations les qualités d’entrepreneuriat que sont l’ambition, l’expérimentation et la résilience. La démarche de l’École Telfer visant à transformer l’entrepreneuriat en un domaine d’expertise stratégique ne fait que confirmer la sagesse de notre don financier. Pour parfaire notre contribution, nous avons dédié la résidence au défunt père de Sandra. Dom Herrick possédait les qualités essentielles pour un entrepreneur. Il s’intéressait beaucoup aux nouvelles entreprises qui émergeaient dans sa ville natale, aux raisons pour lesquelles ces entreprises prospéraient et aux aspects de leur réussite qu’il pouvait appliquer à son propre travail, dans l’industrie des services. Nous sommes enchantés qu’une résidence portant son nom soit une force pour l’entrepreneuriat à Ottawa. Nous pensons que lui aussi serait ravi.
Ne dit-on pas plutôt « laisser un héritage »? En ma qualité de dirigeante en soins de santé, j’ai toujours été fermement engagée à améliorer la prestation des soins de santé au niveau organisationnel et du système – pour gérer un héritage aujourd’hui, plutôt que d’en laisser un plus tard. Tout au long de ma carrière, je me suis efforcée de respecter cette ligne de conduite. Je me suis non seulement engagée envers la transformation des soins de santé, mais également en regard de la planification des ressources, de la culture organisationnelle, des partenariats en matière de systèmes de santé et d’autres questions qui sous-tendent la prestation de soins de santé. Outre cela, je donne des cours de perfectionnement en leadership, je fais du mentorat auprès de professionnels de la santé confirmés et en devenir, et je collabore avec des professionnels de la santé pour accroître l’efficience, la résilience et le succès de leurs organisations afin qu’elles offrent de meilleurs résultats aux patients.
La gestion d’un héritage est un besoin crucial dans le secteur des soins de santé. Après tout, notre travail sort de l’ordinaire. Le bien-être de nos concitoyens et de l’ensemble de notre société en dépend. C’est pour cela que, dès mon plus jeune âge, j’ai toujours souhaité dévouer ma carrière aux soins de santé. J’ai travaillé dans des hôpitaux alors que j’étais adolescente et j’ai obtenu un diplôme de premier cycle en biologie et sciences de la vie. Toutefois, ce n’est que lorsque je me suis inscrite en maîtrise en gestion des services de santé à Telfer, à la fin des années soixante-dix, que je me suis spécialisée dans l’administration des affaires, et la politique et l’économie en matière de santé. Cette formation m’a permis de me rapprocher de ce qui revêt de l’importance à mes yeux – devenir un chef de file et une mentore dans un secteur qui me passionne.
L’École de gestion Telfer m’a préparée à occuper un poste de direction dans un hôpital de recherche universitaire, à assumer les fonctions de sous-ministre adjointe au sein du ministère de la Santé et des Soins de longue durée de notre province, de cadre en résidence dans une école de gestion et de chef de file au sein de sociétés de conseils de calibre mondial. Après quarante ans de carrière, je continue d’apprendre. Il y a toujours de la nouveauté dans le secteur des soins de santé, car c’est un secteur qui évolue en permanence. C’est tout particulièrement le cas aujourd’hui. La transformation à venir m’encourage à redoubler d’efforts pour maximiser le potentiel de leadership des professionnels de la santé et à rendre les organisations de notre secteur et le système dans son ensemble les meilleurs possible – afin de gérer un héritage, plutôt que simplement en laisser un.
Je compare le succès à un cercle qui s’élargit en permanence. S’ouvrir à de nouvelles expériences approfondit vos connaissances et accroît votre empathie. Lorsque ces qualités s’épanouissent, vous progressez non seulement professionnellement, mais vous aidez également les autres à s’épanouir. La première fois que je me suis rendu compte de cela, j’étais étudiante à l’École de gestion Telfer. L’environnement universitaire qui régnait à l’école était si stimulant que j’en tirais encore plus profit en saisissant des possibilités d’apprentissage qui se présentaient en dehors de mes cours et des salles de conférence. J’ai par exemple joué au basketball dans l’équipe de l’Université d’Ottawa, j’ai adhéré au groupe de conseillers aux entreprises sur le campus, et j’ai continué à élargir mon cercle d’expérience.
Je continue à suivre cette approche depuis que j’ai obtenu mon diplôme, en 1983. Comptable de formation, j’ai joué un rôle crucial en faisant en sorte que mon entreprise soit plus inclusive, ses employés plus compétents et sa marque plus reconnue. À un point tel que je suis devenue associée directrice d’Ernst & Young à Ottawa. J’ai également trouvé des moyens de contribuer à ma communauté. J’ai siégé pendant plusieurs années aux conseils d’administration de la campagne Centraide locale, de la Fondation du cancer de la région d’Ottawa, de la Fondation de santé mentale Royal Ottawa et du Bureau des gouverneurs de l’Université d’Ottawa, dont j’ai également présidé le comité d’audit.
En élargissant mes expériences dans tous ces domaines, je suis devenue une leader plus solide, j’ai assuré plus de succès à mon entreprise et à mes employés et j’ai rendu ma communauté plus accueillante. Il est très important pour moi de voir mon entreprise et ma communauté progresser. J’encourage les étudiants actuels et futurs de l’École de gestion Telfer à suivre mon exemple. Notre école offre d’innombrables possibilités d’apprendre et de donner. Saisissez-les. Élargissez votre cercle d’expérience, puis récoltez-en les fruits et partagez-les.
C’est la philanthropie qui compte le plus pour moi. L’importance de donner du temps, de l’argent et des connaissances aux autres est l’une des leçons les plus précieuses que j’ai apprises en tant qu’étudiant de l’École de gestion Telfer. Mes expériences en tant que membre de l’équipe des Jeux du Commerce de l’École, de la Société de Finance et du Club des entrepreneurs m’ont transmis cette vérité et l’ont renforcée.
Ma participation au Club des entrepreneurs a été particulièrement enrichissante. Non seulement j’ai compris le rôle que joue la philanthropie dans une carrière gratifiante, mais j’ai aussi découvert la valeur d’un mentor pour m’aider à orienter ma carrière dans la bonne direction. Heureusement pour moi, j’ai depuis lors trouvé deux conseillers qui, entre autres, ont insisté sur le fait qu’il était essentiel pour un professionnel de renouer avec son alma mater. En bref, toute personne qui prospère en affaires a le devoir de partager son succès de façon significative.
En ma qualité d’associé et de gestionnaire de portefeuille d’une société de placement, je contribue à l’École Telfer de plusieurs façons : en prenant la parole lors d’événements, en agissant comme mentor et en finançant des bourses d’études qui mettent l’accent sur la réussite scolaire et l’engagement communautaire. Il y a quelques années, j’ai basé ma philanthropie sur un principe simple : soutenir deux étudiants par an et progresser à partir de là. J’encourage les jeunes diplômés de l’École Telfer et les futurs diplômés à s’inspirer de mon exemple. Trouvez un mentor passionné par son entreprise, adoptez un principe de don qui vous convient le mieux et commencez à partager votre succès.
L’École de gestion Telfer est heureuse de vous annoncer que les récipiendaires du Prix de leadership étudiant du MBA sont : Emily MacKay, Obinna Eze, Laurine Avallone et Sanane Guy Cédric Behi. Ces individus se sont distingués par leur leadership et par leurs contributions exceptionnelles à l’AÉMBA et/ou au programme de MBA en général.
Les récipiendaires des prix ont suscité de nombreux commentaires, et la classe de MBA s'est montrée très enthousiaste à leur égard.
La classe de MBA a parlé de la contribution continue d'Emily MacKay à la cohorte MBA 2018 pour tous les contingents, en particulier son implication au-delà des attentes dans l'Association des étudiants du MBA, le gala MBA et les jeux de MBA. Citée comme leader exemplaire, elle a suscité le respect de ses camarades de classe et de ses professeurs, et elle était admirée pour sa capacité d'exceller dans ses études tout en étant très impliquée.
Obinna Eze a été félicité pour avoir utilisé sa vaste expérience pour poser les bonnes questions afin de stimuler la discussion et de tirer des informations qui ont été très bénéfiques pour l'expérience d'apprentissage collectif. Les étudiants ont exprimé leur admiration pour les solides compétences d'Obinna en matière de leadership et de travail d'équipe. Il est qualifié de « travailleur acharné animé par un désir altruiste d’aider et de motiver ses pairs ».
Laurine Avallone a été reconnue pour « sa forte volonté et sa prédisposition à réussir face à de nombreux obstacles ». Pour ses pairs, elle est un exemple de la façon dont une jeune étudiante internationale peut tirer le meilleur parti du programme grâce à sa participation à des événements représentant l'École de gestion Telfer, y compris les jeux de MBA et plusieurs autres compétitions de cas en Ontario et au Québec.
Sanane Guy Cédric Behi a été applaudi pour son leadership en tant que représentant de la cohorte francophone à l’AÉMBA. Son style de leadership a été décrit comme construit sur « le respect, l’humilité et le dévouement ». Son esprit rassembleur et son respect pour ses pairs inspirent tous ceux qui travaillent avec lui.
Nous attendons de grandes choses de ces personnes et adressons nos plus chaleureuses félicitations à chacune d’entre elles.
Cette année, la lauréate du prix Robert Wood Johnson de l’Université d’Ottawa est Belinda Maciejewski. Ce prix est décerné à l’étudiant le plus susceptible d’apporter une contribution considérable à l’avancement de la gestion des services de santé. La remise du prix Robert Wood Johnson a eu lieu à l’occasion de la Conférence nationale sur le leadership en santé, organisée par SoinsSantéCAN et le Collège canadien des leaders en santé à St. John’s (T. N.-L.) les 4 et 5 juin 2018.
Depuis sa création en 1956, le prix a été remis à près de 300 professionnels de la santé canadiens. Il est appuyé par la compagnie de produits médicaux Johnson & Johnson, en partenariat avec six grandes universités canadiennes offrant un programme de maîtrise en gestion des services de santé, notamment l’Université Dalhousie, l’Université de Montréal, l’Université d’Ottawa, l’Université de la Colombie-Britannique, l’Université de l’Alberta et l’Université de Toronto.
Après avoir obtenu le titre de comptable professionnelle agréée, comptable agréée (CPA, CA) auprès de PricewaterhouseCoopers à Vancouver, Belinda Maciejewski a décidé d’allier son sens aigu des affaires à sa passion de toujours pour le secteur de la santé. C'est ainsi que lui vient l'idée de déménager à Edmonton pour travailler pour les services de santé de l’Alberta (Alberta Health Services), à l’époque tout juste mis sur pied. Belinda a travaillé pendant plus de cinq ans en tant qu’analyste financière principale au sein de services de conseil appuyant des programmes hautement prioritaires. À ce titre, elle a découvert que la direction administrative des organisations canadiennes de soins de santé était confiée principalement à des cliniciens s’appuyant sur une formation limitée ou inexistante en affaires. Elle a également constaté qu’il existait un fossé entre les administrateurs et les cliniciens, ce qui constituait un véritablement obstacle, voire un frein au progrès.
Forte de son rôle de médiatrice entre les administrateurs et les cliniciens, Belinda a souhaité étendre la médiation au-delà du domaine de la finance en entamant le programme de maîtrise en gestion des services de santé (MGSS) de l’École de gestion Telfer à l’Université d’Ottawa.
Belinda est convaincue des avantages que des points de vue différents et des bagages professionnels variés peuvent apporter au moment de prendre des décisions éclairées et solides. Elle souhaite apporter sa contribution au changement de plusieurs façons, plus précisément en mettant les pratiques commerciales et la technologie au service des activités cliniques et en transcendant les silos qui empêchent le secteur canadien des soins de santé de devenir un système innovant digne du 21e siècle.
En décembre 2017, Belinda a également reçu le prix Michael Garron, qui reconnaît la capacité d’un étudiant du programme de MGSS de l’Université d’Ottawa à proposer des solutions de santé novatrices aux problèmes pratiques auxquels il a été confronté pendant sa résidence. Belinda a fait sa résidence à l’Hôpital d’Ottawa, et a présenté son projet intitulé « Mapping the Operational Process for the New TOH Home Dialysis Program » (cartographie du processus opérationnel dans le cadre du nouveau programme de dialyse à domicile de l’Hôpital d’Ottawa). Belinda occupe actuellement le poste de directrice de l’exploitation au sein de l’Hôpital d’Ottawa.
De gauche à droite : Sarah E Downey, Debbie Fischer, Deanna Monaghan, Gabriel Bouchard-Phillips et Michelle Savoy
Dans le cadre du Gala de l’excellence 2018 de l’École de gestion Telfer, cinq diplômés remarquables recevront les médailles Trudeau, le prix Jeune Phénix et le prix Philos du doyen pour leurs contributions exceptionnelles au monde des affaires, aux soins de santé, à leur collectivité et à leur alma mater. Le gala, qui aura lieu au Centre Shaw le samedi 20 octobre 2018, est également l’occasion de célébrer collectivement l’École de gestion Telfer et de souligner l’anniversaire de la remise des diplômes des promotions de 1968, de 1978, de 1993 et de 2008.
Médailles Trudeau
Sarah E Downey, MGSS 1992
Sarah Downey est entrée au service du Michael Garron Hospital (MGH) (anciennement le Toronto East General Hospital) en tant que présidente et chef de la direction en 2015. Avant de joindre l’équipe du MGH, Sarah a occupé des postes de haute direction au centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) et au Princess Margaret Hospital du Réseau universitaire de santé. Elle travaille dans le milieu hospitalier, depuis 25 ans, suite à l’obtention de sa maîtrise en gestion des services de santé à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Tout au long de sa carrière, Sarah a eu la chance de diriger des programmes cliniques, des services de soutien et de grands projets de réaménagement. Sarah est aussi la présidente du conseil régional à Toronto pour les diplômés de l’Université d’Ottawa.
Debbie Fischer, MGSS 1979
Debbie Fischer a occupé des postes de haute direction dans divers domaines dont celui de la consultation professionnelle, des soins de santé et du fonction publique. Elle est actuellement dirigeante exécutive de KPMG où elle agit comme consultante en matière de changements organisationnels et de transformation de systèmes à grande échelle dans les secteurs de la santé et du secteur public. Debbie est membre de plusieurs conseils d'administration, dont les Instituts de recherche en santé du Canada, le Marché Éducationnel Collaboratif de l’Ontario, l’Hôpital général North York, le Health Care Advisory Council of GS1 et Pro-demnity.
Deanna Monaghan, B.Com. 1983
Deanna Monaghan est devenue associée chez EY en 1994 et a été associée directrice du bureau d’Ottawa pendant plus de 11 ans. En outre, elle est leader nationale des Services en certification du groupe Gouvernement et secteur public et leader du marché du groupe Certification d’Ottawa. Elle continue de faire du bénévolat dans la collectivité, notamment à l’Université d’Ottawa ou elle occupe le poste de présidente du Comité de vérification et est membre du Bureau des gouverneurs. Elle est également présidente du comité d’audit de la Fondation pour la santé mentale Royal d’Ottawa.
Prix Jeune Phénix
Gabriel Bouchard-Phillips, B.Com. 2005
Gabriel est associé et gestionnaire de portefeuille chez Van Berkom et associés, une société montréalaise spécialisée dans la gestion de portefeuilles d’actions à petite capitalisation boursière pour les grands fonds de retraite, sociétés, fondations et fonds de dotation d’Amérique du Nord. En tant que gestionnaire de portefeuille de l’équipe d’actions canadiennes à petite capitalisation boursière, il est responsable de la recherche fondamentale sur les titres d’un large éventail de secteurs du marché canadien des actions à petite capitalisation boursière.
Prix Philos du doyen
Michelle Savoy, B.Adm. 1982
Michelle Savoy est présidente de Quill Ridge Capital. Elle est une philanthrope engagée qui a siégé au Conseil des champions de Grands Frères Grandes Sœurs et au Conseil de la Fondation Investir dans l’enfance; elle a aussi coprésidé plusieurs activités de collectes de fonds liées à la santé mentale des adolescents. À l’heure actuelle, Michelle appuie les droits des femmes au sein de l’organisation Human Rights Watch et participe activement à l’organisme Women United de Centraide United Way. Michelle est une Activator à SheEO et présidente-directrice générale et fondatrice de GROW (Giving Ring of Women), un groupe composé de femmes qui se consacrent à l’apprentissage de la philanthropie, à aider les femmes canadiennes à atteindre l’autosuffisance économique et à créer une communauté de donatrices.
Une fois par an, l’Ottawa Business Journal (OBJ) rend hommage à des professionnels pour leurs accomplissements dans le monde des affaires en ajoutant leurs noms à la liste « Forty Under 40 » (40 professionnels de moins de 40 ans). Ces lauréats représentent la diversité économique, l’esprit d’entreprise et le dynamisme du monde des affaires d’Ottawa. Cette année, plus de 300 candidatures ont été soumises pour la 21e édition des prix et, pour la toute première fois, la majorité de ceux qui font partie de la sélection tant convoitée — 22 sur 40 — sont des femmes.
Parmi les lauréats cette année, dix sont des diplômés de l’Université d’Ottawa, dont six ont étudié à l’École de gestion Telfer. L’École souhaite féliciter les personnes suivantes :
Priya Bhaloo, B.Com. 2003
TAG HR
Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences commerciales de l’École Telfer en 2003, avec options en finances et en systèmes d’information de gestion, Priya s’est jointe à l’entreprise The Associates Group en tant qu’adjointe aux ressources humaines. Priya a appris toutes les facettes de l’entreprise au cours des années qui ont suivi et a finalement été nommée vice-présidente de la société de consultation en 2013.
Annik Blanchard est associée au bureau d’Ottawa de BDO et possède plus de 16 années d’expérience au sein de la profession comptable. Elle a obtenu son titre professionnel comptable en 2004 et elle est membre du Chartered Professional Accountants of Ontario. Elle est également membre de l’équipe de services en certification et comptabilité du groupe de bureaux de BDO à Ottawa, membre du groupe de travail sur les organismes sans but lucratif de la région de Lakeland en Ontario et responsable du contrôle de la qualité.
Nadine est chef déléguée de la gestion des risques à la Société canadienne d’hypothèques et de logement et est vice-présidente de la vérification depuis 2016.
Scott McLaren, B.Com. 2006
Festival Promotions
Scott a acheté Festival Promotions en 2009 et est devenu partenaire et président de la société. Puis, en 2016, il a fondé avec un ancien collègue étudiant de l'École Telfer l’entreprise Baron Hockey, qui offre à ses clients des bâtons de hockey haut de gamme sans profit sur le prix de détail.
Amy est vice-présidente des Affaires publiques, planification et médecine familiale. À ce titre, elle fournit du leadership relativement au processus de planification de Bruyère, à l’établissement de partenariats, au renforcement de relations externes et aux communications, et en assure la surveillance. Elle a plus de 12 ans d’expérience au sein d’équipes de haute direction dans la région d’Ottawa à Bruyère et au Centre de traitement pour enfants d’Ottawa.
Taylor est directeur de l’exploitation et vice-président des finances de l’entreprise spécialisée en technologies Fullscript du centre-ville. Depuis qu’il s’est joint au système en ligne de prescription et de livraison de produits de santé naturels en 2012, le nombre d’employés de l’entreprise est passé de 5 à 85 et l’entreprise s’est classée en 2016 et 2017 en tête de liste du classement de l’OBJ des entreprises dont la croissance est la plus rapide.
L’École de gestion Telfer souhaite également féliciter Jean-Michel Carrière, Samantha Iturregui, Anna Lambert et Sandra Sbrocchi, tous diplômés de l’Université d’Ottawa et figurant sur la liste.
Cette année, le gala des prix « Forty Under 40 » aura lieu le 15 juin 2018 à l’hôtel Hilton Lac-Leamy. Le programme de MBA pour cadres de l'École Telfer fait partie des commanditaires de cet événement où seront servis des cocktails, de la cuisine raffinée, le tout accompagné par de la musique et de la danse. Cliquez ici pour vous inscrire au gala « Forty Under 40 » 2018.
