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- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiante au B.Com. à Telfer, je me rappelle très bien chaque année passée à l’Université d’Ottawa, plus précisément à Telfer. La majorité des étudiants ne savent pas à quoi s’attendre lorsqu’ils arrivent en première année d’université, car, quel que soit l’endroit où ils ont fait leur secondaire, le milieu universitaire est très différent de la routine habituelle du secondaire.
Au fil des ans, je remarque que des connaissances essentielles, des conseils et de l’information m’auraient été bien utiles en première année, où tout change et devient déroutant. C’est pourquoi j’ai fait une liste de trois conseils qui pourraient aider les étudiants de première année avant qu’ils commencent leur carrière universitaire. J’espère que cette information te sera utile comme elle me l’aurait été lors de ma première année.
Conseil no 1 : Sois prêt à ajuster tes stratégies d’étude
La première année est la plus ambiguë, car elle est généralement différente pour la plupart des étudiants. Cependant, la majorité peut attester se sentir choquée, confuse, et comme si elle essayait de réapprendre à marcher. La plupart d’entre nous avons une bonne idée de comment étudier grâce à nos cours du secondaire, cependant, il y a beaucoup plus de matière à apprendre sur une courte durée à l’université.
Par ailleurs, tu remarqueras que selon les cours ou même selon les professeurs, ta méthode d’étude sera différente. Par exemple, un cours qui comprend beaucoup de lectures te demandera de lire tes manuels chaque semaine. Si tu écris tes notes de cours sur un ordinateur, tu voudras aussi le faire pour toutes tes notes de lecture; cela facilitera ta session d’étude en vue des examens. Dans tes cours plus pratiques, tels que comptabilité générale et comptabilité de gestion, il vaudra mieux que tu écrives tes notes à la main, car au lieu de faire des lectures hebdomadaires, tu feras des exercices sur du papier. Par conséquent, tu devras envisager d’adapter ta stratégie d’étude pour chacun de tes cours. D’ailleurs, il est possible que ta stratégie soit différente de tes amis, ce qui est très normal.
Si possible, trouve une méthode de prise de notes pour tous tes cours dès la première semaine. Plus tôt tu t’y prends, plus facile ce sera d’étudier pour tes examens de mi et de fin de session. Ça peut paraître tout simple, mais c’est essentiel pour ne pas être trop débordé pendant la période d’examen de mi-session et avoir à trop travailler pour organiser tes notes, alors que tu devrais étudier. Bref, ne manque pas l’explication du plan de cours!
Conseil no 2 : Sois à l’affût des opportunités à ta disposition
Outre les cours et les études, la première année est consacrée à l’exploration et à l’apprentissage de soi-même. Tu entres dans un tout nouveau monde, où des occasions s’offrent à toi en permanence : être membre ou même délégué de première année d’un club à Telfer, faire du bénévolat pour des clubs en dehors de Telfer, trouver un emploi sur le campus, ou participer à des événements et des ateliers organisés par le Centre des services aux étudiants de Telfer, comme le programme de mentorat ou le Centre des carrières de Telfer.
Ne te laisse pas abattre! Selon le type de personne que tu es, tu voudras peut-être attendre l’année suivante pour t’inscrire à des activités parascolaires, ou tu voudras en rejoindre autant que possible le jour de ton arrivée. Il n’existe pas de mauvaise stratégie, tant que tu ne te limites pas dans ton exploration de nouvelles opportunités pendant trop longtemps, qu’il s’agisse d’activités parascolaires ou simplement de participer aux événements sur le campus. Tu apprendras assez vite que Telfer regorge d’opportunités à t’offrir, et donc, pour tirer le meilleur parti de ton expérience universitaire avant que tu obtiennes ton diplôme, participer à des événements qui t’intéressent ou à des activités parascolaires contribuera grandement à ton épanouissement personnel et professionnel.
Conseil no 3 : Le mauvais stress n’est pas inévitable
C’est bien connu, l’université c’est stressant. La plupart d’entre nous suivront quatre ou cinq cours par trimestre, chacun demandant beaucoup de temps et d’énergie. Il peut être extrêmement difficile de maintenir un équilibre entre les cours, les activités parascolaires, la vie sociale, les tâches ménagères, cuisiner et préparer des repas, le sport, les déplacements et tout le reste. Il est important de réaliser qu’il est irréaliste de pouvoir atteindre l’équilibre parfait, que ce soit en tant qu’étudiant, adulte actif, parent, etc. Par conséquent, au lieu de stresser sur ton manque d’organisation, consacre plus ce temps à créer une routine qui correspond à ton mode de vie et à tes priorités. Plus tu seras conscient de ta situation, plus tu seras proche d’un parfait équilibre (mais souviens-toi que notre vie ne pourra jamais être parfaitement méthodique et que c’est normal!).
Un autre élément important à considérer est que l’université, bien que stressante, ne doit pas être un fardeau pour ta santé mentale et physique. La « culture du stress » est malheureusement souvent acceptée à l’université avec que la souffrance est dite normale. Il n’est pas nécessaire de souffrir pour être un bon étudiant.
Je classe souvent le stress en deux catégories : le stress négatif et le stress positif. Le stress positif est inévitable, car l’université est un environnement angoissant, trépidant et très chargé, et il est BON de vivre un stress qui te pousse à travailler efficacement, à être organisé et à prendre de bonnes décisions sur la façon dont tu passes ton temps. Le stress négatif, en revanche, est un stress éprouvant qui nuit à ta santé mentale et physique. Il survient lorsque nous ne prenons pas les mesures nécessaires, donc il n’est PAS inévitable. Tu peux réussir tes études universitaires sans avoir à nuire à ta santé physique et mentale. Tu n’as pas à passer des nuits blanches à étudier pour tes examens et à compromettre ta vie sociale pour réussir.
En première année, nous apprenons encore à gérer notre temps, à déterminer quelle routine nous convient le mieux et à prendre conscience de nos priorités et de nos limites. Par conséquent, attends-toi à vivre du stress, mais pas à en souffrir négativement. Sois patient avec toi-même, sois auto-veillant et tire le meilleur parti de ton stress positif.
Lorsque j’étais en première année, et même en deuxième année, j’étais constamment stressée, dépassée et anxieuse, car je ne savais pas quelle était ma méthode d’étude ou mes priorités, et comment gérer mon temps. Tous les étudiants passent par là quand ils commencent l’université. Cependant, j’aurais pu réduire ce mauvais stress en étant plus réaliste avec moi-même et en me disant que je suis encore en train d’apprendre qui je suis, quelles sont mes priorités et quel genre d’étudiante je suis.
Ce qui a aggravé mon niveau de stress, d’ailleurs, était le fait que je n’avais aucune idée des trois conseils mentionnés ci-dessus. J’ai compris trop tard que je devais créer une stratégie d’étude pour chaque cours dès la première semaine de cours, que je ne devais pas comparer mes méthodes et ma routine à celles de mes amis, et quelle était la différence entre le bon et le mauvais stress. Par conséquent, j’espère qu’en lisant ces conseils, tu seras mieux préparé mentalement et plus informé sur ce à quoi t’attendre et quoi faire lors de ta première année universitaire.
Bonne chance et n’hésite pas à me contacter ou à contacter le Centre des services aux étudiants de Telfer si tu as besoin de trucs, de conseils et d’aide!
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Vous êtes un étudiant international qui doit choisir sa prochaine université partenaire? L’École de gestion Telfer vous fait de l’œil et vous voulez connaître mon avis en tant qu’étudiante Française sur mon expérience de quatre trimestres ici? Alors ne vous inquiétez plus, vous êtes au bon endroit pour avoir vos réponses.
Dans ce blog, je vais couvrir l’ensemble des questions que m’ont posées les étudiants de KEDGE Business School (mon école de commerce en France) qui devaient choisir leur université partenaire parmi une quinzaine proposée.
Je suis moi-même passée par là et je sais à quel point il peut être stressant de choisir l’endroit où vous allez passer les prochaines années de vos études, surtout quand cela peut être de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada, dans une université reconnue.
LA VIE SCOLAIRE
À Telfer, il y a le trimestre d’hiver, celui d’été et celui d’automne. Pour ma part, j'ai participé à ceux d’hiver et d’automne. Un trimestre équivaut à environ 3 mois de cours. Les cours commencent début janvier, se terminent début avril, et les examens commencent à la mi-avril jusqu’à la fin avril. Vous avez une semaine de vacances mi-février que vous pouvez utiliser comme semaine de révision pour vos partiels de mi-session qui sont juste après. Pour le trimestre d’automne, c’est pareil : les cours commencent début septembre, et se terminent début décembre pour faire place aux partiels à partir de la mi-décembre, jusqu’au dernier vendredi avant les vacances de Noël. La semaine d’étude est à la mi-octobre. Sachez donc que vos vacances d’été durent 4 mois. Profitez-en pour faire des stages, prendre un emploi étudiant (ou bien juste vous reposer 4 mois au bord de la piscine 😉).
Chacun des 5 cours sont enseignés en 30 h sur le trimestre. Il y a 15 h de cours par semaine, cela vous donne des semaines assez légères en termes de temps passés en cours, ce qui peut vous permettre d’avoir un job étudiant à côté. Le travail personnel est selon moi assez conséquent.
Le partenariat entre mon école et Telfer comprend le fait d’avoir 60% des cours en français et 40% en anglais car Telfer souhaite garder cet esprit bilingue français-anglais, propre à la culture canadienne. Sachez que de mon point de vue, cela n’a que très peu affecté mon niveau d’anglais, car je l’ai plutôt amélioré grâce à mes rencontres avec des étudiants internationaux, et la vie de tous les jours en général.
Concernant les cours, lors des deux premiers trimestres, les 5 cours sont obligatoires et non sélectionnés par l’étudiant, puis pour les deux derniers trimestres, vous avez deux cours obligatoires et 3 cours que vous choisissez vous-même. Dans l’ensemble j’ai trouvé les professeurs intéressants, passionnés, et à l’écoute.
Si vous avez peur de ne pas passer un cours lors des examens de mi ou de fin de session, ne vous inquiétez pas; vous ne redoublerez pas. Vous allez simplement reprendre le cours le trimestre suivant afin de le retravailler, et d’obtenir la note de passage.
MES CONSEILS POUR LES LOGEMENTS
Concernant les logements, vous pouvez aller en résidence étudiante sur le campus pour le premier trimestre (plus d’informations sur les résidences étudiantes). C’est ce que j’ai fait et selon moi, c’est la meilleure façon d’être au cœur de la vie étudiante et de vivre avec des étudiants internationaux. J’étais dans la résidence Marchand. Vous pouvez avoir une chambre seul ou à deux. Certes, les chambres sont petites et les salles de bain sont à partager, mais vous vivrez une véritable expérience d’étudiant en échange universitaire au Canada. J’ai beaucoup amélioré mon anglais durant ce trimestre et j’ai fait de superbes rencontres.
Pour les trimestres suivants, vous connaîtrez mieux la ville, donc si l’expérience de résidence étudiante ne vous a pas plu, ou que vous souhaitez changer, vous pouvez louer une maison avec plusieurs autres étudiants (c’est toujours mieux d’être avec des étudiants internationaux pour améliorer votre anglais). Je vous conseille de regarder sur Kijiji pour rechercher des maisons à louer, ou bien d’aller sur les groupes Facebook « Apartment Rentals OTTAWA » ou « Ottawa Housing, Rooms, Flats, Apartments, Sublets ».
Les prix des loyers varient mais globalement, pour un appartement en plein centre, vous en aurez pour environ 600€ ou USD $690. J’étais dans une colocation à 5 dans le quartier « Golden triangle », à 15/20 minutes de l’Université à pieds et je payais 500€. La vie est en moyenne similaire au coût de la vie en France concernant les courses. Je ne prenais jamais les transports (même l’hiver à -20°C, il faut être vaillant 😉). Concernant les quartiers où chercher un appartement, je vous conseille Golden Triangle, Sandy Hill, ou encore Lower Town.
LA VILLE D’OTTAWA ET SA VIE ÉTUDIANTE
Ottawa est peut-être la capitale du Canada, mais la ville reste très tranquille, et familiale. Tout est concentré dans le centre-ville. Vous trouverez différents musées, le Marché By - qui est un endroit avec des cafés, des bars/boîtes de nuits, et des petits commerçants (et surtout des bonnes queues de castor de BeaverTails!). Tout près de l’université, il y a un très grand centre commercial, le Centre Rideau. Ottawa est aussi et surtout connu pour le canal Rideau qui gèle en hiver et devient la plus grande patinoire extérieure au monde. Il y a aussi le parc de la Gatineau, de l’autre côté de la rivière à Gatineau au nord de la ville, qui est un endroit splendide que j’ai eu la chance de découvrir avec les magnifiques couleurs automnales et qui est rempli de lacs et de balades. De plus, Montréal se trouve à seulement deux heures de bus. Enfin, je vous conseille vivement le Parc Oméga, une réserve naturelle où vous pouvez voir des animaux tels que des ours, loups, bisons, renards…
La vie à Ottawa en tant qu’étudiant ne sera pas aussi mouvementée que celle à Montréal ou Toronto par exemple, mais il suffit d’être bien entouré (avec plus de 40 000 étudiants sur le campus, vous pouvez facilement faire des rencontres) et de participer aux soirées organisées par l’Université pour la vivre pleinement.
L’Université d’Ottawa propose de multiples sorties organisées à faire entre étudiants (lorsque possible), comme un week-end prolongé à New York, à Chicago, ou autre.
Enfin, ce qui ne manque pas sur le campus ce sont les installations sportives et en tant que passionnée de sport, cela m’a ravie : deux salles de sports immenses, une piscine olympique, un terrain de hockey, de football américain (soccer), plusieurs gymnases, etc.
COMMENT PALLIER AVEC LE FROID CANADIEN? (Vu sous l’œil d’une dépendante à la chaleur)
En hiver, à Ottawa, il fait froid, très froid! Les températures varient entre 0°C et -20°C (pour les plus chanceux, vous pouvez même tomber sur des tempêtes hivernales et vivre sous les 30°C). Mon meilleur conseil est de vous fournir en vêtement d’hiver en arrivant au Canada, surtout en ce qui concerne les manteaux d’hiver et les pulls. J’ai acheté mon manteau d’hiver chez Aritzia (regardez aussi chez SportCheck ou Canada Goose, pour les gros budgets, au Centre Rideau), les prix sont plus bas que si vous l’achetez en France et surtout, les magasins canadiens proposent des produits bien plus adaptés. En ce qui concerne les sous-pulls thermiques, les collants à mettre sous les pantalons, les gants, les bonnets et autres je vous conseille UNIQLO. Pour les chaussures, vous en trouverez beaucoup sur place qui font l’affaire, mais personnellement j’ai choisi les Timberland montantes et j’en étais très satisfaite.
VOUS ÊTES EN AMÉRIQUE, VOYAGEZ!
Beaucoup me demandent si j’ai eu l’opportunité de voyager pendant mon séjour canadien. Je pense que ces gens n’ont pas consulté mon blog voyage 😉! Je suis une amoureuse du voyage et vivre à Ottawa vous permet de vous rendre à pleins d’endroits sympas pour beaucoup moins cher que si vous partiez d’Europe. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais en un an, j’ai eu la chance d’aller à Montréal, à Toronto, aux chutes du Niagara, à New York (7/8h de bus depuis Montréal), au Mexique (Tulum, Cancún), à Miami et Orlando. Mon périple s’est arrêté là, à cause de la COVID-19 (ce n’est que partie remise!).
J’espère sincèrement que toutes ces informations vous seront utiles si vous êtes un futur étudiant international en échange universitaire au Canada, et que j’aurai répondu à la majorité des questions que vous vous posez. Si vous désirez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter! Mon mail est
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Qu’il s’agisse des clubs étudiants, de la qualité de l’enseignement ou du développement personnel et professionnel, étudier à l’École de gestion Telfer est une expérience unique.
Les étudiants en parlent avec fierté et il est évident qu’être membre de la Telfer Nation signifie avant tout faire partie d’une communauté exceptionnelle au sein de la grande famille de l’Université d’Ottawa.
Voici les 3 raisons qui, selon moi, font de Telfer une faculté si spéciale :
1- Étudier en anglais, en français ou dans les deux langues officielles
L’Université d’Ottawa est considérée comme étant la plus grande université bilingue (anglais-français) du monde. En tant qu’étudiant international et originaire d’un pays francophone, venir étudier à Telfer dans la ville d’Ottawa était la meilleure manière pour moi d’améliorer mon anglais, tout en étudiant en français. La plupart des cours sont offerts dans les deux langues, ce qui constitue un avantage considérable en terme de bilinguisme.
2- Développement personnel et professionnel
Au-delà de la formation universitaire, je pense qu’une université doit être en mesure de contribuer au développement personnel et professionnel de ses étudiants. Ce critère en a été un de choix lorsque j’étais au secondaire et que j’ai fait mon choix d’université.
Ainsi, en plus de pouvoir s’inscrire au programme d’enseignement coopératif, l’École de gestion Telfer offre également différentes options intéressantes comme le Programme sur les marchés financiers (CMP) pour les étudiants en finances, le Programme de mentorat ou encore le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) pour les étudiants intéressés par la consultation, pour ne citer que ceux-là.
De plus, grâce au Centre des carrière de l’École de Gestion qui organise une multitude d'événements avec des employeurs et qui accompagne les étudiants de Telfer pour tout ce qui relève du développement professionnel (CV, lettre de motivation, entrevue, etc.) on se sent bien outillé à entrer sur le marché du travail et à tirer profit de nos connaissances académiques.
Enfin, les associations et clubs étudiants sont les éléments qui forgent le plus l’identité de l’École de gestion Telfer. Les étudiants impliqués dans la dizaine de clubs à Telfer organisent chaque année une multitude d’activités sociales et d’évènements de réseautage, participent à des compétitions et contribuent au rayonnement de notre faculté sur le plan national. C’est aussi une bonne manière pour les étudiants de rencontrer d’autres personnes avec des intérêts communs et de se bâtir un réseau pour l’avenir.
3- Le RTE (Le régime travail-étude)
Bien qu’il ne soit pas exclusif à l’École de gestion Telfer, le Régime travail-études offert par l’Université d’Ottawa constitue selon moi l’une des meilleures opportunités offertes aux étudiants. En tant qu’étudiants, il est souvent difficile de concilier nos études et notre vie personnelle, mais cela devient encore plus difficile quand il faut trouver un emploi. De ce fait, le RTE permet aux étudiants de trouver un emploi rémunéré, administratif ou non, sur le campus et à seulement quelques minutes de leurs salles de cours.
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Lorsqu'on est au lycée, il est difficile pour tous, et particulièrement pour les étudiants internationaux, de trouver le programme d'étude universitaire qui nous convient le plus. Face à la multitude de possibilités qui s'offrent à nous, aussi bien en terme de programme d'étude que du choix de la ville et de l'université, cette tâche s'avère stressante et éprouvante. Pour ma part, je viens de la Côte d'Ivoire en Afrique de l'ouest, et je suis venu au Canada pour la première fois en 2017 pour y faire mes études.
À ce moment – et je pense que c’est le cas pour beaucoup d’étudiants – je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard, que ce soit pour ma future carrière ou pour mes études universitaires. Je me contentais d’avoir de bonnes notes sans vraiment me rendre compte que seulement quelques années me séparaient de l’université. Arrivé en dernière année de lycée, j’ai commencé à ressentir la pression lorsqu’il a fallu que je choisisse une université et un programme d’étude, et cela n’a pas été de tout repos.
Trouver mon programme
Au départ, le choix de l’université s’est fait assez facilement. Mon frère était déjà étudiant à l’Université d’Ottawa, alors c’était le choix évident pour moi également. Cependant, le plus grand défi a été de me trouver un programme d’étude. Pendant mes recherches, je me suis rendu compte que l’une des choses que j’aimais le plus faire pendant mon temps libre était de lire et de me renseigner sur les entreprises et leurs fondateurs, non pas pour les activités et les services qu’elles offraient, mais surtout pour leur histoire et le processus ayant conduit au succès de ces entreprises.
La seule option qui, selon moi, se rapprochait de cet intérêt était de faire des études en gestion. Je me suis donc inscrit à Telfer en management en ayant à l’esprit d’être un jour mon propre patron. Au bout d’une année d’étude, j’ai appris qu’il y avait une option complémentaire en entrepreneuriat dans ma faculté. C’était une option parfaite pour moi, d’autant plus que les choix de cours étaient liés à mes champs d'intérêt et qu’elle me permettait de finir mon bac dans le même temps. J’ai donc complété mon inscription et ça a été pour moi un pas de plus dans mon parcours universitaire vers la carrière que je souhaite bâtir.
Aujourd’hui, en 3e année du bac, après avoir débuté mes cours de l’option, je peux affirmer que mon ambition d’entrepreneuriat se confirme de jour en jour. L’aspect pratique de ces cours était ce qui me manquait dans la plupart de mes cours théoriques. J’ai eu l’occasion, par exemple, d’analyser un film relatant la vie d’un entrepreneur, de participer à une conférence sur l’entrepreneuriat, et même de rencontrer un entrepreneur avec qui j’ai discuté de son parcours dans le but de rédiger un rapport.
D’une passion à une carrière
Toutes ces activités étaient des choses que j’avais l’habitude de faire ou que j’ai toujours voulu faire et j’estime que cela me permettra de développer des compétences importantes comme le travail d’équipe, la créativité ou l’esprit d’initiative qui, à la longue, me seront très utiles lorsque je me lancerai en affaires.
Pour le moment, bien que je n’aie pas encore trouvé mon idée d’entreprise, je suis déterminé et je sais qu’un jour j’atteindrai mes objectifs. On s'en reparlera un jour!
- Catégorie : La voix des étudiants
Beaucoup d’étudiants au premier cycle ne savent pas exactement ce qu’ils désirent obtenir de leur diplôme en gestion, malgré leur intérêt pour le domaine. Cela a été la même chose pour moi lors de ma première année. En ce qui me concerne, faire un stage dès le début m’a permis de mieux comprendre le monde des affaires dans lequel je me lançais et de me faire une idée plus précise de mon plan de carrière.
Alors, comment ai-je réussi à obtenir un stage lors de ma première année universitaire? Je crois que c’est grâce à un mélange d’initiative et de chance. Voici les trois principaux facteurs qui, selon moi, m’ont permis d’obtenir un stage en début de bac :
1. S’instruire
Avant même de commencer ma première session, je savais que je voulais profiter au maximum de mon expérience à l’École de gestion Telfer. Je pouvais y parvenir de différentes manières, que ce soit en utilisant les ressources de l'école pour des projets liés à l'entrepreneuriat ou en recherchant de nouvelles opportunités, telles que l'obtention d'un emploi bien rémunéré.
J’avais déjà suivi des cours sur le commerce au secondaire, mais j’ai aussi lu des livres sur le sujet et sur la psychologie humaine. Ces connaissances m'ont donné confiance pour le moment où je commencerais à rencontrer des gens à l'université et dans le monde des affaires.
2. S’impliquer
Lors de mon premier trimestre, à la recherche de possibilités, je me suis tourné vers les clubs étudiants de Telfer. Lors d’un événement de réseautage, j’ai rencontré le président du Club des entrepreneurs (TECDE) de l’époque, Ned Tighe, et la vice-présidente du marketing, Aveen Habib et ils m’ont présenté le club. J’ai ensuite eu la chance d’être choisi comme leur représentant de première année dans l’équipe de direction du club.
En rejoignant TECDE, j’ai pu mieux comprendre la totalité des événements ouverts aux étudiants à Telfer, et me rapprocher d’étudiants plus expérimentés que moi. Je pense que cela a également joué un rôle important dans l'établissement de ma crédibilité lorsque j'ai postulé pour un emploi par la suite.
3. Réseauter
Tout au long de l'année scolaire, j’ai fait du réseautage. J’ai eu la chance de rencontrer de nouvelles personnes lors de plusieurs événements au courant de l’année scolaire, notamment aux salons de l’emploi de l’école, aux ateliers du Centre des Carrières de Telfer et aux événements organisés par les clubs, comme des visites de bureaux au centre-ville.
C’est lors d’une visite chez Klipfolio, une entreprise de technologie située à Ottawa, que j’ai rencontré Robert Shapiro, leur gestionnaire des ressources humaines. À la fin de la visite, je lui ai demandé s’il voulait bien me rencontrer pour un café, et il a accepté. J’étais vraiment content qu’il accepte de me parler de lui et de la compagnie. Il m'a rapidement parlé d'une ouverture qui n'avait pas encore été publiée sur leur site web. Après avoir préparé un projet d’analyse de données, j’ai obtenu une entrevue et j’ai obtenu ce que je désirais : un poste de stagiaire.
Alors, voilà ma recette : si tu t'instruis à l'avance, que tu t'impliques à l'université et que tu profites des possibilités de réseautage, tu pourrais toi aussi être sur le point d'obtenir un poste de stagiaire. Ces démarches te donneront une chance et un avantage lors de déterminer le parcours professionnel que tu désires.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
En tant que nouvel étudiant à Telfer, vous avez beaucoup à apprendre en ce qui concerne les caractéristiques du programme et des cours. Si vous souhaitez en savoir plus sur la création de votre horaire de cours, le choix des options de votre programme, les études en français et en anglais et les échanges internationaux, jetez un œil à cette discussion entre étudiants d'Université d'Ottawa.
Conversation en direct sur Instagram
Au printemps dernier, uOttawa Future a animé des séances de questions-réponses en direct sur Instagram avec des étudiants actuels de chacune des facultés de premier cycle de l’Université d’Ottawa.
Fiona Doomasia, une étudiante de quatrième année en marketing, a discuté avec la représentante d’uOttawa Future et étudiante de troisième année en sciences sociales, Narimane Ait Hamou, au sujet de l’expérience étudiante tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des salles de classe. Elles ont notamment parlé de comment bien établir un horaire de cours et comment apporter des modifications à son programme, ainsi que des clubs et emplois offerts sur le campus.
Voici les principaux sujets dont elles ont discuté :
Cours
1. Choix de cours :
Certaines personnes se questionnaient sur les cours à prendre en première année et sur la meilleure façon de les choisirent. Le conseil que Nari et Fiona leur ont fourni pour établir le meilleur horaire de cours est essentiellement : faire ce qui vous convient le mieux!
Fiona a suggéré de mettre les cours et les créneaux horaires disponibles sur l’outil de recherche de cours de l’uoCampus afin de voir quels sont vos choix, puis de sélectionner les cours qui correspondent le mieux à votre emploi du temps. Les cours ont lieu entre 8 h 30 et 22 h et durent généralement 1 h 30 ou 3 heures. Elle a ajouté que si une journée complète d’environ six heures de cours vous convient et que vous prenez le transport en commun pour vous rendre au centre-ville d’Ottawa, vous pouvez programmer plusieurs cours en une journée. Cela peut vous aider à avoir un jour de congé ou une journée plus courte avec beaucoup de temps libre pour les devoirs, les projets de groupe, une association étudiante ou vos autres engagements.
Nari a également recommandé de rencontrer un conseiller pédagogique qui peut vous aider à établir votre horaire de cours, à vous assurer que vous suivez la séquence de cours dont vous avez besoin pour obtenir votre diplôme, à choisir des cours à option, et plus encore. Nos conseillers pédagogiques sont disponibles à tout moment pendant vos études de premier cycle, donc si vous avez besoin d’aide après la première année, vous pouvez toujours les contacter.
Consultez la séquence de cours de votre programme pour l’ensemble de votre parcours universitaire de premier cycle ici, en cliquant sur l’option ou la spécialisation de votre programme, puis cliquez sur « Séquence de cours PDF » sous « Liens utiles ».
2. Taille des classes :
Fiona et Nari ont également parlé de la taille d’une classe typique des différentes années du bac. Selon le cours, la plupart de vos classes de première année peuvent compter entre 150 et 400 étudiants. Un cours comme Introduction à la microéconomie (ECO 1504) est requis dans plusieurs programmes et sera donc rempli d’étudiants de différentes facultés, ce qui donne une classe plus nombreuse pouvant aller jusqu’à environ 400 étudiants. Vous pouvez également choisir de suivre un cours à option à la Faculté des sciences sociales qui, par exemple, est plus proche de 250 étudiants s’il s’agit d’un cours de première ou deuxième année (commençant par 1000 ou 2000 dans le code du cours). Un cours comme Introduction à la gestion des affaires (ADM 1700) serait plus proche de 150 à 200 étudiants dans une salle de classe, car tous les étudiants Telfer en première année sont tenus de suivre ce cours. Au fil des années, vous remarquerez que la taille des classes diminue et compte entre 60 et 80 étudiants, ce qui est courant en quatrième année pour des cours spécifiques à votre spécialisation, comme marketing et technologies numériques (ADM 4726).
Modifications au programme d’étude et langues
1. Changer d’option de programme ou de spécialisation :
À l’École de gestion Telfer, vous choisissez l’option que vous souhaitez parmi celles proposées, mais tous les étudiants au baccalauréat en sciences commerciales suivent les mêmes cours en première et deuxième année. Cela vous donne le temps, au cours de vos deux premières années d’études, de décider du domaine en commerce qui vous intéresse le plus et vous pouvez, au besoin, changer de programme. Si vous avez commencé en marketing, mais devenez intéressé par la comptabilité, vous pouvez passer à la comptabilité avant de commencer votre troisième année, où les cours deviennent plus spécifiques. Vous pouvez le faire en troisième ou en quatrième année, mais vous devrez probablement poursuivre vos études un peu plus longtemps, car ce ne sont pas tous les cours qui permettent un transfert de crédits. Vous devrez suivre tous les cours obligatoires identifiés dans la nouvelle séquence de cours afin d’obtenir le diplôme souhaité. Pour toute question à ce sujet, vous pouvez contacter votre conseiller pédagogique au Centre des services aux étudiants de Telfer.
2. Étudier dans la langue de votre choix :
Vous pouvez choisir d’étudier dans la ou les langues de votre choix : entièrement en français, entièrement en anglais ou un mélange de français et d’anglais. Vous pouvez vous inscrire au Régime d’immersion en français qui exige qu’un certain nombre de cours soient suivis en français.
Programme d’échange international
Tous les étudiants de Telfer peuvent participer à un échange international au courant de leurs études. Que vous soyez en gestion internationale et devez faire un échange obligatoire ou dans un autre programme à Telfer, vous pouvez prendre rendez-vous avec l’un de nos conseillers pédagogiques pour discuter de vos options.
Si vous envisagez de participer à un échange, ils peuvent vous aider à choisir la meilleure session pour faire un échange en fonction des cours que vous devez suivre à l’Université d’Ottawa et de ceux que vous pouvez suivre à l’étranger. Si vous êtes dans le programme coop, ils peuvent également vous aider à déterminer si vous remplissez toutes les conditions requises pour l’enseignement coop et vos cours.
- Catégorie : La voix des étudiants
Choisir une université peut sembler très facile, mais ceux qui y sont passés savent que c’est une décision extrêmement difficile à prendre. Ce qu’offre une école sur le plan académique est important, mais tu dois aussi tenir compte des éléments parascolaires dans ta décision. Cela te permet de t’inscrire à une école qui s’harmonise à ta personnalité et ton style de vie.
Étant donné que choisir une université est une grande décision, tu dois prendre ton temps pour bien chercher et comparer tes options. Ça tombe bien, car j’ai fait une liste pour te conseiller sur comment choisir une université. Lors de tes recherches, n’oublie pas de prendre en compte non seulement tes besoins à court terme (première année), mais aussi tes objectifs à long terme (deuxième, troisième et quatrième année).
1. Informe-toi sur le programme
La chose la plus importante à faire lors du choix d’une université est le programme. Après avoir trouvé ton programme, il est important de comparer les différentes universités. Par exemple, l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa offre une séquence de cours différente de l’Université de Guelph dans son programme de baccalauréat en sciences commerciales. De plus, tu dois tenir compte des possibilités de stage que les écoles peuvent t’offrir et de la possibilité de participer à un programme coopératif, si cela t’intéresse. Il est essentiel lorsque tu prends ta décision que tu sois informé des différences entre les programmes de ton choix dans toutes les universités que tu envisages de fréquenter.
2. Utilise les classements des universités pour te guider
Après avoir fait des recherches sur le programme, il est important que tu te renseignes sur la réputation des universités que tu as sélectionnées. Pour ce faire, tu dois d’abord choisir les facteurs qui sont les plus importants pour toi. Que ce soit pour classer la réputation nationale, l’expérience étudiante ou les activités parascolaires, l’outil de classement « Build Your Own Ranking » de Maclean’s est le meilleur moyen de comparer les classements des universités.
3. Informe-toi sur le mode de vie
Un autre facteur important à prendre en compte lors du choix d’une université est le mode de vie, notamment les activités parascolaires telles que les sports, les clubs et les activités proposées sur le campus. Pour certains étudiants, ces activités parascolaires façonnent leur expérience universitaire. Si c’est ton cas, il est extrêmement important de faire des recherches sur ce sujet avant de prendre une décision. La plupart des universités disposent d’une page consacrée aux activités parascolaires proposées sur leur campus. Le style de vie comprend également l’ambiance de la vie hors campus. Il peut être difficile de s’informer sur la vie hors campus, mais la meilleure façon d’en apprendre davantage sur le sujet est d’en discuter à un ami ou à une personne avec qui tu communiques et qui fréquente ou a fréquenté l’université.
4. Informe-toi sur le campus et les installations et ressources offertes
L’atmosphère du campus est extrêmement importante, car tu vas y passer au moins les quatre prochaines années. La première chose à faire est de décider si tu veux fréquenter une petite université ou une plus grande université. Une fois que tu as pris ta décision, tu devrais faire de petites recherches sur chaque campus. Surtout sur les bâtiments (en particulier celui qui est propre à ta faculté) ainsi que sur les installations telles que les gymnases, les bibliothèques, les résidences, les services de restauration, etc. Parallèlement, il est important de te familiariser avec les ressources offertes sur le campus. Notamment les services d’orientation, les services d’aide scolaire, les services de santé, etc.
Faire tout ça peut sembler énorme, mais te familiariser avec le campus t’aidera à prendre la bonne décision pour toi. La meilleure façon de faire des recherches est de découvrir le campus et de participer à une visite organisée par l’université. Si tu n’es pas en mesure de le faire, assure-toi de faire des recherches approfondies. Plusieurs universités proposent même des visites virtuelles de leur campus!
5. Informe-toi sur la ville où se trouve l’université
Une fois que tu auras choisi une université, tu vivras dans cette ville pendant au moins quatre ans. Il est donc important de t’informer sur ce qu’elle offre! Oui, y compris des choses à faire avec des amis, comme des endroits pour manger. Cela comprend aussi des choses essentielles comme les épiceries, les transports en commun et d’autres services importants. Réfléchis à tes besoins et détermine si la ville y répond. Voici deux sites web qui pourront t’aider dans tes recherches : Tripadvisor et Yelp.
6. Informe-toi sur les bourses d’études offertes par tes universités de choix
Obtenir de l’aide financière pour les études postsecondaires peut être long, donc fais-le le plus tôt possible. Lis « six conseils pour recevoir des bourses d’études », cela en vaut la peine. Il existe plusieurs voies de financement, notamment les subventions, les bourses et les prêts étudiants, entre autres. En général, les subventions et les bourses n’ont pas à être remboursées tant que tu remplis les exigences requises pour en bénéficier. Les prêts étudiants doivent être remboursés. Des outils d’aide financière pour les étudiants canadiens se trouvent dans le guide Smart Student Guide to Financial Aid ; cette source comprend des programmes d’aide financés par les provinces. Scholarships Canada est une base de données consultable contenant des milliers de bourses d’études et de prix pour les étudiants qui entament leur première année d’études postsecondaires au Canada.
Choisir une université est extrêmement difficile. En faisant tout ce qu’il y a sur la liste ci-dessus, tu seras suffisamment préparé pour prendre une décision quand viendra le temps. En tenant compte de ces facteurs, je suis sûre que tu trouveras l’université qui te convient le mieux.
Après avoir lu cet article, j’espère que tu auras un peu plus d’indications pour faire tes recherches. Si tu ne sais pas par où commencer, je te suggère de commencer par consulter le carrefour de Maclean’s Education, où tu trouveras toute une série d’information concernant les études, l’argent, la vie étudiante et les classements.
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Si tu es un étudiant en gestion ou un étudiant à l’Université d’Ottawa, tu as sûrement entendu parler des JDCC (Jeux du Commerce Central).
Certains de tes amis t’ont probablement raconté le plaisir des jeux sportifs, des compétitions ou de la cérémonie dansante de leur séjour aux JDCC.
Alors, que sont les JDCC?
Les Jeux du Commerce Central (JDCC) sont une compétition de cas régional où des écoles de gestion canadiennes se disputent la victoire. Elle est organisée par l’Association des écoles de gestion du Canada (AEGC), l’organisation mère qui travaille avec les associations étudiantes de chaque école de gestion au Canada.
Pour ce genre de compétition, chaque école membre de l’AEGC réunit des candidats pour coordonner une délégation. Lors des JDCC, l’École de gestion Telfer se mesure à plus de 11 écoles en Ontario, notamment la Lazaridis School of Business and Economics de l’Université Wilfrid Laurier, la Lang School of Business and Economics de l’Université de Guelph, la Sprott School of Business de l’Université Carleton, et bien d’autres encore. Tous les ans, la compétition a lieu dans une des écoles membres, ce qui permet aux participants de visiter des campus universitaires à travers le Canada. Les étudiants peuvent participer à plusieurs disciplines soit dans le volet académique, sportif ou social.
Le déroulement de la compétition
Pour les épreuves du volet académique, les écoles participantes envoient une équipe de trois étudiants se mesurer à d’autres équipes dans des catégories spécifiques en gestion telles que le marketing, la comptabilité, la stratégie, la gestion des ressources humaines, l’innovation entrepreneuriale, etc. Les équipes disposent de trois heures pour procéder à une résolution de cas, qu’elles présentent ensuite à un groupe de juges. La présentation dure 20 minutes et la période de questions dure 15 autres minutes.
Lorsque toutes les présentations sont finies, les juges (généralement un commanditaire) déclarent qui a remporté la première, la seconde et la troisième place pour chaque catégorie. Pendant la cérémonie de remise des prix, l’AEGC nomme les gagnants de chaque catégorie et distribue des prix individuels et d’équipes.
Pour les épreuves du volet sportif, des équipes de huit personnes s’affrontent à plusieurs sports comme le basketball et le spikeball. On donne des points aux délégués pour leur performance, et aux délégations sur les bancs qui les encouragent.
Pour les épreuves du volet social, des équipes de quatre participent à des défis aléatoires au courant de la journée. Par exemple, de l’improvisation, de la danse, des débats oratoires, des résolutions de cas surprises, etc. Pour ces défis, on accorde des points pour l'enthousiasme, l’esprit d’équipe et la qualité artistique des costumes.
La compétition a lieu à chaque année en janvier et dure quatre jours. Les dernières compétitions ont eu lieu à l’Université de Guelph (Guelph, Ontario) et à l’Université de Brock (Saint Catherines, Ontario). Lors des derniers jeux, l’équipe de Telfer comptait 46 étudiants et a remporté trois prix : un en gestion des ressources humaines, un en débat oratoire et le dernier pour le cas wildcard.
Les cartes VIP sont des prix de reconnaissance individuelle qui sont attribués aux meilleurs présentateurs. Les bénéficiaires de ces cartes sont souvent choisis par les juges; et ceux qui en possèdent une participent à un événement de réseautage exclusif.
En dehors des épreuves, les écoles participent également à d'autres activités récréatives telles que des événements sociaux et des danses.
À l’École de gestion Telfer, la délégation des JDCC est gérée par le Comité compétitions Telfer (CCT). Le CCT recrute les étudiants, rend possibles les entraînements, le coaching et commande des produits pour l’équipe. Le CCT organise également la compétition de cas interne de Telfer, qui est une bonne occasion pour recruter de nouveaux membres pour le volet académique des JDCC.
Si développer tes techniques de présentation, te faire de nouveaux amis et participer à des épreuves t’intéresse, tu ne voudras pas manquer la chance de participer aux JDCC!
Tu peux consulter les résultats de Telfer aux derniers JDCC, ici.
N’hésite pas à me contacter si tu as des questions sur mon expérience aux JDCC.
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L’Université d’Ottawa est réputée pour être la plus grande université bilingue au monde. Le régime d’immersion en français de Telfer t’offrira d’innombrables possibilités. Faire partie de ce régime m’a permis d’acquérir une expérience unique.
La raison première de poursuivre ses études dans le cadre du programme d’immersion en français de Telfer est la mise à disposition de plusieurs bourses. Deuxièmement, cette option offre une variété de cours qui lui est particulière. Pour finir, faire ses études en immersion française permet d’accéder à de nombreuses perspectives d’emplois dans le monde entier.
Bourses et concours
Imagine être payé pour étudier! Non seulement tu approfondis tes connaissances du français grâce au programme d’immersion, mais tu peux aussi recevoir des bourses de 1000 $ annuellement. Cette bourse est offerte à tous ceux qui répondent aux exigences de base. De plus, l’Université d’Ottawa organise de nombreux concours pour encourager la participation des étudiants du secondaire, qui ont la chance de recevoir une bourse pour faire leurs études en immersion française. En 4e secondaire, j’ai eu la chance de participer au concours de vidéoclip de l’Association canadienne des professionnels de l’immersion sur « Comment le français a changé ma vie » organisé par l’Université d’Ottawa. J’ai fini deuxième au Canada avec une bourse de 8 000 $. Gagner cette bourse a largement influencé ma décision de m’inscrire au programme d’immersion en français du baccalauréat en sciences commerciales/Juris Doctor. Je suis très fière d’être bilingue.
Des cours uniques
Un deuxième avantage du régime d’immersion en français est le fait qu’il offre la possibilité de suivre un cours supplémentaire qui complète un cours obligatoire en administration (affaires). Les étudiants qui sont inscrits à un cours en administration obligatoire peuvent choisir de suivre un cours de français équivalent pour les aider à acquérir de solides compétences en français. Ce cours supplémentaire d’immersion en français donne droit à 3 crédits qui comptent comme un cours au choix hors faculté. C’est une excellente façon de permettre aux étudiants de Telfer de suivre certains cours à option tout en améliorant leurs compétences en français.
Perspectives de carrières
Le troisième avantage d’étudier dans le programme d’immersion en français de Telfer est la possibilité des nombreuses perspectives de carrière qui s’offrent aux étudiants. La région de la capital nationale dispose d’une abondance de possibilités d’emplois au gouvernement du Canada. Les employeurs potentiels recherchent souvent des étudiants qui parlent français. Les étudiants qui parlent français sont plus attrayants et ont des options de carrières infinies. La maîtrise du français facilite les chances de travailler à l’international et de créer un réseau de contacts professionnels à travers le monde.
Résumé
Participer au programme d’immersion en français de Telfer est un atout précieux qui engendre des possibilités illimitées pour les étudiants. Poursuivre ses études en français offre plusieurs options aux étudiants dans le monde des affaires d’aujourd’hui. Faire l’apprentissage du français apporte de nombreux avantages tels que des options de bourses variées, une sélection unique de cours, et enfin, les étudiants seront plus attrayants aux yeux des employeurs potentiels. Maintenant que tu connais les avantages de faire tes études en immersion française, fait le saut et inscris-toi au programme d’immersion en français à Telfer pour de meilleures perspectives de carrières. Le Canada est un pays bilingue, donc pourquoi ne pas suivre la voie de la réussite en allant de l’avant avec des études en français?
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Est-ce que le programme coop est fait pour toi? Si oui, pour quelle entreprise devrais-tu travailler? Pour quel type de poste devrais-tu postuler? Que dois-tu faire pour tirer le maximum de ton expérience de travail?
Bien qu’il n’y ait pas de bonnes ou mauvaises réponses à ces questions, les tiennes pourraient avoir une incidence importante sur ton futur. De ce fait, prendre des décisions reliées à ton expérience de travail dans les études commerciales peut être intimidant et stressant.
En tant qu’étudiant en marketing qui entame son troisième stage coop, j’ai dû répondre à ces questions à plusieurs reprises. Chaque fois, ne sachant pas trop quoi faire, j’ai demandé de l’aide à des amis, aux conseillers du Bureau coop, à mes parents et à d’autres personnes qui ont participé au programme coop ou qui y participe présentement. À l’aide de ces expériences et des conseils qu’ils m’ont donnés, j’ai créé une liste de six choses à faire et à ne pas faire qui m’a aidé, et qui vous aidera à prendre les bonnes décisions en ce qui concerne le programme coop à Telfer.
1. Participe au programme coop
Ce n’est pas toujours facile d’acquérir de l’expérience de travail enrichissante en même temps que ses études, surtout quand la majorité des étudiants ont peu de choses à mettre dans leur CV. Selon le taux de placement de 97 % du programme coop de l’Université d’Ottawa en 2018, participer au programme t’offre de très bonnes chances de trouver un stage dans ton domaine. Non seulement le stage pourra t’aider à payer tes factures, il t’aidera à te démarquer de la concurrence dans le monde des affaires. Si tu n’es toujours pas convaincu que le programme coop à Telfer est fait pour toi, va faire un tour sur ce blogue. Il énumère de nombreuses autres raisons pourquoi les étudiants de Telfer devraient s’inscrirent au programme coop.
2. N’aie pas peur d’essayer quelque chose de nouveau
Lorsqu’il s’agit d’essayer de nouvelles choses et de découvrir ce que tu veux faire plus tard, il n’y a pas de meilleur moment pour le faire que lorsque tu es en coop. La plupart des séquences travail/études du programme coop à Telfer ont quatre stages de quatre mois chacun. Tu as donc la chance d’expérimenter sans avoir à t’engager comme tu le fais avec un emploi régulier hors de coop. Le pire qui puisse arriver est que tu réalises qu’un des stages n’est pas fait pour toi. Dans ce cas-là, tu peux aller de l’avant plus rapidement, car le stage est d’une courte durée et il te reste encore 3 autres stages pour trouver celui qui te convient le mieux. D’un autre côté, en explorant de nouveaux horizons, tu pourrais tomber sur un emploi auquel tu n’avais pas pensé. D’ailleurs, de mon expérience, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui n’avait pas tiré profit d’un de ses stages. Par conséquent, si tu veux tenter autre chose avec coop, fais-le!
3. Profite du Centre des carrières de Telfer et des services coop
Le Centre des carrières et le Bureau coop offrent tous les deux plusieurs services et ateliers qui te donnent un avantage lorsque tu postules à un stage. Ils peuvent t’aider à rédiger ton CV, te donner de bonnes techniques d’entrevue, des conseils pour t’habiller en conséquence, une orientation professionnelle et bien plus. Dans mon cas, j’ai recouru à leurs services pour perfectionner mon CV et demander de l’aide pour mon choix de stage. Tirer parti de ces services peut faire la différence entre obtenir ton premier choix de stage plutôt que le deuxième.
4. Ne postule pas à tous les postes
Si tu postules à tout, tu risques d’avoir trop d’entrevues, ou de te retrouver dans une position difficile. De ce fait, tu pourrais passer à côté d’un stage que tu aurais préféré dans la deuxième ronde. Je sais que l’incertitude d’être jumelé à un employeur peut être stressante et qu’il peut être difficile de trouver un juste milieu entre le fait de postuler à trop d’emplois et pas assez, surtout à la première ronde. Cependant, avant de poser ta candidature partout, respire et tiens compte de ce qui suit : le taux de placement du Bureau coop est de 97 % (les chances sont de ton côté); donc si tu n’es pas jumelé à la première ronde, tu peux toujours te reprendre à la seconde, et l’équipe du Bureau coop est là pour t’aider dans tes démarches.
5. Prends plusieurs opinions en considération
Lorsque tu essaies de prendre des décisions et de répondre aux questions énumérées au début de ce blogue, il est important de tenir compte de plusieurs points de vue, et de prendre les choses avec un grain de sel. Bref, il y a toujours des gens qui jurent que travailler au gouvernement c’est la meilleure chose à faire, alors que d’autres préfèrent les entreprises en démarrage ou les grosses compagnies. Les opinions sont multiples, mais il n’existe pas de solution qui convienne à tout le monde. Quand vient le temps de prendre des décisions, prends en compte les opinions et les expériences des autres, comparent-les à tes objectifs de carrière et n’est pas peur de tester tes idées.
6. N’oublie pas de profiter au maximum de ton expérience de travail
Peu importe si tu as une très bonne ou une moins bonne expérience coop et tombe sur un poste qui ne t’intéresse pas, tu devrais quand même en tirer le meilleur parti. Profite de chaque occasion qui se présente, et si aucune ne se présente, crée-les toi-même. Même si le Bureau coop t’aide à trouver un stage, c’est à toi d’apprendre de nouvelles compétences, de relever des défis et de te démarquer.
En résumé, prendre des décisions liées à ton expérience de travail dans le monde des affaires peut être stressant. Cela dit, si tu prends ton temps et profites des ressources, des possibilités et des conseils à ta disposition, ton expérience coop à Telfer ira à merveille!
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L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez