Actualités
- Catégorie : Annonces Telfer
Par Dorra Jlouli, Ing, Agr, MBA
Professeure à temps partiel à l'École de gestion Telfer, uOttawa
Nos étudiants du MBA de l'École de gestion Telfer dans le cours Leadership et gestion (MBA5636) se sont sentis fiers ce semestre de faire l'expérience d'une simulation en ligne interactive pour acquérir des compétences en leadership les préparant à mener avec succès le processus de gestion du changement dans leur organisation!
« Nous sommes très fiers d'avoir fait partie du premier groupe en Amérique du Nord à réaliser la simulation en ligne de Wallbreakers Leadership ! », ont déclaré Vickie L., Mireille N., Cherlande R et Charlotte K., candidates au MBA 2022 à l'École de gestion Telfer.
« Je remercie chaleureusement l'Université d'Ottawa et la professeure Dorra Jlouli de nous avoir fourni cette riche expérience dans le cadre de notre parcours MBA », a ajouté Mireille N.
Qui n'aurait pas rencontré de défis lors de la gestion de la résistance de son équipe causée par un processus majeur de changement d'organisation? Notre contexte récent du COVID-19 est le meilleur exemple partagé.
Des méthodes d'enseignement innovantes
Notre récent passage à la formation en ligne dans notre Université d'Ottawa est en soi un changement important qui a eu un impact majeur sur nos méthodes d'enseignement que nous utilisons. Cela dit, ce contexte a également été une belle opportunité nous obligeant à être à l'avant-garde avec des méthodes d'enseignement innovantes. «Le Programme de financement de l'innovation pédagogique de l'École de gestion Telfer a appuyé nos initiatives visant à innover dans notre façon d'enseigner», a déclaré Dorra Jlouli. Ma certification pour l'utilisation et l'animation d'un atelier avec la simulation de leadership Wallbreakers a été soutenue par ce fonds d'innovation », a-t-elle ajouté. C'est un excellent exemple prouvant l'efficacité de l'apprentissage par l'action où les élèves apprécient le jeu tout en apprenant des compétences de leadership.
“Honnêtement, je classerais cette méthode en tête de liste pour apprendre la gestion du changement et le leadership en général! » ”, a déclaré Arlette G., candidate au MBA 2022.
Durant la classe du cours précédant celle de l'atelier de simulation de deux jours, les étudiants ont appris les différentes théories liées au leadership et à la gestion du changement qu'ils doivent pratiquer pendant la simulation, essentiellement les styles de leadership Gauleman, les dimensions disc® 8 du leadership, les types de personnalité inspirés des Ungiens, l'approche Rick Maurer de la gestion du changement, ainsi que les huit accélérateurs de Jand Ohn Kotter.
Comment cela fonctionne?
Au cours de l'atelier, les étudiants sont répartis en 4 équipes où chaque équipe représente le gestionnaire de l'un des quatre grands départements de l'entreprise qui doit conduire le changement et surmonter la résistance de leurs 10 employés qui ont récemment entendu parler d'une fusion entre leurs entreprise et une organisation inconnue.
Les autobus, métaphore du jeu pour le département, sont présentés ci-dessous avec différentes couleurs (vert, rouge, jaune et violet). Les étudiants sont en compétition et chaque équipe voit simultanément la façon dont les autres équipes gèrent leur département pour réussir leur processus de changement. Les étudiants doivent prendre les bonnes decisions afin de faire avancer leur autobus “département” de la première phase du processus de changement (la phase de démarrage) vers la dernière phase du celui-ci (celle de l’ancrage).
Ils sont mis au défi de garder autant d'employés à l'intérieur de l'autobus tout au long du processus de changement.
C'est un défi permanent, car «l'employé virtuel» résiste tout au long des trois phases du processus de changement.
Les étudiants doivent gérer à la fois la vitesse avec laquelle ils décident de mener le changement pour faire avancer les autobus (la vitesse de gestion du changement) et doivent également prendre les actions de leadership appropriées pour gérer la résistance de leurs employés. Ils voient immédiatement l'effet de leur décision en termes de résistance des employés comme La seule façon de surmonter la résistance de leurs employés est de choisir la décision de leadership appropriée pour ramener leur employé dans l'autobus «leur service».
«À travers un cas pratique sur la gestion d'une fusion de deux entreprises, je me suis amusé à utiliser l'outil Wallbreakers. Cela a permis à notre équipe d'avoir un retour en temps réel des collaborateurs sur nos différentes décisions et d'ajuster régulièrement nos actions afin de rallier tout le monde », a rapporté Pierre C.H.
La séance de débriefing qui suit la simulation est aussi importante, sinon plus importante que la simulation elle-même, car les étudiants synthétisent sur leur expérience, partagent les leçons apprises, réalisent et comprennent les conséquences de leurs décisions de leadership et commentent leur propre style de leadership et comment cela affecte la dynamique de l'équipe. Ils font le lien entre la théorie et leur expérience d'apprentissage actif.
“La simulation Wallbreakers nous a permis d'exercer nos différents styles de leadership et de comprendre que le leadership situationnel était celui qui convenait le mieux à la mobilisation d'équipe et à l'atteinte des objectifs”, a déclaré Charlotte K., candidate au MBA 2022.
Quels sont les avantages pour les étudiants du MBA?
Pour les étudiants en MBA, qui ont déjà une expérience en gestion, les méthodes d'apprentissage actif telles que l'utilisation de simulations, conviennent parfaitement. En effet, cela leur offre un environnement similaire à une situation professionnelle réelle qu'ils auraient pu vivre. Cela stimule leur capacité d'apprentissage en les aidant à établir des liens avec leur propre expérience. Ils apprennent de leurs erreurs et capitalisent sur leurs succès.
« L’expérience Wallbreakers m’a permis de mettre en action les notions théoriques apprises dans le cours, immédiatement. Nous avons eu l'occasion d'avoir plusieurs discussions importantes en équipe sur la gestion du changement et le leadership qui me seront utiles dans mon cheminement professionnel. » Justin Thibault, candidat au MBA 2022.
«La simulation Wallbreaker nous donne l'opportunité de mettre en pratique les concepts appris en classe. Nous l'avons vraiment vécu comme une vraie situation d'affaires, oubliant parfois qu'il ne s'agissait que d'une simulation, tant les débats étaient enflammés pour parvenir à une décision consensuelle au sein du groupe! », a ajouté Arlette G.
Pour en apprendre davantage, une séquence enregistrée de la session de débriefing sur la simulation du cours MBA5636 est disponible ici.
- Catégorie : Actualités
Par Dorra Jlouli, Ing, Agr, MBA
Professeure à temps partiel à l'École de gestion Telfer, uOttawa
L'innovation ne se limite pas uniquement à la création de nouveaux produits ou services, mais surtout dans notre façon d'enseigner « des cerveaux verts », leaders de la prochaine génération!
Je suis heureuse que mes élèves aient apprécié la simulation World Climate en novembre, une belle réussite! Nous innovons à l'École de gestion Telfer de l’Université d'Ottawa en utilisant des outils interactifs pour enseigner à nos étudiants des sujets complexes grâce à des simulations simples.
Certes, le changement climatique est une affaire de tous. Ceci étant dit, comment « démystifier » le système climatique complexe, dans notre environnement actuel virtuel d'apprentissage en ligne? Les simulations innovantes telles que En-Roads et World Climate, en sont la solution par excellence!
Au cours de ma dernière classe du cours Leadership, stratégie et durabilité, pour les étudiants de 4e année en management, ils ont eu la chance mémorable d'avoir joué un jeu de rôle où ils épousent « la casquette » des diplomates lors d'un sommet virtuel urgent de l'ONU sur le climat. Après avoir joué à la simulation World Climate le mois dernier (C Road Simulation), en se concentrant sur l'élaboration d'une stratégie pour définir quand et dans quelle mesure les nations doivent réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour atteindre les objectifs climatiques internationaux (réduire l'augmentation de la temperature du globe à moins de 2 degrés Celsius d’ici 2100), cette semaine les étudiants ont appris comment il est possible d'atteindre cet objectif en jouant à la simulation En-Roads. Ils ont appris comment des secteurs d'activité comme l'approvisionnement en énergie, l'utilisation de l'énergie et l'utilisation des terres affectent le changement climatique.
Je crois au pouvoir de l’apprentissage par l'action. La simulation En-Roads est un outil interactif efficace pour engager mes étudiants par l'action à expérimenter ce que nous entendons quand on parle de l'interconnectivité dans le « système climatique ».
Dans un atelier de 3 heures, les étudiants ont l'opportunité de voir ce qui se passe dans le monde et comment chaque action est importante pour contribuer à réduire les problèmes de changement climatique afin d'atteindre l'objectif ultime de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique à Paris.
Les étudiants étaient divisés en six équipes représentant différentes parties prenantes mondiales des entreprises, des gouvernements et de la société civile qui peuvent influencer les solutions climatiques : énergie propre, énergie conventionnelle, industrie et commerce, terre, agriculture et foresterie, gouvernements mondiaux et les faucons de la justice climatique. Leurs décisions sont analysées en temps réel avec le simulateur En-Roads pour déterminer leurs effets sur le climat.
Chaque équipe a été invitée à présenter son scénario du point de vue de son rôle de partie prenante et à donner les arguments au public, où le secrétaire général de l'ONU prend des notes et anime le débat.
Tout en utilisant des modes interactifs, comme la simulation En-Roads et la simulation World Climate, il est plus facile d'expliquer aux « étudiants en commerce » qui n'ont pas de formation scientifique en système climatique et environnement, les problèmes environnementaux de théorie complexe comme le système climatique.
En agissant, les étudiants comprennent non seulement la corrélation entre les différents facteurs du système climatique mais aussi, ils deviennent des « ambassadeurs du climat » avec la conviction qu'il n'est pas trop tard pour résoudre les problèmes du changement climatique si chaque partie prenante contribue à l'effort mondial pour atteindre notre objectif commun.
Visionnez la présentation dans son intégralité pour en apprendre plus.
Un grand merci à Climate interactive et à MIT Sloan pour leur fabuleux efforts investis pour mettre à notre disposition des outils si innovants.
#EnROADS #ClimateAction
- Catégorie : Annonces Telfer
Vous recherchez une nouvelle perspective sur un projet d’affaires récent ou spécial, ou souhaitez tout simplement travailler avec des étudiants au MBA qui sont passionnés et qualifiés? L’École de gestion Telfer est à la recherche d’organisations qui mettront nos étudiants du MBA au défi dans le cadre d’une situation professionnelle concrète.
Les étudiants au MBA Telfer possèdent en moyenne de 6 à 7 ans d’expérience professionnelle à temps plein, ce qui garantit qu’ils ont une base théorique de qualité et des compétences techniques pour mener à bien leur stage. Tous nos étudiants au MBA sont supervisés par un membre de la faculté et ils ont accès à des données de pointe qui les aideront à résoudre les problèmes les plus complexes de votre entreprise.
Il ne fait aucun doute que l’expérience sera enrichissante tant pour vous que pour nos étudiants. Le programme de stage MBA offre aux entreprises la possibilité de recruter des personnes qualifiées et d’évaluer leur capacité à s’intégrer au sein de leur milieu de travail sans avoir à passer par le long processus d’embauche traditionnel.
L’expérience du programme de stage MBA
Au cours des années précédentes, nos organisations partenaires qui ont embauché des étudiants au MBA dans leur équipe ont été satisfaites de ce que cela leur a apporté.
« Le programme de stages MBA a aidé à remplir avec succès un rôle pour projet niché au sein de notre département des finances. Au final, nous avons embauché notre stagiaire dans un poste à temps plein, ce qui en dit long sur la qualité du programme et de ses étudiants » - Paul Richards, Directeur du développement des affaires et intérêt à L'Hôpital d’Ottawa
« Happy Goat Coffee Company est un grand fan du programme de stage MBA de Telfer ! Ce projet nous aide à trouver des réponses et des solutions à des problèmes pour lesquels nous n'avons généralement pas les ressources ou le personnel - ou les deux - afin de les traiter. La qualification des participants et la qualité des résultats des projets réalisés jusqu'à présent sont évidentes. Happy Goat Coffee Company ne peut que recommander vivement ce projet! » - Dr. Hans-Juergen Langenbahn, Maître torréfacteur à Happy Goat Coffee Company.
« Je tiens à apporter tout mon soutien au programme de stage proposé par l'École de gestion Telfer. Il s'agit d'une formidable opportunité pour les étudiants d'acquérir des connaissances de nature plus pratique qui les aideront dans leur recherche d'emploi. L'organisation elle-même en bénéficie également, non seulement du point de vue du mentorat, mais aussi en acquérant des conseils et des avis d'experts additionnelles. » - Elizabeth Kingston, présidente du Conseil International du Canada, chapitre de la Capitale nationale
Voici comment vous pouvez bénéficier de notre programme :
En quoi consiste un stage acceptable?
Il s’agit d’un projet ambitieux qui vous apporte des résultats significatifs. Par exemple, les stages actuels incluent des projets de développement des marchés, d’amélioration des processus, et la revue des processus stratégiques.
Combien d'heures les stagiaires peuvent-ils travailler?
Il existe deux options de prestation : les stages à temps partiel et les stages à temps plein. Le stage à temps partiel représente de 15 à 20 heures par semaine pour une période de 6 mois (de janvier à juillet). Celui à temps plein consiste en 40 heures de travail par semaine (de septembre à décembre). Le nombre exact d'heures varie selon si le stage est commandité par Mitacs* ou OCE**, ou s’il est financé directement par l’organisation.
Combien cela coûtera-t-il à mon organisation?
Le salaire moyen d’un stagiaire au MBA varie entre 20 et 25 $ de l’heure. Vous pouvez faire une demande d’appui financier pour embaucher le stagiaire par Mitacs ou OCE, ou vous pouvez offrir un salaire payé entièrement par votre organisation. Il est possible d’offrir un stage non rémunéré, cependant, offrir un salaire à l’étudiant augmente vos chances qu’il ou elle vous choisisse pour son stage.
Que dois-je fournir au stagiaire?
- Un projet motivant et stimulant.
- Un parcours d’intégration technique et organisationnel.
- Le temps de discuter des problématiques avec l’étudiant et de fournir une rétroaction sur les rapports de progrès.
Trouvez le bon stagiaire au MBA Telfer pour votre organisation
Contactez l’équipe du succès scolaire et de l’expérience étudiante
Le programme de stage MBA Telfer
Téléphone : (613) 562-5884
Courriel :
Visitez la page du programme de stage MBA sur notre site.
* Mitacs est un organisme sans but lucratif qui fournit la contrepartie du financement aux organismes qui embauchent des étudiants à temps plein pour un stage.
** Le programme AvantageTALENT des Centres d’excellence de l’Ontario fournit la contrepartie du financement aux compagnies qui embauchent des étudiants aux études supérieures.
- Catégorie : Futurs diplômés
Curieuse motivée et créative, Joy Xu est une brillante élève du programme de B.Com. de Telfer en spécialisation comptabilité.
Passionnée par la santé mentale au travail, elle s’inspire des dirigeants et organisations qui mettent en avant et priorisent la culture du bien-être des employés.
Comprenant l'importance cruciale de l'engagement communautaire, Joy a décidé de s'impliquer auprès de l'École en s'engageant dans le programme hautement compétitif des marchés financiers de Telfer. Cela l’a conduite à intégrer un stage en banque d’investissement pour l’été 2020 à travers le programme des Marchés financiers de RBC. En parallèle, Joy s’est également démarquée pour avoir été la gestionnaire de portefeuille leader du programme cette année-là. Au cours des dernières années, elle a participé à de nombreux concours de cas dont le concours national de la diversité et de l’inclusion organisé par l'École Telfer, ou encore les Jeux de Commerce Central où elle s’est vu attribuer la première place avec l'équipe de gestion des ressources humaines.
Joy s’est également impliquée au sein du Club de comptabilité de Telfer, dont elle a été la présidente pour l’année scolaire 2019-2020. Dans le cadre de ce rôle, elle a dirigé l'équipe pour l'organisation de leur événement annuel de réseautage avec des sociétés comptables et a créé une initiative axée sur la santé mentale dans le domaine de la comptabilité.
Selon elle, les nombreuses activités parascolaires proposées par l'École lui ont ouvert d'innombrables opportunités et lui ont permis de s'impliquer davantage tout en appliquant ses connaissances acquises en classe. Elle déclare : « Dans l'ensemble, j'ai eu la chance d'explorer de nouveaux intérêts, d'assister à des conférences de leaders inspirants et de développer mes compétences tant sur le plan professionnel que personnel. »
Bien qu’elle soit bientôt diplômée, Joy prévoit rester active au sein de la communauté de Telfer.
- Catégorie : Annonces Telfer
Cette année marque le 10e anniversaire du Programme de mentorat par les cadres à l’École de gestion Telfer. Ce programme permet à nos diplômés de tisser des liens avec les étudiants de troisième et quatrième année du baccalauréat en sciences commerciales.
Ces derniers ont la possibilité de recevoir des conseils de la part de cadres et d’entrepreneurs de l’industrie lors de rencontres sur le programme et ainsi d’obtenir un mentor pendant leurs études. Les étudiants créent un lien avec un professionnel qui leur fournit une orientation informelle, l’accès à des opportunités de réseautage et l’occasion de partager des idées. C’est une façon pour les étudiants d’apprendre individuellement avec un professionnel qui était aussi à Telfer avant de démarrer sa carrière.
Pour les mentors, le Programme de mentorat par les cadres est une excellente occasion de rencontrer des étudiants qui s’intéressent à leur domaine, d’avoir une conversation agréable avec la prochaine génération de professionnels du monde des affaires, et de s’informer sur les événements intéressants qui se déroulent tout au long de l’année à l’École de gestion Telfer.
Après avoir reçu les demandes d’admission cet été, 38 étudiants participent au programme pendant l’année de la 10e édition. Le 1er octobre, le groupe de la cohorte 2020-2021 s’est réuni en ligne sur Zoom, permettant à tout le monde de voir autant de visages que possible à l’écran afin de respecter la distanciation sociale. Mark Farrell, un des mentors qui en est à sa cinquième année avec le programme, a mentionné qu’il attendait avec impatience cette année; il dit que c’est une « bouffée d’air frais » de pouvoir entendre la nouvelle génération d’étudiants en gestion.
Pour en savoir plus sur le programme et la date limite pour présenter une demande d’admission pour l’année prochaine, contactez Isabelle Décarie, gestionnaire de l’expérience étudiante au Centre des services aux étudiants.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer.
Nous sommes tous deux reconnaissants d’avoir grandi, d’avoir fait nos études et de vivre dans un pays bilingue et multiculturel au riche patrimoine autochtone. C'est pourquoi nous croyons depuis longtemps que nous avons le devoir de contribuer à notre tour à la société. Dan a été profondément marqué, à l’époque de ses études à l’École Telfer, au début des années 1980, par le concept de responsabilité sociale d’entreprise. Plus tard, nous avons bâti notre vie sur un principe de la philosophie juive, le tikkun olam, qui signifie « réparer le monde ».
Le tikkun olam vise à faire de petits gestes chaque jour pour réparer les dommages qu’on voit autour de soi. Bien que nous ayons, comme couple, la chance de pouvoir contribuer financièrement aux causes qui nous sont chères, nous croyons que la société fait parfois trop de cas des dons d’envergure. Un don d’un million peut faire les manchettes, mais on devrait se réjouir tout autant des dons que des millions de travailleurs et travailleuses font à la sueur de leur front pour appuyer des causes et des organismes qui leur tiennent à cœur.
Nous pensons par exemple à cette femme qui a gagné, il y a quelques années, un prix Inspiration du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Après avoir elle-même été traitée au Royal, cette nouvelle Canadienne, une femme de ménage, avait tenu à faire sa propre contribution. Elle a réussi à donner 500 $ par année à l’établissement tout en s’y impliquant comme bénévole. Le plus important, comme l’illustre magnifiquement cette histoire, ce n’est pas de donner beaucoup, mais bien de donner de la façon la plus significative et appropriée possible compte tenu de nos circonstances.
Cette conception de la bienfaisance est particulièrement importante pour les étudiants et les diplômés récents de l’École Telfer. Oui, vous êtes en début de carrière et oui, la pandémie a bouleversé l’économie, mais il demeure possible de faire votre contribution, même si vous n’avez pas beaucoup d’argent. La pandémie a brisé beaucoup de choses dans le monde. Les dommages — légers ou importants, symboliques ou concrets — ont besoin d’être réparés.
Commencez maintenant et simplement par prendre le temps chaque jour de faire des actes de bonté. S’il y a plusieurs façons de régler une situation difficile, choisissez la plus charitable. Maintenez cette attitude en faisant votre chemin dans le milieu des affaires. Laissez vos plus belles qualités — équité, générosité, empathie — s’exprimer au travail. Servez-vous-en pour bâtir un milieu de travail inclusif, cultiver des relations gratifiantes avec vos clients et vos partenaires, et adopter des pratiques d’affaires durables et socialement responsables. Tikkun olam.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Dan Greenberg et Barbara Crook.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
En tant que nouvel étudiant à Telfer, vous avez beaucoup à apprendre en ce qui concerne les caractéristiques du programme et des cours. Si vous souhaitez en savoir plus sur la création de votre horaire de cours, le choix des options de votre programme, les études en français et en anglais et les échanges internationaux, jetez un œil à cette discussion entre étudiants d'Université d'Ottawa.
Conversation en direct sur Instagram
Au printemps dernier, uOttawa Future a animé des séances de questions-réponses en direct sur Instagram avec des étudiants actuels de chacune des facultés de premier cycle de l’Université d’Ottawa.
Fiona Doomasia, une étudiante de quatrième année en marketing, a discuté avec la représentante d’uOttawa Future et étudiante de troisième année en sciences sociales, Narimane Ait Hamou, au sujet de l’expérience étudiante tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des salles de classe. Elles ont notamment parlé de comment bien établir un horaire de cours et comment apporter des modifications à son programme, ainsi que des clubs et emplois offerts sur le campus.
Voici les principaux sujets dont elles ont discuté :
Cours
1. Choix de cours :
Certaines personnes se questionnaient sur les cours à prendre en première année et sur la meilleure façon de les choisirent. Le conseil que Nari et Fiona leur ont fourni pour établir le meilleur horaire de cours est essentiellement : faire ce qui vous convient le mieux!
Fiona a suggéré de mettre les cours et les créneaux horaires disponibles sur l’outil de recherche de cours de l’uoCampus afin de voir quels sont vos choix, puis de sélectionner les cours qui correspondent le mieux à votre emploi du temps. Les cours ont lieu entre 8 h 30 et 22 h et durent généralement 1 h 30 ou 3 heures. Elle a ajouté que si une journée complète d’environ six heures de cours vous convient et que vous prenez le transport en commun pour vous rendre au centre-ville d’Ottawa, vous pouvez programmer plusieurs cours en une journée. Cela peut vous aider à avoir un jour de congé ou une journée plus courte avec beaucoup de temps libre pour les devoirs, les projets de groupe, une association étudiante ou vos autres engagements.
Nari a également recommandé de rencontrer un conseiller pédagogique qui peut vous aider à établir votre horaire de cours, à vous assurer que vous suivez la séquence de cours dont vous avez besoin pour obtenir votre diplôme, à choisir des cours à option, et plus encore. Nos conseillers pédagogiques sont disponibles à tout moment pendant vos études de premier cycle, donc si vous avez besoin d’aide après la première année, vous pouvez toujours les contacter.
Consultez la séquence de cours de votre programme pour l’ensemble de votre parcours universitaire de premier cycle ici, en cliquant sur l’option ou la spécialisation de votre programme, puis cliquez sur « Séquence de cours PDF » sous « Liens utiles ».
2. Taille des classes :
Fiona et Nari ont également parlé de la taille d’une classe typique des différentes années du bac. Selon le cours, la plupart de vos classes de première année peuvent compter entre 150 et 400 étudiants. Un cours comme Introduction à la microéconomie (ECO 1504) est requis dans plusieurs programmes et sera donc rempli d’étudiants de différentes facultés, ce qui donne une classe plus nombreuse pouvant aller jusqu’à environ 400 étudiants. Vous pouvez également choisir de suivre un cours à option à la Faculté des sciences sociales qui, par exemple, est plus proche de 250 étudiants s’il s’agit d’un cours de première ou deuxième année (commençant par 1000 ou 2000 dans le code du cours). Un cours comme Introduction à la gestion des affaires (ADM 1700) serait plus proche de 150 à 200 étudiants dans une salle de classe, car tous les étudiants Telfer en première année sont tenus de suivre ce cours. Au fil des années, vous remarquerez que la taille des classes diminue et compte entre 60 et 80 étudiants, ce qui est courant en quatrième année pour des cours spécifiques à votre spécialisation, comme marketing et technologies numériques (ADM 4726).
Modifications au programme d’étude et langues
1. Changer d’option de programme ou de spécialisation :
À l’École de gestion Telfer, vous choisissez l’option que vous souhaitez parmi celles proposées, mais tous les étudiants au baccalauréat en sciences commerciales suivent les mêmes cours en première et deuxième année. Cela vous donne le temps, au cours de vos deux premières années d’études, de décider du domaine en commerce qui vous intéresse le plus et vous pouvez, au besoin, changer de programme. Si vous avez commencé en marketing, mais devenez intéressé par la comptabilité, vous pouvez passer à la comptabilité avant de commencer votre troisième année, où les cours deviennent plus spécifiques. Vous pouvez le faire en troisième ou en quatrième année, mais vous devrez probablement poursuivre vos études un peu plus longtemps, car ce ne sont pas tous les cours qui permettent un transfert de crédits. Vous devrez suivre tous les cours obligatoires identifiés dans la nouvelle séquence de cours afin d’obtenir le diplôme souhaité. Pour toute question à ce sujet, vous pouvez contacter votre conseiller pédagogique au Centre des services aux étudiants de Telfer.
2. Étudier dans la langue de votre choix :
Vous pouvez choisir d’étudier dans la ou les langues de votre choix : entièrement en français, entièrement en anglais ou un mélange de français et d’anglais. Vous pouvez vous inscrire au Régime d’immersion en français qui exige qu’un certain nombre de cours soient suivis en français.
Programme d’échange international
Tous les étudiants de Telfer peuvent participer à un échange international au courant de leurs études. Que vous soyez en gestion internationale et devez faire un échange obligatoire ou dans un autre programme à Telfer, vous pouvez prendre rendez-vous avec l’un de nos conseillers pédagogiques pour discuter de vos options.
Si vous envisagez de participer à un échange, ils peuvent vous aider à choisir la meilleure session pour faire un échange en fonction des cours que vous devez suivre à l’Université d’Ottawa et de ceux que vous pouvez suivre à l’étranger. Si vous êtes dans le programme coop, ils peuvent également vous aider à déterminer si vous remplissez toutes les conditions requises pour l’enseignement coop et vos cours.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Pouya safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa, Récipiendaire de le prix Jeune Phénix
Le prix Jeune Phénix, créé à l'occasion du 30e anniversaire de l'École de gestion Telfer, reconnaît l'excellence de jeunes diplômés (moins de 40 ans) ayant relevé d'importants défis dans une courte période de temps.
On me fait l’honneur de me remettre le prix Jeune Phénix, et j’en suis reconnaissant. Je dois toutefois dire que toutes mes réalisations sont le fruit des occasions qui m’ont été offertes, en particulier à l’École de gestion Telfer. Je n’en reviens pas de la confiance qu’on m’y a manifestée.
Peu après la fin de mon MBA à Telfer, on m’a offert d’aider à améliorer le volet d’apprentissage expérientiel des cours de finance du B.Com. pour mieux préparer les diplômés à assumer divers rôles dans le monde de la finance. L’École Telfer m’a aussi accueilli comme chargé de cours et professeur à temps partiel. Les connaissances et l’expérience que j’ai acquises m’ont ensuite permis de décrocher le poste de directeur associé de l’Institut de développement professionnel de l’Université d’Ottawa.
Les cours que je donne au premier cycle portent sur l’éthique, la durabilité et la responsabilité sociale, des choses d’une importance vitale en finance et en innovation. L’innovation est autant le produit de l’égalité des chances que du savoir-faire technologique et de l’excellence scientifique. Je crois que le Canada peut atteindre à la fois l’excellence et l’égalité des chances en s’appuyant sur ses fondements multiculturels.
En fait, notre pays peut devenir un chef de file de l’innovation en veillant à ce que les nouveaux Canadiens aient la chance de bien s’intégrer, à ce que tous les Canadiens aient la possibilité d’ajouter des cordes à leur arc par la formation continue et à ce que les jeunes Canadiens n’aient pas à s’exiler pour poursuivre leurs objectifs professionnels et leurs projets d’entreprise.
La pandémie de coronavirus est un type particulier d’ouverture. Personne ne l’a voulue et, pourtant, elle provoque beaucoup de changements rapides, entre autres dans nos méthodes de travail. Très bientôt, de nombreuses occasions d’améliorer les choses se présenteront. Le Canada doit les saisir pour devenir plus juste, plus équitable et plus vert. J’encourage les étudiants et étudiantes de Telfer à prendre part au mouvement.
Pour ce faire, voici cinq leçons que j’ai apprises : premièrement, visez le bonheur, et non la richesse. Le bonheur fait ressortir nos meilleures qualités. L’argent suivra. Deuxièmement, ne vous comparez pas aux autres : vous aurez plus de succès en suivant votre propre chemin. Troisièmement, lorsque ce sera de nouveau possible, voyagez pour élargir vos horizons. Quatrièmement, continuez à apprendre après avoir eu votre diplôme. Enfin, cinquièmement, trouvez une cause qui vous tient à cœur et à qui vos connaissances pourraient être utiles. Votre chance vous attend. Ne la laissez pas filer.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Pouya Safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada passe par un partage plus équitable des ressources de notre pays entre les Canadiens eux-mêmes et avec les pays pauvres. Au Canada, le partage est une attitude, fondée sur l’inclusion et la tolérance. C’est aussi une action : régler nos désaccords de façon pacifique et réunir les contributions de toutes sortes de gens pour résoudre nos problèmes.
À l’étranger, les possibilités de partage sont infinies. J’ai géré des hôpitaux à Thunder Bay, Hamilton, Wingham et Pembroke. À ma retraite, ma femme et moi avons commencé à diriger des équipes de bénévoles canadiens pour améliorer les infrastructures hospitalières en Tanzanie. Au cours des 15 dernières années, en collaboration avec l’Alliance de santé communautaire Canada-Afrique (organisme affilié à l’Université d’Ottawa), nous avons supervisé 16 missions réunissant 120 bénévoles canadiens. Ces bénévoles ont travaillé 500 semaines à 25 projets d’amélioration des hôpitaux totalisant plus de 300 000 $ en dons.
Aider les autres est une source de satisfaction personnelle et professionnelle. C’est le genre de travail qu’on se sent bien de faire comme Canadien. C’est aussi ce qui nous rend meilleurs comme pays. Le Canada est vu comme un pays pacifique qui aborde les problèmes de façon non partisane. Cette approche impartiale, fondée sur le partage de nos connaissances avec les personnes les plus affectées et vulnérables, et une denrée rare aujourd’hui.
Cette approche est sans doute plus nécessaire que jamais. La pandémie de coronavirus a montré à quel point le monde est interconnecté et donc à quel point nous sommes vulnérables et dépendons les uns des autres. Comme Canadiens, nous avons bâti un système de santé universel conçu pour permettre à tous de vivre en meilleure santé. Nous devons continuer de soutenir et d’améliorer ce système.
La maîtrise en gestion des services de santé de Telfer a beaucoup contribué à la valorisation de la profession. C’était vrai quand j’ai obtenu mon diplôme en 1973, et ce l’est encore aujourd’hui. En 50 ans de carrière en santé, certains de mes outils et méthodes ont évolué, mais les principes fondamentaux demeurent : l’utilisation des données et la planification stratégique, le leadership et le travail d’équipe, la bienveillance et le partage.
L’École Telfer m’a aussi donné des camarades de classe à qui j’ai pu demander de l’aide et des conseils. J’encourage les étudiants et étudiantes de la maîtrise en gestion des services de santé de Telfer à garder le contact avec leurs camarades de classe. En faisant votre chemin dans le système de santé, vous en viendrez à comprendre que vous et votre organisation avez besoin des autres. En tant que dirigeant, vous devez vous mettre au centre d’un environnement organisationnel fondé sur le partage : le partage entre votre organisation et les autres, et entre le système de santé et les gens qu’il sert.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Le Canada est un pays de plus en plus marqué par la diversité. Plus que jamais, des gens nous
arrivent de partout, riches de parcours variés et de vastes bagages d’expériences et de
connaissances. C’est beau à voir et il faut que ça continue. Toutefois, la diversité elle-même
ne représente qu’une partie de l’équation.
Il faut aussi travailler sur l’inclusion. Un Canada véritablement équitable, c’est un pays où des
gens de tous les horizons et de toutes les couleurs participent activement aux actions et aux
décisions à tous les niveaux de la hiérarchie de nos entreprises, de nos organismes et de nos
institutions publiques.
La fonction publique, en particulier, se doit d’être plus inclusive. Une fonction publique
vraiment représentative de sa clientèle créera des politiques plus éclairées, offrira un meilleur
service et gagnera durablement la confiance des Canadiens et Canadiennes par son efficacité
et son ingéniosité. La diversité et l’inclusion sont bonnes pour les affaires, un point c’est
tout, car elles vont souvent de pair avec le succès et la résilience.
Pour moi, l’inclusion dans la fonction publique est aussi une conviction personnelle. Je suis
la fille d’immigrants haïtiens et la première personne noire à atteindre le rang de sous-
ministre dans la fonction publique fédérale. J’ai commencé comme étudiante dans un poste
de ressources humaines il y a plus de 30 ans. Je suis depuis peu sous-ministre déléguée à
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ce dont je suis extrêmement fière. Pourtant, je
me pose la question : pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps?
Tout le monde se pose ce genre de question ces temps-ci. La pandémie de coronavirus —
qui a affecté tant de gens, et en particulier les populations vulnérables — et les appels
pressants à la justice sociale ont provoqué un examen de conscience au Canada et dans la
fonction publique. Mes collègues et moi tenons à ce que la représentation, les politiques, les
programmes, les services et les organisations au fédéral reflètent la diversité de la population
et répondent à ses besoins les plus pressants, et nous travaillons en ce sens. J’ai moi-même le
devoir et le privilège de veiller à ce que les portes restent grandes ouvertes pour les
personnes comme moi.
Mon B.Com. de Telfer m’a appris à tirer parti des occasions qui se présentent, surtout dans
les moments difficiles. Pendant mon congé parental en 1995, j’ai utilisé mes connaissances et
mes compétences entrepreneuriales pour cofonder The Bagel Run, inc. — la première
fabrique de bagels montréalais cuits au four à bois d’Orléans (Ontario) —, toujours en
activité 25 ans plus tard. Aujourd’hui plus que jamais, il est important que les étudiants et
étudiantes de Telfer mettent leurs connaissances et leurs compétences au service de leurs
communautés. Prenez acte de la nouvelle réalité. Repérez les possibilités. Puis faites-vous un
plan et agissez pour bâtir un meilleur Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.
Sous-catégories
La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez