Blogue de carrière
« Je suis d’origine marocaine et j’achève en ce moment mon baccalauréat en sciences commerciales (gestion internationale) à l’École de gestion Telfer. L’un des meilleurs moments que j’aie vécus à Telfer est l’échange auquel j’ai pris part en troisième année. Cette expérience m’a permis de vivre de bons moments et de rencontrer de belles personnes tout en découvrant un nouveau cadre scolaire ».
Q : Pourquoi as-tu choisi Telfer ?
R : « Je devais choisir entre l’Université de Montréal (psychologie) et Telfer (gestion internationale). J’ai examiné les avantages et les inconvénients de chaque école. Le régime coop de Telfer m’offrait un double avantage : un diplôme combiné à plusieurs mois d’expérience professionnelle. À tout cela s’ajoutait la renommée de Telfer au Canada et ailleurs dans le monde. J’ai aussi pris en compte l’aspect « croissance personnelle », car en venant étudier à Telfer, je devais m’éloigner de ma famille (répartie entre le Maroc et Montréal). Je voulais vivre une expérience intégrale qui me permettrait de devenir plus débrouillarde et plus autonome dans la vie. »
Q : Quelle as été ta plus grande source d’inspiration ?
R : « Mes parents. Sans venir de familles riches et avoir fait des études, ils ont démarré leur entreprise et frayé un chemin pour leurs enfants. Mon père a dû interrompre ses études au primaire et ma mère, en 10e année. Quand je vois où mes frères et moi sommes rendus, je me dis que mes parents ont réussi ! Cela n’a pas été facile, mais ils l’ont fait. De plus, j’ai l’impression d’être leur espoir. Bien qu’ils n’aient pas pu faire de longues études, leur fille s’apprête aujourd’hui à obtenir son diplôme d’une grande université. C’est un peu comme s’ils réalisaient leurs aspirations à travers moi. Et ça m’inspire beaucoup. »
– Ghita Laadila, étudiante de 4e année (gestion internationale), régime d’enseignement coopératif
Dans l’esprit de l’œuvre Humans of New York de Brandon Stanton, le blogue du Centre des carrières présentera chaque semaine une photographie d’une personne au sein de la communauté de l’École de gestion Telfer et un récit narratif correspondant qui nous donne un aperçu de leur vie.
« Bonjour, je m’appelle Andrea, et je suis étudiante de 4e année en marketing, vice-présidente de l’Association des étudiants ivoiriens de l’Université d’Ottawa ainsi que directrice du Marketing au sein du club Students for Wishes de l’Université d’Ottawa.
Pour moi, l’emploi idéal serait un poste qui me permettrait d’agir comme chef de file et où je pourrais exprimer ma créativité, aider les gens et relever des défis au quotidien.
J’ai toujours hésité entre le journalisme et le marketing, mais mon choix de carrière s’est fait très vite à un salon de l’emploi au cours de ma dernière année de lycée. J’ai rencontré le directeur du Marketing d’Orange France (une entreprise de télécommunications) à qui j’ai fait part de mes doutes. Il m’a alors expliqué ce qu’était le marketing et en quoi consistait son travail. C’est après cette discussion que je suis tombée amoureuse du marketing.
Par la suite, j’ai choisi Telfer pour son bilinguisme, sa renommée et ses droits de scolarité abordables pour les étudiants internationaux.
Aux nouveaux étudiants, les conseils que je pourrais donner sont les suivants :
- Rappelez-vous que l’organisation est votre meilleure amie.
- Pensez à vous amuser et à vous détendre.
- Entourez-vous des bonnes personnes.
- Ne vous fermez pas aux autres; profitez des occasions de bâtir un réseau
qui s’offrent à vous.
Et n’attendez pas : quatre ans, ça passe vite ! »
– Andrea Abiyou
Étudiante de quatrième année en marketing
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« Ce que j’aime le plus de Telfer, c’est son corps professoral. Au cours des trois dernières années, j’ai rencontré des professeurs extrêmement talentueux et dévoués envers les étudiants et leur acquisition de nouvelles connaissances. J’adore la manière dont ils attisent la curiosité de leurs étudiants à l’égard de la matière.
Idéalement, j’aimerais travailler au sein d’un service des ressources humaines qui s’efforce : 1) de créer un milieu de travail sain offrant un bon équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle et où tous les employés aiment travailler LES UNS AVEC LES AUTRES; et 2) d’éliminer les préjugés qui entourent la consultation d’un professionnel en santé mentale. Cette avenue professionnelle m’intéresse particulièrement, car j’ai vu des amis à Telfer peiner à concilier leurs travaux scolaires (ou leur travail) et leur vie sociale et composer avec la maladie mentale. Je viens d’un pays d’Asie où les gens ne parlent pas de santé mentale ou évitent d’en parler, et mon objectif est d’aider les gens à comprendre qu’il est parfaitement normal d’aller chercher de l’aide lorsque c’est possible, surtout lorsque les problèmes ont des répercussions sur la santé mentale. Cela m’inspire aussi le désir de retourner aux études plus tard pour obtenir un diplôme en psychologie.
En raison de la pandémie de COVID‑19, je ne peux pas revenir au Canada. Telfer et ses salles de classe me manquent plus que jamais. J’espère pouvoir revenir une fois que toute cette situation sera terminée ! »
– Audrey Dam, étudiante de 4e année en gestion internationale
Mentore, Telfer International
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« Étant en 3ème année d'étude en management, l'École de gestion Telfer m'a permise durant ces trois dernières années de me développer sur les plans personnel et professionnel. Du programme des ambassadeurs, à celui des guides pour étudiants internationaux en passant par les ateliers du centre des carrières et le programme coop, pu acquérir des compétences et une expérience solide et qui peuvent s'adapter aussi bien à la vie quotidienne qu'à la vie professionnelle.
En plus d'avoir un enseignement de qualité, nous avons aussi la chance d'avoir de belles opportunités que nous devons saisir afin de profiter au maximum de notre expérience étudiante. »
– Idriss Diamouténé
3rd‑year student (Management and
Entrepreneurship) and International Students Coach
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« Une fois que l’on s’est lancé dans les études, il est difficile de savoir si l’on a fait le bon choix. La théorie et la pratique sont souvent deux choses très différentes !
Voilà pourquoi mon conseil serait d’essayer le plus tôt possible d’accumuler de l’expérience dans le domaine d’étude choisi pour se familiariser avec lui. Les employeurs que vous rencontrerez pourront percevoir cette expérience ! Aussi, n’ayez pas peur de participer aux événements de réseautage offerts à Telfer. C’est une ressource formidable qui est mise à notre disposition gratuitement : il n’en tient qu’à nous d’en tirer pleinement parti ! »
– Yassine Tahiri
Étudiant de 4e année en finance, École de gestion Telfer
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Quand on est étudiant étranger au Canada, il n’est pas toujours facile de poser les bases d’une illustre carrière. En effet, les étudiants internationaux font face à de multiples obstacles sur le marché du travail. C’est ce dont traite cet article, qui sera suivi d’un message pour tous les étudiants internationaux.
Le manque d’expérience canadienne
Le manque d’expérience canadienne fait que les entreprises des secteurs privé et public sont réticentes à faire confiance à l’expertise internationale. Je recommande donc à tous mes camarades de s’impliquer activement au sein de l’Université (bénévolat, événements de réseautage, Régime travail-études, etc.) et pendant l’été pour acquérir cette précieuse expérience canadienne. Il ne faut pas forcément travailler dans un bureau ou s’attendre à avoir un travail prestigieux au début; le but est d’acquérir de l’expérience dans n’importe quel domaine. Les compétences développées dans chaque emploi peuvent se transférer à un autre domaine d’activités. De plus, le Centre des carrières de Telfer organise beaucoup d’ateliers et d’événements (par exemple, ConnecT et RéseauT), créant ainsi l’environnement idéal pour perfectionner vos compétences et trouver les outils qui mènent au succès.
Le statut d’étudiant international
Ottawa et Gatineau sont des villes gouvernementales : la plupart des emplois y sont offerts par le gouvernement, qui constitue l’un des plus grands employeurs de la région. Or le statut d’étudiant international limite grandement l’accès à certains postes, dont ceux au gouvernement et dans les entreprises privées qui ont des contrats avec le gouvernement. J’en ai moi-même fait l’expérience quand la conseillère coop m’a informé que ça ne serait probablement pas possible que je fasse un stage au gouvernement, même si je suis résident permanent.
C’est bien de réseauter, de rencontrer du monde, de s’impliquer et de bien réussir dans son domaine, mais certaines choses resteront toujours hors de portée au Canada sans la citoyenneté canadienne. Quand on entend : « Tu es vraiment compétent, c’est toi qu’on veut, mais malheureusement, tu n’es pas Canadien », on se rend compte que le statut d’étudiant international est un réel handicap et ferme plusieurs portes.
Message aux étudiants internationaux
Le message que je voudrais transmettre dans cet article, c’est que même si on n’a pas un grand réseau dans notre pays d’accueil – en l’occurrence le Canada –, on ne doit pas se laisser abattre. Il faut juste accepter qu’en tant qu’étudiant étranger, il faut travailler deux à trois fois plus fort pour atteindre ses objectifs. C’est cette attitude qui peut faire pencher la balance, et en sachant à quoi s’attendre, on peut mieux se préparer en conséquence. J’ai été étudiant étranger et je sais mieux que quiconque ce que nous traversons au Canada, et même si aujourd’hui, je suis résident permanent, il y a des portes qui demeurent toujours fermées pour moi.
Pour conclure, le Canada est un beau pays rempli de possibilités; c’est le nouvel eldorado. Il y a beaucoup de diversité grâce au nombre grandissant d’immigrants. Ce phénomène est en train de changer le point de vue et la manière de vivre des Canadiens. Il faut juste travailler dur et garder espoir en l’avenir. Comme on le dit souvent : il y a une lumière au bout du tunnel.