Futurs diplômés
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L’École de gestion Telfer a terminé en 3e place au classement général des Jeux du commerce 2014.
L’Université d’Ottawa souhaite féliciter l’équipe de 90 étudiantes et étudiants de l’École Telfer qui l’a représentée aux Jeux du commerce 2014. Cette compétition, regroupant 13 universités de l’est du Canada, s’est déroulée à l’Université du Québec à Trois-Rivières du 3 au 5 janvier 2014.
Félicitations à la présidente de la délégation, Chloé Laframboise, pour son leadership en remportant la coupe académique. La délégation de l’École Telfer a remporté 8 trophées, dont la coupe académique, remportée pour la sixième fois en sept ans.
Prix d’équipe :
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Coupe Académique: meilleure école au volet académique
Entraîneur : Guy Laflamme (ADM3994 Préparation et participation à la compétition de cas d'affaires I) - 3e place – Classement général
1re place aux activités suivantes :
Étude de cas en stratégie (Barbara Robertson, Gabbie Kratchanov, Antoine Robert)
Entraîneur : Laurent Mirabeau
Étude de cas en Commerce international (Jeffrey Laplante, Faheem Savia, Jaclyn Tokarewicz)
Entraîneure : Anika Laperriere
Étude de cas en Systèmes d'informations organisationnels (SIO) (Saxon Giddings, Ashley Rosa, Michelle Lim)
Entraîneur : Samer Forzley
3e place aux activités suivantes :
Étude de cas en fiscalité (Dominic Franchi, Ailsa Leitch, Emily Hsiung)
Entraîneurs : Kathryn Pedwell et Simon Couvrette
Étude de cas en opérations et logistiques (Aghilas Chebini, Brian Spour, Josh Girard)
Entraîneur : Jean Couillard
Étude de cas en marketing (Sarah Rizvi, Aleksandra Jasinska, Marie-Pier Gauthier)
Entraîneur : Michael Guolla et Michael Weatherhead
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Frank Bouchard, étudiant au programme interdisciplinaire en gestion en ingénierie, a développé un prototype de Wipebook parce qu’il n’aimait pas gaspiller de papier. Wipebook est un cahier de notes qui permet de facilement effacer le contenu d’une page, puis de la réutiliser.
Au cours de sa maîtrise en gestion en ingénierie, il a rencontré Toby Maurice et Thomas Synchterz qui suivaient également le cours du professeur Stephen Daze (Entrepeneur en résidence Telfer) sur l’entrepreneuriat et les hautes technologies (MBA6262). Toby et Thomas sont éventuellement devenus cofondateurs de Wipebook.
Stephen Daze met beaucoup d’emphase sur la validation d’idées par des ventes et c’est pourquoi l’équipe a pris un risque en produisant 300 unités. Les ventes étaient majoritairement effectuées sur le campus. Lorsqu’ils étaient inscrits au cours MBA 6262, les trois étudiants ont décidé de mettre sur pied une campagne de financement par la foule par le biais de Kickstarter, mais ont seulement récolté 200 $.
Huit mois plus tard, les affaires se portaient beaucoup mieux et plus de 150 livres avaient été vendus. L’équipe a alors décidé de tenter d’amasser des fonds via Kiskstrater une deuxième fois au moment de la semaine internationale de l’entrepreneuriat dans le but d’accroître la visibilité de l’entreprise et de produire un nouveau prototype en plus grande quantité.
L'entreprise a amassé plus de 400 000 $, ce qui représente cent fois l'objectif de départ.
Apprenez en davantage sur Wipebook en consultant sa page Kickstarter
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La simulation de stratégie Intopia est une possibilité d'apprentissage passionnante et intégrative pour les étudiants du B.Com. dans le cadre de leur cours de gestion stratégique de 4e année.
Du 13 au 17 novembre 2013, des étudiants ont participé à cette simulation organisée dans le pavillon Desmarais de l'École de gestion Telfer.
Félicitations aux membres de l'équipe gagnante :
- Wilson Li
- Alex Tyutyunnik
- Brian Juin Phon Chan
- Edward Alexei Porturas
- William Eveleigh
Cela fait près de 20 ans que la simulation de stratégie Intopia (CGA Ontario Intopia Strategy Simulation) est une composante du cours de stratégie de 4e année. Elle vise à enseigner aux étudiants les concepts de la gestion stratégique dans un univers de simulation en ligne appelé Intopia. La simulation permet aux étudiants de mettre en pratique leurs compétences pendant une période de temps concentrée au cours de laquelle ils peuvent obtenir des commentaires immédiats sur leurs décisions.
Cette activité-cadre a récemment été rebaptisée en reconnaissance de la contribution totale de 370 000 $ de CGA Ontario à l'École de gestion Telfer en vue de soutenir les étudiants, l'enseignement et la recherche.
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Trois ans seulement après son lancement officiel, Spoonity a déjà signé un contrat avec l’une des principales chaînes de cafés d’Ottawa, Bridgehead, et s’apprête à lancer un projet pilote pour la chaîne nationale Pita Pit. Cette jeune entreprise d’Ottawa, qui a remporté le concours Garage Démarrage en 2012, est une idée originale d’un diplômé de l'École Telfer, Myron Gomes, et de son associé Max Bailey. Leur objectif : fidéliser la clientèle au moyen d’une carte de fidélité numérique.
Le concept de récompenser le client n’a rien de neuf, mais cette entreprise propose de rendre l’expérience plus interactive et plus invitante tant pour le client que le détaillant.
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La ronde finale est officiellement terminée!
Le 9 novembre 2013 a eu lieu la ronde finale de la compétition académique Place à la jeunesse, évènement organisé par Les Jeux du Commerce Ottawa en collaboration avec l’École de gestion Telfer, l’Université d’Ottawa et le Ministère de l’Éducation de l’Ontario. Trente équipes réunissant 90 élèves des écoles secondaires francophones provenant de partout en Ontario ont participé à cette compétition de haut calibre.
Un gros merci à toutes les écoles qui ont participé à la 10e édition, surtout aux enseignants-accompagnateurs ainsi qu’à tous les élèves qui ont grandement impressionné les juges avec la qualité de leur travail et leur professionnalisme.
Au total, 16 bourses d’une valeur totalisant 82 000 $ ont été accordées aux gagnants des volets de comptabilité, marketing, entrepreneuriat et débat oratoire.
Résultats 2013
Félicitations à tous les élèves qui ont participé à la compétition Place à la jeunesse 2013. Ce fut une expérience enrichissante et inoubliable.
Gagnants du cas de comptabilité
1re place – Bourse de 5 000 $
École secondaire régionale de Hawkesbury :
Anita Gut
Mikaëlla Leblanc
Marie-Ange Tessier
2e place – Bourse de 1 000 $
École secondaire catholique de Casselman:
Maria Laflèche
Brady Boisvert
Miguel Laroche
3e place – Bourse de 500 $
École secondaire catholique l’Escale :
Benoit Brunet
Isabelle Bouchard
Valérie Godin
Gagnants du cas de marketing
1re place - Bourse de 5 000 $
École secondaire catholique L’Escale:
Antoine Cantin
Joshua Boyle
Mikaël Gaumond
2e place - Bourse de 1 000 $
École secondaire Étienne-Brûlé :
James Zhao
Kevin Gammage
Michael Norris
3e place - Bourse de 500 $
École secondaire publique Le Sommet :
Charles-William Desroches
Jérémy Proteau
Manuel Leclair
Gagnants du cas en entrepreneuriat
1re place – Bourse de 5 000 $
École secondaire publique Le Sommet :
Dérick Giroux
Sébastien Sauvé
Alexandre Gélineau
2e place - Bourse de 1 000 $
École secondaire catholique E.J. Lajeunesse :
Amanda Drury
Christine St-Pierre
Siri Gauthier
3e place - Bourse de 500 $
École secondaire publique Gisèle-Lalonde :
Hodane Abdi
Narimane Ait Hamou
Sara Zkiou
Gagnants du volet des débats oratoires
1re place - Bourse de 5 000 $
École secondaire Étienne-Brûlé :
Abtine Monavvari
Alphadyo Balde
Safya Lachgar
2e place - Bourse de 1 000 $
École secondaire Saint-François-Xavier :
Christopher Tucker
Marjorie-Ann Hurtubise
Sarah Tessier
3e place - Bourse de 500 $
École secondaire Publique Le Sommet:
Cendrine Lavigne
Tristan Joanette
Charles Séguin
Reconnaissance des meilleurs présentateurs
Comptabilité - Bourse de 1 000 $
Isabelle Bouchard, École secondaire catholique l’Escale
Marketing - Bourse de 1 000 $
Michael Norris, École secondaire Étienne-Brûlé
Entrepreneuriat - Bourse de 1 000 $
Alexandre Gélineau, École secondaire publique Le Sommet
Débats oratoires - Bourse de 1 000 $
Abtine Monavvari, École secondaire Étienne-Brûlé
Les Jeux du Commerce Ottawa, l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa et les partenaires de Place à la jeunesse 2013 aimeraient féliciter les gagnants pour leur réussite. Place à la jeunesse a été une fois de plus un énorme succès.
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En avez-vous ras le bol de gaspiller vos pauses à attendre en file pour acheter un simple petit café? L’application Knowline réglera peut-être votre problème. Sa raison d’être : renseigner l’utilisateur sur la longueur des files d’attente à tout endroit. Cette application est l’œuvre de quatre étudiants d’ici qui, lassés des longues files d’attente, ont décidé de changer les choses.
« Attendre, c’est une réalité inévitable de la vie quotidienne, un irritant coutumier. Avec Knowline, on veut éliminer cet irritant en créant un réseau de partage d’information sur les temps d’attente », explique Chad Malouin, étudiant de 4e année à l’École de gestion Telfer et cofondateur de Knowline [Ce lien n'est plus disponible].
Basée sur le modèle de l’externalisation ouverte, l’application Knowline fonctionne sur toutes les plates-formes (iPhone, Android, Blackberry) et vise dans un premier temps à réduire les temps d’attente aux différents services aux étudiants. Selon Greg Somers, l’ingénieur du groupe, toutes les universités auraient avantage à utiliser cette application pour permettre à leurs étudiants de gérer efficacement leur temps.
Knowline est donc une application développée par et pour des étudiants. Tout a commencé sous la forme d’un projet de classe mené par quatre étudiants soucieux d’obtenir la meilleure note (Veronica Grajewski, étudiante de 3e année en commerce et communications; Noah Hayes, de l’École de gestion Telfer; Greg Somers, de la Faculté de génie, et Chad Malouin). Mais devant le potentiel du projet, et avec l’accompagnement de la professeure Barbara Orser, le groupe est passé en mode réalisation. « Quand nous avons présenté notre projet à la classe, la réception a été très favorable. Nous avons été choisis pour participer au concours Wes Nicol, où on nous a encouragés à concrétiser notre idée parce qu’elle répondait à un besoin », raconte Chad.
Démarrer une entreprise quand on est étudiant n’est jamais chose facile, comme l’a constaté l’équipe de Knowline. Et la recherche du financement nécessaire pour la mise en marché complique les choses encore davantage, observe Chad, ajoutant au passage que l’accompagnement de l’Université dans ce processus s’est avéré utile.
Le groupe entend faire connaître son produit aux bars et aux restaurants de la ville qui veulent réduire le temps d’attente de leurs clients, explique Greg Somers. « Si on intégrait l’analyse de données, ajoute-t-il, on pourrait envisager de réduire les temps d’attente dans les hôpitaux et les aéroports en les communiquant aux patients et aux voyageurs. »
Vous avez un projet d’entreprise? Un esprit entrepreneurial? Découvrez les nombreux ateliers qui se tiendront durant la Semaine de l’entrepreneuriat à l’Université d’Ottawa.
par Louise Umutoni [Ce lien n'est plus disponible]
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Reaching Out MBA est une organisation sans but lucratif qui a pour unique objectif d'aider les étudiants GLBT (gais, lesbiennes, bisexuels et transgenres) du programme MBA à se prendre en charge pour devenir des professionnels qui sauront mener le bal vers l'égalité dans la formation commerciale, au travail et partout dans la société. L'organisation organise chaque année sa conférence MBA qui sert de forum où les futurs et potentiels diplômés d'une école de gestion et les dirigeants d'entreprise d'aujourd'hui peuvent établir des réseaux personnels et professionnels, s'échanger des renseignements et promouvoir la coopération dans leur domaine d'intérêt respectif. La conférence de cette année, la 16e en son genre, s'est déroulée du 17 au 19 octobre, à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane. On y comptait plus de 1 100 participants.
Le concours de rédaction de cette année abordait le thème suivant : « Quel est le rôle des futurs dirigeants d'entreprise GLBT dans la lutte contre la discrimination à l'égard des personnes GLBT à l'échelle internationale? ». Vincenzo Sposato s'est classé au 2e rang au concours et fait de l'École de gestion Telfer la première école canadienne à remporter un prix. Les autres écoles qui ont remporté un prix sont les suivantes : la Harvard Business School, la Chicago Booth School of Business, la Columbia Business School et la UCLA Anderson School of Management.
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Brian Carriere, Gestionnaire du réseau des relations de l’École de gestion Telfer, s’est joint à Jean Desgagné (B.Com. 1986), président et chef de la direction de La Caisse canadienne de dépôt de valeurs limitée du Groupe TMX, pour ouvrir les marchés à Toronto, le 4 novembre 2013. La visite à Toronto s’est déroulée dans le cadre du programme de mentorat sur les marchés financiers (PMMF).
Le Programme de mentorat sur les marchés financiers (PMMF) est un programme de perfectionnement triennal offert aux étudiants très doués en finance et constitue une expérience d'apprentissage enrichissante en vue de se préparer à une carrière dans ce domaine. Ces étudiants participeront chaque semaine à des ateliers parascolaires axés sur des cas qui seront animés par des professionnels des services financiers. Ces ateliers permettront d'étudier des sujets tels que le capital de risque, le financement par actions, les fusions et acquisitions.
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Un blogue étudiant a récemment été lancé conjointement avec le Projet sur l'adaptation au changement climatique en milieu côtier (projet C-Change), qui a son siège à l'École de gestion Telfer. Le projet C-Change se penche sur la gestion de l'adaptation aux changements environnementaux dans huit collectivités côtières du Canada et des Caraïbes. Des étudiants d'ici et de quatre universités partenaires fournissent des mises à jour sur leurs travaux portant sur le projet par l'entremise du blogue étudiant C-Change. Ceci permet aux étudiants de partager leurs travaux avec les membres des communautés. Alex Chung, l'auteur de ce blogue, est un candidat du programme de M.Sc. en science des systèmes qui travaille sous la direction du professeur Dan Lane de l'École de gestion Telfer. Il continuera de mener des études de cas avec les collectivités partenaires de Charlottetown, à l'Île-du-Prince-Édouard, et de l'Isle Madame de l'île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse.
Le projet C-Change établit des liens entre les membres de collectivités et les chercheurs des universités du Canada et des collectivités des Caraïbes en vue d'appuyer les recherches sur l'adaptation aux changements environnementaux dans les zones côtières, y compris les effets des ondes de tempêtes et de l'augmentation des niveaux de la mer sur les collectivités côtières. Les chercheurs du projet C-Change travaillent avec les collectivités partenaires pour établir le profil de vulnérabilité et des risques des collectivités locales pour renforcer les capacités locales de gestion en matière d'adaptation aux changements environnementaux à venir.
Le projet C-Change est dirigé par les codirecteurs les professeurs Dan Lance et Patrick Watson, directeur de la Sir Arthur Lewis Institute of Social and Economic Studies de la University of the West Indies, campus St. Augustine à Trinité-et-Tobago, et une équipe de plus de 20 cocandidats, collaborateurs et partenaires de la collectivité. Le projet est financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI) et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).
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Ajmal Sataar, Kathleen Kemp, Neil Gangal et le diplômé Adam Tomaszewski aspirent à assainir et à s'enrichir; ils vont ramasser des mégots de cigarette pour les transformer en profits.
L'initiative est toujours en voie d'élaboration, mais une présentation de six minutes sur l'idée a été récompensée du premier prix durant la fin de semaine de la compétition entrepreneuriale Launch Some Good, laquelle permet de contribuer à un monde meilleur.
Le groupe compte créer des boîtes à mégots spécialisées pour ensuite offrir un service de ramassage. En vue de contribuer encore plus à un monde meilleur, les postes de ramasseur seront offerts à des personnes atteintes de maladies mentales par l'entremise de programmes d'emplois de transition. Les mégots pourront être ramassés pour être transformés en isolants ou pour être offerts à une entreprise du New Jersey qui fabrique des meubles à partir de mégots.
Le groupe aimerait également créer un flux de rentrées en affichant des publicités sur ses boîtes à mégots. Il ajoute qu'en vue de capter l'intérêt du public, ces boîtes compteraient automatiquement le nombre de mégots y entrant et fonctionneraient à l'énergie solaire.
Les cigarettes ne semblent peut-être pas constituer une industrie en expansion rapide, mais Sataar affirme qu'en ce moment, les mégots représentent toujours le type d'ordure le plus commun au monde; par conséquent, cette industrie devrait donner lieu à de nombreuses possibilités commerciales. Il faudra tout de même déterminer à quel point une telle mesure de protection de l'environnement sera une priorité pour les fumeurs, mais le groupe compte miser sur la culpabilité des fumeurs, laquelle devrait faire office d'arme puissante.
Lisez l'article dans son intégralité sur le site Web de l'Ottawa Citizen [Ce lien n'est plus disponible] (disponible en anglais seulement).
