Innovation et entrepreneuriat
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La reconnaissance de la nécessité de la réconciliation dans le cadre de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation est un pas dans la bonne direction, mais il reste encore du chemin à faire, car des centaines de collectivités autochtones sont actuellement visées par des avis concernant la qualité de l’eau.
De tels avis signifient que, pour consommer et utiliser l’eau acheminée par leurs réseaux d’aqueduc existants, les collectivités autochtones doivent d’abord la faire bouillir pour qu’elle soit considérée comme salubre. Dans certaines collectivités, l’eau est totalement inutilisable.
Alexandra Whiteduck, qui étudie à l’Université d’Ottawa et qui est gestionnaire du projet Nibi d’Enactus uOttawa, a grandi à un endroit où l’eau était insalubre, même si cet endroit ne se trouve qu’à une heure et demie de la capitale nationale.
« J’ai grandi dans une collectivité située à une heure et demie au nord d’Ottawa où il n’y avait pas d’eau potable », explique Alexandra.
Du fait qu’elle a elle-même vécu ce problème, Alexandra travaille maintenant à l’initiative Nibi, qui est menée par des étudiants en vue d’offrir des solutions concernant la salubrité de l’eau potable à d’autres collectivités autochtones, grâce à des tests et des mesures d’épuration.
La carte (à gauche) démontre le nombre de collectivités autochtones au Canada qui sont sous le coup d’avis concernant la qualité de l’eau (ce qui ne comprend pas les avis de non-consommation) – selon watertoday.ca
L’importance d'une eau potable salubre
Sans un accès à une eau potable salubre, il est difficile de satisfaire aux besoins fondamentaux de la vie. Alexandra vous encourage à vous poser les questions suivantes :
« Quelles tâches avez-vous au programme aujourd’hui? Allez-vous vous réveiller et prendre un café? Boire un verre d’eau? Prendre une douche? Vous brosser les dents? Laver la vaisselle? Tous ces gestes du quotidien ne sont pas à la portée des collectivités autochtones.
Tout au long de votre journée, réfléchissez à ces questions et demandez-vous si vous pourriez faire ces activités sans accès à de l’eau potable. Dans de nombreux cas, la réponse est non, et pour les collectivités autochtones, c’est une réalité à laquelle elles sont confrontées quotidiennement.
Si nous faisons le nécessaire pour qu’à l’avenir, toutes les collectivités autochtones aient accès à de l’eau potable, leur vie et leur productivité changeront radicalement au quotidien.
La solution Nibi
Quelles sont les mesures prises
Alexandra est devenue membre de l’équipe de Nibi à titre de deuxième gestionnaire de projet. Les deux gestionnaires de projet précédentes, qui ont lancé l’initiative, étaient d’autres étudiantes de l’Université d’Ottawa, Michelle Wronski et Elisabeth Mercier.
« Michelle et Elisabeth ont créé ce projet parce qu’elles ont constaté une importante lacune dans la recherche et le soutien pour la crise de l’eau dans les collectivités autochtones. Elles étaient extrêmement passionnées par la question et voulaient trouver une solution au problème. »
Les deux fondatrices ont entendu Alexandra s’exprimer sur la question et l’ont immédiatement vue comme une bonne candidate pour se joindre à l’équipe. En tant que personne qui a vécu sans accès à l’eau potable, Alexandra est en mesure d’apporter une perspective de première main sur les lacunes dans le soutien et sur les changements à apporter pour améliorer la situation des collectivités autochtones.
L’initiative menée par des étudiants met maintenant l’accent sur trois piliers de soutien : les tests, les mesures d’épuration et les ateliers.
Pour les tests, Nibi met les collectivités en contact avec des partenaires certifiés qui leur enseignent comment assurer une surveillance de l’eau sur place. Cela permet aux populations autochtones de prendre en charge le traitement de l’eau et la surveillance des systèmes.
Nibi aide également les collectivités autochtones à trouver des mesures d’épuration qui correspondent à leur situation socioéconomique. Contrairement à ce qui se passe lorsqu’elles collaborent avec des organismes gouvernementaux, les collectivités ne sont pas forcées d’accepter de l’aide ou de prendre des mesures une fois les résultats obtenus.
« Nous effectuons des évaluations fondées sur les besoins, afin de trouver des mesures d’épuration qui y répondent. Les collectivités ont le choix de travailler avec nous, si elles le souhaitent. Autrement, il n’y a pas de problème. » L’équipe d’Enactus trouve ensuite les contaminants dans l’eau et demande aux collectivités ce qu’elles attendent du processus d’épuration.
Enfin, Nibi organise des ateliers pour permettre aux jeunes de garder le contrôle de la qualité de l’eau qu’ils consomment et de leurs infrastructures. L’équipe de Nibi s’entretient également avec des jeunes Autochtones pour voir ce qu’ils entrevoient pour leurs collectivités à l’avenir.
Comment participer
Pour vous joindre à la cause de Nibi, vous pouvez assister à leurs ateliers et mieux comprendre cet enjeu clé. L’équipe souhaite également embaucher un certain nombre d’étudiants pour doubler sa taille cet automne, y compris dans les domaines suivants :
- Science
- Sensibilisation
- Relations d’affaires
- Relations avec les Autochtones
- Marketing
- Ventes
En cette journée de la vérité et de la réconciliation, il est important de se rappeler qu’il reste encore beaucoup à faire. Nous espérons que tous profiteront de cette journée pour continuer de s’informer sur la vie des Autochtones et sur la façon dont ils sont touchés par les mesures prises par notre gouvernement.
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Version originale anglaise publiée sur LinkedIn le 14 mai 2021
Nous sommes ravis d’annoncer la publication du rapport intitulé Entrepreneurship Policies through a Gender Lens par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Ce rapport, qui arrive à point nommé, regroupe 27 notes de réflexions sur des questions politiques de longue date concernant le soutien à l'entrepreneuriat féminin. Les données de l'OCDE et les commentaires de la rédaction renforcent les conclusions de ces notes. Ce rapport intéressera les femmes entrepreneures, les décideurs, les défenseurs de l’entrepreneuriat féminin et les universitaires, à un moment où il est nécessaire d'avoir des points de vue fondés sur des preuves pour conduire les mesures de redressement post-pandémie.
Contexte
Ce rapport est le fruit d’une collaboration entre l’OCDE et le Global Women’s Entrepreneurship Policy Research Project (Global WEP), un réseau de chercheuses chevronnées provenant de plus de 34 pays. Le projet a été dirigé par Jonathan Potter (chef de la Entrepreneurship Policy and Analysis Unit) de l’OCDE, la professeure Colette Henry, présidente de Global WEP - (Institut de Technologie de Dundalk, Irlande; présidente, Global WEP), la professeure Susan Coleman (Université de Hartford, États-Unis) et la professeure Barbara Orser (Université d’Ottawa, Canada). Des extraits du sommaire exécutif suivent.
Qu’apprendrez-vous de ce rapport?
Les enjeux relatifs à l’entrepreneuriat féminin sont devenus encore plus pertinents, alors que la pandémie de la COVID-19 menace de faire reculer de 20 ans l’entrepreneuriat féminin. Les notes contenues dans ce rapport couvrent un éventail de défis politiques, notamment en ce qui concerne les institutions formelles et informelles, l’accès au financement, l’accès aux compétences et à la conception de politiques, et les instruments politiques qui peuvent être utilisés pour les relever. Les notes soulignent les principes fondamentaux et les bonnes pratiques à suivre dans la conception et la mise en œuvre des politiques.
Ce rapport offre également un aperçu de l’état de l’entrepreneuriat féminin dans les pays de l’OCDE et ailleurs, en utilisant des indicateurs ventilés par genre sur la création d’entreprises, le travail autonome et les obstacles au démarrage, à la pérennité et à la croissance des entreprises. Ces indicateurs illustrent les écarts entre les genres dans l’entrepreneuriat, non seulement dans les taux d’activité, mais aussi dans la proportion d’entrepreneurs qui créent des emplois pour d’autres personnes. Les écarts persistants entre les genres appellent les politiques publiques à continuer de s’attaquer aux inégalités de genre dans l’entrepreneuriat.
Dans l’ensemble, ce rapport fournit une source importante de nouvelles réflexions pour aider les décideurs et militants politiques qui cherchent à renforcer les interventions holistiques à l’appui de l’entrepreneuriat féminin, ainsi que pour encourager et faciliter l’apprentissage par les pairs à travers le monde.
Points saillants du rapport
Les conclusions de ce rapport font valoir que les politiques et les programmes entrepreneuriaux dominants ne sont pas neutres du point de vue du genre. Des approches explicites sont nécessaires pour éliminer les obstacles à l’entrepreneuriat qui sont vécus différemment par les hommes et les femmes, et pour veiller à ce que les femmes aient un même accès au soutien politique destiné aux entrepreneurs.
D’une certaine manière, cette réalité est reconnue par le large éventail d’interventions politiques dédiées aux femmes entrepreneures qui ont été mises en place à l’échelle internationale dans de nombreux contextes. Les interventions abordent les obstacles dans les domaines de la culture et des compétences entrepreneuriales, de l’accès au financement, des réseaux et écosystèmes entrepreneuriaux, des institutions réglementaires, ainsi que sur les approches de conception et de mise en œuvre de politiques visant à atteindre l’égalité des genres. Ces approches illustrent la nature dynamique de la politique de l’entrepreneuriat féminin, ainsi que le progrès réalisé alors que les décideurs reconnaissent les besoins et les contributions des femmes entrepreneures.
Cependant, les initiatives de politique d’entreprise des femmes sont souvent fragiles - limitées dans le temps, à petite échelle, éparses, axées sur les symptômes - et ne sont pas suffisamment soutenues par une vision et un cadre véritables pour l’entrepreneuriat féminin. Pour combler ces lacunes, il faut accroître la sensibilisation et les connaissances au sujet des politiques qui mobilisent et soutiennent les femmes entrepreneures dans les écosystèmes entrepreneuriaux. L’adhésion à des politiques d’entrepreneuriat sans distinction de genre ne permettra pas d’obtenir les avantages qui découleront d’une véritable stimulation de l’égalité des chances dans l’entrepreneuriat.
Il y a trois grandes priorités pour l’élaboration de nouvelles politiques :
Des cadres stratégiques communs pour l’entrepreneuriat féminin doivent être adoptés
Dans certains pays, les cadres politiques pour l’entrepreneuriat féminin sont bien développés et les programmes pour les femmes entrepreneures contribuent efficacement à la réalisation des priorités et des objectifs globaux énoncés dans ces cadres. Cependant, dans d’autres pays, les politiques d’entrepreneuriat féminin sont incomplètes ou inefficaces, souvent parce que les programmes ne sont pas conformes aux objectifs de la politique mondiale; les gouvernements devraient en faire plus pour renforcer les cadres politiques. Ils doivent également consacrer davantage de ressources pour veiller à ce que les programmes s’appuient sur des cadres et soient durables à long terme.
Les interventions politiques en faveur de l’entrepreneuriat féminin doivent refléter le contexte
Les gouvernements doivent veiller à ce que les interventions politiques soient adaptées au contexte institutionnel, culturel et social. Les notes de réflexions politiques décrivent des contextes très différents, notamment des pays développés où les inégalités entre les genres persistent, mais sont relativement subtiles au sein de pays avec un régime fortement patriarcale. La politique d’entrepreneuriat féminin peut être efficace dans n’importe quel contexte, mais les objectifs, les instruments et les mécanismes d’exécution doivent être choisis en conséquence.
Plus de données d’évaluation sont nécessaires comme fondation pour l’expansion des initiatives stratégiques
De nombreux pays ont mis en place une grande variété d’instruments de politique et d’approches d’exécution. L’un des principaux défis consiste à évaluer l’efficacité de ces approches dans différentes situations et dans différentes combinaisons, et à évaluer et à transférer les approches les plus efficaces. Il faut davantage de preuves sur l’efficacité du soutien à l’entrepreneuriat féminin dans différents contextes. Cela comprend, par exemple, les répercussions des mesures de formation et de mentorat, le financement et le rôle des mesures qui influencent les conditions institutionnelles sous-jacentes. Il faut aussi savoir à quel point les mesures doivent être appliquées en bloc. L’absence de preuves d’évaluation est une occasion manquée d’apprendre des interventions politiques à fort impact et pourrait contribuer à la vulnérabilité du financement des programmes d’entrepreneuriat féminin.
Téléchargez le rapport Entrepreneurship Policies through a Gender Lens
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Le programme CEOx1Jour d’Odgers Berndtson offre aux étudiants ayant une âme de dirigeant l’occasion de passer une journée en compagnie d’un PDG canadien reconnu dans son milieu.
Pour la plupart des étudiants en gestion, l’accomplissement professionnel ultime est de devenir chef de la direction d’une organisation. La fonction de PDG est certes très convoitée, mais elle est complexe et en constante évolution. Cet événement d’une journée offre aux étudiants de troisième et de quatrième année l’occasion unique de toucher du doigt la fonction de PDG vue de l’intérieur.
L’an dernier, deux étudiants de Telfer se sont distingués dans le programme :
Audrey-Anne Délage, demi-finaliste
Nayaelah Siddiqui, finaliste
Étudiante en gestion internationale et en entrepreneuriat, Nayaelah a été l’une des 18 finalistes du programme CEOx1Jour, ce qui lui a permis de bénéficier durant toute une journée des enseignements et du mentorat avec Teresa Marques, PDG de la Fondation Rideau Hall. Nayaelah affirme « avoir eu l’occasion d’apprendre beaucoup de choses différentes », notamment pour avoir rencontré l’ancien gouverneur général, David Johnston, et avoir passé du temps au Sénat du Canada et, en personne, avec Mme Marques.
Nayaelah s’est d’abord soumise à un processus de sélection à la fois exigeant et révélateur. Pour pouvoir passer cette journée auprès de Teresa Marques, elle a dû franchir quatre étapes de sélection, soit : l’acceptation de sa demande; une évaluation en ligne de son leadership; une entrevue téléphonique et une évaluation en personne. Nayaelah ne savait pas si elle accèderait à la finale, mais le simple fait d’avoir gravi autant d’échelon lui a donné la confiance nécessaire pour ne pas renoncer et rester fidèle à elle-même. « Il y a beaucoup à apprendre même si l’on n’arrive pas au bout! », conclue-t-elle.
Cette année, les chefs de la direction participant au programme représentent Facebook Canada, Sephora Canada, Capital One, CHEO et de nombreuses autres entreprises. Consultez la liste complète des PDG que vous pourriez rencontrer en cliquant ici.
Inscrivez-vous au programme CEOx1Jour 2019 d’ici le vendredi 25 octobre pour avoir la chance de rencontrer d’incroyables étudiants, chefs d’entreprise et PDG canadiens.
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Le cours de premier cycle « Fusion entrepreneuriale » est une initiative de l’École de gestion Telfer qui rassemble des collaborateurs de tout le campus pour mettre en place, gérer et offrir un cours d’un semestre avec crédits pour développer votre entreprise sur une période de 13 semaines.
Le cours de « Fusion entrepreneuriale » sera un catalyseur de votre projet d’entreprise; vous pourrez consulter des mentors externes lors de séances thématiques et vous aurez aussi des périodes fréquentes d’accès au « laboratoire » pour que vous puissiez vous concentrer sur votre entreprise.
Ce cours est disponible pour tous les étudiants de l'Université d'Ottawa.
Entrevues et demande d'emploi
Une entrevue et un processus d’admission assureront que seulement les étudiants intéressés par l’entrepreneuriat seront acceptés. Les équipes formées d’étudiants sont admissibles au cours, cependant, l’inscription de tous les membres des équipes n’est pas nécessaire. Les places sont limitées à 25 étudiants.
Évaluation du projet
- Votre projet sera évalué à l’aide d’un sondage préliminaire et d’une entrevue afin de déterminer où vous en êtes avec votre projet et de fixer des objectifs.
- À la fin du cours, vous passerez une entrevue pour mesurer les progrès réalisés.
- Des présentations à clichés obligatoires toutes les deux semaines vous permettront d’améliorer vos habiletés de présentation et de recueillir des commentaires précieux auprès des professeurs, des mentors et des pairs.
Le cours aura lieu à l'automne 2020, les jeudis de 14 h 30 à 17 h 30.
Pour de plus amples renseignements ou pour soumettre votre candidature, veuillez communiquer avec Stephen Daze.
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Avez-vous songé à obtenir un MBA ou un MGSS de Telfer ? L'École de gestion Telfer organise ce mois-ci une séance d'information pour chaque programme de maîtrise. Si vous souhaitez en apprendre davantage sur les programmes, assistez à notre prochaine séance pour interagir avec les professeurs et poser des questions sur le programme en personne.
Quelle est la valeur d'un master ?
Le MBA et le MGSS offrent une expérience d'apprentissage personnalisée, pratique et connectée. Chacune des classes est petite et engageante, ce qui vous donne l'occasion de travailler en collaboration avec vos pairs et d'apprendre de vos professeurs dans un environnement multiculturel. Nos programmes de maîtrise peuvent vous permettre d'acquérir des compétences, de faire progresser votre carrière et d'établir des liens précieux et durables, tout en étant situés au cœur de la capitale canadienne du G7.
Pourquoi s’inscrire au MBA a l’ecole de gestion Telfer ?
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Triple couronne d’agréments reconnue sur le plan international
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Accès à des professeurs de haut niveau ayant une expérience précieuse
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Relations avec l'industrie
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Explorez le projet de consultation MBA
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Participez à notre programme de stages
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Augmentation salariale un an après la remise des diplômes
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Taux de placement de 100 % dans un délai de neuf mois
Inscrivez-vous : Séance d’information au sujet du programme de MBA Telfer, le jeudi 29 novembre 2018, de 17 h 30 à 19 h
Pourquoi s’inscrire au MGSS a l’ecole de gestion Telfer ?
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Préparez-vous faire une différence au sein de notre système de soins de santé.
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Assumer des postes de leadership dans tous les secteurs du système de santé dynamique et complexe du Canada
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Faites votre choix parmi deux programmes flexibles offerts par des professeurs de haut niveau
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Obtenez une expérience concrète avec une résidence exclusive de quatre mois
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Acquérir des compétences de gestion tactique pour votre carrière
Inscrivez-vous : Séance d’information au sujet du programme de MGSS Telfer, le mardi 27 novembre 2018, de 17 h 30 à 19 h
Cets événements se déroulera en anglais seulement.
Déterminez si les programmes Telfer vous conviennent dès aujourd'hui.
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Il y a plus de 250 associations étudiantes à l’Université d’Ottawa, lesquelles encouragent les étudiants à travailler avec leurs camarades tout en découvrant leurs forces et leurs intérêts. Formula uOttawa, l’une des plus récentes équipes, continue d’évoluer et d’encourager les possibilités d’expérience pratique dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) grâce à la collaboration de plusieurs facultés, dont la Faculté de génie et l’École de gestion Telfer.
Formula uOttawa est l’équipe étudiante pour la voiture de course de l’Université d’Ottawa. Chaque année, l’équipe est tenue de concevoir et de monter une toute nouvelle voiture de course. Celle-ci est ensuite évaluée par un jury à diverses compétitions internationales en fonction de sa conception globale, de sa performance et des coûts qui y sont liés. La troisième saison de l’équipe a officiellement pris fin, suite à sa compétition la mieux réussie à ce jour dans le cadre de Formula North 2018. L’équipe s’est classée 23e sur un total de 49 équipes inscrites. En obtenant cette expérience pratique, les membres de l’équipe Formula uOttawa sont en mesure de démontrer aux employeurs qu’ils peuvent mettre en pratique les connaissances et compétences acquises en classe. En raison de l’excellent travail des étudiants de l’équipe, de nombreux membres ont obtenu des stages au sein de multinationales comme Tesla, Chrysler, et Continental Tire.
Non seulement les épreuves de course ont-elles été bien réussies, le groupe talentueux d’étudiants de l’École de gestion Telfer ont aussi obtenu la 2e place pour leur présentation d’affaires, et ce, sur un total de 27 équipes. La voiture de cette année a aussi été rendue possible par ces étudiants remarquables qui ont trouvé 26 commanditaires ayant fait plus de 30 000 $ en dons. Les étudiants de l’École de gestion Telfer sont membres de l’équipe de marketing, de l’équipe de comptabilité et de l’équipe d’administration de Formula uOttawa.
Formula uOttawa n’aurait pas pu participer à la compétition internationale sans le travail exceptionnel et la collaboration des étudiants de ces deux facultés.
Pour en savoir plus sur Formula uOttawa et pour vous renseigner sur les façons d’y contribuer, consultez leur site Web au www.formulauottawa.com
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Cassy Aite (B.Com. 2015), diplômé de Telfer, a obtenu un financement de préamorçage pour l’expansion aux États-Unis de Desk Nibbles, entreprise dont il est cofondateur. Desk Nibbles utilise l’intelligence artificielle pour faciliter la tâche des gestionnaires de bureau quant à l’entretien des coins cuisines dans les milieux de travail. Avec plus de 65 clients et un nombre d’employés ne cessant de croitre, Desk Nibbles est en pleine expansion. Cliquez ici pour en savoir plus sur l'entreprise Desk Nibbles ainsi que sur son financement de préamorçage pour son expansion aux États-Unis.
En savoir plus sur Cassy Aite dans notre rubrique diplômé aux commandes.
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Une nouvelle étude menée par l’École de gestion Telfer, en collaboration avec Services publics et Approvisionnement Canada, expose des stratégies d’action visant à accroître la diversité des PME fournisseurs du gouvernement fédéral et l’innovation inclusive.
Présenté lors du forum sur les politiques internationales à la Chatham House au Royaume-Uni, le rapport souligne d’importants points de comparaison concernant le progrès des femmes entrepreneures au Canada. Il établit également une norme en matière de production de rapports portant sur le genre des propriétaires d’entreprise, la portée et les types d’innovation et la passation de marchés entre les PME et le gouvernement fédéral. Le rapport empirique et les stratégies d’action présenteront un intérêt pour les décideurs, les petites entreprises et les organisations d’innovation, les défenseurs, les associations de l’industrie, et les sociétés qui appuient la diversité des fournisseurs. La recherche, par exemple, a aidé à établir une résolution importante de la conférence à la Chatham House, selon laquelle le Sommet des femmes du G20 adopte l’entrepreneuriat, l’approvisionnement et le commerce comme étant ses trois priorités en matière de politique.
Les recommandations du rapport de Telfer comprennent les suivantes :
- Adopter des stratégies propres aux secteurs pour aider à obtenir l’engagement de la part du gouvernement du Canada d’accroître de 10 % à 15 % la participation des femmes propriétaires d’entreprises à la passation de marchés avec le gouvernement fédéral. Les stratégies propres aux secteurs découlent de la constatation faite par Telfer selon laquelle les différences entre les hommes et les femmes pour ce qui concerne la probabilité que les PME aient le statut de sous-traitant du gouvernement fédéral varient considérablement d’un secteur industriel à l’autre.
- Améliorer les analyses et les données en matière d’approvisionnement auprès des PME, y compris des échantillons de grande taille et des analyses détaillées pour aller au-delà des preuves anecdotiques et pour améliorer les possibilités de passation de marchés pour les PME.
- Mettre en place une formation à un approvisionnement tenant compte des genres en collaboration avec des organisations de l’industrie, comme le Canadian Aboriginal and Minority Supplier Council (CAMSC), WBE Canada, WEConnect International Canada, Women’s Enterprise Organizations of Canada (WEOC), entre autres.
Visualiser le rapport sur les stratégies d’action pour augmenter la diversité des PME founisseurs.
Visualiser l’analyse comparative de petites et moyennes entreprises en tant que fournisseurs du gouvernement du Canada.
Visualiser les publications et les initiatives connexes de l’École de gestion Telfer.
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Enactus uOttawa a été nommé champion national du Défi de l’entrepreneuriat de la Banque TD de 2018 et champion national du Défi vert Écovie de la Banque Scotia pour son produit The Growcer.
The Growcer est un système agricole à la fine pointe de la technologie qui combine la technologie hydroponique permettant aux entrepreneurs de créer leurs propres entreprises et de cultiver localement des produits dans les collectivités du Nord vivant dans l’insécurité alimentaire. Le système The Growcer d’Enactus uOttawa a produit 10 000 portions de légumes en seulement cinq mois.
Enactus uOttawa a participé à plusieurs concours commandités par la Banque Scotia et la Banque TD. Ces concours ont été créés pour permettre aux étudiants de niveau postsecondaire d’élaborer et de réaliser des projets qui enseignent des compétences en entrepreneuriat pertinentes aux futurs entrepreneurs et aux entrepreneurs actuels.
Drew Stirling, vice-président externe, mentionne que « Enactus a été une plate-forme incroyable pour s’épanouir sur le plan personnel et professionnel, rencontrer d’autres étudiants motivés et voyager dans le monde — tout cela en apprenant à utiliser les affaires pour bâtir un monde meilleur ».
The Growcer a également été nommé finaliste du Défi d’autonomisation des jeunes de la Banque Scotia et du concours sur la sécurité alimentaire de Hellman’s.
Alida Burke n’est pas en reste, car elle a été nommée chef de projet de l’année, et Holly Todd a été nommée Femme leader de demain par HSBC. L’Université d’Ottawa a fait bonne figure au championnat national, se classant au 2e rang dans l’ensemble parmi 70 autres écoles.
« C’est toujours un plaisir de nous lancer des défis sous forme de concours et de constater la croissance de l’équipe année après année — je ne pourrais être plus fière de diriger cette équipe », déclare Holly Todd, présidente d’Enactus uOttawa.
Félicitations à Enactus uOttawa pour ce championnat national couronné de succès!
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Le Centre de leadership de l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa, en collaboration avec le Diversity Institute de la Ryerson University, a lancé la Ontario Inclusive Innovation (I2) Action Strategy (stratégie d’action d’innovation inclusive (I2) de l’Ontario).
Le Brookfield Institute of Entrepreneurship + Innovation a accordé un contrat de 225 000 $ au Centre de leadership de l’École de gestion Telfer, en collaboration avec le Diversity Institute de l’Université Ryerson, afin de préparer un rapport sur l’état du soutien offert aux entreprises fondées par des femmes en Ontario, offrir des ateliers sur l’entrepreneuriat tenant compte des disparités entre les sexes, mettre sur pied un programme de certification et tenir une conférence pour présenter des pratiques factuelles visant à habiliter les entrepreneures. Parmi les partenaires de l’industrie : Les femmes en communications et technologie, WEConnect International – Canada, Canadian Aboriginal and Minority Supplier Council, WBE Canada, YWCA et les Services d’emploi des jeunes.
Des études menées par l’École Telfer et le Diversity Institute font état de la nécessité d’une culture favorable aux femmes et de services d’entrepreneuriat tenant compte de la spécificité des sexes. Le soutien offert aux entreprises communautaires met l’accent principalement sur la technologie, malgré l’importance d’autres secteurs dans lesquels œuvrent un très grand nombre d’entrepreneures. Les entrepreneures sont moins susceptibles d’obtenir des contrats d’investissements et gouvernementaux, et perdent ainsi des occasions d’affaires.
« Il s’agit d’un impératif économique de traduire des perspectives factuelles en programmes et en outils pour habiliter les entrepreneures. Le fait de ne pas soutenir les entreprises à fort potentiel de croissance et divers types d’entreprises dirigées par des femmes est un gaspillage de ressources intellectuelles et renforce les inégalités économiques et sociales », explique Barbara Orser, PhD, membre du corps professoral de l’École de gestion Telfer et chef de projet. « Cette stratégie d’action d’une durée de 12 mois devrait transformer l’Ontario en l’un des écosystèmes entrepreneuriaux les plus inclusifs au monde. »
Selon Wendy Cukier, directrice du Diversity Institute et coauteure d’Innovation Nation, « Les femmes jouent un rôle essentiel pour ce qui est de stimuler la croissance économique. Nous devons éliminer les obstacles imposés à diverses femmes et veiller à ce que les processus et les soutiens ne reflètent pas de préjugés conscients ou inconscients. Nos dernières études ont démontré que les entrepreneures immigrantes, appartenant à des groupes racialisés et autochtones se heurtent à des difficultés supplémentaires. La diversité favorise l’innovation et nous pouvons tirer profit de ce que nous savons sur l’innovation pour éliminer les disparités. »