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- Catégorie : Diplômés aux commandes
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer.
Nous sommes tous deux reconnaissants d’avoir grandi, d’avoir fait nos études et de vivre dans un pays bilingue et multiculturel au riche patrimoine autochtone. C'est pourquoi nous croyons depuis longtemps que nous avons le devoir de contribuer à notre tour à la société. Dan a été profondément marqué, à l’époque de ses études à l’École Telfer, au début des années 1980, par le concept de responsabilité sociale d’entreprise. Plus tard, nous avons bâti notre vie sur un principe de la philosophie juive, le tikkun olam, qui signifie « réparer le monde ».
Le tikkun olam vise à faire de petits gestes chaque jour pour réparer les dommages qu’on voit autour de soi. Bien que nous ayons, comme couple, la chance de pouvoir contribuer financièrement aux causes qui nous sont chères, nous croyons que la société fait parfois trop de cas des dons d’envergure. Un don d’un million peut faire les manchettes, mais on devrait se réjouir tout autant des dons que des millions de travailleurs et travailleuses font à la sueur de leur front pour appuyer des causes et des organismes qui leur tiennent à cœur.
Nous pensons par exemple à cette femme qui a gagné, il y a quelques années, un prix Inspiration du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Après avoir elle-même été traitée au Royal, cette nouvelle Canadienne, une femme de ménage, avait tenu à faire sa propre contribution. Elle a réussi à donner 500 $ par année à l’établissement tout en s’y impliquant comme bénévole. Le plus important, comme l’illustre magnifiquement cette histoire, ce n’est pas de donner beaucoup, mais bien de donner de la façon la plus significative et appropriée possible compte tenu de nos circonstances.
Cette conception de la bienfaisance est particulièrement importante pour les étudiants et les diplômés récents de l’École Telfer. Oui, vous êtes en début de carrière et oui, la pandémie a bouleversé l’économie, mais il demeure possible de faire votre contribution, même si vous n’avez pas beaucoup d’argent. La pandémie a brisé beaucoup de choses dans le monde. Les dommages — légers ou importants, symboliques ou concrets — ont besoin d’être réparés.
Commencez maintenant et simplement par prendre le temps chaque jour de faire des actes de bonté. S’il y a plusieurs façons de régler une situation difficile, choisissez la plus charitable. Maintenez cette attitude en faisant votre chemin dans le milieu des affaires. Laissez vos plus belles qualités — équité, générosité, empathie — s’exprimer au travail. Servez-vous-en pour bâtir un milieu de travail inclusif, cultiver des relations gratifiantes avec vos clients et vos partenaires, et adopter des pratiques d’affaires durables et socialement responsables. Tikkun olam.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Dan Greenberg et Barbara Crook.
- Catégorie : Annonces Telfer
C’est avec une grande tristesse que la famille du professeur William (Bill) Rentz a annoncé son récent décès.
Membre de la famille Telfer depuis le 1er juillet 1975, Bill a marqué 3 différentes générations de jeunes esprits, notamment par le biais de ses cours de finance et de gestion de portefeuille; il a également été le coordonnateur de la section comptabilité et finance de l’École. Au fil des ans, il a accueilli et aidé de nombreux professeurs en finance au moment de leur intégration à Telfer, et il était considéré comme un mentor par ses étudiants.
« Bill a beaucoup contribué à l’Université et surtout à la section comptabilité et finance. Il a siégé au comité de pension de l’université pendant plusieurs années et nous avons pu tirer profit de son expertise. Il posait toujours les vraies questions lors des comités et des conseils de l’École. Il avait un merveilleux sens de l’humour qui nous manquera beaucoup. Quand je suis arrivé à Telfer, Bill était toujours disponible et souriant pour me donner des conseils, que je le veuille ou non. Sa porte était toujours ouverte si l’on voulait simplement jaser ou discuter de quelque chose de plus urgent. Le bureau 7106 paraîtra bien vide dans les mois à venir. La communauté de Telfer a perdu un cher collègue dont l’âme compatissante et la personnalité attachante nous manqueront beaucoup. » - Professeur Philip McIlkenny
« Bill était un collègue respectueux et bienveillant qui était toujours prêt à donner de son temps, à apporter sa contribution et ses idées. Ses connaissances en matière de recherche et son expertise pédagogique ont permis à beaucoup d’entre nous d’aborder notre travail d’une nouvelle façon. Même si Bill n’était pas toujours d’accord avec nous, il nous écoutait toujours et terminait la conversation sur une note positive. Ses conseils et son opinion nous manqueront beaucoup. » - Professeur Samir Saadi
« Partager le couloir du 7e étage avec Bill a donné place à de nombreuses discussions de fin d’après-midi. Sa porte était toujours ouverte pour lui demander son opinion, échanger des nouvelles sur la recherche et l’enseignement, parler de politique et découvrir son amour de la famille. Les étudiants de Bill appréciaient grandement ses cours; les longues files d’attente devant sa porte témoignaient de ses rapports avec eux. Travailler avec Bill au Conseil de l’École et à l’APUO nous a permis d’observer son talent enviable pour dire à la fois peu et beaucoup. Bill était un collègue gentil et cher qui comprenait et encourageait la communauté et la collégialité. Nous avons eu de la chance de le connaître. » - Professeure Cheryl S. McWatters
Bill nous manquera à tous. Compte tenu des mesures de santé publique actuelles, sa famille a annoncé qu’il n’y aura pas de funérailles publiques. Une cérémonie privée avec les proches parents sera organisée en sa mémoire.
Tout détail supplémentaire concernant les condoléances sera communiqué, le cas échéant.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Pouya safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa, Récipiendaire de le prix Jeune Phénix
Le prix Jeune Phénix, créé à l'occasion du 30e anniversaire de l'École de gestion Telfer, reconnaît l'excellence de jeunes diplômés (moins de 40 ans) ayant relevé d'importants défis dans une courte période de temps.
On me fait l’honneur de me remettre le prix Jeune Phénix, et j’en suis reconnaissant. Je dois toutefois dire que toutes mes réalisations sont le fruit des occasions qui m’ont été offertes, en particulier à l’École de gestion Telfer. Je n’en reviens pas de la confiance qu’on m’y a manifestée.
Peu après la fin de mon MBA à Telfer, on m’a offert d’aider à améliorer le volet d’apprentissage expérientiel des cours de finance du B.Com. pour mieux préparer les diplômés à assumer divers rôles dans le monde de la finance. L’École Telfer m’a aussi accueilli comme chargé de cours et professeur à temps partiel. Les connaissances et l’expérience que j’ai acquises m’ont ensuite permis de décrocher le poste de directeur associé de l’Institut de développement professionnel de l’Université d’Ottawa.
Les cours que je donne au premier cycle portent sur l’éthique, la durabilité et la responsabilité sociale, des choses d’une importance vitale en finance et en innovation. L’innovation est autant le produit de l’égalité des chances que du savoir-faire technologique et de l’excellence scientifique. Je crois que le Canada peut atteindre à la fois l’excellence et l’égalité des chances en s’appuyant sur ses fondements multiculturels.
En fait, notre pays peut devenir un chef de file de l’innovation en veillant à ce que les nouveaux Canadiens aient la chance de bien s’intégrer, à ce que tous les Canadiens aient la possibilité d’ajouter des cordes à leur arc par la formation continue et à ce que les jeunes Canadiens n’aient pas à s’exiler pour poursuivre leurs objectifs professionnels et leurs projets d’entreprise.
La pandémie de coronavirus est un type particulier d’ouverture. Personne ne l’a voulue et, pourtant, elle provoque beaucoup de changements rapides, entre autres dans nos méthodes de travail. Très bientôt, de nombreuses occasions d’améliorer les choses se présenteront. Le Canada doit les saisir pour devenir plus juste, plus équitable et plus vert. J’encourage les étudiants et étudiantes de Telfer à prendre part au mouvement.
Pour ce faire, voici cinq leçons que j’ai apprises : premièrement, visez le bonheur, et non la richesse. Le bonheur fait ressortir nos meilleures qualités. L’argent suivra. Deuxièmement, ne vous comparez pas aux autres : vous aurez plus de succès en suivant votre propre chemin. Troisièmement, lorsque ce sera de nouveau possible, voyagez pour élargir vos horizons. Quatrièmement, continuez à apprendre après avoir eu votre diplôme. Enfin, cinquièmement, trouvez une cause qui vous tient à cœur et à qui vos connaissances pourraient être utiles. Votre chance vous attend. Ne la laissez pas filer.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Pouya Safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada passe par un partage plus équitable des ressources de notre pays entre les Canadiens eux-mêmes et avec les pays pauvres. Au Canada, le partage est une attitude, fondée sur l’inclusion et la tolérance. C’est aussi une action : régler nos désaccords de façon pacifique et réunir les contributions de toutes sortes de gens pour résoudre nos problèmes.
À l’étranger, les possibilités de partage sont infinies. J’ai géré des hôpitaux à Thunder Bay, Hamilton, Wingham et Pembroke. À ma retraite, ma femme et moi avons commencé à diriger des équipes de bénévoles canadiens pour améliorer les infrastructures hospitalières en Tanzanie. Au cours des 15 dernières années, en collaboration avec l’Alliance de santé communautaire Canada-Afrique (organisme affilié à l’Université d’Ottawa), nous avons supervisé 16 missions réunissant 120 bénévoles canadiens. Ces bénévoles ont travaillé 500 semaines à 25 projets d’amélioration des hôpitaux totalisant plus de 300 000 $ en dons.
Aider les autres est une source de satisfaction personnelle et professionnelle. C’est le genre de travail qu’on se sent bien de faire comme Canadien. C’est aussi ce qui nous rend meilleurs comme pays. Le Canada est vu comme un pays pacifique qui aborde les problèmes de façon non partisane. Cette approche impartiale, fondée sur le partage de nos connaissances avec les personnes les plus affectées et vulnérables, et une denrée rare aujourd’hui.
Cette approche est sans doute plus nécessaire que jamais. La pandémie de coronavirus a montré à quel point le monde est interconnecté et donc à quel point nous sommes vulnérables et dépendons les uns des autres. Comme Canadiens, nous avons bâti un système de santé universel conçu pour permettre à tous de vivre en meilleure santé. Nous devons continuer de soutenir et d’améliorer ce système.
La maîtrise en gestion des services de santé de Telfer a beaucoup contribué à la valorisation de la profession. C’était vrai quand j’ai obtenu mon diplôme en 1973, et ce l’est encore aujourd’hui. En 50 ans de carrière en santé, certains de mes outils et méthodes ont évolué, mais les principes fondamentaux demeurent : l’utilisation des données et la planification stratégique, le leadership et le travail d’équipe, la bienveillance et le partage.
L’École Telfer m’a aussi donné des camarades de classe à qui j’ai pu demander de l’aide et des conseils. J’encourage les étudiants et étudiantes de la maîtrise en gestion des services de santé de Telfer à garder le contact avec leurs camarades de classe. En faisant votre chemin dans le système de santé, vous en viendrez à comprendre que vous et votre organisation avez besoin des autres. En tant que dirigeant, vous devez vous mettre au centre d’un environnement organisationnel fondé sur le partage : le partage entre votre organisation et les autres, et entre le système de santé et les gens qu’il sert.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Le Canada est un pays de plus en plus marqué par la diversité. Plus que jamais, des gens nous
arrivent de partout, riches de parcours variés et de vastes bagages d’expériences et de
connaissances. C’est beau à voir et il faut que ça continue. Toutefois, la diversité elle-même
ne représente qu’une partie de l’équation.
Il faut aussi travailler sur l’inclusion. Un Canada véritablement équitable, c’est un pays où des
gens de tous les horizons et de toutes les couleurs participent activement aux actions et aux
décisions à tous les niveaux de la hiérarchie de nos entreprises, de nos organismes et de nos
institutions publiques.
La fonction publique, en particulier, se doit d’être plus inclusive. Une fonction publique
vraiment représentative de sa clientèle créera des politiques plus éclairées, offrira un meilleur
service et gagnera durablement la confiance des Canadiens et Canadiennes par son efficacité
et son ingéniosité. La diversité et l’inclusion sont bonnes pour les affaires, un point c’est
tout, car elles vont souvent de pair avec le succès et la résilience.
Pour moi, l’inclusion dans la fonction publique est aussi une conviction personnelle. Je suis
la fille d’immigrants haïtiens et la première personne noire à atteindre le rang de sous-
ministre dans la fonction publique fédérale. J’ai commencé comme étudiante dans un poste
de ressources humaines il y a plus de 30 ans. Je suis depuis peu sous-ministre déléguée à
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ce dont je suis extrêmement fière. Pourtant, je
me pose la question : pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps?
Tout le monde se pose ce genre de question ces temps-ci. La pandémie de coronavirus —
qui a affecté tant de gens, et en particulier les populations vulnérables — et les appels
pressants à la justice sociale ont provoqué un examen de conscience au Canada et dans la
fonction publique. Mes collègues et moi tenons à ce que la représentation, les politiques, les
programmes, les services et les organisations au fédéral reflètent la diversité de la population
et répondent à ses besoins les plus pressants, et nous travaillons en ce sens. J’ai moi-même le
devoir et le privilège de veiller à ce que les portes restent grandes ouvertes pour les
personnes comme moi.
Mon B.Com. de Telfer m’a appris à tirer parti des occasions qui se présentent, surtout dans
les moments difficiles. Pendant mon congé parental en 1995, j’ai utilisé mes connaissances et
mes compétences entrepreneuriales pour cofonder The Bagel Run, inc. — la première
fabrique de bagels montréalais cuits au four à bois d’Orléans (Ontario) —, toujours en
activité 25 ans plus tard. Aujourd’hui plus que jamais, il est important que les étudiants et
étudiantes de Telfer mettent leurs connaissances et leurs compétences au service de leurs
communautés. Prenez acte de la nouvelle réalité. Repérez les possibilités. Puis faites-vous un
plan et agissez pour bâtir un meilleur Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada, c'est un Canada plus empathique. Mon entreprise, QMR Consulting
and Professional Staffing, cultive l’empathie pour offrir un milieu de travail agréable à ses
employés et entretenir des relations fructueuses avec ses clients. Premièrement, chez nous,
l’empathie est une exigence à l’embauche. Lorsque nous avons un poste à pourvoir, nous
cherchons des candidats qui manifestent une volonté d’écouter les autres et d’apprendre de
leurs points de vue et expériences.
Deuxièmement, l’empathie est une chose que nous pratiquons au quotidien, ce qui
commence par prendre le temps d’écouter nos collègues et nos clients pour bien
comprendre leurs problèmes, leur réalité et leurs circonstances. J’ai découvert qu’écouter
attentivement au lieu de se borner à réagir est une marque de respect, de compassion et de
bienveillance, autant de valeurs au cœur de l’empathie.
Nous encourageons aussi nos employés à savourer les bons moments de leurs journées.
Lorsqu’ils font quelque chose de bien pour un client, leurs collègues ou eux-mêmes, nous
voulons qu’ils prennent le temps d’en ressentir la satisfaction au lieu de passer tout de suite à
la prochaine tâche. Et aussi qu’ils expriment leur gratitude pour les petites ou grandes
réalisations des autres.
L’expression efficace des émotions est une autre qualité empathique que nous prisons. Au
travail, on ne s’emporte pas : tout problème, quelle que soit sa gravité, a sa solution. Chacun
d’entre nous s’attend à ce que les autres assument leurs responsabilités et apprennent de
leurs erreurs, mais il est toujours intéressant de constater à quel point les conversations et les
relations s’améliorent dans une entreprise lorsqu’on donne la chance aux employés
d’exprimer leurs émotions de façon constructive.
La pandémie de coronavirus a renforcé mon appréciation de l’empathie. Elle a mis en relief
notre obligation commune de nous mettre à l’écoute des plus vulnérables d’entre nous et
d’apprendre d’eux si on veut faire avancer le Canada plutôt que retourner à l’ancienne
« normale ».
Ma relation avec l’École de gestion Telfer m’a aussi donné une meilleure compréhension de
cette qualité essentielle. L’École m’a non seulement permis d’acquérir des connaissances
indispensables au programme de MBA, mais m’a aussi offert des expériences enrichissantes
comme PDG en résidence, président du conseil consultatif du doyen et, surtout, mentor
auprès des étudiants. J’encourage les étudiants à profiter des avantages sur le plan personnel
et professionnel que procure le fait de prendre son temps et d’écouter attentivement, de faire
preuve de gratitude et de bienveillance, et de cultiver l’empathie pour bâtir un meilleur
Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 7 août 2020 avec Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing.
- Catégorie : La voix des étudiants
Tu en as assez d’étudier aux mêmes endroits sur le campus? Tu cherches un nouvel endroit plus classe où étudier? Un endroit où tu peux savourer un espresso onctueux, déguster un bagel frais, manger une tarte faite-maison ou même à un buffet végétarien? Ne cherche plus.
Ce qui suit est l’ultime liste des neuf meilleurs endroits où étudier à Ottawa. Elle a été conçue pour inciter même l’étudiant le moins motivé à étudier.
The Green Door
198, rue Main
The Green Door est l’endroit parfait pour manger de la nourriture végétarienne de bonne qualité quand tu étudies. On en trouve seulement un à Ottawa et il est tout près de Sandy hill, donc facile d’accès pour la plupart des étudiants de l’Université. Bien qu’il s’agisse principalement d’un buffet où l’on doit payer au poids et où tu trouveras des aliments essentiellement sans gluten, végétaliens et biologiques, c’est aussi un lieu très décontracté avec beaucoup d’espace pour étudier. Il y a beaucoup de bruit et de gens aux heures de pointe, alors pour éviter d’être distrait, apporte des écouteurs et écoute ta musique préférée pour étudier.
Photo sur : https://www.happycow.net/reviews/green-door-ottawa-1326/images?sortby=date-desc
Les Moulins Lafayette
1000, rue Wellington Ouest
Les Moulins Lafayette est une nouvelle boulangerie qui vient d’ouvrir en 2018 à Hintonburg et pourtant c’est un des meilleurs cafés où je suis allé. Non seulement ils jouent de la bonne musique et offrent un bel environnement de travail, ils ont aussi le meilleur café et les pâtisseries les plus haut de gamme que j’ai jamais dégustées. C’est une boulangerie, donc elle offre une meilleure variété de croissants, muffins et biscuits qu’un café habituel et elle est située en face d’une brasserie artisanale et d’un LCBO pour quand tu as terminé d’étudier.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/les-moulins-la-fayette-ottawa
Kettleman’s
912, rue Bank, 1365, av. Woodroffe, 6-197, promenade Trainyards
Cette boulangerie à bagel est très réputée, car elle est situé au même endroit, dans le Glebe, depuis 25 ans. Elle se trouve sur cette liste parce que c’est un endroit silencieux et calme pour étudier, qui est ouvert 24 h/24, 7 j/7 et offre du remplissage de café gratuit. C’est pour ces deux raisons que cet endroit est la meilleure option pour une longue et intense séance d’étude. Le magnifiques fenêtres laissent passer la lumière naturelle du soleil et on peut y voir clairement le processus de création des bagels et le tohu-bohu sur la rue Bank. Il dispose également d’un personnel sympathique. Le seul inconvénient est que la musique y est très forte, alors assure-toi d’apporter des écouteurs de qualité afin de pouvoir être en paix.
Photo sur : http://jvlphoto.com/ottawa-commercial-photography-kettlemans/jvlphoto-photographer-kettlemans-34-edit/
Morning Owl
229, rue Armstrong, 538, rue Rochester, 219, av. Laurier Est et autres
Morning Owl est une chaîne de café local situé ici à Ottawa. On compte 7 emplacements à travers Ottawa, et ils ont des boissons et des bouchées délicieuses et uniques, comme le latte « white rabbit ». On peut toujours compter sur Morning Owl pour un environnement d’étude formidable, avec sa déco chic et confortable. Une autre chose qui fait du Morning Owl une bonne place pour étudier est le fait que chacun des cafés a une ambiance différente qui correspond au quartier dans lequel ils se trouvent, alors assure-toi de visiter les différents endroits en ville.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/morning-owl-coffee-house-ottawa-2
Life of Pie
1134, rue Bank
Au lieu de te contenter du flot incessant de gens au Starbucks de Desmarais ou dans tout autre café du campus, fais-toi plaisir avec un café et une tarte maison. Life of Pie est une adorable boulangerie familiale où l’on peut trouver des tartes maison (qui sont à tomber par terre) de plusieurs saveurs ainsi que des quiches, des soupes et des salades. Je te recommande d’étudier ici, car bien qu’elle soit petite, on y est très à l’aise, le personnel est sympathique et l’odeur fantastique des tartes fraîchement sorties du four te donne envie d’y rester toute la journée.
Photo sur : http://lifeofpie.ca/about-us/
L’Art House Café
555, rue Somerset Ouest
L’Art House Café est un café agréable, rempli d’art, qui offre des espressos, des plats légers, des pâtisseries, ainsi que des places assises dehors. C’est un endroit qui te donnera courage et un sens d’appartenance dans les moments difficiles. La saison des examens est difficile? Détends-toi et admire de l’art local. Si tu te sens particulièrement épuisé (ce qui arrive souvent), l’Art House Café te propose du café à 5 $ jour et nuit. Leur menu comporte également une variété séduisante de cocktails au café chaud comme leur Chai corsé, le Amaretto Latte et le Chocolat chaud au Bourbon.
Photo sur : https://www.yelp.ca/biz/the-art-house-cafe-ottawa
La Bibliothèque publique d’Ottawa
377, rue Rideau, 120, rue Metcalfe, 1049, rue Bank, et autres
Besoin de silence absolu pour étudier? La Bibliothèque publique d’Ottawa est l’endroit qu’il te faut. Il y a une connexion Wi-Fi gratuite et de nombreuses succursales dans toute la ville. Si c’est une séance d’étude où tu as besoin de réfléchir et de bien comprendre, à l’opposé de copier des notes sur PowerPoint, c’est un choix judicieux, car il n’y aura absolument rien pour te distraire.
Equator Coffee
1, rue Elgin
Tu as besoin d’un endroit pour travailler qui est plus spacieux que les cafés traditionnels? Le Equator Coffee du Centre national des Arts est l’endroit qu’il te faut. Le personnel est très sympathique, l’atmosphère est chaleureuse, mais demeure plein de vivacité et il y a de délicieuses boissons et gâteries. Il ferme à 16 h, mais le CNA a beaucoup d’espace qui reste ouvert au public de 6 h à minuit avec du Wi-Fi gratuit! Situé dans l’un des plus beaux et plus esthétiques quartiers du centre-ville d’Ottawa, tu as vraiment l’impression d’étudier pour un but précis. Le café et le CNA ont une grande variété de sièges, donc si tu es inconfortable où tu te trouves, il y a des tonnes d’options pour t’aider à étudier.
Suzy Q’s Doughnuts
969, rue Wellington Ouest
Cet endroit est l’un de mes coups de cœur. Bien qu’il soit déjà très populaire, je me dois de recommander ce café, à l’odeur enivrante de beignets fraîchement préparés, pour étudier. Je trouve que cet endroit est chaleureux, tant par la température que par le tempérament du personnel. Leur sélection de nourriture et de boissons est fantastique et leur eau en libre-service rend les choses un peu moins gênantes si tu prévois y rester longtemps. C’est un endroit très fréquenté, mais on s’y sent bien et il est idéal pour étudier si tu peux tolérer des bavardages inaudibles ou si tu as des écouteurs.
Photo sur : https://www.pinterest.ca/pin/72339137740303531/
Les endroits mentionnés ci-dessus sont parmi mes endroits préférés pour étudier et j’espère que tu auras la chance d’en visiter quelques uns. Maintenant que tu as une liste des neuf meilleurs endroits pour étudier à Ottawa, va les découvrir, profites-en et termine tes études avec classe!
- Catégorie : Annonces Telfer
Le 24 juin dernier avait lieu l’Assemblée annuelle de reconnaissance de l’excellence de Telfer. Animée par le doyen François Julien, cette assemblée annuelle estivale est l’occasion de souligner les efforts et le travail exceptionnel des professeurs et du personnel administratif à l’aide de prix votés par leurs collègues.
Prix d'excellence Telfer
Ces prix sont décernés pour récompenser les membres du personnel administratif qui ont fait preuve d’excellence et de dévouement dans le domaine du leadership, de l’innovation, et du service à la clientèle, ainsi que ceux du corps professoral qui ont fait preuve d’excellence dans l’un ou plusieurs des domaines que sont l’enseignement, la recherche et le service.
Voici les gagnants des Prix d’excellence Telfer 2020 (de gauche à droite dans l’image ci-dessus) :
Personnel administratif :
- Alexandre Bélanger
- Geneviève Séguin
- Tina Albert
Membres du corps professoral :
- Daina Mazutis
- Jonathan Patrick
- Mirou Jaana
- Muriel Mignerat
Prix d'excellence en service Patricia Ann O’Rourke
Instauré en 2014, ce prix est remis en l’honneur de Patricia Ann O’Rourke qui, au cours de sa carrière remarquable, a offert un service et un appui exemplaires à tout son entourage, visant constamment le bien de l’École Telfer et de ses partenaires. Elle personnifiait « l’excellence en service » et servait d’inspiration pour tous ses collègues, qu’ils soient membres du corps professoral ou du personnel administratif. Patricia a pris sa retraite la même année après 32 ans de service.
Ce prix annuel reconnaît les employés (du corps professoral ou du personnel administratif) qui font preuve d’une volonté et d’une capacité d’aider leurs pairs et, ce faisant, promouvoient les intérêts de l’École tout en contribuant au maintien de la culture de l’excellence en service.
Cette année, les gagnants du Prix d’excellence en service Patricia Ann O’Rourke sont :
- Abdul Kane (photo non-disponible)
- Doyen François Julien, en reconnaissance de son héritage à titre de doyen sortant
Félicitations à tous les récipiendaires de 2020!
- Catégorie : Actualités
C’est avec une profonde tristesse que nous avons récemment appris le décès de notre ancien professeur, Tom Brzustowski, des suites d’une brève maladie.
À la suite d’une brillante carrière de professeur au département de génie mécanique à l’Université de Waterloo et dans la fonction publique entant que sous-ministre au sein du gouvernement de l’Ontario de 1987 à 1995, d’abord au ministère des Collèges et Universités (MCU) de l’Ontario, puis au Conseil du premier ministre. il a été nommé président du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNGC) en octobre 1995, où il passa les 10 prochaines années.
Tom a terminé sa carrière professionnelle à l’École de gestion Telfer à l’Université d’Ottawa, où il a été désigné comme le premier Professeur RBC Groupe Financier en commercialisation de l’innovation. En tant qu’auteur et conférencier, il a travaillé sans relâche en faveur de l’innovation au Canada et a reçu des doctorats honorifiques de plusieurs universités à travers le Canada.
Son dévouement à bâtir un meilleur Canada a été reconnu au niveau national quand il a reçu l’Ordre du Canada en 2002 et a été nommé membre de la Société royale du Canada l’année précédente. En 2006, il a reçu la médaille d’or des ingénieurs professionnels de l’Ontario.
Au nom de l’École de gestion Telfer, nous souhaitons présenter nos plus sincères condoléances à toute sa famille.
Nous vous invitons à envoyer un message de sympathie à la famille. Veuillez visiter sa notice biographique, ici.
- Catégorie : Annonces Telfer
Après deux mandats et dix années à titre de doyen de l’École de gestion Telfer, François Julien quittera son poste le 30 juin 2020. Durant son parcours comme doyen, il a participé à l’élaboration du programme de doctorat en gestion, la croissance de nos capacités de recherche, le développement et l’évolution du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance, l’expansion du Centre de leadership pour cadres, incluant un déménagement vers des installations plus neuves et plus modernes au centre-ville d’Ottawa, la célébration du 50e anniversaire de l’École, et il a embauché une nouvelle génération de professeurs et de personnel administratif diversifiée pour guider l’École vers l’avenir. Il laisse également en héritage une vision qui propulsera l’École vers l’accomplissement d’un meilleur Canada : un Canada plus vert, plus en santé, plus heureux et plus prospère pour toutes et tous.
Wojtek Michalowski, l’actuel vice-doyen à la recherche, assumera le rôle de doyen par intérim à partir du 1er juillet 2020. Wojtek est professeur titulaire en informatique de la santé à L’École Telfer depuis plus de 20 ans. Il agira en tant que doyen intérimaire jusqu’au 30 juin 2021 ou jusqu’à ce qu’un nouveau doyen ou une nouvelle doyenne soit embauché(e). Durant son mandat en tant que vice-doyen à la recherche, Wojtek a été un ardent défenseur de l’excellence en recherche, il a dirigé la création des quatre pôles stratégiques d’impact, l’accroissement du programme de Subventions de recherche de l’École de gestion Telfer (SMRG), et a chapeauté l’augmentation des taux de succès pour les concours des trois conseils.
Un comité de sélection, présidé par le recteur et vice-chancelier de l’Université d’Ottawa Jacques Frémont a été formé et la date anticipée pour la prise de fonction du nouveau doyen ou de la nouvelle doyenne à l’École de gestion Telfer sera le, ou avant le 1er juillet 2021.
Sous-catégories
La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez