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- Catégorie : Analytique d’affaires et performance
Les investissements dans les analyses de mégadonnées ne donnent pas nécessairement de mégaretombées. Deux chercheurs de l’École de gestion Telfer explorent comment tirer une valeur accrue de ces initiatives.
Dans une nouvelle recherche financée par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), les professeurs Ajax Persaud et Sandra Schillo de l’École de gestion Telfer chercheront à savoir si les petites et moyennes entreprises (PME) sont prêtes à tirer profit de la manne de données qui sont à leur disposition.
La même rengaine bourdonne aux oreilles des dirigeants de petites entreprises depuis des années. Les PME qui maîtrisent les mégadonnées seront en mesure de jouer dans les ligues majeures. Les PME qui obtiennent les bonnes données pointues et les aptitudes analytiques qu’il faut seront mieux en mesure de prendre les bonnes décisions dans le nouvel univers des médias numériques. Pourtant, la moitié des projets de mégadonnées tombent à l’eau. Que peuvent faire les PME ?
« La plupart des PME abordent les projets d’analyse de mégadonnées avec beaucoup de prudence, et on ne peut pas vraiment les blâmer », confie la professeure Schillo. En effet, on ne sait pas encore bien comment tirer toute la valeur de ces initiatives. « C’est une grande source d’inquiétude actuellement, parce qu’il est essentiel pour le Canada que ces entreprises demeurent à l’affût de l’analyse des mégadonnées pour rester concurrentielles à l’échelle mondiale. »
Le professeur Persaud ajoute que « L’analyse des mégadonnées devient rapidement un axe majeur pour les dirigeants d’entreprises, la principale préoccupation étant d’extraire la valeur maximale des données importantes. Cela transformera la gouvernance d’entreprise et la prise de décision. » Cette transformation est tellement rapide que, selon les prédictions du Big Data Consortium du Canada, nous connaîtrons bientôt une grave pénurie d’employés possédant le bon ensemble de compétences dans ce domaine. « En quelques années à peine, la capacité à stocker, saisir, traiter et analyser cette information a pris une grande importance stratégique pour les entreprises, explique Persaud. Elles se demandent toutes comment utiliser ces aptitudes à leur avantage. »
Il ajoute cependant que l’analyse des mégadonnées pose toujours un bien grand risque pour la plupart des petites entreprises, même pour celles qui souhaitent plus que tout profiter de leurs retombées et qui ont les ressources pour le faire. « La capture et l'extraction des données n’ajoutent pas automatiquement à la valeur ou à de meilleures décisions: les bonnes personnes possédant les bonnes compétences sont nécessaires pour générer des connaissances précieuses et la gestion doit agir de manière stratégique pour exploiter la valeur des connaissances. »
Dans le cadre de leur étude, les chercheurs de Telfer utiliseront des méthodes qualitatives et quantitatives pour évaluer si les PME sont prêtes à tirer parti des mégadonnées. Si la plupart des recherches dans ce domaine s’intéressent surtout aux technologies qui les entourent, les professeurs Persaud et Schillo, eux, souhaitent explorer les processus, les stratégies et les ressources de gestion de l’analyse des mégadonnées. Parallèlement, ils contribueront à la création de cadres de travail, d’échelles et d’indicateurs qui, à leur tour, éclaireront leur côté « gestion ». Ils s’attendent à produire des idées concrètes sur la question, au profit des PME canadiennes, du domaine de la gestion universitaire et du milieu des décideurs publics en matière d’entrepreneuriat.
Selon les chercheurs, comme toutes les initiatives qui visent à préparer les PME à exploiter les mégadonnées pour accroître leur compétitivité, leur étude s’aventure sur un terrain miné. Mais une chose est sûre : en raison de l’importance des PME pour l’économie et compte tenu de la promesse des mégadonnées, il est maintenant temps d’aider les entreprises à ouvrir le coffre-fort qui leur permettra d’accéder à cette richesse. « D’un côté, il y a ceux qui sont très euphoriques à propos des avantages de l’analyse des mégadonnées pour les PME. De l’autre, il y a ceux qui prônent la prudence pour éviter aux entreprises de subir de lourdes pertes », indique la professeure Schillo. « Mais il est probable qu’aucun des deux groupes ne soit très près de la réalité, ajoute le professeur Persaud. Nous espérons que notre recherche permettra de dresser un portrait réaliste de la situation. »
- Catégorie : Distinctions
La professeure Daina Mazutis a reçu une mention honorable de l’école Darla Moore School of Business dans le cadre du Prix de la page de 2016 pour l’excellence en matière d’enseignement de la gestion durable. La professeure Mazutis a été reconnue pour son cours de premier cycle « Leadership, stratégie et durabilité » (ADM 4317).
Offert dans le cadre du B.Com., ce cours de quatrième année met l’accent sur la responsabilité sociale d’entreprise et la durabilité à différents niveaux – soi‐même, les autres, l’organisation et la société. Il couvre les sujets, tels que l’entrepreneuriat social, les entreprises à bilan carbone négatif, les modèles opérationnels en matière de régénération et l’économie circulaire, qui inculquent une bonne compréhension de l’importance de la durabilité des entreprises aux étudiants du premier cycle et aux dirigeants d’entreprise.
Cette reconnaissance souligne l’expertise de la professeure Mazutis dans le domaine de la durabilité et de la responsabilité sociale d’entreprise. La professeure Mazutis est titulaire d’un fonds professoral en éthique, responsabilité et durabilité à l’École Telfer par l’intermédiaire duquel elle concentre ses activités de recherche sur le chemin vers des organisations plus soucieuses de l’environnement et socialement responsables. Sa recherche se situe à l’intersection de la stratégie, du leadership et de la responsabilité d’entreprise, abordant ainsi les questions environnementales et sociales auxquelles les organisations sont confrontées aujourd’hui comme les enjeux stratégiques cruciaux qui nécessitent une meilleure compréhension du rôle des entreprises dans la société.
Nous aimerions féliciter la professeure Mazutis pour cet honneur remarquable.
Au sujet du Prix de la page
Existant depuis 10 ans, le Prix de la page M. Alfred N. et Lynn Manos pour les questions de durabilité dans les programmes de cours en commerce vise à encourager et à soutenir les efforts de présentation ou de mise à niveau importante au sein des cours sur la durabilité ou de travaux connexes dans le cadre du programme d’études des écoles de gestion à l’échelle nationale et internationale.
Le Prix de la page est remis annuellement à la meilleure soumission en fonction de l’intégration de la durabilité dans le programme de cours en commerce. Les professeurs, les étudiants inscrits au doctorat et d’autres personnes peuvent présenter une soumission liée aux approches novatrices utilisées pour enseigner la durabilité aux étudiants en commerce. Les demandes antérieures ont touchés une grande variété de disciplines, y compris la comptabilité, l’entrepreneuriat, la finance, les affaires internationales, la gestion, le marketing, la gestion des opérations et de la chaîne d’approvisionnement, ainsi que le comportement organisationnel.
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du Prix de la page ou des récipiendaires, veuillez cliquer ici.
- Catégorie : Gestion des systèmes de santé
Une enquête pancanadienne unique en son genre lève le voile sur les comportements des aînés envers les technologies de la santé.
Titre du projet
IT Innovation and the Elderly: Technology Acceptance and Use in the Community
Chercheuse
Mirou Jaana, École Telfer
Subvention à l’appui de la recherche
Subventions Savoir du CRSH
Période
2017-2020
La professeure Mirou Jaana a entrepris une nouvelle étude qui permettra d’obtenir des données nationales sur l’utilisation des technologies de télémonitorage par les personnes âgées. Cette recherche est financée par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).
Les technologies de télémonitorage (appelé aussi télésoins à domicile) existent depuis des dizaines d’années, mais on en sait peu sur les facteurs qui favorisent leur acceptation et leur utilisation. Selon Mirou Jaana, ces connaissances permettraient aux fournisseurs de soins de santé et aux décideurs de rédiger des lignes directrices sur la façon la plus avantageuse pour les patients de recourir au télémonitorage.
Dans le cadre du premier volet de son étude, la chercheuse et ses collègues mènent une enquête pancanadienne auprès de personnes âgées en vue d’évaluer leurs attitudes et comportements envers la technologie. L’enquête étudiera différentes applications générales de cybersanté, en plus de technologies spécialisées pour l’utilisation à domicile telles que les montres intelligentes, qui ont fait l’objet d’une attention accrue au courant des dernières années. Dans un second volet, la professeure Jaana et son équipe se pencheront sur les facteurs qui contribuent à l’acceptation et à l’utilisation de technologies de télémonitorage par les personnes âgées.
Si le look et le confort de ces technologies sont en constante évolution, leurs fonctions de base n’ont pas beaucoup changé, confie la professeure Jaana : « Ces technologies visent essentiellement à établir un lien entre un fournisseur de soins ou un responsable de dossier et un patient qui vit dans la communauté (p.Ex., chez lui ou dans une maison de retraite) et exige une attention et un suivi important. » Exemple : un patient qui souffre d’insuffisance cardiaque porte un appareil qui transmet de l’information sur les variations de son poids. En fonction de ces renseignements, l’infirmière pourra ajuster les médicaments du patient. Ce dépistage précoce de la détérioration de l’état du patient présente des avantages importants en empêchant les complications risquées et en évitant les visites inutiles dans les hôpitaux. Ceci est particulièrement important dans le cas des patients âgés.
Portant sur les facteurs d’acceptation de la technologie, la nouvelle étude de la professeure Jaana se fondera sur les résultats de ses recherches antérieures qui révélaient que le télémonitorage offrait de nombreux bienfaits aux patients âgés atteints d’une maladie chronique. En effet, le télémonitorage a des effets positifs importants sur les patients en ce qui a trait à leurs compétences de soins personnels et à leur gestion de maladies chroniques. « En mettant l’accent sur les facteurs d’acceptation, notre recherche révèlera les obstacles et les facilitateurs potentiels qui peuvent permettre une utilisation plus efficace du télémonitorage chez les patients âgés avec des problèmes instables », poursuit Mirou Jaana. Le télémonitorage soutient une intervention rapide en identifiant l’état de santé des patients, qu’ils ne remarqueraient pas par eux-mêmes, et ce avant que les complications ne nécessitent une visite à l’hôpital.
« Le domaine du télémonitorage prend de la maturité, mais il faut encore recueillir des données empiriques sur l’intégration de ces technologies dans le cadre des lignes directrices, souligne la professeure. En raison du vieillissement de la population, nous avons la responsabilité de comprendre les besoins des personnes âgées et de profiter des outils et des technologies qui les soutiennent, comme les applications de cybersanté. »
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En matière de développement durable, les petites et moyennes entreprises innovent de façon multiple et subtile, observe Martine Spence. (Photo : Andrea Campbell / Université d'Ottawa)
Qu'il s'agisse de mode, d'alimentation ou de services, les consommateurs privilégient de plus en plus le local, le responsable, le bio et le réutilisable… Le développement durable n'est plus un concept abstrait : il trouve sa place dans toutes les sphères du quotidien.
Effet de mode ou réelle prise de conscience? Quoi qu'il en soit, les entreprises n'y échappent pas. C'est ce que constate Martine Spence, professeure de marketing et d'entrepreneuriat à l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa.
Depuis 10 ans, elle étudie les pratiques de développement durable et l'engagement social des petites et moyennes entreprises (PME). « Les PME contribuent de manière importante à l'économie des pays, elles y créent la majorité des emplois. Leur impact sur l'environnement et la société n'est pas négligeable, explique la chercheuse, qui s'intéresse à ces structures depuis longtemps. J'ai grandi dans le Sud de la France, où il y avait beaucoup de petits entrepreneurs. Pendant mes études de commerce, les grandes entreprises me paraissaient trop abstraites, trop politiques… Les PME, au contraire, sont menées par des gens qui adorent leur métier. Cela m'a toujours intriguée. »
Comment les PME embrassent-elles les pratiques de développement durable? Quelles sont leurs motivations et quels obstacles doivent-elles surmonter? Martine Spence analyse leurs comportements sur trois axes : respect de l'environnement, respect des personnes et respect de la communauté.
« Ce que nous avons constaté, c'est que le degré d'engagement dépend de la volonté de l'entrepreneur. Ce sont les citoyens sensibles à ces questions dans la sphère privée qui mènent leur entreprise le plus loin en termes de responsabilité sociale et environnementale », résume-t-elle.
Qu'il s'agisse d'éteindre les ordinateurs le soir, d'installer des thermostats éconergétiques, de favoriser les transports actifs ou d'investir dans des technologies moins énergivores, les PME n'hésitent pas à implanter des pratiques « vertes ». « Ces entreprises sont particulièrement innovantes; elles sont flexibles, n'ont pas d'actionnaires et peuvent ainsi rapidement réorienter leur stratégie », observe Mme Spence.
Les investissements ne les effraient pas, au contraire. « Quand les PME embarquent, elles innovent beaucoup : elles savent qu'il va y avoir un retour positif », ajoute-t-elle, soulignant que, pour la plupart des entrepreneurs, l'objectif premier n'est pas de faire de l'argent, mais plutôt d'être actifs dans la communauté et de nourrir leur passion.
Qu'en est-il ailleurs dans le monde? Les défis sont-ils les mêmes partout? La chercheuse, qui travaille sur l'internationalisation de ces entreprises et fait partie de l'Observatoire international du développement durable en PME rattaché à l'Université de Montpellier, en France, a récemment comparé des PME situées au Canada, au Cameroun et en Tunisie. Son constat? « Le développement durable n'est pas encore incrusté dans les mentalités du Sud, même si certains entrepreneurs tunisiens y voient des possibilités commerciales. Ces pratiques peuvent les aider à faire affaire avec l'Europe. »
Les entreprises n'y sont pas moins engagées dans la communauté pour autant. « Certaines donnent par exemple un mouton à la communauté pour l'Aïd, dit-elle. Leur engagement social est inné, plutôt mû par la religion. » À l'heure de la mondialisation, ces observations montrent que la généralisation du développement durable ne se fera qu'en tenant compte du contexte socioculturel. Et que l'inspiration peut venir de partout, du Nord comme du Sud.
par Marine Corniou
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Les femmes ont réalisé des gains durables dans le secteur des soins de santé, qui a longtemps été dominé par les hommes. Or, même si elles forment plus de 50 % de l’effectif étudiant des écoles de médecine au Canada et plus de 80 % de la main-d’œuvre en santé, elles ne dirigent que 20 % des hôpitaux et occupent peu de postes de direction dans l’ensemble du secteur de la santé. Bref, les disparités entre les sexes existent toujours.
Le 12 juin, un projet mené en partenariat pour briser le plafond de verre et donner plus de pouvoir aux femmes dans le secteur des soins de santé a reçu un coup de pouce considérable. Le Collège canadien des leaders en santé et le Canadian Health Leadership Network, travaillant de concert avec les professeures de l’École de gestion Telfer Ivy Lynn Bourgeault et Barbara Orser, la Fondation canadienne pour l’amélioration des soins de santé et le Centre for Research and Education on Women and Work ont reçu une somme de 400 000 $ pour faire progresser l’égalité entre les sexes en soins de santé, en sciences de la santé et en santé autochtone. Ce financement accordé par la ministre responsable du Statut de la femme, Maryam Monsef, compte parmi les bourses offertes à l’occasion du 150e du Canada.
Intitulé Empowering Women Leaders in Health (eWoLIH), le projet a pour objectif de transformer le système de soins de santé, de sciences de la santé et de santé autochtone en augmentant la participation, la visibilité et la progression des femmes dans les postes de haute direction. « Nous voulons bâtir une communauté solide de femmes leaders, chevronnées ou novices, et les aider à transformer le système de soins de santé à l’aide des compétences en leadership et de l’expérience unique des femmes, explique la chef du projet, Ivy Lynn Bourgeault. Ce réseau soutiendra des initiatives de sensibilisation communautaires, la mise en place de partenariats et l’élimination des barrières systémiques qui entretiennent l’inégalité des sexes dans les secteurs des soins de santé, des sciences de la santé et de la santé autochtone. »
Le projet, qui prendra son envol à Ottawa, à Toronto et à London, repérera en premier lieu les barrières systémiques qui entravent l’accès des femmes aux postes de dirigeantes. En travaillant en partenariat, l’équipe développera et mettra en pratique un ensemble d’outils et de ressources et fera la promotion de mesures pour faire tomber ces barrières.
L’équipe compte mettre en œuvre ces activités et évaluer leur efficacité d’ici la fin du projet. Le leadership des femmes en soins de santé est essentiel à l’avancement de la recherche menée dans des domaines spécifiques aux femmes, au soutien des femmes scientifiques et à la création de nouvelles connaissances pour améliorer la santé et les soins de santé. Ce projet aidera à former la prochaine génération de travailleuses en soins de santé et les futures chefs de file dans ce secteur », conclut Ivy Lynn Bourgeault.
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(dans le sens horaire à partir de la gauche) : Carolyn Montague de Perfocus Management Inc.; professeurs Jonathan Calof et Stephane Tywoniak; Jake Jacobson de Babcock Canada Inc.; James Maloney, député; Joe Armstrong de CAE; et Yasmin Ratansi, député.
L’École de gestion Telfer continue d’influencer l’avenir de la gestion des mégaprojets grâce à des travaux de recherche d’avant-garde et à son leadership. Le dernier exemple de ce leadership est la participation du professeur Stephane Tywoniak à un débat de spécialistes sur le leadership de projets complexes organisé par le Centre Pearson pour des politiques progressistes.
Devant des représentants du gouvernement, d’entreprises et d’associations industrielles, le professeur Tywoniak a déclaré qu’il existe un consensus mondial à propos de la nécessité de redéfinir les approches traditionnelles de la passation de marchés dans le cadre de mégaprojets et d’acquisitions importantes. Les mégaprojets posent des défis toujours plus complexes aux gouvernements, ici et à l’étranger. À la suite de quoi, il a fait un compte rendu d’une série de tables rondes sur la gestion de projets complexes qui ont réuni quelque 300 dirigeants des secteurs public et privé d’Australie, du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis.
L’exposé de Tywoniak a ouvert la porte à un débat de spécialistes, de députés et de cadres supérieurs provenant de CAE, de Babcock Canada Inc. et de Perfocus Management Inc.
L’événement se déroulait le 18 mai au cœur de la cité parlementaire. L’événement s’inscrivait dans le cycle de rencontres sur l’économie de demain du Centre Pearson, dirigé par Jonathan Calof, un autre professeur de l’École Telfer, et par Yasmin Ratansi, députée et vice-présidente du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires.
Lire la suite : http://www.thepearsoncentre.ca/platform/managing-mega-projects-may18/
Pour en savoir plus sur le leadership de projets complexes à l’École de gestion Telfer [en anglais seulement]
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Le 9 mai, pour célébrer le dixième anniversaire de la désignation actuelle de l’École de gestion Telfer, plus de 50 diplômés, membres du personnel et amis feront équipe avec le programme Junior Achievement Ottawa (JA Ottawa) à l’occasion de l’événement JA Delivery Day. Cette collaboration a pour but de promouvoir la littératie financière, l’entrepreneuriat et la préparation au marché du travail chez un certain nombre d’élèves de huitième année à Ottawa.
« Les jeunes qui participent à notre programme apprennent à économiser davantage… et à emprunter moins que la moyenne des adultes canadiens, explique Albert Wong, directeur de JA Ottawa. Les participants pourront appliquer immédiatement, dans leur vie de tous les jours, les compétences qu’ils auront développées grâce au programme. Établir un budget, investir et faire des choix financiers correspondant à leurs objectifs comptent parmi les notions que les bénévoles de JA Ottawa leur inculqueront au cours du programme. »
Les diplômés JA seront ainsi plus enclins à lancer une entreprise et à créer des emplois. De fait, une recherche récente révélait que les diplômés JA étaient 50 % fois nombreux à démarrer une entreprise. En outre, 65 % des diplômés ont affirmé que JA avait joué un grand rôle dans leur décision de rester sur les bancs d’école et de poursuivre des études postsecondaires. C’est simple : les élèves participant à ce programme développent les compétences et la confiance en soi nécessaires pour réussir dans la vie. Les programmes JA les prépare à innover, à assumer des rôles de leadership et à poursuivre leurs rêves.
« Nous sommes fiers de compter à Telfer 20 % des bénévoles prenant part annuellement aux ateliers JA, dit Alain Doucet, doyen adjoint aux relations extérieures à Telfer. Lors de l’édition 2017 de l’événement Delivery Day le 9 mai, ce nombre augmentera à 30 %, preuve irréfutable que notre communauté comprend bien l’importance de transmettre aux jeunes des compétences qui leur seront utiles dans le monde réel. »
Pour en savoir plus sur Junior Achievement Ottawa, écrivez à Albert Wong à
Pour en savoir plus sur l’événement JA Delivery Day.
Pour en savoir plus sur l’École de gestion Telfer.
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Le professeur Samir Saadi représentera l’École Telfer au sein d’une équipe de chercheurs de premier plan devant scruter les pratiques de fusion et d’acquisition d’entreprises dans le cadre d’un atelier de recherche canado-israélien. Interdisciplinaire et interuniversitaire, cet atelier se concentrera sur les éléments de réussite des fusions et des acquisitions au Canada et en Israël, à un moment où les deux pays cherchent à tirer plus de valeur des réorganisations de sociétés de ce type. C’est le Halbert Centre for Canadian Studies de l’Université hébraïque de Jérusalem qui financera l’atelier.
Professeur agrégé de finance, l’expertise de recherche de Samir Saadi porte sur les activités de fusion et d’acquisition d’entreprises de hautes technologies et sur le rôle et le pouvoir des PDG durant ce type de transactions. Dans le cadre de ce projet, son expertise aidera à mieux comprendre les obstacles à venir quant à la réussite de ces transactions au Canada et en Israël. Cette initiative voit le jour à un moment où des entreprises canadiennes et israéliennes se trouvent souvent dans la mire d’acheteurs et où, par conséquent, l’amélioration des résultats de ces transactions a un impact sur la productivité des entreprises, les employés et sur l’adoption potentielle de nouvelles technologies ou d’expertises.
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Le 13 mars, le professeur Greg Richards a pris la parole lors de la conférence « Villes intelligentes : Imaginer la région de la capitale nationale », tenue à Bibliothèque et Archives Canada (BAC). Des personnalités importantes du milieu universitaire et des secteurs public et privé ont partagé leurs points de vue sur l’avenir de la région de la capitale nationale lors de cet événement organisé par BAC en collaboration avec l’Université d’Ottawa et Ottawa 2017, en partenariat avec Investir Ottawa et la Ville de Gatineau.
Le professeur Richards a participé à la table ronde d'ouverture sur l'économie intelligente (« innovation, entrepreneuriat social et participation des citoyens »). M. Richards a fait remarquer que le secteur de haute technologie est fort, les travailleurs du savoir sont nombreux et le taux d’urbanisation est élevé. Tout cela, soulignait-il, fait en sorte que la région est très bien positionnée pour se développer en tant que ville intelligente et pour saisir de nouvelles possibilités d’améliorer la vie des citoyens.
M. Richards était accompagné de : John Smit, gestionnaire, Élaboration politiques et design urbain, Ville d’Ottawa; Martin Lajeunesse, conseiller municipal, Ville de Gatineau; et Eme Onohua, vice-président des Affaires gouvernementales mondiales, Xerox Canada.
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Depuis une dizaine d’années, Welch LLP est un partenaire fidèle de l’École de gestion Telfer. Il siège au comité consultatif du doyen, embauche des étudiants du régime coopératif, des stagiaires et des diplômés, et appuie diverses initiatives sur le campus et ailleurs.
Welch LLP s’est aussi engagé à offrir un soutien financier équivalant à 57 500 $ au cours des cinq prochaines années. Il va continuer d’appuyer la bourse Welch LLP en comptabilité, qui reconnaît un étudiant ou une étudiante en comptabilité qui contribue activement à la collectivité du campus. De plus, il parraine cinq événements, y compris la Réception au sommet de la tour CN à Toronto, un événement annuel important qui aide nos diplômés à tisser des liens dans notre plus gros marché à l’extérieur d’Ottawa, ainsi que la Réception de reconnaissance des donateurs et des boursiers, un événement qui célèbre les réussites des boursiers, en plus de leur permettre de rencontrer les donateurs.
Welch LLP parraine également d’autres activités qui aident l’École de gestion Telfer à offrir la meilleure expérience possible à ses étudiants : Souper annuel d’affaires « A Toast to Success » du Club des entrepreneurs; Déjeuner d’excellence de l’École de gestion Telfer; et Compétition de cas internes de Telfer. Cette compétition est un nouveau concours multidisciplinaire ouvert à tous les étudiants, mais il vise particulièrement la participation des étudiants de première et de deuxième année.
Pour en savoir davantage sur notre engagement auprès des donateurs, consultez le rapport annuel du doyen.
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