ImpactTelfer
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L’événement annuel Place à la jeunesse, organisé par l’École de gestion Telfer, offre une occasion extraordinaire d’apprentissage par l’expérience à des élèves de la communauté franco-ontarienne.
Il s'agit d'un programme destiné aux jeunes élèves intéressés par le monde de l'entreprise, comprenant une composante en classe axée sur des sujets commerciaux clés suivi d’un concours de cas. Ce dernier, inspiré par les Jeux du commerce, amène des élèves du secondaire à s’épanouir depuis sa première édition en 2004. La compétition réunie plus de 90 adolescents âgés de 15 à 19 ans provenant d’écoles secondaires de langue française de partout en Ontario.
Le programme est également une excellente occasion de promouvoir la poursuite d'études postsecondaires en français et, en même temps, d'enrichir les connaissances des étudiants dans le domaine des affaires grâce à une expérience pratique immersive et extraordinaire.
Les élèves du secondaire apprennent beaucoup au cours de leur parcours scolaire. Cela dit, la possibilité de mettre la théorie en pratique dans un contexte qui encourage la créativité, l’innovation et la pensée critique est une plus-value importante dans leur perfectionnement scolaire.
Les élèves participants ont également la possibilité de concourir pour des bourses d'études qu'ils peuvent obtenir pour leurs futures études à l’Université d’Ottawa.
La compétition
Le compétition Place à la jeunesse (PALJ) crée un environnement qui encourage les participants à grandir et à partager leurs idées, à contextualiser des problèmes réels et à les résoudre.
Traditionnellement, le concours est divisé en plusieurs sections académiques :
• le marketing;
• la comptabilité;
• l’entrepreneuriat;
• le débat oratoire.
Les élèves ont trois heures pour analyser une étude de cas, cibler des problèmes primaires et secondaires, établir des solutions, puis préparer leurs réponses et en faire la présentation devant des juges.
Leur présentation est évaluée par un jury composé de membres de la communauté, de l’École de gestion Telfer ou d’autres professionnels de la région. Les juges fournissent une rétroaction essentielle à chaque équipe, applicable au perfectionnement de sa compétence au-delà de la compétition.
« Quel bonheur de voir nos élèves participer à une activité aussi stimulante qui leur permet de vivre de telles expériences », explique Shelley Ryan, enseignante à l’école secondaire E.J. La jeunesse, qui a eu la chance de voir ses élèves participer à l’édition 2021.
En lien avec les objectifs d'apprentissage par l'expérience de Telfer
L’École de gestion Telfer prône l’apprentissage par l’expérience pour l’ensemble de ses étudiants. L’apprentissage par l’expérience est intégré au cœur de nos programmes via nos cours d'apprentissage actif, nos laboratoires de recherche et d’apprentissage et notre programme d'enseignement coopératif, entre autres occasions. Les étudiants de Telfer profitent grandement de telles expériences d’apprentissage et ils peuvent aussi mettre à profit l’activité pour s’épanouir et explorer de nouveaux sujets.
Pour des élèves franco-ontariens, Place à la jeunesse est une excellente occasion d’initiation à l'apprentissage par l’expérience à laquelle participer et qui donne un avant-goût de ce qui les attend pendant leurs études universitaires. L’activité pédagogique se déroule dans le cadre idéal de la capitale nationale, cœur du bilinguisme ontarien. Elle figure parmi les rares occasions d’apprentissage expérientiel du genre.
De plus, un document du curriculum du gouvernement de l'Ontario sur l'apprentissage par l'expérience soutien que cette approche permet aux élèves d’acquérir des compétences transversales touchant notamment la présentation orale, la pensée critique et la rédaction synthétisée.
Toute au long de la compétition Place à la jeunesse, les élèves ont l’occasion de faire valoir leurs connaissances théoriques et de les appliquer à des situations réelles pour mériter la reconnaissance de leurs paires et pairs, ainsi que de potentiellement décrocher des bourses d’études.
Comment vous impliquer
Si vous, ou une personne de votre entourage, fréquentez une école secondaire de langue française en Ontario, vous fera vivre une expérience inoubliable et vous préparera à la vie universitaire, en plus de vous faire rencontrer des élèves et membres de toute la communauté franco-ontarienne.
Par ailleurs, les élèves participants courent la chance de décrocher des bourses universitaires. À l’automne 2021, on a remis aux lauréates et lauréats de chaque volet du concours des bourses d’études à l’Université d’Ottawa totalisant 58 500 $.
Si vous souhaitez vous impliquer dans le comité d'organisation, il vous est également possible de participer de cette façon. « Nous sommes toujours à la recherche de personnes passionnées qui ont à cœur l’éducation, l’entrepreneuriat et le français pour nous aider à organiser l’événement », précise Catherine Gingras, présidente du comité organisateur de l’édition 2021 et étudiante au B.Com. à Telfer.
Apprenez-en davantage sur Place à la jeunesse et inscrivez-vous à la prochaine édition.
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Déménager dans une grande ville peut souvent sembler logique au moment de choisir de poursuivre des études postsecondaires, mais cela demeure une décision importante, surtout pour les personnes qui ont grandi dans une petite ville. Étudier à Ottawa est souvent assorti de nombreuses possibilités, en raison de la réalité politique et économique de la ville et de sa vie culturelle bouillonnante, alimentée par la diversité de sa population, qui vient de partout dans le monde. Cependant, la vie à Ottawa serait très différente sans sa grande communauté francophone.
Dans le cadre de cette journée de célébration des Franco-Ontariens, nous avons rencontré deux étudiants, Émilie Lebel et Alex Dalcourt, qui sont nés et ont grandi dans des communautés francophones du nord de l’Ontario. Leurs expériences à l’École de gestion Telfer permettent de comprendre pourquoi ils ont choisi Telfer pour leurs études postsecondaires et pourquoi ils ne l’ont jamais regretté par la suite.
Le français au cœur du processus décisionnel
Alex, qui a grandi dans un foyer bilingue de la communauté majoritairement francophone de Hearst, en Ontario, a fréquenté l’école en français toute sa vie et a eu accès à des services et à des activités en français sans même avoir à y penser. « La présence d’une communauté francophone à l’Université d’Ottawa a été déterminante dans ma décision de poursuivre mes études postsecondaires ici, à Ottawa », raconte Alex. Après avoir vécu sur l’île de Vancouver pendant un an, l’étudiant au baccalauréat en sciences commerciales / Juris Doctor, qui en est à la dernière année de son programme, s’est rendu compte à quel point il avait eu de la chance de pouvoir parler et vivre en français.
Émilie a eu un parcours scolaire similaire, au primaire et au secondaire, dans lequel le français prédominait. « Kapuskasing, en Ontario, est une petite ville où la majorité de la population est bilingue, mais dans la communauté, le français a toujours été la principale langue parlée », selon l’étudiante de quatrième année en marketing, qui est également inscrite au programme coopératif en français.
C’était donc une décision facile à prendre pour elle de poursuivre ses études postsecondaires en français, mais elle voulait aussi rester en Ontario pour être le plus près possible de sa famille. « La possibilité de terminer mon programme en français et de participer à des activités dans ma langue maternelle à l’école Telfer a facilité mon choix d’université. Telfer est non seulement une excellente école qui m’offre des possibilités professionnelles au-delà de la salle de classe, mais c’est aussi un endroit où je peux m’exprimer librement dans la langue dans laquelle je me sens le plus à l’aise. »
Vivre dans un environnement francophone
En plus de permettre d’étudier, les universités sont un lieu d’épanouissement, tant sur le plan personnel qu’interpersonnel.
Par conséquent, il était important pour Émilie de pouvoir s’exprimer en français, tant en classe qu’en participant à des activités parascolaires. La communauté Telfer lui a toujours offert cette chance. « Je n’ai pratiquement jamais participé à une activité où il n’y avait pas d’autres étudiants francophones, explique-t-elle. Tout au long de mes études, je n’ai jamais été dans une situation où je ne pouvais pas m’exprimer dans ma langue. J’ai participé à de nombreuses compétitions de cas d’affaires, y compris les Compétitions de cas internes de Telfer, Pitch Your Brand avec l’Association marketing de Telfer, le Happening Marketing et les Jeux du Commerce, et j’ai toujours été en mesure de présenter mes exposés oraux et mes arguments de vente en français. » Émilie a également eu la chance d’accroître la présence française au sein de l’équipe de CASCO avec d’autres étudiants francophones, ce qui a amélioré la communication avec la communauté.
Alex apprécie également la possibilité qu’il a eue de tirer parti de son patrimoine et de sa culture francophones tout au long de son expérience étudiante à Telfer. Il a rencontré des pairs aux vues similaires dans le processus. « J’ai trouvé une communauté avec laquelle je peux communiquer librement en français », explique-t-il. Par exemple, Alex a été bénévole, membre, puis coprésident, du comité exécutif de Place à la jeunesse pendant trois ans. « Cette compétition de cas en français est un exemple parfait de la façon dont je peux travailler avec des collègues, le corps professoral, des personnes et des organismes à l’extérieur de l’Université, toujours en français, vers un objectif commun », ajoute-t-il.
S’épanouir en français
Quitter sa ville natale pour la grande ville est toujours le fruit d’une réflexion difficile et suscite des défis, mais Émilie et Alex s’entendent sur un point : on n’est jamais seul dans cette aventure.
« N’ayez pas peur de parler votre langue! ajoute Émilie. Vous serez surpris de l’ampleur de la communauté francophone et de l’ouverture et du soutien des élèves non francophones. Vous ne serez jamais empêché de vous exprimer en français, dans les clubs et les activités de Telfer », a‑t‑elle conclu.
Alex voulait donner un conseil aux élèves des communautés francophones éloignées, « Chérissez votre langue pour l’utiliser à votre avantage, que ce soit pour profiter de différentes occasions ou pour rencontrer de nouvelles personnes. Vous savez déjà à quel point votre langue et votre culture sont précieuses. Vous pouvez maintenant vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle à Ottawa et partout dans le monde. »
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Le programme de doctorat en gestion de l’École de gestion Telfer a ouvert ses portes pour accueillir la première cohorte de doctorants à l’automne 2016. Parmi les 28 candidatures, huit audacieux candidats ont été admis dans le tout nouveau programme. Ils se sont engagés à entreprendre le parcours du doctorat, sans vraiment être conscients des défis et des victoires qui les attendaient. Quatre ans et un trimestre plus tard, Vusal Babashov est le premier étudiant à avoir soutenu sa thèse avec succès le 18 janvier 2021, devenant ainsi le premier diplômé du programme de doctorat en gestion de Telfer. Étant donné les obstacles survenus à cause de la pandémie de la COVID-19, il s’agit d’une réalisation remarquable.
Choisir le bon programme de doctorat
Tout étudiant qui envisage un doctorat doit d’abord décider de consacrer les 4 à 6 prochaines années de sa vie à la formation doctorale. Le choix du domaine d'études est également une décision importante, car il sera lié au sujet de la thèse, à l'identité du directeur de thèse et pourrait avoir un impact sur l'orientation de leur future carrière.
Il s’agit d’une décision importante pour tous les doctorants, mais comment un étudiant décide-t-il de franchir le pas et de poser sa candidature dans le domaine de son choix?
Marwa Soliman a rejoint le programme en 2016. Sa décision de poursuivre un doctorat à Telfer était évidente étant donné l’expertise variée de l’école : « J’ai travaillé dans le milieu universitaire toute ma vie et faire un doctorat en comptabilité était l’un de mes rêves. Avant de rejoindre Telfer, j’ai vécu dans le nord de l’État de New York pendant deux ans et, pendant cette période, j’ai souvent visité Ottawa. J’ai commencé à lire davantage au sujet de Telfer et de leur nouveau programme de doctorat, et j’ai vraiment aimé ce que l’École avait à offrir. J’ai communiqué avec le professeur Walid Ben Amar et il a eu la gentillesse de me fournir tous les renseignements nécessaires au sujet du programme. J’ai tellement apprécié notre conversation que j’ai décidé de rejoindre Telfer. Compte tenu de l’expertise diversifiée dans les disciplines de la comptabilité et de la finance et des résultats de recherche exceptionnels des dernières années, j’ai senti que je pouvais m’épanouir dans cet environnement de recherche dynamique et encourageant. »
Vusal Babashov n’a pas hésité à choisir son programme : « J’ai choisi le programme de doctorat de Telfer principalement en fonction des superviseurs avec lesquels j’allais travailler pendant les 4 à 5 prochaines années. J’ai fait beaucoup de recherches sur mon superviseur. Tout d’abord, le professeur Jonathan Patrick était très présent et avait une bonne réputation au sein de la communauté de la recherche opérationnelle en santé. De plus, il était actif en recherche et dans l’édition. Finalement, après une rencontre préliminaire avec lui, il m’est apparu évident que nous pourrions bien travailler ensemble. Le professeur Antoine Sauré s’est joint au programme peu après que j’ai commencé mon doctorat. Il était le choix idéal comme co-superviseur, car nous avions des intérêts communs en matière de recherche. De plus, il commençait tout juste son parcours menant à la permanence, et son engagement et sa motivation ont créé plus de synergie et ont stimulé mon engagement en recherche au doctorat. »
Trois grandes étapes de la formation doctorale
Après avoir officiellement commencé le programme et avoir terminé quatre trimestres de cours obligatoires, les étudiants au doctorat doivent passer l’examen de synthèse. Il s’agit d’un examen en deux parties (écrit et oral) supervisé par le comité examinateur. La réussite de cet examen prouve que l’étudiant a acquis les connaissances nécessaires et qu’il est prêt à entreprendre un projet de thèse.
Avant la fin de leur troisième année du programme, les étudiants doivent choisir leur sujet de thèse, préparer une proposition de thèse et la défendre oralement. Bien que la plupart des étudiants à ce stade soient très enthousiastes à l’idée de commencer leur collecte de données, il s’agit d’un obstacle important et d’un rite de passage clé. Ne pas réussir à défendre leur proposition entraîne leur retrait du programme – ce qui est très stressant! Nous avons demandé à Andrea Ghazzawi ce qu’elle pensait de ce défi. « Je savais à quoi m’attendre, car j’avais aussi défendu ma proposition lors de ma maîtrise. J’adore mon sujet de recherche, la pédiatrie sociale, et j’ai investi beaucoup de temps dans l’élaboration de mon étude de recherche avec l’appui de mon superviseur, le professeur Craig Kuziemsky, et la directrice clinique du Centre de pédiatrie sociale, la Dre Anne Marie Bureau. Pour cette raison, je me suis sentie très bien préparée pour ma défense. »
Nous avons demandé à Marwa comment elle se sentait face à ce défi. Elle ajoute que le soutien et les conseils de ses professeurs l’ont aidée à franchir ces étapes : « J’ai été l’une des premières étudiantes de la première cohorte de doctorants de Telfer à rejoindre le programme. C’était à la fois un défi et une opportunité. Même si nous n’avions pas les antécédents des étudiants précédents pour nous guider et nous donner quelques trucs et astuces pour gérer notre parcours de doctorat, j’ai eu la chance de toujours trouver le soutien et les conseils de mes professeurs pendant toutes les étapes de mon doctorat, y compris lors de mon examen de synthèse, du choix de mon sujet de thèse et même pendant ma défense de proposition. »
Après ces étapes, les doctorants sont en bonne voie pour devenir des chercheurs indépendants et ce, après avoir passé d’innombrables heures à lire, à planifier et à concevoir la bonne approche de recherche, à s’assurer de poser les bonnes questions de recherche et à définir une méthodologie, un processus de collecte de données et une analyse. Leur grand triomphe est d’avoir réussi à publier leurs travaux de recherche, dans l’espoir d’avoir un impact et de contribuer à façonner l’avenir de leur domaine. À ce stade, les doctorants sont prêts à rédiger et à défendre leur thèse, puis à célébrer cette extraordinaire réalisation.
Le soutien de Telfer
La formation doctorale est un parcours intense de développement scolaire et professionnel. Les superviseurs de thèse jouent un rôle important dans ce processus, mais de nombreux autres membres du corps professoral, du personnel de soutien et des pairs ont une influence majeure sur cette formation. Pour Marwa, la professeure agrégée Qiu Chen a vraiment laissé une forte impression pendant son doctorat. « J’ai aimé travailler avec la docteure Qiu Chen. Elle apporte toujours son soutien à l’intérieur et à l’extérieur de nos cours. Je me souviens de la première journée de classe lorsqu’elle a dit que l’une des bonnes choses sur le fait d’enseigner à des étudiants au doctorat, c’est que vous travaillez avec vos collègues, et non avec vos étudiants. Je lui ai récemment demandé une lettre de recommandation alors que j’étais à deux jours de la date limite, et elle a été très gentille de m’offrir son aide. Elle est revenue me demander plus d’information pour écrire une lettre de recommandation de qualité même dans ce peu de temps. »
Rejoindre la communauté étudiante
La Telfer Graduate Research Programs Student Association (TGRPSA) joue un rôle important dans l’amélioration de l’expérience des étudiants au doctorat à Telfer, en partageant les opinions ou les réflexions des étudiants et en veillant à ce que leurs besoins soient satisfaits. Parmi la première cohorte de doctorants, Alexander Chung a été le premier représentant des étudiants au doctorat au sein de l’association et a été président jusqu’en 2019. Ce dernier offre un point de vue unique sur l’expérience étudiante au doctorat : « Depuis la création du programme de doctorat, l’association a joué un rôle déterminant dans l’organisation d’activités visant à unir les étudiants et à promouvoir notre recherche. Deux exemples comprennent des activités de “partage des compétences” et des ateliers intensifs de rédaction. Les activités de partage des compétences ont permis aux étudiants de partager leurs connaissances et leurs passe-temps avec d’autres, tout en offrant un environnement social pour aider à alléger le stress des études supérieures. Les ateliers d’écriture étaient quant à eux des séances hebdomadaires qui offraient un environnement motivant où les étudiants se réunissaient et écrivaient de façon productive. De plus, nous avons aidé à organiser et à présenter la compétition de thèse pour les étudiants aux études supérieures. »
Le programme de doctorat de Telfer accueille maintenant cinq cohortes de candidats ambitieux, tous animés par une quête de connaissances et un désir de développer l'expertise et les compétences de recherche nécessaires pour conquérir le monde. Je les félicite tous de s’être engagés à relever le défi. Nous souhaitons à tous nos étudiants beaucoup de succès dans leurs parcours respectifs et nous avons hâte de célébrer avec chacun d’entre eux l’obtention de leur doctorat.
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Jeune donatrice de l'année
Sarah Parr
Mes années à Telfer m’ont appris l’importance de travailler fort et de repousser mes limites. Peu de temps après avoir reçu mon diplôme, j’ai obtenu le titre de vérificatrice interne autorisée (CIA). Pour moi, c’était un réel accomplissement. Au fil des années, cela a continué à m’ouvrir des portes et à m’offrir de nombreuses opportunités sur le plan professionnel. La croissance continue et l’apprentissage sont pour moi des valeurs essentielles, c’est pourquoi il est si important pour moi de redonner à Telfer un peu de ce qu’elle m’a offert, et c’est pour moi un réel honneur de recevoir ce prix. Cela démontre qu’il n’est pas nécessaire d’attendre des années pour faire une différence.
BÉNÉVOLE DE L'ANNÉE
Jodie Harrison
Je suis de nature extravertie, j’aime travailler avec les gens et avoir l’occasion de créer un impact. C’est d’ailleurs ce que j’ai aimé à Telfer : la possibilité de rencontrer d’autres professionnels et de côtoyer des mentors. Cette connexion est importante. C’est pour ces raisons que je suis une bénévole. Avec le Programme de mentorat par les cadres, nous avons la possibilité de prendre un étudiant sous notre aile, de le conseiller sur le développement de sa carrière. À titre de Présidente du 24e tournoi annuel de golf de Telfer, j’ai également participé à la création d’un fond en vue d’offrir une bourse d’admission à l’École. Je suis honorée et reconnaissante d’avoir l’occasion de redonner et appuyer la génération future.
DONATRICE FIDÈLE DE L'ANNÉE
Marie Fortier
J’ai débuté des études en commerce, mais en 1969, j’ai découvert l’existence de la Maîtrise en Administration de la Santé, et je n’ai plus jamais remis ce choix en question. J’ai accompli mes 10 premières années de carrière avec beaucoup de satisfaction. Cependant ma contribution se limitait à une seule ville. J’ai alors accepté un emploi subalterne dans le domaine de la santé autochtone. Cela m’a incité à développer une vision nationale. Cette approche m’a servie dans mon rôle de sous-ministre déléguée, puis sous-ministre auprès des communautés des langues minoritaires, avec comme résultat la prospérité des organisations qui continuent aujourd’hui à faire une différence. Je suis extrêmement fière de ces réalisations. C’est la principale raison pour laquelle on m’a remis l’Ordre du Canada en 2016. Je me sens à la fois humble et reconnaissante d’avoir obtenu cette distinction prestigieuse.
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Dans le cadre du Gala de l’excellence 2019 de l’École de gestion Telfer, cinq diplômés remarquables recevront les médailles Trudeau, le prix Jeune Phénix et le prix Philos du doyen pour leurs contributions exceptionnelles au monde des affaires, aux soins de santé, à leur collectivité et à leur alma mater. Le gala, qui aura lieu au Centre Shaw le samedi 19 octobre 2019, est également l’occasion de célébrer collectivement l’École de gestion Telfer et de souligner l’anniversaire de la remise des diplômes des promotions de 1969, de 1979, de 1994 et de 2009.
Médailles Trudeau
Luc Fortin, B.Com. 1990
M’inscrire au programme de Sciences Commerciales à l’Université d’Ottawa a été une décision de dernière minute, mais une décision que je n’ai jamais regrettée! L’École de gestion Telfer m’a permis d’acquérir les habiletés fondamentales dont j’avais besoin. Plus encore, l’École m’a ouvert au monde de la finance. Pour moi, la meilleure façon d’atteindre le succès est de favoriser la collaboration, d’être éternellement optimiste et d’aider les gens à réaliser leur plein potentiel. Lorsque vous appuyez sur les forces d’une organisation et les compétences cumulées de tous les membres de l’équipe, ça peut créer une dynamique d’équipe extrêmement puissante!
Marc Y. Tassé, MBA 1997
Mon parcours à Telfer a débuté en 1986. Il est 33 ans plus tard, j’y suis toujours et j’en suis très heureux. J’ai passé ma vie professionnelle à travailler comme juricomptable, à lutter contre la fraude, la corruption et le blanchiment d’argent. Mon quotidien n’est pas de tout repos. L’optimisme, je le trouve dans ma vie à l’université, particulièrement lorsque je vois la nouvelle génération d’étudiants, qui rejette massivement les comportements non éthiques. Les valeurs principales que doivent adopter les entreprises à notre époque sont l’intégrité, l’éthique et la transparence. Telfer prône ces valeurs, et j’ai confiance que mes étudiants se souviendront des réflexions que je partage avec eux et qu’ils les mettront en pratique. C’est pour moi une excellente raison de célébrer.
Mari Teitelbaum, MGSS 2010
Ingénieure en électricité de formation, j’ai passé 15 excellentes années dans le domaine de la haute technologie. J’appréciais mon travail, mais j’ai eu besoin de donner plus de sens à ma vie professionnelle. Un ami m’a recommandé le programme MGSS de Telfer. C’était exactement ce qu’il me fallait. Le fait qu’il y a tant de travail à faire pour que notre système de santé soit réellement axé sur le patient est une grande source de motivation pour moi. Je crois que l’innovation et la technologie sont essentiels pour assurer cette transformation. Pour y parvenir, il faut des gens qui atteignent leur plein potentiel. C’est extraordinaire de voir œuvrer ces gens totalement engagés, intelligents et déterminés.
Prix Jeune Phénix
Derek Ricci, B.COM. 2002
Pour moi, il n’y a pas de recette pour réussir. Il n’y a pas de raccourci. Il faut travailler fort. L’École Telfer m’a enseigné l’importance du travail d’équipe. Ceci m’a aidé dans absolument tout ce que j’ai entrepris depuis, que ce soit obtenir mon diplôme à l’école de droit, devenir en six ans un partenaire à part entière d’une entreprise, négocier un règlement de 500 millions de dollars dans le cadre d’un conflit légal et rejoindre un réseau mondial de spécialistes de la lutte contre la fraude. J’ai le privilège de travailler avec un groupe de gens exceptionnels et extrêmement doués. Je partage ce prix avec eux. Dans notre cabinet, le travail est plus important que l’accomplissement individuel.
Prix Philos du doyen
Bernard Raymond B.Com. 1981
Je suis natif d’un petit village en Abitibi-Témiscamingue, où les mots « communauté » et « entraide » prenaient tout leur sens. L’éducation ayant toujours été l’une de mes priorités, j’ai été membre du conseil d’administration de l’école Montessori d’Aylmer et de l’Académie Jeanne d’Arc d’Ottawa, le président des dons majeurs pour l’Université du Québec, fait un don pour les bourses d’admissions de l’École de gestion Telfer en plus d’avoir participé au programme de mentorat. Inspiré par mon fils, Alexandre, qui vit avec une déficience intellectuelle, je suis fier d’avoir créé ma propre fondation pour venir en aide aux personnes vivant avec des déficiences intellectuelles et à leurs familles. Par le biais de cette fondation, mon souhait est d’assurer la perpétuité d’une tradition de dons et de partage.
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Chaque année, nous reconnaissons les donateurs exceptionnels de l’École de gestion Telfer et nous démontrons notre gratitude afin de créer des liens significatifs avec les membres de notre communauté qui nous ont choisis parmi une multitude de possibilités. Cette année, les prix des donateurs de l’année de l’École de gestion Telfer seront présentés lors de notre Gala de l’excellence annuel, qui aura lieu le 19 octobre 2019. Lors de cet événement, nous célébrons aussi l’anniversaire des promotions de 1969, 1979, 1994 et 2009, et nous ferons la présentation de nos prix pour les diplômés.
Félicitations à nos récipiendaires des prix des donateurs de l’année de 2019 :
DONATEUR FIDÈLE DE L’ANNÉE :
Marie Fortier (MGSS 1972)
Depuis l’obtention de sa maîtrise en administration de la santé, Marie Fortier n’a jamais remis en question le choix de sa carrière. Travaillant d’abord au sein de l’hôpital général d’Ottawa durant 10ans, Marie s’est ensuite vue attribuée le poste de chef de la direction à l’hôpital de Hull. Son envie de contribuer à plus grande échelle l’a ensuite menée vers le gouvernement ou elle a fortement participé à l’amélioration des services de santé aux Autochtones. C’est dans le même esprit que Marie s’est vigoureusement impliquée durant de nombreuses années auprès de l’École de Gestion Telfer pour jouer le rôle d’appui pendant plus de trente ans ce qui lui a valu le titre de donatrice fidèle de l’année. Pour en savoir plus à propos de Marie, Cliquez ici »
JEUNE DONATEUR DE L’ANNÉE :
Sarah Parr (B.Com. 2011)
Pour Sarah Parr, jeune diplômée de l’école de gestion Telfer, la croissance et l’apprentissage continu sont des valeurs essentielles. C’est pourquoi depuis l’obtention de son diplôme, Sarah n’a pas manqué de démontrer son fort engagement envers l’École de Gestion Telfer, en faisant preuve de beaucoup d’implication et d’engagement au profit des élèves et de l’école. C’est grâce aux généreux donateurs comme Sarah qu’aujourd’hui l’École de Gestion Telfer est en mesure d’enrichir l’expérience universitaire de ses élèves en leur offrant diverses opportunités et services.
Pour en savoir plus à propos de Sarah, Cliquez ici »
BÉNÉVOLES DE L’ANNÉE (COLLECTES DE FONDS) :
Jodie Harrison (B.Com. 1999)
Diplômée d’un baccalauréat en sciences commerciales à Telfer, Jodie Harrison n’a cessé de démontrer son intérêt envers le travail bénévole. L’impact que cette dernière apporte à la vie des autres constitue son principal centre de motivation. C’est pourquoi, depuis plus de 13ans, Jodie Harrison travaille auprès de BMO Nesbitt Burns en aidant constamment des familles à atteindre leurs objectifs. C’est d’ailleurs pour les mêmes raisons que Jodie continue à s’impliquer activement dans le bénévolat, dont le programme de mentorat par les cadres à travers lequel elle offre aux étudiants l’occasion de bénéficier de son aide et de ses précieux conseils.
Pour en savoir plus à propos de Jodie, Cliquez ici »
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Dans le cadre du Gala de l’excellence 2019 de l’École de gestion Telfer, quatre diplômés remarquables recevront les médailles Trudeau et le prix Jeune Phénix pour leurs contributions exceptionnelles au monde des affaires, aux soins de santé, à leur collectivité et à leur alma mater. Le gala, qui aura lieu au Centre Shaw le samedi 19 octobre 2019, est également l’occasion de célébrer collectivement l’École de gestion Telfer et de souligner l’anniversaire de la remise des diplômes des promotions de 1969, de 1979, de 1994 et de 2009.
Récipiendaires de la médaille Trudeau
Luc Fortin (BCom 1990)
Président et chef de la direction de la Bourse de Montréal (MX) et chef, activités globales mondial des opérations de négociation de Groupe TMX
Axé sur la croissance dans les domaines des dérivés TMX, des titres à revenu fixe, des marchés privés et des activités de négociation d’actions, Luc contribue à offrir une expérience inégalée aux clients commerciaux, en développant et en proposant de nouvelles solutions de produits. Cliquez ici pour en savoir plus sur Luc et sur la manière dont il crée des entreprises grâce à la collaboration.
Marc Tassé (MBA 1997)
PDG, SIRA International Risk Advisors Inc.
Marc est un enquêteur, un juricomptable, et un diplômé Telfer des premier et deuxième cycles. Il donne des conférences à l’École de gestion Telfer depuis 1993, et il est également directeur général de SIRA International Risk Advisors Inc. et membre du réseau d’experts anticorruption de Transparency International. Cliquez ici pour en savoir plus sur Marc et comment un changement de génération a changé la façon dont il lutte contre le crime financier et la corruption. |
Mari Teitelbaum (MHA 2010)
Vice-présidente des programmes provinciaux et agente en chef d'innovation, CHEO
Les antécédents uniques de Mari et sa vision d'utiliser des technologies pour améliorer les systèmes de soins de santé font d'elle un atout pour la pédiatrie en Ontario. Mari a débuté sa carrière en tant qu'ingénieure électricienne avant de compléter sa maîtrise en gestion des services de santé à l'Université d'Ottawa. Cliquez ici pour en savoir plus sur Mari et découvrir comment la technologie permet de meilleurs soins.
Récipiendaire du prix du jeune phénix:
DEREK. D. RICCI (BCom 2002)
Partenaire, Davies Ward Phillips & Vineberg LLP
Pour Derek, « Il n’y a pas de raccourci. C’est juste beaucoup de travail qu'il faut entreprendre un jour et une tâche à la fois.» Cliquez ici pour en savoir plus sur Derek.
Récipiendaire du prix PHILOS DU DOYEN:
Bernard Raymond (B.Com. 1981)
Président - Multivesco
Bernard Raymond, est reconnu comme un chef de direction moderne dont les décisions d’affaires ont pour but d’assurer la croissance à long terme de l’entreprise, l’épanouissement des membres de son équipe ainsi que la totale satisfaction de tous ses clients. Cliquez ici pour en savoir plus sur la riche histoire d'entraide de Bernard.
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Le Toronto Telfer Alumni Network (TTAN) est un groupe de diplômés dont l’objectif est de connecter les diplômés de Telfer et les étudiants actuels de l’École dans la région de Toronto. Le TTAN croit que les expériences et le sens de la communauté formés en tant qu'étudiants de Telfer sont des outils puissants qui peuvent permettre aux gens de s’avancer dans une carrière, tout en enrichissant les relations professionnelles, les réseaux, les opportunités de développement et les opportunités de carrière. « Nous avons constaté qu'il était nécessaire de soutenir et de guider les jeunes diplômés de Toronto, car beaucoup d’entre eux perdent contact après l'université, même s’ils souhaitent rester en contact », explique Alex Dettman, président du TTAN. Par conséquent, le TTAN vise à connecter les diplômés de Telfer et les étudiants de Toronto afin de favoriser un sens continu de communauté, de développement professionnel et d’appui dans la gestion des opportunités de carrière. Dirigé par un groupe de diplômés bénévoles passionnés, le TTAN s’efforce également à renforcer les liens entre les associations de diplômés de l’École de gestion Telfer et ses diplômés.
Le TTAN a fêté sa soirée de lancement le 2 mai dernier à l’édifice EY à Toronto, ONT, où les membres de la communauté Telfer ont eu la chance de rencontrer les membres du conseil du réseau et d’en apprendre plus sur leur mission de connecter les diplômés de Toronto.
Si vous voulez agrandir votre réseau, tisser des liens avec des diplômés, trouver un mentor ou un mentoré, et avoir une expérience inoubliable, alors le TTAN est fait pour vous!
Voici un aperçu des membres de l’équipe:
Président: Alex Dettman
VP aux opérations: Christopher Weatherhead
VP aux partenariats stratégiques: Aziz Garuba
VP aux communications et marketing: George Khalife
VP aux événements : Nick Detmer
VP à l’engagement étudiant: Aryan Habib
VP à l’engagement des diplômés: Daniel Shannon
VP au mentorat: Laura Denham
Membres exécutifs: Aurélien Leftick, Ellen Dalicandro, Sara Nancoo, Aamer Siddiqui
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Grâce à votre soutien, l’École de gestion Telfer a pu mener, avec succès, une campagne du mardi je donne. Plus de 100 donateurs ont contribué au-delà de 40 000 $ envers divers fonds qui soutiennent une panoplie d’activités pour nos étudiants Telfer.
Ce montant, en plus de la contribution de contrepartie de l'Université d'Ottawa, aura incontestablement un impact considérable sur l’expérience étudiante à Telfer.
De la part de l'École de gestion Telfer et de tous nos étudiants et étudiantes, MERCI!
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« Mon ultime but est de devenir planificatrice financière et d’être capable d’ouvrir ma propre entreprise, du même domaine, dans ma ville natale, où je pourrais changer les choses dans la collectivité où j’ai grandi. » Originaire d’une petite ville et ayant fréquenté une école secondaire de 300 élèves, Julia Despres s’est récemment jointe à l’École de gestion Telfer, où elle a aujourd’hui l’occasion de s’épanouir dans sa vie personnelle et professionnelle. Julia a d’abord été attirée par l’École de gestion Telfer en raison de son emplacement, de son bilinguisme, de sa réputation parmi ses pairs et de la forte notoriété de Telfer dans le monde entier. Julia est une étudiante aux passions multiples, qui nourrit notamment une immense affection pour l’aviation. Julia fait partie des Cadets de l’Air depuis six ans et « fera tout ce qu’elle peut pour rejoindre les airs ». Après un été passé à Ottawa à recruter des apprenants pour le cours d’aviation de niveau avancé du Centre d’entraînement des cadets de Connaught, elle est tombée amoureuse de cette ville et continue de s’y promener et d’explorer ses multiples merveilles. Grâce à Telfer, Julia a pu partager sa passion pour le cinéma avec d’autres étudiants et a ainsi passé de nombreuses nuits dans la résidence à regarder des films et à tisser des liens avec ceux qui sont aujourd’hui ses amis proches.
Alors qu’elle rêve de devenir planificatrice financière, Julia a également exprimé son ambition de devenir une chef de file dans sa collectivité. « J’aimerais avoir suffisamment de succès pour faire un don... en particulier aux Cadets Canada, à mon école secondaire et aux équipes de sport locales de ma collectivité. Les Cadets de l’Air ont occupé une place tellement importante dans ma vie que je voudrais être capable de donner en retour à un programme qui m’a énormément apportée sur tous les plans. La raison pour laquelle je voudrais faire un don à mon école secondaire, c’est pour susciter l’intérêt des jeunes gens de ma collectivité pour le monde des affaires. Comme l’école est très petite et ses ressources sont limitées, il est très difficile de proposer des cours de gestion des affaires. Je voudrais donc changer cela. Je souhaite principalement avoir une influence positive sur les jeunes générations et être capable de soutenir ceux qui sont en difficulté. » Vos dons ont renforcé, chez Julia, l’importance de donner au suivant.
Lorsqu’on l’a interrogée sur ceux qui l’inspiraient, Julia a répondu : « Des gens comme vous, qui avez fait don de votre argent durement gagné à des étudiants comme moi, êtes ceux qui nous donnent envie de nous améliorer, ceux qui nous permettent de nous améliorer. J’aurai TOUJOURS envie d’être en mesure de donner en retour dans ce monde. Le montant des bourses à la disposition des étudiants est incroyable, et je ferai toujours de mon mieux pour être comme les nombreux donateurs qui imaginent un avenir plus radieux pour autrui. » Vos dons ont inspiré Julia et lui ont permis de réaliser son plein potentiel, tout en tirant parti au maximum de son expérience à l’École de gestion Telfer.
Au nom des nombreux boursiers, Julia souhaite exprimer sa gratitude envers les donateurs comme vous. Nous vous remercions une fois encore pour vos dons qui ont permis à Julia de s’épanouir. Ces derniers ont aussi été le point tournant dans la découverte de son intérêt pour la philanthropie.