Engagement communautaire
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L’Association des étudiants du MBA (AEMBA) à l’École de gestion Telfer a mis sur pied un évènement unique en son genre : un Consult-a-thon pour les petites et moyennes entreprises (PME) qui vise à fournir en peu de temps des solutions stratégiques aux entreprises locales.
Au cours de la fin de semaine du 17 au 18 juillet, 46 participants, y compris des étudiants, des représentants d’entreprises, des professeurs et des experts de Telfer, ont consacré au total plus de 170 heures à la résolution de cas pour aider ces entreprises à prospérer et ainsi redonner à la communauté. « Cela représente vraiment l’essence même de l’École de gestion Telfer : rassembler l’énergie créative et l’expertise des étudiants, des dirigeants d’entreprises locales et des experts de l’industrie pour se concentrer sur un défi commercial auquel font face les organisations locales », exprime Catherine Elliott, professeure et directrice du programme MBA de Telfer.
Repenser la structure des compétitions de cas
Les organisateurs ont complètement repensé la structure des compétitions de cas, en mettant l’accent sur la collaboration, la valeur communautaire et le bien collectif plutôt que sur la compétitivité. « Lorsqu’on a mis au point ce cadre, nous voulions mettre l’accent sur des solutions rapides et sur la valeur communautaire plutôt que sur la compétitivité », a révélé Karthik Chivakula Venkata, un des 6 organisateurs de l’évènement et étudiant au MBA de Telfer. « Nous pensions également que cela donnerait aux participants un aperçu des défis commerciaux du monde réel et l’occasion de mettre à l’épreuve ce qu’ils ont appris et leurs talents », a-t-il ajouté.
Trouver le défi idéal
En raison de l’omniprésence de la pandémie, les PME sont aujourd’hui confrontées à de véritables et graves problèmes qui nécessitent des solutions novatrices. Pour avoir du succès, les entreprises et les étudiants ont besoin de l’aide et des conseils des partisans de la communauté des affaires locale.
De nombreuses entreprises locales ayant manifesté leur intérêt à participer à l’évènement, l’équipe organisatrice a dû rencontrer chaque propriétaire d’entreprise pour mieux comprendre les cas. Après avoir été pleinement informée, l’équipe a travaillé en étroite collaboration avec les propriétaires d’entreprise et les membres de l’équipe de direction de la AEMBA pour créer conjointement des documents de cas qui contenaient des renseignements détaillés, exacts et à jour sur le marché.
Résolution de cas intensif
Lors du Consult-a-thon on comptait quatre équipes composées de quatre étudiants, qui viendraient à connaître les entreprises et les cas seulement pendant l’évènement. Les équipes ont ensuite dû travailler sur les cas fournis par chaque entreprise participante à différents moments pendant l’évènement.
Le moment le plus attendu lors d’une compétitions de cas est la résolution du cas en tant que tel. Chaque équipe a eu quatre heures pour examiner le dossier d'affaires. Pendant la première heure, les équipes ont posé leurs questions et exprimé leurs idées aux propriétaires d’entreprises et aux experts consultants afin de bien comprendre la situation et la problématique. À la fin du temps alloué, les équipes ont présenté leurs idées et solutions finales aux propriétaires d’entreprises et aux experts du panel.
À la fin des présentations, les experts ont fait part de leurs commentaires et donné des conseils aux étudiants pour mieux appliquer leurs idées.
Pour la première édition de l’évènement, les étudiants du MBA de Telfer ont eu l’occasion de travailler avec des entreprises en démarrage dynamiques telles que :
- Shyne Eyewear, une petite entreprise sociale d’Ottawa dirigée par Enactus uOttawa qui fabrique et vend des lunettes de soleils et anti-lumière bleue créées à partir de matériaux entièrement recyclés ;
- Ekidna Sensing, une entreprise en démarrage de biotechnologie située à Ottawa qui met au point des solutions technologiques pour l’industrie légale du cannabis ;
- Empower'em est une entreprise sociale locale qui vise à offrir une communauté et du soutien aux femmes de couleur afin de les aider à développer leurs compétences en leadership, à acquérir de la confiance en soi et à atteindre leurs objectifs personnels et professionnels.
Tous ensemble pour les entreprises locales
Étant donné qu’il ne s’agissait pas d’une compétition de cas traditionnelle, les panélistes ont évalué les idées de façon qualitative au lieu de façon quantitative. L’évaluation était axée sur la clarté de l’identification et de l’articulation des défis, le niveau de l’analyse approfondie, la créativité et la facilité de fournir des commentaires et des recommandations aux entreprises participantes.
En bout de ligne, les vrais gagnants du Consult-a-thon ont été... les entreprises locales, bien sûr! Les étudiants ont acquis une expérience précieuse et ont reçu des commentaires sur leurs idées et leurs techniques de présentation, mais ce sont les entreprises qui ont le plus gagné de cet évènement, partant avec de nouvelles idées et des solutions concrètes pour leurs problèmes commerciaux. La professeure Elliot a ajouté que « c’était un partenariat gagnant-gagnant pour tout le monde le fait d’apporter des solutions innovantes et pratiques à ces entreprises locales. Félicitations aux membres de l’AEMBA et aux étudiants qui ont participé! J’ai été très impressionné par l’initiative des étudiants dans le lancement de ce tout premier Consult-a-thon des PME de Telfer. »
Un évènement réussi
Les principaux bénéficiaires les ont également félicités. « Nous avions besoin d’une orientation stratégique et ces présentations nous ont donné de nouvelles idées créatives sur la manière d’aborder ce problème. Les recommandations fournies par les étudiants étaient réalisables et nous sommes heureux et emballés par l’ensemble de l’évènement », a déclaré Alexander Parsan, gestionnaire de projet chez Shyne Eyewear et étudiant en comptabilité au B.Com. de Telfer.
Nicolas Boileau, PDG chez Ekidna Sensing, était aussi heureux d’obtenir le point de vue externe provenant des étudiants du MBA de Telfer. Il a hâte de voir comment l’entreprise progressera dans les 6 prochains mois à un an grâce aux nouvelles idées et stratégies qu’il a reçues en fin de semaine.
Le comité est déjà en train de planifier la prochaine édition de l’évènement, qui aura lieu en 2022 et promet d’être de plus grande envergure en comptant sur la participation d’un plus grand nombre d’entreprises locales. Toutes les entreprises locales et tous les étudiants de tous les horizons qui souhaitent participer à cette initiative incroyable sont invités à contacter, par
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Une nouvelle étude de Telfer montre que les familles traditionnelles ayant des entreprises traitent souvent leurs enfants différemment en fonction de leur genre, y compris dans la planification de la relève et l’éducation entrepreneuriale. Nous avons parlé à deux femmes qui ont grandi au sein de familles d’entrepreneurs pour apprendre comment les préjugés sexistes peuvent influencer la carrière et l’expérience des femmes en entrepreneuriat. Elles ont également donné des conseils aux entreprises familiales.
Emma O’Dwyer
Emma O’Dwyer, directrice régionale chez Family Enterprise Canada, a été témoin de préjugés dans sa propre famille. Elle affirme qu’elle n’a pas reçu de soutien, même si elle a obtenu « deux MBA d’universités prestigieuses, acquis une expérience externe et établi un réseau professionnel au-delà de l’entreprise familiale ». Elle se demande souvent si cela ne l’a pas empêchée de développer la confiance nécessaire pour emprunter une voie plus entrepreneuriale.
O’Dwyer affirme que les préjugés de genre peuvent nuire tant aux filles qu’aux fils. « Aujourd’hui, je constate que beaucoup d’hommes qui sont appelés à hériter de l’entreprise familiale ou à démarrer leur propre entreprise subissent une pression pour réussir. » Elle croit que « forcer les fils à diriger l’entreprise familiale limite leurs possibilités d’acquérir de l’expérience à l’extérieur de l’entreprise familiale et d’acquérir les connaissances professionnelles dont ils ont besoin. »
Susan St. Amand
Susan St. Amand est la fondatrice et présidente de Sirius Group Inc. et de Sirius Financial Services. Tout comme O’Dwyer, St. Amand a toujours eu un intérêt pour le monde des affaires. « Mon père et un groupe d’entrepreneurs locaux se rencontraient tous les jours pour prendre un café, et j’adorais me joindre à eux à l’occasion et écouter leurs histoires. » C’est la raison pour laquelle elle a fait des études en commerce.
Bien que St. Amand ait acquis de l’expérience et une formation en entrepreneuriat, son frère était quand même celui qui devait prendre la relève à la retraite de son père. « Il n’était tout simplement pas courant pour les femmes de diriger une entreprise familiale ou d’en hériter, donc on ne m’a pas pris en compte. » Cela ne l’a pas empêché de faire carrière dans une grande organisation financière avant de démarrer sa propre entreprise. Malgré son succès, on lui demandait souvent quand elle allait vendre son entreprise et assumer un rôle plus traditionnellement féminin.
Conseils aux familles pour lutter contre les préjugés de genre
O’Dwyer et St. Amand ont fait part de quelques suggestions pour aider les familles à lutter contre les préjugés de genre et à préparer la prochaine génération à réussir dans l’entreprise familiale et ailleurs :
- Traitez les enfants le plus équitablement possible et assurez-vous que les attentes et la pression soient les mêmes pour tous.
- Identifiez les besoins des enfants en matière d’activités et d’expériences, ainsi que le soutien dont ils ont besoin pour développer leurs compétences et réussir dans n'importe quelle carrière.
- De grandes choses naissent de l'échec et de l'apprentissage. Laissez la prochaine génération essayer des choses, échouer, apprendre, essayer de nouveau et répéter pour réussir, et ça dans un environnement sain.
- L’héritage de votre famille ne devrait pas être uniquement l’entreprise, quel que soit le nombre de générations qui la composent. Laissez la prochaine génération trouver sa passion et explorer autre chose. Vous serez surpris des résultats.
- Donnez l’occasion aux enfants de rencontrer des modèles et des mentors de tous les genres très tôt dans leur vie.
- Impliquez-les aux conversations sur l’entreprise et les finances. Ne prenez pas pour acquis que les enfants ne s’intéressent pas aux chiffres, aux investissements ou aux affaires en raison de leur genre.
- Utilisez des histoires pour partager des connaissances et rendre l’information accessible.
- Apprenez aux enfants à prendre des décisions et à assumer leurs responsabilités dès le plus jeune âge. Être à l’aise avec le risque est essentiel pour se sentir confiant et indépendant.
O’Dwyer rappelle aux parents qui dirigent une entreprise familiale : « Vous jouez un rôle important dans le succès de la famille et de l’entreprise. » St. Amand souligne la nécessité de remettre en question les normes rigides, car « les familles sont membres de communautés et les communautés partagent des normes culturelles qui sont ancrées pendant des générations. Il faut de la force et du courage pour engendrer un changement et du temps pour évaluer les résultats. »
Susan St. Amand, TEP , FEA , IAS.A. est fondatrice et présidente de Sirius Group Inc. et de Sirius Financial Services à Ottawa, et présidente de Family Enterprise Canada. Apprenez-en davantage sur son travail auprès des familles multigénérationnelles.
Emma O’Dwyer est directrice régionale de Family Enterprise Canada.
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La pandémie COVID-19 crée un fardeau financier pour plusieurs étudiants de l’Université d’Ottawa, et les étudiants à faibles revenus sont particulièrement vulnérables. Un fonds d’urgence spécial a été mis en place par l’Université pour offrir un soutien essentiel immédiat. Nous demandons aux diplômés – si vous le pouvez – d’appuyer financièrement le fonds d’urgence aux étudiants, ou l’un de nos deux fonds spécifiques à Telfer qui soutiendront nos efforts de gestion de cette crise COVID-19.
Fonds d'aide d'urgence en lien avec la COVID-19 pour les étudiants et étudiantes de l'Université d'Ottawa
Créé pour aider les étudiants qui connaissent des difficultés émotionnelles et financières en raison de la pandémie COVID-19. Les étudiants sont confrontés à des perturbations sans précédent dans leur vie académique alors qu'ils passent à l'apprentissage à distance, voient leurs emplois locaux et d'été supprimés et la plupart ont dû quitter leur résidence sur le campus pour minimiser les risques pour la santé publique. Vos contributions financières d'urgence aident les étudiants de toute l'université à surmonter des situations financières pénibles et contribuent à atténuer les problèmes de santé mentale. Les étudiants ont un besoin urgent de votre soutien pour rester concentrés sur la réussite scolaire maintenant et en préparation du semestre d'automne.
Fonds de l’École de gestion Telfer pour le bien-être
Le bien-être physique, l’intelligence émotionnelle et la santé mentale de nos étudiants sont prioritaires pour nous ici à Telfer. Aujourd’hui, les étudiants doivent gérer des situations stressantes dans leur vie qui affectent leur bien-être physique et mental. De la sensibilisation à la prestation de services de counseling et de formation, votre soutien à ce fonds aidera les étudiants de Telfer à faire face, avec succès, à leur besoin immédiat et futur.
Fonds des priorités stratégiques du doyen de L'École de gestion Telfer
Des fonds immédiats et accessibles sur lesquels notre doyen peut rapidement puiser et faire face à des crises comme celle de la COVID-19. Ici à Telfer, cela signifie de donner à nos chercheurs les moyens de développer des modèles analytiques qui aideront le système de santé à mieux planifier et gérer ses capacités. Ceci veut également dire qu'il faut soutenir la recherche afin de nous aider à naviguer sur les terrains inconnus de notre nouvelle réalité de travail et de vie privée : le travail à domicile, l'adaptation aux nouvelles tâches professionnelles ou au manque de services de garde d'enfants, et l'impact que cela peut avoir sur la santé mentale des employés ainsi que les moyens pour lesquels les organisations peuvent soutenir leurs employés en ces temps difficiles.
Cliquez ici, si vous désirez contribuer à un autre fonds prioritaire de l’École Telfer.
Pour effectuer votre don par téléphone, nous vous invitons à communiquer avec Joella Gencher, agente de développement, campagne annuelle à
Merci pour votre générosité !
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L'Université d'Ottawa a mis en place des mesures visant à maintenir une "distanciation sociale", afin de préserver la santé de la communauté d'Ottawa et d'empêcher la propagation rapide du coronavirus (COVID-19).
La période actuelle est difficile pour tous, et nous pouvons déjà constater les répercussions économiques sur les entreprises, en particulier les plus petits commerces de quartier. Ceux-ci peuvent souffrir pendant cette période, mais nombre d'entre eux ont également trouvé des moyens ingénieux afin de soutenir la communauté d'Ottawa, tout en maintenant leurs activités courantes. Plusieurs entreprises d'Ottawa modifient leurs pratiques commerciales, allant du rationnement des articles recherchés jusqu’au refus de manipuler de l'argent liquide ou encore limiter le nombre de clients autorisés dans les magasins.
1. Rendre l’offre alimentaire accessible
Le restaurant d'Ottawa, Dreamland Cafe, situé sur la rue Preston dans la Petite Italie, a choisi de fermer son restaurant au public. Cependant, il reste ouvert selon un horaire spécial pour préparer de délicieux repas prêts à être livrés ou récupérés. Dreamland Cafe a élargi son menu en ligne (incluant leur sauce maison pour pâtes) et a baissé ses prix pendant cette période financièrement difficile. Vous pouvez commander de leurs repas en utilisant les services d’UberEATS qui, pour sa part, a décidé de retirer ses frais de livraison temporairement pour aider la communauté durant cette période.
Luxe Bistro, situé dans le Marché By, a adopté une approche similaire. Ils seront fermés au public, mais restent ouverts pour prendre les commandes à emporter (grâce à UberEATS et DoorDash), offrir un « service au volant » et livrer à domicile. Ils proposent même quelques produits de base aux clients afin d'éviter que les épiceries ne soient trop occupées.
Bien que de nombreux détaillants alimentaires et restaurants aient pris la délicate décision de fermer, La Bottega Nicastro a fait ce qu'elle a pu avant de faire de même. Ils ont fait don de plus de 1 000 $ de nourriture à l'Opération Ramzieh, une équipe de secours en cas de crise qui s'est réunie pour aider les personnes âgées et autres Canadiens vulnérables pendant la crise de la COVID-19.
Parmi les nombreux autres restaurants qui font un effort pour mettre leur nourriture au servir de la communauté, on compte :
- Lexington Smokehouse and Bar
- Sushi Umi
- Happy Goat Coffee Company
- Pure Kitchen
- OCCO Kitchen
- JOEY Rideau and JOEY Landsdowne
- Freshii Westboro
- Two Six Ate
2. Rester actif
Puisqu’il est conseillé de rester à l'intérieur, de nombreuses salles de conditionnement physique et studios d’entraînement ont fermé leur portes pour aider à réduire la propagation du virus. Un studio de danse d'Ottawa a eu l'idée d'aider ses membres à rester actifs en proposant des cours de danse diffusés en direct et offerts en ligne. Dance Fusion Studio a envoyé un courriel à tous ses danseurs afin de leur proposer des cours virtuels via Zoom afin de les encourager à "danser dans le confort de leur salon".
Par ailleurs, le populaire studio de yoga d'Ottawa, Pure Yoga, dirigé par les co-entrepreneurs Amber et Jen, organise des séances de yoga sur sa plateforme en ligne, où plus de 150 cours sont disponibles. Pendant cette période, ils offrent les deux premières semaines gratuitement, et un prix réduit en utilisant un code promotionnel spécifique.
Parmi les autres entreprises de remise en forme et de bien-être d'Ottawa qui s'adaptent à ces nouvelles circonstances, citons :
3. Soutenir les loisirs
Wallack's Art Supplies, situé au coin de la rue Bank, offre du matériel d'art pour ceux d'entre vous qui désirent peindre, dessiner et faire différents projets. Ils ont eux aussi fermé leur magasin suite aux conseils des responsables en santé publique, mais leur boutique en ligne reste ouverte et offre des options de ramassage et de livraison.
La librairie locale de la rue Bank, Black Squirrel Books, rassemble et livre des commandes de livres mystères pour ses clients. Selon le Ottawa Citizen, "les clients peuvent choisir n'importe quel genre qui les intéresse : mystère, fiction, historique, développement personnel, livres pour enfants, etc. - ou simplement commander une boîte à surprises. Avec l'une ou l'autre de ces options, les clients n'ont aucune idée des titres spécifiques qu'ils recevront".
De nombreuses autres entreprises locales ont modifié leur modèle d'entreprise pour répondre aux nombreux besoins et intérêts de la communauté d'Ottawa, comme par exemple :
- West End Kids
- Ottawa Food Bank
- Masters n' Dogs pet shop
- Henry’s Camera
- Eliquo Training and Development Incorporated
4. Nous garder en bonne santé et nous protéger contre le virus
Plusieurs entreprises locales prennent des mesures pour rester en bonne santé en utilisant leurs ressources existantes. Par exemple, la distillerie de Perth, Top Shelf Distillers, produit du désinfectant pour les mains pour lutter contre l'épuisement des stocks dans les magasins. Ils ont lancé une "campagne de financement participatif pour financer la production, l'achat et la distribution de lots de désinfectant pour les mains, alors que la demande déjà énorme continue d'augmenter", qui a connu un grand succès puisqu'ils ont dépassé leur objectif de collecte de fonds en une seule journée, en partageant leur histoire sur CTV News.
Un autre distillerie qui contribue aux efforts sanitaires est Dairy Distillery à Almonte, située à environ une heure d'Ottawa. L'entreprise crée deux produits : un désinfectant de surface et un désinfectant pour les mains grand format avec pompe. Elle souhaitait partager ces produits avec les membres de la communauté, notamment les cliniques de santé, les hôpitaux, les hôpitaux vétérinaires et les organisations caritatives.
De plus, des membres de l'Université d'Ottawa trouvent un moyen d'aider directement les travailleurs de la santé à se protéger du virus. Chez Makerspace, sur le campus, Midia Shikh Hassan, responsable du Centre en génie entrepreneurial de la conception (CGEC) de l'université, utilise des imprimantes 3D et des découpeuses laser pour fabriquer des équipements de protection individuelle essentiels. Le CGEC peut créer 10 à 20 écrans faciaux toutes les deux heures, et prévoit de fabriquer encore plus d'équipements nécessaires grâce aux conseils des médecins de l'hôpital d'Ottawa.
Vous pouvez soutenir nos entreprises locales en achetant des cartes-cadeaux, en faisant des achats en ligne ou en commandant des articles à emporter ou à livrer.
Avez-vous remarqué des initiatives prises par des commerces locaux pour s’adapter à la situation actuelle? Faites-nous part de vos histoires favorites et de ce que font ces commerçants pour soutenir la communauté d'Ottawa.
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Le 13 mai dernier, l’École de gestion Telfer a accueilli Helen Angus, sous-ministre de la Santé et des soins de longue durée pour la série de conférences de PDG en résidence.
Helen Angus a été nommée sous-ministre de la Santé et des Soins de longue durée en juin 2018. Plus récemment, Mme Angus a occupé les fonctions de sous-ministre du Secrétariat du Conseil du Trésor, de secrétaire du Conseil du Trésor et du Conseil de gestion du gouvernement.
Pendant la conférence, Mme Angus a parlé à une classe d’étudiants(es) de la MGSS au sujet de son parcours professionnel et des leçons apprises en cours de route. Elle a aussi donné une présentation sur les transformations des soins de santé en Ontario. C’était particulièrement opportun puisque le gouvernement de l’Ontario a déployé ses plans de réforme de soins de santé. Dans sa présentation, elle a mis l’accent sur les défis auxquels le ministère est confronté et a expliqué sa vision pour les soins interconnectés. L’objectif est d’améliorer l’expérience des aidants naturels et des patients, les résultats en terme de santé, la valeur et l’efficacité, ainsi que l’expérience des fournisseurs.
La longue carrière de Helen Angus dans la direction de l’innovation et du changement, ainsi que ses compétences exceptionnelles de leadership et son expérience relative à la planification et aux politiques de santé, sont tous des éléments qui ont contribué au succès de cet événement.
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Le Programme de dons des employés est une initiative annuelle organisée par l’Université d’Ottawa, dont l’objectif est d’encourager la participation des membres du corps professoral, du personnel administratif et du personnel retraité dans le soutien d’initiatives axées sur les étudiants. Ces dons visent à améliorer l’expérience étudiante avec des bourses, de l’aide financière et des programmes de recherche. Cette année marque la huitième année de la campagne, durant laquelle l’École Telfer a vu son plus haut taux de participation à ce jour.
Kimberly Duthie et Michael Mulvey, co-champions de la Campagne de dons des employés, ont entrepris d’obtenir 101 donateurs cette année, et sont fiers d’annoncer qu’ils ont dépassé leur objectif avec 109 donateurs! Telfer a non seulement vu son plus grand nombre de donateurs en 2019, il représente également un taux de participation de 60%, ce qui est aussi un nombre record à l’École Telfer. Cela signifie que pour la troisième année consécutive, l’École Telfer affiche le taux de participation le plus élevé de toutes les facultés de l’Université d’Ottawa.
Nous aimerions remercier nos bénévoles, sans qui le succès de la Campagne de dons des employés n’aurait pas été possible :
- Andrew Latty
- Sheetal Gandhi
- Carla De Ciccio
- Kathy Cunningham
- Linda Bellemare
- Alexandre Bélanger
- Margaux Carson
- Amanda Richardson
- Mercedes Zanon
- Jennifer Hyland
Finalement nous voudrions remercier tous les membres du corps professoral, du personnel administratif, et du personnel retraité qui ont participé à ce projet. Vous faites une réelle différence dans la vie de nos étudiants.
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Le 19e Gala annuel de CASCO a eu lieu le lundi 26 novembre dernier au Centre Infinity à Ottawa. Devant une salle comblée, le club étudiant a dévoilé son plus gros montant amassé depuis le début de leur histoire, soit une somme de 71 000,00 $ qui sera versé au CHEO, un hôpital pédiatrique à Ottawa. Pour des renseignements supplémentaires au sujet de CASCO et la 19e édition de leur Gala, cliquez sur les liens ci-dessous:
Site Web:http://www.cascotelfer.ca/
Facebook: https://www.facebook.com/cascotelfer/
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Le 24 mai 2018, trois conférenciers ont présenté des exposés impressionnants sur trois sujets uniques à l’occasion de l’événement d’apprentissage collaboratif des diplômés de l’École de gestion Telfer intitulé Tendances émergentes en matière de leadership et de gestion. Les trois exposés, qui portaient sur la cybersécurité, l’intelligence émotionnelle, et la diversité et l’inclusion, ont été suivis par une discussion entre experts et une séance de questions-réponses avec tous les participants.
Voici un récapitulatif de certaines des leçons retenues de chaque session.
La diversité et l’inclusion en milieu de travail
Justine Hendricks (MBA 2004), vice-présidence de Working Capital Solutions, Programmes de garanties et de cautions, Exportation et développement Canada
« Ce n’est pas parce nous sommes invités à une fête que nous sommes invités à danser. »
Afin de bien faire comprendre le concept de diversité et d’inclusion, Mme Hendricks s’est empressée de nous expliquer qu’elle ne parlait pas uniquement du genre et de l’ethnicité, mais également du besoin organisationnel d’employer un éventail de salariés avec des bagages professionnels et des mentalités différentes afin d’encourager l’innovation en milieu de travail.
Mme Hendricks a poursuivi en soulignant que la diversité sans inclusion n’était pas suffisante, que l’inclusion était une condition nécessaire à la réussite et que c’était quelque chose de difficile à atteindre au sein d’une organisation. Les entreprises où règne l’inclusion sont deux fois plus susceptibles de satisfaire ou de dépasser leurs objectifs, six fois plus à même d’être souples et innovantes, et ont huit fois plus de chance d’obtenir de meilleurs résultats opérationnels.
Tout au long de son exposé, Mme Hendricks a répété que ce n’était pas parce que nous étions invités à une fête que nous étions forcément invités à danser, une métaphore visant à expliquer qu’il est non seulement important d’écouter les propositions des employés, mais également de les mettre en œuvre, ce qu’un grand nombre d’organisations ont tendance à ne pas faire. Il est important de faire évoluer la culture d’entreprise, d’évaluer les résultats, de fixer des objectifs et d’observer si des changements se produisent dans des domaines clés.
Cybersécurité et tendances émergentes : quelqu’un s’apprête-t-il à pirater mon stimulateur cardiaque?
Mari Teitelbaum (MGSS 2010), vice-présidente, chef des services technologiques et dirigeante principale de l’information, CHEO
La cybersécurité est un sujet bien réel et est considérée comme une priorité par les organisations publiques et privées. Bien qu’il ait été possible par le passé de pirater un stimulateur cardiaque, aujourd’hui notre connaissance de ces possibilités d’intrusions rend les choses bien plus compliquées. Les pirates doivent être plus agiles et créatifs et savent bien comment exploiter les utilisateurs. Après tout, comme le mentionne Mari, le problème est humain et c’est grâce à lui que la porte s’ouvre. La solution réside donc dans la sensibilisation et conscientisation du personnel.
Au sein de CHEO et du secteur de la santé, bien qu’il n’y ait pas de transactions monétaires si importantes se déroulant, la confidentialité des patients et leur dossier médical constituent des sujets sensibles dont les données doivent être protégées à tout prix. Mari explique que bien des tentatives sont effectuées sur une base quotidienne afin d’atteindre les bases de données, mais c’est grâce à une stratégie de prévention et de gestion du risque qu’aucune intrusion n’est possible au sein de son organisation.
Il est essentiel de ne pas perdre de vue le risque, mais la clé réside dans la notion de partage du risque. Lorsqu’elle doit prendre une décision, Mari mentionne que le travail de son équipe est crucial dans l’élaboration de sa stratégie de prévention et c’est de pair avec le conseil d’administration qu’ils établissent les lignes directrices.
L’intelligence émotionnelle pour dépasser les conflits sur le lieu de travail
Manali Haridas Scott, formatrice en bien-être spirituel
L’Intelligence émotionnelle débute par la connaissance de soi. Ce sont les premiers mots qu'énonce Manali tout en abordant la différence entre le quotient intellectuel (Q.I.) et l’intelligence émotionnelle (IE). Bien que les deux contribuent grandement au développement de chacun, c’est l’intelligence émotionnelle qui permet de faire face aux multiples défis de chaque jour.
Manali mentionne à plusieurs reprises qu’une personne adoptant des pensées négatives continues affecte négativement l’individu au point d’inhiber le cerveau et allouer à ce dernier une pensée ultimement rationnelle. Il faut donc se conditionner à penser positivement afin de conserver un équilibre et une meilleure capacité à gérer l’imprévu et les situations demandant un engagement émotionnel.
Ses conseils? Soyez ouvert et curieux, oubliez les anciens modèles émotionnels et apprenez-en de nouveaux. Lorsque vous êtes face à l’échec, pratiquez l’autodiscipline et la compassion, vivez le moment présent et allez de l’avant. En somme, les conseils sont multiples, mais cinq facteurs de réussite résument bien ces leçons : trouvez la solution, notez, conciliez, regroupez-vous et soyez heureux.
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Joingnez-vous à nous ainsi qu'à d'autres diplômés de l'École Telfer pour une soirée sociale, présentée par Mathieu Cloutier (B.Com. 1991), vice-président et gestionnaire chez TANK. Venez réseauter et en connaître davantage sur le succès fulgurant de TANK.
TANK est une agence montréalaise de renommée qui se concentre sur la performance de marque. Elle compte parmi ses clients de grandes entreprises telles que Pfizer et Corona.
Au plaisir de vous y voir!
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Polycycle, une initiative du club étudiant de l'École Telfer Enactus uOttawa, a été nommée récipiendaire du prix Community Legacy de 150 000 $ dans le cadre du programme de fonds communautaires d'Aviva Canada. Le Prix de l'héritage communautaire vise les jeunes entrepreneurs sociaux qui ont des idées axées sur le thème de la création d'un héritage communautaire.
Le Fonds d'héritage communautaire d'Aviva cible les personnes âgées de 18 à 25 ans avec une solution unique pour lutter contre le changement climatique ou une idée qui profite à l'héritage environnemental du Canada. Polycycle était l'un des cinq finalistes du prix Community Legacy qui a reçu le plus de votes lors du premier volet de la compétition. Suite à la délibération des juges, c’est Polycycle qui se voit octroyer le premier prix du Community Legacy ainsi que le financement de 150 000 $ pour mettre en œuvre leur idée dans un délai de 2 ans.
Le projet de Polycycle est axé sur la réduction des déchets plastiques grâce à la collecte et au recyclage des articles en plastique post-consommation. Le projet utilise des machines spéciales pour déchiqueter, fondre et transformer les déchets plastiques en une variété de biens de consommation. L’équipe travaille également avec les membres de la communauté pour s'assurer que l'emploi social fait partie intégrante du fonctionnement de chaque système.