Nos étudiants

Alison Coates est étudiante au doctorat en gestion et se spécialise dans les systèmes de santé. Ses recherches portent sur les atouts communautaires et la mobilisation dans la planification des systèmes de santé en milieu rural. Elle est titulaire d’une bourse de doctorat du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier (BESC-D) du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

La doctorante possède un baccalauréat ès sciences spécialisé de l’Université Mount Allison, de même qu’une maîtrise en administration des affaires (MBA) en gestion des services de santé et une maîtrise en analyse des données sur les soins de santé de l’Université Clarkson. Elle a également occupé divers postes de direction dans le domaine des soins de santé durant sa carrière. Elle a commencé à travailler dans le domaine de la recherche clinique avant de piloter la création et les premières phases de croissance d’un laboratoire central d’imagerie qui a connu un grand succès. Après le déménagement de sa famille dans la région rurale du nord de New York, elle a mené l’établissement d’un nouveau programme de recherche clinique au sein du système de santé du Saint-Laurent. Elle a été vice-présidente adjointe des relations entre médecins à l’hôpital Adirondack Health avant d’être acceptée à l’École de gestion Telfer. Pendant qu’elle travaillait à son MBA et à sa maîtrise, l’étudiante a porté une attention particulière au contexte rural afin de comprendre la façon dont les principes de gestion de base s’appliquent aux systèmes de santé ruraux. 

Dans le cadre de sa recherche doctorale, Alison Coates examinera comment les hôpitaux ruraux répondent aux exigences de l’IRS et de l’État de New York pour l’évaluation des besoins communautaires en matière de santé; elle s’intéressera particulièrement aux mandats visant à repérer les atouts communautaires et à inclure les contributions des communautés dans la planification. Elle cherchera aussi à découvrir comment les priorités de l’État et les mandats se répercutent sur la planification des soins de santé en milieu rural, et elle déterminera le degré de concordance du plan de santé avec les besoins communautaires.

En tant que doctorant de quatrième année, Amlan Datta poursuit des recherches en entrepreneuriat et entreprises familiales. Avant d’entamer ce programme de doctorat, il a obtenu, à l’École de gestion Telfer, une maîtrise en gestion axée sur les entreprises familiales. Ses recherches doctorales portent principalement sur les problèmes liés à la gestion, à la structure de rémunération et aux résultats organisationnels des entreprises familiales.

Amlan Datta est un économiste qualifié; il a obtenu son doctorat en économie au Fogelman College of Business and Economics de l’Université de Memphis, au Tennessee. Il détient également une maîtrise en économie appliquée de l’Université de Cincinnati.

Ben Aryana est étudiant au doctorat à l’École de gestion Telfer (spécialisation en finance). Sous la supervision de la professeure Miwako Nitani, il s’intéresse notamment à la finance comportementale quantitative, capital privé, au capital de risque, à la valeur et à la gestion de portefeuille.

Avant de se joindre à la communauté de Telfer, Ben a obtenu un baccalauréat en génie civil à l’Université de Chiraz, où il a affûté ses compétences en matière de concepts quantitatifs et de modélisation. Au cours de ses études de premier cycle, il a aussi conçu une méthode de production de béton translucide et acquis de l’expérience en construction de bâtiments. Négociateur en bourse dès sa deuxième année de maîtrise en administration des affaires (MBA), il a terminé son programme axé sur la recherche à l’Université de Téhéran par une thèse portant sur le comportement grégaire dans les marchés boursiers.

Dans ses temps libres, le doctorant aime s’entraîner, pratiquer la boxe, nager et regarder des films.

Carolina Jiménez Peña est doctorante en stratégie et organisation, et travaille sous la direction de la professeure Madeline Toubiana. Elle cherche à comprendre comment les institutions et les organisations participent à la création d’un avenir durable. Elle est d’avis que leur responsabilité à cet égard est énorme et qu’elles ont le pouvoir d’impulser un changement à la fois social et environnemental. Elle s’intéresse également au rôle que jouent les émotions et les valeurs dans ces dynamiques. 

Carolina Jiménez Peña compte plus d’une dizaine d’années d’expérience dans le milieu des affaires, notamment dans l’élaboration de stratégies d’affaires centrées sur la promotion de produits durables. Elle possède un baccalauréat en génie chimique de l’Université de Los Andes, en Colombie, et une maîtrise en gestion en ingénierie de l’Université de La Sabana, également en Colombie. Dans son mémoire de maîtrise, elle a utilisé la dynamique des systèmes pour analyser le problème environnemental de l’accumulation des plastiques à usage unique dans les sites d’enfouissement et a proposé un modèle d’affaires visant à remplacer les bouteilles en plastique par des bouteilles faites en bioplastique compostable.

Épouse et maman, Carolina Jiménez Peña adore passer du temps avec sa fille. Amoureuse des animaux et végane, elle aime manger de bons repas en famille et faire de l’exercice.

Chen Li est un étudiant de deuxième année au doctorat avec spécialisation en finance, sous la direction du professeur Shantanu Dutta, à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Dans ses recherches, il s’intéresse particulièrement aux cotes de solvabilité, à la gestion du risque, aux opérations d’initié et à l’exploration de données.

Il a obtenu un baccalauréat en économie quantitative à l’Université des finances et de l’économie de Shanghai en 2016, et une maîtrise en finance à l’Université Northwest A&F, en Chine, en 2020. Durant son programme de maîtrise, dans le domaine des cotes de solvabilité, il a exploré plusieurs modèles d’apprentissage automatique avec optimisation des hyperparamètres dans la prédiction des défauts de paiement. En 2019, il a remporté le deuxième prix au 16^e concours national chinois de mathématiques aux cycles supérieurs en modélisation. Il est aujourd’hui spécialiste certifié en gestion des risques financiers.

Daniel James Quintal-Curcic (il, lui) poursuit des études de doctorat sous la direction du professeur Laurent Lapierre à l’École de gestion Telfer. Il se spécialise en comportement organisationnel et ressources humaines, s’intéressant plus particulièrement à la santé mentale, au leadership et au soutien social. Ses recherches portent sur la façon dont les gestionnaires et les personnes en position de supervision devraient réagir lorsqu’ils constatent des signes ou symptômes de problèmes de santé mentale chez leurs employées et employés.

Daniel est titulaire d’une bourse d’études de la Reine Elizabeth II 2023 et a reçu le Prix d’engagement pour étudiant ou étudiante au doctorat de l’École de gestion Telfer 2023.

Ses recherches ont été présentées aux congrès annuels de la Société canadienne de psychologie et de l’Association for Psychological Science, ainsi qu’à la réunion annuelle de l’Academy of Management.

Daniel se passionne pour la santé et le mieux-être, et en dehors de ses recherches universitaires, il aime cuisiner des plats végétaliens, méditer, s’adonner à l’entraînement d’endurance et pratiquer l’art de la drag.

Danielle Cruise est doctorante en gestion et se spécialise dans les systèmes de santé. Sous la direction de la professeure Mirou Jaana, elle s’intéresse à l’utilisation d’innovations technologiques dans les foyers de soins de longue durée pour aider les professionnelles et professionnels de la santé et améliorer la qualité de vie des résidentes et résidents. Elle a par ailleurs décroché une bourse d’études supérieures de l’Ontario pour l’année 2024-2025.  

Titulaire d’un baccalauréat spécialisé en santé publique de l’Université de Waterloo et d’une maîtrise ès sciences en systèmes de santé de l’École de gestion Telfer, elle a fait son mémoire de maîtrise sur les facteurs que prennent en compte les gestionnaires pour appuyer leur décision d’utiliser les technologies de l’information en santé dans les foyers de soins de longue durée.

Danielle Cruise a présenté ses travaux lors de plusieurs conférences, dont celles de l’Association canadienne de gérontologie et de l’Association canadienne pour la recherche sur les services et les politiques de la santé, et lors de la conférence annuelle d’AGE-WELL. Elle a été finaliste lors du concours J’ai une histoire à raconter du CRSH, où elle a présenté l’impact et la pertinence de ses recherches dans une infographie de 300 mots, et participera au Programme d’été sur le vieillissement des IRSC 2024, qui se déroulera à Vancouver, en Colombie-Britannique.

En dehors de ses activités universitaires, Danielle Cruise aime beaucoup cuisiner, passer du temps avec ses proches et faire du vélo l’été.

Détentrice d’un baccalauréat ès arts spécialisé en littérature anglaise de l’Université de King’s College et d’une maîtrise dans le même domaine de l’Université Dalhousie, Elizabeth étudie actuellement au doctorat en gestion (spécialisation en entrepreneuriat) sous la supervision du professeur Peter Jaskiewicz. Elle s’intéresse particulièrement à l’entrepreneuriat transgénérationnel et aux entreprises familiales. Plus précisément, ses recherches portent sur les questions de santé mentale au sein des familles d’entrepreneuses et entrepreneurs, de même que leurs effets sur la santé et la vitalité des entreprises familiales.

Ghazale Shoghaliniri est doctorante en gestion des ressources humaines et comportements organisationnels à l’École de gestion Telfer. Elle étudie sous la direction des professeurs A. J. Corner et Laurent Lapierre. Elle souhaite examiner les côtés positifs et négatifs des relations en milieu de travail et étudier comment ces aspects influencent le bien-être, autant celui des personnes que celui des équipes.

Avant d’entrer à Telfer, elle a obtenu en Iran une maîtrise ès sciences en administration des affaires à l’Université technologique Amirkabir et, précédemment, un baccalauréat ès arts en génie industriel à l’Université technologique Khaje-Nasir.

Elle a mené diverses études sur la motivation dans les équipes, les échanges entre leader et membre, le côté sombre du mentorat, et autres sujets connexes. Avant d’entamer son doctorat, elle a travaillé comme mentor pour des équipes du laboratoire d’innovation de l’Université Amirkabir. Ses champs d’intérêt l’ont amenée à se joindre à l’Iran Immigration Observatory (observatoire iranien de l’immigration) comme assistante de recherche pour étudier les difficultés dans les relations interpersonnelles vécues dans le pays d’accueil par les professionnels et professionnelles y ayant immigré.

Par ses études doctorales et la recherche de pointe qu’elle poursuit, Ghazale espère aider les employés et employées à être plus heureux au travail. Elle se dit fière d’être appuyée par des directeurs enthousiastes, un époux qui l’encourage et une famille aimante qui l’aide à réaliser ses rêves.

Guilda Akbaria est candidate au doctorat en finance à l’École de gestion Telfer. Sous la direction des professeurs Fabio Moneta et Adelphe Ekponon, elle s’intéresse à l’évaluation des actifs, à la gestion des risques et à la modélisation financière.

Avant d’étudier à Telfer, Guilda Akbaria a décroché en 2018 une maîtrise en génie industriel sur les systèmes financiers à l’Université de Téhéran, en Iran. Ses travaux portaient sur l’optimisation de portefeuille et la gestion des risques.

Elle a ensuite occupé un poste de spécialiste en ingénierie financière dans une banque d’investissement en Iran, où elle a poursuivi ses recherches. Elle a par ailleurs travaillé avec différents instruments financiers sur le revenu fixe et participé à l’émission d’obligations pour des sociétés iraniennes à la Bourse de Téhéran et sur les marchés monétaires.

Léa Dugal est une étudiante au doctorat en gestion dans la spécialisation comptabilité et contrôle. Elle est détentrice d’un B.A.A et d'une Maîtrise en comptabilité professionnelle de HEC Montréal.

Elle détient le titre de CPA auditrice, CA de l'Ordre des comptables professionnels agréés du Québec. Elle a travaillé à titre d’auditrice et de consultante en services conseils en comptabilité dans un cabinet d'experts-comptables avant d'entreprendre sa carrière universitaire.

Léa a également une vaste expérience en enseignement. Elle a enseigné divers cours de comptabilité au premier cycle et aux cycles supérieurs. Elle est aussi impliquée dans la correction de l’examen professionnel CPA. Ses intérêts de recherches portent sur la normalisation comptable et la profession comptable.

J’étudie au doctorat à l’École de gestion Telfer dans le domaine Comptabilité et contrôle, sous la direction de la professeure Cheryl Susan McWatters.

J’ai suivi un programme de premier cycle combiné (deux ans à l’Université de Xiamen, puis deux autres à l’Université de Waterloo), ce qui m’a mené à l’obtention d’un diplôme en économie de chaque établissement. J’ai obtenu un diplôme de premier cycle en économie des deux écoles. Par la suite, j’ai fait mes études de deuxième cycle en économie à l’Université de la Colombie-Britannique. Maîtrise en poche, j’ai travaillé comme assistant de recherche à l’Université Simon Fraser, puis j’ai amorcé mon doctorat en comptabilité à l’École de gestion Telfer.

Mes recherches portent sur la dépréciation des écarts d’acquisition et des actifs incorporels. L’évaluation des écarts d’acquisition et des actifs incorporels est une question importante, mais épineuse, depuis plusieurs décennies. Le problème s’est aggravé au fil du temps, car les actifs incorporels sont de plus en plus considérés comme une source majeure de création de valeur pour les entreprises alors que leur évaluation n’est pas suffisamment fiable. Un tel conflit pourrait potentiellement affecter l’efficacité du marché des capitaux. Je ne pense pas pouvoir résoudre intégralement le problème. Cela dit, je pense que mes recherches amélioreront notre compréhension de la façon dont les entreprises traitent ces actifs.

Dans mes temps libres, je joue du saxophone pour me détendre. Le classique, le jazz et la pop, entre autres styles musicaux, me stimulent et me motivent à apprendre. Mon travail de recherche est exigeant, et je vois la musique comme une soupape.

Pour en savoir plus, consultez mon site Web personnel.

Lizhi est candidate au doctorat à l’École de gestion Telfer, avec une spécialisation en comptabilité. Elle a obtenu un baccalauréat en économie de Northeastern University en Chine, suivi d'une maîtrise en économie de Central South University.

Avant de s'inscrire au programme de doctorat, Lizhi est devenue membre du CICPA (Chinese Institute of Certified Public Accountants) et a passé son examen CFA (Chartered Financial Analyst) de niveau 1. Les théories et les compétences qu'elle a acquises en économie ont contribué à améliorer sa compréhension des questions comptables.

Au cours des cinq dernières années, Lizhi a travaillé en tant qu'auditrice, où elle a développé son expertise professionnelle dans le cadre de programmes d'audit annuel et d'introduction en bourse, notamment pour des entreprises d'État chinoises, des multinationales et des sociétés privées.

Pendant son temps libre, elle aime voyager, participer à des activités de plein air avec son bébé et passer du temps avec ses amis.

Manal est candidate au doctorat en gestion des ressources humaines et comportements organisationnels à l’École de gestion Telfer et travaille sous la supervision de Jane O'Reilly et A.J. Corner. Manal s'intéresse aux relations sur le lieu de travail, notamment aux précédents et aux résultats des interactions fortes entre leader et suiveur. 

Avant de rejoindre Telfer, elle a obtenu une maîtrise de la science en psychologie organisationnelle à l'Université de Londres, au Royaume-Uni. Sa thèse intitulé "When your leader is darker" a remporté le premier prix de son année. La licence en mathématiques de Manal a été décernée par l'Université américaine de Beyrouth. Entre-temps, elle a obtenu le certificat professionnel IBM en science des données, qui s'est révélé utile pour l'analyse et la visualisation des données au niveau supérieur. 

Manal a plus de quinze ans d'expérience professionnelle dans des organisations multinationales, dont plus de sept ans dans des fonctions de direction. Les résultats de sa dernière enquête auprès des employés ont dépassé ceux de ses collègues et de ses supérieurs, et reflètent sa passion pour le leadership. Ce succès a suscité son intérêt pour les théories du leadership et la recherche sur le comportement organisationnel.

Sur le plan personnel, Manal fait de longues promenades avec son chien et pratique des sports tels que la natation, la randonnée et le basket-ball.

Maryam Mahmoudi est une étudiante au doctorat en gestion qui se spécialise en stratégie et organisation. Sous la direction conjointe de Carlos Marques et de Daina Mazutis, elle mène des travaux de recherche sur l’intersection de la gestion stratégique et de la durabilité.

Elle détient une maîtrise en génie industriel spécialisée en optimisation des systèmes, qu’elle a obtenue de l’Université de technologie d’Isfahan (IUT). Son baccalauréat en génie industriel lui a aussi été délivré par la même université.

Pendant sa maîtrise, elle a étudié l’innovation verte dans les pays en développement et a été assistante de recherche au laboratoire de gestion des affaires de l’IUT, où elle a participé à différents projets. Elle a publié dans l’International Journal of Innovation Management, et a été assistante d’enseignement dans différents cours pendant ses études.

À titre de doctorante, Maryam Mahmoudi espère continuer de contribuer au domaine de la gestion et créer un monde plus vert et plus prospère pour tous et toutes.

Maryam Vahabi est étudiante au doctorat en gestion, avec une spécialisation en systèmes de santé. Sous la direction des professeurs Christopher Sun et Rafid Mahmood, elle effectue des travaux sur l’application des méthodes d’apprentissage machine dans le domaine des systèmes de santé. Elle détient une maîtrise en génie industriel spécialisée en optimisation des systèmes, qu’elle a obtenue de l’Université des sciences et technologies de l’Iran. Son baccalauréat en génie industriel lui a aussi été délivré par la même université. 

Dans ses travaux antérieurs, la doctorante a utilisé des méthodes d’apprentissage machine pour prédire le risque de décès chez des personnes atteintes de la COVID-19. Elle a également collaboré avec un établissement de recherche pour mener une enquête poussée sur la qualité de vie des patientes et patients atteints d’un cancer. 

En étudiant à l’École de gestion Telfer, elle souhaite continuer d’apporter une précieuse contribution à la recherche. Elle aspire avant tout à améliorer le bien-être et la satisfaction des personnes malades tout au long de leur expérience dans le système de santé.

Meraj Bousaki est un candidat au doctorat à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Il étudie l’entrepreneuriat sous la direction du professeur Wadid Lamine. Ses intérêts de recherche portent sur l'établissement d'une vue systématique des écosystèmes entrepreneuriaux. En particulier, il s'intéresse à l'exploration du rôle des organisations de soutien aux entrepreneurs dans les écosystèmes entrepreneuriaux. Il s’intéresse également à la mise en place de nouvelles méthodologies telles que la simulation informatique pour comprendre les relations non linéaires et évolutives dans les études sur l’entrepreneuriat.

Meraj Bousaki est titulaire d’un baccalauréat en génie aérospatial de l’Université de technologie Sharif de Téhéran et d’un MBA de l’Université Khajeh Nasir Toosi de Téhéran. Il a également travaillé dans le secteur de l’énergie et dans des cabinets-conseils en Iran. En plus de ses études, il a aussi sept ans d’expérience comme enseignant et responsable d’événements.

En dehors de l'école, Meraj aime la randonnée, la natation, la musique et les voyages. Il aime aussi découvrir de nouvelles cultures, leur nourriture et leur musique, et passer du temps avec ses amis.

Candidat au doctorat à l’École de gestion Telfer, Mian Wei se spécialise en finance. Dirigé par le professeur Ali Akyol, il poursuit actuellement des recherches dans le domaine de la gouvernance d’entreprise.

Son parcours est varié. En 2014, il termine un baccalauréat en génie mécanique à l’Université Jiaotong de Xi’an, en Chine, avant d’obtenir en 2016 une maîtrise en finance à l’Université Tulane, en Louisiane (États-Unis). Il travaille ensuite pour une société provinciale de capital de risque en Chine pendant un an et demi, avant d’être admis à l’École de gestion Telfer en 2018.

À Telfer, il est assistant de recherche aux côtés de membres du corps professoral, qu’il épaule dans différents projets. Il agit également à titre d’assistant d’enseignement pour de nombreux cours, dont Finance d'entreprise en troisième année et Évaluation d'entreprises en quatrième année.

Mikaila Ortynsky est doctorante en gestion des ressources humaines et comportements organisationnels, sous la direction de la professeure Jennifer Dimoff. Son projet de recherche, qui porte essentiellement sur le bien-être au travail, sur la santé des femmes et sur le genre dans les fonctions de leadership, est notamment rendu possible grâce à une bourse d’études et de recherche en santé des femmes de l’Ontario (2024-2025) et à une bourse de doctorat du Conseil de recherches en sciences humaines (2022-2026).

Mikaila Ortynsky a obtenu une maîtrise ès sciences en gestion (avec spécialisation en comportements organisationnels) de l’Université Memorial de Terre-Neuve en 2022 et un baccalauréat en sciences commerciales (avec spécialisation en ressources humaines) de l’Université de la Saskatchewan en 2020.

Très impliquée dans le programme de doctorat de Telfer, l’étudiante est lauréate du Prix de l’engagement Telfer (2024) et du Concours de thèse de Telfer (2023). Elle s’investit également ailleurs qu’à l’École : elle est membre du comité organisateur du nouveau consortium des doctorants et doctorantes de l’Academy of Management.

Mikaila Ortynsky a publié des articles dans des revues à comité de lecture et a diffusé ses travaux de recherche à différents endroits dans la communauté de pratique. Elle a présenté ses travaux lors de multiples événements, notamment à l’assemblée annuelle de l’Academy of Management, au congrès annuel de la Société canadienne de psychologie, au congrès de l’Académie européenne de la gestion et au congrès de l’Association des sciences administratives du Canada.

Mina Jahani, étudiante au doctorat supervisée par Sandra Schillo, se spécialise dans le domaine de l’entrepreneuriat. Ses recherches portent sur la manière dont l’entrepreneuriat peut améliorer la qualité de vie, particulièrement chez les groupes marginalisés. Elle cherche à savoir comment des changements systémiques durables et significatifs peuvent être apportés à la société par le biais de l’entrepreneuriat dans une perspective macroéconomique.

Mina est titulaire d’un MBA et d’un baccalauréat en génie industriel, obtenus respectivement de l’Université de Téhéran et de la Sharif University of Technology (SUT), en Iran. Avant d’entreprendre son doctorat, elle a travaillé en marketing pendant sept ans.

Hors des sphères universitaires, Mina adore passer du temps avec son mari et leurs deux chats. Elle aime également dessiner, regarder des documentaires, faire du yoga et, à l’occasion, rêvasser sur la vie extraterrestre.

Nima Afsharhajari, candidat au doctorat, se spécialise en finance sous la direction du professeur Jonathan Yu-Meng Li. Ses travaux portent sur la synthèse des finances et de l’apprentissage machine. Il est titulaire d’un baccalauréat en génie électrique de l’Université de technologie de Sharif (SUT) et d’une maîtrise en économie. Son mémoire de maîtrise portait sur l’efficacité prédictive des réseaux LSTM appliquée au marché boursier iranien. Il possède aussi une vaste expérience d’enseignement : il a été assistant d’enseignement dans de nombreux cours sur l’apprentissage machine et a animé de multiples ateliers sur le sujet. 

À l’extérieur de l’enceinte universitaire, Nima Afsharhajari est également un mordu de la boxe. Il aime aussi l’haltérophilie, l’escalade de bloc et le plein air.

Patil Yessayan fait son doctorat en comportement organisationnel et gestion des ressources humaines, à l’Université d’Ottawa, sous la direction de la professeure Charlotte Karam. Ses recherches portent sur la culpabilité travail-famille, les systèmes de ressources humaines inclusifs et l’expérience des employées et employés au travail.

Patil Yessayan possède une vaste expérience de la gestion de programmes dans les secteurs de l’enseignement supérieur et des organismes à but non lucratif. Elle a dirigé des programmes axés sur l’éducation, le leadership, l’impact social, le renforcement des capacités, le développement du capital humain, ainsi que la diversité et l’inclusion. Au Liban, elle a géré deux importants programmes de bourses d’études visant à soutenir des étudiantes et étudiants universitaires de différents pays. Son expérience antérieure comprend également la conception et la mise en œuvre de programmes d’autonomisation des jeunes, le lancement de projets sur le terrain, la gestion de campagnes d’aide et l’organisation d’événements culturels et sportifs.

À l’extérieur du cadre universitaire, Patil Yessayan participe à des activités de leadership communautaire, fait du bénévolat auprès de divers organismes et mène des projets créatifs. Elle se passionne pour les voyages, les musées, la poésie arménienne et adore faire des découvertes musicales et apprendre de nouvelles langues.

Ritu étudie au doctorat en gestion avec spécialisation en entrepreneuriat sous la direction du professeur Peter Jaskiewicz. Ses intérêts de recherche tournent autour des interactions entre les liens sociaux et la gouvernance dans les entreprises familiales. Elle s’intéresse en particulier à la manière dont les relations au sein des conseils d’administration des entreprises familiales influent sur la forme finale de l’entreprise.

Ritu est titulaire d’une maîtrise en gestion de l’École de gestion John-Molson de l’Université Concordia à Montréal. Son mémoire de maîtrise explorait les alliances multipartenaires dans l’industrie du transport aérien afin de mieux comprendre le processus d’entrée des compagnies aériennes dans ce genre d’alliances, le développement de la structure du réseau multipartenaires et l’évolution de cette structure au fil du temps. Elle a présenté, en collaboration avec Kai Lamertz et Rahul Ravi, sa recherche de maîtrise à l’Association des sciences administratives du Canada (ASAC) en 2017, et a reçu une mention honorable pour son travail. Pendant ses études à Concordia, Ritu a travaillé comme assistante de recherche auprès de divers membres du corps professoral et a eu l’occasion de toucher à différents projets portant sur l’entrepreneuriat, les entreprises familiales, les liens sociaux et la responsabilité sociale des entreprises. Elle y a également travaillé comme assistante d’enseignement pour divers cours de premier cycle du Département de management.

Après avoir obtenu sa maîtrise, elle a travaillé en tant qu’analyste en étude de marché chez Honda Canada, où elle a pu concevoir des sondages et travailler à de nombreux projets de recherche sur la satisfaction de la clientèle afin de cerner les principaux facteurs pouvant faire varier les ventes et le degré de satisfaction envers les services. Ses coéquipiers, coéquipières et elle-même présentaient régulièrement des résumés à ce sujet au président et aux cadres supérieurs de Honda.

Dans ses temps libres, Ritu aime faire du yoga en salle chauffée et jouer avec sa fille.

Rong Jin est étudiante au doctorat à l’École de gestion Telfer. Elle se spécialise en finance et elle est dirigée par le professeur Ali Akyol. Ses recherches portent la finance durable et la gouvernance d’entreprise.

Rong a obtenu son baccalauréat en comptabilité à l’Université du Sud-Est, à Nanjing, en Chine. Sur le plan professionnel, elle a occupé plusieurs postes dans le secteur bancaire et celui de la gestion des actifs en Chine, ce qui lui a permis d’acquérir une précieuse expérience pratique. Plus tard, Rong a entrepris un programme de double diplôme de maîtrise en finance et en comptabilité à l’Université de Seattle. Pendant ses études là-bas, elle a été assistante à l’enseignement au Center for Business Ethics et elle a travaillé comme gestionnaire de portefeuille pour le fonds de dotation géré par une équipe étudiante. Ces expériences ont nourri sa passion pour la recherche sur la finance durable et la gouvernance d’entreprise.

Dans ses temps libres, Rong aime lire, écouter de la musique, regarder des matchs de tennis et passer du temps en famille.

Sahar Shabani est candidate au doctorat en finance à l’École de gestion Telfer. Elle travaille actuellement aux côtés des professeurs Ali Akyol et François-Éric Racicot, et ses travaux portent sur la finance d’entreprise. Comme elle possède une expérience en génie industriel, elle souhaite appliquer son expertise interdisciplinaire au secteur de la finance et s’intéresse tout particulièrement aux PDG.

Sahar a obtenu son baccalauréat et sa maîtrise ès sciences en génie industriel à l’Université de technologie Amirkabir (école polytechnique de Téhéran), en Iran. Son projet de recherche à la maîtrise traitait principalement d’ingénierie financière et d’optimisation. De plus, elle a acquis une expérience fort enrichissante au cours des trois années où elle a travaillé comme analyste au service des échanges commerciaux de l’entreprise Kerman Motor Company, en Iran. Son bagage en génie industriel et sa connaissance des systèmes financiers l’ont motivée à poursuivre des études en finance.

Lorsqu’elle ne se consacre pas à ses études, Sahar reste active : elle aime s’entraîner, faire du vélo, jogger et faire de la planche à pagaie. Elle est toujours prête à essayer de nouveaux sports et elle est enthousiaste à l’idée de poursuivre son parcours d’apprentissage.

Sajjad Adelipour est étudiant au doctorat en gestion à l’École de gestion Telfer, avec une spécialisation en systèmes de santé, sous la direction du professeur Antoine Sauré. Ses recherches portent sur l’optimisation et la modélisation pour simulation appliquées aux systèmes de soins de santé, à la gestion de la chaîne d’approvisionnement et aux systèmes de transport.

Titulaire d’une maîtrise en génie industriel et d’un baccalauréat en génie chimique de l’Université de technologie de Sharif (en Iran), il a été, pendant sa maîtrise, assistant d’enseignement dans des cours sur la théorie de la probabilité et les langages de simulation au Département de génie industriel. Son mémoire portait sur l’optimisation des réseaux d’électricité, rendus plus résilients grâce aux sources d’énergie renouvelable. Il a également une expérience pratique des techniques d’optimisation pour la production et de la planification de trajets de vente dans le secteur en constante évolution des biens de consommation.

Au doctorat, il souhaite mettre son expertise en modélisation mathématique et en optimisation à profit pour l’analyse des systèmes de soins de santé dans le but d’améliorer la prestation de services.

Sara Mesgari est candidate au doctorat à l’École de gestion Telfer. Dans ses recherches, elle s’intéresse aux façons dont l’optimisation et l’analyse des données peuvent guider les politiques et améliorer le rendement des systèmes de santé, en permettant de traiter plus de personnes tout en offrant une expérience agréable à toutes les parties prenantes (patientèle et prestataires).

Titulaire d’une maîtrise et d’un baccalauréat en génie industriel, obtenus respectivement de la Sharif University of Technology (SUT) et de l’Université de Téhéran, Sara Mesgari a travaillé comme ingénieure en systèmes de gestion des processus administratifs à Gam Electronics Co. Elle a aussi été assistante d’enseignement à la SUT, rôle qu’elle occupe désormais à Telfer depuis l’automne 2021.

Elle bénéficie d’une bourse d’études supérieures de niveau doctoral (2021-2025).

Shahin Basiratzadeh est doctorant à l’École de gestion Telfer. Il étudie en gestion et se spécialise dans les systèmes de santé, sous la direction des professeurs Wojtek Michalowski, Herna Viktor et Natalie Baddour. Membre du laboratoire de recherche sur le triage à l’urgence mobile (Mobile Emergency Triage – MET) à l’Université d’Ottawa, il est aussi assistant de recherche à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa. Il a obtenu un baccalauréat en génie électrique à l’Université d’Ajman, aux Émirats arabes unis, en 2014 et une maîtrise en gestion de l’ingénierie de l’Université Al Ghurair à Dubaï en 2018. En 2014 comme en 2018, il a terminé en tête de sa cohorte. L’étudiant a aussi effectué une deuxième maîtrise, celle-ci en génie biomédical à l’Université d’Ottawa.

Les recherches actuelles de Shahin Basiratzadeh portent sur les solutions de gestion qui s’arriment aux données. Parmi ses autres intérêts de recherche, mentionnons les applications de l’apprentissage machine et de l’intelligence artificielle explicable dans l’analyse de décisions, ainsi que la prise de décisions médicales et les systèmes de soutien aux décisions cliniques.

Ses contributions ont été primées à plusieurs reprises à l’échelle locale et mondiale :

• Titre d’innovateur mondial en éducation et lauréat d’un prix QS Reimagine Education (les « Oscars de l’éducation ») dans la catégorie régionale pour la conception et la mise sur pied d’une solution d’IA permettant aux personnes aveugles d’apprendre d’une toute nouvelle manière à l’aide d’un téléphone intelligent et de lunettes intelligentes (2019)
• Premier prix pour un projet gouvernemental réel à l’Agence spatiale canadienne et classé dans les 5 premières équipes parmi 84 au concours CANDEV grâce à une solution d’IA permettant de prévoir les aurores boréales (2018) 
• Premier prix pour la présentation et le modèle d’affaires de l’application mobile « Sweet Touch » dans le domaine de la santé (2018)
• Premier prix dans la catégorie Éducation au Global Innovation Summit, pour le projet Inclusive education using assistive technology (« Les technologies d’aide au service de l’éducation inclusive »), Émirats arabes unis (2015)
• Premier prix à la Senior Design Competition de l’IEEE UAE Student Day 2014, pour la conception et la mise au point d’un véhicule aérien sans pilote à l’usage de la défense civile d’Ajman, aux Émirats arabes unis (2014)
• Gagnant du concours Imagine Cup de Microsoft (catégorie Innovation), Émirats arabes unis (2014)

Shahin Basiratzadeh a travaillé sur plusieurs projets visant à élaborer des solutions pratiques aux problèmes de santé. La plupart de ses projets ont pour but de faciliter la vie quotidienne : application mobile pour mesurer la posture au moyen de la réalité augmentée, technique non invasive pour mesurer le taux de glycémie, logiciel pour traduire la parole en langue des signes pour les personnes malentendantes, maison intelligente pour les personnes âgées, drone pour se repérer, etc.

Shahryar Moradi a entrepris un programme de doctorat en gestion avec spécialisation en systèmes de santé à Telfer en 2021. Son projet de recherche est codirigé par les professeurs Jonathan Patrick et Antoine Sauré. Avant son arrivée à Telfer, il a obtenu une maîtrise en génie industriel à l’Université de technologie Sharif, en Iran; il a également décroché un baccalauréat en génie industriel à l’Université de Téhéran en 2018. 

Au cours de sa maîtrise, il a contribué à plusieurs projets dans le milieu de la santé, dont l’organisation de chirurgies non urgentes, la coordination des rendez-vous dans des centres de radiothérapie, la gestion des activités des cliniques externes et l’analyse de données sur les soins de santé. Les résultats de ses recherches, y compris ceux issus de son projet de maîtrise, ont été mis à profit concrètement à l’hôpital Milad de Téhéran. 

Fort de sa grande expertise dans les domaines de la recherche opérationnelle et de la statistique, Shahryar Moradi s’intéresse surtout à l’emploi des méthodes d’optimisation, comme le processus de décision markovien, la programmation stochastique et l’optimisation arrimée aux données, pour résoudre des problèmes qui comportent un haut niveau d’incertitude.

Parallèlement à son doctorat, il travaille comme assistant d’enseignement et de recherche à Telfer. Ses travaux de recherche portent sur la conception de modèles et la résolution de problèmes réels liés au secteur de la santé et à la résilience de la chaîne d’approvisionnement, le tout grâce à une combinaison de méthodes d’analyse de données et d’optimisation. En 2023, Shahryar Moradi a reçu le prestigieux diplôme de la Société canadienne de recherche opérationnelle. 

Shaila Nusrat Aurin est étudiante au doctorat avec spécialisation en finance à l’École de gestion Telfer, sous la direction de la professeure Miwako Nitani et du professeur Shantanu Dutta. Sa recherche a pour objet l’incidence de la responsabilité sociale et de la gouvernance des entreprises sur leur valeur.
Avant d’être admise au programme de doctorat, elle a obtenu une M.Sc. en gestion avec concentration en finance à Telfer. Sa thèse de maîtrise, intitulée « Investigating the behavioral aspects of stock market reactions to various social and environmental events » (Étude des aspects comportementaux des réactions des marchés boursiers à divers événements sociaux et environnementaux), a été mise en nomination pour un prix de la meilleure thèse de maîtrise en 2021. Elle est aussi titulaire d’un MBA avec majeure en finance et d’un diplôme de premier cycle en administration des affaires de l’école d’études commerciales la plus prestigieuse au Bangladesh.
La doctorante a exercé les fonctions d’assistante d’enseignement dans plusieurs cours de premier cycle en finance et en comptabilité à Telfer, y compris des cours de quatrième année (Finances, éthique et responsabilité sociale), de troisième année (Finance d’entreprise et Placements en titres à revenu fixe) et de deuxième année (Gestion financière et Comptabilité de gestion). Elle a travaillé comme stagiaire en recherche sur les politiques à la Société ontarienne de gestion des placements (SOGP) et à l’Institut C.D. Howe. De plus, elle a été assistante de recherche pour un programme financé par une subvention Savoir du CRSH qui vise l’étude du lien entre la disponibilité du financement et la croissance subséquente des petites et moyennes entreprises (PME).

Shaila Nusrat Aurin a récemment exécuté deux mandats à la vice-présidence de l’Association des étudiantes et étudiants des cycles supérieurs en recherche de Telfer. Elle est bénéficiaire d’une bourse d’admission Telfer.

Shaista Karim Sadrudin Jaffer est doctorante en gestion à l’École de gestion Telfer et se spécialise en finance. Ses intérêts de recherche se situent à la croisée de la finance d’entreprise, de l’économie financière, de l’économie de la santé et de la technologie financière. Elle étudie actuellement sous la direction de la professeure Qianru Qi.

Shaista Karim Sadrudin Jaffer est titulaire d’une maîtrise ès sciences en finance de Telfer, pendant laquelle elle a étudié la capacité de couverture du bitcoin durant la pandémie. Elle possède également une maîtrise ès arts en science économique et un baccalauréat bidisciplinaire en mathématiques et science économique de l’Université d’Ottawa. Avant d’intégrer Telfer, elle était responsable du développement commercial et de la stratégie pour HealthSign, une entreprise du secteur des appareils médicaux qui propose des solutions de soins virtuels aux personnes âgées. Elle travaille aussi en collaboration avec l’Agence de la consommation en matière financière du Canada. Enfin, elle est fondatrice de trois entreprises familiales situées à Ottawa : All Seasons Indian Catering, Tree of Africa Foods Inc. et SKJ Superior Solutions Ltd.

Shirin est une doctorante en gestion, spécialisée dans le domaine de l'entrepreneuriat sous la supervision du Dr Wadid Lamine. Elle est titulaire d'un M.Sc. avec mention en génie industriel de Amirkabir University of Technology, en Iran. Avant de rejoindre le programme de doctorat à l'École de gestion Telfer, elle a acquis une expérience pratique de l'écosystème de l'entrepreneuriat et a coopéré avec plusieurs start-ups technologiques en tant qu'analyste d'études de marché dans une société de gestion de l'innovation et de la technologie en Iran. Elle a déjà rédigé et coécrit des articles dans les revues Futures, Cleaner Production, Sustainable Production and Consumption, et Environmental Science and Pollution Research. Actuellement, ses recherches portent sur l'entrepreneuriat numérique et l'innovation des modèles d'entreprise. Elle espère que son parcours de doctorat débouchera sur des contributions à la fois théoriques et pratiques dans le domaine de l'entrepreneuriat.

Sneha est candidate au doctorat à l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa. Elle se spécialise en Entrepreneuriat sous la supervision du Dr Evelyn Micelotta. Sa recherche se situe à l'intersection de l'entrepreneuriat et du progrès social dans la société. Elle se concentre sur des sujets relevant du domaine de recherche de l'entrepreneuriat social.  Sneha est issue d'une famille d'entrepreneurs et possède une expérience universitaire et professionnelle en matière d'entrepreneuriat et de gestion d'entreprise. Elle a lancé sa propre entreprise au cours de son dernier semestre, alors qu'elle poursuivait son programme de maîtrise à la Thunderbird School of Global Management. Elle aspire à faire carrière dans le monde universitaire tout en poursuivant son projet en Inde. 

Sneha est une boursière SHARE, elle aime la plongée sous-marine et passer du temps dans sa ville natale dans un village pittoresque en Inde où elle enseigne l'anglais aux enfants et aux adultes des régions tribales. 

Trang Pham-Lam est étudiante au doctorat à l’École de gestion Telfer, sous la direction des professeurs Hien Thu Tran et Mark Freel. Ses intérêts de recherche gravitent autour de l’innovation, de la capacité d’absorption des organisations et de la gestion des connaissances.

Elle possède une maîtrise en analyse des investissements de l’Université Aston et un baccalauréat en commerce international de l’Université des sciences appliquées de Jyväskylä. Son mémoire de maîtrise portait sur l’analyse du prix des actions des entreprises au Royaume-Uni.

Avant d’entamer son doctorat à Telfer, elle a travaillé comme chargée de cours en éthique des affaires et en communication interculturelle à l’Université nationale d’économie, au Vietnam. Elle a par ailleurs pris part à divers projets de consultation pour des PME et des conglomérats.

Wrenford Thaffe est étudiant au doctorat en entrepreneuriat à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Sous la direction du professeur Ajax Persaud, il s’intéresse à la recherche en innovation et en entrepreneuriat. Présentement, ses recherches portent sur la légitimité organisationnelle, les technologies financières et l’inclusion financière dans les pays en développement. Dans son approche de la recherche en gestion, il met à profit son parcours universitaire multidisciplinaire et ses intérêts variés.

Wrenford est titulaire d’une maîtrise (LL.M.) en droit de la propriété intellectuelle de l’Université des Indes occidentales (Jamaïque). En 2013, il a décroché son baccalauréat ès arts (B.A.) au Amherst College (Massachusetts) avec double spécialisation en chimie et en art et histoire de l’art. Il est également diplômé du United World College (UWC) – Atlantic College (Pays de Galles). Entre autres distinctions, il a récemment reçu une bourse Amherst Memorial ainsi qu’une bourse Davis du United World College.

Avant de se joindre à l’École Telfer, Wrenford a travaillé pendant plus de six ans comme chercheur en entreprise et recruteur technique auprès d’entreprises en démarrage à Boston, à New York et en Californie.

Outre la recherche, Wrenford aime les expositions d’art et les longues courses en plein air.

Xiaoyu Sun est étudiante au doctorat avec concentration en finance à l’École de gestion Telfer. Elle travaille sous la direction du professeur Fabio Moneta. Dans ses recherches, elle s’intéresse aux investisseurs institutionnels, aux fonds communs de placement et à l’évaluation des actifs.

Elle est titulaire d’une maîtrise en finance et investissements de l’Université de Leeds (Royaume-Uni) et d’un baccalauréat spécialisé en économie de l’Université Dalhousie (Canada). Fraîchement diplômée de la Leeds Business School, elle a travaillé comme analyste en valeurs mobilières pour établir les stratégies de développement des marchés d’une entreprise chinoise de valeurs mobilières; elle s’est jointe à l’École Telfer à l’automne 2020.

Dans ses temps libres, Xiaoyu aime dessiner, voyager et faire de la photographie.

Xin Ding est une étudiante au doctorat en gestion avec spécialisation en comptabilité, sous la direction du professeur Walid Ben-Amar et de la professeure Lamia Chourou. Dans le cadre de sa recherche, elle s’intéresse particulièrement aux divulgations au sein des sociétés, plus précisément la divulgation en lien avec les changements climatiques.

Elle a obtenu sa maîtrise en gestion de l’Université d’Ottawa en 2019 et son baccalauréat en comptabilité de l’Université des sciences et technologies de l’est de la Chine en 2017. Sa maîtrise, dirigée par le professeur Walid Ben-Amar, portait sur les divulgations des émissions de carbone dans les entreprises familiales.

Elle travaille actuellement comme assistante de recherche sur un projet portant sur les divulgations des émissions de carbone. Elle a été assistante d’enseignement pour les cours ADM 1340 (Financial Accounting), ADM 2336 (Organizational Behaviour), ADM 2302 (Business Analytics), ADM 2341 (Managerial Accounting) et ADM 3346 (Cost Accounting). Dans ses temps libres, elle voyage et joue à des jeux vidéo.

Guo est candidate au doctorat en gestion des ressources humaines et comportements organisationnels à l’École de gestion Telfer, sous la direction du Dr Jane O'Reilly.

Avant de rejoindre Telfer, elle a obtenu un baccalauréat en génie mécanique et une première maîtrise en gestion des ressources humaines de l'Université Purdue, aux États-Unis. Plus tard, elle a obtenu sa deuxième maîtrise en sciences de l'Université Concordia à Montréal, au Québec.

Guo s'intéresse à l'étude des préjugés et des stéréotypes sur le lieu de travail et à la façon dont ces comportements influencent les interactions sur le lieu de travail. Elle s'intéresse également à l'exploration de nombreux facteurs liés au bien-être des individus et des équipes.

Dans le passé, ses recherches ont porté sur les préjugés envers les groupes minoritaires et l'équité sur le lieu de travail. Elle a également participé à un projet visant à concevoir un programme de formation qui sensibilise aux préjugés implicites et aux stéréotypes.

Pendant son temps libre, elle aime passer du temps et voyager avec ses amis et sa famille. Elle aime aussi la musique et la danse.