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Ottawa est en passe de devenir un joueur important dans le secteur de l’innovation en soins de santé. L’une des approches pour atteindre cet objectif consiste à connecter les innovateurs cliniques de la région avec des gens qui ont le sens des affaires et veulent améliorer les soins aux patients.
Ce message s’est imposé comme l’un des grands thèmes de la présentation de Wojtek Michalowski, vice-doyen (recherche) de l’École Telfer et professeur d’informatique de la santé, lors de la conférence midi « I3 » – Industry, Issues and Insights – tenue au Château Laurier le 7 février.
La rencontre « I3 » qui a été organise par la Chambre de commerce d'Ottawa et l’Ottawa Business Journal, avec le soutien de l’École Telfer avait comme conférencier principal le stratège en chef de l’innovation en santé de l’Ontario William Charnetski. M. Charnetski a parlé des efforts déployés pour faire de l'Ontario un chef de file mondial non seulement pour les technologies de la santé nouvelles et innovatrices.
Le premier conférencier, M. Michalowski, a fait remarquer qu’Ottawa possède un vibrant secteur de la haute technologie et offre également un vaste bassin de talent et des ressources abondantes en soins de santé. La ville capitale a donc tout ce qu’il faut pour devenir un leader national en innovation en soins de santé à condition que d’autres éléments soient en place, a-t-il affirmé.
L’un de ces éléments nécessaires : un esprit intrapreneurial. « L’innovation en soins de santé est comparable à une start-up que l’on développe à l’intérieur de l’organisation ou du système. Les personnes qui la dirigent doivent donc connaître l’intrapreneuriat, autrement dit savoir être des entrepreneurs à l’interne. Cela signifie savoir quelles sont les forces qui favoriseront l’innovation, celles qui la tueront, les compétences nécessaires et les meilleures pratiques et les façons de procéder à adopter ».
Un autre élément important, dit M. Michalowski, est une coordination accrue entre les praticiens des soins de santé et les chercheurs qui étudient les systèmes de santé. Il en a donné pour exemple le Telfer Health Transformation Exchange (THTEX), des rencontres où peuvent discuter et apprendre les innovateurs en soins de santé et les professeurs de gestion et de génie.
« Ottawa est particulièrement bien placée, avec la bonne taille de capital humain et de champ d’action et des gens vraiment novateurs et talentueux. L’innovation enthousiasme énormément les différents acteurs mais la coordination est parfois absente. Grâce au programme THTEX, nous espérons contribuer à une meilleure coordination ».
Une interview avec M. Michalowski après la rencontre a été diffusée en direct sur la page Facebook de la chambre de commerce. Vous pouvez regarder l’entrevue ici : https://www.facebook.com/ottawachamberofcommerce/
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par Gregory Richards
En 1990, les trois plus importantes sociétés aux États-Unis employaient 1,2 million de personnes pour produire des revenus totaux de 250 millions de dollars. En 2014, les trois plus importantes sociétés aux États-Unis généraient des revenus de 247 milliards de dollars grâce à 137 000 employés[1]. Ces trois sociétés, toutes situées dans la Silicon Valley à San Francisco, génèrent environ le même montant de revenus que les sociétés de 1990, mais avec 1 163 000 employés en moins. Au cas où vous ne l’auriez pas deviné, les trois plus importantes sociétés en 1990 provenaient toutes de l’industrie de la fabrication automobile. Malgré le fait que le secteur de la fabrication sera toujours une partie importante de l’économie tant du Canada que des États-Unis, en raison du plus grand nombre de technologies utilisées pour améliorer la productivité humaine, les types de compétences dont les organisations auront besoin changeront de manière importante à l’avenir. Quels seront les types d’emplois qui connaîtront une demande plus importante, et quels types d’emplois connaîtront un déclin? Plus important encore, que feront les établissements d’enseignement pour préparer les gestionnaires au milieu de travail de demain?
Un sondage mondial effectué en 2015 par le Forum économique mondial auprès de 371 dirigeants principaux des ressources humaines a permis de conclure que les catégories d’emplois suivantes devraient vraisemblablement connaître une demande plus forte :
- La gestion
- La finance
- L’informatique
- Les mathématiques
- Le génie
- L’architecture
- Le domaine des ventes
- L’éducation et la formation
En revanche, les emplois dans la fabrication, la construction, l’extraction des ressources, l’administration, le divertissement et les services juridiques devraient connaître un déclin. De nombreux emplois qui devraient connaître une demande en croissance, cependant, devront être repensés. Ce réexamen devra prendre en considération la croissance rapide de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage machine. Les algorithmes d’intelligence artificielle, par exemple, peuvent effectuer des analyses financières plus rapidement et avec plus d’exactitude que la plupart des êtres humains. Les avancées dans le secteur des logiciels en ce qui a trait à la conception assistée par ordinateur permettent des expérimentations et des stimulations virtuelles, ce qui réduit le temps et les efforts nécessaires pour le travail de conception.
La bonne nouvelle est que ce thème sur les technologies qui remplacent la main-d’œuvre humaine n’est pas nouveau; par conséquent, nous devrions être capables de prévoir les compétences en gestion dont nous aurons un jour besoin. Par exemple, au fil de l’histoire, de nouvelles technologies ont mené à des changements dans l’offre de main-d’œuvre. Comme le soulignent Carl Frey et Michael Osborne[2], la déqualification a, en fait, été le résultat des premières inventions, comme la chaîne de montage et les pièces de rechange. En d’autres mots, une tâche de production qui était auparavant faite par un artisan pouvait être effectuée plus rapidement et plus efficacement par de nombreux travailleurs, chacun s’occupant d’une petite partie du travail de l’artisan. La spécialisation du travail, par conséquent, nécessitait un plus grand nombre de travailleurs ayant des compétences de niveau moins élevé.
L’arrivée de l’électricité a cependant renversé la tendance de déqualification. L’électricité a permis l’automatisation de certaines activités. À la place d’un grand nombre de travailleurs peu qualifiés, un plus petit nombre de travailleurs hautement qualifiés était nécessaire pour s’assurer que les nouvelles machines effectuaient le travail qu’elles étaient censées faire. Cette tendance s’est poursuivie avec la croissance de l’économie numérique. En fait, pour beaucoup, l’avènement de la numérisation est un peu comme l’a été, à l’époque, l’arrivée de l’électricité, puisqu’il s’agit d’un bien de portée générale qui peut être appliqué à différents types de tâches dans une organisation.
Qu’arrive-t-il aux travailleurs déplacés? Anciennement, ils se recyclaient pour s’intégrer au nouveau monde du travail. La même chose se produit en ce moment. Mais en plus, de nouveaux emplois ont été créés dans la foulée des changements technologiques qui ont mené à la création de nouvelles entreprises. Prenons comme exemple des sociétés comme Facebook, Google, Apple et Microsoft. Ces entreprises ne pouvaient exister avant l’ère de l’informatique et l’arrivée de l’Internet. Avec la numérisation en cours, un processus semblable se produira : le recyclage des travailleurs et la croissance de nouvelles entreprises auparavant inconcevables.
Le défi pour les établissements d’enseignement réside dans la capacité à prévoir quelles seront les compétences nécessaires de demain et à commencer à les construire. Les programmes de maîtrise en administration des affaires (MBA), tout spécialement, doivent continuellement ajuster leurs cours pour préparer les gestionnaires au milieu du travail numérisé de demain. De quoi ont l’air ces nouvelles compétences en gestion?
Commençons par la direction d’une organisation numérique. Que devrait connaître un gestionnaire en ce qui a trait à l’utilisation de données, à l’apprentissage machine et à l’intelligence artificielle? Comment un processus de planification devrait-il changer pour s’intégrer à une économie en évolution rapide? Comment un gestionnaire devrait-il interagir avec des employés qui sont le produit de l’ère numérique? Qu’est-ce que le niveau de connectivité amené par les téléphones intelligents et les médias sociaux signifie pour la communication au sein des organisations? Quelles sont les nouvelles occasions en entrepreneuriat qui existent compte tenu de la connectivité de masse des populations et des machines? Tandis que les fonctions de base de la gestion (planification, direction, organisation) ne changeront que très peu dans un monde numérique, les questions susmentionnées indiquent que la façon dont de nombreuses fonctions sont exécutées pourrait changer de façon draconienne. Nous sommes conscients de ces défis. Pour cette raison, le programme de MBA Telfer est ajusté sur une base régulière afin de refléter dans nos cours cette nouvelle réalité du monde du travail.
Le programme de MBA Telfer
Le programme de MBA Telfer est conçu pour vous fournir un contenu de cours qui compte pour les employeurs, dans l’environnement de travail concurrentiel d’aujourd’hui. Vous pouvez aussi personnaliser votre apprentissage de façon à étudier uniquement les sujets qui comptent pour vous. En outre, nous partageons avec vous les liens étroits que nous avons établis avec le milieu des affaires pour que vous puissiez établir les réseaux dont vous avez besoin pour faire progresser votre carrière. Les expériences que nous vous proposons en dehors des salles de classe aiguisent les compétences que vous avez acquises en classe, tout en vous permettant d’établir des relations durables avec des collègues sur qui vous pouvez compter.
Visitez notre site web à telfer.uOttawa.ca/mba afin de télécharger notre brochure ou de plus amples détails à propos de notre programme de MBA.
Bourses d’admission
Un nombre limité de bourses d’une valeur de 10,000 $ sont offertes pour les personnes posant leur candidature en ligne avant le 1er avril. Les documents requis doivent être fournis d’ici le 15 mai 2017.
Recevez une carte-cadeau* d'une valeur de 200 $ pour votre magasin ou votre restaurant préféré
Nous sommes très heureux d’annoncer le programme de recommandation du MBA Telfer. Nous savons que le bouche-à-oreille est le meilleur moyen de promouvoir notre programme de MBA. Vous connaissez quelqu’un souhaitant entreprendre le programme de MBA Telfer en français? Recommandez cette personne et vous recevrez une carte-cadeau* d'une valeur de 200 $ pour votre magasin ou votre restaurant préféré une fois que la personne recommandée aura terminé avec succès au moins le premier semestre du programme de MBA.
*Conditions applicables.
[1] Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution. (New York : Crown Publishing Group, 2016)
[2] Carl Benedikt Frey† et Michael A. Osborne. The Future of Employment : How Susceptible are Jobs to Computerisation?, 2013.
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« J’ai choisi de poursuivre mes études de doctorat à l’École de gestion Telfer en raison de l’expertise à ma disposition au sein de la faculté et de l’engagement reconnu de l’École à fournir à ses étudiants des cycles supérieurs une expérience d’apprentissage rigoureuse adaptée à leurs objectifs de recherche. Les programmes de recherche Telfer sont conçus pour être souples, c’est-à-dire pour permettre aux candidats d’harmoniser leurs cours et leurs travaux à leur propre domaine de recherche, ce qui leur permet de commencer à fouiller leur sujet de thèse dès le premier jour du programme. La nature interdisciplinaire de ces programmes et la diversité des sujets qui sont traités par les candidats et le corps professoral favorisent aussi les échanges riches en contenu et permettent aux candidats d’être sensibilisés à une variété de domaines et de méthodes qui enrichissent leur propre projet de thèse. »
Caroline est doctorante en gestion et se spécialise dans les systèmes de santé. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sciences sociales en développement international et mondialisation, et d’une maîtrise ès sciences en systèmes de santé de l’Université d’Ottawa.
Pendant ses études de maîtrise en systèmes de santé à l’École de gestion Telfer, Caroline s’est concentrée sur les ressources humaines en matière de santé maternelle dans les contextes du développement. De ce fait, les recherches menées en vue de sa thèse comportaient notamment une étude de cas sur les obstacles et les instruments d’habilitation du perfectionnement professionnel de sages-femmes compétentes offrant des soins périnataux aux immigrantes et aux réfugiées à l’intérieur d’un système de santé autonome à la frontière de la Thaïlande et du Myanmar.
Sous la supervision continue de la professeure Ivy Lynn Bourgeault, Caroline utilisera son doctorat en gestion pour perfectionner ses compétences en recherche et enrichir sa compréhension des complexités de la durabilité de la main-d’œuvre en santé maternelle dans les contextes de déplacement prolongé et de fragilité. Caroline a présenté un exposé lors de la conférence de l’Association canadienne pour la recherche et les politiques de la santé, ainsi que devant le World Congress on Public Health, la Conférence canadienne sur la main-d’œuvre en santé, et lors du Symposium mondial sur la recherche sur les systèmes de santé, et elle effectuera une présentation lors du Congrès triennal de l’International Confederation of Midwives.
Doctorat en gestion de l’École de gestion Telfer
Dans notre monde en transformation, il faut des théoriciens originaux, ingénieux et tenaces. Le programme de doctorat de l’École de gestion Telfer prépare une nouvelle génération d’universitaires avant-gardistes à confronter, grâce à la recherche, les enjeux complexes relatifs à la gestion. Notre programme de doctorat est élaboré pour former des penseurs visionnaires et influents qui, par leur recherche, auront une influence positive sur la vie des gens, des organisations et des collectivités. Plus que tout, nous avons des attentes très élevées à l’égard de nos étudiants. Quels que soient leurs objectifs, nous sommes toujours à proximité pour les aider à les atteindre.
Téléchargez notre brochure ou découvrez en quoi consistent notre programme de doctorat et nos cinq champs d’études en consultant notre site Web à l’adresse telfer.uOttawa.ca/phd.
- Catégorie : Futurs diplômés
Le 26e Souper d'affaires annuel « Toast to Success », organisé par le Club des entrepreneurs (TECDE), est l'un des événements les plus attendus de l'année. Cette année, des étudiants, des membres du corps professoral de l'École de gestion Telfer, des professionnels et des commanditaires se sont rassemblés au Musée canadien de l'histoire pour le souper, qui a accueilli 242 personnes, le plus grand nombre ce jour.
Un encan silencieux de divers objets donnés par la collectivité locale a eu lieu lors de l'événement. Les profits ont été donnés à la fondation Cam's Kids, une organisation qui aide les jeunes souffrant d'anxiété, et au Rwanda Craft Brewery Project, un projet qui aide la collectivité rwandaise à mieux s'établir.
Au cours du souper, les participants ont eu le plaisir d'écouter un important conférencier d'honneur, soit Steve Beauchesne, chef de la direction de la très prospère brasserie artisanale Beau's All Natural Brewing Company. Même si le marché actuel de la bière est très concurrentiel, Beau's reste au sommet. Steve a raconté son histoire et sa philosophie pour démarrer une entreprise, en plus de dévoiler le secret d'une bière exceptionnelle. Pour célébrer la journée internationale du gruit, qui tombait le même jour que le souper d'affaires, Beau's a offert aux participants quatre différents échantillons de bière.
Pour la première fois, TECDE a présenté les gagnants de la compétition de présentations succinctes, tenue en novembre dernier, et a démontré le talent extraordinaire de l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa à la communauté Telfer. Pendant la soirée, on a aussi remis le prix Carpe Diem et le prix d'entrepreneuriat Kevin Vollett à deux membres exécutifs de l'équipe TECDE.
Cette année marque une étape importante pour TECDE et l'École de gestion Telfer, car on a annoncé une collaboration pour lancer une campagne de financement pour le prix d'entrepreneuriat Kevin Vollett. Ce prix est nommé en l'honneur d'un étudiant de l'École de gestion Telfer et un membre exécutif de TECDE qui est décédé lors d'un tragique accident. Puis que le 25e anniversaire du prix est en 2018, TECDE et Harry Mortimer, un diplômé de l'École de gestion Telfer et un ami cher de Kevin, se sont mobilisés afin d'amasser 9 000 $ avant le 27e souper d'affaires annuel pour maintenir le financement du prix. Faites un don dès maintenant pour les aider à atteindre leur objectif. Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet de cette campagne de financement, cliquez ici (en anglais seulement).
- Catégorie : Futurs diplômés
La 11e édition de l’Omnium Financier a eu lieu du vendredi 27 janvier au samedi 28 janvier 2017 à l’École de gestion Telfer. La competition, qui est la plus importante de son genre au Canada, a acueilli plus de 350 étudiants et volontaires provenant de onze universités canadiennes.
L’École de gestion Telfer a envoyé une délégation de 28 étudiants au B.Com. pour participer à 8 différents cas de finance et de comptabilité.
Cette année, nos étudiants ont obtenu la deuxième place en simulation boursière. Félicitations à Anne Armstrong, Juan Franklin Karamoy, Alex Milosevic et Jack Lau (entraineur: George Khalife).
La délégation aimerait remercier le comité organisateur de cet événement. C’est grâce à leurs efforts et leur engagement dans la planification et l’organisation de l’événement que la fin de semaine fut un tel succès.
Écrit par Audrey-Anne Delage, Directrice aux études, Telfer Management Competitions de Gestion Telfer (TMCGT)
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Les compétitions de cas d'affaires – je suis persuadé qu'on vous l'a déjà dit – sont fortement recommandées et procurent d'importants avantages. Je n'ai jamais rencontré un diplômé universitaire ayant regretté d'avoir participé. Non seulement y participer vous distingue de vos pairs à votre arrivée sur le marché du travail, mais de plus, participer à des compétitions de cas d'affaires (que ce soit à titre de représentant ou de membre du comité exécutif de votre école) apporte de nombreux autres avantages :
- Réseautage et amitiés
D'une part, vous vous rapprocherez des membres de votre délégation, d'autre part, ce sera pour vous l'occasion de rencontrer des étudiants d'autres écoles avec lesquels vous aurez des affinités. En outre, une compétition de cas d'affaires est une vitrine pour rencontrer des employeurs et des professionnels.
- Analyser sous pression
C'est l'essence même d'une compétition de cas d'affaires : résoudre un problème dans un délai imparti, puis présenter la solution aux juges. Pouvoir réfléchir de manière analytique et claire peut contribuer à faire de vous un décideur de renom au cours de votre carrière.
- Compétences de présentation
Y a-t-il meilleure façon de vous entraîner à vous exprimer en public? Parlons franchement : on doit constamment vendre ses idées, et les compétences que vous gagnerez en suivant votre cours sur la présentation pourront croître lors des compétitions de cas d'affaires. Votre confiance en vous atteindra des sommets!
- Mettre en pratique les connaissances obtenues en cours
Nous avons tendance à nous souvenir de ce que nous mettons en pratique, pas vrai? Mettez en pratique ce que vous apprenez dans vos autres cours pour vous aider à résoudre ces cas. Faire appel à ces connaissances renforce vos apprentissages et peut vous aider dans votre rôle d'étudiant.
- Travail d'équipe
Vous collaborez étroitement avec les équipes de votre catégorie, mais également avec une délégation en entier. Le large soutien accordé par des pairs pour atteindre un objectif commun vous encouragera et stimulera votre confiance en vous. La capacité de bien travailler en équipe est une qualité personnelle que chérissent les employeurs. Quelle façon géniale de vous y exercer!
- Plaisir et congés
D'habitude, les compétitions de cas d'affaires qui ont lieu à d'autres universités demandent de se déplacer. En soirée, les organisateurs de la compétition de cas d'affaires auront prévu des activités de détente, ce qui vous permettra d'explorer une nouvelle ville à votre convenance.
- Fierté scolaire
Être un délégué signifie représenter son école dans les compétitions de cas d'affaires à l'extérieur. C'est une occasion rêvée pour démontrer votre sentiment de fierté à l'égard de votre école et pour renforcer votre sentiment d'appartenance à l'Université d'Ottawa et à l'École de gestion Telfer.
- GAGNER
OUI, GAGNER! C'est un peu vieux jeu, mais personne ne sort perdant d'une compétition de cas d'affaires! Que vous obteniez la première, la deuxième, la troisième place, voire rien de ce qui précède, vous en retirerez néanmoins un précieux bagage, sans parler de tous les avantages susmentionnés à propos des compétitions de cas d'affaires.
Écrit par Miranda Taing
- Catégorie : Futurs diplômés
Si vous passez par le pavillon Desmarais pendant la fin de semaine du 28-29 janvier, nous vous invitons à aller jeter un coup d’œil à l’intérieur de l’édifice, qui sera bondé d’étudiants. Ces 400 étudiants, provenant de onze universités de tout l’Est du Canada, se réuniront à l’École de gestion Telfer pour Omnium Financier, une compétition d’étude de cas.
Ce genre de compétition offre aux étudiants l’opportunité de résoudre un cas académique dans une période de trois heures, et de préparer une recommandation qui doit ensuite être présentée à un panel de juges qualifiés. Dans le cas de l’Omnium Financier, les étudiants présentent des cas en finance et en comptabilité. Le thème de #OF2017, intitulé « D’un océan à l’autre », permettra aux participants de découvrir l’histoire et les valeurs du Canada et de célébrer le 150e anniversaire de la Confédération.
On ne peut pas parler d’étudiants dévoués sans mentionner le comité organisateur. Rangée arrière, de la gauche à la droite : Samuel Soucy (VP - logistiques), Joshua Ayer (VP - communications), Philippe Moore (Directeur - logistiques), Kevin Saumure (VP - commandites), Ryan Rahman (VP - finance). Rangée du milieu : Katarina Mrkela (VP - academie et finance), Kassandra Tannouri (Directrice - logistiques). Rangée du bas : Miranda Taing (VP - marketing), Kim Angèle Vallières (Présidente), Andrée-Anne Martel (VP - academie et comptabilité) et Sarah Morin (Directrice - traductions).
L’Université d’Ottawa et l’École de gestion Telfer tiennent à souhaiter la bienvenue aux participants de l’Omnium Financier. Au plaisir de vous accueillir sur le campus le 28 janvier et de vous permettre de vivre ce qui sera sûrement une fin de semaine inoubliable. Quel bel ajout aux célébrations du 10e anniversaire de la désignation du nom de l’École Telfer!
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez