Lorsqu’Anna Dopico se remémore son parcours à l’Université, c’est le jour de sa convocation qui lui vient immédiatement à l’esprit. Bien qu’elle ait aimé son expérience étudiante, la conclusion de ce chapitre signifiait aussi le commencement d’un nouveau. « Pour moi, cela a été le point de départ de mon cheminement vers une carrière dans le monde des affaires. », explique Anna.

De ce fait, le cheminement dont elle parle est parsemé de réussites professionnelles, par exemple sa position qu’elle tenait en tant que Directrice de transformation et contrôle de l’entreprise pour CIBC et maintenant présidente de l’entreprise Endeavour Volunteer Consulting for Non-Profits. Anna est aussi l’auteure de To Make Riders Faster, un ouvrage autopublié qui raconte l’histoire inédite de Cervélo Cycles, une compagnie cofondée par Gerard Vroomen et Phil White (diplômé).

To Make Riders est un récit inspirant et édifiant de deux entrepreneurs et de leur entreprise, Cervélo Cycles. D’abord nés d’un projet scolaire dans un sous-sol de Montréal, au Canada, et maintenant à l’origine (producteur) de nombreux vélos sortis gagnants du Tour de France, des Jeux olympiques et d’Ironman. En moins de 10 ans, Vroomen et White ont su construire la marque la plus recherchée dans le monde du cyclisme. Cela ne les a toutefois pas épargnés d’une lutte qui déciderait de la survie de leur entreprise. 

                           « Le livre introduit tout d’abord le lecteur à la réunion de Vroomen et White à l’Université McGill en 1995 et
                           l’emmène dans un tourbillon de succès, de revers de rire et de larmes, tout en partageant des histoires de cyclisme
                           ainsi que des idées techniques. L’histoire est tissée de mots, d’images et de citations. C’est une combinaison unique
                           de beau-livre et d’une biographie de l’entreprise qui reflète les valeurs esthétiques de la marque Cervélo. »

Ce livre à couverture rigide de 256 pages est disponible pour achat au www.ToMakeRidersFaster.com. Un pourcentage du produit net est versé à CAN Fund, un club d’athlètes canadiens à but non lucratif.